Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Aya

Pages: [1] 2 3 4
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 11 octobre 2010, 18:55:30 »
Oui, le retour de Law enfin, je commençais à m'inquiéter.

18h57

2
Place publique / Re : Une Vente bénéfique ou non ? [pv Don]
« le: jeudi 07 octobre 2010, 01:45:38 »
Chance ou chose voulue, il fallut que bizarrement, ce jour si, le maître de toute chose en cette demeure fasse la grasse matinée. J'eus donc toute la matinée pour me remettre de mes douleurs cérébrales et quant enfin Don apparut dans mon champ de vision, j'étais dans un meilleur état que précédemment. Par contre, il ne fallait pas être sorcier pour voir que j'avais pleuré et que j'étais fatiguée. Alors que je m'attendais à des remontrances ou carrément à des coups, Don me laissa encore une fois tranquille, me lançant tout de même la traditionnelle menace de viol à peine déguisé. D'ailleurs je commençais sérieusement à me poser la question s'il ne faisait que me menacer pour que j'aie peur, si c'était le cas, cela marchait bien pour le moment, j'avais peur. Cependant, sans que je sache vraiment pourquoi, je répondis à Don.

-Vivement ce soir dans ces cas-là, il me tarde de parler avec vous, surtout que si j'ai bien compris, je fais maintenant partis de la famille.

J'avais dit cette phrase sur un ton qui ne cachait pas que je faisais de l'ironie, d'ailleurs, je reprenais sur un ton identique.

-J'espère pour vous que les affaires se passerons bien et que votre journée, pardon, votre après-midi sera fructueuse et agréable.

Pourquoi je lui avais répondu cela, je ne sais pas vraiment. Je pense que c'était pour montrer que je n'étais pas encore éteinte et que je ne me considérais pas comme une esclave. Ces derniers jours, j'avais réagi comme telle et je considérais peut-être inconsciemment qu'il fallait que cela change. J'avais pu voir que jouer la jeune fille esclave bien soumise ne rapportait rien. Pour preuve, la lapine qui obéissait sans dire un mot à Don s'était fait tabasser dès la première petite erreur. Alors oui, j'allais obéir à Don, mais je n'allais pas faire la soumise, cela ne me rapportait rien, et puis chose bizarre, il ne semblait pas frapper quand on lui disait le fin fond de sa pensée, ça semblait même l'amuser, en tout cas c'était le cas lors de ma rencontre avec lui. 


Ayant l'après-midi tranquille, j'en profitais pour d'abord me reposer un peu et ensuite, faire quelques exercices d'assouplissement, rester enchainer sans bouger et dormir par terre n'est pas trop bon pour le corps et si je voulais m'enfuir, il fallait que je sois dans de bonne condition physique. Pourquoi je ne profitais pas de ce moment pour m'échapper ou m'entraîner au crochetage, eh bien d'abord parce que j'avais trop peur de me faire surprendre par une des esclaves de Don, j'avais pu remarquer que ce dernier les avait parfaitement en son pouvoir et que je devais donc me méfier d'elles autant que de Don, si je voulais m'échapper, il ne fallait pas compter sur elles. La deuxième raison était que je suspectais Don de me surveiller même s'il n'était physiquement pas présent, le fait qu'il ne se lève pas le jour où je ne suis pas bien et que personne ne me fasse rien. Je trouvais cela bizarre, à croire que Don voulait me préserver pour quelque chose. A par le marquage au fer rouge et le fait d'être nu devant des hommes, je n'avais rien eu de comparable aux autres filles. Alors qu'attendait Don pour me violer, il ne faisait que me menacer mais ne me touchait jamais. Pas que cela me tardais, mais c'était bizarre, le premier jour il semblait bien avoir envie de ravir ma virginité et maintenant, il ne faisait que reporter le moment fatidique. C'était bizarre, d'ailleurs, je contais questionner Don si ce soir rien n'évoluait, que contait-il vraiment faire de moi, allait-il me garder pour lui, me vendre, m'utilisait comme ses autres esclaves.

Alors non, je ne tentais pas de m'échapper cet après-midi, considérant que j'avais plus de chance de parvenir à mes fins la nuit et me questionnant sur Don et ces véritables intentions. Ainsi que ses moyens, il était le meilleur esclavagiste du monde, je ne devais pas l'oublier, donc échapper à son emprise ne serait pas facile et je me doutais bien que savoir crocheter une serrure ne serait pas suffisant.     

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:40:20 »
* A envie de lui envoyer une dague dans la tête mais ce dit qu'elle ne fait pas le poids fasse à un sorcier, part donc hors de l'horloge sans se retourner.

