Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Liam Eckart

Pages: [1] 2 3 ... 28
1
Liam ne comprenait pas. Non pas qu’il ne veuille pas, mais il en était juste incapable !  Il ne pouvait pas comprendre pourquoi elle agissait de la sorte… il agissait comme il le devait, tout simplement ! Il avait agi dans l’accord de leur convention, non ? Elle était à son service et il l’aurait rendue en bon état à sa maitresse, comme prévu !  Tout simplement ! Il ne lui avait jamais lent et ne lui avait jamais fait subir des choses imprévues, bien au contraire !  Il ne s’agissait d’aucune surprise ! Il avait tenu ses engagements. Pas elle ! Il eut une sorte de grondement suraigu qui menait au sifflement alors qu’il se relevait lentement, ses jambes ayant lâché peu de temps auparavant. Il se tenait donc de nouveau plus ou moins debout avant de regarder de nouveau la clébarde, mais pas que, fixant les ténèbres, fixant tout autour de lui ce qui pouvait se dissimuler, essayant de ne rien oublier, de n’oublier personne, surtout pour ne rien louper, car il était sûr que ce qui se dissimulait dans les ombres ne méritaient pas de se faire appeler « personne ».

Son regard revint bien vite à la lupine qui se trouvait face à lui et qui jouait avec une sorte de boule de feu… il lui sourit, un rien désespéré alors qu’elle semblait beaucoup jouer… elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait rien. Plus que cela, elle ne voulait pas comprendre, tout simplement. Ou alors elle ne le pouvait pas ! Il ne chercha même pas à répondre, il se contenta de reprendre contenance pour finalement se redresser le plus possible et lui faire face, ne disant rien… son intellect limité ne comprenait pas la pensée du vampire… elle pensait comprendre, mais penser lui était déjà plus ou moins exclu !

Il ne bougea même pas quand elle se transforma, il ne réagit pas en apparence, même s’il fut grandement surpris. Il plongea juste le regard dans les yeux de la bête qui semblait déchiqueter chaque mot prononcé, prenant une moue dégoutée… il allait lui montrer… il résisterait à tous ses châtiments, refusant de lui céder le moindre cri, que ce soit quand elle lui troua le corps, quand elle lui brula les yeux… elle n’avait pas la force de frappe du soleil, aussi, ses brulures ne dureraient pas… et ses yeux… ses yeux étaient bien assez inutiles, avec ses oreilles, et ses autres sens. Elle ne comprenait pas, elle n’était qu’une bête, comme une autre… et quand il parla, ce ne fut plus peur, mais dégout et mépris… elle n’avait rien compris…

« Tu ne seras jamais qu’un animal et un outil… tu es juste trop bête pour le comprendre… si tu penses à me tuer vas-y, je rigolerais, mais tu n’es pas la seule à avoir des dons… je t’ai en partie réparée, tu t’en souviens… t’est-il venu à l’esprit que je puisse faire autre chose que ça avec ce genre de dons ? Touche-moi et je te ferai perdre un membre… ou je te rendrais infirme à vie… repas et rends-moi ma liberté, mon chez-moi et j’oublierai cette pathétique confrontation, ainsi que tes idioties… t’avoir utilisée pour nettoyer la forêt des loups garous est normal… quand tu as une arme, par exemple une épée, ne t’en sers-tu pas ? C’est pareil, tu es un outil, il est normal de me servir d’un tel outil… » [/b][/color]

Il ricana avant de lui tourner le dos. Il n’avait pas besoin de voir.

« Si tu restes, je te tuerai, et c’est toi qui souffrira, comme toujours ! Car au fond, tu n’es qu’un sac à foutre qui a juste su se faire tirer par des idiots et des incompétents qui t’aident… au fond, tu n’as pas changé… tu es juste… plus limitée intellectuellement qu’avant… à aucun moment je ne t’ai trompée, à aucun moment je ne t’ai fait subir quelque chose qui n’était pas logique ou qui était contraire à ce qui avait été fixé… ta vengeance est un caprice d’enfant gâtée… et quand bien même tu y arriveras, qu’en retirerais-tu ? Une satisfaction ? Non, juste une soif de sang plus grande… tu n’as pas l’esprit pour survivre longtemps dans cette boucle de mort… il te faut un maitre pour te guider e t’aider à vivre comme tu le dois… » [/b][/color]

2
Liam écumait de rage. Elle osait revenir devant lui ainsi ? Voilà quoi était plus que curieux !  Plus que cela même ! Complètement aberrant !  Ne craignait-elle pas les affres de douleur dûment méritées qui allaient s’abattre sur elle ? Ne craignait pas un châtiment à la hauteur de sa faute ? Il semblait que non, et pourtant… pourtant, elle n’était pas craintive pour un sou, au contraire, sa posture, sûre d’elle, confiante, détrompait tout cela… elle allait bientôt voir qu’elle avait eu tort sur toute la ligne. Il l’avait punie pour ce qu’elle méritait. Et rien de plus ! il eut un regard plein de colère vis-à-vis d’elle, elle allait déchanter !

Un bref mouvement, et une douleur atroce… il avait l’impression que ça bouche entière s’était embrasée et il chercha à hurler sous cette douleur soudaine. Mais pas le moindre bruit, pas le moindre. Il regarda la jeune femme-louve, interloqué, alors qu’il portait les mains à sa gorge…. Douleur.

Douleur.

Douleur.

Il essaya de parler à nouveau, mais il n’y avait rien à faire. Et la douleur cessa brutalement, d’un coup, faisant mourir la naissance d’un cri. Il ne sortit qu’un glapissement. Il regarda la jeune femme. Et il eut peur. Peur de mourir ? Non. Peur de subir un sort qu’il n’avait pas mérité. Il n’avait pas fauté, jamais. Il avait fait ce qu’il devait. La vengeance qu’elle semblait prête à assouvir n’était pas juste !

Un grognement, un monstre, un énorme loup et un autre, une véritable meute l’entourait, il la distinguait maintenant… nouveau frisson d’horreur… et ses explications ne firent que le paralyser davantage… fort heureusement… par il ne savait lui-même quel moyen, il parvint, si ce n’est à mouvoir ses jambes, commencer à pouvoir ^parler, et si la peur transparaissait, il parvint à mettre le peu d’assurance qui lui restait dans la voix.

