Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Hermès / Agnès

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Hermès / Agnès

Pages: [1] 2
1
Lui donner carte blanche pour le laisser faire tout et n'importe quoi ? S'il savait que c'était là tout ce que mon corps réclamait, avec une ardeur silencieuse, mais bien réelle... Et puis, c'était tout de même la moindre des choses qu'il me soumette à ses caprices, dans la mesure où il était mon maître, et que j'étais sa propriété. N'est-ce pas ? J'étais devenue en l'espace de quelques instants son jouet personnel, et le comble était que j'adorais ça...

Il me menaça de me vendre, ce qui ne me fit pas peur, au contraire. L'idée était plaisante en soi, de me faire passer de main en main, comme un banal outil que l'on prête ou qu'on loue. J'avais l'intime sensation que je n'existais que pour ça, pour être cet objet que l'on soumet à ses moindres désirs... Rien que d'y penser, je me sentais tellement bien, à la limite entre l'excitation et l'euphorie...

Mais je doutais un peu qu'il veuille effectivement se débarrasser de moi comme ça, surtout après lui avoir montré que je serais toujours aussi saine quelque soit les plans qu'il avait pour moi... Oui, il pouvait faire absolument ce qu'il voulait de moi, et rien ne me ferais plus plaisir que de me plier à ses exigences, et qui sait ce qu'il aurait envie de me faire... J'avais vraiment hâte de le découvrir, j'étais sûre que je ne le regretterais pas.

À moins que je ne te gardes ici, comme jouet… Je suis sûr que tu aimerais ça, tu as l’air d’adorer te soumettre à l’autorité d’un meneur, j’ai raison? Réponds moi franchement, et je te ferai ce qui te fera envie…

Je sentais une vague d'excitation faire vibrer mon corps lorsqu'il m'affirma être en mesure de m'offrir ce qui me plaisait... D'après ce qu'il me dit, il semblerait qu'il ai parfaitement compris mes impressions à ce sujet... J'adorais cette sensation de savoir que mon corps et mes actes étaient entre les mains fermes et autoritaires d'une personne supérieure, dominatrice... Que j'étais soumise à la volonté du plus fort, à sa volonté. Ça me donnait follement envie...

Je le regardais droit dans les yeux, une expression tendre et docile sur le visage, qu'il me maintenait fermement. Il tenait à ce que je le lui affirme ? Que je lui montre explicitement l'effet que ça me faisait ? Très bien... Je pris en main sa verge qui semblait se dresser de plus en plus, je la sentais encore délicieusement malléable entre mes doigts. Je lui susurrais alors, d'une voix douce et soumise, un peu comme si j'avais été surprise à pécher.

Oui, c'est exact, vous avez raison à ce sujet... J'aime me sentir soumise, je dirais même que j'adore ça, et...

Mes joues prirent une teinte rosée, comme honteusement gênée par ce que je venais d'avouer. Ne sachant que faire, mes mains entamèrent un lent massage sur le membre viril de mon maître, que je caressais et pressait avec douceur, sur toute sa longueur... Je baissais un peu la tête, ma chevelure rouse dissimulant légèrement mon visage, maintenant. Je n'osais pas lui avouer que j'adorerais qu'il me brutalise, ni qu'il me violente, qu'il se laisse aller sans aucune retenue sur mon corps qui lui était offert...

Je vous serais entièrement dévouée, je me plierais à la moindre de vos volontés... Je suis toute à vous, faite de moi ce que vous voulez...

2
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 04 novembre 2011, 20:59:59 »
Maitresse Isis... c'est un véritable plaisir de lire ses écrits, que je trouve splendide, tant par rapport à la fluidité du récit que par rapport à l’atmosphère dans laquelle ils parviennent à nous plonger, avec facilité et élégance... un régal.

Aussi, j'aime beaucoup lire les sujets d'Ares, quand j'en ai l'occasion... pour sensiblement les même raisons. ^^



Et ... je repose la même question. :p
Citer
Un-e joueur-se / un personnage dont vous aimez suivre les RP ?

