Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kimura Kaede

Pages: [1] 2
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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: jeudi 19 mai 2011, 07:03:37 »
« Je suis désolée maîtresse ... », dis je en baissant la tête un peu confuse.

Il est vrai que mes paroles avaient été un peu cru, mais cela ne m'inquiétait pas. Les mains de ma maîtresse caressent mes fesses rondes et délicates avec tant d'envie que je dois me mordiller les lèvres pour ne pas passer mon temps à gémir de plaisir. Lorsqu'elle se redresse, me faisant lever les yeux pour la regarder, c'est son sexe à la taille irréelle qui se glisse entre nous. Je ne peux que mordiller mes lèvres avec un peu plus d'envie à chaque fois que mon regard se pose sur sa queue.

« Puisque tu sembles tellement insister sur le fait de goutter mon sexe, ne te gène pas, il est tout à ta disposition ! »

« Merci maîtresse ! Huuuummmm ... »

Elle s'approche et vient frotter sur mon visage son membre. Je devrai peut être m'en sentir humiliée, mais la vérité c'est que j'adore cela. Il est difficile de vraiment pouvoir expliquer le bien être que peut provoquer la sensation de cette chose si dure et étonnamment douce qui glisse sur ma peau, sur mes lèvres. Je ne saurais dire ce qui m'excite le plus en cet instant, tout simplement la verge fort impressionnante qui palpite sur mon visage, d'être nue à genoux devant cette canidé que je ne connais que depuis quelques heures ou de porter le collier et la laisse qu'elle tient fermement en main, faisant de moi sa petite chienne humaine ...

« Votre queue est si douce maîtresse … et si dure ... »

A quoi bon savoir ? L'excitation est telle que maintenant qu'elle me le permet mes petites mains montent se poser sur cette matraque géante. Un instant je sens le contact dur de sa chair et instantanément je retire les mains comme si la chose était faite de feu. Je la regarde un peu embarrassé et reviens les poser avec délicatesse. Sous mes longs doigts la chose me paraît encore plus grosse, je referme les mains et je découvre que je ne peux en faire le tour avec une seule. Dans mes yeux est visible l'étonnement et un peu d'angoisse.

« Oh maîtresse … c'est si … gros ... »

Comment cela pourrait il entrer en moi ? Alors que je me questionne je commence malgré tout à bouger mes doigts de haut en bas, serrant le membre pour faire glisser la peau sur la chair dure. Si je ne l'ai jamais fait avant aujourd'hui, si je ne connaissais pas cette drôle de sensation que de sentir la peau glisser de bas en haut sur une verge, les vidéos pornos que je cache dans ma chambres m'ont malgré tout appris la théorie. C'est ainsi que je débute une masturbation douce qui varie par moment d'intensité, devenant fougueuse pour se calmer de nouveau.

« Je … c'est étrange … chaud dans ma main … c'est assez amusant … de la sentir bouger ainsi ... », dis je en observant moi même les réactions de la verge que je masturbe, « Merci maîtresse. »

Alors je me penche un peu en avant et sans arrêter la masturbation, la rendant juste plus délicate, je viens déposer un baiser sur le bout du gland. Je dépose mes lèvres si douces et chaudes, les lèvres que Kannan a pu savourer bon nombre de fois déjà ce soir sur sa queue. Sous les yeux de ma maîtresse l'image déroutante d'une jeune humaine au corps de rêve, complètement nue à ses pieds, écartant les cuisses pour laisser voir son sexe lisse et humide, un sexe que la belle lui a rasé juste avant, un collier de cuir noir avec des pointes à son cou, une laisse en métal remontant jusqu'à sa propre main. Cette belle enfant qui se dit être sa jeune chienne embrasse avec dévotion, délicatesse et avec envie son sexe qui semble encore gonflée.

Moi je ferme les yeux pour savourer le goût de la queue de ma maîtresse, je les ouvre parfois pour la regarder dans une expression attentive et coquine. Ma main droite descend pour flatter les bourses, si les vidéos sont vraies les hommes aiment bien ça. J'ai du mal à croire ce que je sens au bout de mes doigts, deux testicules grosses comme des mandarines que je fais rouler avec plaisir. Mon autre main soulève alors le membre, ma bouche cesse les baisers pour que je puisse regarder par en dessous les bourses.

« Quand maîtresse en aura envie j'adorerai pouvoir venir les lécher », dis je en soulevant les testicules pour ne pas laisser de doute sur la chose dont je parle et que je souhaite parcourir de ma langue.

C'est d'un long et lent mouvement de langue que je remonte le sexe par en dessous. Ma petite pointe de chair rose partant de la base, juste au dessus des bourses qu'elle évite, pour parcourir la peau et laisser une ligne de brillante de salive. Sur ma langue explose le goût puissant du sexe de ma maîtresse, un goût qui me fait tourner la tête, qui me fait perdre pied. Quand j'arrive au sommet je donne au gland de nombreux coups de langues amoureux comme si je dévorais une glace des plus délicieuse.

« Je n'avais jamais … c'est si bon maîtresse ... », je rougis et viens chercher une main de Kannan que je dépose à l'arrière de mon crane, « Je ne sais pas jusqu'où je pourrais aller maîtresse … je vous demande de ne pas me retenir et de me pousser aussi loin que vous le désirez ... »

Je finis cette phrase pleine d'envie mais aussi d'embarras ce qui donne à mon visage un air coquin et des rougeurs amusante à mes joues. J'ouvre grande la bouche en plongeant mon regard dans celui de la femme qui me rend si délicieusement perverse. Ma bouche se referme sur le gland et seulement le gland, celui-ci découvrant alors un écrin de douceur et de chaleur. Ma langue vient l'accueillir comme un tapis délicat avant d'en faire le tour comme pour une toilette chaude et humide. Je le regarde, ma belle petite bouche déjà déformée par ce sexe monstrueux, la masturbant d'une main tout doucement, caressant ses bourses avec autant d'attention et de délicatesse.

Une chose est sure alors que tu m'observes d'en haut, l'expression une chienne en chaleur, vient de prendre un sens complètement différent pour toi.

2
Par les dieux cet homme est immense … Jamais je n'ai rencontré d'hommes aussi grand, pas moins de trois de têtes de plus que moi. Alors qu'il se déplace je peux deviner des muscles puissants sous sa chemise. Je le menace de mon katana et pourtant il dégage une sérénité et un calme qui sont des plus troublant. Oh n'allez pas croire qu'il ne me prend pas au sérieux, bien au contraire, mais à ses gestes je peux sentir un guerrier, un combattant … Je me mordille la lèvre nerveusement alors qu'il s'approche de moi.

« Qu'est ce que ? »

Surprise de le voir se saisir de mon père il m'est impossible d'attaquer, maintenant je ne pourrais que blesser également l'homme qui compte le plus à mes yeux. Ma main se crispe sur la garde de mon arme, mon regard s’affûte. La tension que l'on peut y lire est bien vite remplacé par la surprise de voir ce colosse, ce guerrier, maintenant médecin auprès d'un malade. Ses gestes sont devenus délicats pour border le souffrant et replacer la compresse froide, après un tel effort il est évident que mon père doit de nouveau souffrir de la fièvre et il l'a bien compris.

« Maintenant que vous êtes parlé je vous prie d'accepter mes excuses, j'ignorais que votre père était souffrant, et comme il a proposé d'aller faire du thé je n'ai pas objecté car l'étiquette japonaise veut que le maître de maison offre le thé et je n'ai pas voulu le froisser. Croyez bien que si j'avais su je me serais chargé moi même de le faire. »

Le climat a changé … voilà que l'arme que je tiens ne me semble plus justifiée … voilà que j'ai l'impression d'avoir paniquée et menacée celui que je n'aurai pas du … Je baisse légèrement la tête, honteuse et je lui répond en le regardant par dessous mes cheveux, comme un chien qui a fait une bêtise, sans avoir conscience de l'image que je donne.

« Je vous prie de m'excuser … je viens de vivre la pire soirée de ma vie … papa me dit souvent que je m'emporte trop facilement », il se retourne et me tend un papier, je me sens si petite sous le regarde de ce colosse.

« Je ne sais pas qui est ce Mr Tanaka mais voici la preuve que je suis le propriétaire légal de cette villa, si cela peut vous rassurer je suis un homme plutôt aisé, je peux mettre une infirmière au service de votre père. Cela vous permettrais de vous soucier uniquement de vos études, comme il m'en a formulé le souhait. », après l'humiliation que l'ignoble monsieur Tanaka m'a fait subir voilà qu'un parfait inconnu se montre bon avec moi et mon père sans raison, je réponds de nouveau, toujours en le regardant par dessous mes cheveux et en devant cette fois également lever la tête.

