Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Elisabeth Orpah

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Un peu de distraction... Avec Monsieur Hiro.
« le: samedi 04 juin 2011, 22:18:26 »
« Il y a quelques jours, j'ai traversé un.. Portail ? Oui, je crois qu'on peut appeler ça comme ça. De Nexus, je me suis retrouvée... Dans une rue étrangement familière. Comme si j'étais déjà venue. Et à vrai dire... Je crois que c'est la ville où j'ai été alors que je n'avais que cinq ans. En fronçant les sourcils, je suis allée à la mairie. Oui, c'est comme cela qu'ils appellent les administrations. Une rapide recherche, et j'ai pu avoir l'adresse de la famille qui m'avait accueillie. Je m'y suis rendue, en empruntant un.. Taxi je crois. L'adresse était simple à trouver. Lorsque je me suis retrouvée devant la porte.. J'ai hésité. Un seul instant. Et puis j'ai sonné. Immédiatement, un domestique est venu. Très surpris, il m'a demandé si j'avais rendez-vous. Bien sûr que non. Le domestique voulu me fermer la porte au nez. Mais je ne lui ai pas laissé le choix, je suis entré sans rendez-vous, me glissant à travers l'ouverture. Il a eu beau protesté, j'ai parcour les couloirs, jusqu'à trouver le bureau. Le bureau où le « père » passait tout son temps. Je les aimais bien. Ils se sont occupés de moi alors que j'étais perdue, que je n'avais personne. Je comptais... Je ne sais pas. Leur expliquer peut-être pourquoi j'ai disparu. En traversant les couloirs, j'avais vu plusieurs photo de moi. Mais lorsque j'arrivais dans le bureau, je ne pu que me figer. Sur le mur en face de la porte, une photo grandeur nature était accrochée. Une photo de moi. ( A peu près de ce genre. xD )

J'ai cligné des yeux. A côté de la photo, il y avait plusieurs bougies, plusieurs bouquets de fleur. Mon « père » était en train de travailler à son bureau. Lorsque j'entrais, il resta sans voix un moment. Puis, se levant, il me sorti de ma torpeur. La première chose qu'il fit, ce fut de me toucher en tremblant, comme pour s'assurer que j'étais réelle. Et puis... Il ma giflée. Le geste m'a tellement surprise, que j'en suis restée interdite. Aussi vite qu'il m'avait giflée, il m'a prit dans ses bras. Il n'arrêtais pas de murmurer "Pourquoi est-tu partie ? Pourquoi ?". Je n'ai rien pu répondre. Je l'ai maladroitement enserré dans mes bras. Plus tard, c'est ma « mère » qui est venue. Lorsqu'ils furent réunis, passé le choc des retrouvailles, j'ai essayé de leur expliquer. Maladroitement. Au départ, ils ne m'ont pas cru. Mais lorsque j'ai demandé s'ils savaient comme j'avais atterri là, ils ont été incapable de me répondre. Ils ont fini par me croire. J'étais disposée à rester un peu. Ils m'ont pratiquement suppliée de ne pas repartir. Je n'avais pas le coeur de le leur refuser. Après tout, après deux ans de prison, j'étais contente de retrouver un foyer.

Et me voici, ce soir, à un gala où ils ont à tout prix voulu m'emmener. Je porte une longue robe noire, fendue à partir de la hanche. Le décolleté état croisé sur le devant. Il dévoilait une partie de ma poitrine, mais cachait l'essentiel. Les deux bretelles se rejoignaient sur ma nuque. J'avais le dos nu jusqu'aux reins. Cette robe m'avait été offerte la veille, après trois heures non-stop de « shopping » comme appelait cela ma « mère ». J'avais essayé de refuser. Mais quand j'ai vu la pair de chaussure avec... Mon coeur a dit oui, et ma raison s'est tue. Des sandales, aux talons compensés, avec de fines lanières sur le dessus. Et une lanière derrière le talon pour les faire tenir aux pieds. Deux bracelets d'or ornaient mes poignets. Mes deux boucles d'oreilles habituelles étaient accrochées à mes oreilles. Mes doigts sont vernis de noir. Mes cheveux sont retenus légèrement dans mon dos par une pince d'or, représentant un scorpion.

