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Prélude / Re : L'elfe céleste [VAL.]
« le: mercredi 04 août 2010, 07:46:16 »
Etrange ... étrange ... j'ai l'impression de t'avoir déjà vu quelque part ...
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Prélude / Re : Cobalt [VAL.]
« le: mercredi 04 août 2010, 07:42:16 »
Bonjour et bienvenue ! Un guerrier ^^ chic j'en cherche un pour un rp avec mon autre perso, je vais te mp avec l'autre compte pour en parler ^^
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Prélude / Re : Lyezra, la zolie extraterrestre.
« le: mercredi 04 août 2010, 07:39:01 »
Bonjour et bienvenue ! Voilà encore plus bizarre que moi une slim ! J'en avais jamais vu ! ça se mange ? ça vaut cher ?
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Prélude / Re : Apsara [VAL.]
« le: mercredi 04 août 2010, 07:37:15 »
Bienvenue à toi ! On te l'a déhà dit mais c'est vrai que c'est une idée très intéressante que tu joues là ^^
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Prélude / Re : Une nouvelle histoire [Valibreizh]
« le: jeudi 29 juillet 2010, 09:29:15 »
Bienvenue également ! J'espère que tu t'amuseras bien parmis nous !
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Prélude / Re : Hva faen ? [Validécolorée]
« le: jeudi 29 juillet 2010, 09:26:40 »
Bienvenue ! Et bien ça c'est de l'inspiration !
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L'auberge du Coucher de Lune / Re : Un éprouvant voyage [Pv Kimiko]
« le: mercredi 28 juillet 2010, 08:01:11 »
« Oh oh ! Voilà un choix fort intéressant ! », dis je en souriant en voyant la tenue, « Je me demande si tu l'as fait exprès ou si tu n'as pas idée dans quoi tu t'engages ! »
Je ne porte habituellement cela que pour les cambriolages, une tenue très sombre et très moulante. L'avantage en plus d'être incroyablement sexy c'est la grande liberté de mouvement qu'elle me procure et son efficacité au camouflage. L'inconvénient c'est sa grande difficulté à enfiler et à retirer, je passe facilement 20 minutes à me tortiller et à sautiller à chaque fois. Ce qui n'est pas pour déplaire à mon renard chéri.
*Ma tenue préférée ! J'adore !*
« Foxy dit qu'après me voir me promener nue, c'est sa tenue préférée », dis je en riant, cherchant si ma nouvelle amie en rougit.
Je peux lui compliquer la tâche pour m'amuser, j'aime bien m'amuser, mais je ne veux pas non plus qu'elle décide d'arrêter. Alors je la laisse me coucher sur mon lit, je lève les jambes, elle a doit avoir une vue de rêve sur ma croupe. Je ris quand elle commence à m'habiller, elle réalise que c'est bien plus dur qu'elle n'y pensait, d'autant que ma jolie queue en panache viens lui caresser le ventre, lui chatouiller le nombril ! C'est une vraie canaille, j'ai déjà essayé de lui dire d'être sage mais rien à faire.
« hhhuuuummm c'est très agréable … je pourrai y prendre goût ... »
Elle me masse les jambes en m'enfilant mon pantalon, impossible qu'elle ne le fasse pas exprès, mais j'adore ça. Quand elle glisse sur mes petites fesses bien rondes et duveteuses, je pousse un gémissement de plaisir, je me dandine sensuellement sous ses doigts, un vrai régal. Je m'assoie et lui sourie, seins nus face à elle, mais jolis tétons roses sorties des mamelons, dardant de façon provocante et orgueilleuse. J'ai envie qu'elle les embrasse mais elle se contente de m'enfiler le haut de la tenue.
« C'est la première fois qu'on m'habille … je trouve ça très agréable … peut être voudras tu rester avec moi plus longtemps après le concours ... »
Je me lève et m'étire, la tenue s'ajuste, c'est comme une seconde peau tant elle est fine. Dans mon dos elle passe timidement la main à la naissance de mon sexe et remonte la fermeture en une caresse délicate. Quand elle finit, je me retourne et l'enlace, la regarde dans les yeux, elle est si belle. Je la croche avec les jambes et la fait tomber sur le lit, moi au dessus de son corps, face à face. Ma voix est chaude et sensuelle, joueuse et amusée.
« C'était parfait Layla … enfin presque … crois tu que je sois le genre de femme à sortir sans sous vêtements ? Je vais devoir encore te punir »
Et avant qu'elle puisse répondre, sous le regard ravi de Foxy qui profite de la scène en silence, je me penche et l'embrasse de nouveau. Maman dit qu'il ne faut pas embrasser les clients, que c'est trop intime, que nos lèvres ne sont que pour ceux qu'on aime. Je comprend en embrassant Layla avec fougue et passion, dévorant ses lèvres avec envie et gourmandise pourquoi. C'est si bon un simple baiser qu'il faut bien évidement l'offrir qu'aux êtres chers quand on pratique son métier.
« Voilà pour avoir oublié mon soutien gorge … pour le bas, je vais moi aussi te priver de tes dessous ... »
Et avant qu'elle n'ai pu protester, je glisse sur son corps, ma fourrure caressant sa peau avec douceur. Je fais face à ses seins et je souris, j'en ai déjà vu mais jamais dénudé. Ma gueule glisse sous la bande de tissu qui les cache, se referme dessus et en soulevant la déchire, dévoilant les deux collines sombre que je convoite.
« Je te promet de t'en acheter un nouveau … en attendant tu peux piocher une tenue dans ma garde robe … à moins que je ne te promène comme ça … ça pourrait être excitant … »
J'ai souvent vu des femmes promenées nues au bout de laisse, j'ai toujours eu de la pitié pour elle, et voilà que je me demande ce que peux ressentir la personne qui promène l'autre … Mais tout ceci n'est qu'un détail pour plus tard, je me penche sur sa poitrine et commence à la lécher avec envie, remontant en de petit cercle d'une lenteur savamment étudiée vers le téton. Quand enfin je l'atteins je m'en empare joueuse, je le mordille coquine de mes crocs pointus et dangereux.
