Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sherlock

Pages: [1]
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Dit : « l’âne »
« le: samedi 06 août 2011, 12:37:01 »
« Bon, j’accepte ! »

C’est fou comment il ne s’attendait pas à une tel réponse. Intérieurement, le simple fait d’entendre ces quelques mots, le terrifiait. Dans sa petite tête, la fin de cette histoire avait déjà été toute écrite, elle aurait refusé et puis c’est tout. Pourquoi cette psy ne pouvait-elle pas être comme les autres ; chiante à mourir… Il était de plus en plus intrigué et ne savait plus très bien ou se cacher. Sherlock était certes un homme sûr de lui et prêt à affronter n’importe quelle situation mais sur ce coup, il venait de se faire battre par une femme.  Elle l’avait pris au dépourvu, surtout qu’il savait au fond de lui qu’il n’était point un homme malhonnête et donc cet arrangement allait lui peser sur la conscience.

« J'espère que vous ne voyez plus d'inconvénient à me voir boire, hein. »

Oh Oh, mais non, il préférait même la voir boire en espérant que cela allait alléger l’atmosphère qui pesait dans ce restaurant. D’ailleurs il leva instantanément son verre et le porta à ses lèvres pour le finir d’une traite. Un peu d’alcool n’allait leur faire que le plus grand bien, ils pourraient ainsi se lâcher un petit peu. Cependant l’alcool ne lui monta pas assez rapidement à la tête et il se devait de répondre quelque chose.

" Heu...  Excusez-moi... Je vous testais… "

Il avait prononcé ces quelques mots alors qu’il plongeait ses yeux dans son verre par peur de croiser son regard. D’ailleurs ce n’était qu’un mensonge, il n’avait jamais vraiment eu l’intention de la tester, mais avait juste tenté de s’en débarrasser. Il s’en voulait à présent, elle était une personne charmante et il commençait à l’apprécier : psychologiquement (lol) et physiquement…

" Vous avez de l’humour en tout cas ! " dit-il en levant les yeux vers elle. " J’accepte que vous soyez mon psy. "

Les plat arrivèrent quelques secondes plus tard, le serveur ne dit mot, surement avait-il aussi remarqué l’ambiance un peu stressée présente à cette table. Il déposa les assiettes dans le silence et juste avant de s’en aller, un légé « Bon Appétit » sembla s’être échappé de sa bouche.

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Dit : « l’âne »
« le: mercredi 11 mai 2011, 20:10:29 »
Ne faisant pas la difficile, son choix se porta exactement sur le même plat choisit au préalablement par Sherlock, cependant son choix de boisson, persuada immédiatement le jeune détective sur ce qu’il s’était imaginé quelques instants auparavant ; elle savait s’amuser. Bonne nouvelle se disait-il, car s’il devait se trouver un psy, il ne voulait pas d’une vielle mégère de 50 ans se croyant au-dessus des autres. Par contre, il pouvait quand même détecter en elle, un certain professionnalisme, il avait l’habitude d’étudier les gens, et de cette demoiselle, se dégageait une certaine aura qui le rassurait sur la personne. Bon il ne s’était pas encore mit en tête d’accepter qu’elle soit son psy, mais il pouvait se laisser tenter. Autant que ce soit quelqu’un qu’il apprécie.

« Je suppose que vous avez des questions pour moi... ? Si vous voulez tout savoir, je suis très gentille.»

Deux choses dans cette phrase, deux façons de s’amuser. S’amuser était un grand mot, mais il voulait aussi la tester un peu. Ainsi, il lui demanda si c’était vraiment professionnel de commander de l’alcool en face d’un client. « Je suis le névrosé », il est tout à fait normal de boire pour une personne déprimé qu’il disait. C’était une petite pique qu’il envoyait en pleine figure, mais pourtant il ne doutait pas vraiment de son professionnalisme, il voulait juste voir comment, celle-ci allait se débrouiller. La deuxième « chose » intéressante dans sa phrase était le « je suis très gentille » ; alors premièrement il se posa rapidement la question de savoir si c’était un tour de passe-passe de psychologue, essayant de le berner et de l’amener petit à petit dans son jeu. Mais finalement il se conforta dans l’idée que ce n’était qu’un petit jeu, une petite vengeance, peut-être pour le coup du téléphone, mais ce n’était pas vraiment méchant, justement plutôt moqueur mais « gentil ».

