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Messages - Lucas

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: mardi 15 avril 2014, 21:37:09 »
Lucas avait un regard où on devinait son envie, son besoin de luxure. Le contact avec le corps de Mélinda ne faisait que l'exciter d'avantage, ses mains malaxaient les seins de Melinda... Alors quand cette dernière lui a dit de se laisser faire, un sourire apparu sur ses lèvres. Il sentait quelque chose pointer sous la robe de Melinda, était-ce...non impossible il avait passé plusieurs minutes à lécher l'intimité de la vampire sans voir de sexe masculin. Mais pourtant il savait ce qu'il sentait, surtout ce genre de chose, il alla y passer la main et c'était bien ça...Mais Mélinda fit quelque chose qui attira bien plus l'attention du blondinet : elle a ouvert sa robe, laissant visible son corps nu. Il eut de grands yeux, comme s'il voyait un trésor mais il fut repoussé avec force par sa maîtresse jusqu'à la table.
Pendant qu'elle guida sa verge jusqu'à son entrejambe, Lucas prit les seins de la vampire à pleine main, il joua avec, les massant, caressant ses tétons... Ses yeux jaunissaient un peu plus quand il sentit la verge de Mélinda le pénétrer, lui arrachant un cri de plaisir.

Il s'allongea sur la table écarta un maximum les jambes pour laisser tout loisir à Mélinda de venir en lui. Chaque mouvement était pour lui un délice, ses cris s’amplifièrent à chaque va et viens. Son corps était en feu, il alla agripper le coté de la table avec ses mains et le serra. Il était en croix, un bras tendu de chaque côté pour agripper la table. Ses yeux ne lâchaient pas la vampire, ils observaient ses formes sublimes, son teint de peau impeccable. Plus le plaisir était intense plus il serrait l'emprise qu'il avait sur la table au point que cette dernière commença à emmètre des craquements sous la force de l'esclave. A un moment il tourna la tête, observant les 2 filles, leur offrant ses yeux de plus en plus jaune avant de retourner observer celle qui lui faisait tant de bien. Il la vit s'approcher, s'approcher d'avantage de son cou laissant apparaître des canines brillantes, instinctivement il offrit son cou à Melinda sans vraiment comprendre la situation.  Lorsqu'elle planta ses dans en lui il ouvrit en grand la bouche, permettant aux spectatrices extérieure d'observer que le petit avait lui aussi des dents bien plus imposante qu'à la normal à ce moment-là...

Quand la douleur passa (au bout de quelques secondes à peine), le plaisir arriva, ce fut géant, ses mains achevèrent les côtés de la table en les broyant littéralement ne laissant retomber que des morceaux. N’ayant rien à tenir, il entoura la vampire de ses bras, la serrant contre lui
 Les sensations de ce baiser étaient sans pareil avec ce qu’il avait déjà connu, c’était la première fois qu’on lui faisait cela.

-Aaaaaaah aaaaaaah maîtresse, maîtresse !! Je vais…je vais…

Son entrejambe était balayé par le sexe de la femme et de son cou venait un étrange plaisir, il fut victime d’un orgasme fulgurant. Il criait de plaisir, il se sentait partir, son corps était pris de spasmes, ses hanches bougeaient toutes seules et son intimité se resserra. Avant de s’évanouir, il poussa un dernier cri…mais ce n’était pas un cri humain, c’était un rugissement, un puissant rugissement de bête…

Son petit corps cessa de bouger, il était là, allongé sur la table, inconscient et l’air apaisé. Ses crocs avaient disparus pour laisser à nouveau place à de petites dents. Lucas était chou comme ça, qui aurait pu croire que sous ses traits se cachaient une créature dangereuse…

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: lundi 14 avril 2014, 22:05:26 »
Le corps de sa maîtresse, il bougeait, ses jambes se resserraient encore plus contre les joues du jeune homme...euh de la jeune fille. Pendant l'orgasme de la vampire il n’arrêta pas son travail, bien au contraire, il s'activa encore plus, accueillant avec plaisir le liquide supplémentaire qui lui arrivait en bouche. A nouveau il ne laissa pas une goutte échapper à sa langue. Quel plaisir, apparemment il avait réussit à satisfaire sa maîtresse, excellent! Il voulait faire bonne impression pour son premier jour ici. Après avoir léchée jusqu'à la dernière goûte de cyprine présente sur l'intimité de Mélinda il sorti de sous la robe, il avait chaud, il était excité... Ses joues étaient rouges, il s'essuya sommairement la bouche avant d'aller embrasser la vampire, un baiser langoureux de quelques secondes. Puis il la regarda son regard trahissait ses pensées, il en voulait plus, encore plus!

Il lui sauta sur les cuisses enroulant ses jambes autour de ses hanches puis l'embrassa à nouveau, collant son corps au sien. Ses yeux avaient légèrement changés sans qu'il ne s'en rende compte, le vert avait prit une allure de jaune mais ses pupilles étaient identiques. Les baisers étaient de plus en plus passionnés. Il humait l'air, il inspirait comme un animal en quête de nourriture, sauf que lui était en quête de sexe.
Il n'était pas dans son était normal, pas besoin de le connaitre pour s'en apercevoir. Seule la vampire pouvait comprendre ce qu'il se passait car elle seule connaissait le coté bestiale de Lucas...euh de Lucie.