Je ne porte habituellement cela que pour les cambriolages, une tenue très sombre et très moulante. L'avantage en plus d'être incroyablement sexy c'est la grande liberté de mouvement qu'elle me procure et son efficacité au camouflage. L'inconvénient c'est sa grande difficulté à enfiler et à retirer, je passe facilement 20 minutes à me tortiller et à sautiller à chaque fois. Ce qui n'est pas pour déplaire à mon renard chéri.
*Ma tenue préférée ! J'adore !*
« Foxy dit qu'après me voir me promener nue, c'est sa tenue préférée », dis je en riant, cherchant si ma nouvelle amie en rougit.
Je peux lui compliquer la tâche pour m'amuser, j'aime bien m'amuser, mais je ne veux pas non plus qu'elle décide d'arrêter. Alors je la laisse me coucher sur mon lit, je lève les jambes, elle a doit avoir une vue de rêve sur ma croupe. Je ris quand elle commence à m'habiller, elle réalise que c'est bien plus dur qu'elle n'y pensait, d'autant que ma jolie queue en panache viens lui caresser le ventre, lui chatouiller le nombril ! C'est une vraie canaille, j'ai déjà essayé de lui dire d'être sage mais rien à faire.
« hhhuuuummm c'est très agréable … je pourrai y prendre goût ... »
Elle me masse les jambes en m'enfilant mon pantalon, impossible qu'elle ne le fasse pas exprès, mais j'adore ça. Quand elle glisse sur mes petites fesses bien rondes et duveteuses, je pousse un gémissement de plaisir, je me dandine sensuellement sous ses doigts, un vrai régal. Je m'assoie et lui sourie, seins nus face à elle, mais jolis tétons roses sorties des mamelons, dardant de façon provocante et orgueilleuse. J'ai envie qu'elle les embrasse mais elle se contente de m'enfiler le haut de la tenue.
« C'est la première fois qu'on m'habille … je trouve ça très agréable … peut être voudras tu rester avec moi plus longtemps après le concours ... »
Je me lève et m'étire, la tenue s'ajuste, c'est comme une seconde peau tant elle est fine. Dans mon dos elle passe timidement la main à la naissance de mon sexe et remonte la fermeture en une caresse délicate. Quand elle finit, je me retourne et l'enlace, la regarde dans les yeux, elle est si belle. Je la croche avec les jambes et la fait tomber sur le lit, moi au dessus de son corps, face à face. Ma voix est chaude et sensuelle, joueuse et amusée.
« C'était parfait Layla … enfin presque … crois tu que je sois le genre de femme à sortir sans sous vêtements ? Je vais devoir encore te punir »
Et avant qu'elle puisse répondre, sous le regard ravi de Foxy qui profite de la scène en silence, je me penche et l'embrasse de nouveau. Maman dit qu'il ne faut pas embrasser les clients, que c'est trop intime, que nos lèvres ne sont que pour ceux qu'on aime. Je comprend en embrassant Layla avec fougue et passion, dévorant ses lèvres avec envie et gourmandise pourquoi. C'est si bon un simple baiser qu'il faut bien évidement l'offrir qu'aux êtres chers quand on pratique son métier.
« Voilà pour avoir oublié mon soutien gorge … pour le bas, je vais moi aussi te priver de tes dessous ... »
Et avant qu'elle n'ai pu protester, je glisse sur son corps, ma fourrure caressant sa peau avec douceur. Je fais face à ses seins et je souris, j'en ai déjà vu mais jamais dénudé. Ma gueule glisse sous la bande de tissu qui les cache, se referme dessus et en soulevant la déchire, dévoilant les deux collines sombre que je convoite.
« Je te promet de t'en acheter un nouveau … en attendant tu peux piocher une tenue dans ma garde robe … à moins que je ne te promène comme ça … ça pourrait être excitant … »
J'ai souvent vu des femmes promenées nues au bout de laisse, j'ai toujours eu de la pitié pour elle, et voilà que je me demande ce que peux ressentir la personne qui promène l'autre … Mais tout ceci n'est qu'un détail pour plus tard, je me penche sur sa poitrine et commence à la lécher avec envie, remontant en de petit cercle d'une lenteur savamment étudiée vers le téton. Quand enfin je l'atteins je m'en empare joueuse, je le mordille coquine de mes crocs pointus et dangereux.
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Prélude / Re : Eilenna Kalen, just I want to cuff you ... <3 (Valithée)
« le: vendredi 23 juillet 2010, 16:16:27 »
Ah non je proteste ! Les forces de l'ordre c'est toujours un frein à l'amusement ! En plus celle là elle aime faire mal ! Si c'est pas de l'abus de pouvoir ça !
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L'auberge du Coucher de Lune / Re : Retrouvailles mouvementées [PV Kimiko]
« le: vendredi 23 juillet 2010, 11:27:01 »
*Attention !*
Je plonge de coté, j’évite la fléchette paralysante en plongeant sur le coté, je roule en poussant un cri et j’entends les bruits d’impacts sur la charrette du marchand. Mais c’est un grand malade ! Il veut me faire la peau ce con ! Pour une statue qui valait 300 pièces d’or ! Je le crois pas ! Tous les sens en alerte je reste méfiante, je reste prudente. Une fléchette passe juste au dessus de mon épaule et touche une fille qui passe. Je la croise alors qu’elle vacille et s’écroule. C’est donc des tranquillisants, au moins il essaie pas de me tuer, juste de me droguer.
Je cours le plus vite que je peux, c’est homme est vraiment rapide, il accélère en même temps que moi, l’écart ne bouge pas. Je m’engage dans une ruelle, patatra ! Je n’ai pas vu à temps les poubelles, je les percute et tombe. Foxy s’arrête en entendant le bruit et revient vers moi. Je me relève, je chancelle, je repars en petites foulées. Mais voilà que mon opposant m’a rattrapé ! Il plonge ! M’attrape à la taille et me plaque au sol. Je pousse un grognement et j’arrive à rouler avec lui.
«aaaahhhh»
Rien à faire il est plus fort, il a réussi à me clouer sur place, il est maintenant assis sur moi. Il ramène douloureusement mes bras dans mon dos. Je cherche Foxy du regard mais je le trouve pas, pourtant je sais bien qu’il ne m’aurai pas abandonné. Il se penche et je sens son souffle chaud dans le creux de mon oreille. Encore sa stupide statue ? Mais il est con ou quoi ? Je lui ai déjà dis où elle était.
