Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lucie Backerlord

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Donc, elle voulait m'étouffer, n'est-ce pas? Je la sentais venir. Mais j'allais surtout faire quelque chose qu'elle n'allait pas voir venir. Je retenais le plus longtemps possible ma respiration, pour lui faire croire que j'étais tombée dans son piège. J'allais pouvoir tirer la couverture vers moi. Mais pour le moment, je devais clairement lui faire croire que j'étais à sa merci. En tant que sorcière, je devais toujours avoir plusieurs cordes à mon arc. Sinon, je devais me remettre en question, et m'embarquer dans un processus aussi long ne m'enchantait pas le moins du monde. Alors que je fermais les yeux, je murmurais de manière imperceptible une incantation, qui fit se figer le temps autour de moi. N'étant pas impactée, je pouvais librement me sortir de ce petit piège. Redonnant son libre cours au temps, je la regardais avec un air narquois.

- Tes règles sont quelques peu... Comment dire... Lassantes. J'ai un tout autre projet à ton sujet. Et n'espère même pas recommencer ainsi, tu ne peux rien face à la course du temps.

En effet, j'avais un tout autre projet en tête, et je comptais bien l'appliquer. Mais je savais que l'application serait plus difficile à mettre en oeuvre. Je n'allais pas pouvoir appliquer tout ça en un simple claquement de doigt. Pour une fois, j'allais devoir utiliser une toute autre stratégie. Il fallait que j'utilise ma tête. Réfléchir de manière très rapide. Car il était évident qu'elle n'allait pas en rester là. Croire le contraire serait bien stupide. Il fallait réfléchir. Le plus vite possible. Mais rien ne me venait en tête pour le moment. Je devais faire diversion. Mais comment? Telle était la question.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 13 janvier 2018, 18:40:31 »
Elle voulait me provoquer. Je fis mine de ne rien faire pour le moment, à part faire une tête quelque peu abattue. J'avais plus d'un tour dans mon sac, et même si elle commençait à peine à me connaître, je pouvais être pleine de surprise, si je le voulais. Je la laissais donc s'attendre à tout un tas de choses, alors que je savais pertinemment ce que j'allais faire. Elle voulait que je monte sur mes grands chevaux? Elle allait être servie. Une sorcière ne devait jamais montrer ses cartes avant de jouer. Et si elle voulait que je joue, j'allais jouer. Je pestais intérieurement, mais je savais très bien comment j'allais réagir.

Faisant une incantation en murmurant, le temps commençait à se ralentir autour de moi, mais n'avais aucune emprise sur moi. J'agissais bien plus vite qu'elle, et même si elle avait dans l'idée de tenter de m'empêcher d'agir, elle irait beaucoup trop lentement par rapport à moi. Je dormais toujours avec une arme sous un oreiller. Un réflexe que j'avais gardé de mes classes. Je n'arrivais pas à me défaire de cette habitude. Et ce dernier était toujours chargé. Plongeant donc rapidement ma main sous mon oreiller, j'en tirais un simple colt anaconda.

Pressant le chien, je fis entrer le canon dans sa bouche au moment même où je rendais son cours naturel au temps. Le doigt près de la gâchette, je la regardais avec un air plus que déterminé. Dans un autre cas, je n'aurais pas hésité à presser la gâchette, mais la proximité atroce de mon doigt avec cette dernière lui indiquait que je ne déconnais pas non plus. Plongeant un peu plus le canon dans sa bouche, je gardais une grande proximité avec la gâchette. Il était évident que je n'allais pas tirer, mais il valait mieux pour elle, dans ce cas précis, qu'elle ne joue pas à la plus forte tête.