-Maîtresse, je suis désolée...mais je n'arrives pas à m’arrêter! Puis il alla passer sa langue dans le cou de la vampire, sa langue bougeait dans tous les sens, le délicieux balais du muscle rose du blondinet semblait totalement désordonné mais instinctivement il était fait pour le plaisir de la personne léchée. Ses mains allèrent jouer avec les seins de la vampires, les massant passionnément à travers la robe. Une drôle de situation, Lucas ne se contrôlait pas actuellement, son instinct avait pris le dessus, mais d'un coté il aimait tellement ça...

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: lundi 14 avril 2014, 14:22:15 »
Lucas ne disait rien, il écoutait le discours plein de rancœur de Félice, qu'avait il contre Lucas ? Il n'avait pas à se plaindre, il n'allait pas rester sur place puisque, apparemment, il serait emmené au Royaume de Cyriel. Son discours était illogique, un esclave pouvait parfaitement faire un travail comme le ferait un valet, voir plus. Libre arbitre ? Amour propre ? Lucas n'en avait pas encore, depuis tout petit il servait des maîtres plus sadiques les uns que les autres qui lui répétaient tous que l'esclavage était une chose normale, que la place du loup garou était aux cotés de son possesseur, sous ses ordres.

Il sentait le regard du valet se promener sur son corps, il ne broncha pas, se laissant observer en long, en large et en travers. Ce n'était pas une observation de plus qui allait changer quoi que ce soit, il y était habitué depuis le temps. Son corps était source d'intrigue, était-il un garçon ? Une fille ? Les deux ? Telles étaient les question que se posaient la plupart des gens en le voyant.
Soudain Lucas compris, Félice n'avait rien de personnel contre le blondinet mais contre l'esclavage, il craignait sûrement pour son travail. D'un coté il n'avait pas tord, les esclaves avaient peu à peu remplacés les valets de maison même si, dans un soucis d'apparence, les plus riches en gardaient quand même pour faire bonne figure. C'était plus classieux qu'un esclave.

Soudain, Lucas fut interrompu dans son observation quand il entendit le bruit métallique de la ceinture qui quittait la taille de son propriétaire, en se retournant il vit approcher Felice , un sourire sadique imprimé sur les lèvres...et arme à la main. Lucas ne put réagir, il se prit les coups à l'épaule et au ventre de...plein fouet. L'objet claquait sur sa peau devenue rouge après le traitement, il esquiva les coups suivant en courant un peu partout dans la pièce. Pendant ce temps, il parlait :

-Arrêtez ça, vous n'avez pas le droit ! Sa majesté à dit que VOUS étiez à mon service et je...

Les mots eurent du mal à sortir de sa  bouche, il ne les avaient encore jamais prononcés  et ne pensait jamais pouvoir le faire un jour. Mais il prenait toujours les indications de ses maîtres au mot près et effectivement Cyriel a dit que Félice était au service de Lucas...En conséquence le blondinet ne considérait pas le valet comme un supérieur mais comme un égal. Pas un inférieur non vu qu'il s'estimait lui même tout en bas de l’échelle, de l'ordre naturel des chose.
-...je vous ordonne d’arrêter ! Vous n'avez aucun droit sur moi, seul sa majesté en a !

Mais il savait bien que cela n’arrêterait pas son agresseur, il lui faudrait le forcer à se calmer...Soudain il s’arrêta et fit face à Félice tête baissée, lorsque ce dernier leva à nouveau l'arme contre lui il se contenta de lever le bras et d'attraper la ceinture et la retint fermement. Le valet pouvait faire ce qu'il voulait, il ne pouvait pas reprendre son bien, comme si le garçon était soudain doté d'une force nouvelle. Lucas leva doucement la tête, ses yeux étaient devenus jaune, pupille verticale. Le regard mauvais, il approcha l'individu de lui en tirant sur la ceinture, il l'approchait doucement mais sûrement de son visage :

-Arrêtez ça tout de suite humain !" dit il d'une voix nettement plus grave que la normale et surtout plus menaçante...

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: dimanche 13 avril 2014, 19:06:21 »
Il faisait chaud,  très chaud, cette ambiance était excitante, Lucas l’appréciait beaucoup. Il y avait une odeur de sexe, c’était bon, elle réveillait  en lui des instincts primaire: il en voulait encore plus, il voulait entendre les cris de Melinda, il voulait voir son corps agité de spasmes et son sexe devenir à la fois brûlant et humide. Le goût de cyprine dans sa bouche était délicieux, il ne laissait pas tomber ce précieux liquide, il n’en perdait pas la moindre petite goutte. Lui aussi commençait à mouiller d’ailleurs, il avait de plus en plus chaud. Lucas enleva ses gants qu’il posa à l’extérieur du chapiteau de luxure qui le recouvrait. Il alla entourer le clitoris de Mélinda avec sa langue, aucune zone n’était épargnée. Il avait appris à faire autant plaisir aux femmes qu’aux hommes durant sa vie. Ce qu’il était en train de faire, c’était un peu sa technique secrète. Le clitoris ciblé n’avait pas un endroit, pas un millimètre où il n’était pas entouré par le muscle rose et humide du loup garou. Personne ne comprenait comment il arrivait à faire ça avec sa langue, ce n’était pas une chose incroyable en soi mais le fait qu’elle soit si bien réalisée laissait perplexe.

