Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lucie Backerlord

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 24 février 2018, 17:53:08 »
-Ah ça... Non, rien à avoir avec une nouvelle lubie ou un tic à la con. Je ricanais lentement, sans retirer ma main de ses cheveux. - Le fait que je fasses quelque chose de ce genre, ça prouve une chose. Je ne fais ça qu'aux gens avec qui je me sens bien, au final. Tu interprètes ça comme tu veux, mais ça prouve au moins que j'ai pas la moindre rancœur envers toi. Mais si ça te fait chier, moi j'arrête. T'as qu'une seule chose à dire.

Ceci dit, tant qu'elle n'exprimait pas clairement que cela la dérangeait, je continuais. A la toute fin du film, je me rallumais une cigarette, d'une main, tout en m'étirant, d'une certaine manière, pour ne pas la faire tomber. Je prenais toujours ce genre de précautions lorsque j'avais quelqu'un sur les genoux. A vrai dire, lorsque j'avais la tête de quelqu'un à cet endroit, généralement, je ne me tapais pas cette personne. Mais là, c'était différent. J'avais tout un tas d'idées en tête, mais je me disais bien que j'allais pouvoir les mettre à exécution dans les jours à venir. Là, il était un peu tard. Même si j'avais une certaine endurance, par moments, je ressentais aussi les effets de la fatigue. Je regardais le troisième film en silence, buvant le reste de mon verre, tout en continuant à lui caresser lentement les cheveux. Il restait bien trois films, mais j'allais les lui montrer plus tard.

A la toute fin du troisième film, soit plusieurs heures après le début de cette soirée, je commençais réellement à me sentir fatiguée. Je me traînais donc lamentablement vers mon lit, avec Alix à mon côté. Enfin, tout d'abord il fallait que je me lave les dents. J'exécutais cette tâche avec les yeux à moitié fermés, avant de me jeter comme une loque dans mon lit. Ceci dit, comme à chaque fois que j'avais quelqu'un dans mon lit, de manière totalement instinctive, je me collais à cette personne. Et évidemment, là aussi, je me collais contre Alix. Mais de manière assez peu marquée, histoire de ne pas passer pour une chieuse. La tête totalement dans les choux, je ne mis pas longtemps à m'endormir. Il me fallait bien ça. Demain allait être une bonne journée.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 22 février 2018, 19:50:04 »
Durant tout le film, elle resta collée à moi. Et de manière totalement instinctive, je passais lentement ma main dans ses cheveux. J'agissais sans trop réfléchir au fond, et je ne m'en rendais pas vraiment compte. Bah après tout, ce n'était pas comme si je l'insultais ou quoi que ce soit de ce style. J'étais toujours à fond à chaque fois que je voyais ce genre de films. Une vraie gamine. Et je ne disais pas un mot. Je ne voyais clairement pas le temps passer, et à la toute fin du film, je regardais l'heure. Bah, il n'était pas si tard que ça. En l'entendant poser cette question, je souriais. Visiblement, ça l'intéressait. Si je pouvais aussi la convertir aux bonnes choses, autant y aller jusqu'au bout.

- Là c'est le premier des six films. Y'en a encore 5 autres, et celui que tu viens de voir, c'est le plus mauvais des six. Alors si même celui-là t'intéresses, je pense que j'vais pouvoir te convertir à cette saga. Mais on verra pas les six aujourd'hui. On a tout simplement pas le temps, et même si j'ai 300 ans derrière moi, y'a des moments, j'ai besoin de dormir. Mais t'as d'la chance, on bosse pas demain.

Le DVD passa de lui-même au second film. Je n'étais pas aussi fan de la prélogie que de la trilogie originelle. Mais par soucis de compréhension, surtout pour elle, j'étais obligée de passer la prélogie avant la trilogie originelle. Si je lui passais la trilogie originelle, plus vieille, mais bien meilleure à mes yeux, elle n'allait rien comprendre, et ce n'était pas le but. Le deuxième film commençant, je repassais ma main dans ses cheveux. Sans prononcer un seul mot. Je faisais craquer les os de mon cou sans faire attention, ce qui me fit tiquer. Je détestais quand ça arrivait sans que je ne m'en rende compte. Et encore une fois, j'étais à fond, et je ne me rendais clairement pas compte du temps qui passait. Il suffisait de peu de choses pour me rendre heureuse au final.

