Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Lissandre Verrières

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Lissandre Verrières

Pages: 1 ... 3 4 [5] 6 7 ... 15
61
Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: dimanche 06 décembre 2020, 19:41:17 »
Son cerveau avait refusé de comprendre. Ce jeu de regards entre les deux policiers. L’état des lieux. La porte fermée à clé. Il y avait des signes. TROP de signes pour ne pas comprendre ce qui allait se passer. Son esprit refusait de comprendre, ce qui se traduisait par une mise au silence de son corps. Pas un mot. Pas un geste. Enothis avait donc pris le contrôle de cette conversation. Elle s’était présentée. Elle avait souffert de sa non-maîtrise du japonais. Son innocence avait été abusé par les dons de manipulations des deux policiers.

*Il l’a menotté. Mais pourquoi ?... *

Son esprit de créatrice avait déjà tout compris depuis longtemps. Pire, étant donné qu’elle écrivait des scénarios pornos et qu’elle se voulait visionnaire dans le domaine : elle était satisfaite de la tournure des événements. La course-poursuite des pseudo-yakuzas. L’aide inespéré des forces de l’ordre. Qui se trouvait en fait être des pourritures qui allait abuser de deux jeunes demoiselles.

*C’est un beau scénario avec de bons rebondissements. Je devrais les applaudir. *

Mais Lissandre serrait les dents. La colère montait en elle : vague après vague. Une marée montante.

Jeune policier : « Écoutes ma mignonne, tu vois ta petite pote ? Si tu n’es pas prête à gentiment montrer que tu peux être docile, je crois qu’on va devoir lui donner une petite leçon. Alors… Sois mignonne et fous toi à genoux ! »

« Me mettre à genoux ? JAMAIS ! »

Elle savait qu’elle commettait une erreur. Mais elle était un esprit libre. Elle s’était déjà rebellée tellement de fois contre le système. Elle avait pris tellement de coups. Physiques ou morales. Elle n’allait pas plier devant le premier petit flic corrompu.

Alors elle se leva vivement et fit appel aux cours d’auto-défense qu’elle avait pris !

Ses mains bondirent vers les yeux du jeune policier à la carrure athlétique. Lissandre allait l’aveugler. Un adversaire avec un sens de moins et une dose de douleur était un adversaire diminué ! Ca allait fonctionner !

Le vieux policier à la moustache grise rit. Lissandre ne comprit pas jusqu’au moment où elle ne comprit pas non plus pourquoi une vague de douleur explosait dans son visage.

Vieux policier : « Tu pensais vraiment faire du mal à Iro ? Ah ah ! Les jeunes d’aujourd’hui ont bien trop d’énergie à revendre. »

Jeune policier : « Qu’est-ce qu’elle peut m’exciter celle-là avec son cosplay rose ! »

Lissandre avait le visage collé contre la table froide. Elle sentait le goût du sang dans la bouche. Elle essayait de se débattre mais le jeune policier la maintenant par une clé de bras. Le bougre avait de la force dans les bras ! Lissandre se trouvait donc pliée en deux, à la merci des envies montante d’un jeune policier.

(toc toc)

Vieux policier : « Ah ! Ce doit être ces voyous de malheur. »

Un bruit de clé résonna dans la serrure. Mais ce n’était ni par l’action du jeune policier qui maintenait Lissandre, ni du vieux policier qui gardait un œil pervers sur la jolie égyptienne. C’était… quelqu’un d’autre.

Et ce quelqu’un d’autre se révéla être le bandit aux cheveux verts… suivi de ces trois acolytes !

Vieux policier : « Comment va mon neveu préféré ? »

Cheveux « pelouse » : « Je suis énervé ! Cette salle pute m’a donné un coup dans les couilles ! Je vais en faire mon affaire ! »

Vieux policier : « Tu parles de laquelle mon petit Kenjirô ? »

Kenjirô « pelouse » : « Celle a la peau marron. Je me la garde cette pouffiasse. »

Derrière, les trois acolytes riaient. L’un d’eux prit en charge la caméra pour l’avoir dans sa main. Un deuxième refermait la porte à clé. Le troisième prenait la position d’Iro qui, à l’aide de colliers serflex, immobilisait les mains de Lissandre. Iro pouvait désormais retirer sa chemise. Pendant ce temps, le vieux policier, toujours assis, avait défait la ceinture de son pantalon et commençait tranquillement à se branler.

62
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: dimanche 06 décembre 2020, 08:29:45 »
L’irruption de la vendeuse coupa Lissandre dans son élan. Parce qu’il était impossible de faire comme si Kara venait de ne rien dire. Elle était obligée de surenchérir. Bien qu’elle se demandait tout de même si cette irruption de la vendeuse n’était pas arrivée au bon moment, finalement. Parce qu’il y avait plus que moyen de continuer cette conversation. Mais il y avait une façon provocante et une autre constructive.

