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Messages - Karen Starr

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 04 décembre 2017, 01:09:55 »
Karen s’amusait beaucoup avec Helena. Enfin, elle s’était toujours bien entendue et bien amusée avec elle, mais de nouvelles possibilités s’offraient maintenant pour les deux femmes. Ishtar avait bien sûr été une étape décisive, mais, même avant ça, Karen avait fait goûter à Helena des plaisirs immenses et exquis. La jeune héroïne avait goûté au fruit défendu, et revenait régulièrement prendre de nouvelles bouchées. Karen était comblée. Elle laissa Helena changer Kiba et Hakuba, et sourit surtout devant la belle nuisette verte qu’Hakuba avait enfilé. Elle lui allait à ravir, mais elle irait tout aussi bien sur le corps d’une femme. Rougissant de plaisir, les deux hommes finirent à genoux, à gauche et à droite d’Helena, et léchèrent son sexe. C’était certes un gode, mais la texture était similaire à la peau humaine, tout comme les sensations. Ils léchèrent et embrassèrent cette queue, remontant dessus, avant de la caresser avec leurs mains.

Helena, de son côté, caressait leurs visages, tout en demandant à Karen si celle-ci n’avait pas une meilleure tenue pour elle. Celle-ci sourit doucement en se mordillant les lèvres.

« Oh, mais j’ai plein de tenues pour toi, Helena... »

Elle voulait néanmoins laisser la surprise à Kiba et Hakuba, et demanda à Helena de la suivre, tout en ordonnant aux deux hommes de les attendre bien sagement.

« Bien, Maîtresse !
 -  Mais ne nous faites pas trop languir quand même ! »

Power Girl sourit devant la légère insolence de Kiba, qui traduisait juste son impatience, puis sortit. Dès qu’Helena fut dans le couloir, Karen lui demanda d’attendre, puis s’envola rapidement. Elle rejoignit sa penderie, et récupéra rapidement une tenue entreposée sur une cintre, puis retourna devant la chambre de Kiba et d’Hakuba. Dans le couloir, il n’y avait personne d’autre qu’Helena, qui avait commencé à se déshabiller en prévision du retour de Karen, et se trouvait toute nue.

« Ça, ma chérie, je pense que ça devrait t’aller... »

Karen avait opté pour une belle tenue de dominatrice, moulante et serrée, avec un corset révélant ses seins, de longs gants noirs, et des collants, le tout avec une culotte noire qui épousait son phallus proéminent. Se pinçant les lèvres, Power Girl l’observa en souriant, et sa main glissa sur la queue de la femme, venant la masturber, avant de l’embrasser tendrement, sa langue filant dans la bouche d’Helena.

« Hmmm... Ma chérie... ! »

Helena était si belle ainsi ! Ha, quelle beauté, quelle perfection !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 27 novembre 2017, 01:19:00 »
Helena 2.0 était une véritable réussite. Elle était d’ailleurs une telle réussite que Karen en ressentait même une pointe d’anxiété. En effet, il était bien possible que, après le traitement infligé par Ishtar, Helena soit plus perverse qu’elle, ce qui était inacceptable, et tout simplement impensable ! Karen devait tout de même rester la « super » du tandem, après tout ! Elle embrassa donc Helena quand elle eût fini de jouer avec Kiba. La femme avait sodomisé les deux hommes, qui restaient agenouillés devant elle, la respiration haletante, et les joues rouges. Rien ne les obligeait à agir ainsi, mais Karen triait sur le volet ses pensionnaires. Ils étaient ici de leur plein gré, et, tout ce qu’elle avait fait, c’était leur montrer ce que, au fond d’eux-mêmes, ils aimaient. Et Kiba, autant qu’Hakuba, adoraient être sous l’autorité de puissantes femmes, belles et fortes, ce qu’Helena était, autant que Karen. Avec plaisir, ils regardaient leurs deux Maîtresses s’embrasser tendrement, ressentant bien évidemment une forte pointe d’excitation devant cette scène, à tel point qu’ils en oubliaient de se nettoyer, leurs triques bien tendues.

Karen, de son côté, masturbait Helena d’une main, et, tout en laissant Huntress caresser son sexe, sexe qui n’avait cessé de frotter les fesses de la femme, elle laissait son autre main peloter ses fesses, et titiller son fondement. Karen glissa finalement un doigt dedans, et remua ensuite en harmonie ses deux mains, faisant se dandiner Helena, la rapprochant de l’orgasme, tandis qu’elle continuait à l’embrasser. Son corps en latex se frottait à cleui d’Helena, leurs seins se heurtaient mutuellement, et on pouvait entendre un concert de soupirs, de gémissements, de bruits de frottements, et de claquements du latex. Une délicieuse symphonie qui aida sûrement Karen et Helena à jouir. Power Girl se relâcha, et le sperme fusa en hauteur, se mélangeant à la mouille d’Helena, zébrant leurs torses, filant jusqu’à leurs mentons...

« Haaaa, Helena... ! »

Impossible de se lasser d’elle, vraiment ! Maintenant qu’Ishtar l’avait formé, Karen comptait bien continuer à exploiter son amante, et à lui faire vivre du sexe intensif. Si Helena avait plein d’idées, c’était aussi le cas de Karen, qui voulait maintenant imposer à sa femme un régime soutenu.

« Helena, Helena, ma chérie... »

Et les deux femmes s’embrassèrent encore, intensivement. Pour l’heure, il était trop bon de voir Helena prendre les commandes, et Karen sourit quand elle lui demanda si elle avait en stock des tenues spéciales pour Kiba et Hakuba. Ces derniers acquiescèrent aux ordres d’Helena, qui leur demanda de se faire l’amour.

« Oui, Maîtresse...
 -  Tout de suite, Maîtresse ! »

Et Kiba et Hakuba, qui faisaient très régulièrement l’amour entre eux, s’embrassèrent tendrement, tout en se pelotant. Karen aussi aimait le voyeurisme. Elle aimait qu’on la stimule en voyant ses amants se faire l’amour sous son nez, sans que personne ne la touche, afin de laisser lentement le désir croître en elle... Mais là, le spectacle était un peu différent, puisqu’elle était en compagnie de la femme qu’elle aimait.

« Bien sûr, Helena. Mes petits soumis ont toutes une panoplie pour les femmes comme moi... Et toi. »

Lui souriant malicieusement, Karen se rapprocha d’une armoire, et l’ouvrit. Il y avait tout un ensemble de tenues, allant des robes lolita gothic aux bikinis, en passant par des nuisettes, des collants... De quoi travestir à loisir les beaux transsexuels qui continuaient à s’embrasser à et se peloter. Tout en cédant sa place pour permettre à Helena d’observer le contenu de la penderie, Karen retourna dans son dos, et massa ses hanches.