Tout en gardant ma main gauche dans ses cheveux, j'attrapais mon paquet de clopes de la main droite et m'en allumait une. Pour m'amuser un peu avec la fumée, sans pour autant lui en envoyer dans la tronche.

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Les alentours de la ville / Re : La Malédiction de Kūkai [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 21 février 2018, 16:42:31 »
- Très chère, je suis persuadée que tu m'aurais sorti la même chose si j'étais nue ou dans du latex rose pétasse. Mais j'aime beaucoup ta justification. Mais tu sais, autant le dire tout simplement si t'es intéressée, je ne mords que très rarement. Voire pas du tout. Pour une fois, j'étais cohérente dans mes paroles. Je détestais mordre, même si j'adorais avoir le dessus pendant l'acte. La vie était faite de choses parfois contradictoires, mais pour moi, ceci n'en était pas une.  Il y avait des tas des choses incohérentes voire même contradictoires, mais pas celle-ci. Me grattant les cheveux, je sentais que quelque chose n'allait vraiment pas dans cette forêt. Le fait qu'elle puait la magie noire était une chose, mais il y avait réellement quelque chose qui ne tournait pas rond ici. Même une sorcière aveugle sentirait quelque chose comme ça. J'acceptais néanmoins sa sucette. Et à peine cette dernière rencontrait ma langue qu'elle commença à agir. J'affichais alors une sorte de sourire en coin.

Dans une de mes poches, j'avais au moins une dizaine de balles en argent. Si les balles standards ne marchaient pas, l'argent, lui, allait marcher. J'avais pu le tester une première fois avec succès il y a de cela des années sur un loup-garou qui fut plutôt coriace, mine de rien. Mais pas assez, puisqu'il termina en descente de lit. Une magnifique descente de lit. Il avait voulu jouer, il avait fait le mariole avec ses gros muscles, mais il n'avait pas réussi à esquiver une simple balle. Je chargeais donc mon arme avec ces balles, tout en la suivant. Des balles en argent d'un tel calibre, si elles ne marchaient pas, j'allais devoir uniquement compter sur cette sorcière. En voyant ceux qui nous attendaient, un sourire en coin s'afficha sur mes lèvres. Je ricanais quelque peu. Obligés d'être aussi nombreux pour deux sorcières? Voilà qui était cocasse.

L'un d'eux s'avança vers moi. Ni une ni deux, je lui logeais une balle en pleine tête. Balle qui sortit à l'arrière de son crâne avant de finir dans une poutre en bois. Personne ne pouvait survivre à un tel impact. Pas même moi.

- Je te propose une chose,  très chère. On les déboîte, on parle bigoudis autour d'une bonne tasse de thé avec des petits gâteaux, et si jamais l'un d'entre eux se relève, on le re déboîte. Simple et expéditif.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 21 février 2018, 15:48:45 »
- Mais fais pas la gueule. J'y peux rien moi si on appelle ça comme ça. Je n'ai pas choisi les termes à utiliser. Prenant un grand verre, je versais une bonne quantité d'eau à l'intérieur. - Oui maintenant, je le sais. Et en ce qui concerne le fait de te casser physiquement... Crois-moi, au fil du temps, tu ne vas plus rien sentir, tellement tu seras habituée. Mais ça demande du temps, de la patience, et de l'entraînement. Mais je sais que t'en es capable, alors je ne me fais pas vraiment de soucis. Ceci dit, mes yeux s'illuminèrent quand elle parla d'objets magiques, et j'étais impatiente, comme une gamine devant ses cadeaux de noël.

Posant donc ensuite son verre devant elle, et le mien devant ma place, je lançais donc le film après avoir placé le disque dans le lecteur. Je me vautrais lamentablement dans le canapé en poussant un soupir des plus sonores. Quand je commençais à être fatigué, je n'en avais strictement rien à péter d'être sexy. Depuis quand la fatigue était sexy? Et au moins, elle allait s'habituer au fait que même si je pouvais avoir, en apparence, une personnalité des plus lisses et travaillée, j'étais cependant loin d'être parfaite. Il suffisait de me voir manger pour s'en rendre compte. J'agissais comme ça depuis de très longues années, et changer allait être très compliqué. M'installant finalement correctement à ma place, je commençais, pour la première fois depuis de très longues heures, à me taire. Par moments, le simple fait de parler m'énervait, et j'aimais bien passer quelques moments à ne rien dire.