- Il me semble ne pas t'avoir dit d'arrêter. Je te conseille de te remettre au travail si tu ne veux pas avaler ce truc, de force.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 12 janvier 2018, 19:29:28 »
Si elle comptait me faire partir en vrille en faisant exactement l'inverse de mes mouvements précédents, elle se trompait lourdement. J'avais une très bonne endurance, et surtout avec des mouvements longs. Si elle restait ainsi, elle allait bien vite se fatiguer avant moi. Mais c'était aussi l'occasion de tester sa propre endurance. J'avais une petite idée en tête, et cela n'allait pas changer le fait que je me laissais faire. Je restais totalement passive pour le moment, ses actions me tirant de petits gémissements. Même si mon entrejambe était plus que sensible, vu le traitement que je venais de lui réserver, je m'en sortais encore au niveau de mes cordes vocales.

Néanmoins, je ne restais tout de même pas statique. Je commençais à donner des petits coups de bassin, aussi lents que les siens. Cela donnait une atmosphère tellement lente à la chose que même un gastéropode sur une plaque de pétrole frais irait plus vite. Je savais très bien me contrôler à cette vitesse, et j'allais tenir très longtemps si aucune de nous deux ne changeait ses mouvements de vas et viens. Toutefois, j'appréciais tout de même ce genre de mouvements lents. Cela avait un charme qui n'était pas négligeable. Et je n'allais clairement pas me plaindre, alors qu'elle était en train de s'occuper de moi. Les mouvements de son poignet étaient cependant bien plus appréciables, ce qui n'enlevait rien au mérite de ses mouvements de bassin.

Ainsi installée, je donnais de plus grands coups de bassin, pour amplifier les siens. Je savais pertinemment ce que je faisais, et tôt ou tard, cela allait impacter la manière dont elle allait bouger. Néanmoins, je restais à sa merci, et elle pouvait tout simplement faire ce qu'elle voulait pour le moment. Par la suite, je venais l'entourer de mes jambes, ce qui plaqua mon bassin contre le sien. Et elle n'allait pouvoir ressortir de cette étreinte que quand je le jugerais nécessaire. Cela ne lui enlevait en aucun cas la capacité de mouvement de son bassin. Je gémissais, tout en accélérant quelque peu mes mouvements de bassin. Pour le moment, j'arrivais très bien à ne pas utiliser mes mains, mais je savais que cela n'allait pas durer longtemps.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 10 janvier 2018, 23:29:15 »
Je rechargeais tout de même rapidement mon arme. Réflexe que je gardais toujours, qui pouvait me sauver la vie, et qui pouvait aussi sauver la vie de mes hommes. Avoir une arme déchargée était la pire erreur que je pouvais faire. Le genre d'erreur qu'on ne faisait qu'une fois, et qu'on ne regrettait jamais très longtemps. Et j'avais bien fait de garder ce réflexe puisque visiblement, je ne pouvais toujours pas parler bigoudis entre filles. C'était honteux. Ne pas pouvoir parler de choses totalement superficielles entre filles en pleine forêt, c'était tout simplement du foutage de gueule. Mon barillet plein, je le faisais tourner, avec amusement.

- Oh mais que vois-je. Encore une beauté qui veut se faire lifter.

Et une fois de plus, je lui vidais le barillet dans la tête. Dans ce barillet, il y avait de quoi faire éclater six boîtes crâniennes, et par conséquent, repeindre une pièce complète dans une couleur d'absolu mauvais goût. Le genre de couleur qui n'irait pas très bien dans ma décoration intérieure. Le canon toujours bouillant, j'admirais avec grand intérêt les multiples trous que je venais de lui faire dans la tête. Et je ne trouvais rien de mieux à faire, bien évidemment, que de lui cracher dessus. Parce que je n'avais tout simplement rien d'autre à faire, c'était évident. Par moments, j'étais pleine de surprise, il ne fallait clairement pas m'en vouloir.

- Bon très chère, j'ai très, mais alors trèèèèèèès envie de papoter avec toi autour d'une tasse de thé avec de jolis bigoudis dans les cheveux. Mais ça sonne beaucoup moins fun que de buter des trucs comme ça avec du latex.