« Je ne bougerai pas. Et tu t’en iras. Car je n’ai rien fait que tu n’avais mérité ou que notre contrat avait stipulé ! Et si je ne suis rien, tu n’es qu’une clébarde qui a su vendre son cul à tous ceux assez bêtes pour t’offrir quelque chose… cette meute… elle t’obéit parce que tu as fait comme avec les autres loups ? »

Oui, provoquer, voir si on pouvait gagner du temps… s’il ne rentrait pas, on enverrait des hommes le chercher, le trouver ! Oui, c’était la meilleure solution… oui, il fallait tenir, mais ses jambes ne l’entendirent pas de cette façon…

3
Parfois, un malaise vous prenait, le malaise ne durait jamais vraiment bien longtemps, mais ces temps-ci, Liam l'avait plus souvent !  Selon lui, c'était normal quand c'était peu courant, mais là, il y avait un problème : une autre saloperie était sur son territoire !  Et il ne parlait pas de cette meute de loups garous qu'il avait drastiquement réduit il y avait un bon moment !  Il sourit en y repensant. Elle avait été utile, cette clébarde. Dommage qu'elle se soit sauvée, sinon, elle aurait déjà une jolie marque au fer rouge sur le corps et elle serait sans doute en train d'aboyer sur commande…

Gros souvenir, il avait fait écorché vif les responsables d'une telle négligence deux à trois fois !  C'était possible avec un petit coup de pouce de magie !  Il sourit et regarda un peu devant lui… les cris avaient été particulièrement satisfaisants !  Il sourit à cette idée avant de finalement signaler une halte !  À nouveau le malaise. Il avait augmenté… il avait perdu une douzaine de goules parmi les siennes… et c'était son escorte, ou presque ; Il y en avait trois autres ! Au final, ils étaient à trois contre douze... et pas douze des moindres ! Il descendit rapidement de sa monture pour finalement se saisir de la seule arme qu'il avait, attaché au pommeau de sa selle brodée d'or et d'argent. Il s'agissait de son fouet, un fouet garni d'épines très fines, mais aussi tranchantes que des lames de rasoir, de quoi déchiqueter quelqu'un sans problème !

Il le fit claquer dans le vide avant de l'utiliser contre une goule, la décapitant proprement !  Ça c'était fait ! Il continua ainsi, sans la moindre réserve, mais comme une marée continuait à s'avancer, devenant de plus en plus nombreux, les assaillants le forçaient à reculer ! Alors il y eut un bruit, une sorte de sifflement. Il regarda rapidement avant de reprendre son offensive, profitant de cette distraction pour repartir à l'assaut. Il profiterait de toute forme d'avantage. Même si cet avantage ne présageait as de bon, pas de mauvais, certes, mais bon, il en serait venu à bout tout seul, sans doute, peut-être. Enfin, pas des renforts…

Et c'est alors qu'il la reconnut. La clébarde ! La rage l'envahit, il allait l'écorcher vive, la dépecer, s'en faire une carpette, la soigner, et recommencer ainsi jusqu'à ce qu'elle n'ait même plus la force d'avoir mal, brisée, détruite, anéantie physiquement comme psychiquement. Oui, un programme qui le ferait frissonner d'extase, même les esclaves seraient vêtus de sa peau !  Voilà qui donnerait une leçon mémorable !

« Toi... »[/b][/i]

Il émit une sorte de sifflement menaçant avant de finir avec cette histoire de goules : chaque chose en son temps ! Ce ne fut qu'après qu'il fit claquer son fouet dans le vide à son intention. Dans le vide, ne pas la blesser tout de suite.

« Comme on se retrouve !  J'espère que tu as profité de cette liberté, car elle vient de s'achever ! » [/b][/i]

Il y eut un nouveau sifflement suivi d'un ricanement. Obnubilé par la personne qu'il avait en face de lui, il ne réalisait pas ce qui se passait autour de lui… loin de là !  Il sourit, l'air mauvais.

« Tu as manqué à ton engagement, à ma connaissance… il est temps de rattraper cette erreur. Alors je ne le dirais qu'une seule fois. Au pied. » [/b][/i]

Sinon, il commencerait à compter vingt coups de fouet par seconde de retard… mais il espérait qu'elle se dépêcherait, un nouveau mal aise le prenait, il ne savait pas pourquoi, cette fois-ci… alors elle avait intérêt à obéir bien vite qu'ils s'en aillent d'ici !

4
Il lui rendit son baiser gourmand avec encore plus gourmandise, voir même une avidité. C’était étrange comme les choses évoluaient :  Lima avait déjà un problème pour se passer d’elle : il n’en éprouvait pas l’envie, ressentant même un besoin impérieux de la savoir toute proche, et ses contacts tactils, ses mots doux mimés ou dits, ne faisaient qu’aggraver les choses en ce sens. A vraie dire, si elle n’avait pa tourné les talons à ce moment là, sans doute aurait-il été capable de lui sauter dessus, l’empêcher de partir, arracher ses vêtements, et assouvir tous les désirs imaginables jusqu’à ce que leur corp cèdent et rompent.

Finalement, après son départ, dans un désespoir non fin et exprimés par un soupir, il se décida à partir se coucher, il lui faillit bien mourir. Pour la forme, qu’elle ne se fasse pas de soucis, il était persuadé de tenir plus longtemps, bien plus longtemps qu’elle, et pour le vérifier, un marathon s’imposait… il trouverait bien un moment pour le tenter, ce marathon… et teter une étude plus approfondie de sa personne par-dessus le marché…

Il prévint son personnel, fit préparer cartes, matériel et tout ce qui pourrait être utile pour cette nuit de travail, et finalement il se dcida à partir se coucher. Retirant sa robe de chambre à col d’hermine, il se coucha. Il tait nu dessous, et se glissa entre les draps de soie ou et agréablement parfumés. Il ferma les yeux, et enfin, il mourut.

Le gros avantage à être vampire – et l’un des défauts majeurs tant qu’à faire-  était cette capacité qu’ils avaient à mourir pour la journée. Le matin il fermait les yeux, la rigidité cadavérique le prenait et la mort emmenait son esprit, le lui ramenant chaque soir, ou du moins, le lui ramenant après un certain temps. Pendant ce moment il ne pouvait être atteint par aucune parole, aucun bruit, aucune douleur, aucune lumière, ce qui en faisait une cible particulièrement vulnérable d’ailleurs. Tuer un vampire le jour était particulièrement facile quand il n’était pas bien entouré. Lui, il était très bien entouré.

Liam, lui, était très bien entouré. Il avait une garde personnelle qui gérait la sécurité du manoir, des hommes, et des femmes, soumis corps et âmes à sa volonté, quelle qu’elle soit. Il s’agissait en général d’esclaves qu’il avait lui même dressé pour différentes tâches spécifiques à chacun. Ainsi, il avait tout ce dont il avait besoin. Tout cela pour dire qu’il ne risuait à rien à mourir le matin pour revivre le soir. Mais en fonction de l’âge et de la puissance du vampire, celui-ci dormait plus ou moins lentement.. Liam pouvait revenir à lui en début d’après midi, pour sa part, montrant très clairement que sa jeunesse n’avait pas d’influence sur sa puissance.