« Si non, pouvons-nous simuler les séances ? Je vous payerais et vous me faite un beau rapport expliquant que j’ai suivi les 10 séances prévus par mes supérieurs. »

Il n’était pas fière d’avoir sorti une tel phrase, c’était sorti tout seul, mais le simple fait de s’imaginer dans un cabinet pendant heure à parler de ses problèmes ne l’emballait pas tant que ça. Il était certain qu’elle allait refuser, mais c’était aussi une façon de bien lui faire comprendre son angoisse vis à  vis de cette expérience. Heureusement les plats arrivèrent quelques secondes après le petit blanc qui était apparu après sa dernière phrase.

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Elle était enfin présente devant lui. Il fût assez étonné de se retrouver en face d’une demoiselle de a peu prêt son âge. Elle avait un style très particulier, de grandes lunettes et des baskets plutôt fashion. Elle n’avait pas vraiment l’air d’être psychiatre…  Suite à sa présentation, il se devait à son tour de se lever et de se présenter. Il le fît plutôt maladroitement.

« Bonjour, je suis Sherlock, Sherlock sans nom de famille, heu appelez-moi Sherlock, ais je dis que j’étais Sherlock ? »

En lui proposant de s’assoir, il lui fît directement ses excuses pour le coup de téléphone un peu brusque de l’autre soir, il savait qu’il avait mal agis et en était conscient, depuis peu certes, mais il en était conscient. Il profita des quelques instants avant la conversation pour faire un signe au serveur d’amener la carte. Une fois en main, il tendu le menu femme à Dylan. Oui car il ne contenait aucun prix dessus, seul le menu homme était doté des tarifs. En lui tendant donc ce menu, il espérait que celle-ci comprenne qu’il payerait pour la soirée en gage d’excuse. « Alors voilà, je vous raconte mon histoire. », dit-il, une fois miss Ellison installée confortablement. Il bafouilla ensuite quelques mots rapidement, car il ne voulait pas rentrer dans l’analyse psychologique de suite, car la tournure de sa phrase n’était pas très claire sur ce point, il se rattrapa en expliquant rapidement qu’il travaillait trop et que ses supérieurs lui avait conseillé de suivre quelques séances avec un psy.

Ensuite il se coupa seul la parole, pour mieux  observer la jeune femme. Jusqu’à présent, l’avait considéré comme un méchant monstre qui en voulait à son cerveau, mais en y regardant de plus près, il la trouvait plutôt à son gout. Ses grandes lunettes, lui donnait un petit côté intelligent, puis dans son ensemble, son look exprimait une certaine bonne humeur, elle devait mordre la vie à pleines dents, se s’imaginait-il.

« Voyant souvent des psys dans mon métier, accompagner des suspects ou des victimes, je vous avoue qu’ils ne m’ont jamais fait bonne impression. Pensez-vous être un bon doc, doc ? »

Il avait lâché cette phrase plutôt spontanément, il voulait bien lui  faire comprendre, pourquoi  il avait fait tout un cinéma  au téléphone deux jours auparavant.

« Je vais prendre le Filet de rouget en écailles de pommes de terre et truffe noir d’hiver, dit-il en lisant la carte, et vous très chère. »

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Comme à son habitude Sherlock était vêtu d’un beau costar, enfin, ce n’était que l’un des nombreux qu’il avait pour le travail. Il ne sortait jamais de manière décontracté se sentant fragile devant autrui. Alors aujourd’hui devant une femme psy, non non, son plus beau costume ou rien. Ayant garé sa voiture et s’approchant du restaurant, il jetait des regards dans tous les sens presque à la recherche d’un monstre. Devant le portier, il se renseigna pour savoir si le docteur Ellison était déjà arrivée, l’homme lui répondit négativement, mais celui-ci allait prendre soin de noter le nom de futures clientes et les rediriger vers lui.

