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Messages - Karl Neumann

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: vendredi 28 juin 2024, 16:58:15 »
Elle avait accepté son mouchoir, pouvant désormais la voir se reprendre un peu, essuyant ses larmes avec délicatesse tout en le remerciant. Sa seule réponse fut un simplement hochement de tête, mais aussi un léger sourire, voulant simplement souligner que ce n'était rien.

Après cela, il s'était dit que, le mieux pour eux serait de reprendre leur route. L'hôpital n'était plus trop loin à son souvenir et il n'avait pas envie que la soirée qu'il venait de sauver pour elle ne lui soi gâché, qu'elle ne perde son temps ainsi. Ils reprirent donc la route, marchant plus tranquillement, sans inquiétude ou empressement, ce qui était bien plus agréable dans cette nuit d'été. Il put la voir, en marchant, se mettre à plier son mouchoir avec soin, ce qui ne manqua pas de l'amuser, l'entendant lui dire que sa présence coûtait cher et qu'elle n'était pas pour n'importe qui.

Il se mit à légèrement rire, amusé par sa réponse, mais surtout par le fait qu'elle retrouve de la joie et de la bonne humeur. Karl se mit donc à faire une légère révérence en la regardant, souriant doucement avant de lui répondre

" Et bien je suis raivs d'avoir l'honneur de pouvoir vous côtoyer alors."

Se redressant de toute sa taille par la suite, il ajouta

" J'assumerais le coup que cela engendrera, votre présence et pour le moins très agréable, alors je ne le regrette pas."


Dit-il poliment, reprenant son caractère plus ancien. Elle n'en savait rien, mais cela avait aussi fait partie de son plan, il devrait faire semblant de s'être brisé le pouce auprès de ses collègues et apporterait quelques choses pour se faire pardonner de la gêne occasionnée par son absence et pour elle, il lui offrirait sûrement quelques choses, ou lui donnerait une partie de ses pourboires correspondant aux heures perdues par son choix. Quelques minutes plus tard, ils tournèrent au coin de la rue et, en face d'eux, les lumières puissantes de l'hôpital les éclairait à quelques centaines de mètres.

La devanture tant éclairé faisait changer l'ambiance habituellement blanche et jaunâtre des ruelles la nuit, laissant un effet plus verdâtre se répandre sur le béton et le pavement sous leur pieds. Facilement, ils purent arriver devant l'entrée de L'hôpital où, Karl s'arrêta, se tournant de nouveau vers la jeune femme pour lui dire

« Nous voila arrivé. Je ne vous ferais pas l'affront de perdre votre temps à attendre avec moi, je sais que le terme urgence n'ait pas des plus approprié pour ce lieu et ce n'est pas l'endroit le plus amusant au monde. Donc, si vous souhaitez rentrer chez vous maintenant, n'hésitez pas. »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: vendredi 28 juin 2024, 14:38:27 »
Lorsqu'elle releva son regard, il pouvait lire les émotions qui couraient en elle à travers son regard, à travers ses yeux qui s'embuaient légèrement. Il sentait son cœur s'enserrait, sa gorge se nouait en la voyant ainsi, les souvenirs de la dernière personne qu'il avait vu pleurer à cause de lui revenant le hanter sous cette vision.

Il avait tenté autant qu'il le pouvait la rassurer tenant délicatement sa main entre les siennes, cherchant à lui faire comprendre dans ses gestes et ses mots que tout allait bien et que leur supérieurs ne pouvait rien lui faire. Il lisait le doute et la peine qui embuait les yeux de la jeune femme, de fines larmes commençant à se nicher au creux de ses yeux écarlates.

Lui, continuait à garder un regard, un visage et une voix la plus apaisante possible, l'écoutant, cherchant à la rassurer le plus possible. Une fleur au gré du vent, voilà une image qui, à ses yeux, ressemblait le plus à cette jeune femme, belle, douce, mais balayé et malmené par le vent de la vie et malgré tout, elle lui paraissait tout de même continuer de fleurir, lui rappelant d'autant plus une personne qui lui était cher à ses yeux.

Il prit ensuite une grande inspiration en l'entendant lui demander de promettre qu'il ne pourra jamais rien lui arriver. Ce n'était pas une promesse qu'il pourrait réellement tenir, car si, leur employeur pouvait bien faire toutes les choses qu'il avait énoncé juste avant, mais Karl s'en fichait éperdument, c'était là le point le plus important. Sa main droite se referma un peu plus, la pulpe de ses doigts caressant la paume de la jeune femme en cet instant avant de répondre

" Mademoiselle Starling, Notre employeur peut bien me faire ou tenter de me faire du mal ou me nuire, je retomberais toujours sur mes jambes. J'ai déjà recommencé ma vie une fois, je le referais sans aucun soucis. Il n'est qu'un humain, son seul pouvoir et celui que l'on lui offre, ni plus, ni moins."