«Aaaaahhhhh ! Tu me fais mal ! Lâche moi ! Lâche moi je te dis ! Je t’ai déjà dis où elle était ta statue, tu es sourd ? Je l’ai vendu ! Vendu ! Tu comprends ça ? Je l’ai plus !»
*Je suis là gamine ... gagne du temps que je puisse m’approcher de lui discrètement ... ça te laissera une chance.*
«Que je te serve ? Rien que ça ? Non mais tu te prends pour qui ? Tu sais qui je suis ? Si t’a le malheur d’y croire, il me suffit d’un mot codé dans ton dos pour que tous les voleurs de la ville te tombent dessus !»
Bon ok j’exagère beaucoup, papa et ses amis c’est pas tous les voleurs de la ville, mais c’est sûrement assez pour lui poser des ennuis. Je te dis pas si papa apprend que je suis une esclave, je le connais il va faire un massacre pour me récupérer. Je m’apprête à en rajouter quand j’entend crier. Foxy vient de bondir sur le dos de Marth, il lui laboure la peau de ses griffes et a planté les crocs dans son cou. La pression se relâche, il a besoin d’au moins une main pour se défaire de mon renard.
Je ne cherche pas plus longtemps, j’en profite ! Mais pas comme on peut s’y attendre, je ne cherche pas à me dégager, ma main se glisse à son entrejambe que je presse avec force. Papa a toujours dit que si j’étais en mauvaise posture, frapper sans hésiter entre les jambes d’un homme pour reprendre l’avantage. Je sens son poids se modifier, je pousse un cri de victoire et Foxy se dégage, saute à coté de notre adversaire. Je rampe et me relève.
«Mais t’es trop à la masse toi ! Je t’ai déjà dis où était ta statue, alors va la chercher et oublies moi ! Il est pas né celui qui fera de Kimiko une esclave !», dis je d’un ton moqueur.
Je plonge de coté, j’évite la fléchette paralysante en plongeant sur le coté, je roule en poussant un cri et j’entends les bruits d’impacts sur la charrette du marchand. Mais c’est un grand malade ! Il veut me faire la peau ce con ! Pour une statue qui valait 300 pièces d’or ! Je le crois pas ! Tous les sens en alerte je reste méfiante, je reste prudente. Une fléchette passe juste au dessus de mon épaule et touche une fille qui passe. Je la croise alors qu’elle vacille et s’écroule. C’est donc des tranquillisants, au moins il essaie pas de me tuer, juste de me droguer.
Je cours le plus vite que je peux, c’est homme est vraiment rapide, il accélère en même temps que moi, l’écart ne bouge pas. Je m’engage dans une ruelle, patatra ! Je n’ai pas vu à temps les poubelles, je les percute et tombe. Foxy s’arrête en entendant le bruit et revient vers moi. Je me relève, je chancelle, je repars en petites foulées. Mais voilà que mon opposant m’a rattrapé ! Il plonge ! M’attrape à la taille et me plaque au sol. Je pousse un grognement et j’arrive à rouler avec lui.
«aaaahhhh»
Rien à faire il est plus fort, il a réussi à me clouer sur place, il est maintenant assis sur moi. Il ramène douloureusement mes bras dans mon dos. Je cherche Foxy du regard mais je le trouve pas, pourtant je sais bien qu’il ne m’aurai pas abandonné. Il se penche et je sens son souffle chaud dans le creux de mon oreille. Encore sa stupide statue ? Mais il est con ou quoi ? Je lui ai déjà dis où elle était.
«Aaaaahhhhh ! Tu me fais mal ! Lâche moi ! Lâche moi je te dis ! Je t’ai déjà dis où elle était ta statue, tu es sourd ? Je l’ai vendu ! Vendu ! Tu comprends ça ? Je l’ai plus !»
*Je suis là gamine ... gagne du temps que je puisse m’approcher de lui discrètement ... ça te laissera une chance.*
«Que je te serve ? Rien que ça ? Non mais tu te prends pour qui ? Tu sais qui je suis ? Si t’a le malheur d’y croire, il me suffit d’un mot codé dans ton dos pour que tous les voleurs de la ville te tombent dessus !»
Bon ok j’exagère beaucoup, papa et ses amis c’est pas tous les voleurs de la ville, mais c’est sûrement assez pour lui poser des ennuis. Je te dis pas si papa apprend que je suis une esclave, je le connais il va faire un massacre pour me récupérer. Je m’apprête à en rajouter quand j’entend crier. Foxy vient de bondir sur le dos de Marth, il lui laboure la peau de ses griffes et a planté les crocs dans son cou. La pression se relâche, il a besoin d’au moins une main pour se défaire de mon renard.
Je ne cherche pas plus longtemps, j’en profite ! Mais pas comme on peut s’y attendre, je ne cherche pas à me dégager, ma main se glisse à son entrejambe que je presse avec force. Papa a toujours dit que si j’étais en mauvaise posture, frapper sans hésiter entre les jambes d’un homme pour reprendre l’avantage. Je sens son poids se modifier, je pousse un cri de victoire et Foxy se dégage, saute à coté de notre adversaire. Je rampe et me relève.
«Mais t’es trop à la masse toi ! Je t’ai déjà dis où était ta statue, alors va la chercher et oublies moi ! Il est pas né celui qui fera de Kimiko une esclave !», dis je d’un ton moqueur.
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Place publique / Re : La bêtise de trop ... [PV Lust]
« le: vendredi 23 juillet 2010, 10:15:46 »
Je frissonne de crainte à ses paroles, elle a les moyens de me tuer et sûrement en claquant simplement des doigts. Je me tortille afin de pouvoir la regarder. La lueur perverse qu’elle a dans le regard me fait de nouveau peur et m’excite à la fois, j’ai toujours eu du mal à ne pas être flattée et excitée quand quelqu’un me montre de l’intérêt, et je peux dire que là il était évident que mon corps lui plait, même si c’est inquiétant qu’il s’agisse avant tout de mon anus.
