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Messages - Klaus

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Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: mardi 05 janvier 2021, 18:50:27 »
" Par là ! Rattrapez-le !"

Voilà tout ce qu'il entendait depuis plusieurs dizaines de minutes. Chaque foulée, chaque mètre et souffle passé, il en semait un, mais chaque nouveau mètre un autre réapparaissait pour le repérer. La liberté, un enseignement aussi vieux qu'il s'en souvenait, plus vieux que lui-même. La liberté de marcher où il veut, de manger ce qu'il veut, de se protéger, de voyager, ou plus simplement, de vivre. Voilà tout ce que le petit peuple ne cessait de lui refuser, encore et encore, à vouloir l'enchaîner, l'enfermer dans des huttes de pierre, des boites de métal.

Mais l'on n'enferme pas un Kroxigor si facilement, on ne dompte pas un Kroxigor et le seul moyen de lui retirer sa liberté et son envie de la garder et de lui oter la chose la plus importante pour qui que ce soit, la vie.

Klaus ne s'était toujours pas habitué aux villages du petit peuple, ils étaient grand, très grand, trop grand. Ils étaient tels des dédales, des ensorcellements, se ressemblant dans tous ses tournants, mettant à l'épreuve les sens et les talents du Kroxigor pour se guider a travers tout ceci. Il cherchait une odeur, la gueule pointé vers le ciel, happant les courants d'air, les ruelles, les fumées. A ces yeux, ils étaient trop nombreux pour les semer dans cet endroit, il lui fallait une porte de salut, mais une porte de salut que seul lui pouvait emprunter, un don de la Déesse fait à tous ses enfants, un point d'eau.

Une rivière, un cours d'eau, un canal, un fleuve ou même un lac menant à des grottes souterraines, tout lui ferait l'affaire, car comme cela, il serait bien plus rapide qu'eux et surtout, il pourrait se dissimuler bien plus facilement. Et Ankhti soit loué, Il senti enfin un vent favorable. Cette odeur de fraîcheur, de douceur, de légèreté, cette odeur si caractéristique d'un cours d'eau. Il n'en fallut pas plus pour lui mettre du baume au cœur, engageant un grand quart de tour, son poids et sa rapidité, il manqua de se cogner contre le mur d'une habitation. Encore quelques mètres à travers de ses huttes de pierre et il serait libre.

Mais les chemins qui mènent à la liberté ne sont jamais faciles, et cela, Klaus put le voir encore. Beaucoup de petites personnes couvertes de métal se trouvaient là, l'attendant, l'encerclant même, accompagné de ceux qu'il commençait à détester, des sorciers, des cracheur de magie. Le corps courbé vers l'avant, les bras ouverts, contractés, sa queue d'écaille frottant avec lenteur et force le sol. Son regard se posait sur eux, sa respiration lourde et puissante d'avoir autant couru, de râles rauque, roulant lourdement dans sa gueule, signe de fatigue et de rage, se faisait entendre sur cette place.

Derrière eux se trouvait son seul espoir, une rivière qui traversait la ville. Il savait que cela allait être dangereux, il pouvait sentir leur peur, mais aussi leur détermination, il savait qu'il ne le laisserait pas s'enfuir, mais lui en avait tout autant, si ce n'est plus. La bête prit alors une grande inspiration, se grandissant à vue d'œil, ce qui ne manqua pas de faire réagir ses adversaires et tortionnaires.

Mais, au lieu de simplement foncer, tenter un lourd assaut frontal, il jugea bon de faire cela autrement. Sa queue vint se tourner sur le sol, couvert de poussières et de sable, créant un cercle d'écaille autour de lui. Puis, son corps se courba sur lui-même, gardant son regard sur ses ennemies dans un silence pesant.

" Attra ... "


Tenta de dire l'un des chefs du petit peuple, mais, à ce moment précis, Klaus venait de relâcher toute la tension de son corps, tout ses muscles, tournant sur lui même dans un grand coup d'une violence et d'une rapidité prodigieuse. Ils étaient beaucoup trop loin pour qu'il ne l'est toucher de son corps, mais, cela n'était pas son but. À la place, son geste avait fait ce qu'il souhaitait, balayer le sol de son extrémité écailleuse, projetant et faisant voler sable, poussières et gravier autour de lui, venant aveugler ses ennemies.

C'était le moment pour lui ! Sans perdre une précieuse seconde, il fonça droit vers sa sortie, mais, au lieu d'impacter une simple petite personne couverte de métal, il lança un revers de son bras pour envoyer voler un cracheur de magie et sûrement le tuer. Il prit ensuite une grande impulsion et, se jeta corps et âme dans cette riviere, qui malgré sa corpulence et la force de son entrée, n'éclaboussa que tres peu.

Klaus Claque de la mâchoire une fois sous l'eau, content et soulagé d'avoir réussit cela, mais ne s'arrêta pas pour autant, nageant au plus vite pour fuir ce village, restant au plus profond des eaux possible. La riviere avait un certain courant, ce qui ne le dérangeait pas le moins du monde, se laissant aider par celle-ci pour nager, économisant ses forces déjà bien entamé. C'est ainsi qu'il se retrouva à passer dans des passages soutterains, nageant sous la ville, loin du danger qu'elle lui donnait. Relâchant sa garde, il ne réagit pas tout de suite à la sensation que son museau lui envoyait, une sensation étrange, presque désagréable. L'eau lui semblait chargée de quelque chose d'étrange, d'inconnue et, au dernier moment, caché dans la couleur saumâtre de l'eau, aperçut de drôle de pierre gravé illuminé.

Une nouvelle sensation désagréable, voir douloureuse vint frapper ses récepteurs, le faisant se tenir la gueule en fermant les yeux, quelques instants. Mais quand il rouvrit les yeux, rien ne s'était passé à ses yeux, ou presque.

L'eau avait changé de couleur, passant d'un brun clair à un bleu verdâtre, mais là n'était pas le changement le plus important à ses yeux. Le plus important et le plus mauvais a ses yeux était surtout le changement de température radicale de l'eau, maintenant beaucoup trop froide à son goût. Il fallait se dépêcher, sortir de là pour ne pas faire d'hypothermie et Klaus redoubla donc d'effort, nageant pour trouver la lumière de la surface.

