Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Quid

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Et voilà, quand on veut éviter les regards gênant on en obtient des si profonds qu'on croirait plonger dedans.
Ignorant quelque peu la première remarque  et le grognement, Quid se retrouva néanmoins assez gêné lorsqu'elle se posa sur ses genoux, lui qui se tenait droit comme un i, surtout comme un idiot, à respirer ce parfum si bon et se noyer dans ces yeux si beaux, sans pour autant le détourner dans la conversation.

Malgré tout, il ne put se retenir plus longtemps et sa main droite parti explorer la chevelure de Jhendrya, ayant tout de même gardé ses mitaines en cuir. Il faisait glisser sa main comme on caresse un animal, ne se souvenant plus très bien comment les femmes aimaient qu'il s'y prenne, massant par moments le cuir chevelu de la belle, sans pour autant se détacher de ses yeux :


Ne vous en faites pas, la majorité des gens sont de votre avis...

Etrangement, le compliment de la douce ne lui fit que peu d'effet, lui, déjà enivré par le déluge de sensations perdues depuis des siècles, ne se contenta que de la caresser, simplement sa chevelure, comme si chaque filaments étaient des filons précieux qu'il voulait à tout prix empêcher de faire glisser entre ses doigts, suivant la racine jusqu'au bout avant d'en reprendre un autre...

Vous êtes également une des plus belles créatures qu'il m'ai été donné de voir...

Les deux dernières remarquent ne firent pas plus d'effet que la précédente, si ce n'est qu'il ne pouvait plus vraiment se contenter de la chevelure, la belle s'étant relevée, il passait au visage, détaillant les joues, les nuque, glissant des cheveux au menton, lui souriant :

Je m'appelle Quid, simplement Quid, et je tiens de suite à vous contredire.

Le gladiateur affermi alors sa prise sur la chevelure de la louve, lui souriant :

Voyons voir, je n'ai pas de lame rougie, et je vais vous embrasser. Il ne manque rien ? Vous êtes prévenue ?
Bien sûr, Quid connaissait d'avance la réponse à sa question et ses lèvres rejoignirent celles de la blessé, sa main gauche sur son flanc et la droite explorant son dos, sans toutefois aller trop bas, la tenant par la même occasion au cas où elle ne chute encore...





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Le gladiateur fut assez content d'arriver enfin à l'appartement, néanmoins il ne pouvait comprendre pourquoi elle ne l'invitait toujours pas à s'asseoir, et le faire aurait été très malpoli de sa part, aussi resta-t-il à contempler les fenêtres pendant que la louve prenait sa douche, le temps passant longuement, lui faisant presque repenser à cette silhouette nue contre laquelle il s'était serré, mais un hochement de tête fit heureusement partir ces idées mauvaises, tandis que son hôte ressortait vêtue d'une robe épousant parfaitement ses formes. Il fut presque absent lorsqu'elle lui parla, lui trop occupé à la regarder, de la tête aux pieds, l'admirer, jusqu'à ce qu'elle retombe sur son canapé, aussi se précipita-t-il brusquement pour la soutenir, rallongeant la belle de la manière la plus délicate. Quid lui posa une main sur l'épaule, lui soufflant :

Ne vous en faites pas, je n'ai pas soif. Je crois toutefois vous avoir promis des explications, mais ce ne sera pas long.

Le gladiateur ne sentait plus que l'odeur du shampoing qui commençait à l'enivrer de douceur, tandis qu'il se posait aux côtés de la blessée, prenant l'air le plus aimable possible :

C'est très simple, pour le baiser, c'est une manière de faire passer la douleur quelque peu, généralement un bon coup de poing suffit mais je ne vous ferait de mal pour rien au monde !
Oh, et j'ai beau être imposant, pourriez vous cesser de me dévisager, je vous prie ? C'est assez perturbant.


Une bonne manière d'éviter de plonger dans le regard féminin et d'être sujet à de mauvaises pensées, néanmoins c'était dit avec un ton des plus mielleux, ne rendant la phrase que plus douce.

Vous ne devriez pas forcer trop sur votre bras, vous êtes encore faible...