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Des tentacules. De mieux en mieux. Après le pur cliché de film de cul lesbien, voilà que nous passions dans un autre pur cliché. Un hentai désormais. Cette forêt puait la magie noire, c'était un fait évident, n'importe quelle sorcière, même la plus incompétente, pourrait le sentir. Mais je commençais réellement à croire que la personne qui était derrière tout ça était une sorte d'adolescent un peu à part qui faisait mumuse avec ses pouvoirs magiques. Et si tel était le cas, il devait être sacrément précoce pour un gamin. Ou alors, tout ceci n'était que dans ma tête, et je me faisais des films. Parce que si une magie noire de cette puissance était générée par un gosse qui aimait les films de boules lesbiens et les hentai, j'avais de lourdes questions à me poser sur mes pouvoirs.

Cependant, je ne m'attendais clairement pas à entendre le bruit d'un corps qui tombe par terre. Me retournant, je voyais donc ma compagne du jour qui se faisait traîner au sol, vers une saloperie qui ne ressemblait strictement à rien. Dans ce genre de cas, il n'y avait aucune question à se poser. Ce genre de bestioles n'était pas impactée par mes balles, qui n'avaient rien de magique? Le soucis n'était pas là. Une balle de 500 dans un tentacule faisait des dégâts. Si une boîte crânienne explosait avec une telle balle, il n'y avait aucune raison pour que quelque chose de flasque la supporte. Tendant le bras, je visais une partie de cette tentacule en amont de sa cheville, et je tirais. Une telle arme faisait un boucan monstrueux, surtout en pleine forêt.

Néanmoins, ce foutu tentacule ne résista pas, même à quelque chose qui n'était pas magique. Si un truc aussi flasque résistait à une balle de cet acabit, il y avait des questions à se poser. Ni une ni deux, je vidais mon barillet sur ce truc. Cinq balles de 500 dans la tête, même lorsque l'on est une bestiole magique, ça fait mal. Le canon était bouillant, normal. Je n'étais pas censée tirer six balles en moins de cinq secondes. Je tendais ma main à ma sœur d'infortune, à terre. En tant que sorcière, je considérais toutes les autres sorcières comme mes "sœurs". Je connaissais certaines sorcières qui faisaient la même chose, et à mes yeux, ceci était légitime car nous partagions toutes une sorte de savoir commun.

- On tombe devant sa sœur, maintenant? Pauvre petite chose.

Je balayais la poussière de sa combinaison. A certains moments, il fallait que j'arrête d'agir comme si j'étais la mère de n'importe qui.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mardi 09 janvier 2018, 20:55:20 »
Il y avait des personnes avec lesquelles je me laissais totalement faire, et des personnes avec qui ce n'était pas le cas. Mais pour le moment, elle faisait partie de la première catégorie. Encore longtemps? Si elle agissait de la sorte, je ne voyais pas pourquoi cela ne serait plus le cas. Du moment qu'elle agissait de la sorte, tout allait bien se passer. Je pouvais être très attentionnée dans ce genre de moments, mais si quelque chose se passait d'une mauvaise manière, je savais très rapidement rebondir, et généralement, ce n'était pas au bénéfice de la personne concernée.

Pour répondre à sa question, j'avais plein d'idées, mais je comptais réellement sur le fait qu'elle fasse marcher son imagination. J'allais lui mâcher le travail au niveau professionnel, alors autant lui laisser pour le coup quelques initiatives. Si je commençais à lui mâcher le travail pour tout et n'importe quoi, je n'allais pas m'en sortir. Lui laisser des initiatives pour le coup me semblait intéressant. Et si en plus de ça, elle arrivait à me surprendre, c'était tout bénéf, à la fois pour moi comme pour elle. Et si je lui laissais des initiatives, je pourrais peut-être me la mettre dans la poche, mais ce n'était pas le sujet du moment.

