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Messages - Rubis Starling

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: jeudi 27 juin 2024, 14:11:01 »
Le moment le plus agréable de la soirée pour la jeune femme albinos, du moindre les moments plutôt, fut ses échanges avec son collègue qu’elle avait un peu plus découvert aujourd’hui. Puis il y avait aussi les moments désagréables comme ces cauchemars durant sa sieste dans la journée, les regards insistants de son patron, les claques sur ses fesses de sa collègue et surtout  cette discussion avec son patron qui en était venu au chantage. Et il y eut ensuite l’inquiétude qu’elle ressentie face à ce maître chanteur et celle qu’elle eut en découvrant son collègue blessé dont elle avait tenter d’examiner ses mains inquiètes qu’il soit blessé puis elle s’excusa de lui avoir peut être fait mal quand il recula avant de l’attraper doucement par le bras pour le tirer dehors par la manche de sa chemise pour le conduire aux urgences.

Une fois dehors, ils marchèrent tout deux dans les rues, sur le chemin des urgences qui étaient encore loin car il fallait une bonne quinzaine de minutes de marche pour y arriver.  Rubis marcha rapidement mais doucement en même temps pour ne pas fatigué davantage le barman blessé, inquiète pour lui.

Puis elle ralentissa doucement encore le pas quand elle entendit sa question, tournant sa tête vers lui pour le regarder dans les yeux alors qu’elle avait un regard légèrement inquiet du fait qu’il soit blessé. Mais elle hocha doucement de la tête en le regardant avec douceur en lui adressant un tendre sourire « Oui, elle tient toujours bien sûr. » dit elle tendrement en le regardant avant de rajouter « Si vous souhaitez en parler, je suis là et je serais toujours là… » en lui souriant avec tendresse en continuant leur marche d’un pas un peu plus ralenti sur le chemin des urgences.

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Coucou Em et merci beaucoup pour ton message -^o^- !

Milles pardons, j’étais persuadés de t’avoir écrit un MP mais en vérifiant ma boite d’envoi j’ai vu que non ;-; désolée ;0; !

 J’me serais bien sûr ravie de rp avec toi très chère « copine » si tu es toujours partant x)  je te MP donc de ce pas (cette fois c’est sûr) ;)

Ho o-o je sais qui appeler pour mon mariage alors /sbaff/ !

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Rubis écouta son voisin avec attention en hochant doucement de la tête avant de se mettre doucement à rougir à ses mots sur son apparence fragile. Il fallait dire qu’en plus d’être une jolie demoiselle que mère nature a bien gâté (peut être que la génétique de maman a jouait aussi dans cette affaire ?), elle avait un regard doux, tendre et rêveur qui était emplie d’innocence, accentuant ce côté fragile chez elle. Et c’est vrai qu’elle l’était de par tous ce qu’elle avait vécue et endurait, c’était même étonnant qu’elle avait conserver ce côté innocent et rêveur chez elle. Mais elle savait aussi faire preuve de force et courage quand la situation le demandait, cette demoiselle n’était pas du genre à se laisser faire, fragile sûrement mais pas aussi soumisable qu’on pouvait le penser.

Elle se toucha doucement le cou en regardant son voisin, le rouge de ses joues qui redescendait doucement avant de hocher la tête pour le remercier de ce compliment déguisé ? Ou de cette gentille attention envers elle ? Elle n’était pas sure du type de personne qu’elle avait en face d’elle mais elle avait toujours ce présentement qui lui disait de pas baisser sa garde face à ce charmeur de voisin.

Puis quand Killian durant leur conversation la questiona sur son origine et la raison de sa venue ici qui pourrait être celle de rejoindre un potentiel petit ami ou petite amie, elle pencha doucement la tête, toujours sur ses gardes mine de rien mais elle lui répondit en le regardant avec douceur et un tendre sourire « En effet je ne suis pas japonaise… Je viens de Suède et je suis en effet ici pour rejoindre quelqu’un… » dit-elle en fermant les yeux en buvant une gorgée de café. Oui, elle restait vague dans ses réponses, on pouvait mettre ca sur le dos de la timidité mais la vérité c’est qu’elle préférait rester vague et ne pas trop parler d’elle. Puis en rouvrant doucement les yeux et déposant la tasse de café sur la table, elle releva son regard vers son voisin en lui adressant un sourire en lui demandant à son tour « Et vous… Toi, tu es d’ici ? Tu es ici pour rejoindre quelqu’un, pour le travail ou autre ? »

La discussion reprit son train entre ces deux-là, elle qui parfois détourné le regard, impressionné par ce voisin qui la faisait se sentir sur ses gardes mais elle lui donna aussi le bénéfice du doute, donc elle resta prudente quand même mais en lui accordant aussi un peu de sa confiance.

Et quant la musique se lança et que le jeune brun se leva en commençant à danser, elle souria doucement amusé par la situation et ces premiers pas qui lui avaient semblé maladroit mais drôle.

Quand Killian l’invita ensuite à danser, elle haussa doucement un sourcil avant de sourire avec douceur en hochant la tête et se levant, acceptant cette danse, histoire de s’amuser un peu et d’essayer de faire un peu plus confiance à ce cher voisin en espérant que ce ne soit pas une mauvaise idée de l’avoir accepté.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 23:57:53 »
La jeune femme regardait son collègue avec son doux sourire et ce regard pétillant comme toujours puis elle enleva doucement son doigt de devant ses lèvres tout en penchant légèrement la tête en entendant sa remarque sur le fait qu’il ne la mettrait jamais dans un sac à patates car c’était trop rêche. Elle haussa doucement un sourcil avant de nouveau avoir ce regard rieur pétillant et d’un ton taquin elle poursuivit « Ho ? Vous faites attention au bien-être des gens à qui vous avez réglé leur compte ? Mais alors, vous les « installer » dans des sacs en soie ou quelque chose de doux ? »  demanda t-elle amusée en le regardant avec douceur, en faisant le signe du entre-guillemets avec ses doigts quand elle prononça le mot installer avant de rire doucement amusé de cette drôle de discussion.

Mais après cette charmante discussion et cette pause des plus agréable pour la jeune femme, le retour au travail était difficile, surtout avec son patron face à elle qui voulait lui imposer un travail par tous les moyens, allant jusqu’au début du chantage. Pourtant elle restait calme d’apparence et toujours souriante face à son patron, au milieu de tout ces gens festifs qui profitaient de la soirée, dansant, buvant, discutant et retournant au bar récupérer du carburant pour continuer la soirée. Mais son regard lui qui semblait pourtant ne pas changer trembla quelques fois durant quelques secondes, très discrètement et son léger recul même s’il était d’à peine quelques centimètres, marquait bien le fait qu’elle n’était pas si calme mais plutôt inquiète.