Une laisse de plus, je la suis des yeux, je suis dans une position inconfortable et difficile pour moi de bouger comme je le souhaiterai. C’est mon pauvre Foxy qui est tenu ainsi, lui qui a toujours clamé haut et fort qu’il n’était pas un animal de compagnie. Elle tire sur la laisse bien plus gentiment qu’elle ne l’a fait avec moi, elle est donc aussi capable de douceur. Foxy lui trottine jusqu’à nous, ce faux frère ne résiste même pas ! Une nouvelle surprise quand elle parle dans la langue des renards.
*Ce n’est pas ma maîtresse, c’est mon amie*, répond mon amour de renard en la regardant puis en me regardant, *Et je sais qui tu es ... tu es Lust, tu es une déesse, la soeur d’Aphrodite*
Lust ?! Oh non par la déesse ! J’ai poussé une déesse dans l’eau ! Et en plus pas n’importe laquelle ! Une déesse réputée pour son sadisme et sa perversité. On dit que le mot luxure a été inventé pour elle ! Voilà qui m’inquiète encore plus, avant de remarquer l’excitation de Foxy, je suis toujours toute troublée quand mon compagne est ainsi en érection.
*Je sais aussi que nous ne pouvons rien faire contre toi ... que le mien c’est de profiter du moment ... alors je vais pas me priver*
C’est indication qu’il donne à la déesse mais qu’il cherche à me donner à moi aussi. J’aimerai bien pouvoir aussi facilement en profiter mais c’est pas lui qui est la source du jeu pervers de la demoiselle. Elle tourne son talon sur mon anus, la pression devient plus forte, je pousse un cri, je me contracte. C’est étrange, pas habituel comme sensation, pas des plus douloureux pour le moment mais terriblement effrayant et humiliant.
«Que ? Quoi ? Non ! Pitié non ! J’ai jamais ! Pas ça pitié ! Pas avec une chaussure, pas ma première fois ainsi»
Je me dandine au sol, j’essaie de me dégager mais rien à faire, je la sens qui appuie de plus en plus fort, la pression qui augmente. La peur grimpe en flèche elle aussi, je ferme les yeux comme si l’obscurité pouvait tout faire disparaître.
«AAAAAAAAiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!! AAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!»
Je pousse un cri déchirant, un cri qui résonne sur la place du marché. Le tissu a cédé, elle n’a pas écouté mes excuses ou ne les a pas accepté. Le talon aiguille de sa chaussure s’enfonce douloureusement dans mes entrailles, je sens mon anus se rompre et le sang chaud couler le long de ma raie. J’ai les yeux grands ouverts sous le choc, j’ai des larmes qui coule et je ne m’aperçois même pas que je suis entrain de pleurer. La pression disparait, je suis légèrement soulagée mais la douleur continue à me vriller l’anus. Avec un effort je reprends mon souffle et tourne la tête, je la vois retirer son pied mais laisser la chaussure en moi.
«Pitié ... j’ai mal ... retirez la ... s’il vous plait ...»
Elle ne m’écoute pas, elle s’occupe de Foxy, elle se regarde et se transforme en renard. Lui il est aux anges, il sourit et se dandine, suivant du regard la queue en panache de Lust qui l’hypnotise. Elle disparaît et c’est une morsure qui me fait sursauter à l’intérieur des cuisses. Je pousse un cri de peur, de surprise, avant de commencer à soupirer sous les dents de ma tortionnaire.
*Avec grand plaisir oh noble déesse*
Ce renard est trop pervers pour refuser je le savais bien ! Il la rejoint en deux bonds et commence à me mordiller les cuisses également, avant de venir lécher la limite de ma fourrure, juste à la naissance du short. Je commence alors à gémir, à soupirer d’envie et de plaisir. Cette sale petite bête connait parfaitement mon corps et sait comme me faire réagir au quart de tour, comme pour le prouver il vient mordiller mes fesses à travers le tissu de mon short et je pousse des couinements de délice mêlés de rires.
*J’ai déjà eu le privilège de la gouter ... oh bien sur toujours dans l’intimité de la chambre ... et seulement avec la langue, elle a toujours refusé plus ... mais je connais bien son corps ... c’est une perverse même si elle ne l’assume pas encore ...*, les paroles de Foxy sont pleins de promesses mais je ne sais pas si c’est pour moi ou pour la déesse qu’il les prononce.
Une laisse de plus, je la suis des yeux, je suis dans une position inconfortable et difficile pour moi de bouger comme je le souhaiterai. C’est mon pauvre Foxy qui est tenu ainsi, lui qui a toujours clamé haut et fort qu’il n’était pas un animal de compagnie. Elle tire sur la laisse bien plus gentiment qu’elle ne l’a fait avec moi, elle est donc aussi capable de douceur. Foxy lui trottine jusqu’à nous, ce faux frère ne résiste même pas ! Une nouvelle surprise quand elle parle dans la langue des renards.
*Ce n’est pas ma maîtresse, c’est mon amie*, répond mon amour de renard en la regardant puis en me regardant, *Et je sais qui tu es ... tu es Lust, tu es une déesse, la soeur d’Aphrodite*
Lust ?! Oh non par la déesse ! J’ai poussé une déesse dans l’eau ! Et en plus pas n’importe laquelle ! Une déesse réputée pour son sadisme et sa perversité. On dit que le mot luxure a été inventé pour elle ! Voilà qui m’inquiète encore plus, avant de remarquer l’excitation de Foxy, je suis toujours toute troublée quand mon compagne est ainsi en érection.
*Je sais aussi que nous ne pouvons rien faire contre toi ... que le mien c’est de profiter du moment ... alors je vais pas me priver*
C’est indication qu’il donne à la déesse mais qu’il cherche à me donner à moi aussi. J’aimerai bien pouvoir aussi facilement en profiter mais c’est pas lui qui est la source du jeu pervers de la demoiselle. Elle tourne son talon sur mon anus, la pression devient plus forte, je pousse un cri, je me contracte. C’est étrange, pas habituel comme sensation, pas des plus douloureux pour le moment mais terriblement effrayant et humiliant.
