Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sya

Pages: 1 ... 4 5 [6] 7 8 ... 126
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 28 janvier 2019, 13:55:16 »
Il est temps de se reprendre en main et de rp! Un we à déprimé, ça va!

13H55

77
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 26 janvier 2019, 15:21:45 »
Inconnu au bataillon °°

15H21

22H18 Quand ta pas le moral, ça sert à rien de rp, j'avance pas ou très peu et ça me fait encore plus culpabilisé. Bon, à demain amis du soir.

78
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: vendredi 25 janvier 2019, 20:38:34 »
William glissait de plus en plus vers quelque chose qui le mettait de plus en plus en danger. Du moins, si quelqu'un savait ce qui se passait en ce moment dans son bureau, car au pire des cas, cela reste entre eux, non ? Elizabeth était sa fille, sa fille chérie, car même si on dit non, les parents ont toujours un favori, idem pour les enfants. Pour lui, ça a toujours été sa petite Elise, c'était elle qui était le plus souvent avec lui, et même encore aujourd'hui même si ce n'est plus pour les mêmes raisons. Mary avait toujours été plus proche de sa femme, étant la petite dernière du trio. Quant à Karen, difficile à trancher ? Mais parlons d'elle, sur le coup, il avait stoppé les attouchements sur sa fille en voyant le message de son ainée, envoyé à sa cadette. Et ayant vu ce message, toute envie était voilée par ce message. Sa fille, sa chair de sa chair, amoureuse du tueur de sa femme et mère de ses filles ? C'était au-delà d'une blague ! Il supportait mal qu'elle tente de l'aider, mais il pouvait avaler sa colère en se disant qu'elle était comme sa mère, à tendre la main vers le pire des connards, mais ça... Même en ayant le cœur sur la main, il était prêt à parier que même sa femme refuserait une telle nouvelle ! Il se trompe peut-être, mais en inversant les rôles, Emilia aurait accepter que Karen soit amoureuse du tueur de son mari, père de ses enfants ? Pas si sûr...

Face à cette aura sombre qui animait le père de famille, Elizabeth tentait de protéger plus ou moins sa sœur. Il n'avait aucun moyen de savoir si elle s'en doutait ou si elle cherchait juste à la protéger ? Mais il va lui faire confiance sur ça. Silencieux, il l'observa en écoutant ce qu'elle avait à lui dire, il est vrai que même pour lui, sa fille ne pouvait pas être totalement fautive, ce sale petit con était dans le coup. Mais attention, sa fille n'était pas un ange pour autant. Non pas qu'elle leur ai causé des soucis, mais William savait que tôt ou tard, ses filles feront sûrement connaissance d'un homme qu'il ne pourrait pas encadrer et dont elles étaient pourtant folles amoureuses. Une petite racaille, un glandeur, un débile, il aurait pu accepter, mais lui ? C'était comme insulter ses parents ! C'était son rôle de père de protéger ses filles, surtout depuis qu'il n'a plus sa femme. S'il voulait empêcher Karen de voir ce type, c'est pour son propre bien. Doucement, il retrouvait son calme. Inutile de faire peur à Elizabeth, c'est avec Karen qu'il devra discuter de ça de toute façon.

« Tu as raison, Elise, je verrais ça avec ta grande sœur à son retour donc pour le moment, je garde ton portable. Je préfère éviter que tu n'effaces ce message sans faire exprès, elle devra parler de ça avec moi et pas faire semblant d'ignorer ce dont je lui parle. »

Oui, là, la preuve lui sera jetée sous les yeux et ils auront une conversation qui pourra être longue, courte, mais il devra voir avec elle ce problème. Oui, ce n'était pas rien, et ils devaient régler ça. Il est possible qu'elle le déteste après ça, il est possible qu'elle lui en veuille même longtemps, mais plus jamais elle ne verra ce sale petit con ! Il devait protéger sa fille, point final. Non, il devait protéger Ses filles.

« Toi aussi, il faut que je te protèges... Ma petite Elise, tu resteras avec Papa... »

Face à elle, ses mains sur les épaules venaient doucement tomber le long de ses bras, la caressant doucement avant de se pencher sur elle, venant lui arracher un long baiser, langoureux et savoureux. Oh oui, le plaisir d'un simple baiser. Que c'était plaisant. Il sentait la moiteur de sa bouche, cette langue délicate, innocente, si délicieuse. Le baiser ne se rompait pas, et il n'était pas prêt de s'arrêter, un coin si petit et pourtant, chaque coin de sa bouche lui semblait si vaste et inédit et surtout tellement bon ! Cela avait toujours été aussi bon ? Cela remonte à si loin, Emilia embrassait si bien ? Sa bouche était si délicieuse ? C'était presque une honte de ne pas se souvenir de ce détail néanmoins... Durant ce long baiser, ses mains venaient presser ses fesses et ô grand dieu ! Que c'était mou, doux, chaud ! Il les pressaient délicatement sans trop en faire. Il donna un petit coup de reins uniquement pour la faire s'asseoir sur son bureau, se couchant doucement sur elle. Quand enfin le baiser cessait, il souriait. Cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps !

« Ma chérie... ta bouche est si délicieuse... Tu rends ton papa tellement heureux... Tu as toujours été ma petite chérie... Et tu le seras bien plus encore. »

Oh oui, il voyait de grande chose à faire avec sa fille chérie, sa petite favorite... Il aimait ses trois filles, mais Karen, le courant risquait de mal passé vu ce message et Mary, il savait bien qu'elle était plus proche de sa femme, mais il l'aimait tout autant. Mais il ne pouvait pas s'occuper de ses trois filles en même temps... pas pour le moment du moins.

79
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 24 janvier 2019, 20:25:26 »
Bon bah les réponses rp, ce sera demain (j'espère) je suis claqué moi ce soir ^^"
Emploie du temps plus chargé comme j'ai un collègue en vacance, vivement son retour lundi ^^"

20H25

80
One Shot / Re : Les petits plaisirs du métro [PV Kõya Breathless]
« le: mardi 22 janvier 2019, 20:40:43 »
Pour Madarame, c'était une routine qui s'encrait de plus en plus dans sa vie. On ne pouvait pas dire que cela le réjouissait, mais il devait bien avoir un job pour payer son loyer, ses factures et ses quelques loisirs qui lui permette de s'échapper un peu de cette réalité. Bien souvent ennuyante ou pas adapter pour lui. Il est vrai qu'il aimait les jeux vidéo, les mangas et que l'on pourrait le qualifier d'otaku. Mais il n'était pas non plus le genre hard core qui ne s'intéressait qu'aux filles en 2D ou dessiné à la pointe d'une plume, les femmes l'intéressaient, évidemment, mais le contraire n'était pas réciproque. Vu son look, il n'intéressait pas les filles. Bon, c'était difficile de le deviner otaku, il avait un costume comme des tas d'employés qui partait au travail le matin et au final, il ressemblait à n'importe qui. Après oui, si on déverrouille son portable, on y verrait une femme peu vêtue, issue d'un jeu vidéo dans une pause pin-up, ce qui laisse déjà un indice sur qui il était. Mais passons, revenons en à cette nouvelle journée, prenant place dans le train, devant se tasser pour laisser un maximum de personne monter.

Il arriva près d'une fille, lycéenne sûrement à en juger son uniforme, qui était mignonne, il faut le dire. Mais Madarame ne se faisait pas de film, il savait qu'il n'aurait pas la moindre chance. Et puis la drague dans les trains, ça se fait encore ? Surtout, quand il y a tant de gens autour ? Il ne fit pas plus attention que ça à la jeune femme quand elle murmura quelque chose ? Surement qu'elle avait fait tomber une pièce ou quelque chose de léger ? Son portable, ça se serait entendu quand même. Mais quand elle commençait à regarder à ses pieds, ses quelques mouvements le frottait un peu trop près. Si encore, ça aurait été sa petite jupe qui passait contre lui, bon, bah c'est ce qui arrive quand il y a du monde, mais là, il sentait tout de même quelque chose de plus solide qu'une jupe se frotter à lui ! Bien qu'elle se retourna pour s'excuser, le pauvre type avait déjà ses premières bouffées de chaleurs en esquissant un sourire tout aussi confus, venant baisser les yeux pour chercher... Que pouvait-il faire d'autres ?

Il ne savait pas quoi chercher, mais ce n'est pas comme s'il y avait trente-six objet au sol, s'il trouve un petit quelque chose, ça serait sûrement ça ? Cependant, à cause de la foule, il avait tendance à trop sentir cette jeune femme, de plus en plus proche de lui. En d'autres circonstances, ça pourrait lui plaire, mais là, il ne voulait pas causer de soucis et être accusé d'un crime qu'il n'a pas commis. Bien qu'il ne voyait pas grand-chose vu le monde, il sentit son pied taper un petit quelque chose ? Il posa sa main contre la vitre pour garder appuie en se baissant pour ramasser... un stylo ? C'était sûrement ça qu'elle cherchait ? Mais au moment de se redresser, il remarquait seulement être très proche de ses cuisses, ce qui restait une première, mais surtout, les quelques secousses du train – qui ne font rien de bien méchant debout, mais serrer comme ça, et abaisser, ça tanguait bien plus – le fit heurter la jeune femme, sa tête venant se cogner contre elle. Il devait bien avouer que durant cette seconde... il avait senti une chose très douce, très moelleuse... ce doux sentiment de légèreté quand on s'allonge dans son lit après une dure journée. C'était ça. Mais en mieux.