00h42

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:35:10 »
*ne dit plus un mot et attend que le magicien (ou une bonne âme) la libère*

00h37

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:28:29 »
Mais je suis polie.

Et il y a pas d'age pour la perversité, vieux pervers vas ^^

Et tant que j'y suis, touche moi encore une fois et je te plante mes poignards dans les parties en criant au viol.

00h30

6
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:24:29 »
*se masse les fesses*

Non mais ça va pas, vous vous prenez pour qui pour mettre des fessées comme ça aux jeunes filles, pervers. Vous êtes pas mon père que je sache et puis, j'ai passé l'age des fessés.

00h26 

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:14:01 »
*se tient la jambe et clopine*

Saleté de petite [censuré] , attend que je te rattrape toi, tu vas avoir une fessé comme jamais tu n'as reçu.

00h16

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 07 octobre 2010, 00:09:35 »
Oui bon d'accord, vu comme cela, je peux rien dire. Mais pauvre gosse, il va avoir une enfance de mer....

Un câlin de temps en temps c'est bien quand même. Et pour l'inu, eh bien là, je croie qu'il y a eu un abus de câlins.

00h11

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 octobre 2010, 23:57:31 »
Comment dresser vos enfants, mais les enfants ne se dressent pas. Les enfants, on les élève et si possible, avec de l'amour.

23h59

10
La danse, voilà la seule chose qui, je crois, m'apaise à coup sûr, quand je danse, plus rien n'a d'importance hormis le prochain pas et la prochaine mesure sûr laquelle je dois m'accorder. Malheureusement, si la danse m'apaise, ce n'est pas le cas de tout le monde et à cause de l'alcool, que beaucoup d'hommes ne savent pas boire avec modération, un ivrogne vint mettre un terme prématuré à notre représentation. En effet ce dernier tenta de se saisir d'une de mes compagnes, mais heureusement, il ne put arriver à ses fins car ayant un peu l'habitude de ce genre de situation, nous lui échappâmes sans difficulté en reculant précipitamment. Cependant, notre action augmenta la colère de l'ivrogne qui se mit à nous menacer avec une arme blanche. Alors que je me préparais à le désarmer en lui lançant un poignard dans la main, je fus devancée par un jeune homme qui régla son compte à l'homme en très peu de temps. En effet, il mit un terme à l'agressivité de l'homme en lui faisant traverser une table avec une telle facilitée que cela en fut effrayent et fascinent à la fois. Une fois ce petit entracte non voulut terminé, les autres danseuses et moi-même reprîmes doucement là où nous nous étions arrêtées et après quelques minutes, tout le monde avait oublié l'incident, il ne restait d'ailleurs comme preuve que les débris de la table que l'ivrogne avait traversé.

Cependant, je n'avais pas oublié l'homme et entre deux trois mouvements, je lui jetais un coup d'œil, en effet, je pensais avoir peut-être trouvé un véritable combattant et j'espérais qu'il ne parte pas avant que je puisse au moins lui parler. C'est donc avec une certaine excitation que j'attendis que notre pause arrive et une fois qu'elle fut là, au lieu de me diriger vers ma chambre ou vers les coulisses comme à mon habitude, je me dirigeais vers le jeune homme qui s'était installé dans un coin tranquille de l'auberge, ce dernier semblait enchainer les verres de bières et pourtant, je ne voyais aucun signe d'ivresse sur son visage. M'asseyant donc en fasse de lui, je lançais la conversation pour savoir s'il correspondait au genre de personne que je recherchais.

-Bonsoir... Je tenais à vous remercier pour votre aide. C'est vraiment gentil de vous être occupé de la personne qui nous menaçait moi et mes camarades. D'ailleurs, j'avoue avoir été très impressionné par la facilité avec laquelle vous l'avez mis hors d'état de nuire. C'est à croire que vous avez fait cela toute votre vie, mais c'est peut-être le cas, non ?

Je m'arrêtais un moment pour héler une serveuse et lui commander deux bières.

-Tu mettras ça sur ma note Judith, s'il te plait.

Je me retournais vers le jeune homme.

-Laisser moi vous offrir le prochain verre en remerciement, et si cela vous dit, vous tenir compagnie cette soirée.