Il hésita quelques instants entre enlever sa veste ou la garder, il ne souhaitait pas paraitre trop décontracter devant son futur bourreau, il resta debout quelques puis finissant par s’assoir en la gardant. Il réclama tout de suite un verre de leur meilleur whiskey et un cendrier avant de sortir de sa poche un gros cigare. Le lieu était calme, quelques jeunes couples mais la majorité semblait avoir plus de 45 ans. Il était inquiet, ne sachant pas à quoi ressemblerait cette mystérieuse femme et c’est pour cette raison qu’il avait réellement besoin de ce petit whiskey arrivant à l’instant à sa table.

Il se l’imaginait, vielle et bien moche d’ailleurs, une jeune femme ne pouvait pas faire un métier aussi « étrange », qu’il se disait. Il y mettait beaucoup de mauvaise foi car au plus profond de lui-même il pouvait comprendre les psychiatres, toujours à la recherche d’y moyen de déchiffrer l’être humain, c’était par ailleurs son occupation quotidienne une fois dans son lit, réfléchir aux actions des autres, sans jamais les comprendre.  Evidemment, il savait que la vraie raison de son antipathie vis-à-vis de ces médecins particuliers, était la peur de se laisser emporter et de devoir se replonger lors du drame qui à bouleversé sa vie lors de son adolescence.

Finalement, il n’attendait plus qu’une chose, qu’elle se montre. Il venait seulement de réaliser qu’au téléphone, il n’avait pas été très poli et qu’il n’avait pas donné beaucoup d’informations. Il n’avait pas eu de confirmation de sa part. Peut être n’allait-elle pas venir.

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Dit : « l’âne »
« le: mardi 10 mai 2011, 16:16:55 »
Une douce fumée blanche flottait dans l'obscurité du bureau. Un cubain aux lèvres et un verre de whiskey en main, une goutte de sueur roulant sur son front et ce stresse il ne le connaissait que trop bien, ayant ce type de monté d'adrénalines à chaque une de ses enquêtes. C'est vrai que c'était quelqu’un de nerveux et les dix tasses de café qu'il ingurgitait par jour n’allaient surement pas l'aider à se calmer. Mais la vraie horreur se profilait à l’horizon, il se devait de téléphoner à un psy...

Il ne supportait pas ce genre de personnes, les trouvant intrusif et curieux, de plus il disait toujours "Les psy, c'est pour les malades" cependant cette fois ci, il avait l’obligation d’en contacter un.  Car oui Sherlock en tant que bon détective était aussi obsessif, il ne dormait presque jamais et les rares fois où il trouvait le sommeil, c’était dans son cabinet. C’était quelqu’un de nerveux, utilisant fréquemment la violence pour attraper les criminels,  ses méthodes, même si efficaces, déplaisaient à ses supérieurs qui lui avait bien fait comprendre que s’il n’allait pas faire ces quelques séances au prêt d’un psychiatre, qu’il risquerait de perdre son emplois.

Prenant son téléphone en main, les lèvres tremblantes après avoir composé le numéro, il fût surpris d’entendre une voix féminine décroché. L’horreur, un psy c’était difficile à avaler, mais alors une femme psy, non! Au début, il n’osait pas prononcer de mots, mais il dû se résigner à entamer la conversation. Méfiant du fait que ce soit une femme, il ne tarda pas à proposer un rendez-vous avec elle dans un endroit commun pour qu’il puisse réfléchir si oui ou non il voulait bien d’elle comme Psychiatre. Car oui en effet, on lui avait bien conseillé de suivre quelques séances, mais on ne lui a pas attribué un psy bien défini.

Ne s’étant pas réellement présenté, ni laissant le temps de répondre,  il déclara :
« Bonjour, j’ai besoin de voir un psy pour mon boulot, est ce qu’il est possible qu’on puisse se voir en dehors de votre cabinet, j’avoue ne pas vous faire totalement confiance, je n’ai jamais eu confiance dans les psychiatres  », il avait fait dans le direct.