L'espace d'une seconde, quand sa tête heurta ses fesses, il aurait voulu stopper le temps, pour en profiter... Mais aussi beau était le paradis, il avait rapidement eut les pieds sur terre en se redressant, en bafouillant, les joues rouges de honte !

« P-pardon, j-je je... c'est à vous ? » dit-il en tendant le stylo.

Madarame n'était pas quelqu'un de méchant ou de pervers. Qu'on n'aille pas lui mettre sur le dos qu'il se frottait aux lycéennes dans les trains. Ok, il a déjà vu des animés hentai comme ça, même des films et c'était très rare que ce soit la fille qui cherche ! Le plus souvent, c'était des pervers qui en profitait, et il n'en était pas un ! Pas un pervers de ce genre du moins. Après, si c'était à l'inverse la fille qui lui lançait une perche... Il oserait ? Faut bien dire ce qui est, que ce soit soft ou osée... ce serait une première fois pour lui. Ce contact accidentel avec cette fille, c'était une grande première pour lui et... il n'avait pas détesté. Mais il savait que sans être un accident, ça pourrait lui coûter des ennuis. Quelque peu mal à l'aise avec cette situation bien inconnu pour lui, Madarame espérait qu'un scandale n'allait pas avoir lieu. Ça devait arriver ce genre de chose,non ? Ce n'était quand même pas elle qui faisait ça exprès, faut se réveiller un jour !

81
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 22 janvier 2019, 20:37:18 »
Sept une nouvelle réponse que je dois posté! ^^
Pas pour toi Alice, je te rassure, tu n'auras pas plus de travail de ma part ce soir X)

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 22 janvier 2019, 14:30:36 »
Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah mais il se passe quoi? Ma réponse la plus ancienne que je dois faire à moins de 10 jours!!!!!
Je m'étais habitué à voir des réponses qui ont pratiquement un mois!!!
Si ça continue comme ça... Est-ce que ça serait ça... être à jour? Cela fait si longtemps que ça ne m'étais pas arrivée... je dois être en train de rêver?

14H30

83
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 22 janvier 2019, 13:37:22 »
Elle en a au moins quatre fois plus je dirais :P

84
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: lundi 21 janvier 2019, 20:44:20 »
Ce n'était pas bien, clairement, il était en tort ! Mais son esprit ne voyait pas le mal et comme souvent, le mal sait se montrer très tentant pour attirer ses proies. Après avoir tant traverser depuis la perte de sa femme, William avait tenter de reprendre du poil de la bête et tourner la page, mais petit à petit, il sombrait. Se concentrer sur son travail ? Ça fonctionnait un peu, mais dés qu'il était hors de ses bureaux, il repensait à sa femme, toujours plus intensément. Ses filles lui rappelait Emilia, elles lui ressemblaient de plus en plus et malgré leurs présences, il se sentait de plus en plus seul. Sauf qu'en cinq ans, il resterait de plus en plus le nœud autour de son cou et il savait qu'à force, tôt ou tard, s'il ne se donnait pas la mort, ce serait son corps qui le tuerait de lui-même. Qui sait, ça aurait pu l'aider, mais il pensait le faire tout seul. Sauf qu'en cinq ans, il resterait de plus en plus le nœud autour de son cou et il savait qu'à force, tôt ou tard, s'il ne se donnait pas la mort, ce serait son corps qui le tuerait de lui-même. Et pourtant, aussi incroyable et un peu glauque aussi, le fait de serrer Elisabeth contre lui, de sentir son corps si doux sur sa peau, il sentait un petite flamme en lui qui lui ordonnait de ne pas abandonner et qui, doucement, éloignait ce nœud coulant de son cou.

Il était en train de caresser sa fille, même pas majeur, caressant pour le moment sa poitrine, ce qui restait moins grave que passer à l'acte. Mais moins grave ou non, ça restait grave aux yeux de la loi. Pourtant, ce cher démon savait lui montrer toute la beauté de sa faute. Ce corps si doux, si chaud, si innocent, sa chair de sa chair. Elisabeth avait peut-être eut des petits copains ses dernières années, elle devenait grande et il n'était pas du genre à surveiller ses filles. Si elles auraient annoncer un départ de la maison pour vivre avec leur petit copain, là, il se serait réveiller pour se pencher sur la question mais si jamais elles ont fréquenter quelqu'un, ça restait discret et William n'en savait rien. Donc pour lui, Elisabeth était pure, sa petite perle innocente, son petit trésor tout chaud, tout doux. Pourquoi l'interdit était si délicieux ? Cela restait une question existentielle.