Le petit bouton rose était l’objet de toutes les attentions du blondinet, sa langue  l’encerclait et bougeait tantôt vers le haut tantôt vers le bas, il le tirait, l’embrassait avant de reprendre son étreinte buccale. Il entendait sa maîtresse gémir, il était bloqué entre ses jambes, il resserra encore plus son visage contre l’intimité de la vampire, elle allait jouir, il le sentait. Il était à fond, il donnait tout ce qu’il pouvait donner avec juste sa bouche et il n’arrêterait pas avant d’en avoir reçu l’ordre… Ses mains étaient retournées sur  le bassin de la vampire, il s'en servit comme appui pour être encore plus proche d’elle, il commençait à devenir fou,  toute cette excitation, cette luxure, ces odeurs et ce gout lui faisait perdre un peu la tête…

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Lucas était comme sur un petit nuage, son corps était inanimé pendant que Maelie lui montrait son affection. Il sentait chaque caresse chaque baiser sur ses fesses mais il était comme ailleurs, absent, en dehors de la situation…Tout était flou dans son esprit et ce n’était pas un effet de l’orgasme, c’était…autre chose. Il n’entendait plus rien, sa vision se troublait, son corps mou cessait de bouger et son regard était perdu dans le vide. Il ne voyait que du noir, l’obscurité l’entourait, le silence était assourdissant. Les seuls bruits qu’il entendait étaient l’écho de sa propre respiration et de ses propres mouvements, il était seul, désespérément seul.

Lucas, mon petit Lucas !! Fut la première chose qu’il put entendre ici, il reconnaissait la voix de sa maîtresse, mais était-elle ici ? Perdue dans les ténèbres ? Il tourna sur lui même, la cherchant du regard sans la trouver. La phrase se répétait en boucle, résonnant dans tout cet endroit inquiétant mais, à chaque répétition, le timbre de voix changeait un peu.
Lucas, Lucas, Lucas, Lucas…’’ une nouvelle voix avait fait son apparition et résonnait à son tour. La voix de Maelie, à force de répéter la phrase, avait été remplacée par celle là. Lucas était sûr de connaître cette voix, il savait qu’il l’avait déjà entendue quelque part, il savait qu’elle lui était familière.

Dans les ténèbres au loin apparut une lumière, une lumière faible, vacillante mais présente, le blondinet se dirigeait vers elle en courant, effrayé par ces ténèbres où il ne voyait rien. C’était ça qui l’inquiétait, il ne voyait rien alors que d’habitude ses yeux lui offraient la nyctalopie. Il était perdu, il se rattachait à cette lumière, à la voix qui en émanait comme s’ils étaient son seul moyen de survie. Il courait, courait à en perdre haleine, ses pieds lui faisaient mal, sa respiration était irrégulière, partagée entre l’accélération due à l’effort et à la peur du lieu. 

Plus il se rapprochait de la lumière plus il se sentait rassuré, plus il sentait qu’il faisait bon et chaud. Soudain un autre bruit vint à ses oreilles, un rugissement, un grognement bestial, en tournant la tête il se vit. Il se reconnaissait, c’était la bête qui sommeillait en lui…Il s’arrêta et marcha à sa rencontre, le monstre l’enlaça affectueusement puis, dans un hurlement de loup lors de la pleine lune, embrouilla à nouveau la vue de Lucas qui sentait le monde s’écrouler sous ses pieds, il se sentait tomber…



En ouvrant les yeux, il entendit sa maîtresse crier. Un cri de peur mêlé à un orgasme, que se passait-il ? Combien de temps avait-il été évanouit ? Quelques secondes ? Quelques minutes ? Sa réflexion fut interrompue par un nouveau silence, en se retournant il remarqua que quelques forces lui étaient revenues. Maelie était là, sur le sol, inanimée, alors elle disait vrai ? Un orgasme et elle perd connaissance ? Étrange…

-Maîtresse…dit faiblement Lucas en lui caressant le visage…avant de regarder le médecin.
-Vous avez eu ce que vous vouliez non ? Maintenant soignez la, laissez-la partir, arrêtez lui faire du mal...je...

Il se mit sur le corps de la succube afin de la protéger d’éventuels autres abus, il n’allait pas la laisser souffrir d’avantage. Son bassin était sur son dos, sa tête au niveau de ses pieds. Qu’allait-il se passer maintenant ? Lucas n’était pas dupe, il savait que l’individu ne les laisserait jamais partir tout les deux, il connaissait les vices des hommes et leur envie de domination. Mais il n’allait pas rester à ne rien faire, quitte à mourir autant le faire en défendant la seul personne qui lui ai jamais montrée de l’affection comme l’a fait Maelie.
Une larme coula sur sa joue, un sanglot fit son apparition...
-Je vous servirais...je vous obéirais quelques soit l'ordre que vous me donnerez, je serais votre esclave... votre chose...votre objet mais...laissez la partir, laissez la vivre...

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: jeudi 10 avril 2014, 20:59:38 »
Le blondinet entendait sa nouvelle maîtresse satisfaite par le travail des trois demoiselles qu’elle avait à son service. Il faut dire que  trois filles expérimentées dont deux qui connaissent vos  fantasmes et vos préférences…ça ne peut que vous faire passer un bons moment.  Lucas remontait de plus en plus, sa maîtresse avait la peau étonnamment fraîche, étonnamment pâle.  Une odeur assez étrange lui emplissait les narines, il était intrigué, quelle était cette odeur qu’il était sûr de connaitre ? Il continuait son investigation tout en léchant généreusement la jambe jusqu’à être tout à coup visage collé à la culotte de sa partenaire…

Lèche ma culotte, Lucie...Vise mon intimité, et, lorsque tu me sentiras mouiller... Tu pourras la retirer... En te servant de tes dents. Tire dessus, comme la petite chienne que tu es.

