Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Camelia

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Le Blanc, le ciel et le sol était d'une blancheur telle qu'on ne pouvait croire qu'à un paradis glacial et chaleureux à la fois. En observant la neige sur le sol on pouvait voir des trace de pas, une chose était certaine, il ne s'agissait pas de basket ou autres chaussures de marque, non les traces démontrait que la personne portait des bottes qui datait du temps médiéval, le genre d'article que l'on préfère généralement garder sous une verrière et le montrer à ses convives.

On pouvait voir que quatre hommes se mettaient à suivre ses trace, leurs visages luisaient d'un karma mauvais, ils étaient clairement partit chasser la frêle créature qui n'avait pas prit soin d'effacer ses traces. L'un d'entre eux avait un bien joli fouet, nul  doute que la proie allait souffrir si ce n'est pire. Nous les suivons discrètement pour savoir de quoi il allait en retourner.

Pendant près de cinq minutes, les hommes vinrent à suivre une silhouette au loin, qui semblait habillée d'une petite cape blanche, avec des jarretelles noires accompagné d'une paire de botte dans les même teinte.

C'est alors que deux hommes du groupe vinrent à se séparer, laissant les deux autres continuer d'avancer et allèrent même jusqu'à accélérer le pas. La proie se rendit à ce moment compte qu'elle était prit en chasse, se mettant à arrêter sa marche, à la grande surprise des hommes qui croyaient qu'elle allait plutôt chercher à fuir. La jeune femme se mit à faire face aux deux hommes avec un grand sourire.

- Vous comptez sans doute me violer, mais puis-je au moins savoir où je suis.

L'un des deux hommes vint à tendre son fouet, ayant un sourire carnassier.

- Laisse toi faire et on te le dira.

Camelia se mit à faire quelque pas en arrière et sentit alors deux puissante main se poser sur ses poignet. Aussitôt l'esclave voulut user de quelque notion de magie, mais rien ne parvint à venir, elle prit alors le choix d'écraser l'orteil de l'homme entravant ses gestes. S'en suivit un cris et des jurons, permettant à la femme de s'enfuir en courant, jusqu'à ce que le cuir du fouet s'enroule autour de sa gorge et qu'un geste la tire en arrière, le cul sur la neige. L'homme maniant le fouet posa son pied sur l'épaule droite de l'ESP.er, tirant encore un peu plus fort sur son fouet pour que la jeune femme comprenne qui était le chef.

- Alors petite garce, on veut montrer ses épines ? T'inquiète on va te les couper et s'occuper de ton corps.

Son pied quitta l'épaule pour appuyer sur le sein droit.

- Une jolie fleur hivernale comme toi saura nous satisfaire, ainsi que les autres compagnons qui attende au chaud.

Camelia ne pouvait rien faire, elle c'était presque résigné à devoir se faire salir par des hommes, alors que sa maîtresse devait l'attendre quelque part hors de ce lieu bizarre qu'était la Terre.

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Le coin du chalant / un rp hors-chronologie
« le: lundi 29 avril 2013, 19:16:33 »
/!\ Tout ce qui se passera sur ce rp n'aura aucune incidence sur l'histoire de Camelia, aussi n'hésitez pas à la tuer et la ressuscité si cela vous amuses, la mettre enceinte, faire des ellipses temporelles, ect .../!\


Sujet du topic=> C'est à voir avec la personne qui se proposera
Nombre de participants=> 1 seul compte
Trame=> Aucune discrimination sur les personnes qui se proposes
Qualité de post=> Je n'y accorde pas de réelle importance.

Les pré-requis :

- Réponse assez fréquente.
- Des idées en pagaille.
- Du fun ...

répétable autant de fois que je le souhaite, donc n'hésitez pas à postuler.^^

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L'esclave fut ravie d'entendre sa maîtresse aimer le massage, d'un autre côté qui ne peut apprécier de sentir son corps se détendre au point d'approcher un état proche du sommeil. Camelia faisait d'ailleurs attention à ne pas être trop douce, il aurait été dommage pour Irys de s'endormir pendant la séance et rater une partie fort attrayante, bien que plus intime dirons-nous. D'un geste fluide et souple, comme si un chat marchait sur le dos de la mercenaire, elle continue le massage, s'attaquant aux flancs, cela n'avait pas de réel intérêt pour la séance, mais l'esclave voulait que la peau de sa maîtresse soit pleinement nourrit par l'huile, jugeant qu'Irys ne devait pas souvent prendre soin de son pouvoir de séduction.