Au vu de tout ce qu'il avait perdu, perdre un travail dont il se doutait ne pas rester de toute façon ne lui faisait pas grand-chose. Il pouvait bien chercher à l'intimider, l'humilier ou chercher à le blesser physiquement, il avait déjà tout perdu à par sa propre vie, chose qui actuellement, il n'accordait pas grande importance, donc pour lui, leur employeur n'avait aucun pouvoir.

Mais ce qui lui brisait le plus le cœur, c'était de la voir elle, en prise avant autant d'émotion à cause de lui, de voir ses larmes couler sur sa peau de porcelaine, de voir la peine qu'elle se donnait à cause des autres et s'en voulait d'autant plus de ce subterfuge. Il retira alors sa main gauche pour aller chercher dans la poche de son veston un mouchoirs en tissus rouge, mais se rappela en n'arrivant pas à l'attraper, qu'il avait le pouce casser.

Un léger rire s'extirpa d'entre ses lèvres sous sa stupidité, venant alors lâché sa main qui était encore dans sa dextre, glissant lentement avant d'être séparé. Il put enfin saisir le dit mouchoir, puis, le tendit à Rubis, venant lui ajouter

" Il ne mérite pas vos larmes et je ne les mérite pas non plus."

Un fin sourire aux lèvres, une voix basse et douce, il lui offrait se mouchoir pour qu'elle puisse sécher ses larmes qui humidifiaient son visage, puis, il ajouta.

" Nous devrions reprendre notre route, je vous prend déjà assez de votre temps avec tout ceci."

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: vendredi 28 juin 2024, 14:01:23 »
MVDD n'a pas tort et je lui offre donc un rafraichissement

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: vendredi 28 juin 2024, 13:32:25 »
Mon VDD n'a pas compris que je parlais de SON voisin du dessus XD

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: vendredi 28 juin 2024, 13:18:07 »
MVDD n'a pas tort, mais je dirais plus que son VDD à des ancêtres ayant eut des déboires durant la période far west

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: vendredi 28 juin 2024, 12:57:23 »
Lui qui avait cru que ce serait la révélation de sa main coupée qui ferait le plus de réaction de la part de la jeune femme, il s'avoua à lui-même qu'il s'était trompé.

Avouant donc la vrai raison pour ce passage à l'hôpital, ils s'étaient même retrouvé à s'arrêter au beau milieu de la rue, éclairé par les lampadaire et la lune. Karl avait l'impression que, après sa confession, beaucoup d'émotion passaient dans la tête de Rubis, beaucoup trop à son goût et pour le bien de la jeune femme. Elle commençait à bégayer dans ses mots. Elle n'avait pas l'air d'en revenir qu'il soit allé à une telle extrémité pour elle, mais pour lui, ça n'était rien.

Même si sa main avait été toujours là, il l'aurait sûrement fait ainsi. Il s'était plus souvent blessé pour les autres que pour lui-même dans toute sa vie, une serre de griffon lui avait fait la première cicatrice lui barrant le visage, ayant cherché à aider un camarade tombé de cheval à cause de la bête, un fer de hache la deuxième lui ayant marqué l'arcade, lors d'un déplacement pour aller renforcer des troupes au front, et bien d'autres encore, dont sa main, qu'il n'avait pas perdue pour se sauver lui même, mais pour protéger son père, enfin, il avait tenté de toute ses forces.

Il sentait sa main se resserrer dans la sienne, ses doigts se crispant tandis que son visage s'abaissait, comme pour cacher son visage, reprenant avec une voix saccadé et chargé d'émotion. Il la laissa vider son sac, l'entendant s'excuser de tout et de rien, trouvant tout cela totalement inutile, mais ravis qu'elle avait tout de même souhaité s'en sortir.

Il la laissa finir sans l'interrompre, bien qu'il en ait eu très envie au vu des émotions qui avaient l'air de la traverser. il avait réfléchi à quel geste serait le plus approprié pour la rassurer, lui faire comprendre que tout allait bien. Lu relever le menton aurait été une idée, mais à ses yeux, cela était trop physique au vu de leur collaboration actuelle, ses principes ne l'ayant pas quitté depuis toute ses années. Il fit donc un geste un peu plus respectueux, mais qui attirerait sûrement l'attention de la jeune femme.

Sa main mécanique vint donc se poser sur la sienne, maintenant tenue entre ses deux mains, délicatement tenu entre la chaleur de sa main droite et la froideur de sa main gauche, ne l'empêchant en aucun cas de retirer sa main si elle le souhaitait.

" Mademoiselle Starling, regardez-moi s'il vous plaît."