Un cocktail à la main, je parle avec ceux qui ont prit soin de moi durant cinq ans. J'avais bien fait de venir. Ici, tout respirait le luxe et la richesse. Sans que je ne le prévois, mon regard se posa sur un homme. Apparemment, il était très respecté. Et, alors que mes « parents » allèrent parler avec d'autre, je m'approchais en silence. Je profitais d'un moment où personne n'était à ses côtés pour m'y glisser.

"Ennuyeux à mourir par ici... Ne trouvez-vous pas ?"

Je bu une autre gorgée du cocktail en observant curieusement l'homme.
»

2
« L'inconvénient des chaussures à talons dans les rues de Nexus, dans les bas-fonds surtout. Je marche au hasard ce soir. J'ai aux pieds de splendides sandales romaines. Des talons -aiguille, comme d'habitude- de près de vingts centimètres de haut. J'atteinds le mètre quatre vingt avec. Les lanièrs remontent et emprisonnent mes mollets. Une jupe longue frotte contre mes chevilles, fendue depuis le haut de la cuisse, mais ne traîne pas au sol. Heureusement. Du lin couleur écru, de cette qualité, je m'en voudrais de la tâcher. Un simple bandeau du même tissu ensserre ma poitrine imposante, la fait ressortir, la met en valeur. La maintient. Je me promène fièrement. La tête haute, le menton volontaire. Mes yeux couleurs toile du crépuscule toisent les gens croisés avec mépris. Il n'y a pas de beauté en ces lieux. Rien que la misère, la désolation... Et de la violence. Mes yeux brillent de curiosité.

En m'approchant, je met ma main devant ma bouche, retenant un cri de surprise. Cet.. Individu... Qui se bat. Il a tant de... Grâce ? Pouvoir ? Charisme ? J'en sais rien. Mais le peu que j'en vois me fait irrémédiablement penser à Sekhmet. Il a le don de se battre. Spectaculaire. J'en frémis. Les yeux écarquillés, je suis le combat, attentive. A la fin, je tombe à genoux aux pieds. Les yeux brillants d'émotions, je me prosterne. Non que j'ai l'habitude de le faire. Mais j'ai un grand respect pour les Dieux. Aucune offense. Ils parlent, j'exécute. C'est simple.

Même si ce qu'ils ordonnent est complètement loufoque, osé ou inhabituel. De toutes façon, je ne serais pas facilement choquée. Normalement. Mais ça m'étonne de trouver un envoyé de la Déesse Lionne si loin de chez moi. Je prends la parole, respectueuse :

"Je vous prie d'accepter mes respects Ô envoyé divin de la Grande Déesse Sekhmet."

Je relève légèrement la tête pour observer l'homme. Mes yeux ne montèrent pas plus haut que son torse. Je ne voudrais pas lui faire un affront.
»

3
Les bas fonds / Fuite ou tourisme ? Avec Monsieur Mach Bonin.
« le: mercredi 01 juin 2011, 17:11:32 »
« La liberté. La vraie. L'unique. Celle que j'avais toujours connu depuis toute petite. Jusqu'à il y a quelques années. Enfermée dans cet établissement pénitencier, j'ai dû réfréner mes envies. Mais j'ai quand même marqué la prison de mon passage. Non plus en tant que Néféroubity (ou Akhbetnéférou pour les prêtres), mais avec une nouvelle identité. Je suis arrivée ici il y a un peu plus de deux ans. Je me suis faite à ce monde. De toutes manières, il faut attendre encore trois années avant de re-sauter dans le temps. J'ignore d'où me vient cette faculté. Doit-on la considérer comme un don ou comme une malédiction ? La première fois que ça m'est arrivé, j'avais cinq années. Je jouais dans la mare avec un singe lorsque j'ai sentit le besoin de fermer les yeux. En les rouvrant, après avoir senti d'étranges démangeaisons au creux de mon ventre, j'étais dans un tout autre endroit. Pleins de monstres de métaux qui allaient super vite, pleins de gens habillés bizarrement. Et les Dieux pleuraient. Ce devait être un gros chagrin. Le Nil aurait prit de l'ampleur. Mais je ne voyais nulle part le fleuve de vie. Partout où se posait mon regard, il n'y avait que de gigantesque maisons grises. Où était passé le sable ? Je n'en savais fichtrement rien. J'étais perdue. j'ai errer quelques temps dans la rue, affamée, jusqu'à ce qu'un couple me trouve et prenne soin de moi. Elisabeth qu'ils m'appelèrent. Elisabeth Orpah. Cinq ans passèrent. Je me languissais de mes parents. De ma soeur. De mes frères et demi-frères. Un jour que j'étais tranquillement en train de jouer avec un chat, je fermais les yeux à nouveau. Lorsque je les avais rouvert, j'étais de retour. Cinq ans avaient passé, on m'avais crue morte. Mais voilà, j'étais là. C'est à partir de ce moment que j'ai compris mon pouvoir. Tous les cinq ans, je pouvais voyager. Dans le temps. Et aujourd'hui, me r'voilà loin de chez moi. Loin de ce Prince Nubien si sexy. A cavaler pour échapper aux gardiens de l'ordre.