« J'ai honte … je … j'ai cru monsieur Tanaka … sans même demander à voir l'acte de propriété ... », j'ai du mal à le croire mais j'étais si choquée que j'ai été stupide une fois de plus, « J'ai été manipulé et ce n'est en rien votre faute … visiblement vous êtres vraiment le propriétaire des lieux … je vous prie de bien vouloir me pardonner ... », je raccroche le katana au mur et me dirige vers la porte.

« Si vous voulez bien me suivre, je vais vous faire visiter les lieux et répondrais à vos questions, laissons père se reposer. », je referme la porte derrière nous avec un regard tendre sur père qui a repris un souffle court, lui aussi semble apaisé.

« Par ici ... »

Je passe devant mon hôte et je corrige dans la tête, le maître des lieux, je rougis et le regarde par dessus mon épaule, le maître lui va étonnamment bien. La chambre de père est en bout de l'habitation, un peu isolé et à l'écart. On pourrait croire que cela a été choisi pour que je puisse faire tranquillement le mur mais il n'en est rien, en fait c'est une ancienne salle d'entraînement qui a été converti en lieu de convalescence depuis le début de la maladie. Le couloir débouche sur un grand salon, le salon est ouverte sur une jolie cuisine carrelée. J'ai l'habitude de préparer le petit déjeuner et les repas de père alors sans vraiment me poser la question je demande à l'homme qui me suis.

« A la maison je m'occupe depuis toute petite des repas, souhaitez vous que je prépare les vôtres également ? », je réalise alors qu'il n'a pas eu droit au thé comme toute bonne convive dans la tradition, « Je suis navrée d'avoir gâcher votre thé, permettez moi de vous en préparer une tasse maître … monsieur ... »

Je suis encore dans cette stupide idée de maître, je rougis d'un coup et sans attendre commence à chercher dans les placards. J'ai toujours été attirée par les hommes forts, la vérité c'est que je ne suis attirée par les hommes plus fort que moi, et là il est évident que c'est le cas. Avec les années de drôle de fantasmes de soumission et d'obéissance sont apparus chez moi sans jamais oser l'avouer ou en parler à qui que ce soit et voilà qu'avec mes nerfs à vifs ce soir je laisse échapper des mots que je ne devrais pas.

Dans la placard je trouve enfin le thé. J'ouvre alors une petite commode et y cherche un nouveau set à thé. Ce n'est pas ici qu'il se range habituellement, mais là je suis venue chercher celui de remplacement qui est tout en bas. Ma jupe se relève sans que j'y fasse attention et l'homme peut voir apparaître mes fesses laiteuses, si rondes, à la peau qui semble si douce. Entre mes cuisses se devine mes lèvres intimes, une fente délicate qui semble briller légèrement. Je trouve enfin le service et me relève, je vais jusqu'à l'évier pour le laver, il a pris un peu la poussière.

* ça serai bien mieux nue ...*

« Vous avez dit quelque chose ? », dis je en sursautant, j'ai eu l'impression d'entendre … mais je me suis déjà si souvent trompée cette nuit ...

3
 « Monsieur Dorian Garan ici présent a racheté notre maison. Il a accepté gentiment notre situation et nous a permis de rester vivre ici a condition que nous lui payons un loyer. Ça veut aussi dire qu'il vivra sous notre toit. Monsieur Garan voici ma fille Kaede. »

 Père ! », je me retourne prise de panique, juste à temps pour le rattrapper alors qu'il est sur le point de s'écrouler.

Ssssssssshhhhhhhhhhhhhh !

 Aaaaahhhhhhh ! »

L'eau du thé se renverse un grande partie sur le sol, le reste sur mon uniforme de classe, sifflant alors que mon chemisier blanc colle à ma peau et m'arrache un cri de douleur. Le plateau tombe au sol, les tasses rebondissent et roulent. Je serre les dents et dépose mon père avec douceur avant de me retourner.

 Comment avez vous osé le faire se lever pour vous préparer du thé ! Il n'a pas le droit de bouger, il a à peine la force d'ouvrir la bouche quand je lui donne à manger ! »

La colère me submerge et je hurle sur cet homme que je ne connais pas.  Je hurle comme s'il était responsable de tous mes malheurs, comme si c'était lui qui m'avait fait vivre la pire humiliation de ma vie cette nuit et non Tanaka. Face à ce colosse je ne suis qu'une petite fille dont le chemisier colle à la peau et dévoile des seins de lait presque avec autant de détails que si je ne portais rien. Ce soir je ne le réalise pas, je ne fais plus attention à l'image que je donne, l’inquiétude qui m'a submergé lorsque je n'ai pas vu père dans son lit à laisser libre cour à ma colère.

 Sortez de chez nous ! Je me suis arrangée avec monsieur Tanaka qui a racheté la maison, nous avons encore 6 mois devant nous ! »

Je venais de faire tant d'efforts, j'avais vécu juste quelques heures plus tôt le moment le plus dur de ma vie et voilà qu'il m'annonçait que c'était pour rien ! Dire que j'avais même du rentrer sans mes sous vêtements Timothy les ayant gardé en souvenir en plus d'une photo de moi nue sur ses genoux.  J'inspecte la chambre du regard, à priori il est seul … ce soir je ne suis plus d'humeur à discuter, même plus d'humeur à l'écouter parler. J'avise le katana de père sur le mur et je souris. Une erreur ! Encore une ! Je vois bien que mon sourire l'a intrigué, il remonte le chemin de mes yeux et découvre l'arme.

Il s'apprête à dire quelque chose, je le vois ouvrir la bouche mais je ne l'écoute pas. Je me précipite vers le mur de droite, ma jupe se soulève laissant voir mes jambes et mes fesses, confirmant l'absence de petite culotte, la première fois que je porte une jupe sans. Mes mains se referment sur le katana et je pousse une exclamation de triomphe. Par prudence je roule sur ma droite en me retournant pour être de biais face à la pièce, pas question de le laisser m'attraper s'il a tenté de prendre l'arme en même temps que moi.

 N'allez pas croire que je ne sais pas m'en servir … comme vous devez le savoir père est un grand maître d'arme, il a développé son propre style et je suis son héritière ... », s'il est vrai que père à développé sa propre technique secrète à l'épée il n'a malheureusement pas encore eu le temps de me la transmettre,  Partez de chez nous maintenant et il ne vous arrivera rien … sinon ! »

Je porte mon arme a ma taille, la main gauche sur d'elle, proche du début du fourreau, ma main droite reste sure d'elle sur la garde du katana de père. Un expert peut reconnaître l'iaido ou la technique du sabre au fourreau, une technique basé sur la fluidité du mouvement et l'harmonie avec le sabre. Le principe est de trancher en un seul mouvement, augmentant la vitesse de l'attaque par la sortie de l'arme de son fourreau. Une technique qui a plus pour base de laisser venir l'adversaire et pour l'instant j'espère surtout l'intimider et le voir sortir simplement ...

4
« Wouh ! », la foule siffle et crie devant moi, « A poil ! A poil ! A poil ! », je ne peux m'empêcher de rougir devant ces garçons que j'ai côtoyé chaque jour jusque là, ce qui les fait rire un peu plus, « Allez ma belle fait pas ta timide ! », étrangement j'ai encore mes sous vêtements mais je me sens déjà nue sous ces regards brillants et emplis de vice, mon katana me manque et la même question revient sans cesse dans mon esprit …

* Comment en suis je arrivée là ? *

Mon réveil sonne, 5h du matin, je me lève sur la pointe des pieds et dans mon léger kimono de nuit je traverse la demeure silencieuse. Le silence m'inquiète, m'angoisse, tant de choses ont changé depuis que … Enfin j'arrivais à la porte de la chambre de mon père, je fais glisser le panneau et regarde par la petite ouverture. Il dort son souffle est calme, mon cœur cesse de battre la chamade et mes angoisses s'apaisent. Une quinte de toux violente se déclenche, mes peurs se ravivent comme un feu de forêt que l'on pense vaincu trop tôt. Je me mord la lèvre au sang jusqu'à ce que la toux ce calme. Le calme revient, j'attends de longues minutes pour être sure que tout va bien puis je ferme la porte, une longue journée commence.

Avant la maladie de papa j'aimais le silence, aujourd'hui je redoute de le trouver mort quand j'ouvrirai la porte. Il n'y a aucun remède connu, maladie rare et inconnue, le docteur a même dit qu'elle semblait venir d'un autre monde. Parfois j'imagine que cela est vrai, alors peut être y aurait il un remède dans cet autre monde. Tout en réfléchissant à ma vie, à la maladie, je me rends derrière la maison, le bruit de la chute d'eau qui coule dans le bassin me rassure, m'apaise. Sans pudeur, ici personne ne peut me voir, je retire mon kimono et m'installe en tailleur nue sous l'eau grondante.

Pppppppppppprrrrrrrrrrrooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuu

Le bruit est assourdissant et l'eau fouette et vivifie ma peau. Ici je suis coupée de tout, ici je fais le vide dans mon esprit, je me coupe de la réalité et des soucis. Avant il s'agissait d'un entraînement pour améliorer ma concentration maintenant c'est un besoin vitale pour me permettre de garder la raison. Comment pouvais me douter qu'alors j'étais déjà épiée, que des caméras me filmaient depuis des jours, que l’œil d'un homme se délectait avec impatience des images qu'ils récoltaient avec soin, préparant minutieusement la suite.

7h après 1h30 de méditation je sors de mon refuge, je me sèche et enfile une tenue de jour. Comme chaque matin je vais nettoyer le dojo. Plus personne ne vient maintenant, les élèves de papa ont cessé de venir lorsqu'il n'a plus pu donner les cours. C'est triste de penser que dans les temps anciens ils seraient restés pour soigner et pleurer leur maître avec moi, aujourd'hui il n'y a que moi. Peut être suis je juste égoïste d'espérer un peu de soutien de leurs parts. 8H, je commence mon entraînement, je ne peux pas me relâcher pour autant.

Crac !

L'instinct, les réflexes, un bruit inattendu qui me sauve la vie et transforme cette journée habituelle en le début d'une nouvelle vie. Je me lance vers le sol à ce bruit, je roule et me retourne en me relevant.

« Yaaaaaahhhhhh ! »

Déjà l'épée de bambou que je tiens à la main se lève au dessus de ma tête, à l'endroit où je me tenais l'instant d'avant un homme vêtu d'un costume noir, lunettes de soleil noir cachant ses yeux, est déséquilibré de n'avoir pu m'attraper comme il avait pensé le faire, trop confiant de lui même.

Crac !

Mon épée s'abat sur son crane, le bambou craque et ses os alors qu'il s'effondre pour le pays des songes. Je reprends ma position, deux pas en arrière pour ne rester à ses cotés, s'il n'est pas ko il pourrait me saisir un pied. Doucement je commence à regarder tout autour de moi, sens à l'affût et en éveil. Dans l'encadrement de la porte un homme, grand, élançait, cheveux gris, un air noble et strict. Quand il me voit il souris, amusement et moquerie sur ses lèvres alors qu'il applaudit.

« Très impressionnant, il va falloir que je change de chauffeur et garde du corps il semble. », la remarque est prononcée comme si ce n'était qu'un détail.

« Mon … monsieur Tanaka ? », dis je stupéfaite en reconnaissant le père d'un de mes camarades de classe, « Que faites vous ici ? », mon épée est en position de combat devant moi prête à fendre si besoin même si cet homme est désarmé.

« Je viens visiter ma nouvelle demeure. », répond il avec de nouveau ce sourire que je n'aime pas.

« Vous devez vous tromper c'est chez moi ici, mon père ... »

« Est un homme malade », dit il en me coupant la parole, « une grave maladie à ce que je sais. Il n'a pas payé son crédit depuis plus de 6 mois alors la banque a mis la maison en vente », j'avale ma salive comprenant ce qu'il va annoncer, « je l'ai donc acquise pour une bouchée de pain. »

« Nous vous paierons un loyer monsieur Tanaka », je répond vite, trop vite, je panique et dans un combat cela peut entraîner la mort.

« Allons vous n'avez pas pu payer le crédit alors un loyer … mais ... », il a de nouveau ce sourire mais cette fois son expression semble sous entendre plus.

« Mais ? », la note d'espoir dans ma voix me trahie, encore une faute de ma part.

« Nous pouvons bien entendu trouver un arrangement … je pourrai me montrer généreux et vous laisser 6 mois de plus pour vous retourner ... »

« Que voulez vous en échange ? », méfiante, c'est trop beau pour être vrai.

« Timothy, mon fils que tu connais, fête ses 18 ans aujourd'hui. Je veux lui offrir un anniversaire inoubliable et pour cela j'ai besoin de toi … ce soir je fais une fête pour lui, sont invités ses copains de classes et certains de ses professeurs, une fête entre homme pour mon fils qui devient un homme ... », le sourire s'agrandit et mon inquiétude avec, « Je pensais payer une professionnelle mais il serai vraiment plus spectaculaire que la plus belle fille de sa classe réalise un strip-tease en cette occasion tu ne trouves pas ? », la question me laisse sans voix un moment ce qui l'amuse.

« Vous n'y songez pas ? Jamais je ne ferai ça ! »

« Alors il ne te reste plus qu'à faire les valises et à trouver un lieu pour ton père », l'homme que j'ai assommé se relève en grognant et en se massant la crane, « Bien nous rentrons Charles à ce soir mademoiselle. »

C'est avec le sourire qu'il quitte la pièce me laissant sous le choc. Désemparée je tombe à genoux et je pleure mon malheur. De longues minutes s'écoulent avant que je me calme et ne relève la tête découvrant une boîte que mes invités ont laissé en parant.

« Wouh ! A poil ! A poil ! », la foule scande de nouveau alors que je danse en petite tenue sur la musique, repoussant encore un peu le moment de l'abandonner.

« J'ai du mal à croire que ce soit Kaede en sous vêtements qui dansent pour nous. Timothy t'es génial ! »

« C'est mon père qu'il faut remercier ! La plus belle fille du lycée qui nous fait un strip ! Intégral en plus les mecs ! Vas y fait voir tes seins salope ! »

Je retiens ma colère, je n'ai jamais aimé ce petit fils à papa prétentieux. Je reporte mon attention sur mon professeur d'histoire. J'ai du mal à croire qu'il soit là, il est arrivé un mois avant la maladie de papa et depuis il m'a beaucoup soutenu. Je le devine dans la foule mais avec la lumière qui m'éclaire j'ai du mal à voir ce qu'il pense de tout ça.

« Mademoiselle vous nous avez assez fait attendre, vous avez entendu mon fils ? Vos seins maintenant ! », l'ordre est sec, d'un coup les garçons se taisent, le silence se fait, tout les regards se portent sur moi.

Je prend mon courage à deux mains, je passe mon bras dans mon dos et dégrafe le soutien gorge qui fait bondir ma poitrine. Mon bras se colle à mon corps dans un réflexe de pudeur et je retire mon dessous en pressant ainsi mes seins, cachant la vue des tétons qu'ils veulent voir, dansant de nouveau.

« J'y crois pas … putain elle est trop bonne ... »

« Les mains ! Les mains ! Les mains ! »

La foule scande, j'en suis étourdie, je tremble alors que je glisse mes mains derrière ma tête offrant à presque tous les garçons de ma classe la vue de mes seins ronds et bien dessinés, de mes tétons roses aux larges mamelons.

« Putain les seins qu'elle a ! Le rêve ! Elle est trop bonne ! Regardez elle pointe la salope ! Elle aime ça ! »

Je suis rouge de honte en entendant cela mais c'est vrai, mes tétons sont durs comme des pierres, leurs regards chauffent mon corps malgré l'humiliation et l'embarras. Je ne me souviens pas vraiment de la fin de la soirée, je suis rentrée à la maison avec un vague souvenir d'avoir fini nue sur scène et des remarques désobligeantes sur ma toison que je n'avais pas rasé. Encore secouée je me suis dirigée vers la chambre de papa pour découvrir le clou de ce cauchemar.

« Qui êtes vous ? Où est mon père ? »

Dans la pièce, a demi caché dans l'ombre un homme attend. Pas une trace de mon père, impossible qu'il soit parti de lui même, c'est tout juste s'il peut encore ouvrir les yeux. L'homme avance d'un pas et mon cœur se fige, rien ne m'avait préparé à la vérité ...

5
Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: mardi 10 mai 2011, 16:11:16 »
[HRP] Voilà une réponse qui aura été particulièrement longue à venir ... je suis navrée mais j'ai eu une vie des plus prenantes. J'espère que Kannan aura malgré tout l'envie de reprendre.[/HRP]

«Non !», je rougis en m’apercevant que je venais de crier une réponse à sa question, une réponse qui venait du fond du coeur et laissant sentir combien je suis inquiète qu’elle change elle même d’avis.

«Je ... je suis votre chienne maîtresse Kannan ... je veux le rester ...», je la regarde dans les yeux pour qu’elle ne doute pas de ma réponse, «Je ... je n’en avais jamais vu avant ... j’ai été surprise ... mais ... je ... avec ... si vous la gardez ...», je ne peux m’empêcher de venir alors regarder son membre, sa verge si imposante et sans m’en apercevoir je me mordiller les lèvres de façon sensuelle en la fixant, «si vous la gardez ...», voilà que je me répéte pour me donner du courage, «vous ... je ... ma première fois ...»

