Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Stéphanie

Pages: [1]
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Stéphanie avait clairement l'air fort déçue de son invité. Non seulement elle lui offrait le gîte, mais en plus il osait faire la fine bouche quand on lui présentait un repas: incapable de tenir sa langue, elle ne tarda pas à faire la remarque lorsque, dans le summum de l'hypocrisie, il osa dire que c'était bon.

" Tu te fous vraiment de ma gueule ? Tu me prends pour une aveugle ? Si y'as bien quelque chose que je déteste c'est les faux-cul, alors arrête un peu tes conneries et force toi au moins à manger quand je te donne un repas gratuit ! "

Visiblement très énervée à présent, elle croisa les bras sous ses seins et s'enfonça dans sa chaise, le fixant. Décidée à ne plus parler, elle se mis alors a réfléchir et doucement la réflexion de se dire qu'il ne s'agit pas de quelqu'un "comme elle" pourrait peut-être expliquer ça. Mais contre le fait d'avoir menti avec autant de maladresse, ça elle le gardait encore en travers de la gorge !

Au contact entre eux deux, elle sentit la chair de poule se répandre sur tout son bras. Un peu prise de court voire de panique, incapable de comprendre comment un bête toucher ait provoqué ça, elle retourna dans son tic habituel de se tripoter une mèche de ses cheveux teintés blonds, les sourcils encore froncés mais dont le visage avait laissé disparaître toute trace de rancune profonde. Et le grand sourire sur le visage de Khaléo malgré s'être fait engueuler devait y être pour quelque chose.


" Va savoir pourquoi. J'ai eu pitié, peut-être ? C'est vrai que ça me ressemble pas d'inviter ainsi un type aussi bizarre dont je connais même pas le nom à me piquer ma douche et mon peignoir. "

Elle eut un léger sourire au coin des lèvres, incapable de lui en vouloir encore davantage mais feignant de toujours l'être.

2
Elle remarquait bien son air gêné à table, et à vrai dire était partagé: elle ne se doutait pas qu'un peignoir aurait pu paraître aussi petit pour lui. Du moins, pour le mandrin qui ne cessait d'essayer de se présenter alors que Khaléo tentait par tout les moyens de se contenir. Fort heureusement, la table cachait bien tout ce manège et épargnait donc à Stéphanie de prendre des mesures contre ça...

Elle poussa un bol devant lui, d'où on distinguait de la salade, du maïs, et surtout des légumes, accompagné de thon disséminé ça et là dans la salade. N'étant pas une cuisinière exceptionelle, c'était bon mais sans plus. Elle sembla fort nerveuse et parla très peu, nul doute que c'était à propos de sa "découverte" dans la salle de bain qui la rendait aussi gênée...

Quand il prit enfin la parole, elle leva le nez, ses joues encore rosie et les sourcils froncés, comme pour le dissuader de parler afin qu'elle ne montre pas qu'elle est aussi gênée que lui.


" Non, ça va aller. Crois-moi, sois bien content que j'aie décidé de t'héberger, au moins pour aujourd'hui. Dehors tu serais mort si ça aurait continué ainsi. Manges maintenant. "

Une fois qu'elle avait fini son plat, elle laissa le bol de côté, trop fainéante pour le taper tout de suite dans le lave-vaisselle, et baîlla en s'étirant sur sa chaise, manquant de faire sortir un de ses seins hors de son manteau qu'elle n'avait pas enlevé depuis leur arrivée.

" Maintenant... Tu ne m'as toujours pas dit ton nom. Ah, et tant que j'y pense, j'ai jeté tes affaires, c'était irrécupérable et franchement dégueu. Y'as que ta veste qu'on peut encore rattraper, et encore je n'en suis pas sûre. J'irai la mettre à laver après. "

S'étirant davantage sur sa chaise qu'elle fit légèrement balancer en arrière, elle eut un sourire en le voyant avec un peignoir rose flashy. C'était plutôt amusant compte tenu que la plupart des hommes évitent cette couleur comme la peste...

3
Une fois de l'autre côté de la porte, elle sembla comme revenir sur terre. Elle venait d'inviter un parfait inconnu, complètement bizarre et dont elle ne connaissait toujours pas le nom à utiliser sa douche. Elle était un peu perdue maintenant, mais la vue des loques détruites de Khaléo la ramena un peu hors de ses songes et elle se débarassa bien vite de tout ça, évitant juste a la veste le supplice de la poubelle: mais elle évitera pas la machine à laver, ça c'est clair.