- Je compte te laisser l'initiative pour une fois. Et si tu arrives à m'étonner, il se pourrait que ça ne soit pas la dernière fois. J'ai de grands espoirs à ton sujet, ne me déçois donc pas.

J'attendais de voir ce qu'elle avait décidé. De temps à autre, il fallait savoir changer de position. Et même si j'adorais tout contrôler, rester dans une position un peu plus lascive n'allait pas me faire grand mal.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 07 janvier 2018, 00:27:49 »
Il était bien évidemment que je me laissais faire à chaque fois. Il y avait clairement plus dérangeant. Ouais, clairement plus dérangeant. Et ce genre de choses ne me dérangeaient absolument pas. Bien au contraire même. A chacune de ses avances, j'y répondais à ma manière. Cependant, il fallait bien que les bonnes choses aient une fin. Alors que je finissais tout juste de reprendre mon souffle, il fallait caracoler vers le nouveau danger. Je l'avais oublié, mais c'était aussi ça, le boulot d'une sorcière. Je ricanais tout de même en l'entendant parler de la sorte. Elle devait donc avoir l'imagination fertile. Et j'aimais ça.

- Si on ne peut même plus parler autour d'une tasse de thé, tout en parlant bigoudis, ce monde part en sucette.

Chargeant entièrement mon arme, par pure habitude, je passais devant. Je n'eus le temps que de faire quelques mètres avant qu'un grand cri ne se fasse entendre, puis une ombre sauta vers moi. Je n'eus que le temps de me baisser façon Matrix, avant de lui asséner un grand coup de pied dans le ventre au bon moment. Encore un peu d'action. Cette saloperie se relevant, je décidais d'y aller à mains nues. Ou plutôt avec mes pieds. Je me battais clairement mieux avec mes pieds qu'avec mes mains. Je me battais souvent avec une technique issue d'une sorte de fusion de taekwondo et de capoeira. Mais contrairement à la capoeira, je portais réellement mes coups.

Une série de coups de pieds retournés en plein visage plus tard, je pris une nouvelle fois son visage entre mes jambes, et l'envoya derrière moi, le faisant s'écraser par terre. Mais cette fois, je laissais à ma très chère collègue le privilège d'achever cette abomination génétique.

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Elle voulait donc jouer avec moi. Soit. J'allais la laisser jouer pendant un moment. Je n'étais pas vraiment en position de force, mais je me surprenais à croire le contraire pour le moment. Après tout, ce n'était pas comme si je détestais ce qu'elle était en train de faire. De temps à autre, elle pressait allègrement une partie sensible, ce qui me fit tiquer, et surtout me fit faire des bulles. Et allez, encore un peu d'air qui partait en fumée. Au fond de moi, je commençais doucement à m'inquiéter, mais c'était sans compter mes gémissements qui me faisaient oublier mon inquiétude. Cependant, en l'entendant parler de la sorte, je gardais un ton de voix relativement assuré, calme, mais tout de même impertinent.

- Lucie. Et je suis sans doute idiote d'être venue jusque ici, mais c'est pas non plus comme si t'étais en train de regretter ce que t'es en train de faire.

Je savais que je n'avais clairement pas intérêt à dire ce genre de choses une nouvelle fois, surtout dans ma posture. Mais par moment, je ne pouvais clairement pas m'empêcher d'être impertinente. Par moment, je ne réfléchissais vraiment pas. Mes gémissements se faisant de plus en plus nombreux, et surtout de plus en plus longs, je commençais néanmoins à en avoir marre de ne pas me servir de mes mains. Lui agrippant le cul, je le gardais bien fermement dans mes mains. Il fallait impérativement que je touche un truc ou que j'ai quelque chose entre les doigts. Vraiment l'une de mes faiblesses, et je ne pouvais absolument rien y faire.