« Tu es vraiment magnifique comme ça, Helena, tu sais... Si excitante, si puissante... Une vraie merveille ! Ce que tu étais déjà avant, bien sûr, mais... Ce séjour sur Terra t’a vraiment fait du bien ! »

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: dimanche 19 novembre 2017, 21:47:05 »
Voir Helena se comporter en une véritable dominatrice, c’était un plaisir aussi rare que stimulant, une scène à laquelle Karen risquait bien de prendre goût. Helena avait toujours été, en soi, d’un naturel assez marqué. Elle était, comme son père, têtue. Quand Helena avait une idée derrière la tête, elle ne la lâchait jamais, et la poursuivait jusqu’à son accomplissement total. Ce n’était, finalement, qu’une très agréable application de son caractère dans le domaine sexuel. Ishtar avait aidé Helena à ouvrir les yeux, et Karen ne pouvait que se reprocher de ne pas avoir aidé Helena à développer plus rapidement cet aspect-ci de sa personnalité. Il fallait bien admettre qu’Helena était douée, et que c’était un vrai bonheur que de la voir ainsi sodomiser Kiba. Le jeune homme hurlait de joie, et, tout comme Hakuba, présentait effectivement un très joli fessier.

C’était l’un des effets des traitements hormonaux de Karen. Ils affinaient et courbaient davantage la silhouette et les formes du corps, afin de leur donner une apparence encore bien plus féminisée que celle qu’ils avaient habituellement. Karen, après avoir été active, se bornait tout à fait à l’observation. Le voyeurisme était une chose qu’elle aimait, et, avec Helena, elle était assurée du spectacle.

« Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaa... !! »

Kiba hurlait et couinait, crispant ses mains sur le sol, jusqu’à sentir Huntress jouir en elle. Et, comme Helena le nota, le jouet technologique de Karen avait aussi pour fonction d’expulser sa mouille pour la recracher dans le corps de l’autre. Rien à voir avec du sperme, bien sûr, car la cyprine était un liquide moins gluant. Kiba poussa un énième hurlement, et éjacula à son tour, son membre crachant des filaments blanchâtres qui éclatèrent sur le sol, et tâchèrent son ventre. La respiration haletante, le jeune homme reprenait ses esprits, tout excité. Helena, de son côté, était toujours autant en transe, ce qui ne manqua pas d’amuser Karen.

« Tu es infatigable, ma chérie... »

Pas le temps de parler, toutefois, car Helena s’était déjà rapprochée d’Hakuba ! Lui aussi allait en effet passer un joyeux quart d’heure à se faire tringler par la belle Helena. Et, encore une fois, Karen serait aux premières loges pour ce savoureux spectacle. Elle s’en pinçait déjà les lèvres, toute excitée, très impatiente de voir ça. Kiba et Hakuba étaient vraiment magnifiques, tous les deux. Difficile de dire lequel elle préférait, mais Hakuba avait vraiment pour lui d’avoir été un ancien policier, quelqu’un qui avait cherché à lutter contre ses pulsions. L’éduquer avait été plus long et plus difficile que pour Kiba, qui avait accepté sa condition bien plus facilement. Karen ressentait donc une dose de fierté supplémentaire en voyant le superbe résultat d’Hakuba, maintenant.

Lui se retrouva pris contre le mur, et, très rapidement, Helena alla le pénétrer.

« Nyaaaaah... Haaaaa... Bai-Baisez-moi fort, Maîtresse, hmmm... Je... Haaaaa... J’ai essayé de lutter pendant des années co... Contre ça, mais... C’est p-plus fort que moi, j’adore les femmes fortes comme vous, Maî-Maîtresse... DÉFONCEZ-MOI LE CUL, HAAAAAAAAA... !! »

Hakuba tapait avec ses mains contre le mur, son corps heurtant ce dernier, sa queue écrasée entre le décor et son corps. En souriant, Karen se rapprocha alors du duo, et caressa les hanches d’Helena, se mouvant contre son dos, sans la gêner dans ses mouvements. Sa bouche alla s’attaquer à son cou, le léchant tendrement.

« C’est parfait, tout ça, Helena... Tu es si excitante comme ça, en dominatrice... Un rôle qui te sied à la perfection, vraiment ! »

Et ça, Karen le pensait sincèrement...

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 13 novembre 2017, 00:37:51 »
Karen avait fait découvrir à Helena l’un de ses prototypes. À terme, elle comptait bien commercialiser ce type de vibromasseurs. Mine de rien, l’industrie pornographique était réellement pionnière dans certains domaines très avancés, comme la réalité virtuelle, ou les androïdes sexuels. Quoi de plus surprenant, quand on savait la manne financière colossale que le sexe rapportait ? Starr Industries disposait de plusieurs filiales dans des domaines variés, et il y avait, naturellement, une filiale consacrée à l’exploitation d’activités sexuelles, allant de catsuits à la gestion de love hotel, en passant par les technologies futuristes. Karen avait par exemple développé dans ses laboratoires une pilule aphrodisiaque très efficace, même si elle aussi en était encore au stade expérimental. En tout cas, elle fut ravie de voir qu’Helena acceptait volontiers de se prêter à la petite expérience, et ordonna à Kiba de lécher son sexe.

« B-Bien sûr, Maîtresse… ! »

Une telle dévotion était quand même admirable ! Quand Kiba était arrivé ici, il était pourtant bien moins soumis. Karen avait dû insister un peu pour le rendre comme ça, mais elle était très fière du résultat final. La vie de Kiba avait changé du tout au tout, mais personne ne s’en plaindrait vraiment, et sûrement pas lui. Le jeune homme se mit à lécher ce sexe, à genoux devant la puissante Huntress, ses petites lèvres filant dessus, déposant une série de baisers, faisant grossir et durcir le sexe, amplifiant les sensations. Karen en sourit. Les godes internes enflaient et vibraient également, amenant Helena à se dandiner sur place, ses joues rougissant sous l’effet du désir qui s’exprimait en ce moment en elle.

Karen n’en perdait évidemment pas une miette, et, au bout de quelques instants, Huntress finit par ordonner à Kiba de se mettre en position. Impatient, le jeune homme obtempéra bien volontiers, et se tourna face à la femme, bombant ses fesses. Un magnifique postérieur, qui n’avait rien à voir avec le cul musclé et charpenté d’un homme. Il s’agissait d’un derrière rebondi et fin, bien plus féminin, et qui ne manqua pas de plaire à Helena, qui ne tarda pas à s’enfoncer brusquement en lui. Ayant l’habitude de se faire pénétrer, Kiba gémit malgré tout, son fondement se dilatant rapidement sous les mouvements de la femme.

« Haaaaa… Haaaaaaaaaaaa… !! Haaaaaaaaaaaannn… !! »

Mais Helena n’allait pas s’arrêter en si bon chemin ! Elle insulta en effet Kiba, tout en continuant à le prendre. Le jeune homme en cracha de la salive, et reprit ses esprits :

« Ouuuiii… Haaaaaa… Ê-Être… Être le vide-couilles d’une femme forte et autoritaire, haaaaaa… Siiii booonnn, si booonnn, hmmmm… !! »

Aucune virilité, aucune forme d’autorité chez Kiba. Tout ce qu’il aimait, c’était se faire soumettre face à de belles femmes, fortes et guerrières… Comme Helena !