Ses doigts sentaient en passant sur sa poitrine, une petite zone très dure, très tendue et qui semblait l'inviter à aller plus loin. Oserait-il ? Il n'en savait rien, mais pour le moment, il préférait faire durer ce plaisir. Dans un sens, ça évitait que le pire n'arrive, dans un autre, il ne voulait pas déballer son cadeau trop vite. Pour une fois qu'il sentait un certain regain d'énergie, de bonheur, pourquoi gaspiller ça si vite ? Il serrait Elisabeth contre lui, sa poitrine dans sa main, embrassant sa joue, human son odeur, et ses fesses, il ne les touchait pas directement, mais son entrejambe sentait une chose exquise, il était si ommnibuler par le reste, que ça restait au second plan pour le moment. Mais pas pour toujours. Elisabeth avait beau tenter vainement de se dégager, mais même quand elle l'appelait, il n'entendait pas de détresse dans sa voix, juste du plaisir, du désir. Son esprit transformait la réalité ? Allez savoir, mais pour le moment, elle n'était pas encore assez choquée, en larmes, pour tenter de le remettre les pieds sur terre. C'était possible ou bien, il avait déjà goûté à ce fruit défendu, rendant le demi-tour impossible ? Après tout, même en portant plainte, pour le moment, il n'y avait pas de preuve ? C'était sa parole contre la sienne. Aucune marque, rien n'indiquant des attouchement ou même un viol.

Elisabeth avait beau jeter ses cartes une à une. Elle était sa fille ! Mais il le savait, pourtant cette phrase résonna doucement en lui... Oui, il faisait quelque chose de mal... Pourquoi ne pas s'arrêter ? Au final, bien que ce soit sa fille, c'était juste une question de moral qui rendait ce geste interdit ? Quand l'homme n'était pas civilisé, l'époque des chevalier ou même bien avant, coucher avec ses enfants, ça restait aussi banal que le faire avec sa femme, non ? Peut-être pas à l'époque médiévale, mais quand l'homme était encore au stade primitif ? Ils ne devaient pas se gêner avec une quelconque moral. Même chez les animaux, frère et sœurs, parents et enfants, si on les laissait jouer ensemble, ça finissait en une véritable orgie sans se dire que c'était pas bien, ils étaient de la même famille. Alors pourquoi, ce serait mal, maintenant ? Entre eux ? Tout était qu'une question d'opinion donc ? Il y avait bien des gens qui vendaient encore à notre époque leur enfant encore bien jeune à des vieilles personnes en échange d'argent, ou autres ? C'était quoi le pire, vendre son enfant à un vieux pervers ou montrer un amour mal vu à sa fille ?

« Papa te fait juste un gros câlin, ma chérie. »

Un câlin étrange, un peu trop près, surtout à son âge, mais dans sa tête, ça semblait aussi normal que simplement la serrer dans ses bras ? Le souci venait peut-être de sa tête ?Un câlin étrange, un peu trop près, surtout à son âge, mais dans sa tête, ça semblait aussi normal que simplement la serrer dans ses bras ? Et pourtant, ce cauchemar pour Elisabeth allait s'arrêter, du moins, se mettre sur pause. Son portable annonçait un sms, en soi, il s'en fichait, du moment qu'elle n'y touchait pas. Mais sur l'écran, le début du sms s'affichait et William vit le mot « Prison » sur le message. S'arrêtant net, il retira sa main de sous le pull d'Elisabeth pour prendre son portable. L'excitation semblait s'être volatilisée bien qu'il la gardait encore contre lui. Il déverrouilla le portable et là, il lisait le message dans sa tête. Sa joie se transforma en colère. Sa petite braise de bonheur devenait un brasier de fureur ! Il ne fit rien de spécial à sa fille, mais ses pensées devenaient très sombres. Sa voix était soudainement devenue très calme, et froide. C'était presque... effrayant.

« Elisabeth... tu était au courant de ça ? »

Par ça, il entendait que Karen soit amoureuse de ce sale petit bâtard ! Il lui montrait le message, gardant le téléphone dans sa main. Il posa sa main sur son épaule, lui laissant l'occasion de se retourner pour le lui dire. Bien entendu, William savait qu'elle rendait visite à ce sale petit con quand ils étaient là-bas, pour sa plus grande colère. Mais il se disait malgré tout qu'elle tentait de l'aider. Mais là... L'aimer ?! Non, ça, il n'en est pas question !!! Cette enflure à tuer sa femme, il a fait de la peine à ses filles, sûrement bien plus à Mary, étant la petite dernière, c'était elle la plus proche de sa mère. Et là, elle se dit amoureuse ? Amoureuse du meurtrier de sa mère ?! Les filles peuvent être stupides à choisir des garçons qui déplaisent à leur parent, mais il y a une limite à cette bêtise !!! Pour sûr, William va avoir une longue discussion avec son ainée à son retour. Elle lui avait coupé toute envie pour le moment, mais le feu n'était pas totalement éteint et sous la colère, la douceur pouvait laisser place à la précipitation. Attention donc à Elisabeth, si elle essaie de trop couvrir sa sœur ou se mettre de son côté, le gentil papa va montrer un autre visage... Déjà que celui qu'elle avait aperçut ne lui plaisait pas trop...