Dit-il, courbant un peu le dos pour s'abaisser plus près de la taille de la jeune femme. Il lui laissa quelques secondes attendant qu'elle trouve le courage de relever ses yeux vers lui et si cela arrivait, son regard fixé dans le sien pour lui dire

" Tout va bien. Il n'y a pas de blessé, il n'y en a pas eu et il n'y en aura pas ce soir. Vous n'avez pas à vous excuser, vous avez fait tout ce que vous pouviez, il n'y a rien que vous puissiez vous reprocher surtout face à notre employeur. "


Il hocha négativement la tête par la suite, lentement, continuant d'éviter les gestes brusque pour apaiser la situation

" Rien de ce que notre employeur ne pourrait me faire ne sera grave. Me faire faire plus de corvée dégradante ? J'ai vécu pire. Ne pas me payer mes heures supplémentaires ? Je connais les lois là-dessus. Me renvoyer ? Je trouverais un autre travail ailleurs. Il n'est rien, juste un humain de plus dans ce monde, alors, s'il vous plaît mademoiselle Starling."


Il se mit à lui offrir un doux sourire, compatissant, se voulant rassurant et chaleureux

" Ne vous en faite pas. Tout va bien."

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: jeudi 27 juin 2024, 23:59:13 »
Sous sa réaction, sous sa réponse, Karl ne put qu'offrir un silence, mais surtout, un sourire franc, un sourire qu'il n'avait pas eu depuis bien des années. Cette jeune femme lui paraissait beaucoup trop gentille pour son bien.

" Cela me touche alors, même si je ne suis forcément la meilleure des personnes au monde à qui offrir sa confiance."

Cela faisait écho à ce qu'il venait de faire, mais aussi à tout ce qu'il cachait, ce qu'il était obligé de cacher pour ne pas se retrouver à l'écart de tout, encore plus qu'il ne l'était, mais aussi pour ne pas finir chez les fous. C'est tout ça, cette phrase si importante, qui ne fit qu'achever sa culpabilité de lui cacher son coup de théâtre de ce soir et qu'il craqua, venant lui dévoiler son infirmité qu'aucun de leurs collègues, ni leur patrons ne connaissaient.

Un silence tomba lorsque sa prothèse était totalement visible, voyant son regard passer de celle-ci à ses yeux, ses mains s'approchant de la sienne avant de se retenir, le faisant un peu souffler d'amusement. Il se disait que, dans son monde, avec de tel politesse, elle n'aurait eu de réprimande d'aucun noble.

" Non, cela fait bien des années que je n'ai plus de mauvaises sensations."

répondit-il à sa question d'une voix calme. Douleur, main fantôme, picotement, il était passé par bien des phase à la perte de sa main, mais pour lui, ce n'était que des sentiments si ridicule par rapport à tout ce qu'il avait ressenti en parallèle de tout cela. Après cela, il finit par lui avouer aussi que son accident n'en avait pas été un et donc, cela souleva forcement la curiosité de la jeune femme. Sous sa question, il put sentir sa main poser dans la sienne. Depuis quand remontait la dernière fois que l'on lui avait tenu la main ? L’hôpital ? Les associations d'aide aux amnésiques ? Il ne se souvenait plus, mais se demander, si la douceur de son geste était équivalent à la douceur de la pulpe de ses doigts.

Il finit par revenir à la conversation, prenant une bonne inspiration avant de lui répondre en toute franchise.

" Et bien ce n'était pas un accident, je me suis délibérément brisé l'articulation."

Il laissa un temps de pause, s'attendant bien-sur à un étonnement et surtout à un pourquoi, alors il ajouta

" Depuis le bar, on à une vue sur beaucoup de chose dans la salle et je vous ais vu sous le joug du patron, j'ai senti, le pouvoir qu'il avait sur vous."


Il relevait sa main mécanique, la plaçant a coté d'eux avant de reprendre

" Je dois bien avouer que la méthode était peut être exagéré et je vous prie d'accepter mes excuses pour vous avoir inquiété, mais, c'était la seul solution, que j'avais trouvé à cet instant qui me permettait de quitter le comptoir, de vous emmener loin de notre employeur sans que vous réfléchissiez, mais surtout sans qu'il ne jette son courroux sur vous."


Il venait donc de tout lui dire, son sourire avait disparu, prenant un sérieux très visible, presque comme si toute émotion avait quitter son corps, la regardant, cette jeune femme si aimable et qui lui paraissait si innocente, se trouvant devant lui, attendant sa sentence.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: jeudi 27 juin 2024, 17:45:35 »
Sous sa phrase sorte au milieu de la nuit, il put sentir que Rubis se mit à ralentir ses pas, se tournant vers lui, un air visiblement inquiet et interloqué sur lui. Il ne savait pas vraiment comment elle allait le prendre et si les autres l'apprenait, il devrait surement changer de travail, mais il préférait être honnête avec elle, surtout au regard qu'elle avait en cet instant, il lui devait bien cela.