Je n’ai jamais songé, imaginé, ma première fois, il faut dire que je n’ai jamais trouvé la personne qui aurai pu m’y faire penser. Quelques années plus tôt je me suis dit que si je ne ressentais pas d’attirance pour les garçons, peut être que les filles ... J’avais commencé à m’intéresser un peu plus à Shizuru mais alors j’avais compris bien vite que les filles aussi n’étaient pas pour moi. Aujourd’hui je comprends enfin, ce n’était ni un homme, ni une femme qui devait recevoir cette première fois, mais une créature d’un autre monde, une divine canidé pour lequel mon coeur bat à tout rompre. Sa main sur ma cuisse me fit frissonner de désir, je n’y avais jamais songé et aujourd’hui, à cet instant, je ne pense plus qu’à ça, n’arrivant pas à le lui dire.

«Allez, dit moi ce que tu veux faire ? Sans pour autant prendre d’initiative sans que je te l’aie autorisé bien sur.»

Lit elle dans mes pensées ? Peut être voit elle simplement mon embarras et elle essaie de me pousser à le dépasser. Je prends sa main sur ma cuisse, les douces caresses qu’elle me fait pour un encouragement. Je n’arrive toujours pas à me lancer, je n’ai pourtant pas peur qu’elle me rejette, peut être juste de franchir définitivement le pas. Je relève la tête, elle est si proche, je ferme les yeux quand je la vois venir s’approcher pour m’embrasser. Le baiser est divin, je savoure ses babines, je passe les bras à son cou pour répondre à son baiser. Mes lèvres caresses les siennes, ma langue vient lécher avec envie et fougue ses crocs pointus. Je frissonne de nouveau, je tremble d’excitation, toute mes craintes s’envolent comme si elles n’avaient jamais existé.

«Alors, j’attends ta réponse moi ?»

Me dit elle en mordillant le lobe de mon oreille, son souffle chaud caressant l’intérieur. Je sens sa langue glisser à l’intérieur et redescendre le long de ma joue, de mon cou. J’ai du mal à croire que je puisse me sentir aussi bien, du mal à croire que j’ai pu vivre sans me sentir aussi bien jusqu’à aujourd’hui. Alors je prends mon courage à deux mains et frissonnante j’ose répondre à haute voix.

«Je ... j’aimerai que maîtresse prenne ma virginité ... je ... je veux que vous soyez la première.», ça y est je l’ai dit ! Je me sens soulagée et comme si un robinet venait de s’ouvrir j’ose dire tout ce que je ressens.

«J’ai envie que maîtresse fasse de moi une femme, qu’elle fasse de moi la plus heureuse des chiennes. J’ai envie de toucher la verge de maîtresse, j’ai envie de la caresser, de la sentir, de la gouter», je rougis un peu honteuse mais ma voix est maintenant assurée, «J’ai envie que maîtresse me guide, qu’elle m’ordonne de la sucer, de lui offrir mon corps. J’ai envie que maîtresse me dise ce dont elle a envie, de pouvoir lui faire plaisir.»

Voilà que je découvre une autre sensation, alors que je parle j’ai envie de la caresser, alors je me dandine sur place tant il est dur de me retenir. Je la regarde avec des yeux pétillant, le changement en moi est déjà visible, je commence à abandonner toute honte pour me concentrer sur ma nouvelle vie.

«J’ai envie de sentir vos lèvres sur ma peau, mes seins, mon sexe», je rougis de ce que j’ose dire, de ce que j’avoue et déjà je sens mon sexe devenir plus chaud, «Vos mains sur mon corps, de vous réveiller le matin en suçant doucement votre verge, de dire des mots un peu vulgaire à la place», je vire au cramoisi mais je ne peux m’arrêter, «De sucer votre queue pendant que vous vous détendez en lisant ou en regardant la télé, de préparer vos repas, de subir vos punitions et d’être punie juste parce que vous en avez envie. Peut être essayer des choses qui sont tabous comme la fessée, les percing, les poids. Je veux tout ce que ma maîtresse voudra bien me faire, et à travers tout cela je sais que je veux l’amour et être aimée en retour.»

J’ai le souffle court, les seins dont mes tétons sont incroyablement rouges et durs d’excitation qui montent et descendent à une vitesse folle. J’ai l’impression d’avoir couru un marathon et maintenant je suis là, pleine de désir à attendre et à guetter les réactions de celle a qui maintenant le contrôle de ma vie, à qui j’appartiens corps et âme.

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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: mercredi 08 septembre 2010, 16:04:57 »
Comment réellement savoir de quoi j’ai envie, comment déterminer ce qui me ferai plaisir en cet instant alors que mon tête vacille. Le baiser est doux, tendre, les babines chaudes de la fury sur mes lèvres me troublent, me procurent un bien fou. Elle passe sa langue dans ma bouche, j’ouvre grand et je joue avec la sienne devenant aussi langoureuse qu’elle même. J’ai l’impression que le jardin tourne alors que je sens ses doigts caresser ma nuque, que je suis nue dans cette position des plus étranges. Quand elle s’écarte je bredouille des mots incompréhensibles.

«Beque dio kel preu»

Je rougis en la regardant, elle semble avoir envie que nous allions directement à la source chaude. Je ressens comme un doute, je ne sais ce qu’elle désire et je n’ose m’avancer d’un coté ou de l’autre, prendre la mauvaise décision. Après tout si elle avait vraiment eu envie que je poursuive elle m’aurait dit de finir mes besoins. Je finis par estimer que la source chaude est la meilleure option, le risque le plus petit de me tromper. Je souris alors, un léger doute dans la voix quand je réponds.

«J’ai hâte d’être à la source chaude avec toi maîtresse»

Vérité mais crainte de me tromper alors que la salive qui nous relie disparaît. Elle se redresse alors que je me remets à quatre pattes. Je lève la tête et mon coeur se serre tant elle est belle et j’aime la voir ainsi me regarder de haut. Je me retourne et nous reprenons la route vers les sources chaudes. Je me dandine de nouveau c’est autant à cause de la position que de l’envie qui me vient naturellement de lui plaire avec mon corps. Je sens parfois la laisse se tendre, elle tire parfois, simplement pour sentir une fleur ou pour que je la regarde. Nous échangeons alors un sourire, un regard complice qui me réchauffe le coeur.

«Peut être n’ai je pas été une chienne avant maîtresse ... mais je crois que j’en suis une aujourd’hui ... et je n’ai jamais été autant heureuse qu’en étant ta chienne en ce moment ...»

La route est presque finie, déjà nous pouvons voir la demeure de bois qui correspond à cette petite source d’eau chaude privée. Lorsque nous arrivons à la porte, je la fais coulisser et me relève pour allumer la lumière. J’entre alors, je sens la laisse, ma laisse courir sur mon dos et le long de ma raie. J’avance et ouvre une seconde porte qui donne sur la source. A l’intérieur on peut découvrir un espace ouvert, le ciel brille d’étoile et éclaire l’étendu d’eau. Il s’agit d’un ovale faisant 5 mètres de diamètre sur l’espace le plus long et seulement 3 sur le diamètre le plus court.

«L’eau est toujours à la même température tout au long de l’année, je viens souvent ici après mes entraînements pour me détendre», dis je avec le sourire.

«Ton père à vraiment une belle propriété ...» , la voix de Kannan dans mon dos me fait sursauter mais je suis flattée, je m’apprête à répondre quand elle tire sur la laisse me faisant me retourner et avancer vers moi, «J’ai hâte que nous nous détendions dans l’eau chaude ma belle possession, déshabilles moi maintenant» , dit elle avec un sourire où se mêlait plaisir et embarras alors que son ordre me remplissait d’allégresse.

«Oui maîtresse ... je ... je n’ai jamais fait ça avant ...»

Je m’approche en la regardant timidement, j’ai un peu peur, peur de mal faire, peur de ce que je vais découvrir. Et pourtant je ne peux m’arrêter, j’ai aussi envie de la voir nue, envie de découvrir son corps. Je rougis en posant mes mains sur ses épaules, en revenant sous les lanières de sa robe en une douce caresse. Elle a la fourrure si douce que je pourrai la caresser ainsi des heures sans m’en lasser. Je fixe ses seins, je n’en ai même pas conscience, mes mains glissent le long des bras et font tomber au sol la robe, la laissant simplement en petite culotte.

«Ils ... ils sont si ... gros ...»

Je me mordille les lèvres en les regardant, je n’ai jamais vu des seins si gros, je n’avais d’ailleurs jusqu’ici jamais vu d’autre seins que les miens. La chair est encore une fois recouverte de fourrure violine jusqu’au mamelon, étrangement celui-ci est sans fourrure. La peau est de la même coulure que la fourrure, peut être un peu plus sombre mais dans une harmonie parfaite. Au bout des tétons que j’ai l’impression de voir durcir sous mes yeux. Je me mordille les lèvres, je n’ai qu’une envie c’est de les toucher, de les soupeser, je suis sure qu’ils sont lourds. Je me retiens et la regarde, dois je aussi lui retirer sa culotte ?