« Je ne sais pas si elles vont nous mettre dehors. Mais ne t’en fais pas, je m’occupe de tout. »

Lissandre commença à récupérer tout une pile de vêtements. Donc la majorité n’avait pas été essayé par Kara. Peu importait. Elle hésita un instant à récupérer les affaires que portait sa copine du web quand elle l’avait vu pour la première fois plus tôt dans la journée. Mais Lissandre préféra lui demander dans quelle tenue elle souhaitait sortir. Le choix était celui de Kara et elle n’allait pas la provoquer là-dessus.

Une fois que Kara lui avait communiqué son choix, elle préféra lui expliquer ce qu’elle allait faire.

« Je vais régler la note de tout ça. Je vais m’excuser pour le raffut qu’on a produit. Et leur dire qu’on va partir. Bon allez, j’y vais. »

Et sans plus attendre, Lissandre sortit de la cabine d’essayage chargée comme pas possible de tous les vêtements et sous-vêtements.

Le temps que la vendeuse replie correctement le tout et range tout au-dedans de sac, Lissandre eut un nouveau sourire malicieux. Elle envoya une dizaine de photo de l’américano-japonais. Autant son gros engin jaune que du reste de son corps. Après tout, un homme ne se définissait pas par sa verge. Le visage était également très important. Il était vecteur d’émotions. Et c’était ces émotions qui étaient importantes pour le désir. Et donc : pour la provocation d’un ou plusieurs orgasmes.

Lissandre envoya ensuite ce SMS suite à l’envoi des photos : « Pour quand tu seras seule. Le slip sur les chevilles. Hi hi ! »

63
Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: samedi 05 décembre 2020, 18:20:07 »
Un pseudo-yakuza les agressait. Trois autres se tenaient derrière, augmentant le charisme, tout du moins le niveau de menace de leur leader aux cheveux verts. Résultat ? Personne dans le wagon ne les aiderait. Lissandre ne s’attendait pas à autre chose de toute façon. L’espèce humaine n’était pas courageuse. Chaque individu pensait que l’autre agirait. Tout le monde pensait de la même façon et jamais personne n’intervenait…

*Chier ! Comment se sortir de là ? Réfléchis, Lissandre. Réfléchis ! *

Mais sa réflexion fut perturbée par la réaction de sa récente amie. Elle baragouinait quelque chose. Les yeux pleins de surprise, ils allèrent d’Enothis au pseudo-yakuza. Ce dernier ne comprenant rien non plus. Il ne s’attendait pas à une telle réaction et essuya un retard… qui fut douloureux pour sa masculinité !

« Hein ? Quoi ?! »

Arrêt en station. Ouverture des portes. Et Lissandre qui se faisait tirer par Enothis pour fuir.

*On va passer notre soirée à courir ou quoi ?! *

Derrière les portes coulissantes déjà franchies, Lissandre entendait les trois acolytes demander des nouvelles. Mais le pseudo-yakuza aux cheveux verts leur gueulait déjà de rattraper « ces petites putes et surtout cette salope de gaijin ! ». Entendre ces insultes puis l’accélération des trois acolytes se mettant à leur poursuite donna un coup d’accélération au palpitant de Lissandre. Cette dernière accélérant pour se sortir de cette foutue situation.

« Là-bas ! Des policiers ! »

Lissandre pointa du doigt un couple de deux hommes habillés de la tenue des forces de l’ordre. Un gilet pare-balle. Un képi. Un talkie-walkie au niveau de la poitrine. Et ce qui ressemble à un tazer, ou peut-être une arme à feu, au niveau de la ceinture.

« HEY ! HEY ! On a besoin d’aide !!! »

Le plus vieux et le plus petit des deux policiers se tourna vers Lissandre et eut pour première réaction de froncer les sourcils. Le deuxième, plus grand et plus jeune, réagit au quart de tour et courut dans la direction des deux demoiselles dans le besoin d’un chevalier servant.

« Il y a des hommes qui nous ont menacé ! Ils nous poursuivent ! Ils sont juste derrière nous ! »

La vue du premier policier rapidement rejoint du premier provoqua une réaction vive pour les trois acolytes. Ils firent demi-tour sans demander leur reste et disparurent dans la foule des japonais rentrant de leur longue journée de travail.

« Merci beaucoup. Vraiment ! »

Lissandre reprenait son souffle. En relevant la tête, elle découvrit que le plus jeune des policiers avait une belle carrure athlétique et une peau parfaitement rasée. Le plus vieux des polciers avait un petit ventre attestant de son âge et une moustache grise sous le nez.