Le film commençait donc. C'était l'un de mes films préférés. Une sorte d'épopée galactique, avec évidemment les gentils d'un côté et les méchants de l'autre. Mais pour une fois, tout n'était pas aussi manichéen que d'habitude. La plupart du temps, je reprochais au cinéma de trop forcer sur le côté gentil ou méchant. La vie était plus nuancée que ça, et j'en étais le parfait exemple. Rien n'était tout blanc, et rien n'était tout noir. J'adorais ce film car justement, il ne donnait pas une image manichéenne, ce qui était bien appréciable. Je sirotais lentement mon verre, car même diluée, l'absinthe, et surtout celle que j'avais en bouteille, était très forte. Bonne, mais très forte.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 17 février 2018, 19:07:06 »
- Si tu ne me dis pas que par chez toi, vous n'avez pas la moindre technologie, je ne vais pas le deviner. Je sais me servir d'un fusil et de mes poings, mais je n'arrive pas à deviner des choses comme ça tant que je n'entre pas dans ta tête. Et je n'ai pas particulièrement envie de te faire devenir un légume. Parce que c'est ce qui t'attends si je rentre dans ta tête. Soupirant à l'intérieur de moi-même en l'entendant me répondre, j'la laissais se vautrer dans le canapé avant de me lever pour aller chercher un film dans la bibliothèque. - On utilise le terme bibliothèque pour parler d'un meuble où on range des choses. Du moins, c'est ce que je moi je fais. Et de toute manière, si TOI tu ne me suces pas, moi je le ferais de toute manière. Je prenais plusieurs DVD avant de les lancer sur le canapé.

Il y avait un film de guerre, un film sur les arts martiaux, un film de cul vintage, un autre bien plus moderne, un film de science-fiction et enfin un film historique. Je la laissais donc choisir tout en lui expliquant à voix haute l'histoire de chaque film histoire de lui permettre de choisir sans avoir à lire le résumé au dos. J'allais ensuite chercher mon paquet de clopes dans la cuisine. - Tu veux boire quoi? De l'alcool? Pas d'alcool? De la flotte? Peu importe? Je tirais une bouteille d'absinthe de mon bar, avant d'en verser quelque peu dans mon verre, et d'ensuite verser de l'eau sur un sucre pour la diluer. La boire pure serait d'une stupidité sans nom. J'attendais sa réponse pour lui donner ce qu'elle voudrait. Je m'allumais une cigarette en attendant. Et je souriais, d'une manière stupide. Au fond de moi-même, je commençais à avoir un peu d'affection pour elle. Même si je ne me l'avouerais jamais. J'avais clairement l'impression qu'elle n'avait pas un si mauvais fond. - Demain je t'apprendrais à tirer à l'arme automatique et au pistolet de moyen calibre. Les gros calibres vont littéralement te péter les épaules, et ça me ferais chier.


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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: lundi 12 février 2018, 22:56:58 »
- Je te demande pas de tuer des gens. J'te demande juste de ramener ton p'tit cul avec moi, de jouer le charme aux gros débiles d'en face, et moi je leur colle une balle dans la tête une fois qu'on a ce qu'on voulait. Je pense que ça va pas être trop compliqué. En la regardant faire, j'me tapais la tête contre la table. - J'ai un lave-vaisselle, dans le placard sous l'évier.... Ceci dit, demain je ne travaille pas. Mais c'est pas une raison pour larver. Demain après-midi, j'vais te foutre des vraies armes entre les mains. Tu ne pourras même plus te servir de tes bras pour manger par la suite. Mais au moins, tu sauras ce qui t'attends par la suite.