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Les contrées du Chaos / Re : Girl Power [Theorem & Ishtar]
« le: lundi 13 novembre 2017, 00:28:43 »
Karen sentait qu’elle allait très vite se faire au rythme d’Inferis, et à leurs pratiques sexuelles. Theorem était terriblement doué dans son domaine. Les hommes n’étaient généralement pas très doués pour les fellations, peu habitués à en faire, mais lui… Lui relevait clairement le niveau. En fait, Karen se disait que cette pipe faisait probablement partie de son Top 3. La langue du jeune homme roulait sur sa verge, il creusait les joues, aspirant l’air, alternant les positions avec ses lèvres, stimulant autant que possible le membre tendu de Karen. Power Girl en était en sueur, crispant et décrispant les poings, pendant que le jeune Terranide, imperturbable, continuait à la sucer, relevant régulièrement les yeux pour observer Karen, et voir comment cette dernière réagissait à ce que l’homme faisait. Et, sur ce point, Theorem pouvait être rassuré… Car la Kryptonienne prenait vraiment son pied !

Elle se retira donc, car elle ne voulait pas jouir la première fois dans la bouche de l’homme. Obéissant, Theorem se mit à quatre pattes, mais lui demanda quand même de se retenir, afin qu’il puisse goûter à ce « super-sperme ». Un sourire pervers éclaira les lèvres de Karen… Qui alla quand même gifler les fesses de Theorem, n’appréciant pas qu’on lui donne des ordres.

« C’est moi qui dirige les ébats, Theorem, je décide où je jouis ! »

Theorem allait vite comprendre que Karen était au moins aussi dominatrice qu’Helena… Si ce n’est plus. Elle s’enfonça rudement en lui, et grogna en sentant la résistance de son fondement. Comme toujours, elle savourait ce contact difficile, la sensation d’écrasement de sa queue au contact d’un beau petit cul… Mais, si les fondements masculins étaient souvent difficiles à dilater, ce ne fut pas le cas de celui-là, qui se fit très vite aux mouvements sporadiques et effrénés de Karen. Grognant et soupirant, la Kryptonienne amplifia ses coups de reins, soulevant le corps de Theorem, l’emmenant avec elle. Elle disposait d’une force surnaturelle, après tout, et ça, Theorem pouvait sûrement le sentir, à la manière dont elle le prenait.

Néanmoins, Karen ne mit pas si longtemps que ça à jouir. Le jeune homme l’avait plutôt bien préparé, et, en se promenant dans ce navire, en sentant le sexe à foison, le latex, les plaisirs extrêmes… Tout ça faisait baigner Karen dans un état de plaisir avancé, ce qui expliqua donc son rapide orgasme, au bout de quelques minutes de pénétration. Certes, Theorem avait demandé à ce que Karen jouisse dans sa bouche… Mais, puisqu’elle était une super, elle comptait bien faire les deux ! Power Girl se vida donc dans les fesses de Theorem, se retira, et, sans vraiment lui laisser le temps de se reposer, lui ordonna d’aller pomper son dard.

« Allez, allez, viens toucher ta récompense, viens la boire ! »

Une belle récompense, car, non seulement son sexe était maculé de sperme, mais elle comptait aussi jouir dans sa bouche, lui offrant ainsi l’opportunité de goûter à son super-sperme !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 06 novembre 2017, 00:34:52 »
Helena était une sacrée amante, indiscutablement. Quelle énergie, quelle endurance ! Elle pompait son dard avec passion et talent, ce qui ne manquait pas de faire longuement gémir Karen, qui se dandinait sur place en sentant la bouche d’Helena filer sur sa hampe de chair, la stimulant à merveille. Les soupirs de Power Girl emplissaient l’air, et ses deux mains se crispèrent sur les cheveux d’Helena, son bassin accompagnant ses mouvements. C’était bon, c’était même terriblement bon ! Même avant de rencontrer Ishtar, Helena avait déjà un talent inné dans les rapports sexuels. Et ça, Karen le pensait en connaissance de cause, car elle avait de nombreux amants, mais aucun n’arrivait à la cheville de la jeune femme. Huntress était terrible, tant au combat, qu’au sexe. C’était sans doute un héritage maternel, car Karen savait que sa mère, Selina Kyle, était connue pour les parties endiablées qu’elle faisait avec son mari. En faisant des recherches par curiosité, Karen avait vu les plaintes adressées par les clients d’hôtels particuliers en Europe, faisant état des cris énergiques qu’un couple passait dans une chambre, empêchant les autres de dormir. Enfin... Il était plus juste de dire qu’Helena avait hérité de Selina et de son père ! On aurait presque pu parler d’un super-pouvoir en la matière, vu son endurance.

Karen finit par jouir en elle, soupirant longuement, tout en se répandant généreusement dans sa belle bouche. Huntress se redressa ensuite, et s’empressa d’embrasser sa femme, qui colla son corps au sien, et frémit quand les mains d’Helena se posèrent sur ses fesses. Naturellement, Karen, qui était alors toujours occupée à caresser les cheveux d’Helena, repositionna également ses mains, et alla palper les fesses de son amie, les pressant et les malaxant. Ça, en revanche, ce beau petit cul rond et tendre, moelleux à souhait, ça lui venait uniquement de sa mère ! Helena avait hérité de toutes les formes de sa mère, couplée aux muscles de son père, donnant un corps à la fois beau, svelte, et athlétique... Autrement dit, une perfection !

Les deux femmes partagèrent un baiser très humide, car Helena glissa dans la bouche de Karen son propre sperme, ce qui ne manqua pas de l’exciter encore, cette dernière gémissant et soupirant, son corps continuant à se coller contre celui de sa femme.

« Hmmmm... Hmmmmmmm... !! »

Yeux clos, Karen prolongeait avec grand plaisir le baiser, jusqu’à ce qu’Helena, au bout de plusieurs longues et délicieuses minutes, ne le rompe. Helena se rapprocha alors de Kiba, non sans avoir parlé de ses fesses.

« C’est une question rhétorique, ça, Helena... Je n’ai jamais rencontré un cul qui soit plus beau que le tien. »

Helena pouvait être fière de ses fesses. Il n’y avait pas que ça qui valait le détour chez elle, mais... Un joli cul, il fallait bien l’admettre, c’était toujours un plus ! Quoi qu’il en soit, elle retourna narguer Kiba, qui se mit à gémir encore, se tortillant sur place quand Helena s’approcha de ses fesses. Elle avait bien deviné en considérant qu’il aimait la sodomie, et, d’ailleurs, elle put même sentir, contre ses doigts, le léger plug anal qu’il portait. Une méthode que, pour le coup, Karen partageait avec Ishtar ! En effet, elle formait ses pensionnaires à apprécier les sodomies en leur faisant porter régulièrement un pluganal, permettant ainsi de maintenir leurs fesses dilatées, et prêtes à l’emploi.

