Les landes dévastées / Re : Deux anges habités d'ombres [PV: Nicy]
« le: vendredi 09 octobre 2009, 02:54:06 »Mais non, au lieu de me répondre par une longue explication, comme je mis attendais, il me surprit par une explication pratique. Je sursautais quant il fit apparaitre une grande colonne de fer, par contre sa fille applaudit.
De quoi ai-je l’air moi, je sursaute à un événement qui fait rire une enfant. Espérons qu’il n’a pas remarqué mon mouvement.
Étrangement, je ne voulais pas paraitre idiote ou autre devant cet homme, je voulais lui plaire et une femme idiote ne plais pas aux hommes, au mieux elles leurs inspirent la pitié et je ne voulais pas qu’il me prenne en pitié.
Ensuite, il détailla son explication, me disent que c’était un alchimiste, j’avais déjà entendu parlai des alchimistes quant j’étais encore une céleste et comme il me le disait, les anges en pensait le plus grand mal.
Quant il me poussa sur le coter pour me protéger de la chute du pilier, j’eu un mauvais réflexe, je mis ma main sur la garde d’Elirya, pensant à une agression. Je ne compris ma méprise que quant j’entendis le pilier s’effondrer.
Et encore une bêtise, décidément je les accumule.
Heureusement pour moi, la petite Ama fournis une diversion fort agréable, car, après avoir rit et applaudit bruyamment, elle me sauta dessus, sacripant à mes vêtements.
Je crois qu'elle vous aime bien me dit-il, le sourire aux lèvres.
Ouf, il n’a pas du voir ma main sur Elirya.
-Je crois bien oui : lui répondis-je tandis que je prenais la petite dans mes bras.
-En tout ca, je trouve votre science bien pratique, et ne lui trouve rien de satanique.
Je laissais un silence puis, prit d’une impulsion, je mis Ama sur mon épaule et pris une des mains de son père. J’appréciais le contact de sa main dans la mienne. Cet homme m’apaisais par sa présence, car il faut dire quant en normal, je suis plus solitaire et je me saurais donc sauver dès le combat contre les anges finis. Mais je voulais restée avec Kamui et sa fille, m’en faire des amis. Des amis, je sourie à cette pensée, je n’avais plus eu d’amis depuis la mort d’Elric.