3
Par des gestes tendres, je pressais langoureusement la virilité de mon maitre, laissant parfois mes doigts glisser légèrement dessus, la caresser, l'effleurer. Un petit sourire en coin était venu s'afficher sur ses lèvres, et ses mains caressaient mes joues, douce, chaude, que la situation faisait légèrement rougir. Il appréciait mon traitement, et me le montrait, j'étais aux anges, je me sentais si bien... Mais je me gardais de le lui montrer, affichant une expression contrainte et quelque peu attristée, celle d'une femme soumise qui a conscience que le moindre faux pas lui attirerait des ennuis bien pire encore. Il semblait serein, et la simple idée d’éveiller son courroux me paraissait... jouissive, juste pour le voir s'emporter, qu'il ai envie de passez ses nerfs sur moi, c'était si tentant... mais non, il fallait que je me retienne, je devais éviter de trop me laisser aller. La priorité était aux désirs de mon maitre...

A genoux devant lui, positionnée entre ses jambes, j'aurais fait n'importe quoi pour lui faire plaisir... Et la légère exaspération, à peine perceptible mais bien réelle, avec laquelle il libéra son membre me tracassait un peu. M'étais-je montrée trop peu entreprenante à son gout ? N'avais-je pas assez stimulé ses sens ? Était-il mécontent de moi ? Autant de question qui ne cessèrent de m'assaillir, j'étais comme obsédée par l'idée de satisfaire au mieux mon maitre, et un éventuel échec me semblait plus cruel que n'importe quelle torture. Ma dépendance à l'asservissement entravait ma sagesse et perturbait mon jugement, ce que je remarquais avec un certain regret. C'était un état contre lequel je ne pouvais pas grand chose, dans lequel je sentais mon gout à la soumission s'emparer de ma raison, légèrement, et seul un moment de calme et de tranquillité pouvais me faire émerger.

A la vue de son membre à peine tendu, sur lequel mes caresses ne semblaient pas avoir eu un quelconque effet, je me dis que je devrais surement donner le meilleur de moi même pour espérer satisfaire mon maitre... mais il ne m'en laissa pas l'occasion. M'agrippant avec fermeté, la gorge étroitement serrée, il me projeta en arrière, sans que son regard froid et autoritaire ne cesse de me fixer. J'adorais ça, me faire balloter comme une poupée de chiffon que l'on agite au gré de nos envies... Et ses yeux ! D'une rigueur implacable, qui semblait m'hypnotiser et me pousser à lui être soumise comme jamais...

Je... je suis désolée... maitre...

C'était la seule chose qui me venait à l'esprit, m'excuser, pour la simple et bonne raison que s'il m'avait projeté en arrière, c'était que j'avais fait quelque chose de travers, non ?Je me relevai doucement, évitant les gestes brusques. La tête baissée, aussi honteuse et soumise que je pouvais l’être, je n'osais pas croiser son regard, préférant fixer le sol à mes pieds.

Il voulait que je lui montre qu'il ne s'était pas trompée en m'achetant ? Je ne comprenais pas vraiment la remarque qu'il venait de lancer... Enfin, je me doutais que c'était de mes éventuelles qualités qu'il parlait, mais, je ne voyais pas trop quoi faire... J'aurais pu me prosterner devant lui, montrant ainsi à quel point je lui serait soumise et fidèle, ou bien lui montrer mes talents de danseuse, ôtant mes vêtements au rythme de mes déhanchements sensuels... Mais après réflexion, cela me semblait bien maigre, comme activité. Et j'avais eu une meilleur idée...

La plupart des esclavagistes prenaient grand soin de leurs marchandises, non pas par charité mais parce qu'à la moindre blessure, elles perdaient beaucoup de leur valeur. C'était quelque chose de très important, pour ces gens avide de profits. Et mon maitre serait très satisfait d'apprendre que je me débrouillais bien dans ce domaine, peut être ? Qui ne tente rien n'a rien, après tout...