Je gémissais de plus en plus, mais en contrepartie, plus je gémissais, plus je lui malaxais son postérieur. Certes, ce n'était pas du même niveau, mais c'était tout ce que je pouvais faire pour le moment, sans trop me poser de questions. De toute manière, je n'étais pas en mesure de me poser des questions.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 06 janvier 2018, 23:18:17 »
La voir perdre pied avant moi fut un peu frustrant, sur le moment, mais quelque peu gratifiant également. Au moins, elle appréciait ce que je faisais, et c'était là le principal. Si cela n'avait pas été le cas, là j'aurais du me poser des questions. Je gémissais toujours autant, mais je ne ralentissais clairement pas mes mouvements. Bien au contraire. Alors qu'elle venait tout juste de se répandre sur mon lit, je continuais toujours mon petit bonhomme de chemin en elle. Je n'allais le cesser qu'au moment même où j'allais jouir en elle, car tel était le but que je recherchais et visiblement, celui qu'elle recherchait également.

C'est en la voyant bouger également que j'amplifiais encore plus mes mouvements de bassin. Me tirant encore plus de gémissements. Je ne savais clairement pas combien de temps j'allais encore pouvoir tenir, mais à vrai dire, je ne me posais pas vraiment la question. La réponse ne m'intéressait pas. Je gémissais de plus en plus, alors que mon bassin claquait toujours plus fort contre le sien. Je ne me posais pas vraiment de questions, et je cherchais à aller toujours plus vite, et toujours plus fort, veillant évidemment à ne pas transformer un moment comme celui-ci en véritable champ de bataille.

Je ne mis cependant pas si longtemps avant d'atteindre ma limite. Mes mouvements, toujours aussi puissants, me tiraient de plus en plus de gémissements, avant que ma gorge ne produise plus le moindre son au moment fatidique, où je me vidais en elle. Et comme toujours, après cela, je poussais un soupir de bien-être. Cependant, je ricanais légèrement alors que je me retirais, non pas par moquerie. Mais bien parce que j'en avais envie. Venant l'embrasser tendrement, je jouais par la suite avec l'une des mèches de ses cheveux.

- Bon, sa grande majesté est satisfaite? J'espère que t'as encore un peu d'endurance ma grande, parce que je vais pas te lâcher maintenant.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 06 janvier 2018, 19:37:41 »
Elle avait le don de me faire partir en vrille. La façon dont elle parlait m'encourageait à aller beaucoup plus loin. Mes mouvements du bassin étaient toujours aussi rapides, tandis que mes mouvements du poignet se faisaient encore plus lents. J'avais comme objectif de lui faire perdre toute contenance en agissant de la sorte. Du moins, j'allais perdre toute contenance également si cela durait sur le long terme. Mes gémissements n'allaient pas tarder à s'amplifier. Ces derniers s'accentuaient, partant toujours plus haut dans les aigus. Mon bassin claquait contre le sien à chaque mouvement de vas-et-viens. Et à vrai dire, ce genre de bruits m'excitaient grandement.

J'avais une main de libre, tandis que l'autre continuait lentement son boulot de masturbation. Et que faire d'une main libre quand on a un corps entier avec lequel jouer? Masser des seins, bien entendu. Le dénouement était trop prévisible. Mais je ne pouvais pas faire autrement, il fallait que je m'occupe les mains. Mes deux mains gardaient des mouvements très lents, en contradiction complète avec les mouvements de mon bassin. Je titillais ses tétons du bout des doigts, aussi lentement que possible. Tout était prévu pour la faire vaciller. Maintenant, il ne restait plus qu'une chose, voir combien de temps elle allait pouvoir tenir de la sorte.

Si l'on me faisait pareil, même avec mon endurance plus développée, je ne savais clairement pas combien de temps j'allais pouvoir tenir. Une chose était sûre, mes mouvements de bassin devenaient de plus en plus violents, et me tiraient des gémissements bien plus longs. Une personne n'ayant jamais touché à ce genre de pratiques ne supporterait clairement pas ça, mais ici, je ne sentais absolument rien m'empêchant d'agir de la sorte, autant en profiter. Plus mes mouvements étaient puissants, plus je m'enfonçais en elle. Je gardais tout de même assez de retenu pour ne pas y aller d'un coup. Je lui réservais ça pour plus tard.