«Je ... je dois ... tout retirer ?», je bégaye en lui demandant, je ne sais pourquoi la honte et le plaisir sont si étroitement liés en cet instant.

«Je ne vais pas rentrer dans l’eau avec ma culotte» , me dit elle en me caressant la joue, «si tu veux être à moi et me servir tu dois obéir et la retirer aussi» , ajoute-t-elle avec un sourire même si je la sens aussi troublée que moi.

Elle ne cherche pas à me rabaisser, elle m’explique simplement ce que je lui ai demandé d’être et donc ce que je dos faire. Je pose mes mains à sa taille, je caresse doucement ses hanches, je saisie les bords de sa petite culotte. Je commence à la descendre et je me rends compte que ça ne va pas être pratique. Je me mets à genoux devant elle, je découvre alors comme une bosse, un peu surprise je descend de nouveau la culotte. Quelque chose s’en échappe, comme un diable sortant par surprise de sa boite. Cette chose est dure et chaude, je le sens quand elle percute mon menton, me faisant claquer des dents et tomber à la renverse sur mes fesses.

«Qu’est ce que ...»

Je ne finis pas ma phrase, face à moi la fury est nue, la culotte aux genoux. Ce n’est pas cela qui me coupe la parole, entre ses jambes un sexe d’homme, une verge d’une taille ... immense ! Un sexe en érection qui oscille sous le coup de l’excitation. Loin d’être une hermaphrodite elle possède en plus une paire de testicules grosses comme des mandarines. J’avale ma salive en regardant tout cela, ce spectacle inattendue.

«C’est ... c’est comme dans mes dessins ...», dis je sans réaliser que je parle à voix haute, «Comment est ce possible ?», je lève la tête vers elle, dans ma voix et mes yeux pas une trace de peur, de la curiosité, pas une seconde je ne doute ou pense que cela peut remettre en cause ce que nous sommes, c’est ma maîtresse et je suis sa chienne, son esclave, comme je l’ai toujours désiré.

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: samedi 07 août 2010, 20:21:40 »
Et si mon tatouage est un esper qui a trouvé refuge dans mon corps ?

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: mercredi 04 août 2010, 12:04:06 »
Merci merci ! Je préfère le jouer au fur et à mesure ^^ alors ça se fera en rp

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: mercredi 04 août 2010, 08:16:39 »
Bonjour bonjour !

J'arrive bientôt sur Tera et je veux faire évoluer un peu mon rp. Tout d'abord Kannan, Mach et tous les doublons, faut pas lire la suite sinon ça va te spoil ! Voilà je t'ai prévenu !

Pour survivre dans le monde hostile de Tera, j'aimerai doter Kaede de quelques pouvoirs. Pour cela j'aimerai donner vie, sinon une conscience au tatouage qu'elle porte, un magnifique dragon rouge/pourpre qu'on peut voir sur mon avatar, celui-ci lui conférant alors différents dons. Je ne prévois rien qui soit vraiment compliqué je dirai, citons des exemples.

épée de feu : des flammes sur mon arme
épée de glace : de la glace sur l'arme
épée de foudre : de la foudre sur mon arme
etc ...

projection de feu : lancer des vagues de flammes grâce à l'épée de feu
projection de glace : lancer des pics de glace grâce à l'épée de glace
projection de foudre : lancer des éclairs grâce à l'épée de foudre
etc ...

Et aussi une armure, avec une transformation à la magical girl pour l'utiliser. Peut être la chorégraphie de danse ridicule qui va avec et la disparition des vêtements gênante à la wing man à la fin :P

Dans mon idée chaque attaque à un nom et elle est liée à un dragon, de base le dragon rouge (le dragon du feu), je songe aussi à une quête ou des quêtes auprès de différents dragons pour acquérir leurs pouvoirs. Gagner les pouvoirs de la glace qu'après avoir affronté un dragon blanc dans les terres froides par exemple. Je dis affronter parce que je serai pas assez forte pour tuer un dragon ! Enfin pas au début, après peut être quand j'aurai beaucoup de pouvoirs hihihihihi mais j'en suis encore bien loin !

Voilà ! Tout ceci est faisable ?

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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: mercredi 28 juillet 2010, 08:55:29 »
J'avais encore en tête tout ce qu'elle m'avait dit en étant face à elle. Les premières fois qu'elle voulait me faire découvrir et je n'avais qu'une envie, lui offrir toutes mes premières fois. Elle m'avait appelé esclave, mon cœur avait fait un bon dans ma poitrine, comme si elle m'avait dit « Je t'aime ». Même alors qu'elle avait parlé de me punir je n'avais pas eu peur, juste envie qu'elle me punisse si elle le désire, et voilà que je suis là, tremblante, hésitante, redoutant et espérant une fessée face à ma maîtresse.

« Je crois que je vais continuer avec maîtresse … je veux qu'on sache que je suis à toi ... », dis je en frissonnant de plaisir lorsque le souffle de ses mots caressent mon oreille, que son corps frôle mon dos.

« Oui maîtresse »

Je répond à sa demande en rougissant, je cherche autour et je me décide. Je sors un petit tabouret que je place devant la baignoire. Moi je m'assoie sur le rebord, devant le tabouret, je rougis, je détourne le regard et ouvre les cuisses en serrant de me mains la céramique de la baignoire. C'est comme une invitation, mon corps expose mon sexe à la toison si épaisse et fourni, forêt sombre qui ne laisse rien voir de mon intimité. Je rougis encore plus et sursaute quand Kannan s'installe sur le tabouret entre mes cuisses.

« C'est la première fois qu'on me touche ainsi … c'est … c'est étrange et doux »

Je frissonnais à chaque fois qu'elle passait la main, qu'elle déposait la mousse sur ma toison. Personne ne m'avait jamais touché ainsi et je me mordillais les lèvres de plaisir, découvrant des sensations étranges et délicieuses, soupirant que ses doigts frôlaient juste un instant ma peau. Je riais aussi parfois, mes poils tiraillant ou me chatouillant. J'aimais quelle soit toujours douce et attentive à mon bien être.

« Je suis prête, mais c'est ta première décision de maîtresse, il faut le faire que si tu en as vraiment envie. »

Elle souriait en se rinçant les mains avant de revenir avec le rasoir. Nous échangeâmes un regard, je hochais la tête pour signifier mon accord et poussait un petit cri de surprise. Le contact du rasoir sur ma peau, le bruit des poils qui étaient coupés, tous cela était effrayant. Je me mordillais les lèvres, j'étais heureuse et j'avais également peur, alors que le rasoir glissait avec douceur, me dénudant encore plus. Je n'osais la regarder jusqu'à ce que je sente l'eau sur mon corps. Je baissais les yeux et découvrais mon pubis nu, plus un poil, une peau lisse. Plus bas, une belle fente, des lèvres charnues gorgées d'envies bien serrées l'une sur l'autre.

« Mer … merci maîtresse … j'ai l'impression d'être encore plus nue … oooohhh »

Je ne pus retenir un gémissement sous ses doigts, elle caressait mon pubis, descendit sur mes lèvres intimes qu'elle caressa ainsi pendant une éternité de bonheur et un temps bien trop court à la fois. Moi sur le rebord je serrais encore plus l'émail de la baignoire et découvrais le bonheur d'une caresse si intime.

« Il … il y a une source chaude … derrière la maison … c'est une source privée … j'aimerai te laver là bas pour la première fois … c'est bien plus joli comme lieu maîtresse … on peut y aller ? »

Je souris ravie quand elle accepta et se leva, tirant gentiment sur ma laisse pour me mettre en marche. Je rangeais rapidement le tabouret et j'allais ouvrir la porte. Une fois de l'autre coté je la laissais refermer avant de me remettre à quatre pattes et d'ouvrir la marche. Descendre les escaliers ainsi donnait l'impression d'être prête à tomber à chaque instant, de basculer dans le vide, comme si ma démarche n'était pas naturelle alors que je me sentais devenue entière. Pour éviter de croiser mon père nous passâmes par la cuisine, une belle cuisine équipée de façon moderne avec assez de place pour manger à l'intérieur. Nous sortîmes dans le parc de la demeure par la porte de derrière, en pleine nuit, éclairées par la lune seule.

« C'est très étrange de traverser la maison nue et au bout de la laisse maîtresse … étrange mais j'aime vraiment cela, je ne sais pas comment l'expliquer ... »

J'avais parlé en la regardant par dessus mon épaule, je rougis d'embarras et de gêne en voyant son regard brillant de nouveau sur ma croupe. Il faut dire que maintenant en plus de mes fesses rondes et laiteuse elle pouvait voir mes lèvres se presser et rouler l'une contre l'autre entre mes cuisses à chacun de mes pas, le rasage avait rendu cette position encore plus érotique. Nous commençâmes à nous promener, Kannan me demanda de marcher dans l'herbe alors qu'elle empruntait le chemin de gravier blanc, je lui en fus reconnaissante, ma maîtresse pensait toujours à mon bien être.