Aussi , il n’y a rien de bien étonnant à trouver Liam levé et bien habillé au retour de la belle cannibale qui avait rappelé le cœur qu’i possédait même s’il ne battait plus- mort oblige. Ah, Lana, il avait une surprise pour elle, en effet, il avait fait un petit détour par Terra pour trouver un met savoureux, une jeune femme qui, soi-disant, n’avait jamais connu le loup, il dut le vérifier lui-même, sentir l’hymen pour y croire, et choisit aussi de faire son petit marché, achetant quelques biens à dresser pour les revendre. Le choix n’était pas incroyable, mais il était toujours là. Quant aux prix, il avait payé bien plus cher qu’il n’aurait du. Mais étant sur son petit nuage, il n’avait pas eu l’impression de se faire autant avoir que la réalité ne le montrait.

Il ne revint que peu de temps avant que la voiture n’entre dans la pour du manoir terrestre. Déjà ? Non pas qu’il soit désagréablement surpris, mais c’était étonnant. N’aurait-il pas vu le temps passer ? Etrange, ce n’était pas son genre, en général, au contraire, il avait une horloge interne absolument parfaite… ce n’était rien d’autre que ce petit nuage ui faisait écran à tout ce qui n’était pas Lana. Oui, un peu de bon sentiment n’est pas si désagréable tant qu’il ne s’agissait pas d’une habitude. Le bon sentiment et le dressage d’esclave ne font pas bon ménage...

Il fut surpris d’apprendre que Lana ne rentrait pas seule… il ne pensait qu’il y aurait quelqu’un d’autre que la surprise dans la voiture (à part Lana) et pensait qu’elle rentrerait plus tard que ça. Mais l’impatience devait la tarauder autant que lui, c’était normal. Des amants lors de leur première amourette…. De vrais enfants sur ce point…

Mais ce ne fut pas la belle rouquine qui vint se planter devant lui en premier, non, c’était la Japonaise. Elle lui tendit la main et il regarda cette main avant de jeter un regard loud de sens à Lana. Il n’aimait pas énormément les surprise quand il ne les organisait pas… Mis au-delà de ça ce serit toujours agréable d’avoir de la compagnie, une plaisante compagnie si possible bien sur ! Enfin, jusqu’à ce qu’il connaisse son nom. Ainsi c’était elle, Konoe. Sa Dame l’avait pris de vitesse et c’était bien dommage, trouvait-il. Mis soit, il n’allait pas faire le difficile à dessus. Il sourit à cette fameuse collègue avant de finalement se tourner vers Lana et même se déplacer vers elle pour venir la la saisir par la taille et la serrer contre lui, lui bécotant la gorge avidement. Oui, son idée était amusante. Il eut un petit sourire. Il avait envisagé la même iée avant même de connaître de visu la fameuse Konoe… il lui glissa doucement à l’oreille une axcitante confidence.

« C’est à croire que tu lis mes pensées, je me suis dit que tu méritais d’avoir ta propre suite pour s’occuper de toi et t’obéir. Qui sait, cela pourrait être utile…. J’ai acheté plusieurs échantillons, et je comptais te proposer de choisir parmi ceux-là… mis si tu as déjà faitton choix, alors c’est parfait…. »

Il lui mordilla son oreille avant que Konoe ne les interrompt.

« Dites, si je vous gêne, dites-le ! Et de nous deux, je crois que tu te trompes sur qui est la chienne, car hormis te mettre à quatre patte pour te faire culbuter, je doute que tu sois capable de le séduire autrement… »

Et voilà ce qui se passe quand on oublie Konoe quelques instants de trop, elle persifle… dommage que cela ne tombe pas toujours dans la bonne oreille… Liam lui sourit et la fixa droit dans les yeux.

« Tu n’as pas idée de ce qui t’attends, n’est-ce pas ? »

Il vola les lèvres de Lana pour un voluptueux baiser avant de lui dire, de manière audible.

« Non, mon amour je ne la dresserai pas pour toi…. Je vais t’aider à la dresser. Si tu veux ton esclave tu vas devoir la dresser toi-même… je vais t’y aider, mais en te conseillant et t’assistant… tu feras le travail… je vais t’apprendre… »

Il lui saisit doucement la main et porta son poignet à ses lèvres et embrassa la chair ainsi découverte avec délectation et sans la quitter des yeux.

« Première étape, la mettre à sa nouvelle place, une fois brisée, elle pourra être dressée… pour cela il faut non seulement briser son corps –mais pas de manière définitive – autant que son esprit. Il faut la choquer si fort qu’elle en perdra toute envie, toute volonté qu’elle aurait pu manifester autrement… tu peux t’arranger pour qu’elle soit battue, humiliée, violée, il y a autant de méthode que d’esprits inventifs…  »

5
Et elle continuait à le prendre de haut…. Elle implorerait. Elles finiraient toutes par implorer, surtout qu’il avait une idée qui commençait à germer, une idée extrême sans doute mais qui n’était pas dénuée de charme à la réflexion, il suffisait de ne pas trop y réfléchir et ça pouvait marcher, en effet, il ne savait pas comment maltraiter une déesse pour qu’elle finisse par craquer, et même si il comptait bien la livrer aux gardes, sans autres nutriments que leur semence qu’elle serait forcée d’aller lécher sur son corps ou sur le sol, il supposait qu’il devait y avoir quelque chose de plus efficace. Il ne savait juste pas quoi encore…. Il se demandait si… oui, peut être… mais bon, pendant qu’il murissait son idée il ne lui laisserait aucun répit…

« Ce que je m’ancre dans le crâne, c’est qu’une divinité aurait sans doute beaucoup plus résisté que toi, tu n’es qu’une ombre de ce que tu devrais être ! Je suis sur que tu serais surprise des limites que tu as… ne me fais pas croire qu’une divinité se laisserait piéger aussi facilement…. Tu es pitoyable !Et on s’étonne que tu n’aies pas de fidèles… »

Il lui cracha au visage avant de lui envoyer un coup de pied dans la figure. Il recommença jusqu’à entendre distinctement le nez qui cède.

« Ô, grande déesse, je crois que même moi j’ai plus de fidèles et d’adorateurs que toi ! »

Grand éclat de rire de sa part. Il état heureux d’en être arrivé à cette constatation qui n’honorait en rien la déesse. C’était même plutôt insultant pour elle, ou alors c’était d’un profond aveuglement de la part du marchand d’esclaves. Dans les deux cas, pas de quoi se sentir à l’aise… bon, d’un autre côté, le nez cassé suffisait en général ne pas se sentir bien…. Alors que dire du fait d’être entre les mains d’un esclavagiste ?