«Que ? Quoi ? Non ! Pitié non ! J’ai jamais ! Pas ça pitié ! Pas avec une chaussure, pas ma première fois ainsi»
Je me dandine au sol, j’essaie de me dégager mais rien à faire, je la sens qui appuie de plus en plus fort, la pression qui augmente. La peur grimpe en flèche elle aussi, je ferme les yeux comme si l’obscurité pouvait tout faire disparaître.
«AAAAAAAAiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!! AAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!»
Je pousse un cri déchirant, un cri qui résonne sur la place du marché. Le tissu a cédé, elle n’a pas écouté mes excuses ou ne les a pas accepté. Le talon aiguille de sa chaussure s’enfonce douloureusement dans mes entrailles, je sens mon anus se rompre et le sang chaud couler le long de ma raie. J’ai les yeux grands ouverts sous le choc, j’ai des larmes qui coule et je ne m’aperçois même pas que je suis entrain de pleurer. La pression disparait, je suis légèrement soulagée mais la douleur continue à me vriller l’anus. Avec un effort je reprends mon souffle et tourne la tête, je la vois retirer son pied mais laisser la chaussure en moi.
«Pitié ... j’ai mal ... retirez la ... s’il vous plait ...»
Elle ne m’écoute pas, elle s’occupe de Foxy, elle se regarde et se transforme en renard. Lui il est aux anges, il sourit et se dandine, suivant du regard la queue en panache de Lust qui l’hypnotise. Elle disparaît et c’est une morsure qui me fait sursauter à l’intérieur des cuisses. Je pousse un cri de peur, de surprise, avant de commencer à soupirer sous les dents de ma tortionnaire.
*Avec grand plaisir oh noble déesse*
Ce renard est trop pervers pour refuser je le savais bien ! Il la rejoint en deux bonds et commence à me mordiller les cuisses également, avant de venir lécher la limite de ma fourrure, juste à la naissance du short. Je commence alors à gémir, à soupirer d’envie et de plaisir. Cette sale petite bête connait parfaitement mon corps et sait comme me faire réagir au quart de tour, comme pour le prouver il vient mordiller mes fesses à travers le tissu de mon short et je pousse des couinements de délice mêlés de rires.
*J’ai déjà eu le privilège de la gouter ... oh bien sur toujours dans l’intimité de la chambre ... et seulement avec la langue, elle a toujours refusé plus ... mais je connais bien son corps ... c’est une perverse même si elle ne l’assume pas encore ...*, les paroles de Foxy sont pleins de promesses mais je ne sais pas si c’est pour moi ou pour la déesse qu’il les prononce.
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Place publique / Re : La bêtise de trop ... [PV Lust]
« le: jeudi 22 juillet 2010, 11:55:53 »
*Je t’avais prévenu !*
J’ai moi aussi senti le vent tourner quand la foule a arrêté de parler et de rire. Jamais je n’avais vu une place aussi grande, un marché aussi animé, se vider ainsi. Il ne fallut qu’un seul battement de coeur, un seul clignement de paupières pour que plus personnes ne se trouvent ici à part moi. Même Foxy avait préféré reculer et se mettre à l’abri. Son regard me cloue sur place, je ne peux plus bouger, j’avale ma salive effrayée. Elle sort de la fontaine avec une aisance et l’attitude d’une reine, comme s’il n’y avait pas eu de mauvaises farces.
«Co ... comment ?»
J’arrive à prononcer un mot, juste un, son regard me prive de la parole, me forçant à déglutir de nouveau. Ses vêtements sont secs ! Je ne sais pas comment elle a fait ça, mais il n’y a plus une seule goutte d’eau sur elle, comme si je ne l’avais jamais poussé. Les choses s’enchaînent alors avec encore plus de vitesse, les paroles sont légèrement moqueuses, hargneuses. Le dernier mot lui est autoritaire, il ne laisse place à aucune protestation.
«AAAAhhhhh !»
Collier et laisse à mon cou comme un animal, elle tire d’un coup sec. La surprise et la force de la demoiselle me font trébucher, je me retrouve contre elle, les yeux se dilatant de peur. Elle me saisit par la touffe de poils à la naissance de mes seins et encore une fois avec une force qui n’a rien de naturel me plaque au sol, me renversant. Je pousse un nouveau cri alors que je me sens tombée, jusqu’à ce que j’heurte les pavés de pierre, étourdie de la chute.
«Hhhhhhhhiiiiiiii !»
Des chaines s’enroulent à mon corps liant mes poignets devant moi, attachant mes chevilles, m'immobilisant. Je suis retournée sans qu’elle me touche, elle a des pouvoirs magique qui dépassent tout ce que j’ai jamais vu ou même entendu. J’ai lâché son string qui traine quelque part par terre. Je me tortille de peur alors que son pied se pose sur mes fesses, je pousse un nouveau cri quand le talon aiguille de sa chaussure vient presser avec une effrayante précision mon anus à travers mon short.
«Pi ... Pitié ! Je n’aurai pas du ! Je ne savais pas ! Je ... je ne peux pas m’empêcher de faire des bêtises !», la panique emplie ma voix, j’ai du mal à croire qu’une petite farce, certes un peu méchante, mais pas si grave tourne ainsi, «Je ne recommencerai plus jamais je vous le jure ! Pitié ne faite pas ça ! laissez moi partir ! Je recommencerai pas !»
Je suis totalement à sa merci et rien ne m’assure qu’elle va accepter mes excuses, je la cherche par dessus mes épaules et croise son regard. C’est évident qu’elle a une idée derrière la tête, c’est évident que j’ai fait une grosse grosse bétise en m’en prenant à elle. J’avale de nouveau pleine de peur, que va-t-il m’arriver ?
*En tout cas c’est vachement excitant !*
La pensée de Foxy me surprend, je le cherche du regard, je le trouve, il a les yeux brillant, plein de luxure. Un instant la peur se mélange à son excitation et moi aussi je me sens légèrement troublée, jusqu’à ce que je sente le talon bouger, alors la peur me submerge de nouveau.