Non, elle ne voulait pas faire ça, pas encore, ça suffit. Elle en avait assez et ce depuis le premier jour qu’on l’avait forcé à faire ça, que ce soit par ce patron maître chanteur ou cet homme de son passé qui disait l’aimait et qui l’avait manipulé tel un pion. Évidement qu’elle s’était rebellé, à sa manière, calme et poliment, mais cela n’avait servis à rien, car l’un, ce défunt fiancé qui était de la pire espèce la cognait pour qu’elle cède et l’autre, ce patron manipulateur la faisait chantait sur son passé et le chômage à vie. Elle se sentait piégé, comme à chaque fois, sauf que pour l’un, le destin avait envoyer un véhicule pour s’en occuper en l’envoyant valser sur le bitume et pour l’autre… Lui, il était toujours là et il était le maître du jeu dans son antre qu’était ce bar.

Mais la discussion entra la serveuse aux prunelles couleur rubis (d’où son prénom) et ce vil patron fut interrompu par un imprévu que l’on pouvait qualifier de taille, autant par celui qui en était à l’origine que par la cause de cet imprévu. Le patron releva doucement son regard vers le barman qui s’était approché en haussant un sourcil avant de se redresser et relever la tête pour regarder son employé qui prit pause à côté d’eux deux avant d’expliquer qu’il avait eu un petit incident qui nécessitait un passage aux urgences et d’être accompagné. L’homme qui avait toujours ses bras croisés plissa les yeux un peu contrarié par le fait qu’on lui demandait à ce que la serveuse aux cheveux de neige quitte son poste pour accompagner cet employé aux urgences. Il était pas spécialement étonné qu’on demande après elle car la jeune femme était toujours à venir au secour de ses collègues quand ils se blessaient ou avaient besoin de quelque chose : cachet pour la douleur, pansement, fil et aiguille pour réparer un vêtement, aller à la pharmacie de nuit acheter un soin ou bien encore accompagnait aux urgences ceux qui se blessaient. Pourquoi c’était toujours elle qui faisait ça ? Peut-être tout simplement parce-qu’elle le faisait naturellement, proposant son aide a quiquonque qui en avait  besoin ou lui demander.

Le patron soupira légèrement agacé, car cela allait lui faire perdre de l’argent pour le travail qu’il tentait de faire accepter par tous les moyens à le demoiselle. Mais il ne pouvait pas laisser un de ces employés dans la douleur, surtout son meilleur barman. Il soupira de nouveau en fermant les yeux avant de les rouvrir et poser son regard vers la main de Karl avant d’ouvrir de grands yeux en s’exclamant « Putain la vache ! ».

Quant à Rubis, quand elle entendit la voix de Karl qui interrompa leur discussion, elle eut son cœur qui accéléra un peu pour elle ne sait quelle raison mais elle sentait un léger soulagement la gagner avant que l’inquiétude la gagne en entendant les mots « urgences » et « incident ». Elle se retourna immédiatement vers le barman qui était derrière elle et le regarda un peu inquiète avant de baisser son regard et voir son pouce en s’exclamant « Ho mon dieu ! Monsieur Neumann ! » tout en s’approchant de lui et en prenant doucement les mains du barman, passant une de ses mains en-dessous des siennes et l’une au-dessus « Il faut qu’on aille aux urgences, tout de suite ! » s’exclama t-elle en relevant la tête pour le regarder avec un regard inquiet pour lui. Et ni une ni deux, la jeune femme n’attenda pas l’approbation de leur patron ni qu’il dise quoique ce soit, elle attrapa doucement et délicatement un des bras du barman avec une de ses mains puis elle tira doucement sur la manche de sa chemise pour le sortir d’ici, passant entre les gens qui ne faisaient pas attention à ce qui se passaient et se déchaînait sur la piste de danse, se dirigeant vers la porte de sortie en le tirant gentiment sur la manche de sa chemise avec une petite mine inquiète en regardant droit devant elle, inquiète pour son cher collègue qu’elle appréciait tant et dont elle s’était beaucoup rapproché ce soir mine de rien.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 21:42:34 »
La jeune femme albinos hocha plusieurs fois de la tête quand son collègue lâcha qu’il voyait que peu importe le pays il y avait des types qui profitait des danses pour importuner les gens, pour dire qu’elle était tout à fait d’accord avec lui puis elle rajouta sur le ton de la plaisanterie «  Et quel que soit le monde aussi ! Ces types doivent être présent dans tout l’univers, tel des champignons dans chaque bois ! » le tout en riant amusé en le regardant avec son regard pétillant.

Puis quand le barman se mit à rire Rubis pencha légèrement la tête en le regardant avec douceur, se faisant la réflexion qu’elle aimait bien l’entendre rire puis elle la redressa ensuite quand il entra dans son jeu, hochant doucement la tête en l’écoutant puis quand il s’approcha d’elle pour chuchoter à son oreille, elle rougissa légèrement en le sentant si près d’elle. Puis quand il se redressa, elle releva doucement la tête pour le regarder avec toujours ses joues légèrement rosées avant de sourire amusée et reprendre « Donc on m’aurait menti, ce n’est pas dans les valises mais dans plusieurs alors ? Ou dans des sacs à patates peut-être ? » demanda t-elle avec un air un peu taquin en riant doucement tout en le regardant. Et ensuite quand il lui avoua qu’il n’avait jamais fais partis d’organisations criminelles mais qu’il avait une certaine réputation de là où il venait, elle hocha doucement de la tête en lui adressant un joli sourire avant de poser son doigt sur sa bouche pour faire le signe qui symbolisait secret ou chut « Très bien Monsieur Neumann, je promet de ne jamais dire un mot de tout cela. Puis je tiens à rester entière et ne pas rencontrer de valises ou sacs à patates. » termina t-elle par dire en riant doucement amusé avec son regard rieur mais qui pétillait de sincérité en le regardant.

Puis ils poursuivirent ensuite leur discussion  en changeant de sujet par l’ingéniosité discrète du barman dont la demoiselle avait remarqué cette petite esquive de sa part mais elle se disait qu’il avait ses raisons et elle respectait cela. Les minutes continuaient à défiler en la plaisante compagnie de Karl mais ce petit moment fut interrompu par l’intervention d’une de leur collègue qui venait chercher du renfort (et claquer les fesses de la demoiselle aux jolis mirettes rouges).