- Prends des notes sur ce que je te fais. Ça te servira pour quand ça sera ton tour.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 05 janvier 2018, 17:37:58 »
En la voyant changer de position, je savais ce qu'il me restait à faire. Je pensais vraiment qu'elle lisait dans mes pensées. Et si tel était le cas, j'allais devoir y prêter grande attention. Mais pour le moment, il n'était pas question de fermer son esprit ou quelque chose de ce genre-là. Non, il était plutôt l'heure de mettre mon plan à exécution. Alors que j'accompagnais son mouvement pour changer de position, je restais pour le moment dans un mouvement de bassin relativement lent. Aussi lent que possible. Avant de changer drastiquement d'objectif.

Alors que je faisais semblant de ne pas y prêter attention, les mouvements de mon bassin prirent très rapidement en vitesse. Passant du très au lent au plus que rapide en moins de 2 secondes. La transition était plus que perceptible. Pour quelqu'un de pas habitué ou de tendu, cette transition aurait été plus que douloureuse. Mais comme je sentais qu'ici, elle était possible, autant la faire. Je marchais surtout au feeling pour ce genre de choses. Si je sentais que ça ne passerait pas, je ne tentais même pas. Hors de question de basculer dans un moment gore. La plupart du temps, y aller au feeling marchait très bien. De temps à autre, il y avait des cafouillages, c'était normal.

Mon bassin tapait contre le sien, plus j'allais vite, et plus mon bassin tapait contre le sien. Mais il fallait tout de même que je m'occupe les mains. Je détestais viscéralement ne pas me servir de mes mains. Il fallait vraiment que je fasse quelque chose contre ça, mais cela allait me demander un long travail sur moi-même. Même si j'avais une très grande patience, pour beaucoup de choses, il me fallait toujours un truc sous la main. Soit pour m'aider à patienter, soit tout simplement pour m'occuper les mains pendant un instant. De ma main droite, je venais prendre son membre, le caressant lentement, en contradiction totale avec les mouvements de mon bassin.

Ces derniers étaient assez rapides pour que mes gémissements prennent un tout autre visage. Ils étaient bien plus longs, et surtout, bien plus hauts en tonalité. Je ne le cachais jamais, et je préférais largement me faire entendre qu'être silencieuse. Mentir sur ce point me rebutait au plus profond de mon être. Et même si je savais me faire discrète lorsque la situation l'exigeait, ce n'était pas le cas ici, donc j'en profitais. Autant en profiter le plus possible quand on est chez soi.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 04 janvier 2018, 22:19:14 »
Je ricanais légèrement. Après tout, maintenant que j'avais la situation entre les mains, je comptais bien en profiter à ma guise. Toutefois, je n'allais pas non plus trop en profiter. Il fallait que je me contrôle tout de même. Je n'étais pas une espèce de sombre psychopathe prête à tout pour un peu de contrôle, loin de là. Elle devait avoir tout un tas de scénario dans la tête, mais j'étais persuadée qu'elle était loin de se douter que je préparais quelque chose comme ça depuis le début. Tout en entamant des mouvements de vas et viens relativement lents, pour l'habituer, je venais lui mordiller lentement le cou. Avant de lui mordiller le lobe de l'oreille.

- Je pense que je vais te laisser faire quelque chose comme ça après. Ouais, y'a aucune raison qu'il n'y ai que moi qui m'amuse. Et rares sont ceux qui peuvent en profiter.