« Tu vois, l’avantage c’est que même si tu te brises en morceaux je possède le pouvoir de te réparer, mon petit jouet…. Donc je n’ai pas à me retenir…. Et en plus la guérison est très douloureuse… tiens, d’ailleurs, je vais m’y atteler… »

L’idée faisait son chemin dans l’esprit calculateur qu’il possédait alors qu’il se baissait pour placer une main sur son nez et commencer à guérir celui-ci. Bien sur si ça le fatiguait cela faisait souffrir la jeune femme/déesse/piaf (rayez la ou les mentions inutiles en cas de besoin), et cela justifiait la fatigue qui s’accumulait. Il lui sourit et continuant ses soins, regardant le collier et celui-ci relâcha assez sa prise pour qu’elle puisse respirer par son nouveau nez reformer, qu’elle puisse reprendre un souffle qui lui manquait - avant de lui réparer les côtes bien sûr -  puis il finit de la soigner, cette fois-ci ça avait été moins épuisant.

Il caressa son duvet de plumes, en arrachant une brusquement de manière complètement aléatoire, songeur avant de mettre son plan à exécution.

« L’idée est simple, tant que tu ne te soumettras pas, je tuerai des gens, les enfants en priorité, un par quart d’heure.. à a moindre désobéissance, ce sera une femme enceinte ou une famille….. que penses-tu de ce plan ? Accepteras-tu tant de morts sur la conscience ? »

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: dimanche 29 septembre 2013, 10:22:33 »
Liam souriait. Ses déboires n’étaient pas fini et ça lui faisait plaisir. Il en arrivait même à se demander si il la laisserait effectivement partir à la fin de son contrat. Après tout, pourquoi la rendrait-il alors qu’il la « formait déjà pour qu’elle soit définitivement à son service ? Pourquoi devrait-il respecter ce contrat ? Les promesses n’engageaient-elles pas uniquement ceux qui y croyaient ? Il se rendit dans son étude, il avait des papiers à remplir, beaucoup de paperasse, des sommes à encaisser, des ordres à donner, des fournisseurs à rembourser… en bref, il s’agissait de travail fastidieux mais qui était particulièrement nécessaires pour la survie de sa petite entreprise, enfin, petite, trêve de modestie absurde !

Le vampire était bien occupé à travailler quand une lueur dorée tomba dans l’étude à plusieurs mètres de lui. Se rendant compte qu’il avait travaillé tout le reste de la nuit il s’apprêtait à rejoindre ses appartements pour mourir durant ce jour. Il reviendrait à la vie la nuit prochaine, assez pour aller faire son inspection. Oh, ce ne serait pas bon, c’était sûr, mais au moins, il se ferait plaisir à voir son désespoir devant la pénibilité de sa situation. En plus, parce qu’elle ne serait pas en mesure d’accomplir le travail aussi bien qu’elle devrait, il lui remettrait l’anneau et l’enverrait dans la salle des gardes, où elle les détendrait, et cela ne signifierai pas que s’ils voulaient se détendre autrement que sexuellement ils ne pouvaient pas. S’ils désiraient jouer à qui la ferait crier de douleur le plus fort, libre à eux !

C’est donc l’esprit heureux et le cœur léger qu’il se dirigea vers ses appartements…

… enfin, ça c’était ce qui était prévu à l’origine, pour ce qui arrivait vraiment et bien…. Disons que ce n’était que de la mauvaise publicité. En effet, un messager vint en courant préveniur que l’on avait retrouvé le cadavre d’un garde dans les toilettes de la bibliothèque.  Liam, sans punir le messager, pour une fois, se mit à foncer vers les lieux du délit, se maudissant de ne pas l’avoir envoyée dans la salle des gardes, c’était ce qu’elle méritait ! Non plus, nni moins. Et en même temps, il se maudissait car il savait qu’il n’aurait pas du prêcher par autant de vanité :! Il aurait du se montrer prudent ! Il soupira et regarda le cadavre, jurant à mi-voix. Puis, il sonna lae branle-bas et tout le manoir fut en effervescence.

Il fit préparer des escouades de gardes, pour tuer à vue cette fois, et  fit préparer les chiens. Il restait sur place mais vida son manoir pour permettre à tout le monde de la chercher et de lui ramener sa peau encore sanguinolente. Et de l’ombre de la cour, il regarda les gardes partir à bride abbattue à la suite des chiens comme si ils avaient tous le diable aux fesses. Peut-être l’avaient-ils vraiment d’ailleurs…

De toute manière, il ne pouvait pas faire grand-chose de plus en plein soleil. Il rentra et alla se coucher. Il n’y avait rien d’autre à faire de toute manière !

Les équipes revinrent toutes bredouille…

7
Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: samedi 28 septembre 2013, 18:40:45 »
Bon et bien voilà, ce n’était pas si dur que cela d’accepter, de le reconnaitre, aussi honteux que cela soit. Car oui, c’était honteux et infamant. Et elle le reconnaissait, baissant la tête sous l’humiliation que c’était que de l’admettre, surtout devant Liam. L’homme, l’être qu’elle devait détester le plus au monde à l’heure actuelle. Lui, il souriait, ravi. Il était ravi d’avoir l’impression qu’elle devait se rabaisser pour admettre cette vérité et même si il était déçu qu’elle soit à ce point effrayée par la possibilité de se retrouver avec les gardes qu’elle ait craqué aussi vite, cela perdait de son charme et en devenait moins intéressant. Il n’aimait pas que le fait qu’on lui obéisse, mais aussi le fait qu’il y ait une confrontation dont il sortirait vainqueur, certes, mais que cela lui apporte un minimum de défi, il n’avait pas l’impression de trop en demander, si ?

Enfin bon, il était quelqu’un qui tenait ses promesses, et aussi, quand elle l’admit, il savait déjà qu’il allait la changer de section, de la changer de tâche. Il regarda droit dans les yeux la louve et finalement opina du chef, en allant lui tapoter la tête, comme à un chien bien obéissant qu’elle était censée être. Il détourna les yeux pour regarder quelque chose qui venait de bouger dans vision périphérique.

« Bon, voilà ma décision, tu vas  travailler à la bibliothèque inférieure. Juste en face de la salle des gardes. Il y a dans cette bibliothèque des sanitaires . Tiens les impeccable. Je veux qu’on se regarde briller dedans. Et ainsi tu entendras le sort réservé aux catins sous mon toit… mais rappelle-toi bien, il va falloir que ça brille ! Et que je puisse me voir dans les carrelages quand je viendrai inspecter. Sinon, tu retourneras avec les gardes. Est-ce bien clair ? »

Il lui sourit avant de caresser ses lèvres pour saisi l’anneau, et se mit à jouer avec, donnant des pichenettes dedans, sans douceur, mais sans violence non plus… il semblait réfléchir à quelque chose. Il lui souriait doucement, mais il semblait ailleurs, comme si il était particulièrement absorbé par des sujets plus importants que l’insignifiance de la jeune femme.

