Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
Prélude / Re : Kyoko, la tigresse. [VAL.]
« le: mardi 20 février 2018, 03:01:46 »Skype, cela t'intéresse vraiment ? :3
Prélude / Re : Kyoko, la tigresse. [VAL.]
« le: lundi 19 février 2018, 20:57:01 »Prélude / Re : Kyoko, la tigresse. [VAL.]
« le: lundi 19 février 2018, 20:53:27 »Je la garde ainsi pour le moment, je rajouterai des choses au fur et à mesure. :3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 08 février 2013, 16:57:29 »*sort les grigriffes et fait de la dentelle avec les colants de SP*
Voualaaaaaaaa
16h57
Place publique / Re : On efface tout et on recommence...[PV Liam]
« le: samedi 12 janvier 2013, 19:19:18 »Dans sa tête, tout se bousculait. Elle ne savait plus trop où elle en était. Devait-elle haïr ? Devait-elle se rebeller ? Tenter de fuir ? Le supplier ? Elle se souvient alors de ce qu’il était advenu de celle qui avait supplié plus tôt dans la chambre : aucune pitié. De toutes manières, elle ne se sentait même pas capable d’agir. Réfléchir devenait douloureux. Au départ elle avait compris être arrivée là pour servir de doudou câlin la nuit et de femme de ménage, pas pour devenir miss Carnage mangeuse de testicules. Evidemment, elle ne s’opposera pas même si son avenir consistait à manger des testicules à longueur de journées. Elle était ainsi faite, ainsi programmée.
- Je…je suis désolée.
Elle se répétait mais que dire de plus ? Rien. Liam n’avait pas à l’excuser, seule elle devait le faire. Tout comme elle allait obéir aveuglement à ses ordres. Elle vit l’homme qu’elle détenait entre ses griffes s’échapper, elle comprit alors qu’en tirant sur elle, le Maître avait involontairement libéré le garde. En voilà un après qui elle allait devoir courir pour lui dévorer l’entre jambe.
Pour commencer, elle dut attendre que le Maître s’en aille. Elle regarda la salle et puis les lambeaux de chairs qu’elle allait devoir ingurgiter. Un haut le cœur la pris. Et dans quelques soubresauts, son corps retrouva petit à petit son apparence d’origine. Sa chevelure ébène et ses yeux aussi rouges que le sang maculant les murs. La douleur se rappela à elle la frappant comme milles aiguilles enfoncées sous sa peau. Ses forces l’abandonnèrent de plus belle. Elle voulut se lever pour commencer sa besogne mais ses muscles refusèrent de répondre. Dans un élan de colère et de folie, elle força. Elle put se positionner pour venir arracher de ses dents un morceau de testicule qu’elle avala sans prendre la peine de mâcher. Son haut le cœur s’intensifia. Elle recommença. Cette fois ci, le vertige accompagna la nausée. Kyoko tentait tant bien que mal de faire ce que son Maître lui demandait. Son état ne lui permit pas. Trop de douleur, trop de fatigue, trop de nervosité, trop de tristesse. Et elle s’effondra, évanouie dans le stupre qui l’entourait. Des larmes perlèrent sur ses joues, nettoyant un peu les salissures.
Ce ne fut qu’après une bonne demi-heure qu’une esclave aperçu le carnage. Curieuse, elle entra pour comprendre ce qui s’était passé, tout en essayant de ne pas se faire prendre à faire autre chose que son ménage. Après une observation des murs qui à force d’en avoir vu ne la dégoutait même plus, son regard croisa le corps nu de la Terranide. Elle put voir le collier d’or, seul vestige d’un éventuel vêtement. Elle constata que contrairement aux deux autres au sol, elle respirait, elle était donc vivante. Rapidement, elle alla prévenir un des mages guérisseurs du manoir. L’homme fit transporter la Terranide sur un lit dans ce qui servait d’infirmerie. Pendant le trajet, le collier se détacha et l’esclave le ramassa en suivant docilement le cortège. Là-bas, un autre mage s’évertuait à créer des potions guérisseuses ou quelques poisons punitifs, voire mortels.
- Et qu’est-ce qu’on fait d’elle maintenant ? C’est une Terranide, elle n’appartient donc pas au Maître…mais que fait-elle donc là alors ?