Je la laissais donc se débrouiller quelque peu avec l'évier. J'avais le programme de demain dans la tête, et je comptais bien le mettre en pratique. Mais pour le moment, il y avait surtout une soirée à passer. J'avais plusieurs idées en tête, mais encore fallait-il les mettre en œuvre. Je pouvais très bien passer ma soirée à regarder des trucs complètement cons à la télé style télé achat. Je pouvais très bien passer une matinée entière à regarder deux pauvres connes essayer de vendre un pseudo balai magique qui ferait tout disparaître, alors que ce foutu balai n'avait rien d'innovant. Parfois, la stupidité humaine n'avait aucune limite, et je me plaisais même à regarder ça pour voir jusqu'où elles pouvaient aller. Et de temps à autres, elles remarquaient qu'elles disposaient encore d'une sorte de pseudo décence et arrêtaient de racoler pour vendre un putain de balai en toc.

- Bon, ma grande, vas zieuter dans ma bibliothèque et choisis un film, j'ai la flemme de réfléchir.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: vendredi 09 février 2018, 16:15:21 »
Je ricanais en l'entendant poser sa question. Je commençais à manger, faisant de grands efforts pour ne pas manger trop vite. Il fallait vraiment que je change mes habitudes, et manger lentement devait en faire partie. Je devais réellement le faire de plus en plus souvent, et cela me demandait vraiment beaucoup d'efforts. Mais pour une fois, je pouvais faire une exception. J'allais reprendre mes vieilles habitudes par la suite, j'en étais plus que consciente. Mangeant donc lentement, je ricanais encore une fois, avant de reprendre la parole.

- Alors, si je t'entraîne, j'ai les capacités de faire de toi une machine de guerre. Pas seulement au point sexuel, dans tous les domaines. Si je te prends en main, je peux faire de toi une véritable machine à tuer, au sens figuré comme au sens propre. Je déteste dire ça, mais je suis reconnue comme l'une des meilleures tireuses d'élite sur cette planète. Je n'ai jamais été d'accord avec tout ça, mais faut bien que je l'admette, et je déteste ça. Mais tous ceux qui passent entre mes mains sont capables de grandes choses. ça prendra du temps, mais je peux tirer quelque chose de toi. Et te faire basculer du bon côté. Alors oui, je tue des gens. Oui je suis une connasse qui tue des gens de sang froid. Ceci dit, je fais ça pour le bien. Attention, je ne te dis pas de suivre ma voie. Loin de là. Mais j'peux tirer quelque chose de toi. Si t'as confiance en moi, bien évidemment.

Je me refusais catégoriquement à faire d'elle une machine à tuer au sens littéral du terme. Même si la cause que je servais pouvait excuser bien des égards, il y avait des limites à tout. J'avais mes propres limites, et il y avait des choses que je n'acceptais pas. Je refusais catégoriquement à mes hommes de tuer quelqu'un sans qu'ils n'appliquent une certaine procédure, hors cas de force majeure. Et si l'un d'entre eux ne le respectait pas, j'en prenais personnellement la responsabilité et en assumais les conséquences. Je le faisais seulement pour eux, car je considérais qu'ils faisaient partie de ma famille. Ceci expliquait d'ailleurs mes agissements à leur égard. Ceci dit, je mangeais, lentement, pour moi. Et j'avais fini bien avant elle.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: dimanche 04 février 2018, 15:46:09 »
Je lui tirais une nouvelle fois la langue avant de m'allumer une clope. J'agissais vraiment comme une gamine parfois, mais j'assumais totalement ce fait. Si je ne l'assumais pas, là j'avais réellement du soucis à me faire. Tirant une longue taffe, je ricanais encore. Une sorte de vieille habitude. Par moments, je ricanais vraiment pour tout et n'importe quoi. Il fallait clairement que je change cet état de fait, un jour, si j'y pensais, et surtout si j'en avais le temps. Néanmoins, il fallait que je trouve quelque chose à lui répondre.

- Alors déjà, oui, ça m'arrive, même quand je suis seule. Ce qui est normal, on ne va pas se le cacher. Et si jamais ça arrive alors que tu dors sur moi, je vais encore devoir m'occuper de toi pour pouvoir dégonfler. Ce qui, encore une fois, sera positif, pour toi comme pour moi. Et que je ne te chope pas en train d'essayer de me monter dessus en pleine nuit histoire de partir sur une nouvelle partie de jambes en l'air.