Y arrivant enfin, il se retint de sortir rapidement de l'eau, car, peut-être que les petites personnes l'attendaient de l'autre coté. Il restait donc quelques seconde sous la surface pour examiner celle-ci, puis sorti son museau et ses yeux, les laissant apparaître à la fleur de l'eau. Là, Klaus ne fut que stupéfait, coupé de tout mot. L'endroit n'était plus du tout le même, le temps, la nature. Du désert, il était passé dans ce qui lui semblait être une forêt. Il n'en avait vu qu'une fois dans sa vie, mais il s'en souvenait très bien, bien que celle-ci, contrairement à celle de sa mémoire, n'avait pas de feuille. Était-elle morte se demanda t-il ?

Mais à part cela, il ne voyait personne à l'horizon et, ne pouvait prendre plus de précaution. Son énergie l'abandonnait petit à petit au fil du temps passé dans cette eau glaciale et s'il ne voulait pas se retrouvait dans un sommeil éternel, il lui fallait sortir de la. Sa surprise ne fut que plus complète. Où était-il ? Qu'elle était cet endroit si froid, si diffèrent ? Les lieux étaient tous sauf connus du Kroxigor et son regard faisant donc la girouette, de droite à gauche, de haut en bas, cherchant un repère, un indice, quelque chose de familier.


Un bâtiment avait l'air de se trouver non loin de là, il n'avait pas envie de s'y diriger, mais, le froid et la fatigue se jouaient de lui, il lui fallait se réchauffer, sentant le sommeil peser de plus en plus sur lui. Marchant d'un pas lourd, il ne faisait plus attention à ce qui l'entourait, il lui fallait seulement se mettre au chaud, se mettre à l'abri de ce froid. Son cœur ralentissait de plus en plus tandis que sa respiration suivait, se battant pour tenir.

Après un effort interminable, ses pas le faisait enfin traverser l'entrée du bâtiment, sa vue commençant doucement à sombrer dans les ténèbres, mais continuant de marcher, cherchant un refuge dans ces lieux. C'est alors que, sous les dernières images qui lui offrait sa vue, il put voir une personne, accroupit devant lui, sa vision flouté par le sommeil, il ne vit d'elle que la couleur de ses cheveux et ses vêtements. Avait-il trouvait le repos éternel ? Était-elle venu lui offrir sa liberté ? Etait-il arrivé dans le royaume de la Déesse-mère ?

Sur ses pensées, il s'écroula au sol devant elle, sa gueule à une trentaine de centimètres de cette personne qui dans un dernier souffle avant de s'endormir laissa s'échapper un nom.

" Ankhti ...."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: lundi 04 janvier 2021, 22:13:20 »
Alors qu'il offrait à manger à la petite prêtresse, une petite personne apparut de la hutte de pierre, derrière la table couverte de nourriture. Klaus tourna son regard vers lui, se demandant ce qu'il voulait. Grognant un peu, méfiant, il se tourna complètement, torse vers lui en baissant la tête à son niveau pour le sentir.

Il sentait la peur, la crasse et l'urine. Rien chez lui ne sentait le chasseur ou la personne capable d'avoir autant de gibier chez lui. Que faisait-il là ?

Mais alors qu'il traînait dans la poussière de peur, Klaus put voir Alecto marcher vers lui pour l'aider à se relever. Quelque chose ne lui plaisait pas chez cette petite personne au crâne brillant, son odeur ne lui donnait pas confiance en lui. Une fois relevé et parlant à la petite prêtresse, Klaus ne comprenait pas ce qu'ils se disaient, mais la vit prendre de l'or de ses tissus et le donner à cet homme.


Cela surpris énormément le Kroxigor, qu'avait-il fait pour mériter de l'or ? Qu'avait-il fait pour mériter une bénédiction de la petite prêtresse ? Sa tête se relevait à cet instant, se penchant en même temps sur le côté, soulevant l'auvent qui surplombait l'étale de sa taille. Il y avait beaucoup trop de choses qu'il ne comprenait pas à son goût.


Mais là, il n'avait pas le temps de réfléchir, le comportement du petit personnage au crâne luisant avait changé depuis cette offrande et paraissait beaucoup trop agressif envers Alecto. Klaus se rabaissa alors sur ses appuis, laissant un roulement guttural d'avertissement se faire entendre en commençant à ouvrir la gueule, prêt à arrêter toute tentative de faire quoi que ce soit à sa protégée.

"Hoshtoli !" *

Dit-il d'un voix rauque, agressive et lente, le braquant du regard, sa phrase, meme si elle n'était pas forcement comprise était facile à cerner comme une insulte ou un avertissement.

Il senti ensuite quelque chose toucher sa jambe, délicatement, doucement, mais avec une petite insistance, il tourna le regard et put voir que c'était elle et qu'elle l'invitait à la suivre. Il ne refusa pas sa demande, se mettant à reculer, son morceau de viande en main gardant un oeil sur le danger pendant un instant avant de se retourner pour suivre convenablement la petite prêtresse.

Marchant à son rythme, très lent pour lui, son estomac se mit à gronder quelque peu lui aussi. Il est vrai que cela faisait quand même quelques lune qu'il n'avait pas été nourris convenablement et l'odeur ainsi que la vue de la viande lui ouvrait l'appétit. C'est ainsi qu'il marcha encore quelques minutes, puis put voir la petite prêtresse s'asseoir sur un objet en bois avant de poser la viande au sol. Il se demanda ce qu'ils allaient faire maintenant.

C'est alors qu'il l'entendit lui dire de manger dans sa langue, pointant du doigt les oiseaux se trouvant au sol. Il cligna plusieurs fois des yeux d'interrogation, la regardant fixement en penchant la tête, une fois à gauche, une fois à droite. Il n'était pas normal, ou en tout cas d'une rareté extrême pour qu'une prêtresse ou une Shaman d'Ankhti offre la première part et encore moins à un jeune adulte n'ayant comme preuve de son courage que son rite initiatique.

Avait-elle vu quelque chose en lui ? Est ce que la déesse mère lui avait parlé en bien de lui ? Beaucoup de questions pour Klaus, beaucoup trop, mais il n'avait toujours pas le temps de se les poser, car cela ne se faisait pas de refuser une offrande de la part d'une prêtresse, encore moins lorsque cela était de la nourriture, quelle que soit la quantité.

Klaus s'agenouilla donc devant elle, baissant la tête, le museau en direction du sol avant de dire avec sincérité.

" Tank Iko Ank, Tanka Ankhti." **

Après ses mots, il vint poser la plus belle part, celle qu'il avait gardé dans ses mains, sur les genoux de la petite prêtresse. Elle lui avait offert de commencer le repas et de choisir ses morceaux, il avait donc choisi de prendre les oiseaux et de lui laisser la meilleure part, voulant être sure qu'elle mange bien et qu'elle garde des forces pour plusieurs jours.