Une fois à l’intérieur du bar ils retournèrent chacun à leur poste respectif, enfin, cela ne fut pas le cas pour Rubis qui se retrouvait avec son patron qui était venue à sa rencontre, lui disant qu’il avait donc du travail pour elle ce soir, chose dont la jeune femme se doutait qu’il allait lui proposer ce soir mais chose qu’elle craignait également depuis le début de la soirée.

Elle pencha doucement la tête en regardant son patron qui était face à elle, tout sourire, normal, restant silencieuse quelques secondes avant de lâcher « Monsieur… Je vous remercie de penser à moi mais ça sera non. » puis elle redressa doucement sa tête en souriant doucement comme elle avait l’habitude de faire. L’homme face à la jeune femme haussa doucement un sourcil   « Non ? Tu es sûre que tu ne peux pas faire quelque chose pour ce travail ? Au moins pour ce soir ? » et elle secoua doucement la tête à la négative toujours avec son joli sourire « Non, je refuse. Trouvez quelqu’un d’autre, ce n’est pas les filles qui manquent qui sont d’accord pour ce type de travail ici Monsieur et vous le savez. » puis son patron croisa les bras en rétorquant « Oui, je le sais mais… C’est toi qui a été choisi par ce travail. Pas seulement par moi, mais aussi par le client. » ce à quoi répondit la jeune femme « Vous m’en voyez flattez mais c’est toujours non… Retirer la rémunération de ce travail sur ma paye car je ne le ferais pas. » puis le patron plissa doucement des yeux avant d’esquisser un sourire qui ne disait rien de bon en approchant doucement son visage, se mettant face à la serveuse à la chevelure de neige avant de lui dire avec une voix pleine de sous-entendu d’un timbre légèrement amusé « Tu en es vraiment sûr ? Ça va te faire un sacré manque à gagner quand même… » ce à quoi la jeune femme répondit par un simple hochement de tête ce qui fit davantage sourire son patron qui ajouta « Je me demande bien quelle tête pourrait faire tes collègues si je leur parlait de ce magnifique pays qu’est la Suéde… et des jolies demoiselles qu’on peut y trouver aussi. » termina t-il par dire avec une voix enjouée, ce qui fit reculer légèrement la jeune femme, c’était à peine perceptible sauf si on admirait le spectacle depuis un moment.

Malgré cela Rubis resta calme, toujours son doux sourire aux lèvres face à son patron mais au fond d’elle, elle avait peur de ce qui allait se passer ensuite car elle savait que quand il utilisait cette carte pour la faire chanter, il ne lui laissait pas le choix. Et elle était bien trop loin du bar pour tenter une fuite en prétextant de devoir récupérer une commande pour une table et tenter de demander de l’aide à ce cher barman qui lui avait proposé, même si elle ne voulait pas l’embêter avec tout ça au fond d’elle car elle avait peur de lui attirer des ennuies en le mêlant à tout ça.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 15:44:35 »
Le doux regard un peu gêné de la demoiselle revint se posait sur l’homme à ses côtés qui lui avoua préférait la danse lui aussi, ce qui la fit rougir de nouveau un peu puis sourire avec douceur en riant avec tendresse en le regardant avec ses yeux pétillants alors qu’elle lui répondit d’une voix douce « Ho ! Alors ça nous fait un point en commun très cher collègue. » dit-elle en terminant sur le ton de la  plaisanterie en penchant doucement sa tête avant de rajouter avec douceur « Puis… C’est agréable de savoir qu’il y a des gens qui trouve la danse agréable et diverses, contrairement à d’autres qui pensent que… » elle marqua un petit temps d’arrêt en plissant doucement les yeux en regardant sur le côté, semblant réfléchir « Mmmh… Contrairement à d’autres qui pensent que la danse c’est juste une manière de… de… draguer on va dire pour rester polie. » finit-elle par dire en haussant un sourcil en déplissant ses yeux en reportant son regard sur lui avec une petite mine sérieuse et perplexe à la fois avant de retrouver son doux sourire en le regardant dans les yeux et de poursuivre leur discussion.

La jeune femme au regard tendre écoutait avec attention son collègue qui lui raconta les autres expériences professionnelles qu’il avait eu avant le bar et elle était pas étonnée qu’il est eu des emplois plus physique et même  dans le milieu de la sécurité vu sa carrure car il fallait dire qu’il était très impressionnant physiquement. Il fallait dire que les clients ou leurs autres collègues réfléchissaient a deux fois avant de l’importuner, surtout avec ses bruits de couloirs sur la mafia et compagnie, ce qui la fit doucement sourire en y repensant qu’elle demanda d’un ton un peu taquin en penchant la tête avec un regard amusé « Donc vous n’avez jamais fait partie de la mafia ou autres organisation criminelle ? Vous pouvez me le dire, je vous promet que je ne répéterais rien à personne, je voudrais pas finir couper en morceau dans une valise quand même… » ajouta t-elle en riant amusé en le regardant avec ses yeux rieurs et si doux.

Durant leur conversation, Rubis fut surprise par la réponse de Karl sur le fait qu’elle était passionné par son emploi à la librairie. Elle leva timidement la tête vers lui en rougissant avec un petit sourire heureux. Ça la rendait heureuse d’être comprise par ce charmant et gentil collègue qui ne trouvait pas sa passion pour les livres idiot, ça la rassurait même de voir que tous le monde ne trouvait pas les livres débiles et au fond elle était agréablement surprise même.

Continuant cette agréable discussion avec lui et ne voyant pas le temps passé en sa compagnie, elle en oublia presque qu’ils étaient au travail quand tout à coup le son de la porte de service vint lui rappeler ce détail et reprendre conscience de ce fait. Elle pencha doucement la tête en regardant la tête de sa charmante collège qui était une sacré championne en claquement de fesses en effet et qui avait une préférence pour celles de la jeune femme aux yeux rougeâtres aux côté du barman. Et après la déclaration légèrement paniquée de la serveuse qui venait chercher Karl en renfort qui s’exécuta pour repartir au bar, Rubis le regarda se redresser et croisa son regard. Et sur le coup, pour elle ne sait quelle raison, elle se mit légèrement à rougir puis elle hocha doucement de la tête en retour au hochement du barman en lui souriant avec douceur comme elle le faisait toujours puis elle se mit en route également pour aller reprendre son service, le tout encourageait par une magnifique claque bruyante sur la fesse de la part de sa collègue qui riait aux éclats en ajoutant « En selle ma jolie Rubis ! » ce qui fit soupirer légèrement la jeune femme aux cheveux de neige qui poursuiva sa route en passant la porte de service alors que sa collègue riait bien amusée en la suivant pour repartir avec elle en direction de la salle.