Je me rassis par terre et commença à parcourir un peu la pièce, marchant à quatre pattes, en quête d'un objet qui pouvait faire l'affaire. Je ne tardai pas à trouver mon bonheur, qui gisait au sol, un objet assez tranchant pour mener à bien ce que je comptais entreprendre. Après avoir bien mis en évidence aux yeux de mon maitre la paume de ma main, je fis une profonde entaille dessus. Alors que le sang ruisselait de cette plaie, souillant l'objet, gouttant au sol, et formant même une petite flaque rouge vif, j'usais de mes pouvoirs pour refermer la plaie, aussi facilement que si je clignais des yeux, et éponger le sang qui restait sur ma paume.

Je ne sais pas comment c'est possible... mais à chaque fois que je me blesse, j'ai l'impression que mon corps se soigne tout seul...

Je m'efforçais de paraitre un peu hésitante, comme si je parlais d'un sujet que j'ignorais. Qu'il ai conscience de mon pouvoir était suffisant, je ne voulais pas qu'il sache que je le maitrisais complétement, c'était le genre de chose qui attirait indéniablement les soupçons...

4
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: lundi 31 octobre 2011, 23:00:27 »
Pas de déguisement, pour moi. ;)

Ce que vous aimez faire/voir pour vous remonter le moral ?

5
A l'entente de mon prénom, l'homme au long cheveux blond s'avança de moi, suffisamment proche pour que je puisse distinguer ses yeux derrière le reflet de ses lunettes. Un regard dans lequel je m'étais perdue, aussi glacial et dangereux que le blizzard... Duquel je fus tirée lorsqu'il m'annonça vouloir s'amuser avec moi, pour ensuite me vendre en tant qu'esclave. Une proposition des plus plaisantes, qui me fit sourire intérieurement. Ce sera avec grand plaisir que je m'y conformerais...

On dirait bien que tu as eut une mauvaise nuit… Elle ne s’est probablement pas passé comme tu te l’imaginais, mais c’est ça Nexus, toutes les jolies filles mal protégées finissent en esclave, surtout comme jouet sexuel.

Je laissais échapper un sanglot incontrôlé (bien évidemment simulé) comme pour donner du crédit à ses propos. Je ne connaissais pas beaucoup la vie ici, sur Terra, mais je ne doutais pas de ses paroles, le fait que cette homme m'avait vendue sans manifester la moindre hésitation en était la preuve. Je me doutais que pour beaucoup de personne, cela pouvait faire basculer leur vie dans un cauchemar sans fin... mais pas pour moi, je ne m'en plaignais pas, et je dirais même que j'adorais ça...

Je me sentis tirée de force par le bras, traînée dans des escaliers où je failli perdre l'équilibre. Il me tenait fermement le bras, sans même prendre la peine de me lancer un regard, sans même me dire un mot. Je n'étais qu'une esclave, à ses yeux... Et la manière dont il me traitait me plongeait dans une douce euphorie. Nous arrivions enfin à destination, une salle à l'atmosphère sombre et inquiétante, meublée avec le strict nécessaire. Deux grandes statues se tenait de part et d'autre d'un fauteuil, au visage qui me semblait étrangement familier... Inconsciemment, je murmurais.

Charon...

Charon ! Ils représentaient Charon, passeur du Styx et Dieu de la mort ! Prise d'une peur panique, je ne me controlais plus, mes genoux fléchirent, me retrouvant alors à genoux face au siège et aux statues. J'étais très étonnée de savoir qu'un mortel lui vouait un culte au point d'en avoir des statues... Et encore plus étonnée d'être tombée sur lui ! C'était l'un des rares dieux à me faire aussi peur, pour le comprendre il aurait fallut le côtoyer assez pour le connaître autant que moi, et... et... c'était quelque chose dont je me serais bien passée...

Si tu ne veux pas d’ennuis, viens ici et occupes toi de moi.

La voix autoritaire de mon maître me tira de mes pensées. Je n'avais même pas remarqué qu'il s'était installé sur le fauteuil. L'avais-je fait attendre ? Peut être pas, mais je ne le savais pas... Quelle sotte je faisais !

Oui, monsieur... maître... ?

