Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Lissandre Verrières

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Lissandre Verrières

Pages: 1 ... 5 6 [7] 8 9 ... 15
91
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: lundi 13 juillet 2020, 06:43:57 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°10

« Oui, Verrières c’est français. Je suis une française pure souche du Nord de la France. »

Lissandre découvre le fruit des recherches de Kara. Et elle doit bien avouer qu’elle est surprise ! Elle est heureuse d’être surprise. Parce que, même si sa jauge d’optimisme excède la normale, elle en vient tout de même à douter de temps à autre. Et Kara se rabaisse constamment.

*Je vais te changer, ma petite Kara ! Tes collègues ne te reconnaitront tellement tu seras une lionne parmi un troupeau de brouteurs ! *

Cette idée d’herbivores appelées « brouteurs » fait naître une autre image dans sa tête. Celle d’une Kara habillé de latex moulant. Un latex noir avec des accessoires telles une cravate et des escarpins. Une Super Working Girl ! Et tous ses collègues seraient à quatre pattes. Attendant que leur prédatrice écarte les jambes pour leur laisser brouter de ce privilège.

« Hi hi ! »

LIssandre préfère observer Kara avec cette malice dans les yeux mais sans rien lui expliquer. Elle ne voudrait pas lui faire peur et la voir détaler comme une biche. Une belle biche en petit tailleur.

« J’aime beaucoup tes idées ! Mais permets-moi de leur donner un petit-plus façon Lissandre. »

Elle reprend son téléphone portable et regarde une nouvelle fois les deux images. Oui, ça lui donne des idées. Il faudra qu’elle note tout ça dans la partie « Bloc-notes » du téléphone. Ca va être une journée prolifique !

« Vu que la robe est ouverte sur le devant, ça me donne l’impression que mes mains devraient aller en-dessous pour aller chercher des choses. De l’équipement. En fait, cette robe des anciennes fêtes françaises me fait penser à Néo dans Matrix. Tu connais Matrix ? Bref, peu importe. En fait, en-dessous, j’imagine tout un équipement de super-nana qui défonce tout à coup de précisions et d’explosions. »

Elle regarde à nouveau son téléphone et affiche la deuxième image, celle de la perruque sucrée.

« Et vu que tu ajoutes ça, cette perruque-friandise, ça me donne l’image d’un équipement mi-militaire mi-bonbons. Genre des fusils-sucre d’orge. Des bombes-bonbons papillotes. Des pistolets à rechargement de petits nounours guimauves. Tu vois l’idée ? »

Nouvel arrêt sur la ligne. Lissandre lève les yeux et découvre que c’est leur arrêt. Elle s’empare donc du bras de Kara et la fait sortir avec un rush sans raison. Juste pour rester dans l’action. Dans la surprise. La vie doit être vécue pleinement ! Et, chez Lissandre, c’est à 120%.

Elle laisse son bras entremêlé dans celui de Kara et la regarde une nouvelle fois avec un sourire. Lissandre prend du bon temps avec sa copine de l’internet.

« Tu sais ce que je suis en train de me dire ? Que d’une petite conversation sur internet à une séance de photoshoot, on va finir par tourner un de mes films toutes les deux ! Hi hi ! Ce serait génial ! Mais on n’en est pas là, ne t’inquiètes pas. Ne stresse pas et laisses-toi porter par moi. Je suis aussi jolie qu’un bonbon mais attention, je cache peut-être de l’acidité à l’intérieur comme certains bonbons. Bouh ! Ah ah ah ! »

Le pire dans tout ça ? C’est que Lissandre ne se drogue même pas !

92
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: samedi 11 juillet 2020, 14:13:53 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°9

« Ok, Kara. Mais je te préviens, tu n’as pas fini d’entendre ma voix. »

Nouveau sourire. Puis Lissandre lève la tête pour regarder où elles en sont de leur trajet. Il y a encore quelques stations et donc encore un peu de temps pour échanger avant d’entrer dans une première boutique. Etant donné les réponses de Kara, Lissandre est plutôt satisfaite et décide de prendre la situation actuelle à revers.

« J’ai une idée ! »

Lissandre tend son téléphone portable à Kara.

« Imagine que je te fasse un chèque. Un budget pour m’habiller, me coiffer, me maquiller et tout ce que à quoi tu peux penser. Un budget donc, pour me relooker pour un shooting photo. Pour TON shooting photo. Bref, fais-toi plaisir et donne-moi une idée de comment tu voudrais que je ressemble pour TE faire plaisir. »

La réponse allait être excitante. Car elle allait donner de nouvelles caractéristiques de la fiche perso qu’était en train de se construite Lissandre.

Elle leva l’index en l’air et prit une tête faussement autoritaire.

« Et interdiction de dire que tu n’as pas d’imagination. Ou encore que ce que tu as en tête coûterait trop cher. C’est papa-maman qui paient et ils ont beaucoup trop d’argent ! »

Voilà qui était fait. Elle était maintenant au pied du mur, dans une impasse où à l’autre bout elle se trouvait. Kara allait devoir se livrer un peu plus. Impossible pour elle de se défiler !

*Est-ce que je vais finir habillée chic ? En swimsuit ? Avec une veste-cravate ? Je suis excitée de ta future réponse, chère Kara ! *

93
Les contrées du Chaos / Le Lapin de Pâques existe !
« le: samedi 11 juillet 2020, 07:59:36 »
A force de traîner à gauche et à droite au Japon pour trouver sa Muse, de l’inspiration, des décors ou encore des accessoires pour ses futures films X qui devaient révolutionner le genre : Lissandre avait découvert le moyen de voyager au-delà d’un seul monde. Comme quoi, l’argent permettait de faire beaucoup de choses quand il était utilisé avec un objectif.

