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« le: lundi 16 mai 2011, 23:34:35 »
J'ai senti une main agripper mes vêtements, avant même d'avoir pu réaliser ce qu'il m'arrivait j'étais quasiment nue, en sous vêtements dans une sorte de cave quelque peu glauque avec une folle. J'ai senti son doigt remonter lentement le long de mon dos, puis j'ai entendue sa voix, une voix magnifique qui avait un charme particulier. J'ai d'ailleurs ressenti un petit frisson en entendant le mot esclave, elle parlait d'esclaves sexuels je suppose. J'avais tellement écrit sur ce sujet, je m'étais toujours demandée ce que pouvait ressentir un esclave de ce type, ma peur s'est tout à coup transformée en curiosité. Je ne le savais pas, mais la créature a dû remarquer ce changement, il y avait encore de la honte, mais surtout de l'excitation et de la curiosité et la peur avait disparue.
La créature se laissa apercevoir, j'avais du mal à la discerner à cause de mes larmes, mais je croyais voir des oreilles de chats sur une petite fille. Sa voix avait changée, cette personne ne semblait pas normale, était ce l'une de ces créatures polymorphes qui se déguisaient pour amadouer les jeunes filles et les violer sauvagement dans des caves humides ? Je n'en savais rien, en fait je n'avais pas compris grand chose de ce qu'il m'arrivais. La créature m'a de nouveau parlé pour me proposer un jeu spécial, avec comme enjeu ma liberté et au lieu de lui répondre je lui ai fait une proposition :
"Je ne peux pas jouer à votre jeu ... Si l'enjeu est ma liberté je ne peux pas accepter ... Je me fiche de ma liberté, je ne pourrais pas tout donner pour un enjeu qui ne m’intéresse pas. J'accepte d'être votre esclave, tout ce que je veux en échange, c'est pouvoir continuer d'écrire et dessiner mes doujins, pouvoir les publier et l'assurance que vous ne me tuerez pas. Et si vous êtes d'accord, j'aimerais créer un doujin sur ce que vous me ferez subir, donnez moi un bon scénario et j'accepterais d'être votre fidèle esclave."
J'étais vraiment sérieuse, j'accepterais n'importe quoi tant qu'elle me laissera ma liberté d'écrire, de dessiner et de publier mes doujins. C'était ma passion, je ne pouvais pas vivre sans elle, mais d'un autre côté tout le reste m'indifférais. Par contre je commençais à sérieusement fatiguer, il faudrait que ma geôlière fasse quelque chose pour son parfum, parce que je risquais fort de tourner de l’œil une seconde fois dans peu de temps. Mais je devais rester éveillée pour montrer ma bonne volonté à l'étrange femme, ainsi j'ai continué de parler :
"Est ce que je peux faire quelque chose pour vous prouver ma bonne foi maîtresse ?"
Ça y est, j'étais complétement dans mon personnage de la parfaite petite esclave, prête à me donner corps et âme à une parfaite inconnue aux motivations douteuses. Mais la chaleur devenait insupportable, mon corps était tout poisseux et cela semblait plaire à mon bourreau.