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Le quartier de la Toussaint / Re : En fuite... pour avoir voulu aider (PV Quid)
« le: vendredi 24 décembre 2010, 18:01:56 »
Ainsi la jeune femme feulait, chose plutôt étrange : elle ne donnait pas de coups, ne se débattait pas mais semblait tout de même sous le choc face au baiser qu'elle venait de recevoir : peut être ne comprenait-elle pas ce que cela signifiait, un simple anesthésiant pour faire passer la douleur le mieux possible. Quid avait longuement hésité entre le poing dans la figure et le baiser, mais la première option aurait sûrement été moins appréciée et plus froide de sa part.

Ses yeux roulèrent un moment sur la jeune femme qui s'en allait d'une démarche féline, attirant le regard du héros qui essayait malgré tout de détacher ses pensées de celle qu'il venait de sauver : coucher avec n'était pas vraiment envisageable, c'était un héros après tout !

Courant vers elle, le gladiateur posa son blouson en cuir sur les épaules de la blessée, lui soufflant :


J'en profiterai pour vous expliquer un peu mieux, ce serait dommage de passer pour un méchant quand on aide simplement. Je vous suis donc.

Quid suivait donc la féline si étrange, la soutenant du mieux qu'il pouvait, se demandant s'il n'allait pas se faire simplement jeter...

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La nudité, quand à Sparte on apprenait à se battre en étant nu et parfois même face à des filles toutes aussi dangereuses que les garçons, sa ne gênait plus tellement, aussi la priorité fut de trouver du feu, son glaive ayant généralement toujours bien tenu au feu, inutile de s'inquiéter pour celui qu'il possédait, de la même facture.

Une balle dans l'épaule, pas très pratique en effet pour se balader, surtout que la dame était entièrement nue, intriguant de plus en plus Quid qui commençait à s'inquiéter un peu à son sujet : avait-elle était agressée et violée ? Lui avait-on tiré dessus pour la faire taire à jamais ? Aucune idée, mais la priorité était aux soins. Quelques cageots éparpillés procureraient sûrement une bonne source de feu, mais encore fallait-il qu'ils soient solides.

Prenant malgré tout le risque de perdre du temps, le héros s'empare d'un morceau de gouttière cassé, puis, frappant dessus avec frénésie, patiente jusqu'à ce qu'une étincelle enflamme enfin le morceau de bois, y plaquant immédiatement son épée, attendant à nouveau qu'elle soit parfaitement chauffée, histoire de ne pas brûler plus qu'il ne devrait la chair de la blessée...

Une fois la lame rouge, le gladiateur souffla de satisfaction, se précipitant finalement vers la mourante, se mordant les lèvres en songeant à la manière dont il allait procéder. Finalement, il dût se résoudre à la plus classique des solutions, approchant la pointe rougeoyante de la plaie :


Ce que je vais faire va sûrement vous déplaire mais c'est uniquement pour votre bien...

Ne laissant pas le temps à l'inconnue de répondre, Quid lui passe alors la main dans les cheveux pour la tirer à lui, l'embrassant fougueusement tandis que le fer brûlant se plaquait contre la blessure sanglante...


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Le quartier de la Toussaint / Re : En fuite... pour avoir voulu aider (PV Quid)
« le: mercredi 22 décembre 2010, 21:50:32 »
Les mains croisées derrière sa tête, Quid marchait tranquillement. C'est que la bagarre manquait dans le coin et les triumvirats semblaient guetter les moindres bastons pour s'interposer et enfermer les deux, aussi devait-il rester particulièrement calme, au détriment de ses besoins primitifs d'os brisés et d'hémorragies internes. C'est au bord de la déception pour ce nouveau monde qu'il fut surpris par des claquements secs. Des armes à feu moderne, voilà quelque chose qu'il n'avait jamais essayé !

Par chance, une armurerie n'était pas loin. Une magnifique carabine lui tendait les bras, illuminait presque tout son champs de vision, l'attirait, lui brûlait les doigts alors qu'il la touchait sur le comptoir, ce jusqu'à ce que le vendeur lui demande d'éventuels papiers d'identités ainsi qu'une autorisation pour porter ce genre de choses. Le pauvre ne dut surement pas comprendre la violence du poing qui s'abattit sur lui tandis que Quid s'en allait en courant, ricanant face à cette violence soit peu héroïque mais ô combien utile et facile...

