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« le: vendredi 03 juin 2011, 19:32:58 »
Hann j'ai rarement eu des femmes avec des chibre aussi gros, il écarte mes lèvres, ouvre ma bouche, dieu que j'aurais aimer ce genre de chose sur terre, je serais devenues complétement folle. Mais je le suis puisque a son ordre mes mouvement s’accélère, se fond plus profond... Cherchant a a dévorer le mandrin de cette femme, je n'ai pas peur de le dire mon corps peu accueillir des chose que d'autre ne pourrais pas le faire.
Cette queue qui m'échappe, non je la veux encore, a nouveau mon regards se fait suppliant, je la veux encore dans ma bouche, je la veux coulante de bave et de sperme... Mes mains son enfin libre je vais pouvoir lui donner du plaisir, plus de plaisir encore... Mais dieu que j'aime sentir le chibre son mon latex, la sensation est de plus énervante, ne me donnant qu'un envie celle de le sentir dans mon corps, n'importe qu'elle trou fera l'affaire... je pouvait jouir même d'une simple branlette quand j’étais bien bouillante...
A nouveau ma poitrine est masturbée, mes tétons me donne l’impression de vouloir déchirer le latex... Mais je sais qu'il ne pourrons le faire. Sa bouche qui se rapproche de la mienne, un peu d'air, juste un peu, c'est tous ce qu'il me faut... Mais mon corps bascula vers l’arrière me faisant gronder, j'en aurais bien pleurer d’ailleurs une larme coula sur ma joue, se perdant dans l'océan, une larme dans de l'eau salée, qu'elle importance, mes larmes n'était la que pour faire plaisir...
Je pouvait m’empêcher de hoqueter, j'avais l'impression de perdre pieds, de ne plus pouvoir, de ne pas pouvoir aller plus loin, il me fallait son foutre, ou de l’oxygène... Et cette langue qui lape mon vagin n'arrange rien, je ne sais plus qui je suis ni ce que je veux, une chose est certaine je ne veux pas mourir, je veux encore vivre.
Je sentit le chibre entrer dans ma bouche, je l'avale comme un sucrerie, me mettant a le pomper, le sucer comme une folle, comme si c'était la dernier chose que je devait faire... C'est peu être la dernier chose que je devait faire..
par réflexe, comme quelque chose d’appris depuis longtemps, mes doigts viennes fouillée un instant l'antre de la jeune femme caressant de mes doigts de vynil son clito, avant de s'enfoncer sans hésitation dans la chaleur moite de la femme, fouillant avec savoir la moindre parois, dieu qu'elle avait envie de lui donner du plaisir tellement de plaisir que se gros chibre éclate dans sa bouche...
Mes doigts glissait de temps en temps sur le chibre de la femme caressant ce que je ne pouvait prendre en bouche. J’étouffais de plus en plus sans pourtant cesser mes mouvements, qui se firent plus profond plus troubler.