A nouveau, ne l’ayant pas laissé répondre, il ajouta le nom d’un restaurant, une date et une heure. Bizarrement, il avait choisi un restaurant plutôt chic et presque imposé un rendez-vous le soir. C’était son petit côté gentleman qui inconsciemment avait fait ces choix. Il raccrocha le téléphone, ensuite regrettant d’avoir été aussi brusque,  Il allât se coucher et espérait la voir deux jours plus tard au soir.

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Prélude / Re : Sherlock
« le: mercredi 20 avril 2011, 09:29:52 »
Merci à tous pour votre chaleureux accueil,

Sherlock dévisagea X-SMYLE, étrangement, il sentait quelque chose de louche en cet homme. Une odeur de brulé parfumé de mensonges peut être. Le détective ne savait pas exactement quoi, mais allait prendre soin à bien sonder le jeune homme. Aucun petit détail, n’échapperait à sa petite investigation

Ahah ! Tu sembles en connaitre beaucoup sur la faune (et flore) avoisinante. Je te trouve suspect, dit-il dans le plus grand calme avant de s’exciter tout d’un coup et de crier. AVOUE, C’EST TOI QUI A Tué mes PARENTS!! Il sorti instantanément son arme et la braquait ainsi sur le pyromane.

@Linnea, il ne me semble pas qu’il y ait de marque sur mon fessier, mais si vraiment tu le souhaites, cela peut s’arranger :p

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Prélude / Sherlock - { Validé }
« le: mardi 19 avril 2011, 20:40:19 »

Histoire :
Née d’une mère américaine et d’un père Japonais, notre jeune héro partageait les joies et pleures d’un enfant normal. Cependant vers l’âge de 5 ans, le jeune enfant impressionnait par sa logique enfantine. Il semblait capable de résoudre de petits problèmes sans se torturer trop la tête et avait une mémoire des plus impressionnante. Il s’amusait beaucoup vers l’âge de 8 ans à apprendre par cœur toutes les marques de voitures qu’il croisait dans la rue, ensuite tous les numéros de téléphone de la famille proche et enfin il adorait apprendre de nouveau mots dans d’autres langues. Il passait devant tout le monde pour le petit bonhomme intelligent et beaucoup voyaient déjà en lui un grand avenir. A l’école, comme toute les grosses têtes, il n’avait pas vraiment d’amis, ce n’était pas les autres qui ne l’aiment pas mais sa propre personnalité de solitaire endurci qui faisait déjà surface. Il avait un problème avec l’intellect des enfants de son âge, c’était quelqu’un avec une bonne joie de vivre, mais il n’arrivait pas à la partager avec autrui. Etant doué en logique,  il l’était moins dans d’autres matières comme le social et durant toutes sont enfance et une bonne partie de son adolescence, il se retrouva tout seul.

Au fil des années, il s’acharnait au travail pour améliorer sa communication avec les autres. Chaque nuit, il restait de long moment éveillé à réfléchir sur le monde. De nouvelles questions arrivaient sans cesse, et même sa précieuse intelligence ne suffisait pas à  trouver une explication aux bêtises que faisant les gens autour de lui. Il eut beaucoup de mal à s’y faire, il ne pouvait pas comprendre que certaines actions étaient porté sur aucune logique visible. Les gens n’apprenaient rien au fil des années ; les mêmes bêtises se répétaient, et ironiquement il semblait normal pour tout le monde de se plaindre encore et encore alors qu’ils étaient coupables des malheurs qui leur tombaient dessus.