Elle se mit à descendre, moulant de ses mains les formes des hanches et masser le fessier de la mercenaire, sentant cette partie assez ferme, sans doute sa vie de mercenaire qui avait travaillé son corps pour le voyage et la chevauche de différentes montures. Camelia se mit à penser qu'une autre manière aurait été amusant à essayer, même si Irys était une femme, mais au final elle se dit que mieux valait conserver la méthode traditionnelle, c'est à dire avec les mains. 

Ses mains touchèrent à peine la raie des fesses d'Irys et continua la descente, attaquant les cuisses, cuisses qu'elle prit bien le temps de masser pour les détendre complètement, vint après les mollets dont les muscles, plus fin, étaient plus difficile à masser. On voyait bien que l'esclave faisait de son mieux, finissant par les pieds, elle massa la plante qui avait été agressé par les innombrables kilomètre qu'Irys avait engloutit, elle finit en glissant ses doigts entre ceux des pieds de la mercenaires. Une fois ceci fait elle déposa les jambes sur le lit.

- Si vous désirez continuer cette séance Irys, je vous demanderais de bien vouloir vous mettre sur le dos et de me dire si vous souhaiter que je délaisse certaine partie de votre corps, intime comprise.

La phrase pouvait paraitre idiote, mais chez Camelia un massage ne se faisait pas à la légère et elle voulait connaître si Irys était le genre de femme à se laisser aller ou au contraire garder une limite à ne pas dépasser.

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L'ESP.er se mit à incliner du buste quand la mercenaire se mit à formuler le refus de la toilette et un temps d'attente pour le massage, la maîtresse avait semble-t-il ses petite habitude à ne pas changer. Camelia se mit cependant à préparer la serviette, pour qu'elle soit chaude, ce qui était plus agréable quand on sortait d'un bain. Elle se mit à s'avancer, pour essuyer le corps humide d'Irys, mais cette dernière prit la serviette, signe d'un autre refus de sa part. Camelia se disait que cette maîtresse était bien différente des autres, plus difficile à cerner, plus difficile à servir, mais en tant qu'esclave elle devait faire son possible pour obtenir sa gratitude.

L'esclave se mit à écouter les remontrances de sa maîtresse, comprenant les paroles d'Irys, qui ne désirait pas avoir une esclave qui fait tout pour elle, mais uniquement une esclave qui puisse rendre agréable son temps de repos, chose qu'elle demanda implicitement en se posant sur le lit avant de le dire clairement. Camelia se mit à parler, jugeant que cette maîtresse n'irait pas la punir pour oser ouvrir sa bouche.

- Veuillez attendre une petite minute, que je vérifie dans l'armoire s'il y a un objet essentiel à tout bon massage.

L'esclave se mit à fouiller dans l'armoire et découvrit ce qu'elle voulait trouver, de l'huile de massage. Elle s'assura tout d'abord de la qualité et si le produit était périmé, mais visiblement tout était bon pour l'utiliser. Elle s'approcha de la mercenaire en déposant sur un petit tabouret le pot d'huile.

- Cette huile va nourrir votre peau tout en la parfumant.

L'esclave prit un peu d'huile dans ses mains, pour la réchauffer et qu'Irys puisse se détendre. une fois à bonne température, elle commença le massage. Son premier point de passage fut la nuque, une zone que l'esclave commençait tout le temps. De ses doigts experte, elle faisait disparaitre boules de stress en l'attaquant sur le pourtour, cela était plus long mais permettait d'éviter une possible douleur si le stress accumulé était trop important.