Début avril. Pâques était très proche. Et Lissandre, habillée toujours de sa combinaison moulante de latex rose, rehaussée de style d’un blouson couleur or, avait décidé de partir en voyage. Sur un autre monde pour le coup. Elle se disait que si une telle chose de science-fiction était possible : alors pourquoi est-ce que le Lapin de Pâques ne pourrait-il pas exister lui aussi ?

Sur Terra, les sourires, l’argent et l’optimisme sans fin de Lissandre avaient payé. Les informations qu’elle avait collectées indiquait la présence d’un « lapin spécial ». Ce lapin avait été vu du côté d’une forêt dont elle n’avait pas retenu le nom. Cause en était de son excitation grandissante. Pour dire, elle n’avait même pas pensé à engager un ou deux mercenaires pour assurer sa sécurité. Elle était pourtant une proie facile. Et pas seulement parce qu’elle était une femme isolée. Mais aussi parce qu’elle en était une colorée et moulée de ses formes féminines. (bien que Lissandre soit du genre plate…)

Suivant les indications, elle était entrée dans la forêt. Les yeux grands ouverts, sa tête tournait de droite à gauche et de gauche à droite à la recherche des œufs colorés. Avec son imagination fertile (qui tirait à la fois d’un esprit enfantin et à la fois d’un esprit d’écrivain de scripts X), Lissandre s’attendait réellement à trouver des œufs géants. Elle imaginait déjà sa chambre avec quelque uns de ses trésors. Tout comme elle imaginait déjà quelques autres dans la cuisine. Elle taperait dessus et se délecterait de ce chocolat d’un autre monde.

*Il faut que je te trouve, Lapin de Pâques ! Où es-tu ? *

Soudainement, il y eut des pierres plates dans le sol de la forêt. Lissandre s’arrêta et se retourna. Comment avait-elle fait pour se retrouver là ? Car, en regardant derrière elle, elle ne voyait plus de sentier. Est-ce qu’elle s’était perdue dans ses rêveries et son instinct avait fait le reste ? Ou est-ce qu’elle avait été ensorcelé par le Grand Esprit de la Forêt ? Si une telle entité pouvait exister, bien entendu.

*Peu importe ! Je suis sure que je me rapproche du Lapin ! Je suis tellement excitée par cette rencontre !! *

Elle avait donc suivi le chemin dallé. Le chemin s’était élargi et des pierres avaient commencé à « pop-és ! » sur les côtés, formant ainsi une sorte de barrière. Le chemin était balisé et annonçait la salle du « Big Boss ». Le Lapin de Pâques était tout proche !

Sauf que le Lapin n’était pas un « il » mais un… « elle » ? Lissandre fronça les sourcils. Elle continua à se rapprocher, remarquant qu’elle était entrée dans une petite clairière de forme ronde. Au centre se trouvait –très probablement- la personne qu’elle recherchait tant. Mais c’était une femme. Et en regardant de tous les côtés, mis à part un chemin dallé et un cercle de pierre parfait au centre, il n’y avait pas trace d’œufs colorés.

« Ca veut dire que Pâques n’est pas réel ? Je veux dire, tu n’es pas le Lapin de Pâques ? »

Lissandre n’avait même pas pensé à se présenter. Le choc de la révélation lui avait fait perdre –momentanément- sa joie de vivre. Elle se rapprocha tout de même de la femme. Elle n’allait pas repartir après avoir tant marché et tant rêvé. Sans compter qu’elle n’en avait plus le moral. Elle avait ce visage boudeur des enfants. On se demandait même si elle n’allait pas se mettre à pleurer.

94
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: dimanche 05 juillet 2020, 07:03:16 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°8

Un deal avait été passé ! Lissandre était ravie. Elle n’attendait plus qu’une chose, qu’elles se posent pour qu’elle puisse sortir son téléphone portable et commencer à faire des recherches vestimentaires.

Lissandre passa donc son bras sous celui de Cassandre et l’emmena dans le métro. Le trajet lui parut bien court. Probablement parce qu’elle était excitée de la façon dont la journée tournait. Peut-être aussi parce que le café faisait son effet.

Assises dans une trame du métro, elle sortit son téléphone portable. Sans surprise, c’était un modèle avec un écran assez grand, qui coûtait chère et qui avait une coque rose. Des traces paillettes saisissait le regard suivant la façon dont la coque était orientée avec la lumière.

« Bon, je ne sais pas si tu es prête, mais j’ai plein de choses qui me passe par la tête et il va falloir que ça sorte. Donc je risque de t’inonder de pas mal de mots et d’images. »

Sourire puis première recherche dans les images de l’internet. En tapant premièrement le mot cosplay, son regard est vite attiré par un personnage féminin d’un manga culte : la magicienne des ténèbres de Yu-Gi-Oh. Honnêtement, Lissandre ne sait pas à quoi va ressembler Cassandre. Et elle aime justement que même elle ne sache pas.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

« On pourrait partir sur un délire de ce genre ? Bon, ce ne serait plus des cheveux roses mais plutôt blond. Et je suis pas sur que tu pourrais sortir de cette façon dans la rue : ah ah ! Mais pour moi, pour mes photos perso, ça me plairait pas mal ! »

En pensant justement à pouvoir porter les vêtements dans la rue, Lissandre change ses mots-clés. Elle cherche quelque chose de général pour ne partir pas sur quelque chose de particulier. Si elle devait taper « kimono » ou encore « yukata », ça briderait son esprit. Donc elle tape « vêtement japon femme » et trouve quelques images qui lui attirent le regard.