Je ne voulais pas me donner un air inaccessible, mais il était vrai que jusqu'à présent, les chances ne s'étaient pas bousculées au portillon. Mais peut-être qu'avec elle, ce serait différent, après tout. Je n'en savais encore rien, et autant voir les choses jusqu'au bout. Lui caressant doucement les fesses, mes mouvements de bassin étaient relativement lents. J'aurais pu être une espèce de barbare et y aller comme une bourrinne, mais ce n'était clairement pas dans ma nature. J'avais tout le loisir d'aller bien plus vite et bien plus fort plus tard, si j'en ressentais la nécessité. Instinctivement, je venais l'embrasser, langoureusement. J'en ressentais l'envie depuis tout à l'heure, et il le fallait. Sinon, j'allais le regretter. Et je détestais avoir des regrets par la suite. Je ne supportais pas ça.

Mes mains sur ses fesses, ma langue contre la sienne, mon membre en elle, clairement, il y avait pire comme situation. Et je devais l'avouer, mais le fait de l'imaginer faire exactement la même chose par la suite m'excitait grandement. Je voulais que ça arrive. Mon bassin gardant le même rythme, je malaxais son fessier avec mes mains, dans l'optique de la détendre. Je savais ce que je voulais, et je savais ce que je faisais. Et cela ne faisait que commencer. J'allais m'amuser avec elle, et j'allais la laisser s'amuser avec moi ensuite. Il y avait vraiment bien pire comme programme. Toutefois, même si je restais à un rythme relativement lent, le moindre mouvement de mon bassin faisait que je m'enfonçais bien plus en elle.

- J'espère que tu as beaucoup d'imagination. Car j'en ai beaucoup. Et j'attends beaucoup de choses venant de toi.

J'attendais beaucoup de choses d'elle, mais je savais que toutes ces choses allaient se produire. Elle n'était pas née de la dernière pluie, et cela se sentait. J'avais bon espoir, par conséquent.

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- C'est pas comme si c'était la première fois que ça m'arrivait. T'as de la chance, j'aime ça.

Vraiment, j'avais le don pour anticiper les bonnes réactions. J'étais là, sous l'eau, avec quelqu'un en train de s'occuper de moi, je pouvais manquer d'air à tout moment et c'était la seule chose qui me traversait l'esprit? Par moments, je me faisais vraiment de la peine. Mais je n'avais pas l'occasion de penser à autre chose, mes gémissements me ramenaient à la réalité. Je faisais tout de même bien attention de garder mes algues dans la bouche, pour le moment. La sentant faire, je commençais à me dire que la situation pouvait être pire. Certes, au bout d'un moment, j'allais cruellement manquer d'oxygène, mais il y avait pire comme situation.

Ricanant intérieurement, je commençais à me dire que le fait que je puisse avoir une endurance bien supérieure à la moyenne allait à la fois m'aider dans cette situation, mais également me desservir. Plus j'allais tenir longtemps, plus j'allais manquer d'oxygène. Un mal pour un bien, car la situation était plus qu'agréable, pour le moment. Elle aurait très bien pu me tuer, et je n'aurais rien pu dire. Clairement, j'étais à sa merci pour le moment. La situation allait peut être changer, mais je n'en savais encore rien. Je ne pouvais que gémir pour le moment, sans trop me poser de questions. Mon endurance allait sans doute être un facteur déterminant pour la suite. Si je voulais changer ce fait, j'allais devoir faire un gros travail sur moi même, et ce n'était pas le lieu, ni le moment pour ça.

Mes gémissements s'intensifiaient de plus en plus, à chacune de ses actions. Si elle comptait me faire partir en vrille, elle allait y arriver.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 04 janvier 2018, 17:53:44 »
Après tout avoir avalé, je ricanais légèrement en l'entendant dire quelque chose comme ça. Non pas pour me moquer, je détestais me moquer des autres. Je détestais que l'on me prenne pour une conne, alors je n'allais tout de même pas agir de la sorte avec les autres, cela n'avait aucun foutu sens. Passant l'une de mes mains dans ses cheveux après m'être tout de même rapproché, je faisais mine de réfléchir, sachant pertinemment ce que je voulais faire. Je prenais un air des plus enfantins, comme je savais si bien le faire.