Les deux policiers indiquèrent aux deux demoiselles de le suivre. Il était question de les rassurer, de prendre leur déposition et d’assurer leur sécurité jusqu’à être sûr que les quatre agresseurs étaient véritablement partis. Les quatre entrèrent donc dans une petite pièce non loin du terminus. Une table au milieu. Quatre chaises. Une machine automatique contenant des boissons chaudes telles que du café. Il y avait également une armoire dans laquelle devait se trouver un ordinateur portable et diverses affaires de bureaux.

(bruit de la porte qui se referme à clé)

*Euh… Pourquoi ils nous enferment ? Je le sens pas bien ce coup… *

« Dites, pourquoi vous avez fermé à clé ? »

Le plus vieux des deux policiers sourit d’une façon perverse. Le plus jeune déboutonnait avait déjà retiré son gilet pare-balle et récupérait une caméra dans le meuble…

64
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: vendredi 04 décembre 2020, 20:08:46 »
« C’est vrai ? Il te plaît celui-là ? Alors considère qu’il est déjà arrivé chez moi ! »

Un grand sourire aux lèvres, Lissandre laissa Kara continuer à regarder sa galerie photo. Pendant ce temps, elle passa la tête au-dehors de la cabine. Elle vit que les employées discutaient entre elles. Il y eut même des visages surpris d’être surpris et elles finirent en petite révérence pour s’excuser à distance.

« Quoi ? Qu’est-ce que tu as dit ? »

*Des photos de mon mec ? Je comprends pas. J’en ai pas en ce moment. *

Lissandre se rapprocha de Kara et récupéra son téléphone à coque rose. En l’ouvrant et en arrivant sur la page de déverrouillage, elle comprit. Son visage s’éclaira sous les nouvelles informations et elle ne put réfréner un nouveau sourire malicieux.

« Tu as vu une partie de mon copain ? Du genre, de cette taille-là ? »

Entre ses deux mains apparut la longueur de la verge du dernier acteur qu’elle avait casté. Elle ne put s’empêcher de rire sous la méprise de sa copine du web. Quand elle reprit le contrôle de ses zygomatiques, et elle le fit rapidement pour ne pas trop embarrasser Kara, elle commença à expliquer.

« Ce n’est pas mon mec comme tu dis. C’est un acteur du nom de Takeru Johnson. Un métisse américano-japonais. Et, comme tu peux le voir, il a récupéré tout ce que l’Amérique fait en gros. En gros, une bite XXL ! »

Pour prouver ce qu’elle disait, elle retourna dans la galerie de photo et lui montra une image d’elle et de l’acteur. Une mise en scène qui rappelait les grosses prises des pêcheurs. Quand le pêcheur se retrouvait à côté d’un énorme poisson pendu. La différence pour cette photo est que Lissandre était accroupi et avait mis son avant-bras parallèle à la verge au repos impressionnante.

« Du coup, pas besoin de s’excuser. Je dirais même que je pourrais le contacter pour toi si ça peut te faire plaisir. Enfin, pas tout de suite, hein. Aujourd’hui, tu es à moi ! »

Prise d’une pulsion de jeu, elle se rapprocha à très grande vitesse des lèvres de Kara pour lui coller un bisou surprise. Elle se retint au dernier moment et lâcha son geste attentionné sur sa joue. Lissandre reprit ensuite sa position en gratifiant sa copine du web d’un clin d’œil complice.

65
La femme qui était devant ses yeux était de toute beauté. Et elle était seulement éclairée par l’astre lunaire. Lissandre resta quelques instants observatrice et silencieuse av   ant de finalement retrouver l’usage de sa langue.

« Je viens de très loin. Si loin que je ne connais rien de cette région et que je ne sais même pas ce qu’est un tissu tekhan. Tekhan, je le prononce bien ? »

Lissandre baissa la tête et découvrit comment elle était habillée. C’était tellement normal pour elle que la question la surprenait.

« Oh ! Ça ? C’est du latex. Je sais que c’est peut-être idiot, mais je préfère ce latex rose à ma peau de naissance. C’est comme une famille. On ne choisit pas sa famille mais on peut choisir de s’en créer une nouvelle. Et bien moi, je préfère ma peau d’adoption à ma peau de naissance. »

Elle parle, elle parle. Elle s’intéresse aux questions de son interlocutrice. Mais en oublie de l’observer. En oublie les manières. En même temps qu’elle se présente, elle se rend alors compte des yeux rouges et des crocs. Mais, bizarrement, cette impression de férocité est nettement amoindrie par la robe et le jeu de lumière nocturne. Probablement parce que Lissandre a travaillé dans le milieu du cinéma et des effets spéciaux avant de voyager vers un autre monde.