Il fallait que je la surveille. J'étais persuadée qu'elle en était capable. Pour le moment, je n'en avais aucune preuve, et je savais que tôt ou tard, j'aurais une preuve. Qui affirmerait ou infirmerait mes dires. Tôt ou tard j'aurais mes réponses. Et si tel était le cas, cela ne me dérangeait absolument pas, bien au contraire. J'irais même jusqu'à dire que ça serait une chose plus que positive. Je commençais à avoir la dalle mais il était hors de question pour moi de cloper à table. Je détestais les gens qui faisaient ça, alors il était clairement hors de propos pour moi de faire la même chose. Cela irait totalement à l'encontre de ma propre cohérence, et il n'en était pas question.

En écrasant ensuite mon mégot dans le cendrier, je cherchais dans un placard en hauteur un bocal de sauce, que je tendais avec fierté.

- En ce qui concerne la bouffe, je ne suis pas difficile. Je lui lançais le bocal avec une précision chirurgicale. - Tant que tu seras ici, je vais t'apprendre une chose fondamentale. L'endurance. Je n'irais pas jusqu'à dire que ton endurance sera égale à la mienne, mais tu finiras par t'en approcher. Et tu verras que tout ceci sera positif pour toi. Et pour moi aussi, au final.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 03 février 2018, 16:52:31 »
Lui tirant la langue comme une gamine, je m'exécutais donc et allait prendre une douche. Je prenais des douches très rapides. Moins de cinq minutes suffisaient. Il me suffisait juste de sauter dedans, et en moins de cinq minutes, j'étais propre. Je détestais perdre mon temps sous une douche. Et même si j'adorais l'eau chaude, perdre mon temps n'était pas quelque chose que j'affectionnais particulièrement. Sortant de la douche au bout de seulement cinq minutes, je m'enroulais dans une serviette. Avant de basculer la tête d'avant en arrière à de nombreuses reprises pour éliminer le surplus d'eau dans mes cheveux. Encore une vieille habitude. Une fois le surplus d'eau éliminé, ils étaient bien plus simples à sécher. Faisant craquer mes doigts et ma colonne vertébrale, j'allais chercher une tenue un peu plus classique. Porter du cuir c'est bien, mais j'aimais bien m'habiller autrement par moments.

Le nez plongé dans la penderie de ma chambre, j'en tirais un jean tout ce qu'il y avait de plus basique, un tee shirt noir, et un bas de sous-vêtements. J'étais chez moi, pas besoin de me trimballer avec un soutien-gorge. Ce n'était pas comme si j'étais dans une rencontre diplomatique ou un truc de ce genre. La décence m'obligeait à m'habiller, pas non plus à porter cinquante couches de vêtements. Et comme j'étais chez moi, je pouvais faire un peu ce que je voulais. Manquerait plus que je ne sois plus libre de mes actions dans ma propre baraque. Parfois, lorsque j'écoutais certaines personnes parler, je me demandais comment elles pouvaient vivre en s'interdisant tant de choses. Je n'avais pas été éduquée de la sorte, et vivre ainsi ne me conviendrait sûrement pas. M'habillant donc rapidement, j'allais dans le salon, pour attraper mon paquet de cigarettes. Mine de rien, ce genre d'activités me donnaient toujours envie de cloper par la suite.

- Bon, j'espère que tu prends pas trop de place la nuit. Parce que sinon, j'vais devoir te faire dormir sur moi. Et crois moi, t'as pas envie de dormir sur moi.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mardi 30 janvier 2018, 14:31:00 »
Sa réaction ne me surprenait guère. Mais si je commençais à lui expliquer la véritable raison, je n'étais même pas sûre qu'elle me croie. Elle pourrait très bien se foutre de ma gueule, me considérer comme une personne faible, voire même pire que ça. Mais il fallait bien que je lui donne une raison, ne serait-ce que pour désamorcer la situation. Je me retrouvais donc dans une certaine mauvaise posture. Et je n'aimais vraiment pas ça. Pendant un moment, je restais silencieuse, ne sachant pas trop quoi dire. Il fallait bien que je me lance à un moment donné, et, la suivant dans la salle de bain, j'ouvrais la bouche, parlant avec un ton extrêmement calme mais plein de sincérité.

