Dortoirs et douches / Re : Rêve plus vrai que nature ["Suki"]
« le: mercredi 26 mai 2010, 16:24:12 »Elle profita de son apparence humaine pour leurrer les lycéennes qui pensaient avoir affaire à une simple femme demandant de l'aide pour une boutique de vêtements en échange de fringue tout juste sortie et gratuit, c'est ce genre de piège grossier qui marche à tous les coups.
Il faut dire que les jeunes de maintenant sont si obsédée par le paraitre qu'ils seraient prêt à vendre père et mère pour rester une jeune femme aguicheuse.
Ayant marre de se faire des petite fille effarouchée par sa bestialité, elle eut envie de faire un tour vers ce que la dernière victime avait appelé par le mot dortoir. Hamatsukimikoro eut la merveilleuse idée de traumatiser les demoiselles dans leurs rêves.
Aussi elle se faufila dans les chambres sous la forme d'une toute petit araignée, s'amusant un peu avec le corps de ses victimes avant de les violer dans leurs rêves, elle frémissait en imaginant leur doux visage être effrayée en constatant qu'elle avait été souillée pendant leurs sommeille.
Mais voilà que la nuit avançait rapidement et la transformation n'était plus utile, car tous le monde dormit maintenant à poing fermé. Elle prit une porte au hasard et vit une créature fantastique, une hermaphrodite. Ni une ni deux, elle fit glisser ses affaires, dénuda le belle enfant et se mit sur elle, mettant le bâton de jade bien au chaud dans son vagin, les mains de la petite fut plaçées sur ses fesses, ainsi si une personne passait, il aurait put croire que les deux demoiselles s'était endormie après un ébat, mettant June dans une situation difficile.
Une fois cela fait, elle embrassa avec perversité la jeune fille avant de s'enfoncer dans son rêve. Elle arriva pile au début, là où le décor n'est pas encore planté, où le noir réside, elle changea donc le rêve, faisant naître des murs moyenâgeux de sombre et froide, le parquet n'est rien d'autre que de l'eau ayant une profondeur de cinq mètres, quand à June elle se trouvait enchainé au dessus de l'eau par les bras, quand à la tortionnaire, elle marchait sur le liquide sans le moindre soucis. La vile créature s'approcha du corps de la un tiers déesse et colla son corps brulant de désir contre elle.
- Alors on veut être punit ? Redit-moi ton nom.
Elle mimait à la perfection la fonction d'un rêve qui se veut que certain personnage imaginaire ai déjà croisée la demoiselle, cela pouvait représenter une amie, une rivale ou encore la matérialisation de ses désirs enfouis.
La fonction de donner son nom dans le rêve permettait d'assoir la domination de la créature sur sa proie. Sans compter qu'elle avait gardé son apparence humaine.