11
Prélude / Re : Une bête sortie de sa cage.
« le: samedi 02 octobre 2010, 22:11:39 »
Bienvenue

12
Place publique / Re : Une Vente bénéfique ou non ? [pv Don]
« le: vendredi 01 octobre 2010, 02:23:44 »
J'ai le sommeil lourd, pourtant, était-ce par le fait que j'étais stressé et paniqué ou bien parce-que j'étais mal installé. Je me réveillais plusieurs fois et chaque fois, je pouvais entendre crier la pauvre fille que Don avait amené avec lui. D'ailleurs, je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ce serait bientôt mon tour, au moins, j'étais fixée sur une chose, Don était violent. D'ailleurs, je pus voir les ravages qu'il avait causés dès le lendemain, la terranide chatte avait du mal à marcher et à voir son visage, on pouvait facilement deviner qu'elle avait passé un très mauvais moment. Pour moi, la mâtiné se passa dans un calme étonnant, le maître des lieux ne me donnant aucun ordre et m'ignora totalement. Je restais donc assis par terre à regarder les autres esclaves nettoyer les lieux. Vers midi, j'eus droit au spectacle de la violence de Don, en effet, il tabassa sans aucune pitié la terranide lapine qui avait fait malencontreusement tomber un plateau de nourriture. A ce si, je ne dis ni ne fis rien, dans ma situation, je ne devais pas me faire mal voir, de plus, je ne pouvais pas lutter contre la montagne de muscle qu'était Don. Je ne fis donc qu'assister à la pluie de coups que du subir la pauvre lapine. Enfin, vers la fin de l'après-midi, il m'annonça que j'aurais à distraire des invités dans la soirée. Dès qu'il m'annonça cette nouvelle et qu'il me donna une plus grande liberté en rallongeant ma chaine, je me lançais dans quelques exercices d'assouplissements. Je n'avais pas dansé depuis un long moment et une reprise aussi directe avec pour enjeu ma nourriture .... Je me devais d'offrir un spectacle exceptionnel aux invités.      

Je n'eus tu aux plus qu'une heure pour m'échauffer avant l'arriver de ces derniers et à peine furent-ils installaient que le maître de lieux me donna l'ordre de les distraire. A peine eu-t-il donné l'ordre que je m'élançais, et si l'absence de vêtements et les remarques assez désagréable me génèrent, je n'en montrais rien. Pour tout dire, une fois lancé dans mes danses, je ne fais plus attention à rien d'autre. C'est donc plutôt la chaine autour de mon cou et les mains baladeuses qui me génèrent. Cependant, malgré ces entraves, je pense quand même avoir fournis un excellent spectacle à tout le monde. Malheureusement, le reste de la soirée fut bien plus moche à voir. Je dus observer les autres filles servir de sac à foutre à tous les invités, ces derniers traitant les femmes avec encore moins de respect qu'il ne le ferait avec leurs animaux domestiques.

Malheureusement, mon compte d'horreur n'était pas finis et ce fut moi qui eu à subir la dernière horreur de la journée. En effet, une fois que les invités furent enfin partie, Don m'annonça que j'allais faire partie de leur famille. Je n'eus pas longtemps à m'interroger sur le sens de sa phrase, à peine avait-il finit sa phrase que les autres esclaves m'attrapèrent et me couchèrent sur le ventre au sol. Bien sûr, j'eus le réflexe complètement vain et inutile de me débattre avant de hurler de douleur sous la torture qu'effectuer Don sur ma fesse droite. En effet, il me marqua à la manière dont on marque le bétail. Une fois la marque de sa propriété apposé sur mon corps, il me laissa encore seule pour cette nuit.

Il me fallut plusieurs heures pour me remettre de cette épreuve, il faut dire qu'à part les douleurs provoquées par mes maux de tête, je n'avais encore jamais eu aussi mal. Enfin, quant la douleur finit par être supportable, je reprenais mon entrainement au crochetage et cette fois si, je continuerais même si un mal de tête se faisait sentir, je n'arrêterais pas. J'avais pu voir de mes propres yeux ce qui m'attendaient et je ne voulais pas le subir. J'avais déjà subi la marque indélébile de l'esclave et cela était déjà trop. D'ailleurs, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à tout ce qu'elle pouvait signifier. Don disait que cette marque était là pour me rappeler que toute ma vie je lui appartiendrai. Cela voulait-il dire qu'il contait me garder pour lui et ne pas me revendre, voilà une perspective qui ne me plaisait pas du tout et cela forçait l'urgence de ma fuite. Me concentrant donc à nouveau sur mon travail, je tentais à nouveau d'ouvrir ce satané collier. Malheureusement, même en y passant toute la nuit, je n'obtenue aucun résultat vraiment probant, cependant, au prit d'un mal de tête encore plus douloureux que le marquage au fer rouge, je compris enfin le système et la méthode à employer. Malheureusement pour moi, je ne pus pas la mettre en pratique pour trois raisons, déjà le matin se rapprocher à grand pas et je risquais de me faire surprendre. Ensuite, je n'avais pas un matériel suffisamment adapté, pour ouvrir une serrure avec une simple fourchette tordue dans tous les sens, il me faudrait autant de chance que de talent. Enfin, ma douleur à tête était telle que ne pouvait rien faire d'autre que me rouler par terre en gémissant et en pleurant. D'ailleurs, je craignais que Don me frappe quand il me retrouverait dans cet état, car j'étais sûre de l'être encore quand il arriverait.           