Elle s’approche alors, main tendue.

« Je m’appelle Lissandre. Lissandre Verrières. Enchantée de vous rencontrer. »

Elle regarde alors autour d’elle. Des arbres, des arbres et encore des arbres. Et pas une seule bâtisse en vue. Pas une seule source de lumière et de chaleur en vue. Lissandre décide alors de retourner son attention sur ces yeux couleur de sang.

« Peut-être qu’on pourrait poursuivre cette conversation au chaud et sous les lumières ? »

66
Lissandre avait pris un portail sur Terre pour l’emmener… où ? Elle n’avait pas su au début. Seule dans un monde inconnu, son apparence avait d’abord poussé les gens à s’éloigner d’elle. La croyant peut-être maudite ? Mais, à force de sourire et douée d’une énergie increvable, elle était parvenue à apprendre quelques informations. Elle se trouvait dans un monde du nom de Terra. Dans un endroit où une immense forêt s’étendait dans la région. Forêt qui abritait la bâtisse d’un vampire effrayant ! Lissandre avait ri au nez de l’homme qui avait mis les formes pour rendre son histoire encore plus effrayante.

« Vous ne m’aurez pas aussi facilement ! Je ne suis pas né de la dernière pluie. Je ne crois plus au Père Noël ! Et donc, vous m’avez dit que le vampire se trouvait dans cette direction, c’est ça ? »

Tendant sa main gantée de latex rose vers un arbre de la forêt parmi un millier d’autres, elle reçut la réponse de son interlocuteur :

Conteur : « Pauvre sotte ! Cinglée sans instinct de survie ! Tu mourras, les crocs du vampire dans ta gorge. Va donc mourir dans la forêt. Et oui, c’est bien par là que je t’ai dit que le vampire se trouvait ! »

« Merci beaucoup, monsieur ! »

Avec un grand sourire, elle répondit à son interlocuteur. Rapidement, elle alla d’un pas pressé s’enfoncer dans la forêt.

Maintenant, elle commençait à réfléchir. Elle était seule. Elle était habillée –comme d’habitude- de sa combinaison de latex rose moulant son corps à la perfection. Combinaison rose rehaussée d’une veste dorée. Un sac à dos rempli de divers équipements, et pas forcément le nécessaire vital pour partir en exploration d’un monde inconnu. Et ce, sans guide.

Lissandre commençait maintenant à hésiter. Elle progressait toujours dans la forêt, suivant la montre à son poignet qui lui permettait de conserver une direction unique. Heureusement qu’elle portait des chaussures ranger avec cette végétation luxuriante. Sinon, elle aurait depuis bien longtemps senti les piqures et les morsures de Dame Nature.

(branche qui craque)

(sifflement dans l’air)

(choc contre le sol)

(découverte surprise et effrayante)

« Je- Qui je suis ? Ce que je fais là ? »

C’était la peur qui parlait. La surprise également. Lissandre ne comprenait pas comment elle pouvait être allongée au sol. Elle n’avait rien vu venir. Même si elle se trouvait dans le noir, elle ne comprenait pas comment elle avait pu être aussi vite surprise par quelque chose qui avait forme humanoïde.

(goutte d’eau qui tombe sur visage)

*De l’eau ? Pourquoi ? *

Il y avait les yeux rouge qui plongeait dans les siens. Il y avait les crocs qui menaçaient sa vie. Pourtant… Pourtant c’était les gouttes d’eau rebondissant contre son corps qui attirait son attention. Alors, avec un sourire chaleureux, elle répondit enfin :

« Je m’appelle Lissandre. Je viens de très loin pour vous. Et… vous êtes nue ? »

67
Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: mercredi 02 décembre 2020, 19:45:02 »
[en anglais] : « Je te comprends, ne t’inquiètes pas. Si tu préfères qu’on conserve cette langue, aucun problème pour moi ! Je maîtrise le français, l’anglais et le japonais. »

Usant d’un geste stéréotypé, Lissandre montra le « V » de ses deux doigts dressés, accompagné d’un sourire charmant. Elle était contente d’avoir rencontré celle qui se présentait avec le prénom d’Enothis. Contente car elle sentait que cette rencontre allait stimuler son imagination !