- Si notre relation de boulot tourne comme ça, je crois qu'on va rapidement trouver notre compte toutes les deux. Si t'es sage, ça ne sera pas la dernière fois que ça t'arrives.

Bien évidemment, je ne comptais pas faire ce genre de choses une seule et unique fois. Si je m'entendais bien sur le plan sexuel avec quelqu'un, cela pouvait partir loin. Très loin. Cela ne m'était arrivé que peu de fois en plus de 200 ans, mais à chaque fois, je chérissais ce genre de relations. Mais pour le moment, je savais ce que j'avais à faire. Je n'allais pas lui sauter dessus comme une espèce de grosse bourrine, mais presque. J'avais une certaine opinion de moi-même, et je n'allais clairement pas y déroger.

- Tu m'fais confiance et tout se passe bien.

Ni une ni deux, je venais lui mordiller délicatement le cou, avant de le laisser tranquille et de virer cette combinaison. J'étais donc totalement nue. Et pas vraiment pudique, qui plus est. Je pouvais passer mon temps ainsi, mais j'avais une certaine once de respect envers les autres, et quelque peu d'amour propre. Même après être passé par ses soins buccaux, je ne manquais clairement pas de vigueur. Venant lui mordiller le cou une seconde fois, je prenais encore une fois son membre dans ma main, le caressant lentement.

Ce n'était qu'une diversion. Profitant d'un moment de flottement, j'agrippais fermement son fessier de mes mains, surélevant donc son bassin. D'un grand coup de rein, je terminais donc en elle, non sans un pincement de lèvre, de par la sensation que cela provoquait à chaque fois.

- A moins que tu ai une position en tête, dis moi tout, je suis ouverte à toute proposition. Même les plus farfelues.

Pour le moment j'allais m'occuper d'elle. Le reste, je verrais ça plus tard.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 03 janvier 2018, 23:59:16 »
Au bout du compte, je commençais à moduler mes mouvements buccaux et de la main en adéquation avec ses réactions. Plus elle gémissait, plus j'y allais lentement. Plus elle restait sur sa faim, plus mes mouvements se faisaient rapides. De cette manière, je la mettais à ma merci. Elle n'avait pas à rougir de sa prestation, mais l'on sentait qu'elle n'avait pas l'habitude. Avec un peu d'entraînement, elle serait méconnaissable. Ouais, un petit entraînement entre mes pattes et elle serait à un tout autre niveau. Je ne me considérais pas comme experte de la chose, je ne savais pas pourquoi, mais j'avais envie de la prendre en main.

Je continuais donc sur ma lancée, alternant les rythmes, tout ceci uniquement pour la faire flancher. Lorsque j'avais un objectif en tête, je faisais tout pour y parvenir. Et j'avais cet objectif dans l'esprit. Je modulais ma vitesse à chaque fois, dans l'unique but de lui faire cracher ses tripes. Ma main libre venait chercher la sienne, toujours de manière instinctive. Dans ce genre de moments, j'agissais toujours à l'instinct. Par moments, cela me réussissait, d'autres fois non. Je n'allais pas arrêter d'agir de la sorte pour une ou deux mauvaises fois.

J'allais lui laisser le temps qu'il faudrait, mais plus ses gémissements s'intensifiaient, plus j'accélérais mes mouvements, avant de créer de grands creux dans ces derniers. Une sorte de montagnes russes aux pentes extrêmement abruptes. Ce genre de choses marchaient très bien sur moi, et j'adaptais souvent ce genre de choses aux autres. Je savais très bien ce que je comptais faire par la suite, et tout était une question de minutes désormais. Toutefois, je n'avais pas fait de pause depuis le départ, pour parler. Et je ne le faisais jamais. Je restais toujours on ne peut plus silencieuse dans ce genre de cas, hormis les bruits de succion sortant de ma bouche.

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