85
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 21 janvier 2019, 14:05:31 »
Je te rassure (ou pas?) tu en as une sixième de finie mais pas encore corrigé, voir sept ^^"

86
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 21 janvier 2019, 13:14:24 »
Tentons les deux réponses aujourd'hui :)

87
One Shot / Les petits plaisirs du métro [PV Kõya Breathless]
« le: vendredi 18 janvier 2019, 20:55:18 »
Pour beaucoup, la vie, c'était une boite de chocolat où chaque jour apportait sa petite nouveauté. De nouvelles relations, de nouveaux adversaires, de nouvelles aventures ! De qui se moquait-on ? Madarame était adulte, dans la vie active et il restait pourtant bloqué dans son monde fait de manga et de jeux vidéo. Ce n'est pas faute d'essayer d'en sortir. De qui se moquait-on ?Pour beaucoup, la vie, c'était une boite de chocolat où chaque jour apportait sa petite nouveauté. Les filles parlaient de petits copains, de sorties entre autres, les hommes aussi parlaient de sorties, de bars, de filles évidemment, mais pas moyen de se rapprocher. Même quand c'était eux qui allaient vers lui, il se retrouvait bien vite dans un cul-de-sac. Obligé de mentir pour garder un semblant de dignité, mais ça se voyait comme le nez au milieu du visage qu'il mentait.

Sortir avec une fille, et puis quoi encore ! Ne croyez pas que ce pauvre type ne s'intéresse pas aux vraies filles, c'est juste que selon les quelques mots entendus au lycée comme ailleurs, il était bizarre, glauque et ressemblait parfois à un pervers... Comment faire bonne figure après avoir entendu ce genre de chose ? Comment trouver le courage d'aborder une fille, même pour sortir des banalités, il serait de suite jugé. Du coup, le voilà bloqué aux milieux des pages de divers mangas qui lui proposait une échappatoire. Là où des gars comme lui avait une certaine chance auprès des filles où pouvaient au moins agir en héros pour ressembler à un héros au moins auprès d'une fille. C'est dommage qu'avec le temps, il ait perdu contact avec ses anciens amis, eux avaient peut-être plus de succès que lui et avec ce genre de relation, rencontrer plus de monde.

Ouais, la vie était un peu triste pour lui mine de rien. La même routine, métro, boulot, un peu de lecture ou de jeux vidéo, un repas, rapide et pas cher le plus souvent, puis dodo. Et rebelote. Sa vie n'avait aucun semblant de passionnante. Une routine qui le lassait, une vie d'adulte qu'il détestait. Oui, tous les jeunes se disent un jour, vivement que je sois grand ! Bah, ce n'est pas si drôle. Le collège, le lycée, la fac, il y avait de bons côtés comparé à cette vie. Bien des Japonais avaient une vie similaire à la sienne et ils ne s'en plaignaient pas... comme lui. Ce n'est pas difficile à deviner, malgré ses vingt-cinq ans, Madarame n'avait jamais touché de fille – au sens sexuel bien entendu – pas le moindre baiser, pas la moindre caresse tendre. Il jalousait ce genre de personnage qui avait trente filles autour de lui. Un jour peut-être il connaîtra le bonheur d'avoir une petite amie. Mais quelle fille s'intéresserait à un otaku qui vit comme ça ? Toujours la même routine, la même musique. La vie était bien triste pour lui...

Nouvelle journée, il éteignait son réveil, machinalement, il reprenait sa routine en buvant un verre d'eau, plaçant les lunettes sur son nez avant de s'habiller et de préparer le café. Il le buvait, espérant que ce dernier ne réveilles le zombi qu'il était au réveil. Un petit tour par la salle de bain pour se peigner, se brosser les dents et le voilà parti en direction de son travail, sa pochette à la main en prenant le métro. Toujours les mêmes visages familiers, personnes ne se regardent et chacun laisse sortir les personnes du train, avant d'y rentrer. Il s'enfonce dedans pour ne pas gêner les autres passagers qui veulent grimper. Et puis il en avait pour un moment, inutile donc de rester près des portes. Le train n'était pas encore parti que déjà, il était obligé de se coller aux autres. Ça aussi ce n'était pas nouveau et rare étaient les fois où il pouvait rester dans le train sans se serrer aux autres. Il était obligé d'aller pratiquement dans le coin du wagon, presque à étouffer contre cette fille. Espéreront qu'elle ne se sente pas dégoûté de sa présence ou qu'elle ait des copines dans le coin à qui se plaindre. Entendre le messes-basses à son sujet était souvent gênant et déplaisant... Hélas pour lui, pas de place assise ce matin. La souffrance, ça commence tôt. Qu'est-ce qui arrivera de pire pour continuer sa lancée ?