Après cela, il attrapa d'une main l'un des coquelets, puis relevant la gueule vers le ciel en l'ouvrant en grand, le fit tomber dedans, l'avalant d'un coup, sans le mâcher une seul fois. La taille de l'oiseau comparé à sa bouche était la même que celle d'un humain mangeant une saucisse cocktail. Il répéta le geste en mangeant la deuxième pintade avec la même rapidité, puis claqua de la mâchoire. Elle n'était pas mauvaise, loin de là, mais n'était pas très grosse à son goût.

" Tanka." ***

Dit-il à nouveau en faisant un mouvement de tête de bas en haut, avant de voir qu'elle n'avait toujours pas touché à sa viande. Il pencha la tête sur le côté, surpris qu'elle est attendu pour manger, se disant que, peut être souhaitait-elle qu'il ait fini de son côté pour cela.

" Agrak, Iko ank agrak. Hosh Hesha Agrak. " ****

* " mauvaise personne "

** " Merci petite pretresse, merci Ankhti."

***" Merci "

****" Mange petite pretresse, mange. Mauvais pas manger."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 23:41:36 »
Klaus partait à son allure habituel de lorsqu'il était en chasse, son instinct puissant le guidant dans ses déplacements, sa gueule s'agitant de gauche à droite dans la ruelle pour suivre l'odeur qu'il avait senti, l'odeur du repas, l'odeur de la viande.

Il pouvait entendre la petite prêtresse marcher derrière elle, la voyant se mettre à marcher à toute vitesse pour rester à ses côtés. Il ne put s'empêcher de rire en ultrason en la voyant ainsi avant de parler à nouveau.

" Iko iko Ank."
*
Puis il se remit plus sérieusement dans sa recherche. Sans vraiment réfléchir, il passait d'une ruelle à une autre, tournant presque au dernier moment ou alors faisant une pause pour retrouver la piste qu'il suivait. Quelques dizaines de minutes à errer dans la ville et, Klaus se mit à accélérer, courant presque en sentant l'odeur à porté de croc. C'est au détour d'une rue que, il trouva enfin ce qu'il cherchait, de la viande. Il tourna le regard pour voir ou était la petite prêtresse et, l'attendit bien visible qu'elle arrive jusqu'à lui.

Il leva alors son bras pour montrer de son index une étale de boucher, fourni en viande plus ou moins fraîche, de par l'endroit où se trouvait la boucherie dans cette ville. Mais Klaus s'en fichait, pour lui, une viande était une viande, quel que soit son état. Il faillit se jeter sur ce buffet, ouvrant grand la gueule en levant les bras, mais s'arrêta net en se rappelant quelque chose.

Il était avec une petite prêtresse, et donc c'était elle qui avait la priorité sur tout ce repas. La regardant, il lui parla à nouveau.

" Kosh Agrak Iko Ank." **

Après ses mots, il regarda l'étale, puis, saisit de ses mains le morceau qui lui paraissait le meilleur, celui qui sentait meilleur que les autres, mais aussi le plus tendre et avec le moins d'os ayant très bien vu que la mâchoire et les dents de la petite prêtresse ne lui paraissait pas très puissante. Il tendit ensuite le morceau de viande cru au creux de ses deux mains, tel un geste solennel et le présenta à Alecto. Elle avait le privilège de manger le meilleur ainsi qu'autant qu'elle le voulait, lui, étant un Kroxigor n'ayant passé le rite qu'il y a quelques dizaines de lunes, il devait attendre avec patience et se contenter des reste, geste et place qu'il honorerait.

* " Petite petite prêtresse."

** " Bon mangé, petite prêtresse."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 21:49:18 »
Klaus fut ravi de voir que la petite prêtresse allait bien, la voyant se réveiller, même si elle avait toujours visiblement toujours peur de lui. Il ne lui en voulait pas, car si la Déesse avait choisi qu'il soit comme cela, c'était pour une bonne raison, pour pouvoir protéger le fleuve sacré, pour pouvoir protéger le peuple d'écaille et cela le remplissait de fierté de l'être.

Il claqua la mâchoire de contentement en la voyant en bonne santé, la regardant trébucher tel un nouveau-né, elle se mit ensuite en boule, faisant de drôle de mouvement et chuchotant des mots.

Il ne comprenait pas ce qu'elle faisait, sa tête se penchant sur le côté en réfléchissant, puis, trouva sa façon de faire assez similaire à celle de la shaman de sa tribu. Elle priait donc ?

Klaus se déplaça en comprenant cela et se mit à genoux, tourné vers la petite prêtresse, puis ferma les yeux. Une grande inspiration, lente et régulière s'en suivi, puis un léger chant guttural commença à se faire entendre, sortant d'entre ses mâchoires. C'était un chant spirituel, un chant s'adressant à la déesse mère, pour la remercier et pour la louer. Ce chant pouvait paraître étrangement doux sortant d'une telle créature.

Lorsqu'il eut fini, il releva sa tête en regardant Alecto, l'entendant s'adresser à lui. Il ne comprenait pas ce qu'elle lui disait, il avait l'impression d'entendre une négation, mais n'en était pas sure, puis, entendit un mot que là, il connaissait.

Se releva rapidement, il était ravis d'entendre la petite prêtresse parler la langue des écailles, claquant de la mâchoire à cet instant. Il est vrai qu'il avait faim et avait cru comprendre en ce mot, qu'elle devait elle aussi avoir faim. Mais il préféra l'assuré que c'était bien le mot manger qu'elle utilisait et se frotta donc le ventre en lui répondant.

"  Agrak ! Klak Agrak !"
*

Mais c'était bien facile à dire pour lui, car il ne savait pas du tout où pouvait se trouver de la nourriture par ici. Ce n'était qu'un défis de plus pour lui et il se mit à marcher sous cette conviction, s'accroupissant pour passer en dessous du tissus qui couvrait l'entrée de l'impasse. Son nez dans le sens de la ruelle, il se mit à renifler, cherchant à percer les odeurs putride qu'il sentait, cherchant une odeur de chair, une odeur de sang ou une odeur de cuisson. Quelques dizaines de seconde plus tard, il avait trouvé une odeur, pas très loin d'eux, qui devait convenir. Il n'était pas sure que cela soit suffisant pour lui, mais ce serait sûrement assez pour la petite prêtresse à coup sure.