Cette intimité, cette odeur…il la reconnaîtrait entre 100 000 000 tellement il avait été en contact avec elle durant sa vie. Le sexe de Melinda sentait le sperme, le sperme tiède, au moins maintenant il savait où elle était passée durant tout ce temps. Elle a dû se faire prendre par les deux autres esclaves achetés en même temps que le loup garou. Cette odeur l’excitait, il allait obéir à l’ordre donné par la vampire…Lucas agrippa le bassin de sa maîtresse, et appuya sa bouche sur le sexe qui lui était offert. Il avait cerné la psychologie de Melinda, la douceur l’amusait un temps mais ce qu’elle voulait c’était du sexe, du sexe brutal et bestial. Il lécha la culotte, dernier rempart entre lui et le pubis vampirique, appuyant assez fermement sa langue pour que les sensations passent le tissu. De temps en temps il roulait sa langue afin d’appuyer un point sensible spécifique. Chaque coup de langue excitait la nouvelle fille, chaque coups de langue lui donnait envie d’en faire plus, d'aller plus loin ce qui lui faisait accélérer instinctivement la cadence…

En quelques minutes à peine, la culotte était mouillée, une délicieuse cyprine la trempait mêlant ainsi son odeur à celle de la semence masculine. Lucas fit donc passer sa langue humide sous la culotte pour la soulever avant de laisser sa bouche se refermer piégeant ainsi le sous vêtement entre ses petites dents. Ensuite il la fit glisser le long des jambes de Melinda, jusqu’à descendre sa tête bien bas au sol pour lui faire passer les pieds. Il l’avait pour lui, la culotte de sa maîtresse, il sorti de sous la robe avec son trophée en bouche, il regarda les jumelles avec un grand sourire puis sa maîtresse avec une lueur de fierté dans les yeux. Puis, comme sujet à une pulsion il se précipita à nouveau sous la robe pour aller frénétiquement lécher l’intimité de la vampire.

Sa langue était experte, elle se baladait avec dextérité tantôt sur tantôt dans sa maîtresse. Il allait également irrégulièrement suçoter le clitoris de sa déesse, l’espace de quelques secondes, avant de reprendre son travail buccale sur le reste de l’entrejambe. Le tout afin de surprendre Melinda, il avait appris que ce genre de surprise plaisait tant par l’intensité des sensations que par le court temps qu’elle avait lieux. C’était assez excitant de se dire que l’on pouvait avoir une montée de plaisir en flèche à n’importe quel moment mais sans savoir quand.
Il espérait que cette initiative de sa part allait donner satisfaction...et non, il n'avait pas fait particulièrement attention à l'allusion qu'avait fait sa partenaire concernant son coté animal, il était bien trop passionné par se qu'il faisait, par l'odeur qui lui envahissait les narines et par le goût qui lui venait en bouche.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: jeudi 10 avril 2014, 11:48:42 »
La tempête semblait terminée, le calme était de retour. Douceur et tendresse avaient, pour quelques instants, le monopôle concernant la situation entre Lucas et sa maîtresse. Ce n’était pas pour déplaire au blondinet  qui appréciait énormément ce genre de moment tellement ces derniers étaient rares.  Il la sentait, il sentait la respiration de la princesse elle était sur lui, sa peau était très douce, le corps du jeune homme se calmait et les douleurs dues à son anus malmené disparaissent. Il aurait pu s’endormir dans telle position, hélas le moment de tendresse était terminé.

Cyriel reprenait son côté dominatrice et fit remarquer au blondinet qu’il ne s’était pas lavé avant  de la satisfaire…comme si on lui en avait laissé la possibilité. Mais le maître toujours raison, même quand il a tort. 
Lucas ne répondit pas, il se contenta de baisser la tête pour se regarder. C’est vrai, il n’était pas très propre, surtout ses pieds. Il se laissa pousser jusqu’à la porte, et surprise il marchait tout à fait normalement.
Lucas n’était pas malade et ne l’avait jamais été de sa vie, les avantages du sang de bête qui coulait dans ses veines mais ça, Cyriel ne le savait pas. Son serviteur Félice arriva très vite, il montait les marches rapidement cela s’entendait, une fois arrivé devant l’esclave il lui jeta un regard noir, il ne l’aimait pas, pas du tout même. Le ton de sa voix ne laissait aucun doute possible sur la question.  Lucas fut littéralement bousculé hors de la chambre et suivi le valet dans les couloirs.

Pendant le voyage Lucas continuait ses observations, les petits détails, les manques, les saletés, il les gardait en mémoire tout comme le chemin.  Ne pas se perdre était toujours utile…
-Mon dernier bain ? C’était lors la dernière pleine Lune… »

Ne sachant pas compter, il se repérait dans le temps comme il le pouvait : la lune, les événements important du calendrier, des faits exceptionnels célèbres…tout était bon pour garder une notion du temps à l’esprit. 
Finalement au bout d’une petite minute le duo arriva dans la salle de bain princière.  Elle était assez jolie, c’était indéniable: les carrelages étaient impeccables, Lucas avait même un peu de peine à les salir en marchant dessus. Il y régnait un silence quasi religieux, la pièce était très bien équipée. Le valet  ferma la porte et ; dans sa grande gentillesse, permit à l’esclave de pouvoir observer de plus près le carrelage en jetant le blondinet au milieu de la pièce en lui lançant une réplique pleine d’amertume. Lucas atterrit sur le sol dur en laissant s’échapper un petit cri de douleur, il se redressa tête baissée :
-Ma place est auprès de mon maître monsieur. Je dois la servir quel que soient ses ordres…

Puis il se releva, tournant le dos à Felice pour regarder de plus près la baignoire, pièce maîtresse de cette salle, durant son observation il ajouta :
-Donc tant que sa majesté voudra que je reste je lui obéirais.