« Ah et je devrai peut être t’enlever l’anneau, histoire que tu ne te fasse pas trousser comme tu le mériterai dans les couloirs ou même dans tes sanitaires. Tu vivras là-bas, tu y travailleras jour et nuit. Allez, ouvre la bouche, que je m’en saisisse bien ! »

Il prit de toute façon l’anneau même si elle n’ouvrait pas la bouche, et il tira violemment, arrachant une partie de la lèvre, infime partie mais tout de même, en plus de l’anneau. Ensuite, il saisit avec ses doigts sa lèvre, jouant à appuyer sur la plaie avant de finalement utiliser la magie pour se soigner. Violente décharge de douleur, bien évidemment !  Sinon, ce ne serait pas amusant !

« Allez, file, tu sa du travail ! »

*
*   *

Jean Jacques, ou J.J. pour les intimes, en avait marre d’attendre. Bedonnant, dans la quarantaine et pourtant les cheveux déjà striés de blanc, il avait  remarqué que comme d’habitude, les toilettes des gardes étaient bouchées. Du coup, il devait faire quelque chose qu’il avait en sainte horreur !  UIl devait passer par une zone du manoir qui lui faisait peur, une zone obscure et effrayante des lieux , une pièce remplie de choses à vous faire exploser la tête. La bibliothèque.

Il ne savait pas lire.

Il entra dans la pièce qui était surtout des latrines classiques, des chiottes à la turque et un lavabo. Il s’approcha et vit que quelqu’un était là.

« Allez dégage de là, j’ai quelques affaires à faire. A moins que je fasse sur le sol ici, au piire, t’es là pour nettpooyer, non ? »

Il eut un air goguenard.

8
Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: samedi 28 septembre 2013, 00:05:23 »
Vous savez, cette expérience était peut être une bonne chose, finalement ;, elle semblait avoir perdu son agaçante verve et son exaspérante manière de se montrer plus insolente que les autres. Peut-être était-ce dû à sa manière qu’elle avait de toujours parler quand il ne le voulait pas, de ne jamais  faire son travail correctement, de ne jamais obéir sans rechigner d’une manière ou d’une autre… il était temps que cela change. Et ça avait changé.

Les gardes avaient été durs avec elle, mais en contrepartie, elle semblait avoir compris la leçon… alors si elle avait compris la leçon, il pouvait lui confier une tâche à sa mesure, une tâche complètement à sa mesure, la seule d’ailleurs, hormis la salle des gardes. Après ce qui s’était passé, il était sûr qu’elle ferait tout sauf cela. Maintenant, il savait qu’elle devait être brisée convenablement ! Désormais elle avait compris sa place. Il en était intimement persuadé.

Doucement, il glissa sa main vers les lèvres de la jeune femme et toucha le petit anneau avant de murmurer à Shad sur un ton de cruelle confidence, le genre dont on ne voudrait jamais avoir à entendre parler.

« Avec cet anneau tu avis être assaillie et saillie par tout le monde ici. Mais si tu te montres obéissante…. Pour peu que tu admettes ton statut, et le plaisir que tu as pris à te faire saillir par des animaux. Il suffit que tu reconnaisse ton envie et je te change de service. C’est simple non ? »

Il laissa glisser ses doigts, le dos de sa paume, sur la joue de la jeune femme, chaude par rapport à la sienne, froide comme la mort froide à en donner des frissons. Il la regarda et sourit, la forçant à lever les yeux vers lui. Il ne faisait que dire la vérité :  il la changerait de poste pour passer de la salle des gardes à la bibliothèque, ou du moins, au latrines de la bibliothèque. Non, pas comme urinoir, bien sur, mais comme technicienne de surface, à la brosse à dent…

« Alors ? J’attends…. »

9
Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: mardi 17 septembre 2013, 16:45:48 »
Quand l’heure du départ sonna, elle n’était pas là. Où était-elle ? Avait-elle filé ? Oui, ça aurait très bien été dans son genre de filer comme ça !  Après tout, elle les avait bien trahis pour s’occuper  de jouer les putains pour l’Alpha de la bande de loups garous qu’ils étaient censés annihiler ! Alors qu’elle se soit enfuie ne l’aurait sans doute pas énormément étonné…. Mais il la fit chercher, par principe, perso,nne ne devait s’échapper des griffes de maitre Liam Eckart !  Sinon, ce serait la mort dans d’horribles souffrances !  Personne ne vivait impuni sous son toit, et la sentence, toujours décidée par Maitre Liam, n’était pas du genre à ne laisser aucune marque indélébile sur le corps. Un petit exemple :  elle avait toujours son oreille partie déchirée ! Un petit rappel de ce qu’elle avait bien pu faire qui lui avait déplu…

Il fallut uen bonne heure pour la retrouver. Elle était dans le lac, ou du moins, en partie immergée, donc pas exactement dans le lac, une partie de son corps était sur la rive et elle se faisait lécher le corps par l’onde jusqu’au milieu du dos. Son corps avait commencé à bleuir à cause de froid. Il avait dit carte blanche, mais aurait bien voulu la garder en vie si possible. Son sang battait encore, mais très lentement, très faiblement. Elle était en hypothermie légère et risquait bien de crever si personne ne faisait rien./ Or Liam était forcé de la sauver, bon gré mal gré ! Il était lié par contrat la dessus, et Liam Eckart ne rompait jamais ses contrats !

Il ordonna à deux hommes de la sortir de l’eau ce qu’ils firent avec zèle avant qu’il ne fasse convoquer les coupables. Il les garda prè-s de lui pendant qu’il réparait les lésions rapidement, de manière temporaire, le temps de rentrer. Il travaillerait de manière bien plus détaillée une fois rentré, il ne fit pas pour autant repousser ce qui avait été retiré. Il se contenta de l’attacher en travers du dos de l’un de ses chevaux les plus robustes pour que son corps se réchauffe et recouvrit le tout d’un long tissu blanc, comme un linceul.

Elle aurait sans doute préféré mourir mais on s’occupa rapidement d’elle pendant le trajet, chaque jour on se débrouillait pour la faire ingérer un peu de nourriture, pour l’empêcher de se déshydrater on se débrouillait également. Les trois hommes avaient été abandonnés, vivants, au milieu du lace, sans plus un seul centimètre de peau. Ils l’avaient mérité.

Il fallut plusieurs jours pour rentrer et au final, ce ne fut qu’une fois arrivée qu’on la déposa sur uen table d’auscultation, et ce ne fut qu’enfin, dans la douleur, qu’il la soigna vraiment. Il y passa une journée entière à tout examiner. Ils n’y étaient pas allés  de main morte et le vampire fulminait. Il ne pensait pas qu’ils iraient aussi loin… ils avaient été punis en conséquence mais il ne décolérait pas pour autant. Pour la réparation, il était tellement dans l’impression que trop en avait été fait qu’il al répara en faisant tout repousser, son mamelon et son oreille compris bien sur !