« Moi, c’est Lissandre. Je suis contente d’être venue à ton secours. Enfin, je ne veux pas dire que je suis contente que tu sois pourchassée. C’est juste que je vois toujours la vie du bon côté. Et sans cet homme chelou à ta poursuite, on ne se serait surement jamais adressé la parole. »

Lissandre gratifia Enothis d’un nouveau sourire. L’égyptienne allait vite comprendre que la femme en latex rose était un concentré d’énergie débordant. En attendant, elles se rendaient toutes les deux vers des sièges disponibles dans le fond du wagon. Lissandre s’assit, le dos droit. Elle plia une jambe par-dessus l’autre. Malgré son air de gamine hyperactive, elle avait des manières qui témoignait de son éducation de bourgeoise.

« Ne t’inquiète pas pour moi. Bien sûr que je vais te prêter une des chambres de ma maison. De toute façon, je suis généralement toute seule. Donc un peu de compagnie me fera plaisir. Par contre, je te préviens, chez moi, c’est assez spécial. »

Son sourire chaleureux se transforma en sourire malicieux. Ce n’était pas le moment de parler de ses prétentions professionnelles. Aujourd’hui, la fantasy-porno serait mis en sommeil. Ce qui comptait, c’était aider cette lycéenne, la rassurer et passer du bon temps. Donc, probablement un bon repas. Peut-être du karaoke. Beaucoup de bonbons ! Et surement se perdre sur internet avec des vidéos drôles contenant des chats et des shows WTF japonais.

Des idées en tête, Lissandre avait déjà allumé son téléphone portable. Bien entendu, un modèle à coque rose qu’elle avait sorti de la poche de son blouson doré. Elle multipliait les recherches, sélectionnait des musiques, assemblait déjà une playlist pour passer la soirée. Elle disparut donc quelques instants de la vie IRL et manqua peut-être une question ou deux d’Enothis.

Elle manqua également l’arrivée de plusieurs jeunes hommes annonciateur de problèmes…

Voix masculine : « C’est mignon tout plein, ça. Vous avez vu les gars ? »

Lissandre avait l’habitude qu’on lui fasse des remarques au sujet de ses courbes moulées de rose. Elle ne releva pas la tête de suite. Car, bien souvent, l’indifférence minait le moral des petits harceleurs. Elle continua donc de faire ses recherches internet, pensant soudainement à passer une commande pour recevoir un lot surprise de confiseries directement chez elle !

« Des bonbons surprises ! Tu vas voir, ça va être marrant. »

C’est en faisant cette remarque à Enothis qu’elle découvrit le visage du « petite harceleur ». Une tête de racaille aux cheveux courts et teints en vert. Une taille pas très grande mais un torse fin mis en valeur d’un débardeur blanc collant à son corps. Mettant en évidence ses épaules tatouées à la mode yakuza. Les mains bien enfoncées dans les poches de son large pantalon noir, Lissandre suspectait un poing américain traînant au-dedans.

Voix masculine : « Ah bah enfin ! Je croyais que le bonbon était sourde. Et que la copine était muette. D’ailleurs, elle parle la copine de bonbon rose ? »

68
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: dimanche 29 novembre 2020, 09:11:31 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°18

« Ça te va très bien ! C’est coloré. Ça laisse montrer des formes mais ça ne montre pas tout. Ça fait travailler l’imagination, c’est parfait comme ça ! »

Lissandre croisa ses bras. Puis elle libéra son bras droit pour venir poser son index contre ses lèvres. Elle réfléchissait. Quelque chose la turlupinait. Il manquait quelque chose. Ses yeux balayèrent Kara de haut en bas. Il n’y avait pas de malice. C’était un regard sérieux.

« Mais bien sûr ! Il te manque des accessoires. Un collier, même discret, permettrait d’accentuer ce bel arrondi mettant en valeur ta poitrine. Tout comme des bracelets à tes poignets et à tes chevilles donneraient un petit plus qui enrichirait déjà ce bel assortiment. Tu en penses quoi ? »

Une nouvelle idée frappa Lissandre. Kara put le voir dans ses yeux. Son téléphone portable en main, ses doigts cherchaient dans sa galerie photo l’objet de ses pensées.

« Il y a quelques jours, je me suis arrêté justement dans une bijouterie. Pas si loin d’ici. »

Il y avait énormément de photo dans son téléphone portable. Elle passait parfois une heure par jour à revenir dedans et chercher l’inspiration. L’image qu’elle avait trouvé d’une façon hasardeuse pour venir nourrir son scénario ou illustrer son propos à un collègue.

« Pas ça. Pas ça. Ça c’est un collier BDSM mais ce n’est pas ça non plus. Ah ! Les voilà ! »

Lissandre montra un collier constitué d’une fine chaîne en or et d’une petite pierre qui ressemblait à une larme. Discret et beau. Son doigt passa à la photo d’après. C’était un collier en trois étages. Trois chaînes avec sur chacune d’elle, un petit médaillon.