L’évènement tragique de sa vie se produisit sur la fin de ses 16 ans. Une nuit, alors qu’il expérimentait pour la première fois le plaisir éprouvé par le baiser d’une jeune fille, la police l’appela sur son téléphone pour lui annoncer qu’un tragique évènement venait de se produire. Les mots prononcé par le policier sont encore aujourd’hui gravés dans tête et viennent ponctuellement le hanter dans ses cauchemars : « Vos parents viennent d’être assassiné ». Courant à toute vitesse en direction de la maison son esprit vide ne pouvait accepter ce coup du sort. Mais une fois arrivé aux portes de la maison, gorgée de policiers, se faufilant entre tout le monde sans que personne ne puisse l’arrêter et découvrant les deux cadavres allongé dans une énorme flaque de sang, sa vie venait de changer.

Les années suivante, il vécut en internat et n’eut que pour seul objectif d’obtenir au plus vite son diplôme d’étude en criminologie. L’idée qu’il avait en tête était tout simplement de découvrir ce qui était réellement arrivé à ses parents et qui était le responsable derrière ce drame. Il y mit toutes ses forces car ne voyant pas la police découvrir la vérité, il ressenti au plus profond de soi qu’il allait être le seul capable de mettre un terme  à cette torture psychologique qui était de ne pas savoir qui avait anéanti sa famille.

Au jour d’aujourd’hui, le jeune homme travail comme détective privé, la suite de son histoire reste encore à écrire, il est jeune et vivra surement beaucoup d’aventures, peut-être même écrirons nous des livres sur sa passionnante vie dans le future, nul ne le sait et c’est bien pour cette raison qu’il n’attend que vous pour continuer son histoire.



Caractère :
Il est doté d’un caractère relativement complexe, étant un grand solitaire lors de ses jeunes années, il s’adapte maintenant bien mieux à la situation et la personne avec qui il parle. Son niveau de vocabulaire plus changer du tout au tout en fonction de l’être en face et il évite qu’il y ait malentendus et autres embarras. C’est un grand passionné de tout ce qui est jeux d’aventures, résolutions d’enquêtes et autres casse têtes. Il est cultivé, sympathique et polis. Mais par moments, il lui arrive encore de s’isoler et de se fermer complètement au monde extérieur. Ces moments sont parfois due à une pensée pour sa famille ou alors tout simplement lors d’une enquête difficile qu’il souhaite résoudre de mains de maitre. Car oui son travail passe avant tout et il n’a de toute façon pas de petite amie attitrée qui pourrait lui réclamer un peu de temps pour elle. Mais Sherlock est aussi quelqu’un de très bon ; tout ce qu’il souhaite c’est se torturer le cerveau, résoudre le crime parfait et donc si une personne vient lui demander de l’aide, il l’accorde tout simplement gratuitement. Il n’est pas du genre à sortir en boite non plus, ni se boire un verre ou deux dans un bar avec ses rares amis. L’éclate pour lui c’est de s’assoir en cercle dans de bons gros fauteuils, se fumant un cigare cubain et buvant un bon whiskey tout en discutant de politique, de crimes sanguinolent et de femmes.

Physique :
Sherlock s’est beaucoup occupé de son corps juste avant de rentrer à la criminelle, une course poursuite peut arriver fréquemment alors il se doit d’être prêt à courir de toutes ses forces. Et comme c’est un vrai professionnel, il s’est donné beaucoup de mal pour avoir une aussi bonne forme physique. Si non il a les cheveux plutôt courts, un regard sérieux et toujours quelques poils au menton. La plupart du temps quand il travail, il porte un costume qui lui donne encore plus l’air sérieux. Les femmes aiment généralement son look mais il ne s’habille pas ainsi pour être beau mais professionnel. Au niveau de son apparence physique, on peut aussi remarquer qu’il porte toujours une montre assortie au costar et ne sors jamais sans son téléphone high tech qu’il a constamment entre les mains.


Situation de départ : Sherlock n’est pas inexpérimenté dans ce domaine-là, tout simplement car il tente encore de trouver une réponse simple aux comportements des femmes et se doit pour cela de les étudier avec attention =p

Autres : Il aime beaucoup la technologie, son téléphone est un des outils dont il se sert le plus pour résoudre une enquête.

Comment avez-vous connu le forum: Doublette.

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Et bien oui, mais seulement par bouche à oreille.

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