« Ca, ça pourrait être intéressant avec tes futurs cheveux roses. Un mix entre vêtement traditionnel et petite tenue décontractée. Oui, ça pourrait t’aller je crois. Bon, je suis pas fan de tout ce noir. Il faudrait trouver autre chose en-dessous l’espèce de kimono. Mais il y a de l’idée. »

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Pas très loin de cette deuxième image que Lissandre montre à Cassandre, une autre image l’intéresse. Celle d’un vêtement traditionnel, plutôt chinois pour le coup. Normalement, c’est une longue robe qui couvre une partie du cou jusqu’au bas des jambes. Fendue sur le côté. Dans cette image, le vêtement a été séparé en deux.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

« Dis, tu as des abdos à montrer ? Parce qu’avec ce genre de vêtement, ce serait idéal. »

Passant sa main sur son ventre moulé de latex rose, l’expression de Lissandre montre qu’elle aimerait en avoir. Puis elle replonge son regard dans celui de Cassandre.

« Alors ? Il y a quelque chose qui t’intéresse ? Tu as le droit de me dire non, hein. On prospect, là ! A moins que… »

Elle se fait vil. Elle joue avec ses sourcils qui monte et redescende plusieurs fois. Un petit sourire mutin apparait et elle ajoute finalement :

« A moins que tu aies des envies secrètes ? Des choses que tu n’as jamais portés mais qui alimentent tes rêves solitaires ? Dis-moi tout, ma Cassandre ! S’il te plaît ! »

95
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: samedi 04 juillet 2020, 05:57:10 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°7

Lissandre regarda Cassandre sans rien répondre. Elle laissa planer le suspense et le silence… pendant un temps seulement. Suite à quoi elle ne put plus se retenir et étira de nouveau un grand sourire.

« Je savais que tu n’étais qu’une sale petite perverse qui voulait m’utiliser pour percer dans le métier ! Honte à toi ! Bouh ! Boooouh ! »

Bien entendu, tout était sur-joué. Lissandre ne croyait pas une seule seconde que c’était là les véritables intentions de Cassandre. Car, si c’était le cas, elle n’avait rien vu venir sur les chats sur internet.

Puis son visage se fit plus sérieux. Plus mutin.

« Par contre, sache que je ne suis pas contre un tel dérapage… »

Petit clin d’œil. Puis la main de Lissandre fit ce mouvement de « balayage » : signifiant que ce n’était pas le sujet important du moment. Il y avait plus important à discuter. Et elle pensait avoir trouvé le problème à la solution monétaire de son amie de l’internet.

« Voilà ce que je te propose. Tu viens chez moi et tu deviens mon modèle photo. Je te montrerais que tu es photogénique et belle. Je te jute que tu l’es ! Avant ça, nous allons faire les boutiques et, c’est là que ça devient intéressant pour toi, c’est moi qui paie. Donc, ensuite nous allons chez moi et je sors mon appareil photo. Je te photoshoot jusqu’à ce que tu es des étoiles dans les yeux à cause des flashs. Ou de ma beauté fatale : hi hi ! »

Nouveau clin d’œil.

« Bien entendu, tout job mérite salaire. Je peux donc te proposer en échange des photos que je garderais, de te payer les vêtements et/ou de te verser un salaire. C’est à toi de me dire. Je sais que ça peut être une question d’égo. »

Elle croisa ensuite les bras. Son visage se fit plus sérieux. Du moins, c’est l’expression qu’elle voulait jouer.

« Par contre, je serai intraitable sur un point. »

Elle laissa de nouveau planer un silence. Lissandre était bien trop baignée dans ses scénarios d’écriture et des effets qu’elle devait utiliser. On pouvait appeler ça une déformation professionnelle à ce niveau maintenant.

« Je ne paierai aucune pâtisserie. C’est TA dette : c’est entendu ? »

Elle allait tenter de conserver son sérieux le plus longtemps possible. Comme si cette histoire de pâtisserie était une affaire très sérieuse. Une affaire de vie ou de mort ? Et, en pensant à cette théorie farfelue : Lissandre se demanda si ça ne pouvait pas être le point de départ d’un nouveau scénario. Une question de vie ou de mort pour des pâtisseries. Un film ? Une série ? Peu importe. Une histoire de dette, de boulangerie et de sexe. Est-ce qu’elle pouvait écrire là-dessus ?

*Intéressant. Et, bien entendu, il va falloir que j’imagine Cassandre dans le rôle principal : hi hi ! *

96
Les terres sauvages / Re : Bienvenue au Donjon des Flots Bleus
« le: vendredi 03 juillet 2020, 17:54:36 »
Bienvenue au Donjon des Flots Bleus [avec le Maître] – réponse n°2

OooooK. Donc, c’est déjà la merde. Lissandre lève les yeux et découvre ce château de sable qu’un enfant aurait pu faire sur le bord de la plage. Sauf qu’il a des proportions réalistes. Mais, en même temps, il ressemble à une mauvaise blague. C’est bizarre. Surtout qu’il y a des petits gobelins. Mais avec leur seau sur la tête et les bulles de sommeil qui cloquent dans leurs narines : Lissandre les trouve mignon.

« Euh… Ca va aller, Passiflore ? »

L’elfe tourne la tête vers leur cheffe en latex rose. Ses yeux sont intenses. On voit sur son visage la douleur qui traverse son corps. Comme cette épine qui traverse son pied.