Un demi-tour sur lui même et son regarde se posait de nouveau sur elle, faisant un geste de sa main avant d'ajouter.

" Ako Iko ank. Ako Agrak."
**

* " manger. Oui manger."

**  " Viens petite pretresse. Viens manger."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 18:37:49 »
La petite prêtresse avait une voix très aigus, beaucoup trop au goût de Klaus qui ferma un instant ses yeux en l'entendant crier. Il n'avait pas le temps de s'arrêter, pas le temps de respirer ou le temps de chercher de l'eau, il lui fallait sortir de ce village.

Il pouvait entendre d'autre crie, mais ceux-là était ceux qu'il avait déjà entendu à chaque fois qu'il avait réussit à se libérer, il savaient que les petites personnes couverte de métal et les sorciers allaient le poursuivre. Le sol tremblait sous ses pas, la poussière et le sable volait sous sa course, venant faire se refermer sa seconde paire de paupière pour ne pas en prendre dans les yeux.

Ca ne rendait pas du tout sa vie plus facile, bien au contraire et il avait beau respirer, toutes les odeurs qui l'entourait ne l'aidait pas. Trop d'odeur inconnue, trop d'odeur nauséabonde à son goût.

Mais son cœur fut récompensé lorsqu'il sentit une odeur qu'il aimait, celle de l'eau et il fonça donc vers celle-ci. Traversant foules apeuré et badaud incrédule, il se jeta à l'eau, portant toujours la petite prêtresse dans sa gueule. Qu'est-ce que cela lui fit du bien d'être à nouveau au contact de l'eau, de pouvoir nager se mouvoir, sa queue ondulant dans le courant pour le propulser.

Il se mit ensuite à penser à la petite prêtresse, est ce qu'elle respire sous l'eau elle ? Il n'avait pas envie de la tuer et se dit que ce n'était sûrement pas le cas, alors il se dépêcha de remonter sa gueule à la surface, ce qui, malheureusement pour lui, le rendait bien plus visible qu'au fond de cette eau trouble qui coulait dans ce village.

L'odeur de cette eau sentait presque pire que l'air qui la surplombait et il se demandait bien pourquoi. Mais avec tout cela, il y avait beaucoup de question qui s'ajoutait.  Il avait l'impression de ne pas arriver à quitter ce village, que quelle que soit la distance qu'il courrait ou nageait, il se trouvait toujours dedans, de la magie ? Un sort le faisant tourner en rond ? Pour lui, un village de plus d'une dizaine de maisons était impossible à concevoir, même avec toutes les personnes qu'il avait pu voir aujourd'hui, pour lui, elles venaient toute de village voisin.

Désormais, l'endroit était plus calme, et bien moins agité, il y avait bien moins de petite personne en vue et l'endroit avait l'air plus étriqué que les autres. Il aurait bien continué dans cette rivière jusqu'à sa liberté, mais il se rappelait qu'il transportait une petite prêtresse dans sa gueule et que, il n'avait pas envie de la forcer à aller dans un endroit qui ne lui plairait pas et surtout, il ne voulait pas qu'elle tombe malade.

Il sortit donc de l'eau, près d'un alcôve et d'une vieille barque en bois, puis, se fit le plus discret possible par rapport à sa stature, cherchant un endroit calme. La douleur, la captivité et les efforts qu'il avaient donné tout du long commençait à le fatiguer et sa faim le commençait elle aussi à le tirailler.

Là, il trouva une sorte de grand voilage qui couvrait l'entrée d'une ruelle, portant sa chaîne pour ne pas qu'elle racle au sol et alerte le petit peuple. Passant en dessous, il se retrouvait dans une impasse, où le sol était jonchait de vieille planche de bois, de morceaux de tissus et tout autre déchets ménager du coin.

Klaus baissa sa tête lorsqu'il trouva l'endroit idéal, posant le museau sur le sable avant de relâcher délicatement Alecto, la faisant glisser dans sa mâchoire. Elle n'avait pas l'air très bien et cela l'inquiétait un peu. Il posa donc son museau sur sa poitrine, se servant de son museau pour ressentir ses battements de cœur et Ankhti soi loué, elle était vivante. Klaus décida de s'asseoir à coté d'elle pour se reposer et, l'entoura de sa queue, faisant un demi-cercle autour d'elle pour la protéger des courant d'air et de la vue de quiconque. Il restait à se reposer le temps qu'elle se réveil, mais ne s'endormait pas restant en alerte au cas où le petit peuple le retrouve.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 16:09:28 »
Klaus était pour le moment concentré à faire ce qu'il pouvait pour rompre ses liens et ne fit pas du tout attention au monde qui s'approchait de lui. C'est alors qu'il put voir une petite personne couverte de métal s'approchait de la petite prêtresse. Que voulait-il ? Il ne leur faisait pas confiance du tout, c'étaient eux qui le poursuivaient à chaque fois et qui avaient attaqué sa tribu. Il ne mérite pas son respect à enchaîner des gens.

Ses grognements atteignaient leur maximum au point que la partie inférieur de son cou ondulait sous ses sons de douleur et de colere.

Mais les petites personnes couvertes de métal firent quelque chose qu'il ne fallait pas. Ils montrèrent leur hostilité, mais ce n'était pas le pire, ce qui était réellement inacceptable pour Klaus fut que l'un d'eux sorte son arme en regardant la petite prêtresse. Par Ankhti, par Sobek et par l'honneur de Klaus, personne ne toucherait un seul cheveu de la petite prêtresse.

Il braqua son regard sur le milicien, puis lança un crie énorme amplifié par sa rage et sa douleur.

" TO GRAK HESHE IKO ANK !!!! HOSH HASHAR KAL !!!"*

Sur ses mots, il réussit alors à briser ses chaînes, faisant voler des éclats de métal dans la ruelle, ses bras s'écartant de chaque côté de celle-ci en reprenant toute sa grandeur. Mais sa pensée n'était pas à célébrer sa liberté, sa pensée était à sauver la petite prêtresse en vitesse. Avant que la petite personne proche d'elle ne put faire quoi que ce soit, il vint le saisir dans sa gueule, la moitié de son corps se trouvant violement enfermé dans ses machoires, puis, dans son élan et sa préparation, fit un demi-tour rapide sur lui meme, faisant claque sa puissante queue contre le deuxième garde. Que ce soit le coup de sa mâchoire ou celui de sa queue, on pouvait entendre métal et os craquer sous sa force. Puis, pour s'assurer que celui dans sa gueule ne ferait plus rien de mal, il vint le faire un peu descendre de sa gueule pour le frapper contre un mur avant de le relâcher comme une poupée de chiffon ensanglanté et désarticulé.