Et arrivé en salle, à peine la jeune femme eut le temps de reprendre son plateau et son carnet pour les commandes, que son patron vint à sa rencontre tout sourire après avoir quitté la table des clients vip « Rubis, j’aurais un travail pour toi après. » et la jeune femme le regarda sans dire un mot, presque pas étonnée de cette demande car elle avait bien présentie qu’il lui ferait le coup ce soir et ça ne la rassurait pas du tout qu’il vienne aussi rapidement, ça sentait vraiment pas bon pour elle cette fois, il allait sûrement faire du forcing…

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La jeune femme aux cheveux de neige écouta avec attention son cher voisin sur le fait qu’il était là depuis un an ainsi que ses expliquassions sur sa bonne affaire. Puis elle pencha doucement la tête en riant amusé de l’entendre dire qu’il ne s’était jamais imaginé monter sur ce toit puis elle releva sa tête ensuite en le regardant du coin de l’œil s’allongeant sur la tôle froide, se faisant la réflexion que ça devait être frais tout ça et voir la chaire de poule sur son torse nu et ses bras confirmait ce qu’elle pensait. Puis elle hocha doucement de la tête à sa question en lui répondant avec un doux sourire « Oui en effet, ça m’arrive souvent. Je dois grimper ici au moins 4 a 5 fois par semaine pour admirer la vue ou les étoiles. Quant aux cases dans lesquelles rentraient, en effet, ce n’est pas vraiment ma logique de pensées puis bon quand on est albinos aussi, on est déjà hors des cases » dit-elle sur le ton de la plaisanterie à la fois en riant doucement amusé en discutant avec ce charmant voisin dont elle se méfiait quand même car sait-on jamais.

Puis elle fut tout aussi surprise que lui sur le fait qu’en fait ils allaient discutaient tous les deux comme ça. Elle restait parfois vague et mystérieuse dans certaines réponses comme le fait qu’elle venait de Suède car elle avait envie de changement puis quant au choix de la ville elle est arrivée ici et est tombée sous le charme après son atterrissage au Japon donc elle est restée. Et elle lui retourna les questions aussi pour savoir d’où il venait et pourquoi ici, elle était curieuse, sincèrement, elle ne se forçait pas même si elle restait sur ses gardes un peu.

Et vint la pluie qui les surprena ensuite tout les deux, c’était même plutôt une sacrée averse qui faisait mal. Et en peu de temps qu’il en fait pris par le feu de l’action et de la fuite, elle a accepté de suivre son voisin chez lui se mettre à l’abri et se réchauffer autour d’un bon café.

Elle prit volontiers une des serviettes qu’il avait mis à disposition pour sécher ses cheveux trempés puis elle regarda le t-shirt qui lui tendit en lui indiquant la salle de bain pour se changer. Elle attrapa délicatement le t-shirt en hochant doucement de la tête pour dire merci, polie et souriante comme à son habitude puis elle regarda la porte de la salle de bain, quelque peu inquiète au fond d’elle quand même. Elle savait pas si elle pouvait faire confiance à ce cher voisin mais il avait l’air sympathique, surtout après leur petite conversation sur le toit.

Rubis hocha doucement de la tête encore une fois en le remerciant avec un « merci c’est gentil » de sa douce voix accompagné de son joli sourire avant de se diriger vers sa salle de bain et s’y enfermer, par mesure de sécurité au cas où quand même, puis elle enleva sa chemise et sa jupe qui étaient trempés ainsi que ses collants à contre-coeur, car elle allait se retrouver jambes nues, pas que ses jambes étaient laides, bien au contraire ! Elle avait de magnifique jambes bien dessinées et d’une blancheur de porcelaine comme le reste de sa peau. Puis la jeune femme essuya légèrement son corps qui étaient un peu trempé, gardant ses sous-vêtements puis elle enfila ensuite le t-shirt long que son cher voisin lui avait tendu, qui était en effet bien long, couvrant même une partie de ses cuisses, ce qui la rassurait quelque part.

La jeune femme resorta ensuite de la salle de bain en déverrouillant la porte, espérant qu’elle aurait pas besoin de mordre et griffer ce cher voisin qui la laissait encore en réflexion à son sujet sur le fait que ce soit le grand méchant loup ou peut être pas ?

Elle avait quand même un petit doute mais elle avait décidé que pour le moment elle lui ferait confiance toute en méfiance, mais cela ne l’empêcha pas de lui adresser un doux sourire en le rejoignant à sa table pour s’asseoir boire le café avec lui tout en lui disant de sa jolie voix « Merci pour le t-shirt… et le café aussi… Puis pour l’accueil, c’est vraiment très gentil Kilian »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 02:26:11 »
La jeune femme pencha doucement la tête quand son collègue prit la parole, l’écoutant et le regardant avec attention puis elle se mit doucement à rougir quand il lui disa qu’elle avait une bonne condition physique, hochant doucement la tête les joues un peu rosées en disant un petit « merci » timidement avant de redresser doucement sa tête pour l’écouter attentive parler de l’utilisation du corps et aussi de l’esprit dans le métier de barman, elle se fit la réflexion en l’écoutant que cela ressemblait un peu à une danse alors qu’elle c’était plus une course en faite. Puis quand elle l’entendît dire quelques secondes ensuite que cela ressemblait plus à une danse qu’à une course, elle cligna doucement des yeux avant de sourire tendrement, pensant que cela était drôle comme coïncidence de vision puis elle pencha de nouveau la tête en disant avec un joli sourire et une voix amusée « Je trouve que c’est bien plus intéressant la danse à la course personnellement, puis c’est plus agréable aussi… » puis elle ria doucement en le regardant avant de rougir un peu en regardant sur le côté, jouant avec une mèche de ses cheveux qu’elle entortillait   « Je… désolée, ce n’était pas très drôle… Promis, la prochaine fois je ferais mieux en terme de blague » disa t-elle avec une petite voix un peu gênée timidement mais avec toujours ce joli sourire à ses lèvres.