Passiflore : « D’après toi ?!! Oh putain que je douille. »

« Je peux faire quelque chose ? »

Passiflore : « Te taire et me laisser me concentrer. Il faut que j’utilise ma magie pour endormir une partie et une partie seulement de moi. Mais putain que ça fait mal ces bestioles. »

Lissandre tourne son attention alors vers quelque chose qui vient de tomber. Même le bruit ne permet pas d’apprécier toute l’intensité de cette action du donjon. Le sable a absorbé le son. Probablement même une partie de la douleur. Ce qui n’empêche Lissandre de porter ses doigts dans sa bouche : une réaction nerveuse. Après tout, malgré les présomptions du Maître du Donjon : Lissandre n’est pas une magesse. Une humaine normale. Une humaine fortunée mais normale.

« Passiflore ! Angélique vient de tomber et elle a l’air prisonnière. »

Pendant ce temps, celui qu’elle a surnommé « Nounours » marche d’un pas décidé vers le château de sable. Nounours ne parle pas. Nounours ne semble pas éprouver de la peur. Il marche et s’arrête devant le mur de sable. Est-ce qu’il y a une porte ? Est-ce qu’elle est de l’autre côté ? Peut-être. Nounours s’en fiche. Il arme son poing et attends. Que fait-il ? Nounours concentre son énergie avant de donner un violent coup de poing qui provoque une entrée dans le château de sable. Pardon, dans le donjon de sable de taille réduite. Ca fait mieux.

Passiflore : « Lissandre ! Mais utilise ta tête ! Et surtout ton sac ! »

« Quoi ? Oh oui ! Mon sac, tu as raison ! »

L’elfe est tombée par terre. Elle ne ressent plus la vive douleur mais, s’étant privé des nerfs de son pied et d’une grande partie de sa jambe, la voilà devenue unijambiste temporaire. Le temps que son corps balance les drogues naturelles et lui permette de revenir dans l’action.

Lissandre plonge la main dans son sac et semble fouiller. On dirait presque qu’elle joue au jeu où il faut piocher une boule comme dans ce célèbre jeu télévisé pour vieille personne qui n’a rien d’autre à faire de ses journées. (oups ! Pardon pour l’attaque gratuite ^^)

Le sac est un objet magique. Lissandre l’a payé une fortune. Tout comme elle a déboursé une belle part de sa fortune en artefacts magiques. Que des objets et parchemins qui sont déjà pré-lancés et peuvent être utilisés par ceux qui n’ont pas de magie en eux naturellement.

« J’ai trouvé ! Un parchemin de libération. Je vais libérer Angélique ! »

Passiflore : « Beaucoup trop d’énergie et d’optimisme dans cette femme... Elle va nous conduire à notre perte à toutes… »

Bien entendu, l’elfe a marmonné pour elle-même. Lissandre n’a rien entendu.

97
*Miss Verre ? Mais mon nom est Verrière : pourquoi est-ce- Oh ! *

Les yeux s’écarquillèrent de surprise en comprenant le jeu dans lequel Hadrian voulait l’emmener. Elle eut un petit sourire en regardant l’homme qui l’avait déjà fait jouir une fois. Puis elle tourne la tête et regarda l’inconnue. Elle lui sourit également. Et dans le même temps, elle ressentait la hampe du vampire qui poussait son chemin petit à petit.

« Mister King, il me semble que cela va dépendre à quel point je suis sage ou non ? »

Hadrian continuait à s’enfoncer. Doucement mais surement. Il y allait et son objectif était indéniable : il allait lui mettre toute entière ! Lissandre tira la langue d’un plaisir anticipé. Puis elle se reprit. Malgré le plaisir qu’elle ressentait, ça restait un seul plaisir physique. Elle pouvait également en ajouter un deuxième : un psychologique.

« Dites-moi, belle inconnue, est-ce que ça vous dérangerait de sortir votre téléphone portable et de nous filmer ? »

Lissandre avait d’abord pensé à utiliser le sien. Puis elle s’était ravisée en se disant que, de cette manière, elle allait gagner un nouveau contact. Peut-être que la belle inconnue ne serait d’abord pas d’accord. Mais c’était plus fort qu’elle : Lissandre imaginait déjà la scène où elle sonnerait à sa porte. Il y aurait peut-être des marmots dans l’arrière-plan. Mais la belle inconnue les oublierait un instant. L’instant où Lissandre l’embrasserait par surprise avant de lui demander très poliment si elle pourrait rentrer chez elle.

Tournant la tête vers Hadrian, Lissandre chercha son regard. Avec un sourire malicieux, elle ajouta :

« Je crois que je suis une mauvaise fille, Mister King. Est-ce que ça veut dire que vous allez me priver d’un deuxième orgasme ? »

Elle avait insisté sur le « deuxième » pour la belle inconnue.

Elle tourna ensuite son attention vers celle qui avait interdiction de se toucher malgré l’envie urgente dans ses entrailles.

« Est-ce que ça veut dire que vous allez donner mon orgasme à cette belle inconnue ? Ce serait une méchante punition, qu’en dites-vous, belle inconnue ? »

98
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: vendredi 03 juillet 2020, 14:29:55 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°6
[/i]

Lissandre aussi se mit à rire. Mais contrairement à sa nouvelle amie, elle n’était pas aussi essoufflée. En effet, elle pratiquait du sport régulièrement. Ça lui permettait de prendre l’air, de tomber sur des opportunités mais aussi de faire du vide dans sa tête pour laisser place à de nouvelles idées.