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Un loup garou qui se fait mordre les fesses ? Voilà une situation somme toute assez originale, mais ça ne le gênait pas trop car la douleur était assez raisonnable et il savait que cela aiderait sa maîtresse. le garçon avait été pénétré abondamment par l’escroc mais ce dernier semblait avoir changé de cible pour se concentrer sur Maelie. Au début, quand il l’entendait crier, il se demandait ce qui était en train de se passer mais il était trop faible pour se retourner. Lucas était inquiet, qu’était-il en train de lui faire à sa maîtresse adorée ? Il avait bien une idée mais préférait ne pas avoir confirmation, il détestait la sodomie, c’est douloureux et trop peu agréable pour le faible plaisir retiré. Mais quand on lui ordonne il n’a pas le choix et doit se laisser faire…

Au bout de quelques instants cependant, il cessa d’y penser en sentant quelque chose entrer en lui, sa maîtresse, ses doigts longs et fin mettaient son corps en feu. Il sentait son intimité stimulée avec plus ou moins de douceur, mais malgré cela, il aimait. Il savait que c’était Maelie qui lui faisait du bien, elle et non l’autre qui le touchait. Il se relâcha totalement, chaque muscles de son corps se détendit, il écarta même les jambes encore plus afin de laisser la voie libre à la succube s’offrant complètement à elle.. Ses gémissements étaient forts, bien plus fort que ceux provoqués par la verge imposante du médecin quelques instants plus tôt.

-Maî…maîtresse, maîtresse !!! C’est…c’est…aaaaaah

Il ne pouvait pas finir sa phrase, les sensations étaient trop fortes, trop bonnes. Tout s’amplifia quand elle vint stimuler son clitoris avec son pouce et quand son troisième doigt se joint à la fête. Il sentait sa jouissance venir, et s’y abandonna complètement. Son corps fut secoué de spasmes de plaisir, il cria pendant son orgasme, il cria sa soumission et son affection dans un seul mot :

-Maîtreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesse !!!!

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Lucas, en entendant les indications de la vampire, corrigea immédiatement le traitement qu'il offrait aux pieds de cette dernière. Sa main gauche stoppa donc les caresses et alla avec la droite pour soutenir plus efficacement le membre cible de tant d'attention. Il fit en sorte que sa bouche soit la seule et l'unique partie de son corps investie dans son travail. Il alla passer sa langue entre les orteils de Melinda, ils étaient froids, puis Lucas les suçota comme s'il s'agissait d'une sucette. C'est à ce moment là qu'il pu entendre les jumelles se joindre à l'action, chacune prenant un rôle spécifique. Le loup garou écouta attentivement les soupirs, il ressentait les frissons que ressentait sa déesse.

Il s'impliquait, s'appliquait énormément à se montrer soumis, à satisfaire l'envie de domination de la vampire. Il aimait entendre sa maîtresse gémir de satisfaction, il aimait être comme ça, il se sentait  à sa place. Il fallait qu'il fasse bonne impression pour sa première séance de travail et il comptait bien donner totale satisfaction à Melinda...

-Remonte, Lucie... File ta langue le long de ma jambe, vas-y... Continuez, mes belles... 

Aussitôt dit aussitôt fait, Lucas délaissa lentement le pieds de la vampire pour commencer à remonter à la cheville puis finalement laisser sa langue experte remonter délicatement le long de la jambe de sa maîtresse. Pendant la remontée lente et délicate, son petit muscle rose humide ondulait sensuellement sur la peau pâle qu'on lui ordonnait de cajoler, laissant la partie où elle passait humidifiée par sa salive. Pour bien faire son travail, il passa sous l'imposante robe qui couvrait les douces jambes, ne laissant visible depuis l’extérieur qu'un bout de fesse et des pieds. Il faisait bien chaud ici et il y avait une odeur indescriptible, mélange de parfums et de corps transpirant...Le reste était camouflé, la bouche et la langue collées au corps de Mélinda. Et il allait continuer sa lente montée jusqu'à ce qu'on lui dise d’arrêter, ou alors jusqu'à atteindre l'entrejambe de sa maîtresse...

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: vendredi 28 mars 2014, 18:52:35 »
Ainsi donc il serait une fille dans ce harem, si Mélinda l'avait décidé, Lucas suivrait son ordre et, dorénavant, se considérera comme une femme. Il lui faudra bien sûr un temps d'adaptation mais cela ne serait l'histoire que de quelques jours, il avait déjà souvent changé de sexe alors une fois de plus ou une fois de moins cela n'était pas important. Il allait assimiler son nouveau prénom assez vite, ses maîtres n'aimaient parfois pas le nom "Lucas" et préféraient en changer, en conséquence l'esclave s'était habitué à vite s'approprier une nouvelle identité. Et puis, Lucie n'était pas si éloigné de Lucas, cela faciliterait les choses...