Redressant la tête ensuite pour l’écouter de nouveau avec attention, elle hocha doucement de la tête quand il parlait. C’est vrai qu’il semblait un peu confus au niveau du temps mais ça ne la choquait pas plus que ça contrairement à certains de leurs collègues qui trouvaient ça bizarre ou non-chalant, mais dans le fond quelle importance ? Ce n’était pas bien important et la jeune femme albinos ne le jugeait absolument pas, bien au contraire, elle était plutôt curieuse à son sujet qu’elle demanda naturellement « Et vous avez travaillé qu’ici ? Ou vous avez également travaillé dans d’autres établissements ? ».

Quand Karl demanda à Rubis si elle avait deux emplois, elle hocha doucement de la tête puis elle devint légèrement rouge quand il lui disait qu’elle était courageuse. C’était gentil, ça l’avait touché même. Personne ne lui avait jamais dit ça, enfin, ceux qui à l’époque étaient au courant qu’elle cumulait deux emplois ne lui avait jamais rien dit de gentil ou encourageant. Mais elle le faisait en effet car elle avait besoin d’argent, surtout à la sortie de l’orphelinat puis aussi quand elle a quitté la Suède pour fuir cet horrible passé et cette vie qu’elle avait vécue ou plutôt ce cauchemar qui continuait sans cesse de la hanter. Donc oui elle avait besoin  de beaucoup d’argent à l’époque pour se reconstruire et vivre une nouvelle vie. Même si aujourd’hui un seul emploi lui suffirait elle a garder cette habitude d’avoir deux emplois car cela lui permet aussi d’occuper ses pensées et son esprit pour ne pas laisser son passé la hantait quand celui-ci décide de se remémorer a ses souvenirs ou la visiter dans son sommeil, lui provoquant ainsi une certaine crainte du sommeil et pourtant ce n’est pas écrit sur sa figure qu’elle dort peu en faite. 

Mais aujourd’hui, ici dans son nouveau pays, sa nouvelle vie, il n’y a pas beaucoup de monde qui soient au courant de ces deux emplois hormis ces deux employeur mais parmi eux le libraire et sa femme étaient un peu inquiet pour la jeune femme qui ne faisait que travailler, ils lui disaient tout deux qu’elle devrait peut être profiter un peu de sa jeunesse, s’amuser et trouver quelqu’un aussi, sujet qui la faisait toujours tousser car ça la gênait beaucoup par rapport à tous ce qu’elle a vécue. Et pourtant la jeune femme rêveuse qu’elle était rêver d’amour mais elle savait aussi que les gens n’étaient pas forcément intéressé par ça ou trouver cela même futile, donc elle préférait esquivait le sujet et tousser, pour noyer le poisson quelque part dans ses moments là avec le couple qui tenait la librairie. A ses pensées mais surtout aux mots de cet homme à côté d’elle, elle esquissa un doux sourire en le regardant avant de lui répondre avec douceur « Merci c’est vraiment très gentil. Et oui, j’ai en effet deux emplois : le soir je travaille ici et la journée dans une librairie… Je… J’ai toujours aimé ça en fait les livres et être à leur contact donc ça m’a parue logique de travailler dans des librairies ou bibliothèques en faite… C’est sûrement idiot comme raisonnement, hehe, désolée… »

La jeune femme albinos riait doucement tout en étant gênée de ces explications si naïves. Puis elle continua de regarder Karl avec son regard pétillant et amusé, profitant de cet instant pour continuer à échanger avec lui et l’écouter encore avant la reprise du travail, qui allaient s’annoncer sportif pour eux deux et leurs autres collègues aussi
 en salle. Puis surtout que leur cher patron avait des projets pour sa charmante employée ce soir et qu’elle allait découvrir la surprise bien assez tôt quand ils y retourneront.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 23:30:05 »
La jeune femme aux cheveux blanc dont les reflets étaient accentués par la lumière qui se répercutait dedans ouvrit doucement les yeux en entendant la voix de son collègue ce qui la fit sourire et oublier tout ce qui la tracassait il y a encore quelque secondes a peine puis elle tourna doucement sa tête vers lui pour le regarder tendrement et elle ria amusé en hochant la tête à ses propos.

« C’est vrai, le hasard fait bien les choses aujourd’hui. »

Dit-elle en souriant amusé en penchant la tête en le regardant dans la pénombre qui lui donnait une autre allure, qui aurait sûrement effrayé certains collègues qui auraient crier « au mafieux » en prenant peur, et à cette pensé elle ria doucement amusé en mettant sa main devant sa bouche alors que la lumière de l’intérieur illuminait la jeune femme mettant en valeur davantage son aura solaire et rayonnante de nature. Même après avoir fermé doucement la porte avec toute la délicatesse du monde, elle semblait toujours rayonner par les rayons de la lune qui l’illuminait en compagnie des néons du commerce d’en face qui sautillaient.

« Je sens aussi que cette vague ne va pas être de tout repos, on risque de courir partout et de ne pas avoir assez de places pour les gens qui continuent d’arriver… »

Puis tout en répondant à l’affirmative à son collègue, elle se dirigea vers lui pour se positionner près de lui et surtout loin de la porte qu’elle ne souhaitait pas recevoir dans la figure. Puis elle releva doucement sa tête vers lui en entendant sa question puis elle lui répondit naturellement et avec douceur « Je dois avouer que c’est assez intense, on court partout pour servir plusieurs commandes à la fois et en prendre d’autres en parallèles tout en débarrassant rapidement les tables vides pour les préparer à accueillir de nouveaux clients. C’est assez sport si j’ose dire, je pense que ceux et celles qui font du sport sont plus avantagés dans ces moments-là car il faut une certaine endurance physique pour tenir la cadence et marcher vite sans courir… » puis elle pencha doucement la tête en le regardant avec un petit sourire « Et comment cela se passe de votre côté ? » demanda t-elle intriguée elle aussi par son métier qu’elle ne connaît que de visuel.

Puis elle pencha de nouveau la tête en étant près de lui en écoutant sa seconde question avant de sourire tendrement en secouant doucement la tête à la négative pour lui dire que ce n’était pas indiscret et que ça ne la gênait pas d’en parler, en tout cas, avec lui ça ne la gênait pas. Avec ses autres collègues, tout comme lui, elle était plutôt mystérieuse sur sa vie en général.

« Ça fait 6 années que je suis serveuse maintenant. J’avais commencé par les services en salle dans les restaurants, les brasseries et même les salons de thé. Mais j’en suis venue rapidement à travailler dans les bars, préférant travailler la nuit pour cumuler un autre emploi puis… J’aurais pu continuer dans les restaurants et brasseries le soir mais les bars ça paye beaucoup plus donc… c’était plus intéressant selon moi. »

Elle ferma doucement les yeux quelques instants en parlant de tout ça à Karl, ayant rapidement en tête quelques images de ses mésaventures dans son travail dans les bars et surtout du type qui lui avait fait vivre un enfer. Elle secoua vraiment très discrètement la tête pour chasser ça de son esprit puis elle rouvrit les yeux en tournant de nouveau son regard vers son cher collègue qu’elle regardait en souriant avec douceur avant de dire avec une petite voix un peu taquine.