« Et tu oses dire que tu n’es pas intéressante. Preuve en est que non ! Ah ah ah ! »

Le rire commençait à se dissiper. Lissandre essuya une larme de joie coincée au coin de son œil. Maintenant qu’elles avaient fui, elles se retrouvaient avec l’obligation de faire quelque chose. D’aller quelque part. Mais faire quoi ? Aller où ?

« Bon, maintenant qu’on a fini de prendre nos cafés, je- Ah ! C’est dommage. Je n’avais pas fini toutes mes petites pâtisseries. »

Braquant son index vers le visage de Cassandre, Lissandre prit une fausse moue boudeuse.

« Chère copine de l’internet, vous me devez des pâtisseries ! Et nah ! »

Très vite, elle ne put s’empêche de faire revenir un sourire enfantin sur son visage. Lissandre était vraiment positive et énergique. Elle fuyait les moutons ternes et les dépressifs. C’était eux la véritable maladie qui gangrenait la planète Terre.

« Bon, comme j’avais commencé à le dire avant de me souvenir de ce triste épisode sucré : allons faire les boutiques comme on l’avait dit. Il faut qu’on te trouve des vêtements qui iront avec tes nouveaux cheveux rose. »

Lissandre essaya de se repérer. Où est-ce qu’elles étaient ? Les boutiques intéressantes étaient où à partir d’ici ? Mais déjà une autre idée venait ralentir son processus mental. Ses yeux détaillèrent Cassandre. Elle fit quelques pas en arrière pour pouvoir l’observer des pieds à la tête et inversement.

« Tu sais quoi ? Une fois que tu seras toute belle avec tes nouveaux habits et tes cheveux colorés, on ira chez moi ! J’ai tout mon matériel là-bas et je pourrais immortaliser la nouvelle Cassandre. Ça t’intéresse ? »

Bien entendu, elle ne pensait pas du tout à ses films X. Lissandre voulait seulement passer plus de temps avec sa nouvelle amie de l’internet et lui montrer à quel point elle pouvait être belle. Car Lissandre était convaincue que Cassandre se sous-estimait. Et elle ne supportait pas ça !

99
Rose bleue et plume rose [avec Lord Slaver] – réponse n°3

« Je n’attends personne. »

*Mais comment ils font ces petits vieux pour monter ça l’air de rien ?! *

« Excusez-moi, vous en voulez ? C’est ce petit couple là-bas qui a eu la gentillesse, ou la pitié de moi. »

Avec un sourire, Lissandre proposa le bol d’eau au détective. Elle en avait bu facilement trois bons quarts. Mais il en restait assez pour se donner un bref plaisir.

Ensuite, Lissandre se perdit quelques instants. Ses yeux dérivant sur la ligne d’horizon. Le fait d’avoir grimpé toutes ses marches, de ressentir la caresse du vent sur son visage, le rafraichissement offert par les petits vieux et la rencontre hasardeuse au sommet. La rencontre ! Lissandre réalisa qu’il était toujours là et qu’elle manquait de politesse.

« Pardon. Je me suis absenté quelques instants. Je manque parfois de conditions physiques. Je manque aussi d’imagination ces derniers temps. Donc je pourrai dire que je n’attends personne, mais que j’attends mon imagination. »

Elle sourit de nouveau. Maintenant qu’elle était concentrée sur le détective, elle remarqua sa montre qui coûtait un certain prix. Elle remarqua également ses manières : la veste pliée sur son avant-bras. Enfin, elle se rappela de sa proposition.

« Que faites-vous ici ? Je veux dire, vous semblez avoir des moyens financiers. Je suis certaine qu’il doit y avoir un accès facile et qui ne fait pas suer quelque part. A moins que vous cherchiez de la tranquillité entre deux affaires stressantes ? »

Elle tendit ensuite sa main vers le détective pour qu’il l’aide à se relever. Main qui se transforma également en poignée de main et présentation.

« Moi c’est Lissandre, sinon. Lissandre Verrières. Et vous ? »

100
Elle avait cru avoir un orgasme quand Hadrian la prenait alors qu’elle était contre le mur, privé de l’usage de ses jambes parce qu’il avait joué de sa combinaison de latex rose. Mais il n’était pas allé au bout de ses allers-retours et Lissandre en avait presque eu envie de le rouspéter de son arrêt soudain.

Mais quand elle avait découvert qu’en plus de son charisme et de sa force à la soulever de terre alors qu’il était assis comme un roi sans royaume sur le trône blanc des toilettes. Bref, quand il s’était déshabillé devant elle, d’une façon fort élégante tout en la retenant de la seule force de son corps. Elle avait été… charmée ! Elle s’était même demandée si elle ne tombait pas amoureuse d’un tel homme sur le coup.

Et il avait recommencer à la besogner. Son intense regarde ne quittant pas le sien. Et Lissandre ne pouvait plus s’en éloigner. Comme s’il lui avait jeté un sort.

« Je vais- je vais très vite venir, je crois. Entre tous ses scénarios que j’imagine depuis le début de notre entretien et vous… Vous, votre corps, vos muscles et vos manières. Vous me faites perdre la tête, Hadrian ! »

Quelques allers-retours plus tard sur sa verge vampirique, et Lissandre se laissa aller à un cri de bonheur. Un premier orgasme. Elle perdit l’usage momentané de son corps et s’affala de tout son poids sur Hadrian et sa hampe.

