Le parc et son sous-bois / Re : Un Monstre ? [PV Kimura Kaede]
« le: jeudi 19 mai 2011, 07:03:37 »Il est vrai que mes paroles avaient été un peu cru, mais cela ne m'inquiétait pas. Les mains de ma maîtresse caressent mes fesses rondes et délicates avec tant d'envie que je dois me mordiller les lèvres pour ne pas passer mon temps à gémir de plaisir. Lorsqu'elle se redresse, me faisant lever les yeux pour la regarder, c'est son sexe à la taille irréelle qui se glisse entre nous. Je ne peux que mordiller mes lèvres avec un peu plus d'envie à chaque fois que mon regard se pose sur sa queue.
« Puisque tu sembles tellement insister sur le fait de goutter mon sexe, ne te gène pas, il est tout à ta disposition ! »
« Merci maîtresse ! Huuuummmm ... »
Elle s'approche et vient frotter sur mon visage son membre. Je devrai peut être m'en sentir humiliée, mais la vérité c'est que j'adore cela. Il est difficile de vraiment pouvoir expliquer le bien être que peut provoquer la sensation de cette chose si dure et étonnamment douce qui glisse sur ma peau, sur mes lèvres. Je ne saurais dire ce qui m'excite le plus en cet instant, tout simplement la verge fort impressionnante qui palpite sur mon visage, d'être nue à genoux devant cette canidé que je ne connais que depuis quelques heures ou de porter le collier et la laisse qu'elle tient fermement en main, faisant de moi sa petite chienne humaine ...
« Votre queue est si douce maîtresse … et si dure ... »
A quoi bon savoir ? L'excitation est telle que maintenant qu'elle me le permet mes petites mains montent se poser sur cette matraque géante. Un instant je sens le contact dur de sa chair et instantanément je retire les mains comme si la chose était faite de feu. Je la regarde un peu embarrassé et reviens les poser avec délicatesse. Sous mes longs doigts la chose me paraît encore plus grosse, je referme les mains et je découvre que je ne peux en faire le tour avec une seule. Dans mes yeux est visible l'étonnement et un peu d'angoisse.
« Oh maîtresse … c'est si … gros ... »
Comment cela pourrait il entrer en moi ? Alors que je me questionne je commence malgré tout à bouger mes doigts de haut en bas, serrant le membre pour faire glisser la peau sur la chair dure. Si je ne l'ai jamais fait avant aujourd'hui, si je ne connaissais pas cette drôle de sensation que de sentir la peau glisser de bas en haut sur une verge, les vidéos pornos que je cache dans ma chambres m'ont malgré tout appris la théorie. C'est ainsi que je débute une masturbation douce qui varie par moment d'intensité, devenant fougueuse pour se calmer de nouveau.
« Je … c'est étrange … chaud dans ma main … c'est assez amusant … de la sentir bouger ainsi ... », dis je en observant moi même les réactions de la verge que je masturbe, « Merci maîtresse. »
Alors je me penche un peu en avant et sans arrêter la masturbation, la rendant juste plus délicate, je viens déposer un baiser sur le bout du gland. Je dépose mes lèvres si douces et chaudes, les lèvres que Kannan a pu savourer bon nombre de fois déjà ce soir sur sa queue. Sous les yeux de ma maîtresse l'image déroutante d'une jeune humaine au corps de rêve, complètement nue à ses pieds, écartant les cuisses pour laisser voir son sexe lisse et humide, un sexe que la belle lui a rasé juste avant, un collier de cuir noir avec des pointes à son cou, une laisse en métal remontant jusqu'à sa propre main. Cette belle enfant qui se dit être sa jeune chienne embrasse avec dévotion, délicatesse et avec envie son sexe qui semble encore gonflée.
Moi je ferme les yeux pour savourer le goût de la queue de ma maîtresse, je les ouvre parfois pour la regarder dans une expression attentive et coquine. Ma main droite descend pour flatter les bourses, si les vidéos sont vraies les hommes aiment bien ça. J'ai du mal à croire ce que je sens au bout de mes doigts, deux testicules grosses comme des mandarines que je fais rouler avec plaisir. Mon autre main soulève alors le membre, ma bouche cesse les baisers pour que je puisse regarder par en dessous les bourses.
« Quand maîtresse en aura envie j'adorerai pouvoir venir les lécher », dis je en soulevant les testicules pour ne pas laisser de doute sur la chose dont je parle et que je souhaite parcourir de ma langue.
C'est d'un long et lent mouvement de langue que je remonte le sexe par en dessous. Ma petite pointe de chair rose partant de la base, juste au dessus des bourses qu'elle évite, pour parcourir la peau et laisser une ligne de brillante de salive. Sur ma langue explose le goût puissant du sexe de ma maîtresse, un goût qui me fait tourner la tête, qui me fait perdre pied. Quand j'arrive au sommet je donne au gland de nombreux coups de langues amoureux comme si je dévorais une glace des plus délicieuse.
« Je n'avais jamais … c'est si bon maîtresse ... », je rougis et viens chercher une main de Kannan que je dépose à l'arrière de mon crane, « Je ne sais pas jusqu'où je pourrais aller maîtresse … je vous demande de ne pas me retenir et de me pousser aussi loin que vous le désirez ... »
Je finis cette phrase pleine d'envie mais aussi d'embarras ce qui donne à mon visage un air coquin et des rougeurs amusante à mes joues. J'ouvre grande la bouche en plongeant mon regard dans celui de la femme qui me rend si délicieusement perverse. Ma bouche se referme sur le gland et seulement le gland, celui-ci découvrant alors un écrin de douceur et de chaleur. Ma langue vient l'accueillir comme un tapis délicat avant d'en faire le tour comme pour une toilette chaude et humide. Je le regarde, ma belle petite bouche déjà déformée par ce sexe monstrueux, la masturbant d'une main tout doucement, caressant ses bourses avec autant d'attention et de délicatesse.
Une chose est sure alors que tu m'observes d'en haut, l'expression une chienne en chaleur, vient de prendre un sens complètement différent pour toi.