« Tiens, prends mon téléphone et regarde un petit peu ma galerie. Dis-moi si tu vois des choses qui te font plaisir. Il y a un service de commande en ligne et ça pourrait arriver chez moi rapidement. »

Ce que Lissandre ne pensait pas sur l’instant, c’est qu’il y avait des photos d’un casting qu’elle avait passé juste avant qu’elle fasse le tour des boutiques. Un homme japonais qui était membré pour du hard. Et, si la curiosité de Kara l’emmenait jusqu’à ses photos, elle pourrait comparer la taille par rapport à la main de sa copine du web. Car Lissandre y mettait du sien pour recruter pour ses propres films.

69
Centre-ville de Seikusu / Le pouvoir des macarons [avec Lied Mueller]
« le: dimanche 29 novembre 2020, 08:09:19 »
Aujourd’hui, c’était journée repos. Lissandre ne voulait pas se prendre la tête à subir une nouvelle fois le syndrome de la page blanche. Aujourd’hui, elle ne voulait pas faire de casting et voir une nouvelle tripotée de bites et d’allusions grossières. Aujourd’hui, c’était détente et sucreries !

Lissandre marchait donc dans une rue de Seikusu. Les mains dans les poches de son blouson doré, elle attirait les regards. Mais elle en avait l’habitude. Même au pays du cosplay, voir une jeune femme dans une combinaison intégrale et moulante de latex rose attirait les regards. Elle souriait à ceux qui la montrait du doigt, ça suffisait bien souvent à leur faire perdre toute velléité. Et pour les plus lourds : les ignorer était une stratégie avec un fort taux de succès.

« Bonjour, demoiselle. Est-ce qu’elle aimerait goûter à un macaron ? Le premier est offert par la maison ! »

Comment refuser face à une petite pâtisserie toute ronde et colorée ? Lissandre s’arrêta et fit un grand sourire à l’homme qui lui présentait un macaron de couleur rose sur un petite plateau d’argent. La main de latex rose le saisit et en croqua une moitié.

« Hum ! C’est délicieux ! »

« Si la demoiselle veut en manger plus, je l’invite à passer en boutique. Il y a bien plus de douceurs à l’intérieur. »

La deuxième moitié ne perdit pas de temps pour venir ravir les papilles. Maintenant, Lissandre observait le petit stand exposé devant la grande vitrine peinte de la confiserie. La petite table dont l’homme s’occupait était d’une présentation délicieuse. Les macarons formaient une chenille de couleurs dont un élément central manquait. Le fameux macaron rose qu’elle venait de manger. Mais déjà l’homme, d’une pince en fer, prenait un macaron en bout de fil pour reconstituer la belle chenille.

« Bonjour, demoiselle. Est-ce qu’elle aimerait goûter à un macaron ? Le premier est offert par la maison ! »

L’homme proposait un macaron bleu à la jeune femme aux yeux bleus. Lissandre se retourna, ses yeux ayant suivi le macaron présenté. Elle s’était même retenue de le ravir et de le déguster.

« Vous devriez y goûter. Ils sont vraiment bons ! »

70
Zone Sous-Marine / Légende urbaine - Monstre marin [avec Lyli]
« le: dimanche 29 novembre 2020, 07:35:50 »
Assise dans son bureau, son ordinateur portable à coque rose allumée : Lissandre soufflait une nouvelle fois. L’inspiration avait fui. Elle tournait en rond depuis au moins trois heures. Elle ne parvenait pas à reprendre un de ses récits commencés. Elle n’arrivait pas non plus à trouver une nouvelle idée. C’était le néant. Et elle soupirait encore, laissant tomber sa tête contre la surface du bureau.

Lissandre décida de fermer toutes ses pages ouvertes. Elle éteignit même son ordinateur pour le rallumer. Se disant que le geste serait symbolique de repartir de zéro. Elle éteignit donc sa session, redémarra son PC et se retrouva face à son fond d’écran. Sa main sur la souris… ne sachant quoi faire et où cliquer.

« Merde ! »

Elle ouvrit une page internet. Cliqua sur un lien. Puis alla sur cet autre site. Lissandre finit par se perdre dans les méandres d’internet, allant d’un article sur une innovation technologie, à une vidéo sur des chats kawaii, en passant également par une vidéo porno avant de finir sur un forum local. Des fils de conversation qui explosait dans tous les sens.