Un peu perdue dans ses songes et ses sentiments, elle se dit que préparer le repas ne serait pas une mauvaise chose: avec la salade qui lui restait elle pourrait bien faire quelque chose comme une macédoine. Allant dans la cuisine sans plus se soucier de son invité, elle se mit au travail en réfléchissant à ce qui a bien pu la faire agir ainsi... Et là lui revint dans sa tête une déclaration de son invité qu'elle n'avait pas pris en compte tout de suite: "Vous avez des enfants ?".

Elle éclata de rire toute seule tellement c'était absurde. C'est vrai, il ne la connaissait pas, mais si il savait qui elle étais il saurait dores et déjà qu'elle n'est pas du tout le genre gentille maman...

Trois bon quart d'heure passèrent, alors qu'elle flânait un peu en faisant la cuisine, et une fois fini elle se souvint subitement que Khaléo était toujours enfermé dans la salle de bain, et n'était toujours pas ressorti. Pensant qu'il avait fini mais n'osait pas sortir, elle alla dans sa chambre attraper un grand peignoir duveteux rose et entra sans frapper, n'ayant pas pensé qu'il pourrait être encore occupé.


" Dis, il serait peut-être temps que tu s... Oooh ! "

Stéphanie eut un mouvement de recul en le voyant nu sous la douche, ayant aperçu sa virilité a travers la vapeur d'eau qui avait envahi la pièce à force. Déposant en vitesse le peignoir sur l'évier, elle ferma la porte en vitesse, la gêne se fit sentir dans sa voix, malgré le visible effort pour tenter de faire croire qu'elle n'avait rien vu

" Mets-ça et sors ! " Cria Stéphanie à travers la porte, " J'ai fait à manger... "

Rouge comme une pivoine sur sa peau d'ébène, elle alla s'assoir à table avec un air un peu hagarde, essayant de croire possible ce corps sorti tout droit d'un film de fantasy. Ce qu'elle avait pris pour un déguisement... N'en étais visiblement pas un.

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En l'écoutant, elle machait de plus en plus vite son chewing-gum, comme agacée ou agitée. Son ton, sa manière de faire... Certes c'était très beau, mais pour elle c'était le genre de type qui ne fallait pas trop s'approcher: un camé. Maigre, bizarre, qui se semble une victime... Ce type avait sûrement une addiction bizarre, ou alors c'était un clodo qui a trop lu de livres.

Si elle s'était écouté en temps normal, Khaléo se serait juste pris une baffe et n'aurait pu qu'admirer une dernière fois les fesses de la demoiselle quand elle partirait. Pourtant, Stéphanie n'en fis rien: elle continuait de l'écouter, de le regarder de haut en bas. En fait, c'était son physique qui la captivait: autant il semblait maigre, et pourtant incroyablement souple et athlétique, un mélange bizarre qui donnait l'impression qu'il ne venait pas de ce monde. Remontant sans gêne son soutien-gorge et son manteau juste devant lui, elle croisa les bras sous sa poitrine, faisant une petite bulle de chewing-gum qui éclata vite sans faire de tache.


" Donc, monsieur sans-nom, à part me reluquer les jumeaux, tu dis être paumé et sans maison ? Mais d'où tu sors, sérieux ? "

Elle tapa du pied en se frottant une mèche de cheveux encore plus vite, presque comme de l'archarnement, comme une personne qui tente de faire du feu avec deux bâtons de bois humide. Et, contre toute possible attente, Stéphanie eut un de ces rares accents de bonté comme on en connaît plus:

" Non, j'en connais pas. Vu que t'as l'air d'être vraiment un clodo, je veux bien te prêter mon canapé, mais tu va passer par la douche d'abord: tu pues jusqu'ici. Et tu va me changer les loques que t'as sur le dos, aussi, je déteste ça. "

Si elle ne mâchait pas ses mots elle avait au moins le mérite de lui offrir un toit en plus de la douche, le repas probablement. Peut-être une nuit seulement, peut-être plus longtemps, qui sait ? Tout dépendait de ce qu'elle découvrirait sur ce drôle de personnage qui avait su attirer sa curiosité tout en étant ce qu'elle évite le plus. De tout ses attributs, elle pensait qu'il s'agissait juste d'un excellent déguisement, les zonards dans son genre sont connus pour utiliser tout ce qui est possible de les recouvrir, même si celui-là explosait des records niveau excentricité. Le tirant un peu par le col après l'avoir dépassé, elle alla vers la rue principale.

