Comment ne pas aimer ça ? Coucher avec elle ? S'envoyer en l'air avec toute l'énergie dont la redoutable Kryptonienne était capable ? Helena... Difficile de dire combien de fois ces deux femmes avaient déjà fait l'amour, et, pourtant, jamais la lassitude ne semblait devoir les gagner. Karen retrouvait à chaque fois un grand et immense plaisir à sodomiser ainsi sa belle Karen, à la faire hurler, et à l'entendre couiner comme une bête enragée.
« Hmmm… Bo-Bordel, haaa… !! » grogna-t-elle, les dents serrés.
De la sueur coulait le long de son corps. La présence de Kiba et d’Hakuba ne faisait que stimuler davantage Karen, qui devait, après tout, continuer à les marquer, et à les impressionner. À leurs yeux, elle était, après tout, une sorte d’entité supérieure, leur Maîtresse. À ce titre, elle ne pouvait pas se permettre de faillir, de manquer à sa prestance, de ne pas être à la hauteur. Il en allait de sa réputation, tout simplement, et c’était bien en considération de ces éléments que Karen, imperturbablement, continuait à prendre son amante, à enfoncer sa massive virilité en elle, et à la sentir hurler et à se tortiller contre son corps.
Karen, comme toujours, s’avérait être une amante formidable. Des culs, Karen aimait en butiner, mais aucun n’était plus formidable, plus souple, et plus musclé que celui de sa divine amante. Power Girl la prenait avec passion et engouement, grognant et gémissant à chaque fois, gesticulant sur place, donnant de puissants coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible en elle, quitte à ce que ses testicules finissent par claquer sur la peau mate de la jeune femme.
« Haaa, ce cul de sale chienne, hnnn… !! Hmmmm… Tu-u aimes ça, h-hein… ? Me… Me sentir en… En t-toi, hnnn… !! Et… Te… Te baiser b-bien fort… !! »
Bien sûr qu’elle aimait ça ! Comment aurait-il pu en être autrement ? Karen continuait à la prendre, encore et encore, redoublant d’effort, d’énergie, d’envie, de volonté, la giflant, la pinçant, la martyrisant à sa manière, la poussant et la retranchant dans ses dernières limites. Helena se tortillait sur place, poussée par Karen, jusqu’à ce que, dans un grand soupir, ponctué d’une ultime gifle, Karen ne finisse par se répandre en elle.
« Hmmmmmmmmmmmmmm… !!! »
Un long soupir fusa de ses lèvres, et Karen se calma ensuite progressivement, ralentissant le rythme, reprenant sa respiration. Elle papillonna des yeux, avant de se retirer du juteux corps de son amante. Helena, de son côté, se releva à son tour, et se rapprocha des deux hommes, qui avaient aussi bien juté, s’éclaboussant mutuellement.
« Il faut croire qu’on les motive, ils ont beaucoup joui, ces deux-là… » rigola doucement Karen.
Helena, en tout cas, était très inspirée par eux. Si elle mettait ça sur le compte de son influence paternelle, Karen y voyait aussi l’expression de sa mère… Catwoman. Autrement dit, une femme bien connue pour sa propension naturelle à se jouer des hommes, et à claquer de son fouet.
Elle se rapprocha de Kiba et d’Hakuba, et ils obéirent bien sagement, se pourléchant les mains, saisissant le sperme qui dégoulinait sur eux, et l’avalant copieusement.
« Oui, vous étiez magnifiques, Maîtresses…
- Somptueuses, meme ! »
Ils étaient obéissants et sages, et rougirent quand Helena continua à les narguer, jusqu’à leur imposer un nouveau jeu. Les deux amants se regardèrent brièvement, puis Kiba obtempéra, et retira sa culotte, légèrement trempée, la tendant à Helena, pendant qu’Hakuba, de son côté, obéissant également, posa la sienne sur le sexe de son amant, et recommença à le caresser. Ils n’avaient évidemment pas oublié les instructions de leur Maîtresse, et reprirent :
« On… Euh… Je ne sais pas comment l’expliquer, en fait, avoua Hakuba.
- C’est… Haaaa… C’est comme ça…
- Je me suis toujours senti plus à l’aise en portant des collants et des jupes qu’un pantalon, ça… Ça me va bien, j’aime me sentir belle, j’aime que les garçons me regardent, m’admirent, se pressent contre moi avec leurs queues tendues qui débordent dans leur pantalon…
- Haaaa… Oui, c’est si bonn… D’être coquette, de se parfumer, de se mettre du maquillage sur les ongles, de se faire belle… Ce sont des choses que… Haaaa… J’adore…
- Et j’aime tellement me faire sodomiser… Si vous saviez comme Maîtresse Starr est dure quand elle s’enfonce et moi, et… C’est vraiment délicieux. Je crois que je préfère ça au fait de pénétrer quelqu’un, en vrai…
- Je… Hnnn… Je n’ai jamais réussi à faire preuve de… De virilité, haaa… C’est comme ça… Haaaa… Main-Maintenant, je… J’adore sucer des queues masculines… Parfois, je me rends dans les toilettes des installations de Maîtresse, et je suce les hommes qui passent par là, c’est… C’est si délicieux… ! »
Et, tout en avouant leurs fantasmes pervers, les deux compères rougissaient de honte… Mais aussi de plaisir.
Comme quoi, sous leurs airs saints et innocents, ils étaient d’une perversion à toute épreuve !