Mais, pour cela, Helena demanda si Karen n’avait pas, dans sa besace, des moyens de s’occuper du corps de Kiba.

« Oh... Il y a toujours un équipement de ce genre dans les appartements de mes hommes. Tu comprends, si jamais des dresseuses passent, elles doivent tout avoir à portée de main. Tout est là, dans cette armoire. Elle est électroniquement verrouillée pour que seules les personnes inscrites dans un registre spécial puissent l’ouvrir. »

Autrement dit, Kiba et Hakuba ne pouvaient l’ouvrir, seulement les dresseuses le pouvaient. Karen s’approcha de l’armoire, et appuya dessus. Cette dernière s’ouvrit alors, faisant apparaître un ensemble de fouets, de sex toys, ainsi que de boîtes abritant des comprimés spéciaux, dont les effets étaient étiquetés. Certains étaient à employer avec précaution, notamment ceux déclenchant des érections illimitées chez les hommes. Il y en avait un intitulé « HERMAPHRODISME », mais Helena préférerait peut-être des godes ?

« J’ai de simples vibromasseurs terriens, des vibromasseurs tekhans, plus perfectionnés... Et mes vibromasseurs à moi. »

Il s’agissait d’une ceinture-gode, mais très particulière, car elle était constituée de nanomachines qui réagissaient au plaisir de leur porteuse. Pour cela, la ceinture s’enfonçait dans le vagin et l’anus de la porteuse, et, plus cette dernière était excitée, et plus la queue grossissait. Elle avait, du reste, une texture similaire à la peau humaine. Un véritable gode symbiotique, qui était le fruit de l’intelligence perverse et débridée de Karen Starr.

À Helena de faire son choix, maintenant !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 30 octobre 2017, 01:10:38 »
Nerveux, Hakuba ne tarda pas à avouer la fois où il avait compris qu’il n’était pas fait pour être policier. Il avait voulu arrêter une voleuse, une cambrioleuse qui s’était immiscée à l’intérieur d’une riche maison afin de subtiliser le contenu d’un coffre-fort. Hakuba, qui était de patrouille dans le coin, s’était rué vers le manoir, mais n’avait rien pu faire contre la femme, qui l’avait masturbé dans le salon du propriétaire. Humilié, il avait pris conscience qu’il ne pouvait pas faire respecter la loi dans ces conditions. C’est comme ça que, à force, Hakuba avait fini par se retrouver ici, où il était moqué et humilié par Helena. Dans le dos de cette dernière, Karen souriait généreusement, très excitée par cette scène.

Se montrant plus violente, Helena finit par renverser Hakuba, et posa son pied sur son sexe.

« Haaaaaa... !! »

Le jeune homme se mit à hurler et à couiner, gesticulant sur place. Il était maltraité par Helena, qui prenait, sans mauvais jeu de mots, son pied. Helena en était toute subjuguée, et finit par se retourner vers Karen, visiblement très excitée, et tout autant attirée par la verge tendue de la belle blonde. La Kryptonienne ne put que sourire devant cet entrain, qui était très communicatif. Voir ainsi Helena torturer ces beaux hommes n’avait, de fait, pas manqué d’exciter considérablement Karen, ce que son barreau de chair, bien tendu, illustrait.

« Je n’aurais jamais cru que tu puisses être aussi douée pour torturer ainsi des hommes... Tu me surprends admirablement, Helena ! » se moqua encore Karen, d’une voix langoureuse, qui trahissait sa forte excitation.

Honnêtement, rester insensible devant un tel spectacle, à ses yeux, relevait d’un défi herculéen ! Blême et excitée, Karen n’avait qu’une envie, celle de poursuivre, encore et encore, de s’occuper comme il le fallait du magnifique corps de la belle Huntress, et de la prendre, encore et encore. Power Girl frémit donc quand Helena alla l’embrasser, puis la femme se mit à genoux devant elle, et pompa son dard, faisant soupirer de plaisir la belle Karen, qui en ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de les rouvrir, et de voir Kiba et Hakuba se rapprocher.

Les deux traps se mirent à droite et à gauche de la Kryptonienne, et vinrent se blottir contre elle, tout en venant embrasser ses seins. Karen se mit à gémir, et posa chacune de ses mains sur leurs fesses, les pinçant, faisant gémir les deux hommes. Leurs sexes caressaient les joues d’Helena, avant de se reculer quand ils se déplaçaient.

« Oh, mes chéries, vous êtes... Si merveilleuses, toutes les trois ! »

Karen était vraiment ravie, et allait régulièrement embrasser Kiba et Hakuba, tout en laissant les deux jeunes hommes appuyer leurs mains sur la tête d’Helena, incitant ainsi la femme à mieux lui pomper le sexe.

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 23 octobre 2017, 00:52:18 »
« Au lycée, il y avait ce garçon, Kenji... Un garçon assez autoritaire, un véritable macho’... Il n’aimait pas les lopettes comme moi, mais il pensait que j’étais une fille. Quand il a découvert mon secret, je devais régulièrement le sucer.
 -  Vous ignorez à quel point... Haaaa... Maîtresse Starr a développé notre perversion. Maîtresse Starr a... Des gardes du corps qui sont aussi ses amants, de grands hommes costauds et musclés. On adore les sucer... Surtout le grand Noir chauve, il a une de ces bites... »

Karen sourit en croisant les bras, silencieuse. Elle laissait Helena en profiter, et, peu à peu, elle voyait la femme céder à la perversion. Elle se masturbait avec la culotte de Kiba, pendant que les deux se masturbaient, provoquant de délicieux bruits de claquement et de frottement. Effectivement, Karen avait aussi, avec elle, des hommes bien baraqués, très virils, notamment de solides Noirs. Et il arrivait souvent qu’elle présente ses traps à ses hommes, ce qui donnait lieu à d’exquises rencontres. Kiba et Hakuba continuaient donc à parler de leurs vices, de leurs fantasmes osés, impliquant des fouets, des morsures, des humiliations, des Maîtresses en combinaison de latex, des queues à sucer...

Helena n’arrivait pas encore à l’orgasme, et demanda à Kiba de sucer Hakuba, tout en demandant à Hakuba de continuer à lui parler de ses fantasmes. Sagement, Kiba se mit donc à genoux, et pompa le dard de l’homme, yeux clos, pendant qu’Hakuba soupirait sur place.

« Hooo... J’aime... J’aime quand les filles sont méchantes avec moi, qu’elles... Qu’elles me parlent salement, qu’elles m’insultent, haaaa... »

Ces deux-là étaient vraiment incorrigibles ! Helena sentit soudain Karen se glisser dans son dos. Elle put sentir la virilité de la femme, et Karen lui mordilla le cou, tout en caressant ses hanches, ses mains glissant sur son corps.

