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« le: jeudi 04 janvier 2018, 22:19:14 »
Je ricanais légèrement. Après tout, maintenant que j'avais la situation entre les mains, je comptais bien en profiter à ma guise. Toutefois, je n'allais pas non plus trop en profiter. Il fallait que je me contrôle tout de même. Je n'étais pas une espèce de sombre psychopathe prête à tout pour un peu de contrôle, loin de là. Elle devait avoir tout un tas de scénario dans la tête, mais j'étais persuadée qu'elle était loin de se douter que je préparais quelque chose comme ça depuis le début. Tout en entamant des mouvements de vas et viens relativement lents, pour l'habituer, je venais lui mordiller lentement le cou. Avant de lui mordiller le lobe de l'oreille.
- Je pense que je vais te laisser faire quelque chose comme ça après. Ouais, y'a aucune raison qu'il n'y ai que moi qui m'amuse. Et rares sont ceux qui peuvent en profiter.
Je ne voulais pas me donner un air inaccessible, mais il était vrai que jusqu'à présent, les chances ne s'étaient pas bousculées au portillon. Mais peut-être qu'avec elle, ce serait différent, après tout. Je n'en savais encore rien, et autant voir les choses jusqu'au bout. Lui caressant doucement les fesses, mes mouvements de bassin étaient relativement lents. J'aurais pu être une espèce de barbare et y aller comme une bourrinne, mais ce n'était clairement pas dans ma nature. J'avais tout le loisir d'aller bien plus vite et bien plus fort plus tard, si j'en ressentais la nécessité. Instinctivement, je venais l'embrasser, langoureusement. J'en ressentais l'envie depuis tout à l'heure, et il le fallait. Sinon, j'allais le regretter. Et je détestais avoir des regrets par la suite. Je ne supportais pas ça.
Mes mains sur ses fesses, ma langue contre la sienne, mon membre en elle, clairement, il y avait pire comme situation. Et je devais l'avouer, mais le fait de l'imaginer faire exactement la même chose par la suite m'excitait grandement. Je voulais que ça arrive. Mon bassin gardant le même rythme, je malaxais son fessier avec mes mains, dans l'optique de la détendre. Je savais ce que je voulais, et je savais ce que je faisais. Et cela ne faisait que commencer. J'allais m'amuser avec elle, et j'allais la laisser s'amuser avec moi ensuite. Il y avait vraiment bien pire comme programme. Toutefois, même si je restais à un rythme relativement lent, le moindre mouvement de mon bassin faisait que je m'enfonçais bien plus en elle.
- J'espère que tu as beaucoup d'imagination. Car j'en ai beaucoup. Et j'attends beaucoup de choses venant de toi.
J'attendais beaucoup de choses d'elle, mais je savais que toutes ces choses allaient se produire. Elle n'était pas née de la dernière pluie, et cela se sentait. J'avais bon espoir, par conséquent.