« Ô que c’était bon. Je crois que ça faisait bien trop longtemps que j’avais été sans un homme. Alors, entre ça et le jeu du plug anal, je suis désolé. Je n’ai pas tenu aussi longtemps que je l’avais imaginé. »

Elle passa ensuite sa langue sur ses lèvres. Une femme était venue avant un homme. C’était tellement contraire aux idées préconçues et aux films porno usuels. Lissandre aimait ça. Mais Lissandre en voulait plus ! Hors de question qu’elle descende maintenant. Hors de question de retourner dans le restaurant. Bien qu’une partie de son esprit avait envie de voir les expressions sur les visages. Car ils devaient forcément l’avoir entendu crier !

*Est-ce que quelqu’un va bientôt arriver ? Ce pourrait être une bonne surprise : Hi hi ! *

« Mais bon, ce n’est parce que j’ai crié une fois que je vais tourner de l’œil, hein ! »

Elle finit sur un clin d’œil, anticipant déjà les coups de reins qui résonnaient dans son intimité.

101
Les terres sauvages / Re : Bienvenue au Donjon des Flots Bleus
« le: vendredi 26 juin 2020, 19:47:05 »
Bienvenue au Donjon des Flots Bleus [avec le Maître] – réponse n°1

Quand elle entend la voix, LIssandre lève la tête puis sourit quand elle découvre la provenance. Elle fait alors de grands gestes de bras pour lui montrer qu’elle l’a vu et qu’elle le salue. Elle préfère tout de même récupérer ses mains pour les utiliser comme porte-voix :

« Bonjour ! Votre donjon et son petit chemin de pilotis est magnifique ! On est contentes d’être les premières ! »

Lissandre et sa combinaison moulante de latex rose. Lissandre et son manteau doré, ses bouclettes blondes. Que faisait une telle femme devant les portes d’un donjon remplies de trésors et de monstres ? L’excitation de la découverte d’un nouveau monde pour commencer. La curiosité de parcourir des lieux qu’elle n’avait pu qu’imaginer en regardant des animés japonais. Sans compter la fierté d’avoir rassemblé une équipe 100% féminine dans une guilde d’aventuriers de la région.

Bref, Lissandre était aussi excitée qu’une petite fille qui venait de manger trop de bonbons !!

La petite blonde au corps moulé de rose se tourne alors vers une de ses trois compagnes. Pas celle aux ailes et pas celle au gros corps de peluche. Elle se tourne vers celle qui semble vouloir se faire oublier. Celle qui porte des vêtements de couleur terne et une capuche qui dissimule ses oreilles d’elfe.

« Dis, Eschscholzia. Décidément, j’ai du mal avec ton prénom. Je crois que je vais rester sur ton nom. Bref, Passiflore, tu sais ce que c’est des « vives » ? »

Passiflore : « Ce sont des poissons qui peuvent t’empoisonner. Si tu marches dessus, tu vas ressentir une vive douleur. Quelque chose de particulièrement douloureux. »

« Aie ! Heureusement que tu es là. Je suis sûr que si je devais marcher dessus, tu pourrais utiliser tes poisons de sommeil. A moins que ce soit de la magie ? Je ne suis pas encore sur. »

Passiflore : « Pff… Tu as beaucoup trop d’énergie, Lissandre. »

« Je sais ! J’ai beaucoup trop d’énergie ET beaucoup trop d’argent : ah ah ah ! Bon, allons-y les filles ! »

La fille avec les ailes décide de prendre de la hauteur et se retrouvent très vite au-dessus du bac à sable et donc loin des vives et de leurs épines empoisonnées.

Celle qui est plus grande que les trois autres filles et qui ressemble à une peluche géante et vivante s’empare sans lui demander son avis de Lissandre. Elle la porte facilement dans ses bras et tourne ensuite la tête vers l’elfe. Depuis le début, celle que Lissandre a surnommé « Nounours » ne parle pas. Mais elle est grande, elle est kawaii et elle distribue beaucoup de câlins. Lissandre se demande même si ce n’est pas sa façon de communiquer.

Passiflore : « Pff… Je sens que cette quête avec vous toutes va être épuisante. Bon, je m’y colle dans ce cas. »

L’elfe s’agenouille et pose les mains dans le sable. Lissandre ne comprend pas ce qui se passe étant donné qu’elle découvre ce monde tout droit sortir d’un gros bouquin de livre de règles de jeu de rôle. Sans compter le fait qu’elle se trouve dans les bras de « Nounours ». L’elfe se relève et annonce d’un signe qu’elles peuvent y aller.

Passiflore : « Faut juste faire gaffe où on met les pieds maintenant. Mais les vives sont endormies. »

Lissandre affiche un pouce levé et un grand sourire pour la remercier chaleureusement. Sur quoi, le reste du groupe entame la traversée du bac à sable, surveillée par la fille aux ailes depuis sa position en hauteur.

102
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: vendredi 26 juin 2020, 18:52:39 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°5

Lissandre avait eu un temps de retard pour comprendre ce qu’entreprenait Kara. Puis, elle avait repensé aux batailles qu’elles avaient toutes deux livrées sur internet. Et c’est après qu’elle réalisa qu’elle jouait un rôle. Celui d’une femme dans les forces de l’ordre.

Elle ne put s’alors s’empêcher de sourire.

*Elle qui disait tout à l’heure que j’allais la détester parce qu’elle se prenait pour un mouton terne. Au contraire : hi hi ! *

Elle ne put s’empêcher de tiquer quand Kara continua à jouer son rôle. Voilà maintenant qu’elle n’avait plus l’âge de boire de l’alcool et de sortir toute seule ? Elle était devenue une mineure. Parfait ! Si Kara voulait la jouer de cette façon, elle allait jouer aussi.