« A promener ainsi dans le parc j'ai l'impression d'être ta chienne maîtresse », dis je avec le sourire, amusée et émue par cette idée.

« Dois je t'amener près d'un arbre pour tes besoins comme un chien que l'on promène », me dit elle en riant, c'était une plaisanterie, c'était évident.

« Si tu le désires maîtresse »

J'ouvrais de grands yeux surprise, j'avais répondu sans réfléchir, et voilà que je lui proposais des choses bien perverses ! Je sentis la laisse me tirer vers les arbres, je changeais de direction en me demandant si elle était sérieuse. Devant un gros chêne je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, je le reniflais et fit non de la tête pour gagner du temps. Elle me conduit au suivant et je le reniflais de nouveau, je m'apprêtais à refuser quand je croisais son regard. Elle ne me forcerai pas et abandonnerai cette idée si je disais non de nouveau.

« Wouf ! »

Je rougis, je ne savais même pas pourquoi je venais d'aboyer. Je mis face à l'arbre alors qu'elle se plaçait et s'appuyait contre, de façon à bien voir. Je me redressais, pris appuie sur mes orteils, jambes pliées, cuisses grandes ouvertes et mains sur les genoux. La laisse pendait à demi entre mes seins dans une position qui offrait la vue totale de mon corps. Je tremblais, fermais les yeux, mon embarras se lisant sur mon visage. Je l'entendis me dire que si je n'y arrivais pas ça ne serait pas grave et comme pour lui prouver le contraire j'urinais.

« aaaaahhhhh »

Je poussais un soupir de soulagement alors qu'entre mes lèvres secrètes jaillissait un jet jaune et puissant, fortement odorant. J'avais les joues en feu mais je ne pouvais plus m'arrêter, je laissais couler le liquide impie et tabou, me soulageant contre un arbre dans un mélange de honte et de satisfaction, surtout quand je sentis la main de Kannan sur mes cheveux pour me féliciter, allait elle me donner ses doigts à lécher en récompense comme dans la vision ?

« Dois … dois je aussi … faire … l'autre besoin … maî … maîtresse ? », mon dieu mais qu'étais je entrain de dire, je lui demandais si je devais déféquer aussi … et je levais la tête vers elle, me frottant contre sa main affectueusement, attendant morte de honte sa réponse.

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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: lundi 19 juillet 2010, 16:07:21 »
Je souriais alors qu’elle prenait la poignée de la laisse. Je me sentis traversée d’un frisson, un frisson qui sembla partir de mon cou pour traverser mon corps, tout mon corps, redescendant jusqu’à la pointe de mes orteils. Maintenant qu’elle avait la laisse en main, je me sentais complète, entière, pleinement vivante et moi même. La gêne n’avait pas complètement disparue pour autant mais le plaisir la faisait diminuer, la camouflait un peu. J’étais émue de l’entendre parler de son passé, ce qui me tira des larmes de joies quand elle dit vouloir mon bonheur et être ma maîtresse, même si elle n’avait jamais imaginé cela de sa vie.

«Merci ... merci maîtresse ...»

Sa main venant caresser ma joue était si douce, si chaude, son pelage dégageait une odeur animal qui me tournait un peu la tête mais que j’adorais, j’avais envie de plonger ma tête dans sa fourrure. Je la voyais s’approcher sans comprendre, son visage près du mien, et avant que je réalise, ses babines se posaient sur mes lèvres. Nos bouches n’étaient anatomiquement pas adaptées à ce genre de baiser, la sienne plus grande couvrait complètement la mienne. Et pourtant ce baiser était parfait, doux, si tendre, si plein de sentiments les plus délicats à mon égard que j’en rougis instantanément, redevenant un phare dans la nuit.

«Ce ... c’était mon premier ... c’était merveilleux ... en ... encore ...»

Je rougis de mon audace et du plaisir si intense que cela m’avait procuré. C’était mon premier baiser et jamais je n’aurai cru que ça puisse être aussi bon. C’était comme si je l’avais réservé pour elle, comme si les premières fois de ma vie lui avait été réservé. Elle me parla de ma toise et je baissais les yeux, trouvant cette forêt de poils sombre. Voulais je les retirer ? Elle semblait penser que c’était mon choix alors que je n’y avais jamais pensé avant la vision et j’avais eu très peu de temps pour y penser depuis. Et je n’y pensais pas beaucoup plus que j’avais déjà droit à un second baiser. Je le savais dès à présent, vivre au coté de Kannan, pouvoir sentir ses lèvres sur les miennes, tout cela annoncé beaucoup de plaisir, bien plus que ma vie actuelle, alors après tout peu importe d’être sans poils, ça pouvait même être amusant, l’idée qu’elle me rase était même excitante.

«hihihihihihihihi», j’éclatais de rire, non pas à cause de son premier ordre mais de sa justification.

«Si mon père nous croise maîtresse, tu penses vraiment que ce qui va le choquer c’est que je sois à quatre pattes ? Alors que je vais traverser le couloir nue, un collier au cou, tenue en laissant par une femme canidée ?», c’est vrai qu’il y avait quelque chose de drôle dans tout ça, mais c’était touchant qu’elle ai pensé à moi encore, «mais je te remercie d’avoir pensé à moi maîtresse»

Je la guidais à la porte, avançais trop vite et me sentis retenue d’un coup par la laisse. Je me retournais et la regardais, je lui souris embarrassée.

«Je suis désolée ... j’ai pas encore l’habitude ... mais ça va venir ... promis ... pardon»

Je m’excusais embarrassée, je savais bien qu’elle n’allait pas m’en vouloir pour si peu mais j’avais l’impression de devoir le faire. Je me demandais si elle serai capable de me punir ? Me donnerait elle la fessée pour ça ? Soudain un flash, une autre vision, ma vue se voila un instant sans que je m’en rende compte. Je la voyais elle, dans la salle de bain, avec moi. Je suis nue, j’ai la laisse et le collier et je déambule dans la pièce pour lui donner la mousse et le rasoir. Elle me sourit et les pose doucement sur le coté, elle s’installe sur le rebord de la baignoire et me parle. Je baisse la tête, honteuse comme une petite fille, je dis quelque chose mais cette fois les paroles m’échappent complètement dans cette vision. Elle tapote ses cuisses et je viens m’y installer, je me couche dessus, les seins collant à son corps, à sa cuisse. Elle me caresse la croupe après l’avoir observé un instant et lève une main hésitante qui s’abat. Elle me donne la fessée et je peux me voir, je dois pousser de petits sons, mais mon visage exprime plus la joie que la douleur.

La vision s’estompe et je rougis. Je me dépêche d’ouvrir la porte et de sortir. Dans ma précipitation la laisse me retient de nouveau. Je m’excuse encore. C’est plus difficile que je ne le pensais de marcher au bout d’une laisse. Si je marche trop vite celle-ci me retient, si je marche trop lentement je gène Kannan dans sa démarche. Je me concentre tellement pour trouver le bon rythme que je me trompe de couloir et dois faire demi tour en m’excusant une fois de plus. C’est la première fois que je déambule nue ainsi, j’ai peur d’être surprise et envie aussi. Je la regarde par dessus mon épaule, elle détaille mon tatouage en forme de dragon et ma croupe qui se dandine si sensuellement. Je rougis, j’ai adapté ma démarche pour être érotique ! Naturellement sans si penser j’ai accentué le déhanchement de mes hanches, le balancement de mes fesses pour donner quelque chose de bien plus provoquant et charmeur.

Enfin nous voici à la salle de bain, j’ouvre la porte et je la laisse y entrer. C’est une salle de bain qui a cédé le pas à la tradition pour un minimum de modernité. En effet on y trouve une baignoire, un grand miroir, des produits de beauté et du maquillage, même si je l’utilise peu. Une fois entrée Kannan verrouille la porte, ça m’inquiète un peu et me rassure à la fois, elle a raison, il ne vaut mieux pas que nous soyons dérangés et surprises. Je suis nue au milieu de la pièce, toujours reliée à la main par la laisse, je me surprend à tenter de mettre mon corps en valeur pour lui plaire, même si cela me gêne aussi.

«Oui maîtresse !», dis je en commençant à fouiller, «Tu préfères que je t’appelle maîtresse ? Maîtresse Kannan ? Douce maîtresse ?», demandais je en ouvrant un tiroir de la commode, sortant une serviette, la mousse et un rasoir.

