Le métro et la gare / Re : La loi de Murphy [ Pv ~ Lissandre Verrières]
« le: dimanche 06 décembre 2020, 19:41:17 »*Il l’a menotté. Mais pourquoi ?... *
Son esprit de créatrice avait déjà tout compris depuis longtemps. Pire, étant donné qu’elle écrivait des scénarios pornos et qu’elle se voulait visionnaire dans le domaine : elle était satisfaite de la tournure des événements. La course-poursuite des pseudo-yakuzas. L’aide inespéré des forces de l’ordre. Qui se trouvait en fait être des pourritures qui allait abuser de deux jeunes demoiselles.
*C’est un beau scénario avec de bons rebondissements. Je devrais les applaudir. *
Mais Lissandre serrait les dents. La colère montait en elle : vague après vague. Une marée montante.
Jeune policier : « Écoutes ma mignonne, tu vois ta petite pote ? Si tu n’es pas prête à gentiment montrer que tu peux être docile, je crois qu’on va devoir lui donner une petite leçon. Alors… Sois mignonne et fous toi à genoux ! »
« Me mettre à genoux ? JAMAIS ! »
Elle savait qu’elle commettait une erreur. Mais elle était un esprit libre. Elle s’était déjà rebellée tellement de fois contre le système. Elle avait pris tellement de coups. Physiques ou morales. Elle n’allait pas plier devant le premier petit flic corrompu.
Alors elle se leva vivement et fit appel aux cours d’auto-défense qu’elle avait pris !
Ses mains bondirent vers les yeux du jeune policier à la carrure athlétique. Lissandre allait l’aveugler. Un adversaire avec un sens de moins et une dose de douleur était un adversaire diminué ! Ca allait fonctionner !
Le vieux policier à la moustache grise rit. Lissandre ne comprit pas jusqu’au moment où elle ne comprit pas non plus pourquoi une vague de douleur explosait dans son visage.
Vieux policier : « Tu pensais vraiment faire du mal à Iro ? Ah ah ! Les jeunes d’aujourd’hui ont bien trop d’énergie à revendre. »
Jeune policier : « Qu’est-ce qu’elle peut m’exciter celle-là avec son cosplay rose ! »
Lissandre avait le visage collé contre la table froide. Elle sentait le goût du sang dans la bouche. Elle essayait de se débattre mais le jeune policier la maintenant par une clé de bras. Le bougre avait de la force dans les bras ! Lissandre se trouvait donc pliée en deux, à la merci des envies montante d’un jeune policier.
(toc toc)
Vieux policier : « Ah ! Ce doit être ces voyous de malheur. »
Un bruit de clé résonna dans la serrure. Mais ce n’était ni par l’action du jeune policier qui maintenait Lissandre, ni du vieux policier qui gardait un œil pervers sur la jolie égyptienne. C’était… quelqu’un d’autre.
Et ce quelqu’un d’autre se révéla être le bandit aux cheveux verts… suivi de ces trois acolytes !
Vieux policier : « Comment va mon neveu préféré ? »
Cheveux « pelouse » : « Je suis énervé ! Cette salle pute m’a donné un coup dans les couilles ! Je vais en faire mon affaire ! »
Vieux policier : « Tu parles de laquelle mon petit Kenjirô ? »
Kenjirô « pelouse » : « Celle a la peau marron. Je me la garde cette pouffiasse. »
Derrière, les trois acolytes riaient. L’un d’eux prit en charge la caméra pour l’avoir dans sa main. Un deuxième refermait la porte à clé. Le troisième prenait la position d’Iro qui, à l’aide de colliers serflex, immobilisait les mains de Lissandre. Iro pouvait désormais retirer sa chemise. Pendant ce temps, le vieux policier, toujours assis, avait défait la ceinture de son pantalon et commençait tranquillement à se branler.