Puis il la réveilla avec des claques.

« Allez, arrête de dormir, tu as assez paressé comme ça ! Debout fainéante ! »

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: mardi 09 juillet 2013, 21:18:54 »
La survie, c’était un mot bien grossier pour déterminer son rôle en y réfléchissant bien !  En effet, il ne voulait pas savoir si c’était une question de survie ou juste une question de plaisir,  Il voulait juste savoir qu’elle l’avait fait. Sa curiosité s’arrêtait là. Qu’elle ait pris du plaisir aurait sans doute été une raison plus importante encore de l’envoyer au service des gardes comme on appelait ça. Il n’y avait pas de tâche plus dégradante au manoir si ce n’est peut être vider la fose sceptique avec la langue, mais ça, ça faisait longtemps que ça ne se faisait plus !

Dans tous les cas si elle jouait les putains pour survivre avec des loups garous, alors elle pouvait bien jouer les putains pour les gardes, et heureusement pour elle étant donnée l’absence de capote ils étaient tous stériles, c’était Liam qui réglait définitivement ce problème de fertilité.

Mais revenons au sujet principal : l’amputation ! Voilà un sujet bien joyeux en y réfléchissant, il se réjouissait à l’avance de ce qui allait être fait… mais plus encore, il se délectait du dilemme intérieur de la clébarde. En effet, elle devait choisir quelle partie de son être il aurait pu lui enlever. Généralement, les esclaves ne savaient pas quoi se faire enlever et finissaient par déclarer que le vampire pouvaient amputer ce qu’il voulait. Et en général, comme pour pousser l’humiliation le plus loin possible, il retirait à l’esclave une part intime d’elle-même, par exemple un mamelon, ou carrément l’appendice clitoridien.

Mais pas cette fois, elle eut le cran de répondre et une lueur d’amusement passa dans ses yeux alors qu’elle énonçait les possibilités qu’elle envisageait. Il l’écouta en silence jusqu’au bout et se mit àç ricaner avec les gardes qui attendaient leur jouet. Il attendit et finit par prendre la parole après qu’elle eut fini.

« C’est tout ? Je vois de multiples endroits que je pourrai mutiler. Je pourrai t’ôter un œil, un mamelon, une partie intime, je pourrai juste te retirer l’auriculaire de chaque main, je pourrai te retirer le nez, je pourrai aussi te retirer, en effet, la queue ou une oreille, mais dis moi, si cela ne te dérange pas de me livrer ces parties de ton corps sur un plateau, où est vraiment la punition ?  Cela n’en est plus une. »

Il eut une petite moue réprobatrice avant de reprendre la parole.

« Et puis, crois-tu sincèrement que tu aies besoin de tes pieds pôur être la putain des gardes ? Non, soyons sérieux, ça, tu peux très bien t’en passer !. Mais du coup, que vais-je couper…., je dois bien réfléchir pour ne pas faire d’erreur que je puisse regretter… Oh, je sais ! »

Il eut un sourire d’enfant gâté avant de regarder alentour et désigner un garde du doigt.

« Toi !  Approche et choisis quelle partie de son corps amputer ! Tant que ce n’est pas mortel, tu as carte blanche ! »

Il poussa l’animal bipède dans les bras du garde avant de lancer, amusé.

« Sois content, tu es le premier servi par la nouvelle putain des gardes ! »

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: vendredi 05 juillet 2013, 16:32:18 »
Le vampire était à l’œuvre, accompagnant et aidant la clébarde à accomplir la sienne. Une chose était sûre, elle était à sa limite et n’en pouvait plus, mais le vampire l’empêchait de tout arrêter pour s’effondrer, se recrqueviller et se renfermer sur elle-même. Hors de question de perdre ce jouet, même pour quelques heures.  Elle était son jouet, sa chose et un jouet ou une chose n’a ni besoin de repos, ni de se remettre de ses émotions !

Il continua donc d’utiliser la main de Shad pour la forcer à finir son travail. Ecorcher vif quelqu’un n’est pas chose aisée, loin de là. Il faut savoir retirer la peau sans pour autant inciser trop profondément, que le supplicié reste en vie et conscient assez longtemps pour voir la fin du travail. Bon, d’un autre côté, la victime ne survivait jamais longtemps à ça, aussi, une fois le travail fini on savait qu’il mourrait sous peu. C’était une opération létale, m ais à petit feu, le meilleur !  Et pendant tout ce temps on observait des suppliques, des invectives odieuses, des malédictions, et surtout, des cris de douleur ! Comment ne pas être submergé de ravissement !

Finalement, ils en eurent fini et son regard vint à nouveau à la rencontre de celui du vampire pour savoir ce qui allait se passer. Le vampire en avait une petite idée et doucement, serra Shad contre lui de cette manière faite précédemment qui aurait pu faire croire à de l’affection quand on ne le connaissait pas.

« Et voilà, c’est finit ! Tu as vu, ce n’était pas si terrible ! Et puis comme ça tu sauras ce que je fais à mes ennemis. Bon, maintenant tu vas le tuer. Un conseil, la gorge à coup de dents peut très bien convenir… »

Mais elle ne l’écouta pas et ce fut un poignard qui mit fin à ses jours, perforant son crâne au passage. Liam ne protesta pas vraiment, non, mais livide – comme si on pouvait être plus livide que son teint naturel en tant que vampire – il tenta de rester stoïque malgré sa surprise. Il s’attendait à beaucoup de choses, pas à ça. En fin de compte elle devait être plus forte que ce qu’il pendait. Très bien, il irait plus loin pour la faire craquer de nouveau et recommencer cette tendresse malsaine.

Il l’enlaça et lui murmura au creux de son oreille déchiquetée alors qu’il lui caressait doucement les cheveux sur un ton doux :

« Et bien voilà, ce supplice est fini, mais tu sais, si tu as tant aimée te faire prendre par cette chose tu adoreras mes gardes, surtout que je vais leur offrir quelque chose en plus de toi pour s’amuser. J’ai dans mes affaires une gaine qui se place sur la verge, comme un étui garni d’épines et de petites lames tranchantes. Et ils iront où ils voudront en toi avec ça. Regarde comme je suis généreux ! »

Il eut un éclat de rire malsain avant de doucement resserrer son étreinte sur elle pour rajouter quelques mots suplémentaies, douceureux.