Seulement, les triumvirats n'étaient pas très loin, aussi se contenta-t-il de faire demi-tour et préférer une arme qu'il saurait plus discrète et silencieuse : un glaive. Une reconstitution parfaite de glaive se trouvait dans la réserve du magasin, accompagné d'un bouclier qu'il eut presque envie de prendre. Néanmoins, le pugiliste se contenta de prendre un pistolet, de vider une boîte de munitions adéquates dans sa poche et repartir, glaive à la ceinture, son arme de poing planquée à l'intérieur de son blouson de cuir.

Ce qu'il ne comprit pas, en revanche, ce fut la sonnerie horrible qui se déclencha alors que le tenancier reprenait ses esprits, suivie de diverses voitures aux couleurs hypnotisantes et clignotantes...
D'un bon élan, Quid s'accrocha à une gouttière, se hissa en haut et suivi instinctivement des tuiles déjà bougée, qui le mèneraient probablement vers un endroit plus calme, et quelle fût la stupéfaction qu'il ressenti lorsque vit le sol se dérober sous ses pieds, lui laissant à peine le temps d'empoigner la gouttière voisine qui, sous le poids des muscles, se déroba pour laisser place au sol, froid et dur...

De légers gémissements attirèrent son attention après qu'il eut secoué la tête pour se remettre de sa chute impressionnante dont il ressortait sans une égratignure, des gémissements mélangeant pleurs étouffés et couinements. Une femme nue était adossée à un mur, enlevant quelque chose de son épaule ensanglantée, ou peut-être était-ce son avant bras, avec tout ce sang, pas moyen de deviner.

Le héros, dans toute sa grandeur, s'approcha lentement de la blessée, tendant la main en signe de paix, sachant que dans son accoutrement il était facile de le confondre avec n'importe quel caïd...


Mademoiselle ? Vous...vous êtes blessée ?

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Le coin du chalant / Re : Renaissance d'un héros
« le: mardi 21 décembre 2010, 00:38:52 »
De nouveau disponible, éventuellement aux alentours du lycée.

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Quid fit rouler ses épaules un moment, puis légèrement craquer sa nuque, avant de reprendre d'un ton calme et posé :

Vous savez, le froid, ce n'est pas ce qui m'embête le plus. Seulement, le gardien lui ne peut m'indiquer les études à suivre, verba volan, scripta manent, enfin, les paroles s'envolent, les écrits restent si vous préférez.
J'ai tout mon temps, et je trouverai triste de me balader tout seul dans l'établissement, n'étant même pas inscrit...

Je vous attendrai donc.


Se calant dos au mur, les bras croisés sur sa poitrine, le gladiateur patiente, foudroyant du regard l'étudiante, de son air le plus aimable...

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Enfin arrivés, et Quid n'avait pas compris un mot de ce qu'elle essayait de lui faire comprendre. Tout ce qu'il avait à retenir c'était qu'il devait rester tranquillement à chercher comment se démerder...

Je n'ai jamais entendu parler de collèges, non.
Je vous attends donc ici, j'ai toute ma vie devant moi, je verrai pour le gymnase mais je préférerai autant être accompagné.

Il faudrait vraiment que je trouve un moyen d'intégrer l'endroit, il m'a l'air pas mal, et j'ai hâte de reprendre le pugilat, moi !


Le héros eut un rire léger qu'il acheva par une fausse quinte de toux, histoire de reprendre un peu de sérieux...

Si vraiment cela vous dérange, je peux m'en aller...


69
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 20 décembre 2010, 18:39:01 »
18:49
Ah non ! Les rochers sont bien meilleurs que le Nutella !
Pfff !

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Quid l'avait suivi d'un pas léger et tout aussi assuré qu'elle, réfléchissant à ce qu'il pourrait faire pour combler son manque de dossier, sorti de ses pensées par l'intervention de Yoko :

Je n'ai pas croisé beaucoup de monde, je ne pense pas qu'on nous fasse des remarques là-dessus. Si vous avez tant d'affaires que cela, je pourrai toujours vous donner un coup de main, unitas virtute, où l'union fait la force, comme on dit par ici.

