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« le: mercredi 07 octobre 2009, 23:48:36 »
Trois anges pour moi, je devrais réussir en m’en sortir : T’elle fut ma penser qu’en nos adversaires ce divisèrent en deux groupes égaux, Le premier de mon groupe devait être un ami proche de celui que j’avais tué, car il me chargea sans retenue, une simple roulade sur le coter me permis de l’esquiver, lui tranchent au passage les jambes. Et un adversaire de moins.
Les deux autres s’avéraient plus prudent m’approchant lentement, cherchant surement une brèche dans ma posture de défense. Je mis a profit ces instant pour regarder mon allier : il avait déjà éliminé un de ces adversaires et en tua un second d’un mouvement si rapide que je le distinguai à peine. Ben aux moins il sait ce battre et même mieux que moi.
Reportant mon regards sur mes adversaires, je les vis prendre appuis sur leurs jambes, leurs deux mains posaient sur leurs épées, je déduisis de leurs postures qu’ils avaient opté tout les deux pour une attaque brutale, meilleur moyen pour briser une garde.
Ma déduction fut juste, ils m’attaquèrent avec des mouvements puissants, cependant les ténèbres m’avaient rendue forte et rapide, je nue pas donc de mal à repousser leurs assaut. Le problème des attaques puissantes, c’est que certes, elle permette souvent de briser la garde d’un adversaire, mais si ce dit adversaire et plus résistant que prévue, elle vous épuise vite, vous donnant une faiblesse fasse à l’ennemi.
Ce problème me permis d’éliminer rapidement un de mes deux opposants, après avoir donc repoussé leurs premiers assaut je mis à profit l’épuisement de l’un pour l’attaquer, mon bras se détendit au maximum, mon épée, prolongement pour cette attaque de mon bras passa sous sa garde et perça sa poitrine. Et un de moins, encore un et c’est finie.
Mon dernier adversaire, voyant que tout ces alliés étaient mort ou mourant, (il faut dire que mon camarade d’affrontement avais déjà éliminé ceux qui le menaçait.), voulu prendre la fuite, grossière erreur, prenant une dague sur le corps de ma dernière victime, je la lançais de toute mes forces dans le cou de mon rival, mon projectile fit mouche pile au moment où l’ange s’envolait. Enfin terminé.
Essuyant la lame de Elirya sur le corps d’un des vaincus, je me rapprochais des personnes que je venais d’aider, le guerrier berçait l’enfant alors qu’il été visiblement épuisait, il avait vomis et sembler prés à perdre conscience, il tenait pourtant toujours debout. Quelle volonté, il est exténuer mais continue de s’occuper de son bébé.
J’étais véritablement impressionner par cet homme, et pour la première fois depuis longtemps, j’eu du mal à trouver mes mots.
Sa va, vous allez tenir le coup : furent les paroles que je puis prononcer.