« On avait dit que j’étais majeure aujourd’hui, nourrice ! »

Croisant les bras sur sa menue poitrine, affichant une moue comme une adolescente : Lissandre jouait la fille contrariée et infantile. Elle se demandait déjà comment aller plus loin ? Elle se demandait comment aller réagir le pervers à moustache ? Est-ce qu’il allait partir de peur de voir les vrais flics arriver ? Mais elle se demandait surtout comment son amie d’internet allait réagir !

« Et arrête de jouer à la policière, on sait toi comme moi que tu commis une faute grave et qu’on t’a retiré provisoirement ton badge et ton gun. Euh : oups ! Désolé pour la gaffe, nourrice ! »

*Vraiment désolé, hein ! Mais c’était plus fort que moi. Il fallait que je joue avec toi. Puis, je n’ai pas vraiment fait exploser ton jeu d’actrice. Je lui ai simplement donné un peu plus de profondeur. *

Quand Kara regarda Lissandre après sa dernière intervention, elle lui jeta un clin d’œil. Mais elle fit attention à ce que le pervers à moustache ne le voit pas. Ce devait être un signe complice et malicieux entre les deux filles.

En attendant, les autres clients du café ne réagissaient pas. Pour les moins pires, ils se contentaient d’ignorer la scène. Pour les pires d’entre eux : les téléphones portables étaient déjà sorties et commençaient à filmer la scène. Ils devaient tous s’attendre à une intervention musclée et une finalité avec des menottes. Si en plus c’était une femme qui maîtrisait un homme, internet allait avoir sa vidéo du jour !

103
« Je n’en mets jamais des culottes de toute façon. »

Lissandre passait déjà à autre chose. L’histoire de la culotte n’avait été qu’une péripétie. Elle s’en fichait même carrément maintenant qu’Hadrian s’occupait d’elle en plusieurs endroits. Voilà que c’était lui jouait à caresser ses lèvres intimes de sa verge. En même temps, elle ressentait ses caresses à travers sa peau d’adoption. Elle adorait la matière, le bruit que ça faisait. Elle le portait si souvent que, quand un homme la caressait de cette façon, le latex redevenait une tenue de sexe et non une tenue de tous les jours.

Quand tout à coup le vampire se fit plus possessif. Elle ne pensait pas qu’il était du genre à lui tirer les cheveux en arrière mais… que ce baiser était bon. Comment pouvait-il embrasser de cette façon et mettre le feu dans son corps ? Voilà qu’elle avait une nouvelle envie de chevaucher Hadrian. Comme s’il y avait eu un déclic dans son corps. Les mains de son partenaire l’invitaient à s’empaler ? Aucun problème ! Elle y alla et commença à coulisser sur sa hampe.

« Vous commencez vraiment à me mettre dans tous mes états, monsieur le chef ! Hmm ! »

Elle posa ses mains en arrière, sur les jambes du vampire. Son corps était maintenant arqué. En appui, elle pouvait plus facilement glisser sur la verge. Elle était sujette à ses pulsions et ne prenait plus le temps de changer le rythme. Pour le moment, elle laissait ses pulsions parler et le rythme était rock n’ roll !

« Je pense que vous allez réussir à me faire perdre la tête. En fait, je vous mets carrément au défi de me faire perdre la tête ! »

Elle arrêta son mouvement de va-et-vient. En appui sur une main, profondément enfoncé sur sa verge, Lissandre vint caresser ses bourses. Mais elle n’avait pas envie d’y rester. Si elle s’était arrêtée de bouger, c’est parce qu’elle voulait revenir collée-serrée contre le vampire. Elle l’embrassa. Et alors qu’elle l’embrassait, elle recommença à bouger sur sa verge. Mais le rythme était plus lent. Après tout, elle faisait deux choses à la fois.

« N’hésitez pas à me tirer les cheveux à nouveau. Ça m’a fait quelque chose tout à l’heure. Je ne sais pas pourquoi mais ça a déclenché quelque chose. Tirez-moi les cheveux. Embrassez-moi. Restez dur et faites-moi tourner de l’œil, patron ! »

104
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: dimanche 21 juin 2020, 17:34:44 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°4

Lissandre est contente de l’effet qu’elle produit sur Cassandre. D’abord sur la défensive, la voilà qu’elle prend des décisions irréfléchies. La formule magique serait-elle aussi simple et bête qu’un bisou ? Si c’est ça, Lissandre a trouvé son arme de création massive !

« En rose ? Hmm… »

Posant ses coudes sur la table et son visage dans ses deux mains, Lissandre regarde Cassandre. Elle visualise la couleur et regarde le tableau dans son entièreté. Il y a quelque chose d’intéressant, certes. C’est toujours intéressant de mettre de la couleur quelque part, de toute façon. Mais Lissandre est embêtée. Quelque chose ne va pas.

« Le rose n’est pas une mauvaise idée. Ça irait très bien avec tes yeux. Ça les ferait ressortir. Mais je pense qu’il manque quelque chose encore. »

Elle ferme les doigts de ses mains et laisse seulement le pouce et l’index dressé pour former deux « L ». Ces deux « L » se referment pour former une boite dans laquelle la réalisatrice regarde. Un truc de vidéaste. Elle fait passer sa boite de haut en bas. De la tête jusqu’à la table et inversement. Et soudainement Lissandre comprend ! Son visage s’émerveille.