- Je vais t'expliquer pourquoi je ne suis pas venue avec toi. Tu vas très certainement te foutre de ma gueule, mais au moins, j'assume ce fait. Je t'ai dis que j'avais plus de 300 ans, c'est un fait. Mais là n'est pas la question. Quand j'étais bien plus jeune, je suis sortie avec un homme, pour qui j'avais beaucoup de considération. Tout allait bien entre nous, absolument tout. Il n'y a qu'une fois où les choses ont dérapé. Alors que je prenais une douche avec lui, comme toujours, il a commencé à faire certaines choses. Au départ, j'étais réellement consentante. Sauf pour ce qu'il a fait ensuite. Et je n'ai rien dit. Je n'ai absolument rien dit et je l'ai regretté par la suite. J'ai mis un mois pour me débarrasser de lui. Alors oui, c'est certes une petite chose pour certains, mais j'étais vraiment pas bien ce jour-là. Et ça a développé quelque chose en moi qui fait que je n'arrive plus à refaire ce genre de choses dans ce genre de lieux. Si tu voulais une explication de ma volonté maladive d'avoir le contrôle sur tout, c'est une des multiples explications. Je marquais une assez longue pause avant de terminer. - J'aurais dû te le dire dès le départ, mais je m'attendais pas à ce que tu proposes quelque chose comme ça. Je suis vraiment désolée d'avoir caché quelque chose comme ça. Tu peux m'en vouloir si tu veux, me juger, ça n'a pas d'importance. J'aurais dû être honnête avec toi. Alors oui, je suis désolée de ne pas te l'avoir dit.

Je n'allais pas mentir sur ce genre de choses. Maintenant que la messe était dite, le reste n'allait dépendre que d'elle. Je ne savais vraiment pas quoi faire, ni où me mettre. Je détestais avoir des faiblesses comme celle-ci, mais je ne pouvais pas être une machine sans cœur.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 27 janvier 2018, 18:29:41 »
Sa réponse me satisfaisait totalement. Si je devais cohabiter avec elle pendant un temps certain, autant prendre les devants et s'amuser de temps en temps. Si je ne mourrais pas au combat demain matin, j'avais encore quelques siècles devant moi à vivre. J'avais de la patience, c'était un fait évident, mais quand j'avais une occasion de m'occuper à la fois de moi et de quelqu'un d'autre, ne pas saisir cette opportunité me semblait être un crime. Et je détestais ce genre de choses. Je me sentais vraiment débile quand je ne prenais pas une opportunité au vol. Et ce fut le cas dans le passé. Et à chaque fois, j'éprouvais des regrets. Des regrets que je n'avais vraiment envie d'éprouver une nouvelle fois.

-Je pourrais t'apprendre à te battre si t'es sage. Je suis certes meilleure en tant que tireuse d'élite qu'en tant que combattante à mains nues, mais je sais me débrouiller. Si t'es sage et patiente, t'auras le droit à ça.

Je savais pertinemment qu'elle n'allait pas finir, et pile au moment où je me disais cela, elle partait prendre une douche. Frustrante jusqu'au bout. Mais mine de rien, je commençais à l'apprécier pour cela. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais c'était un fait que je ne pouvais pas vraiment nier. Si je commençais à nier une chose aussi évidente, il fallait que je mette à nier d'autres choses, et je n'en avais pas vraiment envie. Soufflant pour la forme, je la laissais donc aller prendre une douche. Je n'avais pas réellement d'autre choix de toute manière. Je restais là donc mon lit, mais il fallait impérativement que je me finisse. Pour ne pas rester sur une frustration latente. Armée de mon poignet, d'une grande volonté, et d'une endurance en berne après toute cette folie, j'entamais un mouvement de masturbation assez rapide. J'étais chez moi après tout. Et même si je n'avais pas été chez moi, je l'aurais fait de toute manière. Je ne savais réellement pas ce que le mot pudeur signifiait.