Je me retournais pour lui apporter en lui souriant, les lui tendant. A la vue de Kannan dans la salle de bain je réalisais alors que c’était le début de la vision, je les lui tendais en sentant mon coeur battre plus fort, me demandant si les visions étaient des prédictions de mon futur ou juste la manifestation inconsciente de mes envies et fantasmes.

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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: samedi 17 juillet 2010, 12:22:48 »
Ses paroles me coupèrent le souffle, elle allait vraiment le faire, allais je me retrouver nue devant cette quasi inconnue que mon cœur appelait déjà maîtresse ? Déjà de ses mains elle déboutonnait le col de mon chemisier, je rougissais honteuse de me laissais faire ainsi, et pourtant ne désirant qu'une chose, qu'elle aille plus loin. Je pouvais voir à ses gestes fébriles qu'elle n'était pas plus que moi habituée à cela et j'en tirais un réconfort certain. Ses doigts sur mon cou découvrirent la douceur de ma peau, une peau lisse et délicate avec une légère odeur de pêche. Sous la caresse je soupirais d'aise pour la première fois de la soirée, comme libérée d'un poids de sentir sa peau sur la mienne.

Les boutons sautèrent un après l'autre, les défenses de mon chemisier ne résistant pas aux assauts de Kannan. Doucement apparaissait dans ce décolleté, qu'elle faisait naître et grandir, le sillon de mes seins. Le doux renflement d'une poitrine généreuse et laiteuse, dont la vue avait été soigneusement gardé jusque là. Était ce de nouveau un simple hasard ou le destin si la veille j'avais été acheter de la belle lingerie avec Shizuru ? Si aujourd'hui je pouvais m'offrir à elle dans un ensemble somptueux au lieu de la grossière lingerie de sport que j'avais l'habitude de porter ? Face à elle, mon chemisier mais masquant encore la plus grande partie de mon corps je rougis de plus belle à son compliment.

« Merci maîtresse … j'ai … j'ai le cœur qui va exploser … mais je te supplie de continuer ... »

Étrange et nouvelle sensation où se mêle la peur de se montrer et le plaisir de le faire, la peur de déplaire suivi du soulagement et de la fierté de plaire. Je sursautais en sentant ses mains sur ma taille avant de gémir de délice lorsqu'elle remonta à mes épaules, passa sur le contour de mes seins semblant des plus moelleux, me retira mon vêtement en me caressant les bras. Me voilà offerte dans ce délicieux soutien gorge de dentelle jaune et déjà ses mains glissent sous mes bras pour venir se poser à l'agrafe de mon soutien gorge. Nous voilà enlacées l'une contre l'autre, sa tête à mon épaule, d'une voix douce et plus sensuelle que jamais elle n'a été je lui souffle à l'oreille.

« Je me lave avec une crème de lait … parfumée à la pêche … j'ai toujours su que je devais prendre soin de ma peau pour quelqu'un … en sortant du bain j'ai souvent pensé qu'elle allait être contente que j'ai la peau douce … sans comprendre qui était ce elle », je ne sais pourquoi je ne pouvais m'empêcher de lui faire tant de révélation, « aujourd'hui je sais que c'était toi ... », je rassemblais mon courage pour poursuivre.

« J'ai honte … j'ai si peur de ne pas te plaire … si honte de te demander ça … mais pas un instant je ne souhaite que cela s'arrête … chacun de tes gestes m'apportent tant de plaisir … j'ai l'impression pour la première de suivre la bonne route … merci »

Je sentis le soutien gorge s'ouvrir, son hésitation avant qu'elle ne s'écarte. J'eus l'impression que le tissu tombait au ralenti, qu'avec une infinie lenteur chaque centimètre de ma poitrine se mettait à nue. Alors qu'elle baissait les yeux pour regarde mes seins exposés à l'air libre, la honte me submergea et en rougissant je venais les prendre en main, les cacher ainsi. Je la regardais et compris alors que c'était bien elle que j'attendais.

« Toute à toi maîtresse », soufflais je en retirant mes mains.

Pour la première fois j'offrais ma poitrine, je dévoilais deux collines de chair orgueilleuse dont la jeunesse défiait la gravité, un vallon de peau laiteuse et délicate courant entre. Je sentais son regard observer mes seins, découvrir leur forme de poires, le mamelon si rose se bombant pour former comme une seconde bosse au bout du sein. Mes tétons pourtant déjà gonfler d'excitation se gorgèrent encore sous son regard et s'allongèrent et durcirent pour ses yeux. Elle se leva et la laisse tomba au sol en cliquetant, je devais lever les yeux pour la regarde face à moi. Quelle vision devais je lui offrir, jeune lycéenne seins nus la dévorant du regard.

Elle me prit les bras et commença doucement à me tirer. Je me mordillais les lèvres en résistant, déviant ses mains des miennes pour venir les poser sur mes tétons, pour lui glisser en doigts ses cerises de chair si intime. Je me mordillais les lèvres et commençais à me lever. Instinctivement elle me tira par les seins en rougissant à son tour, me faisant pousser un gémissement de délice et plaisir. J'étais debout face à elle, bien plus grande que moi je levais toujours les yeux pour la regarder. Je sentais ses mains glisser à ma taille, se saisir de ma jupe plissée pour la retirer en l'accompagnant, se retrouvant face à mon string jaune.

Je tremblotais encore de ses caresses sur mes jambes alors que déjà elle saisissait l'élastique de mon dernier dessous. Jamais retirer ma culotte m'avait semblé aussi dur, et pourtant je me dandinais sensuellement alors qu'elle voyait apparaître une toison fauve, une toison épaisse masquant complétement mon pubis, la privant de la vision de mes lèvres intimes. L'odeur de mon excitation, de mon plaisir monta à mes narines et jamais je n'ai rougis autant, aussi près de mon corps elle devait encore mieux le sentir. Je pouvais voir sa surprise lorsque j'osais enfin baisser les yeux, je me mordillais les lèvres en répondant à la question qu'elle ne posait pas.

« Je … dans la vision … j'étais rasée … je … je ne l'ai jamais fait … mais si tu veux … je le ferai … où je te laisserai le faire … j'ai un rasoir et de la crème dans la de bain … je m'en sers pour mes jambes mais ... »

Je me mordillais les lèvres, n'y avait il plus aucune limite ? Je venais de lui proposer de me raser et même de lui fournir le matériel. Je guettais sa réaction alors qu'elle poursuivait son œuvre, qu'elle retirait mes chaussettes une à une avec précaution et attention. J'étais nue, complètement nue face à elle, offrant mon corps à sa vue et son appréciation, inquiète de lui plaire et encore plus de lui déplaire. Elle se releva, le collier à la main, le présentant à mes yeux avant de me demander si je ne voulais pas changer d'avis.

« J'en suis sure », ma voix ne trembla pas, mon regard ne quitta pas le sien, « à chaque vêtement que tu m'as retiré je me suis sentie un peu plus libre, un peu plus légère, un peu plus vivante … je sais maintenant que si je ne l'ai jamais porté … c'est parce que j'attendais de te rencontrer pour que tu me le mettes », dis je toujours sure de moi mais rougissant de honte et d'embarras.

Je relevai la tête et soulevait le peu de cheveux qui pouvait gêner. J'avalais ma salive quand elle ouvrit le collier et de grands yeux quand elle le passa à mon cou. Je me sentais pour la première fois complète, je vacillais d'un pas en portant les mains à mon cou, touchant le collier comme si je rêvais. C'était doux à mon cou, lourd aussi, mais elle ne l'avais pas serré pour m'étrangler, juste une légère pression. J''avais du mal à croire qu'elle me l'ai posé de façon parfaite dès la première fois, comme si elle aussi inconsciemment elle avait su quoi faire et comment le faire. Pourtant je n'avais pas manqué de remarquer son embarras ou sa tristesse, tout comme elle n'avait pas pris la laisse en main, la laissant pendre entre mes seins.

« Pourquoi tant de tristesse sur ton visage Kannan ? », volontairement j'utilisais son prénom, « Je ne veux pas te faire souffrir … Je t'ai demandé quelque chose de personnel … pour la première fois je me sens entière … je me sens vivante … tu ne me transformes pas en esclave », je m'approchais tout près pour la regarder dans les yeux, tendresse et compassion dans le regard.

 « Je suis née pour être avec toi … pour être à toi … je pense sincèrement que c'est la vie que j'attendais … je veux être ta chienne … ton animal domestique … ta servante … ton amie … et peut être un jour ton amour », je fis remonter doucement la laisse qui pendait entre mes seins pour lui tendre.

« Je veux être avec toi … je veux être à toi … mais seulement si tu le désires aussi … sinon je retirerai moi même le collier, il te suffit de me le dire », J'étais sincère, cruellement sincère, mon visage exprimait la douleur que cela représenterai mais mon vrai désir de me sacrifier plutôt que de lui faire du mal.