« Je sais ! Ce sont tes vêtements. Ils seront bien trop ternes pour aller avec tes nouveaux cheveux. Alors voilà ce que je te propose : après notre café, on part bras dessus bras dessous faire les boutiques toutes les deux. Et- »

Impossible pour elle d’aller plus loin. Un gros lourd vient de s’immiscer dans leur conversation. En appui sur les deux pattes arrières de sa chaise, un grand sourire salace sur le visage, une petite moustache de pervers, l’homme interrompt Lissandre :

Gros lourd : « Mesdemoiselles, bonjour ! Je n’ai pas pu m’empêcher de vous écouter. »

Son regard prend bien son temps pour mater la combinaison moulante de Lissandre.

Gros lourd : « Et de vous regarder aussi. Parce que vous êtes vachement kawaii dans ce latex. Bref, je m’égare. Je disais donc que j’ai pas pu m’empêcher de vous écouter et j’aurai quelques questions concernant le métier et le porno. »

Lissandre a perdu de sa jovialité. Elle ne dit plus rien et serre les mâchoires. Avec le temps et l’expérience, elle a appris à repérer les curieux inoffensifs, les pervers sans limites et les timides à potentiel. Celui-là à la moustache fait clairement partie des pervers sans limites.

« Alors écoute-moi, toi. Si j’avais envie de tourner une scène avec un gros ringard atteint d’éjaculation précoce pour émouvoir mon audience, je te ferais signe. En attendant, je suis plutôt à la recherche d’Hercule monté comme Pégase. Donc tu vas me faire le plaisir de retourner à ta place et de retourner à ta vie de merde terne. Avec mes compliments. »

Avec le temps et l’expérience, Lissandre a également appris à ne pas rentrer dans le jeu des pervers sans limite. Au début, elle jouait avec eux. Mais dans la majorité des cas, ça ne se finit jamais agréablement. Alors Lissandre a changé de stratégie. Maintenant, elle les devance. Et cela produit deux types de réactions. Numéro un : le pervers sans limite se dégonfle en découvrant que le « petit bout de femme » a du répondant. Ca le mate et ça lui fait rentrer la queue entre les gens. Numéro deux : le pervers sans lim-

Gros lourd : « Mais ferme ta gueule, grosse pute !! »

Ca c’est la réaction numéro deux. L’homme à la petite moustache se lève et fait tomber la chaise. Il s’apprête à prendre Lissandre par les pans de son manteau…

105
Hadrian est un homme avec des manières, de la patience et un esprit coquin. Lissandre l’aime de plus en plus son chef ! Actuellement, elle observe « son roi » sur « son trône » blanc immaculé. Même dans cette situation, elle le trouve charismatique. Comme quoi, peu importe le lieu quand on a l’allure.

Elle l’embrasse tandis qu’elle ressent ses doigts dans son fondement. Elle avait manqué d’avoir une réaction d’enfant à qui on prive de son jouet, mais les doigts d’Hadrian remplissait parfaitement leur rôle. Même plus étant donné qu’il y avait du mouvement et qu’il s’adaptait à ses micro-contractions.

*Cet homme est doué. Cet homme va me faire crier, c’est sûr ! *

Lissandre alla chercher la main d’Hadrian alors qu’elle n’avait toujours pas quitté ses lèvres. Sa main frôla celle à qui plusieurs doigts avaient disparu dans les ténèbres. Gentiment, elle lui demanda de faire revenir tout le monde à la lumière. Elle voulait sentir le vide. Elle voulait ressentir la perte d’être remplie juste pour être frustrée avant que quelque chose ne revienne.

Elle quitta ses lèvres et parla à côté de son oreille :

« Vous devriez garder vos deux mains. Vous pourriez vous en servir pour jouer avec ma combinaison ou pour me retenir si vous réussissez à me procurer du désir telle que j’en perdrais le contrôle de mon corps pendant quelques instants. »

Son visage revint devant celui du vampire, affichant un grand sourire mutin.

Cette même main qui était allée chercher la main d’Hadrian alla maintenant chercher sa hampe dressée. Une fois fait, elle glissa lentement pour que ses lèvres intimes embrassent sa verge. Ses lèvres qui ne firent que caresser son gland. Elle manque une ou deux fois de s’empaler dessus. Mais toujours elle remontait. En somme, elle se vengeait de ce qu’il lui avait fait avec son bijou d’anus.

*En parlant de mon bijou. Je devrais le récupérer pendant que j’y pense. Avec ma petite tête hyperactive, je serais bien capable de l’oublier ici : Hi hi ! *

Se redressant, elle étira sa main vers le lavabo. Elle ne voulait pas quitter Hadrian du regard et farfouillait donc comme une demi-aveugle. Inévitablement, sa main toucha le bijou d’anus mais lui donna une impulsion qui le fit rouler sur la faïence avant qu’elle ne tombe. Au bruit du choc, c’était dans la poubelle.

« Merde ! Pardon. Désolé. »

Elle quitta sa position et enjamba Hadrian pour aller chercher rapidement son bijou d’anus. Qu’elle surprise elle eut en découvrant une culotte sentant bon le sexe. Elle se releva et afficha les deux objets. Dans sa main gauche son bijou d’anus et dans sa main droite la culotte du précédent coït du vampire.

« Je crois que nous ne sommes pas les premiers ce soir à prendre du plaisir ici. Quelle coïncidence, n’est-ce pas ! Hi hi !

Lissandre revint auprès du vampire et l’enjamba pour se retrouver dans la même position qu’avant. Prête à s’empaler sur la verge du vampire.

« Dites, et si je vous confiais mon bijou que je mettais dans la poche de votre manteau ? Quant à cette culotte… Hmm : je me demande si elle serait jolie sur moi ? »

Pages: 1 ... 5 6 [7] 8 9 ... 15