Lentement mais surement, elle descendit sur les épaules, massant toujours avec douceur et fermeté. Camelia attaqua par la suite les bras et remonta aux omoplates pour glisser sensuellement vers le bas du corps. L'esclave se mit à dire doucement, comme pour bercer Irys avec sa voix et son massage.

- Vous vous sentez bien  Irys ?

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L'esclave fut assez troublée des dirent que la mercenaire proférait. Il s'agissait bien de la première maîtresse qui ne voulait pas une barrière entre elle et son esclave, ce qui déstabilisait les points de repère de Camelia, ne sachant pas réellement où Irys voulait en venir. Cependant elle n'était pas stupide au point de ne pas comprendre qu'à présent elle devait appeler Irys sans utiliser le mot "maîtresse", cela allait être une petite gymnastique intellectuelle pour Camelia, mais elle se savait capable de faire au moins ça.

L'ESP.er comprit rapidement que la mercenaire cherchait une personne pour s'occuper de soulager le poids de la solitude. L'esclave avait déjà eut des maîtres et maîtresses qui souffraient de ne pas avoir une personne à leurs côtés et cela permettait à Camelia de supposer ce que la mercenaire désirait. L'esclave avait les aptitudes pour tenir une conversation intéressante et détendre Irys après ses missions, mais Camelia ne savait pas s'il fallait agir comme une esclave, une amie (même si pour Camelia le concept d'amitié est une simple attitude) ou encore comme une concubine. Elle n'eut pas l'occasion de pouvoir en savoir plus que déjà le bain arrivait.

Cette auberge était bien conçu, ayant prévu des portes assez large et des baignoires à l'étage, évitant aux servantes de monter les escaliers. Camelia se chargea de prendre le nécessaire de toilette, en remerciant les deux servantes, c'était à elle de s'occuper du corps d'Irys et non aux servantes. D'ailleurs elles prirent congés sous les ordre de la mercenaire.

L'esclave ne rougit pas devant la mercenaire en tenu d'Eve, étant habituée à voir des personnes dévêtues, elle attendit qu'Irys soit dans le bain et que le corps de la mercenaire soit pleinement détendu pour s'avancer.

- Je peux vous nettoyer si vous le désirez, à moins qu'un massage vous fasses plus de bien ?

Camelia avançait à tâtons, elle n'avait pas été embrassé par la mercenaire et se devait d'utiliser son expérience pour rendre la vie d'Irys la plus plaisante qui soit.

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Camelia regardait sa nouvelle maîtresse, au vue des réactions de cette dernières, elle ne devait pas avoir eut une grande expérience avec les esclaves, cela pouvait se sentir à une attitude qui manquait chez Irys, cette assurance qu'on tout les maîtres et maîtresse à l'égard de Camelia. L'ESP.er n'allait pas poser la question, sachant que cela pouvait froisser la fierté de cette femme qui semblait apte à la mettre à terre facilement, ayant repéré depuis les enchères sa posture droite qui sous-entendait un entrainement martial. Si l'esclave ne dit rien, elle se dit que cela serait son rôle de faire prendre conscience à Irys des droits qu'elle avait sur elle.

Vint les présentations, présentation que Camelia répondit en inclinant le buste, la mercenaire ne le savait pas mais l'esclave n'avait pas le droit de parler en dehors de l'autorisation donnée par sa maîtresse. Ce fut avec un léger retrait que l'ESP.er suivit Irys, un maître doit toujours être devant ses esclaves pour montre qu'il reste le dominant, sans doute la mercenaire ne savait pas encore pourquoi cette légère distance, comme si elle avait peur de la demi-démone. Elles marchèrent un petit bout de chemin, jusqu'à ce que l'auberge soit en vu. Il ne fallut pas longtemps pour que Camelia sache de quel auberge il s'agissait, ayant plus d'une fois dû chercher de l'alcool pour une ancienne maîtresse dépressive. L'esclave salua le personnel comme à son habitude, ce dernier sachant, par la demande de la mercenaire, que l'ESP.er avait une nouvelle maîtresse.