Le moment du baiser fut intense, intense et excitant. Sa maîtresse était visiblement expérimentée dans cet art. La sentir ainsi faire descendre sa main le long de son dos jusqu'à  palper ses fesses, c'était agréable, un frisson le parcouru de toutes parts durant ces quelques secondes, un frisson de plaisir et...d'autre chose qu'il n'arrivait pas à identifier il se sentait totalement soumis à sa maîtresse. Il était bien sûr soumis en temps normal mais cette fois ci, c'était plus fort, comme si sa soumission venait de son sang. Il en aurait bien voulu plus, il voulait que sa maîtresse continue à l'embrasser et à le toucher ainsi. Mais elle stoppa l'embrassade (au grand regret de Lucas) puis alla s’asseoir.    

Melinda confirma les dires de Cassandra en lui disant qu'il vivra dans le dortoir commun et qu'il faudrait établir ses affinités. Il n’eut pas le temps d'y réfléchir car la suite de la phrase captais son attention...
 tu vas me montrer ta dévotion... Maintenant que ta langue est toute propre, tu vas t’en servir pour me lécher les pieds.

Un ordre, lui était donné et il n'avait qu'une envie : lui obéir. Que lui arrivait-il ? Son obéissance était étrange, comme si son corps, son sang tout entier lui criait de la servir. Il ne se fit pas attendre, il avança vers sa maîtresse qui avait un sourire sur les lèvres puis, une fois à un mètre d'elle, il se laissa tomber sur les genoux et termina le chemin à quatre pattes en prenant soin de ne pas abîmer la robe. Il était aux pieds de Mélinda, en totale posture de soumission. Il laissa ses doigt glisser sur sa jambe, en descendant vers la chaussure de la vampire. Il avait déjà eu affaire à des fétichistes et bien sûr il avait assimilé les méthodes pour réussir ce genre de chose... Il laissa sa langue se balader sur la cheville avant d'aller sur la partie haute du pieds qui n'était pas couverte pas la chaussure. Pendant ce temps sa main gauche enleva délicatement le soulier de sa maîtresse laissant apparaître un pied bien entretenu, un beau pied.
Il se mit sur le coté, sa main droite tenait le membre par le talon tandis que Lucas … ou plutôt Lucie, obéissait à l'ordre que lui avait donner Melinda et laissa sa langue experte travailler. Sa main gauche caressait délicatement les endroits où n'étaient pas sa langue pour qu'un maximum de zone soient satisfaites. Il arrivait à rendre ses caresses assez fines pour être excitantes et agréable mais pas au point de virer aux chatouilles. Son expérience d'esclave sexuel allait encore une fois s'illustrer...

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Lucas avait suffisamment d’expérience pour sentir une jouissance proche, et là tous ses sens lui criaient que sa maîtresse allait craquer…Mais soudain il senti les mains de cette dernière lui agripper les joues et l’éloigner de son intimité dégoulinante. Que lui arrivait-il ? Lucas avait il fait quelque chose qui lui avait déplu ? Son questionnement fut interrompu par les paroles de la succube. Elle perdait connaissance lors d’un orgasme ? Était-ce vrai ? Pourquoi pas après tout, le jeune loup garou avec déjà vu des choses plus bizarres dans ce monde…En parlant de bizarre, l’attitude de sa maîtresse le déstabilisa un peu, elle semblait aimer ça, elle semblait apprécier la situation et en redemandait alors qu’un évanouissement aurait pu lui épargner bien des mauvais traitements…Elle allait jusqu’à le supplier et se mettre au-dessus de Lucas. Le blondinet, assujetti au mimétisme avec les maîtres qu’il appréciait, commença donc à aussi se complaire dans cette posture soumise…

Malgré les supplications de Maelie, c’est Lucas qui fut choisi par le charlatan comme premier réceptacle pour sa virilité. Lors de son entrée l’adolescent ne put retenir un gémissement de plaisir, qui fut suivit par ses copains quand le mage enchaîna les allers retours en lui. Ainsi il ne pouvait pas voir ce qui se passait allongé comme il l’était, il ne pouvait que sentir, que subir, il n’était qu’une chose comme il l’avait toujours été. Cependant, il n’avait pas le coté soumis dans ses gènes, il n’était pas une succube. L’homme le dégouttait même si la situation en elle-même ne lui déplaisait pas vraiment. Oui il était paradoxale dans sa pensée, pour lui la situation n’était plus catastrophique car sa maîtresse aimait ce qui se passait, mais l’homme le dégouttait toujours, il lui en voulait  d’avoir fait du mal à Maelie. Le blondinet profita du fait qu’il ne voyait rien pour penser à elle pendant la pénétration. Il imaginait que c’était elle qui lui faisait du bien, elle qui le pénétrait sauvagement. Il sentait les gouttes de cyprines tomber depuis l’intimité de la succube jusqu’à ses fesses, c’était chaud, c’était excitant.

Peut-être qu’à partir de maintenant, elle accepterait qu’il lui fasse du bien…enfin, s’ils  sortaient vivant de cette scène absolument improbable.  Il avait envie de crier, de crier le nom de sa maîtresse mais il ne voulait pas donner une raison à leur ravisseur de se plaindre…En conséquence il ne disait rien, il se contentait de gémir, d’apprécier en se mordant la lèvre inférieure.