La respiration de Klaus était lourde, rapide et bruyante, la rage du combat montait en lui, mais il savait qu'il ne pouvait rester là. Lorsqu'il tuait des petites personnes couvertes de métal, il savait que cela attirait des sorciers et ce n'était pas bon du tout. Son regard se posa de nouveau sur la petite prêtresse et, rapidement, il se jeta sur elle.

Klaus ouvrit grand sa gueule et, vint saisir Alecto dans sa gueule. Mais contrairement aux autres, ce fut extrêmement délicat, la prenant en gueule comme les kroxigor avaient l'habitude de le faire avec leur petit en cas de danger, puis, s'aidant de ses bras et de ses jambes pour aller plus vite, se mit à courir pour sortir de ce village au plus vite.


* " Tu ne tuera pas petite pretresse !!! Mauvaise peau fragile !!!"

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 14:58:39 »
Le crocodilien pouvait comprendre dans le regard et dans le ton de voix de la petite personne qu'elle n'allait pas lui retirer ses chaînes. Un léger grognement se fit entendre à cet instant. Ce n'était jamais bon de refuser la liberter à un Kroxigor, quelle que soit sa tribu.

Redescendant donc ses menottes contre lui, ses muscles et sa position était beaucoup plus tendu. Il emmagasiner toute sa force à cet instant, cherchant à se canaliser pour plus tard tenter à nouveau de briser ses chaînes. Si la petite prêtresse ne voulait pas l'aider, c'est sûrement qu'Ankhti voulait qu'il s'en sorte par lui seul.

Mais les mots qui suivirent, sortant de la bouche d'Alecto et accompagné d'un petit objet, intriguèrent Klaus. Réfléchissant, il se rappela que, à chaque fois qu'une personne enchaîné disparaissait avec quelqu'un, la mauvaise personne qui faisait de la magie donner un petit objet pareil que celui-ci. Et un mot aussi revenait souvent. Appartenir.

Klaus se releva alors de toute sa hauteur, dépassant maintenant les cinq mètres de haut, bombant le torse. Ses mots avaient bléssé son honneur, sa liberté et donc sa vie. Il se mit à frapper son torse rempli d'air à l'aide d'un de ses poings, faisant résonner la ruelle plus fort qu'un tambour de guerre.

" Thiana Tharsha Heshe Ik ! Ik Kromcota vo SharLeko ! Ik Oko Sograko ! Ik vo Cota tol !!!"
*
On pouvait entendre l'énervement et la fierté de Klaus derrière ses mots. Personne n'avait le droit de prendre la liberté de qui que ce soit, pour les Kroxigor, cela était bien pire que la mort.

Il se dit qu'il lui fallait se débarrasser de cet objet, il était la marque de son périple, s'il s'en débarrassai, il n'y aurait sûrement plus de chaîne pour lui et pourrait s'enfuir jusqu'à chez lui.

Mais après cela, il l'entendit et la vit lui demander quelque chose. Il comprenait qu'elle ne comprenait pas son langage ou en tout cas pas totalement et put entendre à son ton qu'elle demandait si elle était Ank. Là, sur ses mots, il fit une petite révérence, baissant la tête comme pour honorer sa position et son statut, puis reprit la parole, pointant son index vers elle.

" To A lek to, To Iko Ank."
**
Il reposa ensuite ses bras contre lui, écoutant toujours la petite prêtresse qui lui parlait, essayant de comprendre ses mots, mais seul deux ressortir de tout ça. Sorcière, maison.

Sur ses mots il se remit dans une position de défense, se réduisant à 4 mètre de haut, prêt à recevoir des coups ou à bondir, ses muscles gonflés par la colère, sa queue faisant un demi-cercle devant lui, pleine d'énergie et de tension, prete à frapper, ce qui tuerait à coup sur un humain même en excellente forme.

Il n'aimait pas ce qu'il comprenait, il ne voulait pas aller dans la maison d'une sorcière, le tortionnaire était lui aussi un sorcier, donc pour lui, elle devait être aussi mauvaise que lui. Il la sentit tirer sur sa chaîne, venant le frapper du sort qui entourait ses chaînes, lui causant une intense douleur qui le fit lourdement grogner. Il ne voulait pas échanger un supplice pour un autre et donc le moment était venu de tenter à nouveau de briser ses chaînes.

Dans sa position actuelle, il prit une énorme inspiration en fermant les yeux, le faisant gonfler et le rendant beaucoup plus massif, puis, un long grognement commença à se faire entendre, d'abord caché par le bruit de la magie imprégnant ses chaînes, puis de plus en plus bruit. Un grognement de guerre qui faisait vibrer tout son corps, ainsi que les tympans de ceux qui se trouvaient prêt de lui. Un cri de douleur aussi, lorsqu'il se mit à utiliser toutes ses forces pour tenter de briser ses chaines, les tendant le plus possible. Le bruit ne manqua pas d’être si bruyant et étrange qu'il commença à attirer du monde, ainsi que quelques gardes qui se trouvait dans le coin.



* "Thian ne pas avoir moi ! Je suis Forte écaille qui nage dans le venin ! Je suis un grand guerrier ! Je suis du peuple d'écaille !"

** " toi Alecto, toi petite pretresse."


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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 03 janvier 2021, 00:20:52 »
Il sentit à quelque moment les mains d'Alecto sur ses écailles, sur le bout de son museau abîmé et ensanglanté par ses débattements. Elles étaient chaudes, elle étaient douce, et, en plus de cela, lorsqu'elle passa sur le bout de son museau, il put sentir et ressentir une multitude de chose, son odeur primaire, ses hormones, l'odeur que dégageait son alimentation, son état de santé, mais surtout son rythme cardiaque. La petite prêtresse lui paraissait encore plus en mauvais état qu'au début, il avait même l'impression qu'elle allait mourir là, devant lui, frappé par sa peur. Il la voyait continuer à laisser couler de l'eau de ses petits yeux, ce qui lui donnait d'autant plus soif, soufflant un peu le dessus.

Ses paroles maintenant prononcé, il avait bien vu qu'elle l'avait entendu, mais elle ne réagit pas tout de suite, en tout cas pas autrement qu'en sursautant. Il regarda un instant ses chaînes qui retenaient ses poignées, puis de nouveau la petite personne, qui avait reprit un peu de courage et qui lui adressait de nouveau des mots.