*J’espère qu’elle va le faire ... et qu’elle va faire d’autres choses aussi ... t’inquiètes pas ... si elle tente de te tuer j’interviens ... sinon ... c’est comme voir un fantasme se réaliser ...*
J’ai moi aussi senti le vent tourner quand la foule a arrêté de parler et de rire. Jamais je n’avais vu une place aussi grande, un marché aussi animé, se vider ainsi. Il ne fallut qu’un seul battement de coeur, un seul clignement de paupières pour que plus personnes ne se trouvent ici à part moi. Même Foxy avait préféré reculer et se mettre à l’abri. Son regard me cloue sur place, je ne peux plus bouger, j’avale ma salive effrayée. Elle sort de la fontaine avec une aisance et l’attitude d’une reine, comme s’il n’y avait pas eu de mauvaises farces.
«Co ... comment ?»
J’arrive à prononcer un mot, juste un, son regard me prive de la parole, me forçant à déglutir de nouveau. Ses vêtements sont secs ! Je ne sais pas comment elle a fait ça, mais il n’y a plus une seule goutte d’eau sur elle, comme si je ne l’avais jamais poussé. Les choses s’enchaînent alors avec encore plus de vitesse, les paroles sont légèrement moqueuses, hargneuses. Le dernier mot lui est autoritaire, il ne laisse place à aucune protestation.
«AAAAhhhhh !»
Collier et laisse à mon cou comme un animal, elle tire d’un coup sec. La surprise et la force de la demoiselle me font trébucher, je me retrouve contre elle, les yeux se dilatant de peur. Elle me saisit par la touffe de poils à la naissance de mes seins et encore une fois avec une force qui n’a rien de naturel me plaque au sol, me renversant. Je pousse un nouveau cri alors que je me sens tombée, jusqu’à ce que j’heurte les pavés de pierre, étourdie de la chute.
«Hhhhhhhhiiiiiiii !»
Des chaines s’enroulent à mon corps liant mes poignets devant moi, attachant mes chevilles, m'immobilisant. Je suis retournée sans qu’elle me touche, elle a des pouvoirs magique qui dépassent tout ce que j’ai jamais vu ou même entendu. J’ai lâché son string qui traine quelque part par terre. Je me tortille de peur alors que son pied se pose sur mes fesses, je pousse un nouveau cri quand le talon aiguille de sa chaussure vient presser avec une effrayante précision mon anus à travers mon short.
«Pi ... Pitié ! Je n’aurai pas du ! Je ne savais pas ! Je ... je ne peux pas m’empêcher de faire des bêtises !», la panique emplie ma voix, j’ai du mal à croire qu’une petite farce, certes un peu méchante, mais pas si grave tourne ainsi, «Je ne recommencerai plus jamais je vous le jure ! Pitié ne faite pas ça ! laissez moi partir ! Je recommencerai pas !»
Je suis totalement à sa merci et rien ne m’assure qu’elle va accepter mes excuses, je la cherche par dessus mes épaules et croise son regard. C’est évident qu’elle a une idée derrière la tête, c’est évident que j’ai fait une grosse grosse bétise en m’en prenant à elle. J’avale de nouveau pleine de peur, que va-t-il m’arriver ?
*En tout cas c’est vachement excitant !*
La pensée de Foxy me surprend, je le cherche du regard, je le trouve, il a les yeux brillant, plein de luxure. Un instant la peur se mélange à son excitation et moi aussi je me sens légèrement troublée, jusqu’à ce que je sente le talon bouger, alors la peur me submerge de nouveau.
*J’espère qu’elle va le faire ... et qu’elle va faire d’autres choses aussi ... t’inquiètes pas ... si elle tente de te tuer j’interviens ... sinon ... c’est comme voir un fantasme se réaliser ...*
14
L'auberge du Coucher de Lune / Re : Un éprouvant voyage [Pv Kimiko]
« le: jeudi 22 juillet 2010, 11:17:05 »
*Tu vois je te l’avais bien dit*, ajoute en riant lui aussi aux éclats ce stupide renard.
«C’est pas ma faute à moi si j’adore parler quand même ! Le silence c’est EN-NUY-YEUX», et puis c’est vrai d’abord, si je parlais pas on se regarderai comme deux idiotes.
J’ai rougis quand elle a accepté, je m’y attendais pas, ou peut être bien que ci. En tout cas ça m’inquiète un peu, j’ai jamais laissé une femme me déshabiller, j’ai jamais laissé personne le faire, à part maman bien sur, mais quand j’étais encore toute petite. Elle commence à défaire timidement mon bustier, ça me rassure qu’elle soit timide, on dirait qu’elle a pas plus l’habitude que moi et que ça la trouble aussi, mais pas que ça la dégoute.
«C’est la première fois ... qu’on me déshabille»
Je rougis alors qu’elle dévoile mes seins, mon pelage roux vire au blanc neige sur ma poitrine avant de céder la place à une chair bombée et rose, celle de mon mamelon. A l’intérieur deux petits creux, des tétons inversés qui ne sortent que quand je suis très excitée et c’est bien partie pour je l’avoue.
*Ouah ! Je dois rêver ! Ma belle Kimiko déshabillait par une autre fille ... elle a envie de toucher tes seins mais elle ose pas, ça se voit*
Moi je vois rien, mais je suis aussi des plus gênée. Maintenant que je sens ses mains caresser mes hanches, passer sur mes fesses, ma queue se dandine de haut en bas, de gauche à droite. L’instinct animal me rend vraiment très, très sensible aux caresses que l’on peut me faire. J’ouvre de grands yeux, elle me retire ma culotte, elle a sous les yeux mon sexe, mon pelage couvre mon corps comme une seconde peau, là où les humaines doivent se raser pour qu’on puisse voir les détails de leur fente, la mienne est parfaitement visible et bien dessiné avec mon pelage.
«Hhhhhhhhhhiiiiiiiiiiiiiii»
Je pousse un cri, un peu maladroite elle m’emmêle les pieds avec ma culotte et je bascule, je tombe en avant. J’ouvre les yeux, je suis nue sur elle, juste au dessus de sa tête, mes seins moelleux s’écrasant sur son torse. Elle me surpris avec son nom alors je me mis à rire de bon coeur.
*ça devient de mieux en mieux !*
«Je t'appellerai Layla si tu me tutoies d’accord ? Sinon ça sera esclave», dis je avec un clin d’oeil complice.