Ayant un mouvement de poignet relativement rapide, et armée de la meilleure volonté du monde, avec une endurance qui descendait en flèche, je ne mis que peu de temps avant d'atteindre le point de non-retour, poussant encore une fois un soupir de bien-être, alors que je venais de tout répandre sur moi-même. Et enfin je perdais ma vigueur. Je pouvais souffler un moment. Je ne savais pas vraiment combien de temps j'allais pouvoir souffler, mais un temps certain.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mardi 23 janvier 2018, 19:05:10 »
Face à sa remarque sur mon manque de visée, je ricanais tout en sortant un petit doigt d'honneur. Rien de méchant, puisque mon ricanement prouvait à lui seul que j'avais de l'ironie. La mienne pouvait parfois être quelque peu étrange, et je l'admettais volontiers. Mais je ne pouvais pas y faire grand chose pour le moment. Il me fallait un long travail sur moi-même pour changer mon humour et mon ironie, et pour le moment, je n'avais pas vraiment le temps pour ça. J'étais plutôt occupée à d'autres choses bien plus intéressantes et importantes. Bien plus importantes que de changer une parcelle de ma personnalité, avec laquelle je vivais très bien depuis toutes ces années.

Soupirant une nouvelle fois, je venais tout juste de retrouver un rythme cardiaque et respiratoire normal. Je pouvais très bien repartir pour une session de plus, qui serait évidemment moins physique que la première, car même si j'avais une endurance supérieure à la moyenne, je ne pouvais pas non plus tout supporter pendant des heures. J'avais bien évidemment mes limites, et j'en était totalement consciente. Et comme si tout ne suffisait pas, j'étais à présent sur le ventre, avec Alix entre les cuisses. Il fallait vraiment qu'un jour, je lui apprenne ce qu'est la patience. Mais après tout, ce n'était pas quelque chose qui me gênait dans cette situation.

- Dans la vie, faut savoir faire preuve de patience, ma petite. Je ricanais une nouvelle fois. - Ce que j'ai comme projet? Oh, deux fois rien. Te permettre de pouvoir te défendre sans forcément m'avoir derrière ton cul en permanence. Et en parlant de cette même chose, m'en occuper de temps à autre. Puisque je suis partie pour t'avoir chez moi pendant un certain temps, autant ne pas s'en priver. De toute manière, on y trouvera toutes les deux notre compte. Après tout ça, je pense que tu ne regretteras pas la décision que j'ai prise ce matin.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 20 janvier 2018, 19:02:18 »
Il était évident que je n'allais pas tenir 100 ans à ce rythme. Et comme je m'y attendais clairement, elle perdit pied bien avant moi. J'allais sûrement la prendre en main dans ce domaine. Si je pouvais en faire une machine de guerre, autant le faire. Tout serait bénéfique, à la fois pour moi si une telle chose devait recommencer, mais également pour elle dans le futur. Je commençais à me rendre compte que j'imaginais tout un tas de choses à son sujet, et je voulais mettre ces choses à exécution. Ma bonté allait me perdre un jour.

Alors qu'elle venait tout juste de se vider en moi, je ralentissais quelque peu mes mouvements de bassin. Et en la sentant prendre mon entrejambe en main, je savais très bien ce qu'elle avait en tête. Et à vrai dire, dès le départ, je savais que je n'allais pas être déçue. A la vitesse à laquelle elle allait, je savais très bien comment tout cela allait finir. Et à vrai dire, j'en avais très envie. Mes gémissements devenaient de plus en plus puissants, et combinés à mes mouvements de bassin, je commençais réellement à serrer les poings pour garder un semblant d'endurance.

Je pouvais très bien être une espèce de garce et ralentir le temps à l'extrême pour tricher, mais cela ne servirait absolument à rien, et ce n'était clairement pas le but recherché. Je gémissais donc de plus en plus, via ses coups de poignet, allant même jusqu'à cambrer à l'extrême mon bassin. Je gémissais, encore et encore, me demandant intérieurement quand j'allais atteindre ce point de non retour. Et finalement, alors que j'atteignais une note assez haute avec ma voix, s'ensuivit un grand silence. Symptomatique d'une chose très simple. J'avais un orgasme? Je ne faisais aucun bruit.

Et vu la position dans laquelle j'étais, tout se répandit sur elle. Me vidant donc sur elle, je poussais une fois encore un long soupir de bien-être. Par moments, la façon avec laquelle j'étais réglée comme une horloge me faisait parfois peur, je devais bien l'avouer. Reprenant lentement ma respiration, je finis par m'affaler sur elle, néanmoins pas comme une espèce de bourrine. Et accessoirement, comme je m'affalais sur elle, je m'affalais également sur ce que je venais de répandre sur elle. Mais cette notion ne me dérangeait absolument pas.