Il avait un peu compris sa première phrase, se souvenant, de par sa captivité, que ses tortionnaires utilisait le mot manger à chaque fois qu'ils le nourrissaient. Est ce qu'elle lui demandait s'il avait faim ? Il n'en avait pas l'impression, c'était même l'avantage pour son espèce. Ils avaient besoin de beaucoup de nourriture pour survivre, mais leur digestion lente leur permettait de ne pas avoir besoin de manger pendant des mois si jamais ils subissaient une famine. Mais bien sûr, cela influait grandement sur leur caractère à la longue.

Il hocha négativement la tête à cela et, si le rire des kroxigor n'était pas sur le plan de l'ultrason, elle aurait pu l'entendre rire de ses petites dents et du faible claquement que sa mâchoire avait fait. Klaus l'imita après cela, claquant lui aussi de la mâchoire, mais, même sans y mettre de forte, le bruit de l'impact de ses deux mâchoires était assez impressionnant, laissant deviner qu'il ne valait mieux ne pas y laisser traîner un membre.

Il ne comprit pas la dernière phrase de la petite prêtresse, penchant la tête sur le côté, puis reprit la parole.

" Ik agrak Hesha Iko Ank." *

Il tapota ensuite son ventre, puis tourna de nouveau de gauche à droite sa tête négativement avant d'ajouter.

" Iko Ank Hashar."
**

Il jeta son regard vers le reste de ses chaînes, puis, releva de nouveau les yeux sur elle, les agitants devant lui avant d'ajouter.

" Ik  agrak Hesha, Ik Grak Hesha Iko Ank, Ik Hota Shar Ankla o cota Tol ." ***

Sur ses mots, toute sa volonté s'imprimait, tandis que son regard fixait celui de son interlocutrice, tendant ses bras plus épais qu'elle devant son visage, souhaitant sa liberté à tout prix.

* " Je ne mangerais pas petite prêtresse."

** " petite pretresse fragile "

*** " Je ne mangerais pas, je ne tuerais pas petite prêtresse, je veux nager dans le fleuve du peuple d'écaille."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 02 janvier 2021, 22:40:41 »
Le bruit des chaînes et du métal raclant le sol, les murs, résonnait de partout dans cette ruelle isolé. Klaus soufflait de douleur, se tordait dans tous les sens pour donner toute son énergie à sa libération.

Il ne se rendez pas compte de son environnement ou de son entourage, beaucoup trop absorbé par l'idée de se débarrasser de tout ça, beaucoup trop décider pour faire partir cette mauvaise magie qui lui brûlait les tripes.

Il se frottait tellement la gueule contre les murs, que les parties ressortant de la muselière commençaient à se couvrir de sang, de son propre sang. La douleur de s'écorchait n'était rien comparé à celle de ces liens et encore moins comparé à celle de ne pas être libre.

Mais c'est après de longues minutes à se débattre qu'il entendit, perçant le son de ses chaînes qui cliquetait bruyamment sous ses mouvements, le nom que les peaux fragiles lui avait donné. Sa respiration était lourde, très lourd et bruyante, tel la bête énorme qu'il était. Son regard se braqua sur la petite prêtresse.

Il pouvait la voir, la sentir, paniqué, devant lui, tendant son bras vers sa gueule. Il tourna, pencha sa tête sur le côté, se demandant ce qu'elle essayait de faire ou de lui faire. Puis, il l'entendit prononcer de nouveau mot. L'un d'eux était maintenant connu pour Klaus, le mot muselière. Il l'entendait toujours lorsque les peaux fragiles s'approchait un peu trop de sa gueule.

Il pencha sa tête de l'autre coté à cet instant, se demandant ce qu'elle voulait faire ? Allait-elle l'aider ? Il n'y avait qu'une façon d'en avoir le cœur net et c'était de lui faire confiance.

Replaçant sa tête correctement, il vint se mettre à genoux, soufflant toujours puissamment par ses naseaux, en se courbant pour que sa tête arrive au niveau de la sienne. Son museau se posa contre sa main, son souffle chaud glissant contre ses tous petits doigts, puis, il put la voir se mettre à parcourir sa muselière.

Il ne comprenait pas pourquoi fermait-elle les yeux, c'était quand même quelque chose de difficile de défaire un lien, mais de les défaire avec les yeux fermés, se devait être beaucoup plus compliqué.

Mais après quelques minutes de silence, il entendit un cliquetis métallique, sentant un relâchement dans son entrave. Il se releva instantanément avec une vitesse ahurissante, puis secoua sa gueule comme un chien le ferait pour se sécher pour se débarrasser de cela. Le lourd metal qui bloquait ses mâchoires tomba lourdement au sol, étouffé par la poussière et le sable s'y trouvant. Puis, il joua plusieurs fois de sa mâchoire, la levant en l'air, la faisant claquer pour se dégourdir ses muscles maxillaires.

Il laissa une sorte de rugissement, mais plus doux, heureux de pouvoir de nouveau avoir la gueule libre et posa ensuite son regard à nouveau sur la petite personne.

Du haut de toute sa taille, il la surplombait, puis, laissa entendre un son sortir de sa gueule

" Tanka iko Ank "*

Sa voix était à son image, lourde, grave, roulant dans sa gueule et donnant l'impression de faire vibrer l'air autour de lui tant elle paraissait puissante.

" Tanka A lek to."**

Pour autant, ses mots ne sonnait pas aggréssif ou mauvais envers elle, loin de là.

* Merci petite pretresse

** Merci Alecto

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 02 janvier 2021, 21:29:43 »
Klaus se retrouvait donc contre son grès à marcher sur de la pierre brûlante, sous un soleil de plomb, entouré de peau fragile tous plus bruyant les uns que les autres. Il sentait sa peau et ses écailles le tirer, l'irriter à cause du manque d'eau, ce qui l’énervait encore plus.

Alors qu'il passait à coté d'enfant, il fut tiré dans une autre direction. Si c'est chaînes n'avait pas été si douloureuse de par leur magie, il ne l'aurait même pas senti le tirer et n'en aurait rien eut à faire de toute façon. Mais la un nouveau grognement de douleur se fit entendre en devans suivre ce qui lui semblait être des caprices

Si c'est chaînes n'avait pas été si douloureuse de par leur magie, il ne l'aurait même pas senti le tirer et n'en aurait rien eut à faire de toute façon. Dé so leh .