« Tout ça t’excite, hein, ma petite vicieuse ? Je n’aurais jamais cru que tu puisses sombrer si loin dans le stupre et la luxure... »

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: vendredi 20 octobre 2017, 13:41:29 »
Comment ne pas aimer ça ? Coucher avec elle ? S'envoyer en l'air avec toute l'énergie dont la redoutable Kryptonienne était capable ? Helena... Difficile de dire combien de fois ces deux femmes avaient déjà fait l'amour, et, pourtant, jamais la lassitude ne semblait devoir les gagner. Karen retrouvait à chaque fois un grand et immense plaisir à sodomiser ainsi sa belle Karen, à la faire hurler, et à l'entendre couiner comme une bête enragée.
 
« Hmmm… Bo-Bordel, haaa… !! » grogna-t-elle, les dents serrés.
 
De la sueur coulait le long de son corps. La présence de Kiba et d’Hakuba ne faisait que stimuler davantage Karen, qui devait, après tout, continuer à les marquer, et à les impressionner. À leurs yeux, elle était, après tout, une sorte d’entité supérieure, leur Maîtresse. À ce titre, elle ne pouvait pas se permettre de faillir, de manquer à sa prestance, de ne pas être à la hauteur. Il en allait de sa réputation, tout simplement, et c’était bien en considération de ces éléments que Karen, imperturbablement, continuait à prendre son amante, à enfoncer sa massive virilité en elle, et à la sentir hurler et à se tortiller contre son corps.
 
Karen, comme toujours, s’avérait être une amante formidable. Des culs, Karen aimait en butiner, mais aucun n’était plus formidable, plus souple, et plus musclé que celui de sa divine amante. Power Girl la prenait avec passion et engouement, grognant et gémissant à chaque fois, gesticulant sur place, donnant de puissants coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible en elle, quitte à ce que ses testicules finissent par claquer sur la peau mate de la jeune femme.
 
« Haaa, ce cul de sale chienne, hnnn… !! Hmmmm… Tu-u aimes ça, h-hein… ? Me… Me sentir en… En t-toi, hnnn… !! Et… Te… Te baiser b-bien fort… !! »
 
Bien sûr qu’elle aimait ça ! Comment aurait-il pu en être autrement ? Karen continuait à la prendre, encore et encore, redoublant d’effort, d’énergie, d’envie, de volonté, la giflant, la pinçant, la martyrisant à sa manière, la poussant et la retranchant dans ses dernières limites. Helena se tortillait sur place, poussée par Karen, jusqu’à ce que, dans un grand soupir, ponctué d’une ultime gifle, Karen ne finisse par se répandre en elle.
 
« Hmmmmmmmmmmmmmm… !!! »
 
Un long soupir fusa de ses lèvres, et Karen se calma ensuite progressivement, ralentissant le rythme, reprenant sa respiration. Elle papillonna des yeux, avant de se retirer du juteux corps de son amante. Helena, de son côté, se releva à son tour, et se rapprocha des deux hommes, qui avaient aussi bien juté, s’éclaboussant mutuellement.
 
« Il faut croire qu’on les motive, ils ont beaucoup joui, ces deux-là… » rigola doucement Karen.
 
Helena, en tout cas, était très inspirée par eux. Si elle mettait ça sur le compte de son influence paternelle, Karen y voyait aussi l’expression de sa mère… Catwoman. Autrement dit, une femme bien connue pour sa propension naturelle à se jouer des hommes, et à claquer de son fouet.
 
Elle se rapprocha de Kiba et d’Hakuba, et ils obéirent bien sagement, se pourléchant les mains, saisissant le sperme qui dégoulinait sur eux, et l’avalant copieusement.
 
« Oui, vous étiez magnifiques, Maîtresses…
 -  Somptueuses, meme ! »
 
Ils étaient obéissants et sages, et rougirent quand Helena continua à les narguer, jusqu’à leur imposer un nouveau jeu. Les deux amants se regardèrent brièvement, puis Kiba obtempéra, et retira sa culotte, légèrement trempée, la tendant à Helena, pendant qu’Hakuba, de son côté, obéissant également, posa la sienne sur le sexe de son amant, et recommença à le caresser. Ils n’avaient évidemment pas oublié les instructions de leur Maîtresse, et reprirent :
 
« On… Euh… Je ne sais pas comment l’expliquer, en fait, avoua Hakuba.
 -  C’est… Haaaa… C’est comme ça…
 -  Je me suis toujours senti plus à l’aise en portant des collants et des jupes qu’un pantalon, ça… Ça me va bien, j’aime me sentir belle, j’aime que les garçons me regardent, m’admirent, se pressent contre moi avec leurs queues tendues qui débordent dans leur pantalon…
 -  Haaaa… Oui, c’est si bonn… D’être coquette, de se parfumer, de se mettre du maquillage sur les ongles, de se faire belle… Ce sont des choses que… Haaaa… J’adore…
 -  Et j’aime tellement me faire sodomiser… Si vous saviez comme Maîtresse Starr est dure quand elle s’enfonce et moi, et… C’est vraiment délicieux. Je crois que je préfère ça au fait de pénétrer quelqu’un, en vrai…
 -  Je… Hnnn… Je n’ai jamais réussi à faire preuve de… De virilité, haaa… C’est comme ça… Haaaa… Main-Maintenant, je… J’adore sucer des queues masculines… Parfois, je me rends dans les toilettes des installations de Maîtresse, et je suce les hommes qui passent par là, c’est… C’est si délicieux… ! »
 
Et, tout en avouant leurs fantasmes pervers, les deux compères rougissaient de honte… Mais aussi de plaisir.
 
Comme quoi, sous leurs airs saints et innocents, ils étaient d’une perversion à toute épreuve !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 16 octobre 2017, 00:37:19 »
Doser sa force n’avait jamais été simple pour Karen. Sur ce point, elle comprenait très bien ce que Kal avait dû ressentir en arrivant sur Terre. Elle disposait d’une force herculéenne, et était capable de briser un amant sans faire attention. Et, même si Helena était très endurante, elle ne restait qu’une humaine. Karen avait donc toujours dû veiller à être calme. Tout ça n’était pas venu tout seul. En réalité, la Kryptonienne avait développé des simulations sexuelles, où elle recréait, à l’aide d’un modèle informatique, un corps correspondant à la corpulence d’Helena. Les premières fois, elle avait systématiquement brisé les os de la femme en la baisant trop fort. Elle avait donc appris à gérer sa force, et, tout en ce faisant, avait aussi constaté que, au début, maîtriser sa force la rendait encore plus efficace, en évitant les pertes d’énergie. Maintenant, elle était parfaitement capable de doser sa sodomie, et c’est ce qu’elle fit, consciente que, par rapport à ses modèles informatiques, Helena était bien plus endurante.