« Légande urbain – Monstre marin » Ce titre avait remporté l’attention de Lissandre. Ça et le fait que le pseudo du créateur indiquait une localisation pas si loin de sa position. Elle ouvrit le fil de discussion et apprit qu’un geek avait aperçu une forme dans l’eau. Une très belle femme aux cheveux rouge nageant avec une souplesse et une rapidité impossible pour une humaine. Les réponses étaient aussi intéressantes que le postulat de base. Il y avait les haters qui s’en donnait à cœur joie, les pervers qui imaginaient les choses, il y avait même un pseudo-scientifique qui expliquait par A+B comment l’existence d’une sirène était impossible.

Car c’était de ça dont il était question : une sirène !

Milieu de l’après-midi. Lissandre s’enfonçait dans le sable. Ça faisait une heure qu’elle essayait de retrouver le spot. Elle n’avait que quelques images issues du fil de discussion du forum. Elle s’arrêta une énième fois pour demander les coordonnées GPS à celui qui avait soi-disant vu la sirène. Mais elle n’avait toujours pas de réponse.

« SIRENE ! SIRENE ! Où es-tu ? »

Il n’y avait plus personne autour d’elle. Elle s’était éloignée des plages de sable fin pour explorer des endroits bien plus sauvages. Des petites criques qui se retrouvaient complètement noyées à marée haute. Et la marée montait justement. Le temps jouait la course-poursuite contre elle.

« SIRENE ! J’aimerai te rencontrer ! J’aimerai parler avec toi ! Tu M’ENTENDS ? »

Ses mains en porte-voix, Lissandre se demandait soudainement si ça servait à quelque chose. Est-ce que le son de sa voix pouvait être audible depuis sous la surface de la mer ?

Elle finit par laisser ses affaires un peu plus haut, là où l’eau ne les atteindrait pas. Puis elle se dirigea vers un rocher où elle s’assit en tailleur. Le regard au loin, elle ne croyait plus en cette rencontre…

71
Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: dimanche 29 novembre 2020, 07:09:20 »
Elle avait vu une vidéo sur youTube concernant Takehiko Inoue : un mangaka célèbre. C’était l’homme derrière le manga qui avait apporté le basketball au Japon : Slam Dunk. C’était aussi l’homme qui avait repris l’histoire célèbre du samurai nommé Musashi Miyamoto : dans le manga nommé Vagabond. Ce qui avait intéressé Lissandre, au-delà des œuvres et des histoires du mangaka, avait été la façon dont il travaillait. Le mangaka avait plusieurs cafés favoris dans lesquels il se rendait pour travailler. Il tournait de l’un à l’autre pour changer d’environnement, pour renouveler son inspiration ou alors pour écrire avec un certain état d’esprit.

Lissandre avait donc testé plusieurs cafés dans la journée. Elle s’était assise à des tables, commander des cafés et avait observé son environnement. Les couples qui parlaient à voix basse. Les décorations qui étaient parfois recherchées, parfois trop standards. Mais aussi le va et vient du dehors. Lissandre sortait alors son ordinateur portable à coque rose et commençait à écrire. Elle avait essayé plusieurs ébauches de scénario. Elle avait noté plusieurs idées. Puis elle s’était rendue compte qu’il commençait à se faire tard. L’heure était venue de rentrer chez elle. Ses scénarios révolutionnaires attendraient demain maintenant !

Elle se retrouve donc sur les quais du métro. A attendre. Avec sa personnalité et son trop-plein de café, Lissandre déborde d’énergie. Elle décide de la canaliser en observant le monde qui l’entoure. Son esprit rentre à nouveau en mode professionnel. Elle se demande ce que cette innocente mamie pourrait bien porter comme lingerie sulfureuse en-dessous ses vêtements dépassés de mode. Elle se demande ce que cet homme d’affaires peut bien écrire sur son téléphone portable : une conversation avec une maîtresse ? Peut-être une conversation passant dans un portail dimensionnel et arrivant dans un autre monde ? L’imagination de Lissandre est prolifique. Trop pour certains qui n’arrivent pas à suivre et l’abandonne…

Et il y a cet homme. Un homme assez standard dans ses proportions et son visage. Mis à part cette petite queue de rat ridicule. Sauf que ses vêtements attirent l’œil de celle qui cherche les personnages atypiques pour ces créations de porno-fantasy. Pantalon ample et épais en toile. Haut à manche longue. Et surtout, le tout brodé de fil d’or.

*Qui es-tu toi ? *

Son attention n’est plus centrée que sur cette personne. Elle essaie de regarder ailleurs. Mais elle revient toujours à cet homme qui se met maintenant à observer cette lycéenne. Probablement une qui suit des cours du soir. L’éducation des japonaises étant bien différente des françaises. Pays d’où elle vient.