Il y avait de plus en plus de monde autour de lui et Klaus n'aimait pas cela du tout, sentir toutes ces peaux fragiles qui osaient le juger, le dévisager tel une erreur de la grande Ankhti. Si ces chaînes n'était pas là, plus personne n'oserait le déshonorer de la sorte, plus personne n'oserait déshonorer la déesse mère en mettant ses enfants dans du métal.

Mais pour le moment, il ne pouvait rien faire à part suivre la petite prêtresse, devant prendre son grand mal en patience. Mais elle prit un nouveau chemin bien plus vide, très étrange et au frais du soleil le frappant. La regardant, il put la voir s'asseoir et se mettre en boule avant d'entendre de nouveau mots inconnue pour lui.

Allait-elle s'endormir là ? C'est ce qu'il se demandait en la voyant dans cette position, mais, Klaus se mit à renifler la petite personne couverte d'or et comprit que ce n'était pas cela.

Elle sentait la peur, elle sentait le stress et elle couinait tel un bébé kroxigor dans la marre à fraie cherchant l'aide de sa maman.

Il sentait que, s'il ne faisait rien, ils allaient rester là encore un moment, avec cette magie douloureuse, cette environnement inhospitalier et les chances pour lui qu'on vienne l'attraper à nouveau était grande. La regardant, il pouvait la voir, assise dans la poussière sèche, à l'ombre des murs, son regard venant se poser dans ses yeux doré et sauvage de réptile.

Il prit une grande inspiration, puissant et bruyante à cet instant, profitant de cela pour lire dans les yeux de la petite prêtresse, comme toute animal ou personne proche de la nature pouvaient le faire. Il y lisait beaucoup de peur, beaucoup de stress, collant à son odeur, mais aussi beaucoup de douleur et d'ombre pesant sur elle.

Klaus avait pu voir ce qu'était Alecto pour un Kroxigor, une petite personne qui ne représentait pas de menace pour lui et donc une petite personne qu'il ne servirait à rien de tuer pour reprendre sa liberté. Mais ce n'était pas pour cela que sa colère était disparu, loin de la, n'étant pas du tout dans un environnement qui pourrait lui apporter cela. Il était temps pour lui de tenter à nouveau de se libérer, ou au moins de dégager sa gueule de cette muselière pour exprimer son mécontentement ou pour pouvoir croquer le premier idiot qui passerait de trop prêt. Il se mit donc à reprendre une grande inspiration en grondant lourdement, puis se mit à se débattre.

La douleur était intense, mais il n'avait pas le choix s'il voulait faire quelque chose, et puis, il avait déjà fait pas mal de pas qui l'écartaient de l'autre tas de viande qui lui avait posé ses chaines. Il regarda ensuite le mur le plus proche qui avait l'air rugueux et résistant et se dit que cela serait sûrement bien pour abîmer ses entraves ou au moins sa muselière et se mit donc à frapper sa gueule contre à plusieurs reprise, seulement entrecoupé par des frottements contre la pierre brute pour user les rares parties en cuir ou qui lui semblait plus fragile.


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Prélude / Re : Okiko, terranide hippocampe
« le: samedi 02 janvier 2021, 20:32:25 »
Bienvenue petit peuple de la grande marre

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 02 janvier 2021, 01:37:49 »
Il les entendait discuter, parler de lui, ce qu'il n'aimait pas du tout. Mais ce fut un mot prononcé qui l’énerva d'autant plus, Sorcière. Un grondement sourd comme un roulement interne, puissant et résonnant dans son grand torse et dans sa gueule surgit. Oui il savait bel et bien ce que cela était et n'avais qu'une envie à ce moment-là, arracher en deux cet homme.

Lorsque celui-ci leva la main, Klaus comprit ce qu'il allait faire et recula rapidement dans sa cage avant d'essayer de la faire céder dans un grand coup, celle-ci chancelant un peu avant que le sort du marchand ne le frappe.

Le froid, la morsure insoutenable de la glace traversant ses écailles, ses muscles jusque dans ses os, le brûlant intérieurement. Sa colère était immense et sa rage si forte qu'il en était presque à rentrer en frénésie dans sa cage, si cela arrivait, il se serait complètement fichu de souffrir le martyr jusqu'à sa mort et aurait tout donner pour sortir de là et le broyer en pièce haché.

Mais ce peau fragile le savait et jouait avec cette limite.

Klaus soufflait ensuite lourdement tandis que son tortionnaire continuait de parler donnant son nom d'esclave à celle qui avait l'air de devoir l'acheter. Car oui, il voyait très bien qu'elle ne le souhaitait pas, mais qu'elle avait l'air obligé tout de même.

La cage était maintenant ouverte, le laissant sortir de son enclôt, sa chaîne se trouvant maintenant dans les mains de ce qu'il pensait être une Shaman d'Ankhti. Il s'avança jusqu'à elle, faisant trois fois sa taille en hauteur, son regard braqué sur elle tandis qu'elle tirait sur sa lourde chaîne.

Alecto, A lek to. Voilà un nom qui serait bien plus facile à prononcer pour le kroxigor, collant à la phonétique habituel du langage de sa tribu. Elle lui confirma donc que oui, elle n'était pas celle qui l'avait acheté, mais une personne à son service, la sorcière en question. Il n'aimait pas du tout cela, mais, le sort qui le retenait dans ses chaînes lui causait beaucoup trop de douleur pour pouvoir se rebeller ou laisser parler sa rage.

Elle eut même, à ses yeux, l'audace de lui demander s'il était d'accord de la suivre. Par le grand Sobek et la grande Ankhti, bien sur que non qu'il n'était pas d'accord avec cela, tout ce qu'il souhaitait, c'était rentré à son fleuve sacré, pas suivre une prêtresse peau fragile vers une sorcière qui ne ferait, à son avis, pas mieu que tout ceux qui avait voulu le posseder. Dans l'esprit des Kroxigor, personne ne possède personne et le fait que cela soit possible était un affront à la déesse qui pour eux les avait créer tous égaux.

De toute façon, il n'avait pas le choix que de la suivre et dans un grognement gutturale, baissa la tête comme pour lui dire


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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: vendredi 01 janvier 2021, 23:17:43 »
Klaus avait été rattrapé par les peaux fragiles comme il les appelait. Il avait réussit à s'échapper une fois de ses tortionnaires, car son premier et dernier acheteur avez bien trop prit confiance en lui même. Il n'aurait jamais dû faire ça et ne pourrait jamais plus le faire.