- Si tu veux mon avis, c’est une espionne qui s’est infiltrée. On la tue et on la donne aux Worg du Maître, ils seront content d’avoir de la chair fraiche.
- Non mais vous ne…
- Tais-toi donc ! Retournes travailler au lieu de flâner ici, sinon tu seras sévèrement punie, compris ?
L’enclave prit peur au mot punition et préféra utiliser ses jambes pour courir retourner travailler. Cependant, dans ses mains, le collier l’intriguait. Le cuir était le même que le sien hormis le fait qu’il était travaillé d’or. Pour l’esclave, aucun doute, la Terranide appartenait à cette maison et était gradée. Alors que faire, laisser les mages tuer la Tigresse ou tenté de prévenir le Maître au risque de se faire corriger ? Et puis si c’est bien une gradé d’or, peut-être sera-t-elle récompensé pour l’avoir prévenu ? L’appât du gain est toujours le plus fort. Elle demanda à ses camarades où se trouvait le Maître et s’y dirigea prestement. Elle frappa à la porte en entra sans attendre une réponse positive, mais c’était pressé non ?
- Pardonnez…mais…la fille…ils vont la tuer. Elle était évanouie…je l’ai trouvée…ils m’ont chassée…
A dire vrai, elle ne savait pas trop comment elle devait lui dire correctement tant elle avait peur de la réaction du Maître. Dans un dernier recours, elle lui agita le collier d’or sous le nez comme si l’odeur du sang pourrait lui faire comprendre les tenants et les aboutissants.
Prélude / Re : Méfiez-vous des personnes de petite taille...
« le: vendredi 16 novembre 2012, 17:53:18 »Archives / Re : Kama sutra
« le: lundi 24 septembre 2012, 02:13:33 »Oui s'tout pour cette fois.
Place publique / Re : On efface tout et on recommence...[PV Liam]
« le: lundi 24 septembre 2012, 02:03:17 »Le garde glissa ses doigts sur ses fesses fermes et, la soulevant, la colla contre lui. Son membre dur et dressé se frottait à son intimité, cognait contre l'entrée de sa matrice, cherchant son chemin pour s'enfoncer en elle. Elle ne lui facilitait pas la tâche, se débattant sans cesse, avec toutes les forces qu’elles pouvaient trouver. Il grogna. Ses coups de reins finissaient dans le vide et son membre ne faisait que se frotter contre l'intimité de la femme qu'il écartelait. Ses tentatives, pour se soustraire à lui, frottaient son corps contre le sien et il n'en éprouvait que plus de désir. Il planta ses griffes dans les fesses qu'il maintenait, s'enfonçant dans la chair frémissante jusqu'au sang. Elle cria, la douleur la faisant se cambrer en avant pour échapper aux mains de son agresseur, ce qui eut pour effet de la mettre en position favorable. Il poussa son membre en avant, écartelant le sexe qui s'offrait involontairement. Il enfonça d'une seule longue poussée son membre dans l'intimité resserrée par l'angoisse. Il en força le passage, s'enfonçant totalement en elle d’une poussée violente, et commença un va et vient brutal dans son corps.
Sentant le membre tendu envahir son intimité, elle se convulsa de douleur, un frisson glacé lui parcouru le dos et une sensation de nausée lui coupa le souffle. Un voile dansait devant ses yeux. Elle comprit qu'elle allait perdre connaissance, son esprit, son corps ne voulaient plus, fuyaient à leur façon. Elle lutta contre elle-même, s'obligeant, malgré la douleur et la terreur, à calmer sa respiration, refusant de livrer son corps sans conscience. Et puis son esprit fut rompu, non pas par les gardes mais par l’intervention de son Maître. Ainsi donc il autorisait cet état de fait ? A ce moment-là, Kyoko perdit toute velléité de combat, elle ne bougea plus. Ses yeux se rivèrent vers le Maître, pleins d’incompréhension. Elle ne reçut qu’un regard froid et rempli de reproche. Il parla. Oui effectivement, elle pouvait se défendre plus violemment, mais jamais il ne lui avait dit qu’elle soit autorisée à briser en deux ceux qui étaient plus gradés qu’elle. Et puis jusque-là, ça ne lui était pas venue à l’esprit car à l’origine, Kyoko est une femme douce et pacifiste. Mais autre chose caractérise la jeune Terranide : elle veut que son Maître soit plein de satisfaction. Et là, ce n’est plus le cas.