Ma voix était hésitante, comme si je doutais de par quelle bout le prendre. En fait, je ne savais ni son nom, ni comment il souhaitait que je l'appelle... Mais cela ne changeait rien au fait qu'il m'avait donné un ordre. Toujours à genoux, je m'avançais lentement en sa direction, soucieuse de pleinement le satisfaire. À quatre pattes devant lui, je levais mes yeux dans sa direction, lui adressant un regard où l'on pouvait percevoir ma dévotion. J'en devenais folle, c'était tellement bon de se sentir soumise... Mes doigts se posèrent sur ses cuisses, que je frottais doucement, je montais avec malice, jusqu'à couvrir sa virilité avec la paume de main, par dessus le tissu de son pantalon. La virilité de mon nouveau maître...

6
L'homme semblait beaucoup apprécier de me voir ainsi, soumise et terrifiée, il se lécha même ouvertement les lèvres devant moi. Je fus ensuite tirée de force, jusqu'à son appartement, un petit taudis miteux, avec un lit bon marché sur lequel il me jeta sans ménagement. Comme un simple jouet avec lequel il allait s'amuser, et ça m'excitais follement de me faire traiter comme tel... Il dégaina alors sa virilité sous mes yeux, avide de m'utiliser pour soulager ses désirs, mon excitation grimpa encore d'un cran. Ho oui, je ferais tout pour le soulager... Alors que je m’apprêtais à m'emparer de son membre durci d'excitation, à lui offrir les sensations qu'il désirait, mon ravisseur le rangea soudainement, apparemment troublé par ses pensées. Ce que ça pouvait être frustrant...

Il me prit de force, et m'emmena dehors, il avait apparemment de meilleurs projets pour moi. Oh, vraiment ? J'avais hâte de le découvrir, ça me donnait sacrement envie... Je me sentais frustrée que l'on n'ai pas pu continué nos petits jeux, dans l'intimité de sa chambre, mais qu'importe, les désirs de cet homme passait avant les miens. Je me demandais bien où est-ce qu'il comptait m'emmener, et ce qu'il comptait faire de moi...

Je fut amener à une grande maison, d'apparence très luxueuse, et nous fumes accueilli par des gardes à l'entrée. Qu'est ce que c'était que cet endroit ? Si c'était aussi surveillé, c'était surement que quelqu'un de dangereux ou de recherché y vivait. Ce genre d'homme avaient généralement des airs autoritaire, dominateur, voir tyrannique, c'était souvent des gens puissants... et j'adorais servir les gens puissants, ils avaient le don de me rendre folle...

Les vigiles nous menèrent à l’intérieur, et après une longue attente un homme en smoking bleu vint enfin nous accueillir. Je me tenais en retrait, pendant que les deux hommes discutaient, mais je pouvais tout de même entendre quelques bribes leur conversation. Le mot "esclave" était au centre de leur attention, je l’entendais à plusieurs reprises. L'homme en bleu me demanda de tourner, cherchant sans doute à me détailler un peu mieux, et je m’exécutais sans rechigner. Cette idée de me faire vendre, comme un objet qui passe de main en main, était des plus excitantes, et l'aura d'autorité qui émanait de lui n'était pas pour me calmer, au contraire...

La transaction se déroula finalement sans encombre, et l'homme qui m'avait amené ici s'en alla avec une bourse pleine d'or. Il venait de faire une sacrée affaire, tout de même, trouver une fille dans la rue et en tirer autant d'argent... J'entendis alors mon "propriétaire" s'adresser à moi.

Quel est ton nom?

Je-je m'appelle A...

Je marquais un temps de pause, hésitante. Je n'allais tout de meme pas prendre le risque de révéler mon identité à cet homme, ce serait une catastrophe s'il apprenait mon statut de déesse, une catastrophe pour moi, mon culte, et l'honneur de tout les Olympiens se ferait bafouer à la suite... Non, je ne pouvais pas lui donner mon nom véritable.

Amandine, je m'appelle Amandine ... Monsieur.