" Allez, bouges ton cul ou je te laisse là. "

Après une quinzaine de minutes de marche et les étonnantes réactions de beaucoup de monde qui semblaient changer de trottoir plutôt que de la croiser, ils arrivèrent devant un immeuble d'appartements, dont la porte était cassée et on pouvait entrer à travers la vitre a présent disparue. Sans même donc sonner au parloir, elle entra et monta deux étages, pour arriver à son domicile. En ouvrant la porte, le décor miteux et sobre laissa place à des décorations en fourrure, en jolis tissus, en peluches et autres couleurs vives surtout composé de rouge, rose et blanc. Tout semblait comme emballé dans de la douceur, même le téléphone fixe était muni d'un pompon rose aux extrémités.

Sans même lui laisser le temps de visiter, elle le poussa dans la salle de bains servant aussi de toilettes, et lui indiqua le savon, le shampooing et le reste, avant de pratiquement lui arracher sa veste pour la déposer en dehors de la salle de bain.


" Déshabille-toi et donne moi tout tes vêtements a travers la porte, je veux même plus voir ces fringues ignobles dans ma maison ! "

Elle sortit de la pièce, laissant la porte a peine ouverte pour qu'il puisse faire passer ses vêtements, avant de lancer une nouvelle injonction, qui dans un sens coulait de source:

" Et que je ne voie pas sortir de là tant que t'empestes pas le savon ! "

Elle ferma ensuite la porte une fois les vêtements récupérés. La salle de bain était plutôt petites, aux grands mur blancs comme le carrelage. Dans ce petit espace était placé un évier avec un petit meuble rose contenant toute sorte d'affaires, notamment du maquillage, des médicaments et autres pansements, ainsi que du matériel d'hygiène personelle. On compte aussi une grande douche blanche aux rideaux rouges, une cuvette on ne peut plus banale blanche, et une grosse machine à laver pour l'instant éteinte, sur laquelle trônait un panier à linges vide.

5
Si il ne fait pas bon vivre ici, c'est surtout vrai pour les autres: pour elle, c'est son terrain de jeu, sa grande - très grande! - maison... Habituée aux milieux sordides et dangereux, elle en est devenue partie intégrante et a contribué a pas mal de sa réputation: si il faut craindre quelqu'un c'est Stéphanie. Amie avec tous les pires gangsters du coin, connaissant le quartier comme toute ses poches, on sait bien qu'elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds et même si elle abuse souvent de son autorité, faire le mariolle quand Stéphanie est présente n'est jamais un bon plan, comme allait le découvrir ce pauvre chaton.

Revenant du terrain de basket où elle avait été jouer pour mettre une branlée à des gamins qui ont cru être meilleurs qu'elle, habillée d'un baggy, de botte à talons épais et d'une parka a moitié ouverte, avec strictement rien dessous sinon un soutien-gorge rose vif, la seule chose qui avait vraiment capté son attention était les haussement de voix qui parvenaient d'une rue alors sur le chemin du retour.

Comme d'habitude, les putes ont toujours la vie dure ici: harcelée par des pervers, intimidées par des macs en tout genre ou simples racailles qui ont de l'aggressivité à dépenser, les mauvaises fréquentations sont pire que le commun ici. Arrivant d'un coin de rue dont la palissade avait été défoncée, Stéphanie remarqua d'où provenait le bruit: un type encapuchonné était en train de se faire attaquer par trois personnes, des têtes qu'elle avait déjà vu mais sans nom pour les coller sur leur front.

Toujours est-il, encore echauffée par l'exercice sur le terrain, Stéphanie n'hésita pas à s'approcher d'un pas décidé et sans même dire un mot envoyer son genoux dans les boules du premier qui passait, avant de continuer sur un coup de poing dans le menton qui l'envoya dans les poubelles, s'assomant contre des déchets. Pour eux, aucun doute de son identité: ils semblèrent hésiter, leur lèvres tremblèrent, l'un des deux proféra juste un "Salope!" couvert de peur et s'échangèrent juste une tape de la main sur l'épaule avant de s'enfuir, sans même aider leur compagnon.