Les gardes ont aussi entendu les paroles du vampire et ils en rirent d’avance. Même si la jeune demoiselle venait à redevenir un tigre, ils sauraient la remettre à sa place. Et puis, si faible qu’elle était grâce à leurs traitements, que pouvait-elle vraiment faire ? C’est donc sans se soucier d’elle qu’ils continuèrent leur cruelle besogne. Kyoko dut réfléchir, mettre son esprit suffisamment hors de portée de ce qui se passait réellement. Pas encore au point dans son don de métamorphe, il lui fallait un minimum de concentration, voire de préparation. Aussi ne fit-elle aucun nouveau mouvement, comme si elle avait renoncé à se défendre pour ne pas alerter les gardes.
Riant toujours, content de leur méfaits, ils ne virent pas les poignets de la Terranide se couvrir de petits pics, aussi durs que l’acier, qui perforaient peu à peu les lanières retenant ses poignets. Ils ne virent pas non plus sa peau changer légèrement de couleurs pour se strier, non pas de rayures comme le pelage d’un tigre mais d’écailles similaires à des écailles de tortue. Mais la plus grosse surprise serait pour le garde qui avait décidé de la violer, il allait perdre son précieux joujou. Au moment où il se retira, Kyoko en profita pour faire pousser des pics identiques à ceux de ses poignets, pointes vers l’intérieur de la jeune femme. Il ne senti rien en revenant brutalement en elle mais lorsqu’il se retira, son pénis fut littéralement arraché sur la longueur, provoquant une lourde hémorragie. Celui là ne pouvait plus rien faire et voyait sa vie partir dans un flot de sang. Sous le sourire conquit de l'esclave.
A cet instant, les deux autres gardes cessèrent de rire en entendant hurler leur compère. Les liens de la tigresse rompirent, la libérant. La colère était palpable dans son regard, dans son souffle. En retombant sur ses pieds, elle prit le temps d’attraper son agresseur de droite par la gorge, et, faisant durcir sa main elle lui arracha la trachée. La mort pour lui était inéluctable. Le dernier à ne pas être amoché voulu la frapper violemment mais ses points rencontrèrent la carapace et ses doigts se brisèrent. Comme si son instinct se réveillait à ce moment-là, il décida de fuir la jeune femme qui écailleuse comme elle l’était ne pouvait pas le suivre. Pourtant, sans avoir à se déplacer, elle lui affligea une sévère plaie. Des doigts de la jeune femme, sortirent des griffes acérées qui s’allongèrent comme des lames de sabres beaucoup trop longs et se plantèrent entre ses omoplates, le hasard voulant que l’œsophage ne soit pas touché. Dans sa course, elle l’encastra dans un mur non loin de Liam, l’obligeant à ne plus bouger. Lui pourrait survivre, et Kyoko comptait bien ne pas le laisser mourir, ni partir.
Elle les avait anéantis. Seule, sans l’aide de Liam, sans l’aide de quiconque. Pourtant, elle était si faible en cet instant. Cela lui fit peur, elle se faisait peur. Elle se demanda de quel potentiel réel elle disposait ? De quoi pourrait-elle être vraiment capable une fois apte à contrôler son pouvoir en ayant une forme Olympique ? Elle en eut une nausée. A moins que la raison soit simplement le résultat de ses épreuves. Elle était dans un état lamentable. Plus fatiguée que jamais, plus abimée que jamais, plus affamée que jamais. Autant de chose qui mises bout à bout ne purent que déclencher des larmes. Un sanglot contenu mais réel. Ses yeux mouillés se retournèrent vers son Maître ne sachant plus trop ce qu’il allait advenir d’elle. La Terranide cherchait aussi du réconfort mais doutait fortement du potentiel compassion du vampire.
- Je suis désolée de vous avoir déçu…
Un maigre sourire avant que ses yeux ne papillonnent. La jeune femme perdait connaissance mais elle continuait de lutter pour rester consciente…ne serait-ce pour que le seul survivant ne meurt pas et surtout, ne s’enfuit pas. Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid.
