Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Un cours quelque peu compromis (Pv: White Rabbit)
« le: lundi 30 septembre 2013, 01:34:13 »Avec un tel nom, Nathalie n’était probablement pas originaire du Japon. White Rabbit essaya de sonder un peu plus ses pensées, de manière discrète. Sous l’effet de l’excitation sexuelle, mais aussi du vif plaisir que Nathalie ressentait à l’idée de montrer son corps et ses prouesses devant Ai Shimamura, White Rabbit pouvait plus facilement lire ses pensées. Nathalie était une petite fille bien éduquée, de bonne famille, qui venait de l’Occident. Balic était d’origine slave, et avait un père russe et une mère japonaise. Le père était un homme d’affaires assez croyant, et Nathalie avait grandi dans le respect de l’Église, les valeurs du christianisme... White Rabbit imaginait sans mal pourquoi elle était aussi facilement soumise à l’autorité, dans la mesure où les religions enseignaient la soumission à des puissances supérieures. White Rabbit cessa de lire son esprit, car Nathalie venait de jouir. Elle restait une vierge, et il était donc normal que, sous son état de fébrilité avancée, elle jouisse vite.
White Rabbit avait désormais envie d’intervenir, mais il fallait encore le faire de manière subtile. Ce spectacle lui plaisait énormément, et elle ne voulait pas tout gâcher en débarquant. La petite Nathalie était devant sa senseï, qui l’invitait à lécher sa culotte. Le pied d’Ai remuait entre les cuisses de la femme, frottant tendrement son vagin. Cette femme était douée, et Nathalie, quant à elle, se mit à remonter pour fourrer sa tête sous la minijupe noire en cuir, et lécha avidement la culotte, humant l’odeur intime de la senseï, léchant les traces de mouille qui s’échappaient de sa belle culotte.
« Huuum... Huuuuuummmm... » gémissait-elle lentement.
L’une de ses mains se déplaça pour caresser la jambe de sa senseï, celle qui était en train de se frotter contre son intimité. Elle caressait ainsi lentement l’arrière du genou de la femme, à hauteur du talon, et continuait à lécher sa culotte, sans s’interrompre, heureuse de sentir la fente intime de sa senseï. Elle avait déjà vu cette dernière, et avait trouvé que son sexe était la plus belle chose du monde. Son grand rêve était de la lécher, et elle était sur le point de le faire. Nathalie continuait à mouiller, salissant le pied de sa senseï, tout en s’activant.
White Rabbit, de son côté, continuait à réfléchir sur la manière dont elle interviendrait, et elle décida d’opter pour son approche classique. Lentement, le temps sembla se figer, se ralentir, autour de la senseï, jusqu’à ce que Nathalie ne bouge plus. Elle semblait alors aussi lourde qu’un bloc de béton si on essayait de la bouger.Le temps avait été profondément ralenti pour Ai Shimamura, ce qui faisait que les secondes s’écoulaient aussi longuement que des heures.
« Ne t’en fais pas, ma belle, glissa alors une voix mélodieuse, je ne te veux aucun mal... »
Un léger parfum sensoriel et enivrant envahit la pièce, filant vers les narines de la femme, alors que cette dernière pouvait percevoir des bruits de pas étouffés, mais sans voir la forme de la femme, dont la voix mélodieuse semblait chargée de perversion.
« Je suis venue récompenser ta dévotion et ta joie des plaisirs charnels », poursuivit White Rabbit.
Elle apparut alors, assise sur le bureau, jambes croisées, à côté de la femme, et posa l’une de ses mains gantées sur la joue opposée de la senseï, afin de pouvoir tendrement l’embrasser sur les lèvres.
« Tu es une femme très talentueuse... » la complimenta White Rabbit, avec un léger sourire sur les lèvres.