Camelia montait l'escalier, restant dans le dos de sa maîtresse dans le cas, improbable, où elle viendrait à chuter en arrière.  De petite précaution qui en avait sauvé plus d'un d'une mauvaise chute. Elle entra dans la pièce, refermant la porte derrière elle, pour éviter que des oreilles écoute une possible conversation. Si Irys se mit à l'aise, l'esclave restait prêt de la porte, droite comme un piquet.  C'est alors que la maîtresse de Camelia fit part de sa méconnaissance, chose que l'esclave ne pouvait rire, car il faut un début à tout et elle comptait faire en sorte qu'Irys soit une maîtresse parfaite.

Camelia se mit à incliner une nouvelle fois son buste pour remercier Irys de donner la parole en ayant formulé une question.

- Il n'y a pas grand chose à dire maîtresse Irys. Depuis ma plus tendre enfance j'ai été éduqué pour servir mes maîtres et maîtresse. Ma capacité étant assez puissante on m'a enseigner à l'utiliser pour mes propriétaires et d'accepter tout ordre qui viendrais à leurs esprits. Avant vous, maîtresse Irys, j'ai servit bon nombre de maître et maîtresse, certains désirant un simple jouet pour leurs enfants, d'autre désirant simplement assouvir des concepts sexuels dépassant la morale humaine, enfin j'ai aussi servi de simple présence réconfortante pour des personnes agonisantes.  Les souvenirs que j'obtiens par ma capacité ne s'effacent pas. Si vous, maîtresse Irys, vous me demandez ce que j'aime ou n'aime pas, je vous répondrais la chose suivante. Ne pouvant avoir un caractère propre je peux accepter tout de mes propriétaire.

Camelia se tut un petit temps.

- Maîtresse Irys, vous me demandez comment agir avec moi ... vous pouvez m'utiliser comme on vous sembles, un simple outil, un animal de compagnie, une servante, demandez moi comment me considérer vis-a-vis de vous et j'obéirais. Un esclave n'obtient un rôle qu'auprès d'un maître et ce doit de s'y conformer. C'est à vous, maîtresse Irys, de décider ce que je serais pour vous, c'est le premier rôle d'un bon maître.

Le plus surprenant était le calme de l'esclave, comme si cette vie était normal et confortable.

L'esclave attendait de tout venant de cette demi-démone, qui devait à présent comprendre la puissance qu'elle possédait sur Camelia. Cela allait-il effrayer Irys ? Allait-elle se laisser embrasser par cette domination qu'elle avait sur l'ESP.er ? Camelia ne pouvait le dire, mais accepterais de toute manière la décision de sa maîtresse. 

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Muramasa se mit à suivre le dieu, supposant que ce dernier avait accepté sa requête, non sans rester un peu nerveuse à l'idée de rencontrer encore des dragons d'aciers domptés par les humains. Elle eut un léger sursaut, reculant légèrement sa main, mais ce ne fut pas suffisant pour que le dieu puisse rater sa prise. Elle n'osait pas regarder le dieu, se disant qu'elle devait avoir l'air d'une idiote à ses yeux, même si elle conservait une certaine fierté. Ses yeux dorée se posèrent sur les créations des humains, les distributeurs étaient quelque chose de bizarre, "pourquoi enfermer dans un coffret aussi grand des choses à la vue de tout le monde", c'est ce que l'elfe se demandait. Les passage piéton avec les bonhomme vert et rouge, accompagnée d'une musique affreuse gênait les oreilles sensibles de l'elfe.

Elle se mit à frisonner quand elle fit son entrée dans l'hôtel, là où l'extérieur semblait froids et fade, ses yeux ne pouvaient pas faire autrement qu'observer un endroit remplit de couleur vive, où des tubes de lumières gardait l'endroit lumineux. L'endroit transpirait le luxe, chose que l'elfe n'était pas habitué. C'est par cette surprise de taille qu'elle vint à rester prêt d'Uzume, entrant dans l'ascenceur.