Place publique / Re : On efface tout et on recommence...[PV Liam]
« le: jeudi 21 juin 2012, 13:56:48 »Les hommes s’en allèrent doucement, comme s’ils marchaient sur des œufs. Ils firent le choix de se retirer à reculons, comme s’ils craignaient un coup mal placé dans le dos, voire un coup de griffes. Ils sortirent de la salle de bain, puis de la chambre, non sans regarder un moment la scène qui se profilait. Ils avaient entendu le Maître demander au gros chat de reprendre une autre apparence et eux, ils n’avaient pas encore vu cette apparence. C’est avec une discrétion sans norme qu’ils regardèrent le spectacle. Kyoko fut contente d’avoir un beau compliment, mais ses traits de tigre empêchèrent de montrer celui-ci. Contrairement à la transformation en tigre, le fait de redevenir une humaine, enfin une Terranide, ne lui prit que quelques secondes. C’est d’ailleurs encore bien trop lent par rapport à ses réelles capacités, mais ça, elle l’apprendra plus tard.
Ce fut donc une jeune femme aux cheveux neigeux qui refit son apparition. Elle reprit son collier et le remit en place. Bien évidemment, elle resta nue, sa priorité résidait dans l’ordre donné par Liam. Elle entendit des rires provenant du couloir. La tigresse n’y prêta pas plus d’attention que ça et commença son devoir. Pas la peine de l’essuyer, elle avait mis tellement de temps à faire sa démonstration, que le pauvre vampire était plus sec qu’un désert. Elle prit les vêtements secs et propres de son Maître dans l’armoire et de façon contentieuse, elle l’habilla. Même si elle faisait ça bien, elle essaya d’être rapide pour que le Maître puisse aller manger. C’était la deuxième fois qu’il allait se restaurer, alors qu’elle, elle commençait à avoir de léger gargouillis à cause de la faim. Jamais l’idée d’en faire référence à son Maître ne lui traversa l’esprit, son travail d’abord ! Elle ne se préoccupa plus de la nudité si proche d’elle lors de ce rhabillage, elle avait eu sa dose d’émotion à ce niveau-là !
Une fois qu’elle eut terminée de le vêtir correctement, elle tourna autour de lui pour vérifier que tout y était. Elle n’oublia pas de recoiffer ses longs cheveux, de les lisser pour qu’il soit présentable. Il lui fit la remarque qu’il ne lui avait pas menti mais qu’il avait simplement oublié. Kyoko pensa alors qu’elle allait devoir faire l’agenda pour lui rappeler ses ordres. Elle en eut un sourire.
- Voilà, vous êtes fin prêt pour aller vous restaurer ! On vous a déjà dit que vous étiez bel homme ? Plusieurs fois j’en suis certaine !
Voilà, si ça continuait, elle allait lui raconter sa vie. Elle cessa immédiatement de parler et s’en retourna pour aller poser la brosse à cheveux. Son regard se posa sur la salle de bain : un vrai chantier ! Puisque cela était son travail de remettre en ordre la chambre et ses accotés, elle commença le rangement. Au moins, le temps que son Maître dîne, elle aurait le temps de tout nettoyer. Mais avant toutes choses, maintenant que son Maître était parti, elle allait pouvoir se rincer un minimum. Elle utilisa l’eau propre d’un seau ainsi qu’une petite éponge. Elle n’omit aucune parcelle de son corps. Dans son dos, elle senti une présence. Une ombre gigantesque vint troubler son jeu d’eau. Etait-ce son Maître qui revenait déjà de son repas ? Elle se retourna pour le voir et fut étonnée de tomber nez à nez avec les trois sbires.
- Alors, c’est toi la petite nouvelle ? C’est rare d’en voir des comme toi ici. Mais, t’es plutôt jolie dans ton genre. Par contre, t’es fort impolie et irrespectueuse de la hiérarchie. Avec les copains, on s’est dit qu’on devait te donner une leçon…tu la mérites ! C’est pas bien de tirer la langue à tes supérieurs !