« Ou tu peux prendre ma laisse … nous pouvons aller promener … nous pouvons aller me raser si tu désires me voir encore plus nue … je veux ton bonheur comme le mien … je veux que mon corps soit à l'image des tes rêves … je veux me promener avec toi également maîtresse », dis je tremblante, tendant la poignée, attendant le cœur prêt à exploser.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Shovel is missing.
« le: vendredi 16 juillet 2010, 10:32:53 »
C'est chouette les vacances ! Profites bien et amuses toi bien :)

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 16 juillet 2010, 10:32:21 »
10H32

Le boulot est tranquille, en profite pour trainer sur le forum.

a trop d'idée de perso et ne sait plus quoi faire

10h33 retourne réfléchir hihihihi

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Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: vendredi 16 juillet 2010, 09:48:16 »
La voix et la surprise de Kannan m’arrêtèrent un instant. Qu’étais je entrain de faire, avais je perdu la raison. Pourtant elle ne retira pas son doigt d’entre mes lèvres, je pouvais sentir la douceur de son pelage sur ma langue. Doucement alors qu’elle me regardait je recommençai à la choyer. Mes lèvres avancèrent jusqu’à faire disparaître la seconde phalange, je me mis alors à la mordiller de façon coquine. Que pouvait elle ressentir ? Sentait elle la chaleur de mon appendice rose qui s’enroulait sur son doigt ? Avait elle l’impression de ma salive humide donnant une impression humide et douce de ma bouche ?

Essayais je encore de la convaincre de me prendre avec elle ? Non ... la réalité c’est que lorsque j’ai vu ses doigts juste après la vision, j’ai eu envie de profiter de la récompense que j’avais mérité ... Comment aurai je d’ailleurs pu m’arrêter alors que la voilà qu’elle se mettait à genoux pour me regarder dans les yeux, me caresser la joue de sa main libre dans un geste rassurant. La belle canidé ne m’ayant pas retirer son doigt je profitais de celui-ci, doucement je reculais avant d’avancer de nouveau, je ne savais pas trop ce que je faisais, je le traitais comme une glace, ne songeant pas un instant que je pouvais donner une tout autre image. Dans le regard de ma compagne je pouvais lire qu’elle appréciait mon étrange caresse.

Je ne sais pourquoi cela pris déjà fin, la voilà qui retire ses mains, qui me prend par les bras. Une légère sensation de regret m’étourdis un peu, mais surtout cette étrange et enivrante émotion, la satisfaction, la satisfaction de lui avoir fait plaisir. Elle ne forçait pas et je suivais son mouvement, me relevant toujours les joues rouges mais avec un léger sourire aux lèvres. J’étais perdue dans ces grands yeux, dans ce regard qui ne quittait le mien, dans sa douceur et sa gentillesse. Lorsqu’elle pose sa question, la peur traversa un instant mon regard et instinctivement je regardais le tiroir en question. Je venais de faire un aveu silencieux, je n’arrivais pas à prononcer un mot de plus.

Je revins à ses yeux, elle aussi était troublée, elle me tenait toujours et je ne souhaitais pas qu’elle me lâche. Que dire ... que faire ... Elle aussi avait du sentir mon trouble car elle me proposa que nous nous désaltérions, elle m’offrait une porte de sortie. Elle tentait de paraître à l’aise que tout ceci était normale mais elle aussi avait des réactions qui montrait son trouble ... était ce par ce qu’elle se demandait ce qui allait arriver ou comment se sortir de ce guêpier ?

«Ou ... oui ... bien sur ... j’ai amené du jus de pommes, c’est mon fruit préféré ... je t’en prie assied toi maîtresse», ma langue fourcha, je rectifiais rapidement embarrassée, «assieds toi Kannan»

Je la guidais vers mon lit et la laissait s’y asseoir de nouveau, je retournais vers le bureau et je commençais à servir deux verres de jus de pommes frais. Je prie les deux verres et lui apporta le sien avant de m’asseoir à coté d’elle. Un instant le silence s’étira, gênée je n’osais plus parler et elle non plus, nous buvions en attendant chacune une réaction de l’autre.

«Tu as dis être une furry ? Il y a beaucoup de furry sur Terra ?», je commençais à lui poser des questions sur son monde, retrouvant un peu de mon calme, «c’est un endroit dangereux ? Pourquoi es tu venue sur Terre ? Ici on n’a plus d’esclavage ... on l’a aboli il y a des siècles ... Il y a beaucoup d’esclaves ?»

Je réalisais soudain que mes paroles avaient repris la direction des visions, je rougis fortement et la regardais. Ecoutais ses réponses avant de me lever. Sans rien dire je me suis dirigée vers mon bureau, j’ai ouvert mon tiroir et j’y ai pris la chose qu’elle m’avait demandé. Une laisse de métal brillant, au bout une lanière de cuir, de l’autre coté un collier aussi en cuir, un cuir bordeaux doublé d’un tissu délicat à l’intérieur pour ne pas irriter le cou. Je suis revenue avec pour m’asseoir au bord de lit, de nouveau à coté d’elle. Je rougis en la regardant pour lui raconter.

«J’ai la laisse depuis un an ... tout a commencé par un défi, des amies avaient parié que je n’oserai pas rentrer dans un sexshop acheter une vidéo porno.», dis je en rougissant un peu plus.

«J’ai relevé le défi et j’y suis allée, je suis rentrée dans la boutique pour acheter la vidéo. J’ai avancé tout droit vers les dvd et j’en ai pris un sans regarder vraiment avant de me rediriger vers la caisse.», en racontant je me souvenais de la peur que j’avais eu en le faisant mais de l’excitation aussi.

«En allant à la caisse pour payer je suis passée devant un rayon avec des colliers et des laisses. J’avais toujours pensé que c’était pour la animaux, mais c’étaient ici des modèles humains. J’ai senti mon coeur se serrer mais je ne savais pourquoi, je suis partie avec la vidéo», c’était étrange alors, j’étais troublée en les regardant dans le rayon, si j’avais su qu’un jour je me verrai avec dans une vision ...

«Pendant les jours qui ont suivi j’ai mal dormi, j’étais obsédée par cette image, je ne cessais d’y penser, pouvait on prendre du plaisir à porter ce genre de chose», en parlant j’avais posé la laisse et le collier sur mes cuisses, mon regard allait des objets à ma compagne, hésitante.

«J’ai fini par y retourner, j’avais honte mais je sentais que je devais le faire. Dans la boutique j’ai commencé à toucher les laisses et quand j’ai posé la main sur celle-ci ... j’ai su ... j’ai su que c’était la mienne ... qu’elle avait été faite pour moi ...», dis je en caressant la laisse. D’habitude le métal est froid mais aujourd’hui je le sentais chaud, brulant, comme si ce n’était pas à moi d’y toucher, plus à moi.

«Je ... je ne l’ai jamais porté», dis je en touchant le collier qui lui me sembla bien plus doux que dans mes souvenirs, «j’y ai songé ... une fois j’ai même essayé ... mais je n’ai jamais pu le mettre à mon cou ... j’avais l’impression que ce n’était pas à moi de le faire.»

Je n’osais plus la regarder, je laissais un instant le silence s’imposer, je prenais des forces, je rassemblais mon courage. Peut être le savait elle et peut être était ce pour cela qu’elle attendait. Je finis par prendre le collier et la laisse, venant les déposer sur ses genoux à elle en rougissant de nouveau.

«Crois tu au destin ? Crois tu que mes visions puissent être réelles ?», je ne le savais pas moi même mais je commençais à y croire.

«Tout ceci ne peut pas être une simple coïncidence ... suis je destinée à devenir ton esclave ?», je la regardais dans les yeux, un peu inquiète de sa réponse, ne sachant pas si j’avais plus peur du oui que du non.

«Je devrais avoir peur à cette idée mais ce n’est pas le cas ... j’ai peut être plus peur que tu me dises non ... crois tu que c’est pour  cela que je t’appelle maîtresse sans y réfléchir, comme si ma langue parlait pour moi ?», je la regardais dans les yeux, tant de questions, tant de doutes.

«Vas tu me le mettre ?», dis je en caressant le collier, dans ma voix inquiétude et espoir, «Dois je ... me ... me ... déshabiller ?», dis je hésitante.

Me déshabiller, je n’avais jamais montré mon corps à personne et pourtant je songeais à le faire, à lui offrir. Je ne savais pourquoi, surement à cause des visions où je me voyais nue. J’attendais sa réponse le coeur aux bords des lèvres quand une idée me vint, me faisant ouvrir plus grands les yeux.

«Veux ... veux ... veux tu ... me ... me déshabiller ... toi même ... maî ... maîtresse ?», je lui proposais une chose folle et consciemment, en faisant l’effort, je l’appelais volontairement maîtresse pour la première fois.

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