Elle la sodomisait donc, sans ménagement, se délectant de ses hurlements, sourire de prédatrice sur les lèvres. Évidemment qu’elle avait vu les puissants coups de reins d’Ishtar, qui, pendant trois mois, avait fait vivre à Helena un océan de stupre et de foutre, la changeant pour de bon. Huntress ne chassait désormais plus uniquement les criminels et les hommes abusant des femmes, elles pistaient aussi les travestis, et les aidaient à accepter leur polarité féminine. Son « esclave » était, comme ceux de Karen, entièrement consentants.

Helena se faisait donc prendre, et, pendant les premières minutes, se contenta juste d’accueillir ce membre, cette grosse queue qui la bourrait. Karen pouvait néanmoins noter les progrès accomplis. Auparavant, Helena aurait été incapable de faire autre chose qu’hurler et jouir. Mais Ishtar avait tellement mis son corps à l’épreuve que, tout en faisant bourrer le cul, Helena se tourna vers Kiba et Hakuba. Les deux jeunes hommes étaient toujours debout, leurs verges dressées, rougissant sur place. Pour eux, cette scène de débauche était fantastique à voir, car leurs deux Maîtresses étaient vraiment superbes à voir.

« J’a... Hmmmm... J’adore v-vraiment te... Te défoncer le c-cul, He-Helena... ! »

Cette scène n’avait pas de prix, tant elle était bonne ! Et, quand Helena donna aux deux hommes ses ordres, ces derniers rougirent, avant de se regarder mutuellement... Et de s’embrasser. Ils étaient face à Helena, qui put alors voir la main de Kiba se poser sur le sexe d’Hakuba, venant le masturber... Et, réciproquement, Hakuba vint masturber la queue de Kiba. Les deux jeunes éphèbes, l’un contre l’autre, se mirent à gémir et à soupirer, prolongeant leur baiser, avant de le multiplier ensuite par d’autres baisers.

« Hmmmm... Mhhhmmm...
 -  Haaaaa... !! »

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Les contrées du Chaos / Re : Girl Power [Theorem & Ishtar]
« le: lundi 16 octobre 2017, 00:28:27 »
Karen n’était effectivement pas une femme comme les autres. C’était une Kryptonienne, dotée de pouvoirs surnaturels, et elle soupçonnait que c’était là l’origine de sa lubricité exceptionnelle... Ou, tout du moins, que c’était l’une des raisons justifiant sa présence ici. Pour le dire autrement, la débauche de Karen n’était pas limitée par ses capacités physiques et corporelles. Cette perversion était à la hauteur de ses capacités surnaturelles, tout simplement, et Theorem allait bientôt pouvoir le ressentir. Honnêtement, quand on chauffait Power Girl comme ça, il fallait bien s’attendre à ce que ça prenne. Ce dernier lui demanda d’ailleurs « pourquoi » elle voulait se retenir, ce qui fit doucement sourire la plantureuse blonde.

« Ma foi, toi, tu sais comment parler aux femmes, mon mignon... »

Power Girl se mit à sourire malicieusement, et vit ce dernier faire sortir sa verge. Karen soupira avant de sentir la langue de l’homme se poser sur son sexe. Elle soupira encore, serrant les poings, et le laissa faire, l’observant silencieusement. Il était doué, indéniablement.

« Tu aimes sucer des bites, hein ? Petit coquin... Je n’ai pas envie de faire attendre Ishtar, mais... Hmmmm... Quand on me chauffe comme ça... »

Karen était du genre à coucher avec ses employés. Il ne fallait pas croire qu’elle se limitait, ou qu’elle se restreignait. À Starr Industries, il était fréquent qu’elle couche avec ses secrétaires, ses cadres, et même des stagiaires. Le sexe était central pour elle, un plaisir immense et jouissif, qu’elle adorait, tout simplement. Et Theorem continua ensuite, venant sucer le membre de la femme. Karen gémit encore, et ses deux mains se posèrent sur la tête de l’homme, son corps s’arquant d’avant en arrière, se glissant entre ses belles petites lèvres. Oh oui ! Helena lui avait dit que Theorme était très doué quand il s’agissait de s’attaquer à des verges, de les sucer, de jouer avec... Et c’était bien le cas ! Karen ne pouvait que confirmer cela.

Pour l’heure, la Kryptonienne continuait à soupirer, ses cris et ses gémissements venant emplir l’espace. Elle filait d’avant en arrière, de plus en plus fort.

« Là, là... »

Une fois sa queue bien dure, bien tendue, Karen le retira de ses lèvres.

« Allez... Mets-toi à quatre pattes, que je te défonce bien fort le cul ! »

Ça, il allait forcément y passer !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 09 octobre 2017, 00:52:29 »
« Eh bien... J’aime les grosses queues ! » se justifia tout simplement Karen.

Et puis, au-delà de ce simple fantasme personnel, il fallait bien que le corps trouve un moyen de compenser la perte de testostérone et de masse graisseuse. Après tout, l’idée n’était pas tant de les « rabaisser » que de leur permettre d’exprimer leur véritable nature. La nuance était un peu subtile, mais signifiait simplement que Karen leur donnait une apparence plus féminine, sans trop changer quoi que ce soit sur le reste. Personne ne s’en plaignait, et ces gros sexes leur donnaient aussi une excellente vigueur sexuelle. Et Helena aussi n’allait pas s’en plaindre, sous peu, quand elle verrait tout le programme conçu par Karen pour elle. Elle savait ce qu’Helena avait fait auprès d’Ishtar, et à quel point sa femme avait aimé cette profonde dépravation, cette luxure absolue et sans limite. Karen avait découvert une facette de la personnalité d’Helena qu’elle n’aurait jamais cru voir un jour, et tout ça l’avait profondément excité.

Helena se retourna alors vers elle, et l’embrassa vigoureusement. Karen avait pincé ses seins, stimulé son désir, sous les yeux de Kiba et Hakuba, qui se retrouvèrent l’un à côté de l’autre, tandis qu’Helena demandait à Power Girl de la baiser bien fort, de la « violer » comme si c’était un animal. Des propos qui ne manquèrent pas d’enthousiasmer Karen, déjà très chaude et très excitée dans la combinaison moulante qu’elle portait.

« Hmmm... »

Karen la regarda se mettre à quatre pattes, et, assez rapidement, banda ses muscles. Son intimité était mise à nu, ce qui fit que tout le monde put voir sa verge en sortir, se développant rapidement. Une belle membrane chaude et tendue, grosse et épaisse, bien veineuse, qui fit rougir Hakuba et Kiba. Eux y avaient déjà goûté, à ce sexe, et savaient très bien de quoi leur Maîtresse était capable.

« Que je te viole comme un animal, hein ? Je ne suis pas d’accord, Helena. Ce que tu aimes, c’est qu’on te baise comme si tu étais la dernière des putes... Car, au fond de toi, tu n’es rien de plus qu’une... Qu’une SALOPE en manque de queue ! »

Et, quand Karen l’appela « salope », elle en profita naturellement pour gifler ses fesses, faisant hurler la jeune femme. En couchant avec Karen, Helena s’était habituée à faire l’amour avec des femmes fortes, ce qui expliquait sans doute pourquoi elle avait pu tenir la cadence face à une femme-dragon de la trempe d’Ishtar Naviento. Mais là, Karen allait lui rappeler que, entre une femme-dragon et une Kryptonienne, il y avait encore toute une différence. Elle la gifla donc une première fois, puis approcha sa queue, sa belle virilité.