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Place publique / Re : Une Vente bénéfique ou non ? [pv Don]
« le: vendredi 24 septembre 2010, 19:26:35 »
Et bien non, Don ne semblait pas vouloir ravir ma virginité sur-le-champ, pourtant, il semblait bien pressé de le faire avant que je parte me laver. Bizarre, l'attente avait-elle coupé ces envies, peut être, à moins que cela soit la faim car il me donna l'ordre de préparer son repas. Ce que je fis bien entendu de mon mieux et sans attendre, profitant du fait que je sois à la cuisine pour me préparer en même temps un petit quelque chose, c'est que j'avais faim. Vu que la cuisine de Don était plus que bien remplis et je n'eus aucun mal à préparer les quelques plats dont je connaissais la composition. Ensuite, allaient-ils plaire au maître des lieux, cela était une autre histoire, mes plats étaient assez simples, je ne suis pas une grande cuistot et la cuisine n'est pas mon domaine. Cependant, cela n'eut pas trop l'air de le déranger vu la manière dont il engloutit les plats que je lui présentais. Enfin, quand il eut finie de manger, il m'attacha au pied de la table et partit se coucher en compagnie de la terranide chatte, m'annonçant au passage qu'il me gardait pour le lendemain.

Je me retrouvais donc seule dans le salon et bien entendu, des idées de fuite fusèrent dans ma tête. Cependant, j'y mis vite bon autre, comme on le dit souvent, chaque chose en son temps. Je devais donc réfléchir de façon posée. En premier, pour m'échapper, je devais trouver de quoi à me couvrir. En effet, sortir nu dans les rues serait un appel direct au viol, cependant, il semblait que tout ce qui pouvait servir à dissimuler mon corps avait disparu, même la nappe qui se trouvait sur la table avant mon arrivée n'était plus là. Coup du destin, je ne pensais pas, j'y voyais plutôt un coup de Don, voulait-il me tester, peut-être, de toute manière, je ne contais pas m'enfuir ce soir, il y avait trop d'inconnu. La première chose que je devais apprendre était combien de garde la demeure de Don avait et quels étaient leurs roulements. Car oui, un manoir comme cela devait bien avoir des gardes, au moins pour empêcher qu'un voleur n'entre et vole les tableaux que je devinais de valeur qui se trouvaient dans la demeure. A moins que Don possède un système de protection magique, dans tous les cas, je n'en savais pas assez.

De toute manière, pour le moment, j'étais enchaînée à la table, il fallait donc que je puisse d'abord me libérer de ma chaine. Déjà, l'idée de soulever la table était à exclure, cette dernière était beaucoup trop lourde pour moi. Et puis, m'enfuir avec une chaine autour du cou ne ferait que signaler à tout le monde que j'étais une esclave en fuite. Hors, à Nexus, l'esclavage est autorisé et donc, j'allais vite fait bien fait retourner sur l'étal de vente et à la case départ. Ce que je pouvais faire par contre était de crocheter mon collier de fer. Vérifiant que vraiment personne m'observait, je prenais donc une fourchette dont je pliais péniblement les dents pour me faire un crochet. Ensuite, eh bien, ce fut un entrainement de plusieurs heures qui ne donna malheureusement rien et pour cause, déjà, je n'avais jamais tenté ce genre d'exercice, ensuite, je ne pouvais pas voir ce que je faisais et travaillais donc à l'écoute et au jugé. De plus, je fus vite forcée d'arrêter car mon maux de tête, qui c'était calmé pendant que je préparais le repas, revient vite au grand calot et m'arracha même quelques larmes de douleurs. Autant dire qu'après avoir remis la fourchette en bon état et à sa place, je m'installais tant bien que mal sur le sol et tentais de m'endormir, ce qui finit par arriver après de longues minutes.  