Si le dieu n'avait pas retenu l'elfe, elle aurait sauté en dehors de l'appareil, elle se sentait à l'étroit, elle qui étai habitué aux espaces vaste et sobre, elle se trouvait coincée dans un espace confiné, elle se mit à frémir en sentant la main divine jouer un peu avec son corps, focalisant son esprit sur autre chose que cette boite qui monte. Ses joues s'empourprèrent, quand les lèvres d'Uzume titillèrent les oreilles sensibles de l'elfe. Pour Muramasa cela était étrange, cela l'a faisait un peu peur et elle se libéra de l'emprise du dieu, qui fit part d'un questionnement sur elle. L'elfe se mit à cacher sa gêne, en tournant la tête, comme si elle le boudait.

- Non aucun elfe ne se serait permit ses gestes déplacés, que cela soit un homme ou une femme d'ailleurs. Encore une coutume bizarre que vous avez.


Elle fut surprise que l'ascenseur arrête son ascension, si la sensation d'élévation du corps était faible, elle fut suffisante pour que Muramasa perde un temps l'équilibre. Rouge de honte, elle se mit à sortir de l'ascenseur et faillit rater la créature laissée par les parents d'Uzume, mais cela aurait été rater un humain dans une plaine. Elle se mit à arrêter sa marche, saisissant la frêle créature dans ses mains.

- Qu'est-ce que tu fais ici petit animal, les humains pourraient te faire du mal. Ne bouge pas, je vais te mettre dans un endroit plus paisible.

Uzume pouvait voir le "petit animal" que l'elfe tenait dans es main, mais ne put agir, Muramasa se dirigeant vers la fenêtre la plus proche. Elle l'ouvrit, posant ses fesses sur le rebord et scrutant l'horizon, l'air faisant voltiger agréablement sa longue chevelure.

- Je crois que cet endroit de verdure sera mieux pour toi.

Dans le langage elfique, elle se mit à réciter une petite formule magique, le poisson d'argent fut entouré d'une sphère de vent, cette dernière descendant vers un parc un peu plus bas. Enfin elle se mit à regarder le dieu qui semblait pâle, d'un regard étonné elle se mit à dire.

- Qu'est-ce que vous avez, vous semblez bien livide, auriez-vous vu un être sans matière ?

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Prélude / Re : Quatre (ou cinq) blondes qui se pointe le nez ! [Law]
« le: mardi 23 avril 2013, 09:46:47 »
*S'incline devant les demoiselles.*

Bienvenue sur Terra, puissiez-vous passer d'excellente journée.

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Prélude / Re : Bienvenue au Suspendium [valucidé]
« le: mardi 12 mars 2013, 10:53:28 »
Bienvenue maîtresse. *s'incline*

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L'elfe ne quitta pas son air de mère réprimandant son fils, jusqu'à ce que l'araignée se pose sur sa tête. Muramasa sentit la petite créature et calma son visage comme son esprit, sachant que les animaux sont beaucoup plus sensible aux sentiments que les être intelligents, ayant cédé leurs bestialités pour accéder au savoir. l'être elfique ne fit pas un mouvement de recule quand la divinité tendit son doigt, elle attendait de voir si l'araignée allait le mordre, ce qui serait un mauvais présage sur sa véritable nature. Heureusement rien ne se passa et l'elfe baissa totalement sa garde, même si ses instructeurs avait toujours dit que les êtres non-elfiques étaient dangereux.

Muramasa se mit à frémir en sentant la main d'Uzume, elle essaya de cacher un rictus qui n'était rien de plus qu'un réflexe. L'elfe se rappelait que beaucoup de copine elfe avait cette manie de toucher son visage pour savoir si sa peau mate était plus ou moins douce que la leurs. Le genre de souvenir qui vous met rapidement dans l'embarras et vous pousse à trouver mille stratagème pour sortir de ce bourbier.

Puis après la surprise de la caresse ce fut des paroles qui n'avaient plus rien d'assuré. L'elfe ne pouvait supposer qu'une chose, la divinité n'était pas habitué à dire la vérité et encore moins habile pour ce qui est de se faire pardonner. Muramasa pouvait contrôle la situation, ce qui dans un sens était ironique.

L'elfe poussa un profond soupir quand Uzume se mit à quémander d'en savoir plus sur elle et ce que Muramasa attendait de la divinité.