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Dictature d'Ashnard / Re : Le rêve de toute une vie [PV Mélinda Warren]
« le: vendredi 18 janvier 2019, 15:51:05 »
Mélinda voulait une réponse, positive de préférence, mais le nœud ne venait pas spécialement de Sya, plutôt de la neko. Non pas qu'elle faisait cela pour le plaisir de contredire Mélinda, mais elle a vécu beaucoup de drame dans sa courte vie et elle ne voulait pas retrouver cela une nouvelle fois. Bien des gens ont vécu des choses pas très rose dans leur vie et cela va plus ou moins bien pour eux. Mais là n'était pas le souci. Pendant que Sya s'occupait de ses jumelles en compagnie de la jeune servante, la neko bavardait avec Mélinda. Bavardait, c'était un grand mot pour le moment. Elle ne voulait pas se faire hautaine ou vulgaire, mais Saikai avait conscience du souci actuel. Mélinda allait enfin avoir son bébé dans quelques jours, il est normal de vouloir les parents autour de cet enfant. Sauf que Mélinda la voulait le plus près possible, pas simplement venir lui rendre visite ici et là, non, toujours, ou presque. Sya était aimante, surtout avec ses enfants, mais elle ne pouvait pas privilégier cet enfant aux autres, surtout ses ainées qui sont, sa vraie famille – dans le sens où Saikai était sa femme, donc, ses vraies filles, ensemble.

Mis à part, donc, la vampire venait à lui raconter une histoire d'un ancien souverain d'Ashnard qui avait eut beaucoup d'enfant et dont, l'une des dernières était du genre à faire des bêtises. Allant jusqu'à faire tuer l'un de ses frères, tout ça car la pauvre enfant avait manqué d'amour dans sa vie. Évidemment, elle comprenait le message de la vampire et cette histoire n'était pas joyeuse... Sya commençait à multiplier les enfants, mais elle ne pouvait être partout à la fois, ou simplement tout ses enfants sous le même toit ! D'abord silencieuse, la neko détourna le regard, jetant un œil vers sa femme et ses filles, portant toujours sa petite Lussya dans ses bras, s'amusant avec sa peluche entre ses petits bras.

« Je vais être franche, Madame Mélinda, je n'aime pas Ashnard. Au même titre que Nexus et toutes ses villes où l'esclavage est naturel. Vous avez de beaux discours sur ça, vous êtes même sûrement du genre à bien les traiter, mais je n'aime pas tout ça. J'ai vu mes parents se faire tuer sous mes yeux, j'ai fini en cobaye, en esclave sexuel avant même de savoir à quoi servait mon corps... J'ai longtemps été dans le noir, recroquevillé au fond de moi et vous savez qui m'en a sorti ? Sya. Tout le monde s'amuse avec elle, voit en elle un objet sexuel, mais moi, j'y vois ma sauveuse, celle que j'aime tout simplement. Notre première nuit, on a pas fait l'amour, on s'est juste tenue dans les bras et ont a dormi, toutes les deux. »

Une histoire à l'eau de rose qui fatiguait peut-être la vampire, mais elle s'en fichait. Elle tenait à raconter cette histoire à Mélinda.

« Elle a tout fait pour briser mes chaines, mais une autre personne s'en est chargé. Elle a de suite été à ma recherche avec ma grande sœur. Nous avons vécu quelque temps à Nexus, dans une auberge, et sans se plaindre, Sya a su trouver de l'argent pour vivre toutes les deux, de même une fois sur Caelestis. Vous pouvez penser ce que vous voulez de Caelestis, au moins, je savais que mes filles pourraient sortir dehors sans risquer de finir enchaîner pour distraire un gros pervers. »

C'était le risque ici, sans la citoyenneté Ashnardienne ou un collier d'esclave prouvant que vous appartenez à quelqu'un, les gens sont libre de vous capturer comme on piocherait une fleur dans un champ. Certes, actuellement, ses filles n'avaient même pas un an, difficile de les laisser sortir seules, mais jusqu'à cette récente attaque de l'HYDRA, elle avait pensé passer des jours heureux là-haut, même si depuis, ce n'est plus pareil...