*Une course-poursuite ? *

Lissandre ne réfléchit pas plus et tend sa main salvatrice pour attirer la lycéenne dans le wagon. Elle tombe au sol et Lissandre observe cet homme énervé d’avoir perdu sa proie. Un pervers obsessionnel ? Elle n’y croit pas. Une fois qu’elle ne peut plus le voir, Lissandre s’intéresse à la victime.

« Ne t’inquiète plus, les ennuis sont derrière toi. »

Elle tend une nouvelle fois sa main. Cette fois pour l’aider à se relever. Cette main est accompagnée d’un sourire chaleureux. Ce sourire est fiché sur un corps engoncée dans une combinaison intégrale de latex rose. Elle porte également une veste couleur or.

« Qui était cet homme ? Tu as besoin d’un endroit où te réfugier pour la nuit ? »

*J’ai quelques questions à te poser. Et mon instinct me dit que tes réponses vont donner création à d’autres questions ! *

72
Le coin du chalant / Re : Baignade et sable chaud ( oui même en novembre )
« le: mardi 24 novembre 2020, 16:50:56 »
Je peux prendre cette place qu'il te reste si tu veux de moi ;)

Je n'ai pas d'idée qui me vienne à l'instant pour RP par contre ^^

73
Le coin du chalant / Re : Walk like an egyptian
« le: lundi 23 novembre 2020, 18:16:42 »
Je suis intéressée par RP avec toi ! ^^

Je verrais bien la course-poursuite dans les bas-fonds de Seikusu : ton scénario "Ceux qui nous poursuivent"

Je suis également sur Discord si tu veux échanger ;) Je suis Rorschach #2286

74
Le métro et la gare / Re : IRL des SJW [Lissandre Verrières]
« le: samedi 21 novembre 2020, 16:56:23 »
IRL des SJW [avec Kara Desco] – réponse n°17

« Mon style à moi ? »

Lissandre repensa à ces dernières aventures. Elle avait des difficultés à faire le tri dans ce qu’elle avait vraiment vécue, ce qu’elle avait imaginé et ce qui dépassait le cadre « Terrien ». Elle se souvenait d’un désert et d’un démon. Elle se souvenait d’un casting dans cette ville. Elle se souvenait également d’une vie nocturne et d’un vampire. En y repensant, même quand les idées étaient fantastiques : était-ce un pilote d’un de ses nombreux essais pornos ou une vie sexuelle rêvée ? Compliqué…

« Je ne sais pas. Je ne crois pas que j’ai un style. En tout cas, je ne crois pas encore avoir découvert le mien. »

Elle repensa à ses aventures. Puis fut interrompu par la nouvelle question de Kara.

*Comment ne pas la titiller avec une question comme celle-là ? Hi hi ! *

« Alors comme ça on aime les grosses bites ? »

Lissandre en avait fait exprès de parler crûment. Elle avait même commencé à élever la voix pour faire croire à sa nouvelle amie qu’elle voulait attirer l’attention de toute la boutique. Mais elle s’était retenue. Et un grand sourire malicieux illuminait son visage.

« Plus sérieusement. Oui, j’ai rencontré de beaux hommes. Certains ayant reçu un don généreux de la nature. »

Ses mains mimèrent une verge de trente centimètres.

« Mais, tu sais, derrière tout ce que les spectateurs découvrent des vidéos : il y a un autre monde. Et, avant de trouver un acteur qui m’intéresse : je vais tomber sur des dizaines et des dizaines de cas. Des geeks puceaux et précoces. Des transporteurs au gros bide et au sourire salace. Des yakuzas. Des hommes qui cachent des sous-vêtements de femme derrière une tenue de travail tout ce qu’il y a de plus classique. C’est… fatiguant. Et, à force, je ne vois plus de verge. Je ne vois plus qu’un bout de peau plus ou moins long. Plus ou moins épais. D’une couleur ou d’une autre. Oui. A trop en voir, on ne voit plus rien. »

Un monologue un peu philosophique. Un peu blasé également. Lissandre ne voulait pas rester dans cet état de pensée. Alors elle redirigea l’attention ailleurs.

« Et donc, madame je serai curieuse de rencontre des gens bien membrés, on aime rester dans cette lingerie ? On n’essaie rien d’autre ? »

75
Le coin du chalant / Re : La boîte de cupcakes est vide ! Oskuuuuuur !!
« le: samedi 21 novembre 2020, 13:01:23 »
Salut !

Lissandre est prête à RP avec toi avec cette ouverture que tu proposes : L'héritage familial d'un génie

Et sache que ma Lissandre est un bonbon rose. Donc on peut réunir : L'héritage familial d'un génie + Ô douce sucrerie savoureuse ;)

Pages: 1 ... 3 4 [5] 6 7 ... 15