«  Maintenant, c’est à votre tour Monsieur Neumann. Depuis combien de temps vous êtes Barman ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 22:07:32 »
Tout en suivant son collègue dans les couloirs de service du bar avant de nouveau s’arrêter  pour le regarder quand il ajouta qu’il restait bien des cocktails car il était là lors du dernier inventaire, la jeune femme hocha doucement de la tête puis elle passa une main dans sa nuque, jouant légèrement avec ses cheveux blancs en comprenant très bien l’expression du visage de Karl qui disait qu’il n’y avait aucunes excuses pour demander de l’aide et elle, elle le regarder en frottant doucement sa nuque, un peu inquiète de tout ça et craignant lui attirer des ennuis. Mais avant qu’ils ne se quittent elle hocha doucement de la tête en lui souriant avec douceur puis elle partit de son côté dans les vestiaires pour se préparer.

Le patron du bar aimait bien que les serveuses portent des uniformes qui changeaient selon les saisons et évènements. Rubis attrapa délicatement celui qui lui était destiné : une petite robe chemise blanche assez courte (arrivant un peu en bas de ses fesses, 4 ou 5cm de tissus en plus pour dire que ça couvre un peu) qui avait un décolleté bien plongeant le tout avec un petit gilet noir avec une doublure rouge en accord avec les boutons de sa robe chemise et des collants qui accompagnait la tenue. La jeune femme albinos se changea rapidement et se recoiffa puis mit un léger gloss transparent sur ses lèvres juste pour les faire ressortir légèrement, n’aimant pas spécialement les produits colorés sur les lèvres car elle trouvait que ça faisait très… catin et panneau publicitaire pour dire « messieurs, ma bouche est à votre service ».

Une fois en uniforme, elle sortit des vestiaires et alla d’un pas empressé vers la salle afin de préparer toutes les tables avec ses autres collègues, dont une qui avait la fâcheuse tendance de lui donner une bonne claque sur la fesse à chaque fois qu’elles finissaient une table le tout en riant aux éclats mais ce n’était pas du goût de Rubis ces plaisanteries et cela ne semblait pas perturber sa collègue plus que ça qui s’amusait à recommencer après une petite pause de repis pour la jeune femme albinos.

Une fois la soirée commencée, la fête battait son plein et les clients étaient en grand nombre, buvant, s’amusant et dansant comme des diables endiablés tandis que d’autres jouaient au poker assit tranquillement à leur table tout en sifflotant des cocktails, bières ou champagnes selon les préférences. La première vague étant passé, la seconde venait reprendre la relève et elle semblait encore plus forte que la précédente : les serveurs couraient de partout et les verres défilaient à une de ces vitesses, le rythme était tendu pour les employés du bar et malgré l’argent qui rentrait, le patron était toujours aussi aimable quand quelqu’un le croisait. 

Rubis n’avait pas encore vraiment croisé son patron, hormis quelques regards qu’elle avait croisé alors qu’il discutait avec des clients vip, avec le sourire aux lèvres bien sûr. La jeune femme fit comme si elle ne l’avait pas vu, continuant son service et subissant les remarques déplacées de certains clients qui la complimentait mais pas de façon très romanesques on pouvait le dire, on était plus sur du « joli petit cul » ou « ça te dit de monter au septième ciel poupée » (pour ceux qui avaient un peu plus de vocabulaire). Comme à son habitude, elle resta polie et souriante tout en remettant gentiment en place avant de se sauver pour poursuivre son service.

Après autant d’heures à courir partout la jeune femme se fit la réflexion qu’une petite pause s’imposa puis elle se sauva avant de croiser de nouveau le regard de son patron qui étaient encore avec les clients vip de tout à l’heure. Elle n’aimait pas ça, elle ne le sentait pas… il allait encore lui faire un sale coup, elle en avait bien peur… Pour oublier tout ça et ne pas y songer elle se faufilla dans la salle endiablée, traversant la piste de danse avant de pouvoir regagner un couloir et se sauver en pause, prévenant quelques collègues qu’elle croisa au passage dans le couloir menant à la porte de service qu’elle ouvra avec douceur et délicatesse pour ne pas faire trop de bruit ou déranger d’éventuels collègues en pause puis sa jolie frimousse passa la porte en fermant les yeux sans faire de bruit, profitant de ce premier contact avec l’air frais qui venait caresser tendrement son jolie visage de porcelaine.

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La jeune femme fut sortie de ses pensées par la voix d’un homme qui lui signalait que c’était dangereux d’être ici. Heureusement qu’elle était pas cardiaque ou sujette à la surprise, elle aurait pu très bien sursauter et faire un plongeon pour aller embrasser le sol.

Rubis s’apprêta a tourner la tête pour voir celui qui l’avait mise en garde mais celui-ci fut plus rapide qu’elle et s’installa a ses côtés puis ce dernier se présenta à elle en lui tendant la main.

Il avait l’air fort sympathique ce jeune homme, plutôt bien bâti et bel homme par-dessus le marché mais il en fallait bien plus pour impressionner la demoiselle, qui avait un pressentiment en découvrant ce voisin qu’elle avait aperçu à son premier jour ici quand elle avait emménagé.

Quelque chose disait à Rubis que sous le joli sourire de cet homme bien élevé qui se présentait dans les règles de l’art (ou presque, poignée de main ou baisemain selon les pratiques et préférences des gentlemen) se cachait quelque chose. Ce sombre et bel inconnu avait des allures de grand méchant loup (qui est fort sympathique dans les contes) et elle de Petit chaperon rouge.

À ses quelques pensées, qui fut très rapide dans la tête de la jeune femme aux jolis yeux rougeâtre, elle tendit à son tour sa main pour lui serrer la sienne en lui adressant un doux sourire de son joli regard tendre qui la caractériser si bien et d’une voix douce elle répondit « Enchanté de faire votre connaissance Killian. Moi c’est Rubis. » puis elle enchaîna toujours avec le sourire en lâchant doucement la main de son voisin « Vous habitez depuis longtemps ici ? »  demanda t-elle pour continuer la conversation, restant quand même sur ses gardes avec ce voisin de loup.
 