La magie. S'il y a bien une chose qu'il avait appris à détester depuis qu'il venait de découvrir les peaux fragiles, c'était bien cela. Avant, seule la Shaman de la tribu savait utiliser la magie, mais, même puissante comme elle était, cela n'avait pas été suffisant pour les aider à repousser l'envahisseur.

Le kroxigors se retrouvait donc à nouveau là, dans un monde qu'il ne connaissait pas, entouré de personne totalement inconnue, de concept totalement inconnu, mais surtout d'une rage de venger sa tribu.

Il ne haïssait pas les peaux fragiles, car toute créature vivant dans ce monde était pour lui un enfant de la déesse mère et donc un frère ou une sœur, mais par contre, tout ceux qui lui avait voulu du mal, tout ceux qui avait touché à sa tribu, tuer sa tribu, qui l'avait séparé d'eux, qui avait volé son collier de passage et tout ceux qui lui avait manqué de respect, il avait juré sa vie à la Grande déesse mère Ankhti qu'il prierait tous sous ses mains ou ses crocs.

Mais désormais, c'était bien plus compliqué pour lui de s'échapper, il était les bras lié par des cercles et des chaînes d'un métal extrêmement dur et couverte de magie et d'une muselière au museau et pour couronnait le tout, il était enfermé jour et nuit dans une cage fait du même alliage. Il ne savait plus depuis combien de lune, il avait été arraché du grand fleuve.

Cela faisait quelques jours qu'il se retrouvait sur un marché dans un petit endroit remplis de hutte de pierre étrange, le soleil le frappant tous les jours sans pouvoir se baigner pour faire descendre sa température, ce qui l'énervait encore plus. Il pouvait voir, chaque minute qui passait, des peaux fragile traversait devant lui, certain plus diffèrent que d'autres, mais réagissant toujours de la même façon en le voyant, reculant grandement.

C'est alors que, au début d'une nouvelle journée, cette fois l'endroit grouillait de monde, ce qu'il trouvait étrange et, l'énervait encore plus. Sa queue musclé et couverte d'écaille battait violemment de part et d'autre de la cage, tentant de temps à autre de briser ses liens, mais sens grand succès, ce qui ne l'aidait pas à se calmer.

le temps passait, les petites personnes aussi, la peur sur leur visage lorsqu'il frappait sa cage faisait de même, puis, il put voir celui qui, d'après lui était le tortionnaire de tous ceux qui était enchaîné comme lui, et même gueule muselé, un grand grognement lourd et gutturale se fit entendre à son arrivée.

Mais son regard le quitta un instant, voyant qu'il emmenait avec lui une autre personne. Une petite personne, couverte de tissus comme lui, mais plus joli et surtout accompagné de parure dorée le regardait désormais. Dans sa tribu, L'or était une matière sacré, car, d'après les récits de la grande déesse Ankhti, elles étaient ses larmes de joie lorsqu'elle finit de créer ce monde et, étaient donc tout aussi important que la déesse elle-même. Dans son ancien village, tous les objets important en étaient couverts ou fait avec, même leurs armes.

Sonr regard se fixa donc intensement sur cette petite personne, se demandant si elle était une Shaman pour avoir autant d'or sur elle, il vint se plaquer à la grille, la colère continuant de couler dans ses veines, le soleil le frappant de plein fouet depuis quelques heures, faisant trembler la cage sous sa force et son poid, son regard de reptile braqué droit dans le sien.


Sur ce geste, un parchemin tomba du coin de la cage jusqu'au pied de la petite personne, sur cela était noté toutes les précautions à prendre avec lui et il y en avait pas mal.

" Nourrir suffisamment sous peine d'accident pouvant entraîner la mort de plusieurs personne, ne pas approcher à moins de 20 mètres si la bête n'est pas attaché proprement, queue comprise. Ne pas approcher à moins de 10 mètres si la bête n'a pas la mâchoire muselée. Ne pas approcher d'enfant quel que soit l'état de la bête. Nourrir exclusivement de viande fraîche. Ne pas tenter de le toucher si non sédaté, endormi ou complètement immobilisé. Ne pas soutenir la bête du regard. Ne pas laisser trop longtemps la bête dans le froid. Ne pas laisser la bête sentir l'odeur du sang quand affamé. etc ... "


Un son, assez proche de celui d'un chat en colère se fit entendre de sa part, sortant d'entre ses dents comme un avertissement. Ses muscles étaient tous bombés, contractés comme prêt à défoncer la cage au moindre défaut ou occasion pour lui de pouvoir s'en sortir.

" Le voilà ton nouveau petit ami."

Dit le tortionnaire à la jeune femme en le montrant de la main avant de parler fièrement de lui comme d'un trophée

" Grand, fort, capable d'arracher une tête sans effort, de traverser les marrées et les eaux aussi vite qu'il court. Il a fallu des dizaines d'homme et de la magie pour en venir à bout la première fois et bien plus la deuxième fois. Il est intelligent et apprend de ses erreurs alors méfiait vous des vôtres. "

Finit-il par dire en riant.

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Le coin du chalant / Re : Masse d'écaille et de force brut à vendre
« le: jeudi 31 décembre 2020, 15:41:40 »
Bien-sur, à coté de cela, je cherche d'autre rp, que ce soi amicale ou non, parmi les esclaves ou parmi les personnes libre de ce monde. Je suis ouvert à toute proposition si cela vous intéresse, que ce soit en mp ou sur discord o/

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Le coin du chalant / Masse d'écaille et de force brut à vendre
« le: jeudi 31 décembre 2020, 15:30:01 »
Ce très cher Klaus est à vendre au plus offrant sur les marché de Tout Terra, Une montagne de force brute, du bout de sa queue jusqu'à sa mâchoire pouvant broyer des os comme du verre. Capable de porter des centaines de kilo sans ce fatiguer et de tuer vos ennemies ou prétendant d'un simple coup de croc. *

 Une acheteuse serait préférable de par son tempérament, mais si la personne convient aussi un acheteur est possible.

A votre porte monnaie mesdames mesdemoiselles et messieurs.

* attention, ne pas mettre la main ou mettre un enfant à porter de gueule si celle-ci n'est pas attaché, ne pas déranger pendant son sommeil ou si le cas oblige, rester à une distance de sécurité d'une dizaine de mètre si non attaché. nourrir de deux-cent kilo de viande fraîche toute les semaines pour éviter toute accident pouvant découler de sa faim. Ne pas placer au froid.

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