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Dictature d'Ashnard / Re : Un toutou bien obéissant [PV Melinda warren]
« le: mercredi 26 mars 2014, 09:53:30 »
Voir les deux lapines à genoux devant lui pour lui mettre des collants, cette situation lui plaisait, un léger frisson lui parcouru l'échine en sentant le tissus parcourir sa peau. Ils les regardaient, surtout la dénommée Cassandra, un peu rouge ne pouvant réagir face à cette posture excitante… Une fois le travail terminé, il se leva, oui c’était mieux avec des collants, ses pieds subissaient nettement moins le frottement des bottes. C’était bien plus agréable ainsi. Plairait-il à Melinda? Il l’espérait vraiment, après tout son rôle était de lui donner satisfaction. Soudain, un odeur lui parvint aux narines, une odeur qu’il connaissait…Il leva les yeux et pu voir que la vampire était devant lui, instinctivement, il se tint droit mais avec un léger changement par rapport à ses habitudes…

Oui car en temps normal Lucas baissait tête et regard pour marquer sa servitude, le tout sans sourire aucun. Cependant, cette fois si, il souriait, il s’offrait entièrement à la vue de sa maîtresse, toujours regard baissé car il n’avait pas le culot de la regarder dans les yeux. Et puis, elle l’intriguait toujours, son instinct lui criait encore qu’elle n’était pas normale, que quelque chose clochait chez elle. Lucas avait eu des informations qui excluaient que cela concerne la façon dont il serait traité….Mais alors quoi ? Pourquoi la bête qui était en lui lui en disait de se méfier avec tant d’insistance ? Il mit cette voix interne de côté pour écouter Melinda parler. Apparemment il lui plaisait. Il sourit un peu plus à cette idée…

-Non maîtresse, Cassandra et Sarah ont répondus à toutes les questions que je me posais. J'ai hâte de vous servir. " dit il avec un plaisir non feint qui apparaissait dans ses yeux.

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Le début du rapport avait été plutôt tourmenté, Maelie semblait ne pas vouloir laisser le blondinet lui faire plaisir, elle était comme dégoutée…Mais ensuite, quelque chose changea en elle. Elle se laissait faire, elle laissait la langue de Lucas lui faire du bien. Quand elle agrippa la tête de son esclave pour le regarder droit dans les yeux avec un œil protecteur, Lucas sentit son cœur fondre. Pour la première fois de sa vie on le regardait comme ça, pour la première fois de sa vie il avait l’impression…d’avoir une maman. A partir de ce moment-là, plus rien n’existait autour de lui, rien ni personne à part sa maîtresse, l’entendre dire qu’elle était fière de son travail buccale l’incita à encore plus donner de sa personne pour la faire jouir. S’il avait pu, il lui aurait sauté dessus pour aller l’embrasser, un baiser langoureux, voilà ce qu’ill aurait voulu. Il la regarda dans les yeux, une larme coulait sur sa joue…mais ce n’était pas une larme de douleur ou de tristesse non, c’était, malgré la situation,  une larme de joie. Parfois c’était dans les pires situations que l’on trouvait le bonheur…

-Maîtresse… dit-il d’une petite voix, un sourire au coin des lèvres…

Il redoubla d’effort, se remettant à la tâche qui était la sienne. Il bougea ses mains pour les mettre derrières les cuisses de Maelie et se hisser encore plus près d’elle, il voulait qu’elle jouisse, il voulait qu’elle soit fière de lui…et il voulait survivre aussi, ça serait pas mal non plus. Malgré la fatigue, il intensifia les coups de langues, il stimula plus souvent le clitoris de sa maîtresse puis, la sentant au bord de la jouissance, il enfonça sa langue aussi loin qu’il le pouvait en elle. Il alla lécher les parois intime de la succube à un rythme effréné. Le goût de la cyprine lui envahissait la bouche, la chaleur de son corps se concentrait dans  son antre à plaisir. C’était excitant, Lucas aussi commençait à devenir humide, voir sa maîtresse dans un tel état ne pouvait pas le laisser de marbre. Mais il laissait son envie de côté, il donnait tout ce qu’il pouvait malgré son état pour faire du bien à sa maîtresse…

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Lucas était content d'apprendre qu'il pourrait tutoyer les autres esclaves, ça le rassurait un peu plus. Il avait déjà servi des demeures où les autres esclaves exigeaient d'être vouvoyés par le loup garou, certains d'entre eux étaient parfois plus méchant avec lui que ne l'étaient les maîtres. Apparemment ici  cela se passerait bien, décidément quel superbe endroit pour Lucas ! Il avait hâte de visiter le reste du harem et surtout de rencontrer à nouveau sa maîtresse, d’ailleurs où était elle ? Elle s'était éclipsée depuis un moment. Est-ce qu'elle voudrait goûter à Lucas ? Est-ce qu'elle allait être satisfaite par ses services ? Le blondinet fut tiré de ses pensées par le retour de Sarah qui transportait un coffre semblant lourd.

Il regarda les habits que la lapine tira de la malle, des vêtements de femmes. Ils étaient vraiment jolis, sans comparaison possible avec ce que Lucas avait l'habitude de porter. Il n'était habitué qu'aux haillons, aux pantalons troués et déjà usés par plusieurs esclave avant lui (quand il avait de la chance). Parfois on lui donnait des robes, mais c'était pour la réalisation d'un fantasme, jamais pour l'habiller quotidiennement. Il tâta tout les vêtements qu'il aurait à porter, en commençant par les gants en latex. Drôle de chose que cela, il n'avait jamais vraiment compris pourquoi certaines personnes étaient excitées en portant ce genre de tissus, peut être pour le coté moulant ? Ensuite il alla regarder la culotte noire en dentelle. De la lingerie, jamais on le lui en avait fait porter, ses maîtres disaient : « à quoi bon ? De toute façon tu ne restera pas habillé très longtemps. » C'était joli à voir,  doux au toucher et léger. Il se pencha, leva une première jambe, puis la seconde afin de faire passer ses pieds dans les ouvertures prévues à cet effet...Avant de s’apercevoir qu'il l'avait mise à l’envers. Il l'enleva, la retourna et réitéra l'opération pour, au final, réussir à la mettre correctement.