- Quoi ? Non, vous ne pouvez pas…et je n’ai pas de temps à vous…
A vous rien. L’homme l’avait déjà saisie par les poignets et l’entraina hors de la chambre du Maître. Kyoko vit le couloir défiler alors qu’elle se débattait pour qu’il la lâche. Pour l’empêcher de crier, un des deux autres gardes vint lui poser un bâillon qu’elle tenta de recracher. Ils arrivèrent dans une salle, après avoir parcouru les méandres du manoir. Si la Terranide ne connaissait pas l’utilité des objets qui s’y trouvaient, leurs formes étaient plus qu’équivoque. Une petite salle de torture. Ils allaient la torturer pour un simple tirage de langue. Non, c’était un prétexte foireux…Mais quand son dos percuta le mur rugueux avec une force qui fit craquer ses os, elle comprit qu’elle allait passer un mauvais quart d’heure, voire même un plus longtemps que ça.
Elle se débattit, furieuse et impuissante, ne parvenant pas à se libérer, ne la conduisant qu'à resserrer davantage son étreinte sur ses poignets. Elle luttait pour échapper à sa bouche, à sa langue qui s'emparait de la sienne, implacable. Elle sentait le mur s'enfoncer dans son dos. Elle sentait qu'elle cédait à la panique... Elle luttait, le souffle court, refusant de se livrer au baiser, plaquée, maintenue, soumise à la puissance des muscles qui écrasaient sa chair tremblante.
Il se collait contre elle, sa respiration se faisait caverneuse, un grondement sourd montait de sa poitrine tandis qu'une de ses mains tirait un fin lacet de cuir de sa poche et, d'un mouvement rapide, liait ses poignets, les bras levés au-dessus de sa tête, accrochée à un crochet. Il était d'une force étonnante et avait maintenu ses poignets sans difficulté. A présent, ses mains étaient libres de parcourir le corps de la jeune femme et elles se posaient partout où elles le pouvaient, palpant les formes. Sa bouche n'avait pas quitté la sienne, étouffant ses protestations. Ses mains saisirent ses seins, les malaxant durement de ses paumes avides, enfonçant ses ongles qui semblaient démesurés agrippant la poitrine.
Elle parvint à gémir, implorant sa pitié, mais il semblait ne plus l'entendre, ne plus vouloir l'entendre, ne plus pouvoir. Sa bouche reprenait la sienne pour la museler d'un baiser dévorateur et ses ongles la lacéraient, griffant sa peau par endroit, la faisant se convulser, frémissante sous la douleur et sous une horrifiante sensation incontrôlable de peur. Désespérément, elle lança ses jambes pour tenter de le repousser, le fit reculer quelques secondes. Aussitôt, les deux autres gardes rentrèrent dans la partie en lui maintenant les jambes. Elle ne pouvait plus bouger, plus rien faire. Même crier lui devenait impossible tant la bouche était avide.
Elle fut secouée d'un violent frisson. Elle ruait dans ses liens, mais les hommes la plaquaient fermement contre le mur brut. Les doigts couraient sur la peau, en appréciant la texture et la fermeté. Il pencha sa tête vers la sienne et la langue vint lécher les joues, le visage et le cou de sa victime. Il goûtait par avance le festin que la providence lui réservait. Ses doigts fouillaient l'intimité qui tentait de se soustraire à son intrusion, écartant les lèvres sensibles et pénétrant le sexe affolé de la jeune femme. Elle put hurler profitant d’un répit. Elle hurlait son refus à s'en écorcher la voix, luttant avec l'énergie du désespoir pour se soustraire aux appétits des gardes riant à gorges déployées. Elle se refusait de toutes ses forces... et ses forces lui manquaient…
Archives / Re : Kama sutra
« le: mercredi 20 juin 2012, 23:56:16 »Et puis un + 1 pour Lydia et ses doublettes, pareil, j'aime ses RP's.
Y'en a d'autres, mais...That's my secret :p
Vous nous quittez déjà ? / Re : Pikachu recharge ses batteries...
« le: mercredi 20 juin 2012, 23:01:05 »Bref, profites bien, amuses toi toussa toussa !
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 20 juin 2012, 22:57:23 »*câlin au Maître*
(Je vais stop là sinon j'vais me faire enguirlander à cause du flood^^)
Et 22.56 un peu comme la température chez moi !