Je sors d'un magasin de chaussure. Une superbe pair d'escarpins à la main. Une autre aux pieds. Mon haut, un simple boléro rose et rouge à peine fermé sur le sternum, se marie très bien avec les escarpins grenat dont les talons aiguille mesurent quinze centimètres. Je saute sur le côté pour éviter un chat errant, avant d'aller franchir les portes d'une taverne mal famée. Je suis si belle que tous les regards me deshabillent. Je souris. J'avance jusqu'au bar sans encombres. Un Whisky commandé plus tard, je sens une main dans mon dos. Sur ma chute de rein. Tournant le regard, je réprime un frisson d'horreur. Un clochard aux dents carriés, à l'haleine aviné, et aux chairs bedonnantes. Je lui écrase le pied avec mon talon et il hurle de douleur en me traitant de salope. D'un rire, je lui tourne le dos et descend le Whisky cul sec. J'en ai fait du chemin depuis mes cinq ans. Je ne suis plus une gamine. Et je tiens trèèès bien l'alcool. »

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Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 16:38:06 »
Super :)
Je finis un rp et je te réponds Ô incarnation masculine de la déesse Sekhmet :D

5
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:41:41 »
Oh ouii ! J'suis sur Terra pour le moment.

6
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:37:55 »
Hmm. Mais comme elle vient quand même de... -1500 Avant JC. Elle te prendra pour l'incarnation de Sekhmet ou autre ^^.

7
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:31:26 »
Mais non Monsieur Khaléo :) Après tout, tu n'es pas humain à part entière. D'après ce que j'ai lu dans ta présentation, ça te donnerait un charme sauvage ? xD

8
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:29:02 »
Oh, pas allergique aux monstres. Mais elle vénère la beauté :P

9
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:11:13 »
Oui, ça collerait xD
Je commence ça :D

10
Le coin du chalant / Re : Ce que veut la Petite Reine - OUVERT.
« le: mercredi 01 juin 2011, 15:08:52 »
Monsieur Mach # Un mercenaire ? Ouais x) On pourrais t'avoir chargé de me retrouver, pour je-ne-sais quelle raison. Ou quel méfait :p

Monsieur Hiro # Ah oui ? Oh, chouette :D Que proposerais-tu ?

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Le coin du chalant / Ce que veut la Petite Reine - CLOSED.
« le: mercredi 01 juin 2011, 13:47:10 »
■ Elisabeth Orpah - Prisonnière en fuite - Garce professionnelle - Lunatique - Adoratrice de chaussures ■

Avide de sexe - Avide d'Argent - Aime le luxe

Idolâtre la beauté







Mes scénarios












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Coming Soon

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Mes Aventures












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  Fuite ou Tourisme ? Avec Monsieur Mach Bonin.
  Sous la pleine lune, les tigranthropes s'allument, et les connards y laissent des dents sur le bitume. Avec Monsieur Khaléo.
  Un peu de Distraction... Avec Monsieur Hiro.
 

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Merci Monsieur Nava :D

*lorgne la pomme, pensant à Blanche Neige*

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Prélude / Re : E. Orpah - Délinquante de Nexus, voyageuse du temps.
« le: mercredi 01 juin 2011, 11:46:16 »
Merci Mademoiselle Selina :)

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Prélude / Re : E. Orpah - Délinquante de Nexus, voyageuse du temps.
« le: mercredi 01 juin 2011, 10:46:18 »
Merci Mademoiselle Kira :)
Ah, il te dit quelque chose ce perso ?

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Prélude / Re : E. Orpah - Délinquante de Nexus, voyageuse du temps.
« le: mercredi 01 juin 2011, 10:23:10 »
Merci mademoiselle Shylee. Le tien est très joli également :3

Merci Monsieur/Mademoiselle Hardos/Harmony ^^.

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