Puis son regard se porta sur la jolie robe courte et noire qu'on lui donnait. Elle semblait légère à porter, idéale pour travailler sans trop de gène. Ce vêtement était préparé pour des personnes sans poitrine, cela se voyait, il n'y avait pas l'espace ordinairement présent pour ça, la robe se serrait contre son torse. Enfin il s'empara des gants et des bottes qu'il enfila sans trop de difficulté cette fois ci. Il avait totalement oublié les collants tombés sous la table mais il ne s'en aperçu pas sur le coup...

Le blondinet était à présent totalement habillé. Avant en le voyant on disait que c'était un garçon avec des traits de fille, mais là il ressemblait à une fille avec des traits de garçons.  La mèche rose qui fendait sa chevelure ne faisait qu'accentuer cette idée, elle passait pour une couleur faite exprès, par coquetterie alors que c'était vraiment la couleur du cheveu qui poussait. Il marcha un peu dans la cuisine pour se faire à sa nouvelle tenue, puis il fit deux tours sur lui même pour se faire soulever sa robe tout en se regardant. Ça lui plaisait, il souriait et rigolait aussi. Le loup garou se tourna vers les jumelles :

-Alors ? Suis-je beau ainsi ? '' demanda t-il d'une voix enjouée. Il se donna un air séduisant et charmeur en posant la question. Il regardait les filles dans les yeux, croisant ses yeux émeraude aux leurs. 

Il allait être déstabilisant pour la plupart des personnes du harem de l'entendre parler de lui au masculin, surtout habillé comme ça. Mais, jusqu'à décision contraire d'un maître, il se considérait garçon. Il n'avait jamais eu les cheveux long de toute sa vie, en général on les lui coupaient pour qu'il travail plus efficacement. Mais si cela pouvait servir Melinda, alors il se les laisseraient pousser avec plaisir, cela serait une nouvelle expérience pour lui après tout. 

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Lucas était habitué aux sévices physiques, il en avait subi à de nombreuses reprise durant des années, il pouvait supporter la souffrance du corps à des proportions très impressionnantes. Sa résistance mentale elle aussi était forte, même si dans son esprit, pendant toute sa vie, il n'était qu'un minable, un objet sans droit ni liberté. Cette situation hors de contrôle, cette scène sans nom lui faisait du mal au plus profond de son âme malgré cela. Des images lui revinrent en tête, le souvenir de ses pires maîtres, ceux qui le torturaient par plaisir, qui le détruisait mentalement avant de se servir de lui comme d’un vulgaire kleenex dans lequel se soulager. Cet escroc était facilement dans le top 10 des pires personnes que Lucas avait rencontrées…

Maelie était à terre, aussi faible que le loup garou, elle se masturbait avec difficulté et sans réel résultat. Il serrait les poings avec le peu de force qu’il avait encore, il les serraient de haine et de désespoir et d'impuissance. Sa maîtresse était là, en danger, entrain d’obéir aux envies d’un psychopathe pour le sauver alors que lui ne pouvait rien changer à la situation. Il se sentait encore plus misérable que d’habitude, il n’avait qu’une envie : sauter dans les bras de Maelie pour la serrer fort contre lui. Mais il était sur le lit, tentant plusieurs fois de se transformer mais à chaque fois la tentative se solda par un échec.

Leur ravisseur eut une nouvelle idée, il transporta Lucas jusqu’à Maelie. Il était léger pour ses 15 ans, cela ne dût pas être très difficile de le soulever. L’esclave était désormais face à l’intimité de sa maîtresse, elle ne mouillait pas et au vue de la situation cela n’avait rien d’étonnant. Il la regardait dans les yeux son regard était plein de peine, soudain il sentit quelque chose entrer en lui. Sur le coup  il se dressa et eu un gémissement de douleur qui réclamait à sortir de sa bouche, cependant-il pu le faire taire. Sur son visage on pouvait lire qu’il avait mal, mais il utilisait le peu de résistance psychique qui lui restait pour ne pas le faire paraître. Il ne voulait pas montrer à Maelie qu’il souffrait même si l’expression qu’il avait eu sur son visage l’espace d’un instant ne laissait pas le doute planer à ce sujet.
 
-J’aurais…préféré faire cela en d’autres circonstances maîtresse… "

Puis, il se baissa au niveau de l’intimité tourmentée de la succube et fit ce qu’il savait faire de mieux dans la vie : satisfaire sexuellement.  Sa langue experte sut instinctivement trouver les zones les plus sensibles, les plus érogènes afin de les stimuler.  Elle bougeait habillement sur le sexe de Maelie, l’humidifiant grâce à la salive, cela ne pouvait que la soulager un peu. Après tout elle était encore assez peu humide, sentir son entrejambe mouillé lui ferait surement du bien pour atténuer les frottements répétés de ses doigts.  Heureusement que bouger une langue ne nécessitait pas beaucoup de forces. L’immense expérience de Lucas en la matière allait encore une fois lui être utile…

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