Mes yeux parcouraient l'ensemble de la pièce, appréciant du regard le luxe qui s'y trouvait, avant de me rendre compte qu'il me regardait avec intensité. Penaude, je baissais la tête, fixant timidement le sol marbré. D'une voix légèrement tremblante, où l'on pouvait percevoir l'angoisse, je lui demandais.

Que comptez-vous faire de moi ? ... Monsieur.

7
L'auberge du Coucher de Lune / Re : Déviance d'une déesse ... [PV]
« le: mardi 25 octobre 2011, 17:26:17 »
Je fis demi-tour et me dirigeais en direction du comptoir, remplissant une nouvelle chope de bière pour l'homme insatisfait. Je gardais toujours mes vêtements trempée sur moi, comme une exhibition de mon humiliation. La sensation de honte et d'asservissement qui me submergeait était tout simplement délicieuse... Je revenais ensuite vers lui, lui offrir le breuvage demandé, tout les yeux se braquèrent sur nous, curieux de voir sa prochaine réaction. Je dois avouer que je l'étais un peu, moi aussi, et j'attendais sagement qu'il boive ce que je lui ai apporté, le visage baissé et les mains croisés au niveau de mon entrejambe, dans une position de servante soumise que j'adorais prendre...

Au moment ou ses lèvres se posèrent sur le verre, il fut pris de violent spasme musculaire et éclaboussa toute les personnes autour de lui, avant de tomber raide sur la table, les yeux ouverts, vide de toute trace de vie. Je le regardais, horrifiée et très étonnée, sentant tout les regards se poser bien vite sur moi. Je n'y étais pour rien, ce n'était pas moi qui l'avais tué ! Et le pire, c'était que je ne pouvais même pas le sauver... Mais ma culpabilité n'était apparemment plus à prouver, d'après l'avis de la foule, qui criait bien fort que j'étais la meurtrière. J'étais profondément attristée, et ne trouvais pas le courage d'empêcher la garde de me menotter. J'aurais très facilement put m'enfuir, j'en avais largement les moyens, l'avantage d'être une déesse, mais je n'y songeais pas pour l'instant. Et puis c'était tellement bon de se sentir attachée, prisonnière, impuissante, c'est incroyable à quelle point j'adorais ça...

Je me retrouvais enfermée, seule dans une cellule, attendant le lendemain pour savoir ce qu'ils feraient de moi. Apparemment, je risquais la peine de mort... mais je n'avais pas l'intention de les laisser essayer, de toute façon. À genoux sur le sol froid, menottée, je me sentais un peu comme une animale en cage, et cette sensation me plaisait énormément... Je regardais autour de moi, patiente. Les deux gardes qui me surveillaient discutaient sans même m'accorder un regard. Nous étions seulement tout les trois, je n'avais rien d'autres à faire que d'attendre, attendre que l'occasion de fuire se présente. J'étais sereine, et pas du tout pressée, je savais que je pourrais aisément m'évader... Peut-être bien que le destin me réservait une bonne surprise, après tout ?

8
L'Olympe semblait bien calme, ce soir... Les divinités helléniques avaient presque toutes quittés leurs quartiers, batifolant à leur gré. Zeus, fidèle à lui même, était dans les lits d'une de ses amantes d'un soir. Héra, épouse de Zeus et reine des autres dieux, avait de nouveau fugué sur Terre, fuyant .. à vrai dire je ne sais pas ce qu'elle fuyait, je n'ai jamais vraiment compris cette déesse. Arès, quand à lui, se trouvait dans l'un de ses temples, sans doute à dresser une nouvelle de ses prêtresses. L'Olympe paraissait bien vide, sans eux... Me sentant un peu seule, et n'ayant plus grand chose qui me retenait là, je me décidais à prendre un petit moment pour prendre l'air. Direction : les rues de Terra.

La nuit était fraiche, mais pas assez pour m’empêcher de porter une robe légère, aux bretelles fines et au décolleté discret. Rouge, la robe, dans les même tons de couleur que ma chevelure... Je me promenais tranquillement dans les rues, je prenais mon temps, regardais autour de moi, souriais aux gens. L'ennui pointait le bout de son nez à chacun de mes pas, mais je n'y accordais pas beaucoup d'attention. Je savais à quel point le destin pouvait être capricieux, c'était dans l'ordre des chose. Oui, je m’ennuyais un peu, même ici. Jusqu'à ce que ma route croise celle de cet homme...