- Vous devez être assez jeune, ce qui fait que nous sommes deux dans ce cas. Vous voulez que je vous dise ce que je souhaite de votre part, soit. Je ne suis pas une elfe difficile, ce que je souhaite c'est servir une divinité, étant même prête à servir un dieu maléfique pour peu qu'il m'apporte protection et respecte ma façon de voir le monde et aussi.

Muramasa se mit à légèrement rougir, parlant d'une voix à peine audible.

- M'apporter les connaissances de ce monde où il n'y a que des êtres non-elfique. J'ai croisé des dragon d'acier dompté par des humains, qui hurle quand on les blesse ou encore ses tige de métal contenant des petits soleils. Je ne connais pas Hôtel, c'est un amis à vous ?

L'elfe venait d'admettre qu'elle ne connaissait rien à la Terre, ayant comme la plupart des créature magiques franchit un portail sans s'en rendre compte.

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L'elfe ne bougea pas beaucoup quand la divinité se mit à tourner autour d'elle. bien sûr le regard de la jeune créature elfique fixait le dieux, le suivant en usant de son ouïe.  Elle était jeune, mais pas suffisamment idiote pour agir avec insouciance. Point que Uzume semblait montrer en agissant comme un gamin devant un joli objet à admirer.
La divinité avait en effet commit une belle bourde en brisant l'espace d'un instant sa comédie. Une suspicion se mit à apparaitre par le froncement des sourcils de l'elfe. Muramasa se laissa prendre la main, non sans être légèrement crispée, elle n'aimait pas que l'on ment et cacher sa nature divine n'était pas une raison valable.

L'elfe se mit à légèrement rougir devant le baise-main, chose qui était bizarre pour la créature, n'ayant pas assimilé la culture humaine de la Terre. Elle se mit à soupirer et d'un coup l'elfe mit une gifle à la divinité.


- Muramasa Elwinbergue. Cette gifle vous l'avez mérité en me mentant sur votre nature et je n'aime pas laisser peser l'amertume dans mon coeur.

L'elfe se mit à déposer sa mains sur la zone rougit et de la magie elfique fit disparaitre la rougeur.

- Si vous désirez que je sois une de vos servantes vous devrez me jurer de ne plus me mentir. Je peux accepter de devenir un outil pour votre cause, mais le mensonge est un mal. Seul une bonne raison peut permettre de trahir les sentiments des autres et encore ... cela n'efface pas le fait d'avoir souiller les oreilles et l'âme d'autrui. Même si vous êtes une divinité cela ne vous autorise pas à jouer avec les vivants.

Muramasa avait réprimandé Uzume, dévoilant à la divinité que l'elfe avait beau être belle, elle n'était pas une femme facile et un état d'esprit simple où le mensonge ne pouvait exister, parler sans détour, sans mentir était une chose que beaucoup d'êtres vivants avaient oublier, sauf les elfes.

87
Le trio retenant Camelia en "otage' étaient patients, Mimi s'amusant à compte les pièces dans les bourses et faire plein de projet avec tout cet argent, comme s'acheter une nouveau fouet. Les premiers acheteurs potentiels arrivent avec leurs cadeaux et furent surpris de voir une immense table. Margarette se mit à indiquer à chaque fois que tous devaient signer une fiche avec leurs noms et l'objet apporté.

La perceptrice attendit jusqu'à ce que le soleil commence à décroitre et frôler la mer, donnant au ciel une teinte orangée. Puis elle se mit à montrer Camelia, qui était derrière un paravent, sa tenue était comme neuve et sa blessure ne semblait plus exister. La fin de ce jeu sonnait enfin.

- Comme vous pouvez le voir nous avons prit soin de la marchandise. Mimi vous a rendu vos bourses avec la somme requise, ceux et celles n'ayant pas voulut se prêter à ce petit divertissement ne reveront jamais leurs argents et je peux dire qu'il s'agit d'un très gros pactole.

Le faucon d'Aghate se mit à voler sur al table et rapporter trois objet.

