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Dortoirs et douches / Re : Invocation et déesse du vice.
« le: dimanche 16 mai 2010, 16:40:01 »
La sorcière fut ravie de constater qu'elle n'était pas à terre, une autre déesse aurait sans doute eut envie de la piétiner jusqu'à ce que mort s'en suive. La chaleur de l'autel excita légèrement Ambroisie qui se retira de l'autel en voyant la transformation de Lust, regardant chaque détaille avec des yeux emplit d'idées perverses au vue du corps magnifique qui se trouvait offerte ainsi. Il y avait tout ce que la sorcière aimait, une beauté digne d'une déesse, un aura de sauvagerie dominé par un esprit vierge de tout plaisir et se trouvant face à un être arborant son goût du sexe.
Bien sûr Ambroisie savait pertinemment que Lust ne faisait que jouer une comédie, mais bon dieu qu'elle bonne actrice. Même la voix de cette chienne donnait d'horribles frissons et surtout l'envi de la prendre tout de suite sans prendre les gants, mais pour la sorcière la domination d'une esclave, même s'il y avait beaucoup de chance que cela soit l'inverse, se faisait dans les règles de l'art.
- D'abord je vais te débarrasser de tes vêtements. (rire)
Elle prit le scalpel et se mit à califourchon sur Lust, qui pouvait sentir que la sorcière mouillait déjà de plaisir à l'idée de tout ce qu'elle va pouvoir faire à la déesse. Puis elle embrassa sa partenaire avec avarice, laissant ses mains s'occuper de couper les vêtements avec minutie, mais à un moment, elle fit une entaille au ventre, elle était petite, mais présente tous de même, alors elle laissa sa langue descendre jusqu'à la plaie pour lécher le sang qui perlait, tel un chat.
une fois le vêtement principal retiré, elle s'occupa des porte-jarretelles et des collants, laissant comme unique vêtements à Lust son collier, chose qu'elle n'avait pas laissé par oubli, mais pour que Lust soit encore plus dans la peau d'une de ses proie et comprenne que Ambroisie était une joueuse qui aimait prendre des risques.
- J'ai chaud si tu me retirais mon haut, je commence à être trempée.
Elle l'avait dit avec un regard lubrique, les chaines disparurent comme par enchantement.
Ambroisie était sur le ventre de Lust, son intimité luisant de cyprine, comme quoi l'apparence de la déesse ne la laissait pas indifférente. Elle attendit la réaction de sa partenaire, en jouant avec son index droit sur le téton gauche de la demoiselle.
On pouvait aisément voir que Ambroise transpirait, d'une part à cause de la chaleur de l'autel, de l'autre par la présence d'une des plus belle créature qu'elle aurait put voir dans ses rêves.
Bien sûr Ambroisie savait pertinemment que Lust ne faisait que jouer une comédie, mais bon dieu qu'elle bonne actrice. Même la voix de cette chienne donnait d'horribles frissons et surtout l'envi de la prendre tout de suite sans prendre les gants, mais pour la sorcière la domination d'une esclave, même s'il y avait beaucoup de chance que cela soit l'inverse, se faisait dans les règles de l'art.
- D'abord je vais te débarrasser de tes vêtements. (rire)
Elle prit le scalpel et se mit à califourchon sur Lust, qui pouvait sentir que la sorcière mouillait déjà de plaisir à l'idée de tout ce qu'elle va pouvoir faire à la déesse. Puis elle embrassa sa partenaire avec avarice, laissant ses mains s'occuper de couper les vêtements avec minutie, mais à un moment, elle fit une entaille au ventre, elle était petite, mais présente tous de même, alors elle laissa sa langue descendre jusqu'à la plaie pour lécher le sang qui perlait, tel un chat.
une fois le vêtement principal retiré, elle s'occupa des porte-jarretelles et des collants, laissant comme unique vêtements à Lust son collier, chose qu'elle n'avait pas laissé par oubli, mais pour que Lust soit encore plus dans la peau d'une de ses proie et comprenne que Ambroisie était une joueuse qui aimait prendre des risques.
- J'ai chaud si tu me retirais mon haut, je commence à être trempée.
Elle l'avait dit avec un regard lubrique, les chaines disparurent comme par enchantement.
Ambroisie était sur le ventre de Lust, son intimité luisant de cyprine, comme quoi l'apparence de la déesse ne la laissait pas indifférente. Elle attendit la réaction de sa partenaire, en jouant avec son index droit sur le téton gauche de la demoiselle.
On pouvait aisément voir que Ambroise transpirait, d'une part à cause de la chaleur de l'autel, de l'autre par la présence d'une des plus belle créature qu'elle aurait put voir dans ses rêves.