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Les bas fonds / Re : In der Halle des Bergkönigs.. [Ouvert, MP]
« le: jeudi 23 septembre 2010, 01:29:15 »
Non décidément, je n'arrivais pas à comprendre et anticiper les actions de Law. Je pensais qu'il allait littéralement entrer en rage, chose que je craignais plus ou moins consciemment quand il retira ses doigts. Cependant, au lieu de recevoir des coups violents, Law, après avoir goûté à mon jus intérieur, commença à me caresser, puis il disposa des baisés sur les cibles de sa violence précédente.

Oui, cette réaction ne pouvait que me troubler, est-ce mes gémissements qui avaient déclenché cette douceur, car oui, maintenant Law faisaient preuve de douceur, caressant mes hanches pour remonter jusqu'à mes seins auxquels il fit subir un traitement plus qu'agréable. D'ailleurs, il dut surement le remarquer au nombreux soupirs et gémissements qui s'échappaient. De plus, je commençais à me tortiller, même si j'apprécie ses douces tortures, j'ai comme réflexe d'essayer de mis soustraire, cela est plus fort que moi. Et alors que Law commençait  à frotter son ventre contre mes fesses, je remuais ces dernières, pas dans le but de l'exciter, mais plutôt dans le but de me défaire de ses attentions que j'ai énormément de mal à supporter, cela n'est pas volontaire, c'est instinctif. D'ailleurs, tout ce que je faisais à cet instant était instinctif.

Même quand Law présenta enfin membre que je sentais dressé à mes portes intimes, cela ne me fit pas revenir à mon état normal, je n'avais plus la froide et profonde réflexion habituelle. Law me traitait de chienne, à ce stade-là, il n'avait pas tellement tort, je réagissais comme un animal, à l'instinct. Hors là, mon instinct ne faisait que me dire de me soustraire à ces douces caresse que j'appréciais pourtant beaucoup. Et alors que je savais que c'était totalement inutile, j'essayais de m'échapper, tirant de toutes mes forces sur les chaînes qui me retenaient captives, chaînes qui cliquetaient dans le concert de gémissement que je poussais, car le Maître de Lieu, mon maître actuel, au lieu de mettre un terme aux délicatesses qu'il faisait sur mes seins, en rajouta même plus. En effet, il se mit à caresser mon intimité sans jamais la forcer, augmentant ainsi l'intensité de mes gémissements de plaisirs, qui était pourtant déjà assez important.

Et alors que j'avais précédemment eu peur de l'acte qui allait surement suivre, je le voyais maintenant comme une chose normale qui ne faisait que suivre les précédentes actions. Il faut dire quand jouant sur la douceur, Law me faisait subir quelque chose auquel je n'étais pas habitué. Et cela y faisait beaucoup.

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Les bas fonds / Re : In der Halle des Bergkönigs.. [Ouvert, MP]
« le: mardi 21 septembre 2010, 15:49:36 »
De la frustration, Law était frustré. Si j'avais été une observatrice extérieure et non pas la victime de la frustration, de la colère et de la rage de Law, cela m'aurait fait bien rire. D'ailleurs, j'allais encore lui répondre que c'était ses traitements précédent et la peur des futurs qui me faisaient être docile, mais je n'en eus pas l'occasion. Le maître, voulant obtenir des cris de souffrance de ma part, enfonça profondément et sans aucune douceur ses doigts dans mon jardin secret. Et comme il l'espérait, je poussais rapidement un cri montrant ma douleur.

Ce qui suivit ensuite commença à me faire perdre raison. En effet, je commençais à osciller entre plaisir et douleur. Douleur, car Law avait recommencé à martyriser mes fesses en les frappants de sa main libre, d'ailleurs, après un tel traitement, j'étais sûre de ne pas pouvoir m'asseoir pendant un long moment. Plaisir, car même si les mouvements des doigts de mon tortionnaire en moi n'était surement pas fait en ce sens, ils me provoquaient un plaisir impossible à dissimuler. D'ailleurs, mon corps commençait à s'habituer et réagir, la cyprine commençait à couler, rendant les frottements plus agréable au fur et à mesure que le temps s'écoulait.


Autant dire que non, je n'hurlais pas, c'était plutôt des gémissements de plaisir et de douleur mêlaient qui sortaient de ma gorge. Je me doutais que cela allait encore plus énerver Law, je prenais du plaisir alors que, sans vraiment le vouloir, je lui enlevais le sien. Mais que voulez-vous, il y a des choses qui ne ce contrôle pas.

[Hrp : désoler un peu court, mais je ne voyais pas quoi dire de plus]

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