*Embrasse la ! C’est le bon moment ! Allez tu me dois une récompense*
Voilà une idée intéressante ... je la regardais, elle avait les yeux fermés ... de ma main je venais tourner son menton pour que nous soyons face à face. Elle est vraiment belle et puis elle a des lèvres qui donne envie, maman a toujours dit que les lèvres des femmes sont plus douces.
«Tu m’as fait tombé ... tu dois recevoir une punition», dis je sensuelle.
Je me penche, je ferme les yeux, je rougis. Mon museau se pose sur ses lèvres, les babines humides sur sa bouche. Je me souviens des conseils de maman, naturellement, sans réfléchir je commence à ouvrir et fermer la gueule, a doucement masser les belles lèvres suaves et gouteuse de ma compagne. C’est mon premier baiser avec une fille et la chaleur, la délicatesse et le gout de sa peau, de sa chair m'enivre.
«Te voilà punie Layla ... maintenant il te faut m’habiller ... et je veux que tu le fasses en touchant mon corps autant qu’il te plaira ...», je ne sais pas pourquoi les envies charnelles s’éveillaient ainsi mais en tout cas Foxy lui était de plus en plus ravi !
«C’est pas ma faute à moi si j’adore parler quand même ! Le silence c’est EN-NUY-YEUX», et puis c’est vrai d’abord, si je parlais pas on se regarderai comme deux idiotes.
J’ai rougis quand elle a accepté, je m’y attendais pas, ou peut être bien que ci. En tout cas ça m’inquiète un peu, j’ai jamais laissé une femme me déshabiller, j’ai jamais laissé personne le faire, à part maman bien sur, mais quand j’étais encore toute petite. Elle commence à défaire timidement mon bustier, ça me rassure qu’elle soit timide, on dirait qu’elle a pas plus l’habitude que moi et que ça la trouble aussi, mais pas que ça la dégoute.
«C’est la première fois ... qu’on me déshabille»
Je rougis alors qu’elle dévoile mes seins, mon pelage roux vire au blanc neige sur ma poitrine avant de céder la place à une chair bombée et rose, celle de mon mamelon. A l’intérieur deux petits creux, des tétons inversés qui ne sortent que quand je suis très excitée et c’est bien partie pour je l’avoue.
*Ouah ! Je dois rêver ! Ma belle Kimiko déshabillait par une autre fille ... elle a envie de toucher tes seins mais elle ose pas, ça se voit*
Moi je vois rien, mais je suis aussi des plus gênée. Maintenant que je sens ses mains caresser mes hanches, passer sur mes fesses, ma queue se dandine de haut en bas, de gauche à droite. L’instinct animal me rend vraiment très, très sensible aux caresses que l’on peut me faire. J’ouvre de grands yeux, elle me retire ma culotte, elle a sous les yeux mon sexe, mon pelage couvre mon corps comme une seconde peau, là où les humaines doivent se raser pour qu’on puisse voir les détails de leur fente, la mienne est parfaitement visible et bien dessiné avec mon pelage.
«Hhhhhhhhhhiiiiiiiiiiiiiii»
Je pousse un cri, un peu maladroite elle m’emmêle les pieds avec ma culotte et je bascule, je tombe en avant. J’ouvre les yeux, je suis nue sur elle, juste au dessus de sa tête, mes seins moelleux s’écrasant sur son torse. Elle me surpris avec son nom alors je me mis à rire de bon coeur.
*ça devient de mieux en mieux !*
«Je t'appellerai Layla si tu me tutoies d’accord ? Sinon ça sera esclave», dis je avec un clin d’oeil complice.
*Embrasse la ! C’est le bon moment ! Allez tu me dois une récompense*
Voilà une idée intéressante ... je la regardais, elle avait les yeux fermés ... de ma main je venais tourner son menton pour que nous soyons face à face. Elle est vraiment belle et puis elle a des lèvres qui donne envie, maman a toujours dit que les lèvres des femmes sont plus douces.
«Tu m’as fait tombé ... tu dois recevoir une punition», dis je sensuelle.
Je me penche, je ferme les yeux, je rougis. Mon museau se pose sur ses lèvres, les babines humides sur sa bouche. Je me souviens des conseils de maman, naturellement, sans réfléchir je commence à ouvrir et fermer la gueule, a doucement masser les belles lèvres suaves et gouteuse de ma compagne. C’est mon premier baiser avec une fille et la chaleur, la délicatesse et le gout de sa peau, de sa chair m'enivre.
«Te voilà punie Layla ... maintenant il te faut m’habiller ... et je veux que tu le fasses en touchant mon corps autant qu’il te plaira ...», je ne sais pas pourquoi les envies charnelles s’éveillaient ainsi mais en tout cas Foxy lui était de plus en plus ravi !
15
Place publique / La bêtise de trop ... [PV Lust]
« le: jeudi 22 juillet 2010, 10:23:51 »
«Je m’ennuie !», je soupire et je shoote dans une sac de pommes qui traine sur ce marché, le commerçant rouspète alors Foxy hérisse les poils et montre les dents, le calmant tout de suite.
«Je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie !»
*C’est pas une raison pour nous attirer des ennuis stupide gamine sans cervelle*
«Je m’ennuie je te dis !»
Je me retourne pour lui faire face, poings sur les reins en me penchant en avant. La foule me regarde un peu bizarre, je parle à un renard après tout. Je vois aussi des regards un peu plus pervers. Je porte une top qui me couvre jusqu’au cou mais qui est découpé en forme de coeur sur la poitrine, dévoilant ma jolie touffe de poils mais aussi le sillon de mes seins en entier. J’ai un mini short qui se termine juste en dessous des fesses et des bottines qui montent à mi mollet. J’ai attaché mes cheveux pour former deux couettes ce qui me donne un coté gamine perverse, et là je fais plus gamine capricieuse.
*Tu as qu’à trouver un truc pour t’amuser, regarde tout autour, il y a plein de monde sur la place*
«Pfffffffff»
Je soupire et regarde tout autour, que des gens sans importance sur ce marché, rien de bien intéressant. Et en plus les vendeurs arrêtent pas de crier pour inciter à regarder les beaux fruits, les beaux tissus, les beaux esclaves. Franchement il y en a aucun qui connait un autre mot que beau ? Ils pensent vraiment que parce qu’ils ajoutent beau devant la marchandise ça devient de suite plus vendeur ? C’est vraiment pathéti.... Oh Oh ! Mais que vois je ! La devant moi une superbe demoiselle cherche quelque chose dans son sac.