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 20:34:29 »
La jeune femme albinos au joli sourire avait une mine amusée et un regard pétillant rieur mais au fond d’elle, elle avait une boule à l’estomac rien qu’à l’idée de devoir encore refuser les demandes de son patron mais ce qu’il l’angoissa le plus c’était le fait que son patron ne lui laisse pas le choix car il aura déjà fait payer la prestation au client et cette idée l’effrayait au fond car elle savait qu’il pourrait très bien le faire car il lui avait déjà fait plusieurs fois le coup.

Mais pourquoi elle se laissait donc faire ? Elle avait beau être douce et d’une grande gentillesse, elle savait aussi tenir tête et envoyer balader pourtant (gentiment certes mais quand même). Alors pourquoi ? C’était simple, il lui faisait du chantage : après tout elle avait déjà de l’expérience en la matière donc elle allait pas faire sa petite Sainte Nitouche lui disait-il… Il savait certaines choses sur elle en effet et ce par un malheureux hasard pour la jeune femme : il l’avait déjà rencontré il y a plusieurs années, lors d’un voyage en Suède avec des amis et elle avait finie au bras d’un de ceux-ci qui avait été fasciné par la jolie demoiselle, autant par  son minois que son corps.

Et oui, la jolie demoiselle n’était pas d’ici, elle avait fuit son pays et jamais elle se serait douté qu’elle allait retrouvé ici quelqu’un qui avait pu la connaître là-bas… Et son patron n’avait rien laisser paraître au tout début lors de son entretien d’embauche mais il l’avait tout de suite reconnue ! Il faut dire qu’une jeune femme albinos, ça ne courrait pas spécialement les rues (malgré les nombreuses colorations et lentilles de contact de divers couleurs, déguisements et cosplays en tout genre qui étaient plutôt courant au Japon). Puis un jour quand il a commencé à lui demander ce genre de travail supplémentaire, elle avait poliment refusé, comme elle le faisait toujours d’ailleurs, mais vint un jour où c’est là que cette fameuse carte qu’il gardait dans sa manche bien au chaud fut sortit, faisant ainsi doucement chanter la demoiselle quand ça lui chantait d’ailleurs. Et il continue aujourd’hui à le faire, tolérant parfois ces refus puis quand il en a assez, il recommence la chansonnette, pour le plus grand désespoir de la jeune femme.

Alors oui, elle pourrait quitter son emploi et l’envoyer valser mais ce n’était pas si simple… Elle avait essayer de démissionner en toute discrétion mais son cher patron lui rappela que si elle faisait ça, il pourrait très bien lui faire une magnifique lettre de recommandations qui en ferait pâlir les autres bars et établissements du pays, ce qui fait qu’elle était piégé là, malgré elle. Mais c’est pas grave, elle avait appris à vivre avec puis elle avait des collègues sympas parfois, qui étaient souvent de passage mais ils étaient forts sympathiques. Puis il y avait aussi Karl, ce collègue élégant et sympathique, avec qui elle aimait échanger et travailler. Elle le trouvait agréable, absolument charmant, drôle et si prévenant. C’était réconfortant même motivant pour elle de venir travailler et ça la rassurait de savoir qu’elle allait le revoir.

Rubis regardait son collègue lui répondre et elle ria doucement amusé de le voir jouer le dégoût, mettant une main devant sa bouche pour rire, amusée par sa réponse et son jeu d’acteur qui la faisait rire et retrouver pendant quelques instants un peu de véritable joie dans son petit cœur et dans ses jolis yeux rouges pétillants. Puis elle pencha doucement la tête en le regardant reprendre son sérieux pour regarder l’heure et elle hocha doucement de la tête pour lui dire qu’il avait en effet raison, il aller falloir qu’elle se prépare la demoiselle : entre les tables à préparer et sa tenue de serveuse à mettre, faudra se dépêcher un peu pour être en avance car on ne sait jamais ce qui peut arriver avant le début du service.

Elle redressa sa tête puis s’apprêta a le suivre avant de faire une pause en l’entendant parler de ce fameux cocktail qu’elle connaissait très bien oui. Beaucoup de clientes voir même des clients avaient eu recours au Meltdown, il y avait même eu quelques serveuses quand ça virait au vinaigre parfois avec certains clients, c’était pas vraiment le cas dans ce bar-ci (sauf pour quelques clientes) mais elle avait déjà vu ça ailleurs oui. La jeune femme à la chevelure de neige souria tendrement, touchée par cette délicate attention qui lui allait droit au cœur et en même temps cela lui provoquait un pincement au cœur, car elle ne voulait pas lui attirer d’ennuis ni l’ennuyer avec ses soucis. Elle était comme ça, à tout prendre sur elle et continuer à sourire alors que parfois, même souvent en faite, malgré sa joie de vivre et son doux sourire, elle avait envie de pleurer toutes les larmes de son corps mais elle le gardait pour chez elle.

Rubis ferma doucement les yeux puis reprit sa marche, un doux sourire illuminant son visage et tout en suivant son collègue devant la porte avant de rentrer à l’intérieur du bar, elle leva légèrement sa tête vers lui en passant à son niveau et lui adressa un tendre sourire en hochant la tête « Je pense qu’il doit en rester quelques un en stock… Je tacherais de vous faire signe si j’en ai besoin alors. » dit-elle avec douceur en le regardant de son doux regard qui était vraiment touché par sa gentillesse et son aide.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 15:21:40 »
Tout en écoutant la réponse de Karl, la jeune femme hocha doucement de la tête tout en le regardant, se faisant la réflexion, comme elle se le faisait toujours en faite, qu’il était toujours aussi élégant et bien habillé puis surtout il était toujours courtois, chose qui la manquait un peu dans le milieu de la nuit en comparaison avec ses autres expériences dans d’autres établissements ou même avec leurs collègues de celui-ci en fait. Quelque part ça la rassurait aussi d’avoir un collègue si courtois et gentil, elle se sentait un peu moins seule dans ce monde de brutes de la nuit.

Elle hocha une seconde fois la tête tout en lâchant d’une douce voix un « Je vous en prie » à sa réponse puis elle pencha doucement la tête quand il lui parla des stocks pour ce soir avant de redresser doucement celle-ci, faisant bouger légèrement ses cheveux couleur neige qui se remis doucement en place pour encadrer de nouveau son visage, hochant une nouvelle fois la tête doucement en souriant avec douceur « Très bien, merci pour votre prévenance Monsieur Neumann. Comptez sur moi pour vous faire signe si on a besoin de ré-approvisionner les stocks. » répondit-elle avec un joli sourire et d’une douce voix comme à son habitude.