« Ishtar m’a montré tout ce que tu as fait, Helena... Je n’aurais jamais cru que tu puisses être une telle pute, une telle traînée en manque de bites, de foutre, de queues qui te labourent le cul comme une chienne, et te font hurler comme une folle. Tu es une salope hors concours, ma chienne ! »

Karen ponctua cette assertion d’un puissant coup de reins, et s’enfonça dans le cul d’Helena sans ménagement, avec brutalité et férocité.

« Hnnnnnnnnnnnnnnn... Co-Comment une pu-pute pareille peut-elle... Haaaa... A-Avoir un c-cul si... Si étroit ?! »

Et la sodomie commença donc, les mains de Karen se crispant sur les belles fesses d’Helena...

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Les contrées du Chaos / Re : Girl Power [Theorem & Ishtar]
« le: lundi 09 octobre 2017, 00:48:59 »
Au moins, sa réputation l’avait bel et bien précédé. Helena avait parlé d’elle à Ishtar, et Theorem ne semblait guère surpris, en soi, de la voir débarquer. Après le coup de main qu’elle avait rendu à cette flotte, Theorem se présenta à elle. Elle le reconnut à ses cheveux roux. Helena l’avait présenté à elle comme le « soumis personnel » d’Ishtar, et, en même temps, un homme très influent au sein de l’armée. Comme quoi, les apparences pouvaient parfois être trompeuses. Il se rapprocha donc d’elle, et l’invita à la suivre. Karen esquissa un léger sourire, et décroisa les bras.

« Huntress m’a parlé de vous, Theorem... En des termes que je ne saurais répéter en public. »

Elle et Helena avaient longuement parlé de son aventure avec Ishtar. Karen se mit ensuite à suivre Theorem, en fantasmant sur les uniformes de latex qu’elle allait pouvoir acquérir. Des esclaves, ça ne la tentait pas plus que ça, car elle avait déjà sa fondation, et n’avait pas envie d’asservir des individus qui ne le souhaitaient pas. Ce n’était tout simplement pas correct, et nullement dans ses projets. Le reste, en revanche... Oui, elle se voyait bien utiliser les talents de Nactheim pour renouveler sa garde-robe.

Pour l’heure, elle suivit Theorem à travers une volée de marches, et nota que ce dernier semblait prendre plaisir à se faire reluquer. Son uniforme dévoilait en effet de longues jambes fuselées, et Karen vit, bien entendu, sa culotte en latex. Elle en sourit, et usa brièvement de sa vision spéciale, regardant à travers la culotte, pour voir une chaînette reliant sa cage de chasteté à un plug anal qui était niché en lui. D’après Helena, il portait toujours ce jouet en lui, de sorte qu’il était toujours prêt à se faire sodomiser.

Mais, pour l’heure, elle s’évertuait surtout à regarder le brillant de sa culotte en latex. C’était ça qu’elle aimait avec le latex : ce côté très moulant, brillant, délicat, précieux, sensuel... De quoi l’émoustiller considérablement ! Karen sourit encore, et vit ce dernier défaire sa culotte en rejoignant une coursive, avant de la lui tendre.

« Hmmm... »

De la main, elle attrapa la culotte noire, et l’approcha de son visage.

*Je croyais qu’il n’y avait que les Japonais qui fantasmaient sur les culottes... Mais, visiblement, c’est son trip’, à lui aussi...*

Elle renifla cette dernière, sentant rapidement une odeur de sueur et d’usure par-delà l’odeur fraîche et tendre du latex. Karen releva ensuite la tête.

« Ça te plaît, hein ? D’être face à des femmes plus hautes que toi, qui te traitent comme un petit soumis, et t’humilient constamment ? Huntress m’a même dit que tu étais incapable de ressentir du plaisir en pénétrant une femme... Tout ce que tu aimes, c’est qu’on t’humilie, et qu’on te défonce ton petit cul d’amour... »

Karen ne faisait qu’énoncer la réalité, et se pencha brusquement vers lui, en posant sa main sur les fesses de l’homme, les malaxant et les pinçant fermement.

« Si je ne me retenais pas... Je te baiserai contre mur, ce Theorem. Je te dois beaucoup, tu sais ? Tu as aidé ma chérie à réaliser combien elle aime les petits garçons mignons et soumis comme toi... »

Et c’était précisément suite à ce voyage ici que Karen avait pu faire connaître à Helena son petit harem personnel.

Autant dire que croiser ce couple avait constitué, pour Helena, une étape décisive !

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: lundi 02 octobre 2017, 01:16:53 »
Ils avaient une voix féminine, très fluette, résultat des modifications chirurgicales et génétiques que Karen avait fait sur eux, grâce à la technologie kryptonienne très avancée. Elle avait très bien réussi avec eux deux, et était très fière de ses pensionnaires. Comme elle l’avait dit, Karen et Helena étaient dans les locaux de la fondation, permettant de voir les membres que Karen hébergeait. Ils étaient libres de rester ou de partir, mais ne voyaient plus l’intérêt de partir, tout simplement, menant ici une vie épanouie. Kiba et Hakuba formaient un magnifique couple, deux de ses plus belles merveilles, ce qui expliquait pourquoi Karen avait décidé de les présenter à Helena.

Hakuba avait effectivement été policier, mais était originaire d’une famille nombreuse comprenant, outre sa mère, six sœurs, avec un père décédé accidentellement. Dans cet environnement très féminin, il avait grandi avec une sœur-jumelle, et, souvent, on s’amusait à le prendre pour une fille. Hakuba s’était ainsi toujours davantage considéré comme une fille que comme un garçon, et avait rejoint la police pour tenter, vainement, de lutter contre ça. Et, face à Karen, il n’avait tout simplement pas pu lutter. Sa famille était déjà venue le voir, et avait pleinement accepté son choix. Hakuba était maintenant épanoui, tout comme Kiba, qui avait été très souvent humilié par ses camarades pour son corps maigrichon, lui qui était le fils d’un solide ouvrier. Un homme très musclé qui l’avait toujours dédaigné, et qui n’avait pu s’épanouir qu’en rejoignant la Fondation Starr.

Dès qu’Helena les vit, Karen sut qu’elle était conquise. Depuis sa rencontre avec Ishtar, Karen avait été surprise de voir à quel point son amante pouvait aimer dominer et brutaliser les hommes. Ishtar lui avait montré des photographies, des vidéos, qui avait permis à Karen de se faire une bonne idée de l’étendue de la perversion d’Helena. Loin d’en être choquée, Karen, qui était également une terrible perverse, en avait été profondément excitée. Dès qu’elle avait vu ça, elle avait échafaudé cette stratégie, cette visite... Et Helena ne tarda pas à laisser parler en elle toutes ses pulsions de dominatrice, des pulsions qu’Ishtar avait su éveiller en utilisant au mieux son petit Theorem.