Yoko, ainsi donc elle s'appelait comme cela. Un nom qu'il n'entendait pas souvent, mais qui ne lui déplaisait pas pour autant, un nom qui, au moins, ne serait pas très dur à retenir :

Je m'appelle, ahem, je m'appelle Quid, et oui, je viens de très loin, très très loin. Ahem, je suppose qu'il y a un examen pour entrer dans l'établissement ? Peut-être pourriez vous m'aider à réviser, je crains de ne pas être fortiche dans toutes ces matières.
Sauf le sport, le sport c'est différent...


Maintenant, elle le questionnait sur le sport qu'il pratiquait. Il avait suivi avec passion l'évolution du pugilat, devenu la boxe, un sport toujours aussi viril et convivial à coup de bleus et d'hémorragies internes, un sport d'homme, quoi !

Oui, je suis très bon en boxe, et cela fait un moment que je ne me suis pas entraîné.
Je suppose qu'il y a des vestiaires où je pourrai me changer, si nous avons le droit d'y faire un tour ?


Tournant à peine la tête, un sourire ironique en coin :

...et qu'ils sont mixtes, bien sûr.




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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 20 décembre 2010, 18:05:30 »
18:05
Regarde les dames s'engraisser tranquillement.

Nan mais les ferreros rochers c'est mieux d'abord ! è_é

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Quid eut un soupir de soulagement à l'acceptation de son offre, avant d'un peu plus se focaliser sur le thème du gymnase, assez intrigué par un nom aussi barbare pour un complexe aussi peu différent :

Parfait, je vous suis donc !
Pour le gymnase, je préfère attendre que vous vous soyez bien installée, je vous attendrai sûrement devant la porte.


Lorsque Yoko se mit à éviter la main posée sur l'épaule, le héros ne voulu pas la retenir plus longtemps, décidant de les garder dans les poches de son jean, au passage plutôt confortable.

[On peut ouvrir la suite aux dortoirs.]

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[Ma foi, je note ^^]

Quid prit son temps pour observer les mouvements de sa compagnonne, toujours aussi embêté de ne pas avoir prévu d'entrée ou quoi que ce soit du genre, aussi lui souffla-t-il :

Oh, oui, je vois, eh bien, non, pas vraiment, ahem, je viens d'arriver et...

L'évocation des dortoirs flanqua une vilaine moue boudeuse au preux guerrier : il allait forcément devoir se retrouver seul comme un idiot, à attendre qu'elle soit enfin préparée avant de pouvoir à nouveau espérer de la compagnie.

Néanmoins, quitte à être accompagné, autant l'être le plus longtemps possible, c'est ce qui pourrait expliquer le peu de gêne du gladiateur en murmurant à Yoko :


Je vois, vous souhaitez probablement rester seule.
Ahem, toutefois, je peux toujours vous raccompagner jusque votre chambre !


Enfin, elle releva sa faute d'orthographe. Pas gêné le moins du monde, Quid se contente de répondre, bafouant malgré tout :

Des arènes ? Je voulais dire un endroit où s'entraîner, oui, mens sana in corpore sano, non ?

Sans qu'il ne comprenne vraiment pourquoi, sa main droite était partie se poser sur l'épaule de la jeune femme, comme pour l'inviter à passer devant, non sans lui provoquer une vague de frissons...
La poussant légèrement histoire de lui donner la cadence, le héros se contente de la suivre silencieusement, à ses côtés...




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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 20 décembre 2010, 16:42:29 »
16:43
*Regarde ses placards à goûter tout vides, une larme à l'oeil*
é_è

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Le héros jeta un regard embarrassé au dossier, constatant que lui n'avait absolument rien, au détriment de son envie de rejoindre l'établissement.
Jetant un dernier regard sur la silhouette de sa voisine, Quid se lève à son tour, s'étirant comme un chat, se massant le cou tout en fixant Mori :


Une visite ? Ma foi, je pensais justement me rendre à l'arène histoire de voir le matériel dont ils disposent, vous souhaiteriez peut-être vous rendre ailleurs ?

Sans aucune arrière pensée, le gladiateur tendit le bras en direction du couloir, l'invitant à passer devant.
Il n'avait pas vraiment envie de se retrouver tout seul dans ce labyrinthe, car, même s'il ne s'inquiétait plus tellement des minotaures, il se savait trop faible pour tenir dans un endroit aussi confiné plus d'une heure.
Et puis, la compagnie n'était pas désagréable...


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