- Voici les trois finaliste. Tout d'abord cette magnifique dague que les jumelles Karystal ont acheté à Hector, un armurier de renom qui est le seul dans nexus à pouvoir manier cet alliage si particulier. Cependant ...

Margarette jeta l'arme sur la table, comme s'il s'agissait d'un bibelot sans valeur, de quoi froisser les jumelles. Des rires se firent entendre et la femme mit vite un terme à cette moquerie.

- Les larves n'ayant pas put trouver un cadeau intéressant devraient savoir s'écraser. La raison que vous n'ayez pas été choisit mesdemoiselles est simple. Cette arme est certes joli, efficace, mais sa rareté attirera des ennuis à son possesseur, il s'agit donc d'un objet à double tranchant. De plus je suis assez confiante dans mes capacité pour ne pas avoir à me cacher derrière une bonne lame.

Mimi finissait de distribuer les bourses et passa entre les deux jumelle, ébouriffant leurs cheveux avec ses mains.

- Désolée les filles elle n'a pas voulu m'écouter, Margarette est un peu imbu d'elle-même et elle a de quoi l'être.

La pseudo-nonne, se mit à racler sa gorge, la neko retournant près d'Aghate. Margarette prit alors un bijou, qui était celui du Père Carmody.

- Pour obtenir ce bien vous devez être allé voir Arguentus, il possède pas mal d'objet magique et possède un goût esthétique qui me plait fortement, cependant le fait que l'objet soit un artefact  terni légèrement sa simplicité. Suffisamment pour vous donner la seconde place, car je ne suis pas le genre de femme à apprécier de porter des objets magiques sur moi.  Vous n'êtes pas premier, mais vous l'auriez mérité si le vainqueur de ce jeu n'avait pas été présent.

Magarette se mit à montrer l'objet de la mercenaire, tous se mirent à chuchoter, La porte de Palais savait mettre en valeurs tout objet leurs appartenant, y comprit les carton qui étaient recouvert d'une fine pellicule dorée.

- La gagnante de cette vente est dame Irys Flivya.

Des huées de protestations se firent entendre et la table se fit entouré d'une brume violette, rongeant la table et les objets dessus comme l'on verrait fondre du beurre sur une poêle. Les objet de Père Carmody et des jumelles persistèrent, démontrant que Margarette avait une bonne maîtrise de la magie de corrosion.

- Si vous voulez finir en flaque informe continuez de gâcher cette cérémonie. J'en était où ... Ha oui.  Elle a eut l'intelligence d'offrir un service à nous trois et non simplement ma personne, la générosité est amusante et si rare, ensuite il s'agit de nourriture. Pour beaucoup cela a moins de valeur qu'un objet familial ou un objet rare, mais se nourrir est un plaisir et une nécessitée pour les êtres vivants. Avoué que se nourrir parait une chose simple comparé à toute les babioles que vous m'avez toutes et tous présentés.

Mimi se mit à rendre le bijoux à Père Carmody et la dague aux jumelles.

- Les finaliste n'auront pas à payer l'achat de leurs biens, m'ayant offert un bon divertissement, quand aux autres ... En plus d'avoir perdu le bien, dont certain tenaient de leurs ancêtres, vous voilà avec une conséquente dette et une défaite amère. C'est le prix pour avoir été corrompu par votre richesse, le pouvoir de l'argent est bien moindre à l'expérience et le savoir. Cette leçon vaut bien un trou dans votre richesse, non ?

Un noble se mit à vouloir transpercer la fausse nonne, mal lui en prit, il perdit sa main et l'arme, se répandant sur le sol sous la forme d'une flaque couleur chair. Le noble prit peur et parti à toute jambe, comme si le Malin était apparut devant lui. Elle donna une petite tape sur le fesse de Camélia pour l'envoyer vers la mercenaire. L'esclave se mait à côté d'Irys, sans dire un mot.

- Je suis une personne de parole. Ainsi ce conclus l'achat, Aghate tu as quelque chose à y redire ?

La juge se mit à regarder Irys.