« Mais cache ta joie. Avant d’avoir le privilège de leur être offertes, tu vas terminer ta punition. Tu as exécuté ton compagnon –il semblait être dégouté par ce mot – il faut encore que toi, tu sois punie comme il se doit pour ta traitrise. En général je commence par amputer de quelque chose, premier signe de trahison !  Et comme je suis magnanime, je te laisse le choix de la partie à amputer ! »

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: jeudi 04 juillet 2013, 22:02:28 »
Il se demandait jusqu’où elle serait capable d’aller. Oui, ce serait amusant de voir jusqu’où allait sa volonté, une volonté qu’il briserait définitivement, plus de jérémiades, plus de refus, plus regards haineux, plus qu’un délectable regard à la limite de l’inexpressif, comme si elle n’était plus rien que véritablement un objet à utiliser. Voilà ce qu’était un esclave ! Un objet à utiliser, rien de plus, que ce soit comme putain ou comme garde du corps, somme souillon ou comme cuisinière, voir même comme garde-manger si on le décidait…

Le vampire la regarda utiliser l’aiguille pour faire ce qu’il avait demandé. Il savait qu’elle ressentait de la douleur. Il savait qu’elle était liée à lui, il savait qu’elle ressentait tout comme le mâle car il n’avait pas de compagne depuis longtemps, en effet, si Shad était sa compagne comme ça avait été confirmé, alors les deux ne connaissaient pas encore assez le lien pour le verrouiller d’un côté ou de l’autre. Et comme il ne lui laisserait pas le temps de réfléchir à cela en la gardant sur les nerfs, alors il ne fallait pas se poser de questions et continuer à lui garder les nerfs à vif.

Et finalement, elle craqua. Elle finit par en avoir assez. Elle était à bout et les effluves étaient délicieux !  Il s’en emplit les poumons et les yeux, avant de finalement s’approcher alors qu’elle abandonnait la tâche, doucement, il la prit dans ses bras et la cala contre lui, essuyant ses larmes de ses mains froides.

« Allez, allez, du calme,  c’est bon, c’est bon, tu n’y arrives pas, Shad, ce n’est pas grave, ça arrive à tout le monde de se trouver face à la limite de ses forces. Allez, calme-toi… »

Il alla même jusqu’à lui donner un baiser dans les cheveux. Puis, délicatement, il lui remit le couteau en main et lui tint la main, doucement mais fermement. Puis, il prit à nouveau la parole, toujours sur un ton doux qui ne présageait pour ceux qui le connaissaient de bien durs tourments.

« Allez, je vais t’aider et nous allons le faire tous les deux. »

Puis, tenant la main à la manière d’un artiste, un peintre qui apprend à son disciple le mouvement, il la guida et la força à tracer dans les chairs de son compagnon des sillons sanglants assez profonds pour permettre de détacher la peau ultérieurement. Doucement, il s’empara des doigts valides pour saisir la peau, et il la fit –très lentement -  retirer le morceau de peau, ne la relâchant, seulement la main, qu’une fois ce travail terminé. Puis il découpa la peau en lamelle. Et doucement, il les approcha de la bouche de la clébarde.

« Allez, mange, ça te fera du bien ! »

Il allait devenir le centre de son univers, la seule chose à laquelle se raccrocher.

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: jeudi 04 juillet 2013, 10:55:43 »
Oh, elle apprenait à obéir avec une soudaine diligence qui était agréable à voir et entendre ! Oh, ainsi elle voulait se montrer plus obéissante ! L’avenir semblait à la fois moins amusant et en même temps plus reposant ! Oui, paradoxal, comme d’habitude en ce qui la concernait… enfin bon, il fit un geste et on la détacha, il la vit opérer avec un bon coup de dent pour trancher tout le service trois pièce. Brave clébarde ! Il la regarda se tordre de douleur à même le sol, et ce, pour une partie d’anatomie qu’elle ne possédait  même pas ! IOl en éclata encore une fois de rire avant de la voir se relever et manger ce qu’elle devait. Brave animal, voilà qu’elle avait droit à un repas.

Il la regarda et lui sourit avant d’approcher et lui tapoter la tête., oui, un signe qui aurait pu passer pour affectueux si on ne connaissait pas Liam. Puis, doucement, il  glissa sa main pour lui saisir le bras et jouer avec ses doigts brisés, si il ne faisait rien d’ici quelques heures, l’opération pour qu’elle puisse un jour se servir de ses mains serait longue et très – ooooh oui, très -  douloureuse ! Oui, c’était le but ! Bien évidemment, quand à les réparer…. Bon, allez, il était généreux. Il lui offrit un grâce et, prenant sa main gauche, il répara convenablement son pouce, son index et son majeur. C’était sa récompense pour avoir bien obéi !

« Tu vois, quand tu veux tu sais très bien répondre aux exigences de ton maitre, ma petite clébarde…. Mais tu comprendras que si peu, cela ne me suffit pas pour faire payer une trahison ! D’ailleurs, j’ai une bonne question pour toi ! ça fait quoi de perdre un organe que tu n’as jamais eu ? Je troucve cette idée particulièrement fascinante ! »

Il sourit lui palpa l’entrecuisse.

« Peut être que je devrai t’exciser pour que tuy te rappelle de cette expérience métaphysique troublante en fascinante, tu ne penses pas ? Comme ça tu serais marquée définitivement en la matière. Un petit souvenir en plus ton oreille ! «

Il éclata de rire avant de finalement sortir de sa ceinture une petite pochette en cuir qui contenait des aiguilles d’argent longues d’une quinzaine de centimètres chacune ! Il sourit et lui tendit la pochette, en en prélevant juste deux pour pouvoir lui permettre de  faire ce qu’il avait prévu. Il lui attrapa la lèvre et perça un trou au travers avec l’aiguille, la laissant sur place le temps de prendre dans sa bourse un petit anneau doré qu’il passa dans le trou à la place de l’aiguille. L’anneau était juste de la bonne taille pour être contre la lèvre et la marquer légèrement, ou plutôt la blesser :  il s’y enfonçait un peu, asseaz pour tirer sur la plaie.

« Si tu regarde l’anneau tu verras qu’il était doré, en gros, puisque tu aimes tant que ça baiser avec des animaux, tu seras avec les putains du domaine, en libre-service pour les gardes. Considère ça comme une récompense venant de  ma part parce que tu nous a conduis là où ils se trouvaient…. Brave clébarde ! »

Il lui tapota la tête, comme à un chien avant de la gratter briècvement derrière les oreilles.

« Bon, avec ces aiguilles, tu vas  lui tetirer les articulations des genoux et des coudes. Puis, avec le couteau, tu le dépècera sans le tuer ! »

Nouveau rire mauvais.

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: mercredi 03 juillet 2013, 22:35:08 »
Ça allait commencer, oui, après tout, le caméléon lui avait parlé de choses drôlement amusantes, comme le fait qu’elle avait copulé avec une de ces aberrations ! Oh oui, ça allait être drôlement amusant. Il avait deux sujets à supplicier !  Même si, reconnaissons-le, le cas de la clébarde était un peu plus délicat : elle devait rester entière  pour être restituée à sa maitresse dans un état – physique – décent.