Remettant ses bijoux aux mains correctement avant d'inspecter pour voir si il n'y avait pas de griffe ou quelconque trace dessus, Stéphanie se tourna vers l'autre personne, qu'elle venait de sauver d'un tabassage inégal... Et qui n'avait pas hésité à se cacher derrière elle.


" ...Ils t'ont volé quelque chose ? "

Inutile de demander si ça allait: évidemment que non vu son état. Mais c'était assez impressionant de voir autant de blessure pour un seul homme... Se tripotant une mèche de cheveux en mâchant du chewing-gum rose, elle regarda Khaléo de haut en bas, surprise qu'un type aussi athlétique se sois fait taper dessus sans leur mettre une raclée.

" Tu sais, si tu te laisse faire tu va te faire bouffer ici. C'est quoi ton nom ? Moi c'est Stéphanie. "

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Prélude / Re : ...On ne rigole pas avec le chocolat! [Valigronné]
« le: dimanche 29 mai 2011, 15:19:10 »
On voit la différence plus haut: le méchant et le courtois, c'est amusant comme contraste :p

Merci Sandji, mais quels détails sont choquants ? Je peux changer si il faut..

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Prélude / Re : Re : ...On ne rigole pas avec le chocolat!
« le: dimanche 29 mai 2011, 14:15:27 »
Merci tout le monde!

Bienvenue madame

*lui offre une noisette*

...Chocolat-noisette ? *Calin*

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Prélude / ...On ne rigole pas avec le chocolat! [Valigronné]
« le: dimanche 29 mai 2011, 12:30:48 »


    • Nom: Macumbe

    • Prénom : Stéphanie

    • Sexe : Femme

    • Race: Humaine

    • Orientation sexuelle: Bisexuelle, léger penchant préférentiel pour les femmes.

    • Age: 21

    • Physique: Se distingue surtout par sa peau foncée et douce, ses courbes très prononcée et son goût pour les vêtement aux couleurs vives. Adepte de la teinture blonde et du maquillage rose, sors rarement sans son artillerie de séduction massive. Porte beaucoup de bijoux sur elle, assez typique des groupes avec lesquelles elle a traîné, et porte tout le temps le plus court possible. En général, elle porte un haut court en fourrure blanche et rose, s'arrêtant un peu en dessous des seins, qu'elle garde toujours ouvert, et laisse voir clairement son bikini qu'elle porte très souvent, pour sa matière provocante et les regards médusés des passants qui l'amuse beaucoup. Avec cela se joins une paire de bas roses, montée sur des plateformes blanches qu'elle quitte rarement.

      La seconde raison de pourquoi elle porte aussi court c'est qu'elle déteste se sentir enfermée dans ses vêtement et pour exhiber le tatouage qui pars depuis sa cuisse jusqu'à ses hanches. N'en a pas vraiment l'air, mais elle sait aussi cogner dur. Et plus récemment, elle a adopté le pantalon taille basse... Pour bien entendu éviter de trop faire voir ses nouveaux atouts de 25 centimètres de long sur une dizaine de large, préférant garder la surprise et voir les réactions des gens. Elle en est extrêmement fière, d'ailleurs!

    • Signes Distinctifs : Le tatouage sur le côté gauche de son corps, piercings divers, ses tenues excessivement légères et provocantes

    • Psychologie : Elle mise tout sur la provoc' et le désir de choquer les gens. Elle a aucun souci a se balader dans des tenues extrêmement courtes en pleine rue, parler crûment et se comporter de manière presque obscène. Ayant souvent partagé du temps avec des gens pas fréquentable, elle sait comment ça marche dehors et elle n'est pas du style a se faire marcher sur les pieds; elle sait quand il faut se coucher, mais autrement elle est loin de garder sa langue dans sa poche, si c'est pas pour parler...

      Nymphomane accomplie, elle a développé ce côté de sa personnalité pour ennuyer ses parents et devenir a la limite du moralement acceptable. Elle n'a jamais eu de honte à faire ça avec n'importe qui et parfois même pour de l'argent quand elle a du temps libre et besoin d'un truc, si ce n'est pas ses bonnes poires de parents qui acceptent de lui avancer l'argent a force de l'entendre se plaindre. Malgré qu'elle soit souvent en désaccord avec sa mère et/ou son père, ce sont deux personnes qu'elle considère tout de même comme sacrée, et le premier qui viendrait à y toucher se verrait passer un mauvais quart d'heure; car si Stéphanie n'est pas une bodybuildeuse, ses amis le sont. Dans le fond, elle est tout de même assez sentimentale surtout a propos de ses parents.