Helena s’adressa en première à Hakuba, qui rougit honteusement, tout en sentant son érection se former au fur et à mesure que la femme lui parlait, et finit à genoux.

« O-Oui, Maîtresse... »

Hakuba finit donc devant elle, et embrassa sa chaussure, puis lécha sa botte.

« Maî-Maîtresse a... A de si belles bottes, hmmm... »

Quant à Kiba, il rougit quand Helena avoua avoir du mal à croire qu’il était un homme. Il fallait bien admettre qu’il avait une apparence terriblement efféminée.

« Oui... J’aime me promener dans les rues, et me faire passer pour une fille... Tout le monde se laisse avoir ! »

Kiba adorait notamment sentir des mains lui caresser ses belles fesses dans les transports publics. Il aimait les hommes pervers, et couinait à chaque fois. Autant dire qu’il était très heureux de vivre ici, et s’empressa de sortir sa belle queue de sous sa robe. Karen sourit en se déplaçant, pendant que Kiba se mit à se masturber.

« Mon traitement implique des programmes hormonaux, Helena... Mais, l’une des conséquences de ce système, c’est qu’il entraîne... Un sexe plus gros ! »

Les couinements de Kiba étaient absolument délicieux, ses joues délicieusement rouges. Pendant ce temps, Karen avait rejoint le dos d’Helena, et posa chacune de ses mains sur ses seins, les massant tendrement, tout en embrassant le creux de son cou.

« Kiba aime énormément le sexe en public, tu sais... Et qu’on le prenne pour une fille. Je m’amuse parfois à embaucher des hommes pour le sodomiser dans la rue, il adore ça... Le sexe sauvage, quand on l’humilie... Qu’on l’insulte... »

Et, tout en disant ça, elle pinça les tétons de la femme, pressant son corps contre le sien.

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Les alentours de la ville / Re : Trap-Mania [Helena Wayne]
« le: dimanche 24 septembre 2017, 22:58:41 »
Le Docteur Aiko Fuma était une perle rare, une femme qui disposait, au sein de Starr Industries, d’un salaire mirobolant, avec plusieurs zéros derrière le chiffre. Elle avait suivi de grandes études, et Karen avait eu bien du mal à trouver un profil comme ça. Il fallait une femme qui soit à la fois très intelligente, mais aussi très perverse. Avec Fuma-san, elle avait trouvé la perle rare. Le Docteur l’appelait sans peine « Maîtresse ». Lors de leur entretien d’embauche, Karen lui avait fait vigoureusement l’amour. Pour son malheur, Fuma-san travaillait dans une grande clinique privée où elle avait été contrainte de démissionner, afin d’éviter un scandale judiciaire, quand la direction avait appris qu’elle aimait coucher avec les infirmières, généralement dans les chambres de patients plongés dans le coma. Un profil parfait, car, après un tel incident, Fuma-san était grillée dans la plupart des établissements de santé. Karen lui avait donc offert l’occasion de développer sa perversion tout en mettant ses talents au service d’une grande cause.

Helena fut instantanément sous le charme, et se lova contre le Docteur, indiquant qu’elle avait des chaleurs, ce qui fit sourire cette dernière, dont les mains gantées se posèrent sur les hanches de Huntress.

« Je livre des consultations privées très complètes, Wayne-san... Pour être sûre de ne laisser... Aucune affliction... Quelconque. »

Elle l’embrassa tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes pendant plusieurs secondes. Karen sourit alors, puis Helena se retourna vers elle, et demanda où se trouvaient les « hommes féminisés ». Karen sourit alors, de toutes ses dents, et s’avança :

« Tu ne dois pas t’en faire pour eux, tu sais... Ils ont signé en toute connaissance de cause. Avant de venir sur l’île, ils reçoivent des formulaires, assistent à des séminaires, voient des vidéos... Je suis totalement transparente. Certains choisissent juste d’être guéris, mais d’autres... Beaucoup y voient l’occasion de mener une nouvelle vie. »

Elle ignorait si les contrats qu’elle passait étaient légaux. À son sens, on pouvait les attaquer en soulevant leur objet, qui lui semblait contraire aux bonnes mœurs, mais... Karen n’en savait rien, et, pour l’heure, personne ne s’était plaint. Néanmoins, elle tenait à rassurer Helena, consciente que cette dernière n’aimait pas l’esclavage, en lui expliquant que tous ces gens étaient volontaires, et avaient signé en pleine connaissance de cause. Non seulement ils avaient signé un traitement hormonal, mais aussi un contrat de soumission, contrat dont ils pouvaient se libérer à n’importe quel moment.

Karen sourit donc à sa chérie, et l’embrassa alors.

« Viens, j’en ai préparé deux pour toi... »

Power Girl embrassa le docteur, pendant plusieurs longues secondes, avant de lui promettre de venir la voir plus tard. Ensuite, elle attrapa Helena par la main, et les deux filles remontèrent le long du couloir. Karen finit par ouvrir une porte, et fit signe à Helena d’entrer.

Les deux femmes entrèrent ainsi dans des quartiers aux murs blanchâtres et immaculés, avec d’élégants jardins, abritant les appartements des pensionnaires de Karen. Un endroit très élégant et très moderne. Le duo rejoignit une nouvelle porte, et, cette fois, elles entrèrent dans un bel appartement, où deux hommes les attendaient, que Karen présenta rapidement à Helena... Étant précisé que les deux jeunes hommes s’agenouillèrent au sol en les voyant arriver, parlant d’une voix cristalline et fluette :

« Maîtresses !
 -  Maîtresses ! »

Ils étaient deux :

  • Le premier, Kiba Nobori, était un beau jeune homme qui avait toujours été moqué pour ses traits féminins, et son corps maigrelet. Mal dans sa peau, il avait grandi difficilement dans la ville de Yokohama, et, par la suite, avait rejoint les programmes expérimentaux de Starr Industries. Les traitements de Karen lui avaient permis d’avoir une silhouette plus fluette. Kiba pouvait maintenant retourner dans la vie civile, mais il n’avait aucun emploi, et se plaisait très bien ici ;

  • Le second, Hakuba Nitoshi, était un cas plus particulier. C’était un policier, qui avait enquête sur les activités de Starr Industries, et avait rejoint le programme sous couverture, se faisant passer pour un client. Avec une silhouette déjà très androgyne, il avait pu rejoindre les programmes, mais avait été tellement convaincu qu’il avait fini par devenir un esclave. En réalité, Hakuba avait rejoint les forces de l’ordre pour lutter contre son complexe d’infériorité, et, face à Starr Industries, ce complexe avait explosé, jusqu’à faire de lui... Le petit soumis qu’il était actuellement.



Ravie de son petit effet, Karen se retourna vers Helena, un sourire sur le coin des lèvres.

« Alors ? Ils te plaisent ? »

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