C’est vrai qu’il fallait dire que Rubis savait se faire discrète pour prévenir des besoins de stocks lors de certaines soirées où tout s’envolait très vite, contrairement à ces autres collègues qui avaient tendance à siffler comme si ils appelaient un chien ou à hurler agacer devant les clients, ce qui n’était pas très sérieux devant les clients puis ni très respectueux envers les collègues qui se faisait siffler ou appeler en hurlant. Bien sûr, on ne sifflait pas ni hurler sur n’importe qui, ça ne viendrait à l’idée de personne de faire ça à l’encontre de Karl par exemple, qui avait une carrure impressionnante et dont beaucoup avait un peu peur par rapport à toutes ces histoires de mafieux et on en passe à son sujet qui étaient colportaient un peu partout par leurs collègues. Non, lui, si certains lui sifflaient ou hurler dessus par inadvertance, ils se reprenaient aussitôt en rigolant un peu gênés, en blaguant avant de demander ensuite poliment plus de marchandises. Ce genre de scène avait un certain côté comique il fallait l’avouer oui, la jeune femme l’avait remarqué et elle trouvait cela amusant à observer, même si elle on lui hurlait dessus ou la siffler quand ça tombait sur elle mais elle s’en moquait et se contenta d’exécuter la tâche pour être tranquille. C’était donc pour ça qu’elle disait qu’il pouvait compter sur elle pour lui faire signe, car elle, elle était du genre discrète et pas aussi bruyante ni autant malpolie que leurs collègues, même si ceux-ci se rattrapaient envers l’impressionnant barman qui était pourtant fort sympathique, mais les histoires autour de lui avaient contribués à cette politesse de la part de leurs collègues ont pouvait dire.

La jeune femme haussa légèrement un sourcil à la mention du patron qui était bien tendu aujourd’hui, elle baissa légèrement la tête en se pinçant doucement les lèvres tout en hochant la tête. Elle se disait que ce soir allait être bien chargé et qu’évidemment leur patron serait stressé car il voudra absolument faire le plus de chiffres possibles. Et il tentera encore de proposer à Rubis de repartir avec quelqu’un et vu qu’elle refuse depuis plusieurs jours, ça l’agaçait fortement. Et avec la soirée qui s’annonce à l’horizon, il allait forcément tenter encore, insister pour gonfler ses chiffres et peut-être même qu’il en viendrait à accepter l’argent et ne pas lui laisser le choix… Il lui avait déjà fait le coup quelques fois et elle n’aimait vraiment pas ça, ce sentiment d’être prise au piège et prise au dépourvu, d’être forcé à faire quelque chose. En plus après la série de cauchemars qu’elle venait de vivre dans la journée, elle n’avait vraiment pas l’envie d’entendre parler de repartir au bras d’un inconnu et elle sentait que le refus allait mal passer ce soir. Comment elle allait pouvoir faire, c’était une bonne question…

Fermant ses yeux doucement à la suite de ces quelques pensées tout en soupirant légèrement et très rapidement, elle rouvrit ses jolis mirettes en regardant son collègue tout en lui adressant un regard tendre et un doux sourire en redressant la tête, le regardant dans les yeux en lui répondant avec douceur « Merci de m’avoir prévenu, c’est vraiment gentil. » puis elle pencha doucement la tête, toujours souriante, ne laissant rien paraître de ce qui la tracassait en demandant joyeusement « Alors… Prêt pour affronter cette soirée de folie et entendre la douce voix de notre patron qui fera son nouveau concert ? » demande t-elle avec douceur sur le ton de la plaisanterie en le regardant tout en mettant ses mains dans son dos en s’adressant à lui.

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Coucou Ryo et merci pour ton message c’est super gentil ^o^ ! Et merci pour l’accueil ;).

Promis, je ne juge pas ce charmant jeune homme et je serais ravie de faire la connaissance de tes persos et voir ensemble ce que nous pourrions faire ensemble x). Je te fais un petit MP de ce pas ^-^.


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Rubis habitait dans un immeuble près du grand parc et de ses sous-bois, non loin de la ville. Elle aimait bien cet endroit dans lequel elle avait emménagé il y a quelques mois à peine, vivant dans le centre-ville avant. Mais elle a décidé de déménager pour trouver quelque chose de plus calme, un peu éloigné de la ville et de son animation permanente puis surtout… loin de toutes ces lumières de la ville ! Car oui, les lumières de la ville ne lui permettait pas de pouvoir admirer les étoiles le soir et son télescope qu’elle avait installer sur son balcon dans son ancien appartement ne pouvait lui offrir un joli spectacle à cause de toutes ces lumières qui polluent le ciel… Ce qui l’a décida à déménager et à trouver un endroit un peu éloigné de la ville mais pas trop, histoire de ne pas être trop loin non plus pour ces deux emplois.

La jeune femme albinos a la peau de porcelaine était sur le toit de cet immeuble qui comptait 7 étages et quelques appartements, deux ou trois, voir parfois un seul par étage (tout dépendait de la taille des appartements, ces derniers étant bizarrement conçus et ayant des tailles totalement différentes). Elle habitait le dernier étage et sur son balcon se trouvait une petite échelle qui lui permettait de pouvoir monter sur le toit de l’immeuble où était installer un petit set de mobilier de jardin, permettant de pouvoir s’installer confortablement sur le toit pour profiter de la vue, du temps ou bien encore du ciel, tout comme le faisait la demoiselle aux jolis mirettes couleur rougeâtre, qui avait installait son télescope là-haut sur le toit, afin de pouvoir admirer les étoiles de plus près quand ça lui chantait.

Rubis était assise tranquillement, sur le bord du toit, ce qui était plutôt dangereux pour être honnête et même insouciant quelque part, mais la jeune femme n’y avait sûrement pas pensé. Elle était trop occupé à admirer le paysage, à regarder les étendues de verdures du parc et de ses sous-bois, qui étaient illuminés par les jolies couleurs du coucher de soleil, offrant ainsi un magnifique spectacle à la jeune femme qui regardait cela avec un regard rêveur, se perdant dans ses pensées et entendant à peine de légers bruits non loin de là, peut être dans les appartements en-dessous, peut-être dans les étages ou même sur le toit ?

Aller savoir ce qui se tramait non loin d’elle qui n’entendait rien ou presque, car elle était tellement perdue a admirer le paysage au loin, assis sur le rebord du toit de cet immeuble, perdue dans ses pensées.

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