« Je ne veux pas vous appartenir, ni moi, ni nos filles. Si nous acceptons de vivre sous votre toit ou ailleurs, je veux que nous ayons nous cinq, la citoyenneté Ashnardienne. Pour le reste, Sya peut décider pour nous... J'ai conscience que sans moi, elle aurait dit oui à votre demande sans réfléchir une seule seconde... Je ne veux pas la perdre, mais je ne veux pas que ses choix mettent en danger notre situation, ici ou ailleurs. »

Au final, Saikai avait certes une dent contre tout ce qui touchait l'esclavage – et rien à voir avec le bourrage de crâne des Celkhanes, elle a toujours pensé comme ça – mais elle se devait de réfléchir pour deux et de veiller sur sa famille. Sya n'était en rien stupide, mais aurait répondu trop vite sans demander certaines conditions, comme celle-ci. Pour elle, devenir l'esclave de Mélinda aurait sûrement été une bonne chose ? Sûrement en voyant le bon côté des choses, mais Saikai refuse qu'elle ou sa famille soit une esclave ! Bon sauf Sya, mais elle s'auto-proclame esclave des femmes donc, impossible de changer ça chez elle. La neko caressa la petite tête de Lussya, ses petits cheveux roses, faisant lever ses grands yeux sur elle. Elle ne partageait aucun lien avec elle, mais ça restait sa fille aussi, elle était la sœur de ses petites nekos, une demi-déesse qui plus est, elle était donc de sa famille à elle aussi.

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One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: jeudi 17 janvier 2019, 20:30:23 »
Il était sur la mauvaise pente, la très mauvaise pente. William était en train de violer la loi, car en plus d'attoucher une mineure, c'était sa fille. Ce qui rendait la chose encore plus déboulasse. Après les Japonais avaient un penchant sur l'inceste, sans visionner ou regarder ce genre de choses, nombre de mangas ou vidéos sur le net montrait bien de jeunes demoiselles qui aimaient un peu trop leur grand-fère, leur père, et même parfois leur grand-père. Mais au diable ce genre de chose, ce n'était pas du tout sa tasse de thé. Jusque-là, il avait été un homme normal, aimant sa femme et au pire des cas, observant les autres femmes sans jamais tromper sa femme. Mais là, c'était un homme brisé et cette pente savonneuse était une chose à double tranchant. Il risquait gros, mais cela lui redonnait un second souffle. Plus ses mains caressaient cette poitrine, plus il se sentait revivre ! Elizabeth semblait être son miracle, sa fontaine de jouvence ! Elle tentait bien de le stopper, mais la première fois, ce n'était pas un non. Elle cherchait les papiers donc, ses mains étaient utile, son corps, il pouvait toujours le caresser.

La seconde fois, elle était déjà plus vers le non, arrêter maintenant, sans rien dire à Mary et Karen. Ha oui, ses deux autres filles. Est-ce qu'elles aussi devront subir cette soudaine envie de se rapprocher de ses filles ? Il n'y pensait pas encore, il n'y avait que sa jolie Elise pour le moment, sa fille chérie, si coquette, voulant toujours l'admiration et les compliments de son père. Il était temps de lui prouver combien elle pouvait être belle, ce petit bout de femme. Mais au final, ce n'était pas un non complet. Dans un sens, tant mieux. Si jamais il reprenait ses esprits, il ne pourrait plus se voir dans une glace, honteux et il pourrait même enfin passer à l'acte et là aussi, la situation serait compliqué pour ses filles. Sans papier, sans père, sans famille, dans un pays inconnu ? Oh certes, l'anglais restait la langue la plus parlé au monde et ils trouveront bien une solution, mais il pouvait aussi s'en passer des choses pour trois étrangères, seules, dans un si grand pays.

« Ma petite chérie... tu sens si bon... Et ta peau est tellement douce. »

Il continuait de la maintenir contre lui, sa main caressant toujours son sein en baisant tendrement la joue de sa fille. Sa délicieuse odeur tournait vers son nez. Ha, qu'il était bon de se sentir soudainement plus léger, laissant ses soucis de côté, laissant sa déprime quitter doucement le navire. Sa fille était le remède et plus il profitera de sa gentillesse, plus il se sentira mieux donc ? Sa main quitta enfin sa poitrine, non pas pour la libérer, il venait doucement la glisser en dessous, passant sous ses vêtements. Ses doigts caressaient son ventre, dévoilant une peau tout aussi douce que son visage, peut-être même plus doux encore ? Eh oui, c'était possible !

« Ta peau est si chaude, ma petite Elise... Tu aimes quand Papa te caresse, n'est-ce pas ? »

Doucement, sa main remontait plus haut, passant sous ses vêtements pour arriver de nouveau à sa poitrine qu'il pelotait une nouvelle fois avec tendresse. Sauf que cette fois, il sentait son soutien-gorge, ça lui faisait une nouvelle activité, deviner ce qu'Elisabeth portait avec ses doigts. Sur son petit nuage, William continuait de la caresser, embrassant son cou, sa joue. Se sentir à nouveau heureux, même un peu, quel luxe.

« Ne t'inquiète pas ma chérie... Papa prendra bien soin de toi. »

Plus le temps passait – lentement – et plus il allait de plus en plus loin. À force, Elisabeth devait le sentir, son père retrouvait une certaine vigueur entre les jambes. Sans pour autant en briser sa braguette, cette bosse devait se faire sentir près du bas de son dos quand même.