De long cheveux, lisses et noirs, aussi obscure que la nuit, qu'aucun reflet ne venait éclaircir. Ils masquaient à moitié ses yeux, ces deux prunelles froides, impérieuses, qui me fixaient sans scrupules. Seuls le doux sifflements du vent se faisait entendre, mais au fond de moi j'avais l'impression qu'ils me disaient "Obéis-moi"... Lorsque je me rendis compte que je le dévisageais moi aussi, je me mis à rougir, et baissa aussitôt mon regard, gênée par ma propre audace. Nous avancions en sens inverse, et lorsque nous nous croisâmes, je sentis son épaule percuter durement la mienne, me faisant perdre l'équilibre. Je me retrouvais à quatre pattes, près de ses pieds, ma main massait mon épaule, ça me faisait un peu mal, mais j'adorais ça... Une douce chaleur envahissait mon corps, une sensation accru par ma position qui me faisait sentir soumise, c'était enivrant, et si agréable...

Je-je suis désolée... je ne vous avais pas vu... monsieur...

N'était-ce pas ma faute, si je n'avais pas fait suffisamment attention pour pouvoir l'éviter ? Je n'y pensais plus, à vrai dire, je me sentais tellement bien que j'aurais pu dire n'importe quoi... D'une main ferme et autoritaire, mes cheveux se firent agripper, et il me releva sans problème, avant de planter son regard glacial dans mes yeux bleues doux et docile. Je le laissais me dominer, et j'aimais beaucoup ça... Je l'entendis me dire qu'il allait devoir me faire payer ce que j'avais fait, mon sang se mit alors à bouillonner en moi, je sentais que j'allais passer un excellent moment en sa compagnie... Voyant que je ne lui offrais pas de résistance, il me dit qu'il voulait m'emmener chez lui, profiter de moi, et jouer à des jeux dont la seule évocation me faisait pâlir d'envie. Il me disait avec ironie que j'allais adorer, s'il savait à quel point j'étais impatiente... A en croire le sourire malsain qui étirait ses lèvres, il aimait me voir abandonner toute volonté. J'en profitais alors pour prendre un air un peu abattu, des larmes faisaient étinceler mes yeux, je me montrais aussi docile qu'un animal dressé... Cette réflexion me fit frissonner d'envie.

Oui... tout ce que vous voudrez...

D'une voix devenue tremblotante, comme brisée par l'émotion, j'ajoutai pour la forme.

Mais... s'il vous plait, ne me faite pas de mal...

Je n'en pensais pas un mot. Qu'il me domine et me brutalise, c'était ce que je désirais ardemment...

9
L'auberge du Coucher de Lune / Déviance d'une déesse ... [PV]
« le: lundi 24 octobre 2011, 18:11:40 »
L'ambiance de la taverne était conviviale, les gens riaient gaiement, discutaient entre eux, dans une douce et chaleureuse atmosphère qui sentaient bon la joie de vivre. Et l'alcool, aussi. Une voix virile s'éleva derriere moi, plus forte que les autres.

Hey ma belle, apporte moi une bonne bière !

Après m’être retournée et avoir vu à qui appartenait cette voix, je lui adressais un rayonnant sourire avant de m'en aller remplir une pleine chope de bière.

Voilà voilà, j'arrive !

Je ne me suis jamais sentie aussi bien que dans ces moments là, je baignais dans un océan de sensations merveilleuses, j'adorais être au service des gens. Me soumettre à leurs envies me faisait un bien fou ...