Il n’était pas ignare au point de ne jamais avoir ente,ndu parlé du lien de meute et comptait biene n profiter un maximum, un moyen de torture sans séquelle, sans la moindre trace d’ichor à l’horizon ! Héhéhé, ça serait amusant à tenter, non ? C’était comme s’il infligeait la douleur, mais uniquement dans la tête de la clébarde…

Le caméléon dispensait son venin dans son oreille sur le trajet du retour au camp de base. Le plaisir allait débuer. Oui, pour lui, il s’agissait de plaisir !  Il sourit et regarda la clébarde pendant qu’on l’attachait à l’arbre et regardait le loup garou, attaché en face d’elle par des liens en argent, comme si cette idée avait été prévue, en fait, il voulait jouer avec un spécimen, aussi, il avait apporté de quoi l’entraver. Héhéhé, tout allait pouvoir commencer !  Et quel commencement !  Ce serait magnifique. Il attendit que les deux soient dans incapacité de bouger et il lui dit :

« Alors, bien installée ? Cela te rappelle-t-il des souvenirs, clébarde ? »

Il éclata d’un raire malsain avant de s’approcher d’elle avec une lame et fit glisser le métal froid sur son ventre avant de remonter cet instrument de forme phallique (regardez les instruments de guerre de l’homme :  tous ou presque évoquent un phallus, à commencer par les épée et les poignards ! ).

« Qu’est-ce que je devrai faire pour te punir ? Te mutiler ? Te blesser ? Qui sait…. »

Il laissa courir la pointe sur le corps de la jeune femme sans la blesser avant de saisir un mamelon et tirer pour venir poser le couteau contre sa poitrine, comme s’il s’apprêtait à lui couper cette infime partie de son anatomie à raz du sein, un sourire particulièrement cruel sur les lèvres.

« Je devrai peut-être t’ôter ça, puis l’autre , non ? Après tout, si tu n’es qu’un animal qui copule avec d’autres animaux, ta preau ne vaut absolument rien.. »

Il se contenta de tracer un sillon sanguinolent -  il avait à peine entaillé, sous son mamelon et relâcha celui-ci. Puis il approccha la lame du visage de la jeune Ookami.

« Sinon je pourrais te couper la langue, juste pour le plaisir de savoir que tu ne me trahiras pas par la parole ! »

Il explosa de rire avant de finalement lui tracer un sillon juste sous l’œil, qu’elle bouge et elle perdrait celui-ci… Finalement il s’écarta et la fixa droit dans les yeux. Il avait eu son idée en tête dès le début, il voulait juste lui fa   ire un peu peur avant d’en venir au fait. Puis, finalement, il enfonça doucement le couteau dans sa cuisse, assez loin de l’artère fémorale pour qu’elle n’en meurt pas, et posant les de chaque côté de l’arme, il régénéra les tiussus, emprisonnant la lame dans ses chairs avec un éclat de de rire

« Ecoute moi bien, je réduirai ta punition si tu accomplies avec diligence et sans rechigner la série de tâche que je vais te confier. Voici la première. Châtrer ton mâle avec les dents…. Dents lupines ou dents de clébardes, à toi de voir ! Tant que tu manges ce que tu lui auras arraché… »

Il retira la lame de la cuisse de la jeune femme, ouvrant à nouveau une plaie qui avait cicatrisé, puis, il lui traça une estafilade juste en dessous du plexus solaire. Il éclata de rire, un rire qui n’avait rien d’humain si ce n’est une sorte de folie sous-jacente ;, rire qu’il ne cessa que pour finir ses propos.

« Si tu refuses, je te ferai une autre entaille, et ainsi de suite jusqu’à ce que tu acceptes. Tu as dix secondes de réflexion avant la prochaine estafilade ! Quand tout ton abdomen sera quadrillé à force d’estafilades, j’arracherai ta peau, lambeau par lambeau, puis je passerai à une autre zone de ton corps… dix… neuf… huit… sept… six… cinq… quatre… trois… deux… un…. Verdict ? »

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Les terres sauvages / Re : Un sauveur ? Je ne crois pas ! [Pv Liam]
« le: mercredi 03 juillet 2013, 18:26:51 »
Apparemment les loups comprirent. Car certains courbèrent l’échine alors que ses propres hommes se remettaient à tirer à l’arbalète pour abattre ceux qui luttaient et même ceux qui ne luttaient pas ! Il y avait de quoi sourire et de quoi rire, même ! Tant de mort inutile !  Voilà qui le ravissait, un bon petit massacre faisait du bien. A la réponse de la clébarde, Liam fronça les sourcils. Il semblait étonné plus que contrarié.

« Oh, tiens, on a changé de camp ma petite clébarde ? Comme c’est mignon…. »

Il les regardait tomber comme des mouches mais ne voyaient pas l’alpha alors qu’on lui apportait son clébard. Il regarda la jeune femme qui était tirée et même carrément trainée vers lui. Il la regarda d’un œil mauvais et lui caressa la joue avant de lui susurrer ce que d’autres auraient pu penser pour des mots doux. Mais non, juste des promesses.

« Tu sais ce que je ne supporte pas ? La trahison. Oui, je ne trahis jamais mes paroles, ou mes allégeances. Mais tu payerai cet opportunisme ! »

Il lui enfonça ses onflmes dans la joue jusqu’à faire perler le sang, la griffant bien comme il fallait tout du long. Une jolie balafre qu’il ferait en sorte de garder ouverte tant qu’il en aurait envie. Puis il la saisit par les cheveux ety la souleva du sol pour la gifler.

Il y eut un hurlement alors qu’un énorme homme loup, à mi-chemin entre les deux se jeta sur lui. On entendit un claquement sec et un carreau lui travers l’épaule, entrant comme dans du beurre. Pas de quoi le tuer, juste de quoi le ralentir, volontairement.

Liam lâcha la clébarde et asséna ses deux poings sur les tempes de l’animal qui s’effondra en couinant. Il regarda la bête. Ui avait le regard un peu vitreux.

« Ramenez cette chose au camp de base, on va s’amuser. – il se retourna vers l’Ookami – toi, tu vas connaitre la raison pour laquelle on ne me trahit pas ! »

Il lui  saisit le poignet et le descendit jusqu’aux doigts qu’il brisa un à un, le reste de la nuit serait longue ! Il la laissa entre les mains de deux gardes. Et commença à sortir de la grotte. Il sourit et récupéra le louveteau traumatisé pour le donner à un garde. Faute d’avoir vu son souhait exaucé, il allait jouer. Il chargea l’arbalète, visa et ordonna :

« Pull ! »

On lança le louveteau et le carreau l’atteignit en pleine tête., le clouant à une paroi.

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