    • Histoire : Stéphanie n'est jamais née ailleurs que quelque part en Europe centrale, avant de vite déménager au Japon vers ses 4 ans. Avec des parents originaires d'Afrique Centrale, ayant déménagé là pour mieux vivre, ils se sont lancé dans les affaires et s'en sont très bien sortis, se permettant ainsi une vie fort aisée: pas bourgeoise, mais très bien lotie. Ayant fui leur propre famille qui trempait dans des affaires pas très nettes, ils ont préféré couper les ponts pour fonder leur famille: Stéphanie est née après ça. N'ayant ainsi jamais eu vent du nom même de ses grand-parents ou l'origine de ses parents, la petite a du vivre dans les mensonges protecteur de ses parents, et comme bien des enfants a bien vite mal tourné a cause de cela... Au départ fillette énergique, elle passait son temps a martyriser ses camarades de classe un peu timide, subtilisait ceci ou cela dans les magasins ou encore se battre avec les autres filles. A cause des absences prolongées de ses parents, personne n'a été là pour vraiment la redresser, et c'est ça qui en a fait d'elle la mauvaise fille qu'elle est devenue.

      En grandissant, elle entra dans sa phase de rebéllion intensive, qui se révéla très agressive et parfois en venait aux mains avec son père. Trainant alors avec des membres de gang dans les rues et autres mauvais garçons, les tentatives désespérées de ses parents pour la remettre sur le droit chemin se sont souvent soldées par des échecs, sans compter son décrochage scolaire complet et ses multiples passage dans les commissariats pour attentat a la pudeur, comportement obscène en public, bagarres, ect. Malgré tout, ses parents faisaient leur possible pour la protéger, l'aimant trop pour la virer de chez eux, alors qu'elle continuait de les rejeter. Faisant chanter ses parents, insupportable, constamment en vadrouille, elle leur en a fait voir des vertes et des pas mûres, sans compter qu'ils ont bien ignoré le pire, comme la fois où elle a failli se faire prendre alors qu'elle se prostituait... Même si, par principe et amour-propre, elle n'as jamais touché au tabac et aux drogues dures, elle préférait l'argent simplement gagné pour ses "cadeaux" personnels mais aussi pour le fait de se faire du fric en pratiquant son hobby favori.

      Apres une enième dispute, ce fut elle qui demanda a partir de la maison. Voyant là peut-être l'opportunité de "responsabiliser" un peu leur fille, ils acceptèrent un peu a contrecoeur de la loger dans un appartement, pas trop loin de chez eux. Bien entendu, bonne pâte comme ils sont, ils paient 3/4 des dépenses au niveau des factures et du loyer, même si à vrai dire c'est loin de les toucher économiquement. A présent sans personne pour la réprimander et en plus ses parents qui lui évitent les retards de paiement, elle se la coule douce tranquillement en allant "travailler" pour dépenser un minimum dans ses factures et garder le reste pour elle, s'amassant une jolie sauvegarde pour ses dépenses de luxe.

      Mais encore loin d'en avoir fini avec ses excentricités, Stéphanie s'est découvert un penchant aussi pour les femmes. Loin d'être satisfaite avec "ce qu'elle possède", elle a eu dirons nous l'excellente idée de contacter un hôpital fort spécial...Concernant les greffes. A l'insu de tous et grâce a l'argent amassé couplé par les intérêts, Stéphanie s'est faite greffer un sexe d'homme en acceptant de participer a une nouvelle méthode de greffe, permettant de le rendre complètement fonctionnel comme celui de n'importe quel homme, en plus d'avoir celui "d'origine", toujours présent et ne présentant aucun problème dû a la greffe. Evidemment n'ayant pas regardé à la taille, Stéphanie a de quoi largement en satisfaire plus d'une. Mais si pour ses compagnes c'est une aubaine, il en est un peu autre chose pour la plupart des hommes, et ne parlons pas de ses parents qui ne sont au courant de rien.

    • Note: C'est un personnage que je vais jouer en deux-temps, l'un avant l'opération (plus pour les hommes, par exemple) et après l'opération (pour la gente féminine...Ou les hommes qui aiment aussi.)


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