Vous vous demandez sans doute comment moi, une déesse, en soit venu à servir des assoiffés dans une taverne ? Très bien, laissez moi vous expliquer ... Il m'arrivait parfois de quitter les somptueuses résidences de l'Olympe pour me balader parmi les mortels, sur le plan de Terra. Changer d'air, comme on dit. En me promenant dans les rues, dans mon apparence naturelle d'Agnès, je passai devant l'entrée de cette taverne, dont l'ambiance 'bonne enfant' attira ma curiosité. Après avoir discrètement jeté un oeil à l'endroit, je sentis en moi une impressionnante bouffée de chaleur, qui envahit mon corps à la vue des serveuses qui slalomait entre les tables, soucieuses de satisfaire les clients et d'étancher leurs soifs. Je m'imaginais à leurs places, je m'imaginais les servir comme je servais parfois les Dieux olympiens eux-même, et ça me donnait follement envie ... Ni vue ni connue, je fis apparaitre une tenue de maid adaptée, et me voilà déjà sur la piste, m'emparant d'un plateau et me faufilant entre les tables, à la disposition de ces consommateurs ...

Un sourire aux lèvres, j'apportais la bière que cet homme exigeait quelques instants plus tôt. Il était en compagnie de deux autres personnes à la table, qui me regardaient d'un air amusé. Je sentis mes joues s'échauffer et prendre une teinte légèrement écarlate, une sensation qui s'estompa assez vite. Alors que je me retournais, j'entendis l'homme boire une gorgée et la recraché aussitôt. Surprise, je fis à nouveau volte face, curieuse de savoir ce qu'il se passait, et l'homme en profita pour me blâmer vivement.

T'appelle ça d'la bière !? C'est pire que d'la pisse de terranide ton truc !

Les discussions cessèrent d'un coup, je sentis tout les regards des gens se poser sur nous. Il semblait furieux, et avant que je n'ai eu le temps de m'exprimer, il me balança à la figure le reste de sa boisson alcoolisée. Choquée, je restais immobile, muette, fixant honteusement le sol, pendant que des murmures de stupeurs troublaient le silence de la pièce, bientôt rejoint par les rires goguenards de ces hommes malveillants. J'étais toute trempée, je me sentais humiliée, sous les regards stupéfaits, moqueurs, ou peinés de la foule, pendant qu'ils riaient de moi ... mais si c'était à refaire, je le referais sans hésiter. Je me sentais aussi soumise et bafouée qu'une esclave, et pour être franche, c'était incroyablement enivrant ! J'adorais ressentir cette impression que je n'étais qu'un objet sans importance, un objet sur lequel on pouvait se défouler librement, c'était tellement ... tellement bon ! Je ne quittais pas des yeux le sol, soumise, mes pommettes prirent une chaude teinte écarlate. Encore un peu troublée, je marmonnais timidement.

Oui, je ... je vais vous en apporter un autre ... monsieur ...

10
Avec plaisir. :)





Note : je ne prendrais pas de rp supplémentaires, pour le moment.

11
*depoussière le topic à grand coup de lingette Swiffer*

Quelqu'un veut jouer ? :)

12
Prélude / Re : Agnès, où la deesse qui a mal tourné - { Validé/e }
« le: dimanche 18 septembre 2011, 21:58:53 »
Merci Ariel la petite sirène ;D

13
Prélude / Re : Agnès, où la deesse qui a mal tourné - { Validé/e }
« le: dimanche 18 septembre 2011, 21:33:02 »
Merci ! =)


Je tâcherais de leur faire passer le message concernant vos soucis, Vlad.
Peut être même pourrais-je vous livrer personnellement, si les affaires ne me retiennent pas ailleurs :-*

14
Prélude / Re : Agnès, où la deesse qui a mal tourné - { Validé/e }
« le: dimanche 18 septembre 2011, 19:10:54 »
Tout le plaisir est pour moi, Sentinel ^^


Oh, Ares ! *0*
M-merci ...

15
Prélude / Re : Agnès, où la deesse qui a mal tourné - { Validé/e }
« le: dimanche 18 septembre 2011, 18:38:25 »
Ah, oui, en effet ^^'
A croire que ce sont ces pouvoirs qui provoquent une certaine déchéance ???
 ;D

Merci ! =D


Hmmm ...
*augmente légèrement le volume de sa poitrine pour faire plaisir à Sentinel* ^^

Pages: [1] 2