La demoiselle a posé son sac sur le bord d’une fontaine, elle fouille dedans en se penchant en avant. Sa jupe ne cache rien de ses belles fesses et du tout mais alors tout petit string qu’elle porte. Non mais vraiment c’est trop tentant ! Je veux dire elle se rend pas compte ou quoi ? C’est carrément un appel au crime là ! Je veux dire une demoiselle, une fontaine ... un string et de si belles fesses ... Moi j’y tiens plus en tout cas !
«J’ai trouvé hihihihihihi»
*Oh non ! Oh non ! Je connais ce regard et ce petit rire, et à chaque fois ça nous a attiré des ennuies ! Je ne sais pas ce que tu veux faire Kimiko mais oublies tout de suite !*, je vois Foxy fouiller du regard et trouver enfin ma victime, * Non ! Non ! Non ! Je le sens pas, tu devrais m’écouter, te laisse pas avoir elle dégage une aura étrange ...*
«Tu t’inquiètes trop ! Et c’est toi qui m’a dit de trouver un truc pour m’amuser ! Et bien j’ai trouvé !»
Je devrais l’écouter, si il y a bien un truc que je sais, c’est que les intuitions de Foxy sont bonnes, mais je l’écoute jamais. Sur la pointe des pieds je m’approche, doucement, doucement. Je fixe cette belle paire de fesses qui se dandinent alors que la propriétaire cherche je ne sais quoi. Attention ça va aller très vite ! Quand je suis à deux pas je les fais plus rapide, moins légère pour surprendre un peu. De mes deux mains je pousse la belle par les fesses, de toutes mes forces. Ma main remonte au string que j’attrape en riant. J’en connais une qui va faire plouf cul nu ! Je me vois déjà victorieuse son string à la main.
Plouf !
Je ris à n'en plus finir, tout a marché comme prévu, le string dans ma main flotte doucement au vent comme un petit drapeau. Je ris de plus belle et la foule s'arrête pour rire également à son tour, ça y est je m'ennuie plus du tout, comme quoi une bonne bêtise ça occupe toujours c'est sur !. Il y a que Foxy qui partage pas ma bonne humeur mais bon il s'inquiète toujours beaucoup trop pour rien.
«Je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie !»
*C’est pas une raison pour nous attirer des ennuis stupide gamine sans cervelle*
«Je m’ennuie je te dis !»
Je me retourne pour lui faire face, poings sur les reins en me penchant en avant. La foule me regarde un peu bizarre, je parle à un renard après tout. Je vois aussi des regards un peu plus pervers. Je porte une top qui me couvre jusqu’au cou mais qui est découpé en forme de coeur sur la poitrine, dévoilant ma jolie touffe de poils mais aussi le sillon de mes seins en entier. J’ai un mini short qui se termine juste en dessous des fesses et des bottines qui montent à mi mollet. J’ai attaché mes cheveux pour former deux couettes ce qui me donne un coté gamine perverse, et là je fais plus gamine capricieuse.
*Tu as qu’à trouver un truc pour t’amuser, regarde tout autour, il y a plein de monde sur la place*
«Pfffffffff»
Je soupire et regarde tout autour, que des gens sans importance sur ce marché, rien de bien intéressant. Et en plus les vendeurs arrêtent pas de crier pour inciter à regarder les beaux fruits, les beaux tissus, les beaux esclaves. Franchement il y en a aucun qui connait un autre mot que beau ? Ils pensent vraiment que parce qu’ils ajoutent beau devant la marchandise ça devient de suite plus vendeur ? C’est vraiment pathéti.... Oh Oh ! Mais que vois je ! La devant moi une superbe demoiselle cherche quelque chose dans son sac.
La demoiselle a posé son sac sur le bord d’une fontaine, elle fouille dedans en se penchant en avant. Sa jupe ne cache rien de ses belles fesses et du tout mais alors tout petit string qu’elle porte. Non mais vraiment c’est trop tentant ! Je veux dire elle se rend pas compte ou quoi ? C’est carrément un appel au crime là ! Je veux dire une demoiselle, une fontaine ... un string et de si belles fesses ... Moi j’y tiens plus en tout cas !
«J’ai trouvé hihihihihihi»
*Oh non ! Oh non ! Je connais ce regard et ce petit rire, et à chaque fois ça nous a attiré des ennuies ! Je ne sais pas ce que tu veux faire Kimiko mais oublies tout de suite !*, je vois Foxy fouiller du regard et trouver enfin ma victime, * Non ! Non ! Non ! Je le sens pas, tu devrais m’écouter, te laisse pas avoir elle dégage une aura étrange ...*
«Tu t’inquiètes trop ! Et c’est toi qui m’a dit de trouver un truc pour m’amuser ! Et bien j’ai trouvé !»
Je devrais l’écouter, si il y a bien un truc que je sais, c’est que les intuitions de Foxy sont bonnes, mais je l’écoute jamais. Sur la pointe des pieds je m’approche, doucement, doucement. Je fixe cette belle paire de fesses qui se dandinent alors que la propriétaire cherche je ne sais quoi. Attention ça va aller très vite ! Quand je suis à deux pas je les fais plus rapide, moins légère pour surprendre un peu. De mes deux mains je pousse la belle par les fesses, de toutes mes forces. Ma main remonte au string que j’attrape en riant. J’en connais une qui va faire plouf cul nu ! Je me vois déjà victorieuse son string à la main.
Plouf !
Je ris à n'en plus finir, tout a marché comme prévu, le string dans ma main flotte doucement au vent comme un petit drapeau. Je ris de plus belle et la foule s'arrête pour rire également à son tour, ça y est je m'ennuie plus du tout, comme quoi une bonne bêtise ça occupe toujours c'est sur !. Il y a que Foxy qui partage pas ma bonne humeur mais bon il s'inquiète toujours beaucoup trop pour rien.