- Brave petite. Finalement, j'vais peut-être pouvoir tirer quelque chose de positif de toi. Je disais ça en souriant.

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Cette saloperie commençait réellement à me taper sur le système. Je comptais vraiment m'en débarrasser une bonne fois pour toute, mais je réalisais tout de même que je n'avais pas du tout les mêmes pouvoirs que cette dernière. Autant les mieux étaient basés sur la gestion du temps, ainsi qu'une pointe d'exorcisme et d'endurance sexuelle, autant les siens me semblaient bien plus larges. J'étais quelque peu jalouse en effet, je le reconnaissais en n'en avait pas honte. J'allais réellement devoir sacrément me bouger le cul si j'avais envie d'arriver à son niveau. Après tout, j'étais une sorcière, et avait une très longue espérance de vie, quelque part, j'avais donc le temps.

Ceci dit, quelque chose se déroula, et attira grandement mon attention, par rapport au reste. Alors oui, j'étais particulièrement jalouse de tout ce qu'elle invoquait, car je n'en étais absolument pas capable, et ne le serait pas avant un sacré bout de temps, mais là n'était pas le plus important. Non, en effet. La quasi totalité de sa combinaison venait de disparaître, et surtout, toutes ses invocations passaient par ses cheveux. Le fait que même ses vêtements étaient constitués de ses propres cheveux était donc une conclusion qui avait du sens. Pour une sorcière. Pour le commun des mortels qui pensait que notre existence était purement fictive, cela n'aurait strictement aucun sens. Après un tel spectacle, je n'avais qu'une seule chose à dire.

- Mis à part ça, ça t'arrives souvent de te mettre toute nue devant les gens comme ça?

Evidemment, je la complimentais sur ce qu'elle venait de faire. Je n'étais pas une espèce de vieille perverse salace. Quoique, quand même un peu, parfois. Et je l'assumais.

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La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mardi 16 janvier 2018, 15:45:39 »
Ainsi donc, elle voulait que je passe au niveau supérieur? Trop charmant. Je comptais y arriver, plus tard. Mais visiblement, la tournure des événements faisait que je devais revoir mes plans, le plus rapidement possible. Et par le plus rapidement possible je voulais bien sur entendre de suite. Mine de rien, je fis semblant de ne pas entendre ce qu'elle venait de dire, prenant même l'air de celle qui allait continuer sur sa lancée. Stratégie frustrante mais qui marchait toujours très bien, surtout lorsque cette dernière atteignait enfin le but recherché. Et j'allais l'atteindre, avant qu'elle ne pète un câble et trouve ça bien trop lent à son goût. Je donnais encore un peu de petits coups de bassin, avant de donner une grande impulsion, inversant totalement les rôles.

Elle se retrouvait donc sur le dos, et moi, sur elle, à califourchon. Bien évidemment, j'étais toujours empalée sur elle, pour ne pas changer cet état de fait. Ainsi, j'allais pouvoir faire absolument ce que je veux, vu que j'étais maintenant dans la position de force. Tout un panel de mouvements s'ouvrait à moi. Et ces derniers changèrent radicalement de vitesse. J'adoptais des mouvements de bassin extrêmement rapides, et à grande puissance. Si elle voulait quelque chose qui change, elle allait être servi. Ils étaient bien plus rapides et puissants que lorsque j'étais en elle. Plaquant mes mains sur son ventre, la plaquant de ce fait contre le matelas, je faisais d'elle ce que je voulais à présent. Rien que le bruit de son bassin contre le mien était bien plus important que précédemment.

A chaque mouvement, j'enfonçais son membre de plus en plus loin en moi. Jusqu'à l'englober entièrement. J'étais habituée à cette pratique, donc je pouvais me permettre tout ce que je faisais. Ce qui n'était évidemment pas du tout conseillé aux débutants, loin de là. Mais plus je donnais de violents mouvements de bassin, plus mes gémissements grimpaient en hauteur. Et plus je gémissais, plus je donnais de plus grands coups de bassin. Ici, il s'agissait d'endurance. J'allais voir qui allait claquer en premier.

- Pour la peine, tu prendras une deuxième couche.

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