90
One Shot / Re : Erreur administrative [PV : Sya]
« le: mardi 15 janvier 2019, 20:42:09 »
Cela faisait bien cinq ans qu'Emilia n'était plus de ce monde et bien que le pire soit en quelque sorte passé, William était toujours un peu effacé par moment, physiquement là, mais son esprit vagabondait ailleurs. Les idées noires, parfois des idées glauques et morbides, mais il n'allait pas plus loin, il ne pouvait pas en finir avec la vie, ses filles tenaient à lui, il devait veiller sur elles pour prendre soin de ses filles devenues déjà si grandes. Hélas, ça ne restait pas pour toujours trois ravissantes petites princesses, ça devenait des femmes, de biens jolis jeunes femmes, mais en bon père de famille, il ne voyait pas le mal dans la beauté de ses filles. Mais le fait de ressembler de plus en plus à sa femme n'était pas une bonne chose, ça lui laissait parfois de drôle de pensées... et une telle beauté attirait forcément les regards et le cauchemar de tout parent ensuite. Amoureuses d'un autre homme, vivre ailleurs, les voir de moins en moins... pour peu que ce soient de sales types qui frappent ses filles, qui les trompent, elles ne méritaient pas de souffrir autant. Personne ne pourra les aimer plus que lui de toute façon, c'était impossible.

Elizabeth continua de plaisanter en soulignant le fait que pour le moment, elles n'étaient nulles part sur les fichiers administratives, que quand bien même un policier les arrêteraient, où pourraient-elles être renvoyé ? Pas question d'être renvoyé, elles resteraient avec lui, elle, Karin, Mary, ses trois filles étaient tout ce qui lui restait de plus précieux en ce monde, pas question de les perdre aussi ! Sa petite blonde fouilla doucement dans le tiroir, cherchant les papiers, ils n'étaient pas caché, juste là, sous quelques lettres entre autres. William observait sa fille, de plus en plus ravissante, de plus en plus ressemblante avec Emilia. Était-ce le manque de sa femme ? D'assouvir ses pulsions, le fait d'être brisé ? La cause exacte, il ne saurait pas le dire. Un spécialiste le pourrait ? Quoi qu'il en soit, il se rapprochait doucement, les mains sur les épaules d'Elizabeth, il fit doucement passer sa main droite sur le corps de sa fille... oui, de sa propre fille, passant doucement sur sa poitrine. Elle semblait moelleuse, pas aussi développé que sa grande sœur – qui pour le coup, avait plus les seins de sa mère – mais ça semblait délicat et raffiné, comme l'image qu'Elizabeth dégageait.

« Ma petite chérie... »

Sa seconde main descendait aussi, mais pas pour toucher de zone intime, il venait passer sur son ventre, ceinturant ainsi la petite blonde pendant qu'il se penchait plus sur elle. La tête par-dessus son épaule, il observait sa main caresser tendrement son sein à travers ses vêtements, c'était tellement... tellement... Il ne savait pas trouver les mots. Était-ce le manque de sexualité qui rendait cela si exquis, ou bien sa fille était parfaite ? C'était possible, Elizabeth était une très belle fille, qui deviendra dans quelques années une femme à la beauté fatale, à ne pas en douter.

« Tu t'occupes si bien de ton papa... »

Son regard ne pouvait se détacher de sa main qui continuait de tâter cette zone si délicate et tendre, c'était étrange, mais dans son cœur, dans son corps, il sentait une petite étincelle le faire revivre un peu. Oui, cette étincelle grandissait en lui. Et entre ses jambes, aussi, il sentait une étincelle grandir de plus en plus.

« Et tu l'aimes, ton papa, n'est-ce pas ? »

Attention de ne pas répondre non, il était dans un état étrange, sur une mauvaise pente, mais il était déjà en train de commettre un crime, n'en rajoutons pas un à la liste. Sa tête se tourna doucement vers elle, pendant qu'il baisait sa joue doucement, un seul baiser sur sa douce peau. Elle avait toujours eu cette peau si douce ? Oui. Et cette odeur ? Elle sentait si bon. Que ce ne soit que l'odeur de leur savon ou son odeur naturelle, sa fille sentait si bon.

« Est-ce que tu laisserais papa remercier sa petite fille chérie ? »

Bien que ce soit une question, il était le père de cette famille, c'était aussi à lui d'imposer ses choix, que ça leur plaise ou non. Que ce soit illégale ou non aussi. Il n'était pas trop tard pour faire demi-tour, bien que ce qu'il faisait là était déjà grave, le pire n'était pas encore franchi. La question, c'est de savoir s'il voulait vraiment s'arrêter... Hélas, il y avait peu de chance qu'il prenne conscience de son geste et cesse cela de suite. Il se sentait revivre, après cinq longues années à se sentir mourir, il se sentait revivre... Pourquoi souffler sur cette flamme qui ne demande qu'à grandir ?

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