- Non, la gagnante à bien mérité son dû, il sera fait un rapport sur cet évènement et le Grand général validera cette vente selon le traité de Nurberg.  Je signalerais juste à la gagnante qu'à partir de cet instant Camelia est sous sa juridiction et que tout incident venant de l'esclave sera répercuté sur la mercenaire Irys Flivya, mais il ne devrait pas  y avoir de problème.

Aghate lança un sourire furtif à la mercenaire, semblant contente que Camelia soit entre ses mains.

Les docks se vidèrent des nobles, tous dégoûtés, mais trop peureux pour attaquer la mercenaire, sa réputation permettait à la mercenaire d'être tranquille, pour l'instant du moins.  Tous partir, exceptés Irys et sa nouvelle acquisition.

88
Muramase ne comprit pas pourquoi Uzume se mit à rire, semblant se moquer par son attitude de la remarque  de l'elfe. Elle n'eut pas longtemps à attendre pour comprendre la situation, ses joue s'empourprant légèrement devant l'erreur grossière qu'elle venait de faire. L'elfe fut d'ailleurs surprise de ne pas avoir été frappé par la divinité pour l'avoir pris pour une déesse, mais sans doute était-il dans ses bon jours et acceptait une petite blague involontaire.

L'elfe se mit à boire les parole de ce qu'elle prenait pour un fervent disciple de la divinité, avoir une divinité sympathique était toujours plus agréable pour ses fidèles. L'amabilité fit peindre dans la tête de l'elfe une personne assez sage, la joyeuseté rajoutant un caractère sobre, mais pas au point de le faire passer pour une personne morne. Quand à la générosité, l'elfe ne voulait pas trop en profiter, on avait bien inculqué chez Muramasa que lorsque l'on prend quelque chose il faut aussi savoir rendre la pareille.

C'est alors qu'Uzume se mit à faire une description de lui-même assez surprenant pour l'elfe, qui d'un coup voyait un espèce de dieu paresseux et assez enfantin à vrai dire. L'image du sage se mit à changer pour un enfant assez joueur et turbulent, comme tout gosse voulant s'amuser sans se casser la tête, ce qui fit naître un léger sourire, l'elfe dissimulant un rire qui lui prenait à la gorge.

Muramasa se mit à tousser, pour effacer ce rire qui restait au fond de sa gorge.

-Votre divinité semble être assez amusant. Le fait qu'il pourrait me gâter est une preuve qu'il apporte beaucoup d'attention à ses fidèles, même si je doute que le bonheur puisse se réaliser d'un claquement de doigt et puis s'il donne trop de bonheur ses fidèles ne perdrait-il pas l'essence même de ce sentiment ?

89
L'elfe se mit à observer le dénommé Sorel, ayant comme information qu'il était u n prophète. Muramasa ne connaissait pas trop ce mot, était-ce un disciple plus proche de sa divinité ? L'elfe ne pouvait que supposer cela. Elle était contente d'avoir trouvé les lieux, sachant que chaque temple avait une protection pour éviter que des personnes indésirable viennent saccager le lieux. Encore fallait-il que la dite protection ait été renouvelée.

Muramasa ne fut pas impassible devant le rubis, après tout la joaillerie était quelque chose que l'elfe connaissait et d'un simple coup d'oeil, elle pouvait dire que ce rubis était d'une très grande pureté. Mais elle n'était pas là pour observer les bijoux ou le prophète.  Ce dernier vint d'ailleurs à poser  la question qu'elle attendait.  Ce fut avec respect qu'elle se mit à répondre.

- Je me nomme Muramasa, je suis une elfe des terre d'Aladisse.  Ayant quitté ma terre natale je suis sans protection divine et une charmante femme m'a indiqué qu'en ses lieux je pourrais trouver la protection que je recherche. Avant de répondre à votre question j'aimerais que vous m'en dites un peu plus sur la déesse Uzume, car je ne peux devenir une fidèle sans la connaître davantage.


L'elfe ne réalisait pas encore la bourde qu'elle avait fait en disant déesse.

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Prélude / Re : Inspecteur Dragna
« le: jeudi 07 mars 2013, 18:30:04 »
*Se laisse faire.*

Je ne suis qu'une humble esclave.

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