Mais lui aussi lui lança un regard interrogateur en entendant sa réponse. Elle est là et elle serait toujours là. C'était une phrase qui avait beaucoup de poids ou en tout cas qui était sensé en avoir, donc cela le laissait un peu, surpris qu'elle lui dise cela si facilement

" Faites attention mademoiselle Starling, les mots ont un poids et un pouvoir qu'il ne faut pas offrir à n'importe qui."


Il espérait qu'elle ne faisait pas confiance à la première personne venue en tout cas, car si c'était le cas, ce genre de phrase se retournerait forcément contre elle. Mais bref, après cette pensée et son avertissement, Karl décida de commencer à lui avouer

" Il n'y a pas vraiment d'urgence à aller à l'hôpital. Je n’ai pas le pouce cassé."


Levant la main gauche, sa phrase n'était pas vraiment crédible, l'angle que faisait son pouce prouvant le contraire et il le comprenait, alors il reprit la parole

" Certes, il est cassé, mais ce n'est pas si grave que cela."

Sur ces mots, des gestes était plus approprié à ses yeux que des paroles, et surtout, plus simple à faire comprendre. Il commença d'abord par replacer son pouce, n'affichant qu'un regard neutre, sans aucune douleur apparente, seulement le bruit de l'articulation se replaçant, même si, sous le cuir du gant, il n'avait plus l'air de trop tenir en place. Ensuite, il vint saisir à l'aide de son autre main la pointe des doigts de sa main gauche, venant doucement tirer le cuir pour dévoiler ce qu'il y avait en dessous. Rubis pouvait donc désormais voir une main ne cherchant pas à ressembler trait pour trait à une main humaine, des parties metalique se suivant à des articulations, donnant un ton noir et acier à tout cela, ressemblant plus à la main d'un robot ou d'un automate. On pouvait voir que l'articulation du pouce était tordu et ne pouvait plus vraiment étre replacé correctement.

" Il faut seulement que je passe à l'hôpital pour la faire réparer et ce n'était pas vraiment un accident qui a causé cela."

Au moins, il se savait honnête sur ce moment là et ne pouvait plus se sentir coupable de lui mentir, bien qu'il attendait sa réaction et surement ses questions quand à tout ça, ainsi que la raison de se subterfuge.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: jeudi 27 juin 2024, 10:44:14 »
La soie devait être une bonne idée, en tout cas c'est ce que cela lui évoquait. Quitte à enlever une vie, autant le faire bien non ? Cette conversation avait été sans quête ni tête, mais pour autant elle ne lui paraissait pas être une perte de temps contrairement aux évènement d'après.

Choisissant d'intervenir pour aider Rubis au prise avec le patron quelques instant après avoir repris leur service, il croisait les doigts mentalement pour que son subterfuge marche. Saki était tombé dans le panneau, ensuite. le patron l'avait cru, mais paraissait des plus dubitatif à laisser Rubis s'extirper de ses griffes. Heureusement, l'angle de son pouce sous son gant de cuir fini d'achever cela le laissant exprimer sa surprise avant que la jeune femme au cœur du sujet ne réagisse elle aussi.

Lorsqu'il senti ses mains être attrapé, il recula rapidement sa d'extrême de peur qu'elle réussisse à sentir que sa main était fausse, feintant la douleur sur le moment.

Ce fut la suite qui le surpris le plus, voyant la jeune femme saisir son bras et sa manche ne laissant plus aucun doute sur ses choix et lui permettant de fuir leur employeur sans une honse d'hésitation. Karl la suivi donc, tiré par le tissus de sa chemise, ils traverserent la foule de client se trouvant entre eux et l'entrée avec une facilité déconcertante. Désormais sorti à l'air libre, il regardait avec insistance la jeune femme admirant son élan qui, lui faisait avoir des remord.

Arrêtant de se mordre la joue il réfléchissait a tout cela et se disait qu'il l'appréciait vraiment, se qui lui serrait le cœur de lui mentir ainsi contrairement au patron. Il se mit à soupirer se demande encore une fois s'il n'allait pas faire une erreur, mais il préférait avoir la conscience tranquille il reprit la parole en continuant de marcher dans les rues de la ville.

" Votre promesse de garder mon passé et mes secret tiens toujours ?"

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 22:31:48 »
Karl se retint de toute ses forces de rire sous sa remarque qui lui donnait l'impression qu'elle lisait dans ses pensées, puis, tandis que la conversation continuait, il avait un peu joué avec elle, cherchant à lui faire légèrement peur pour plaisanter, mais, sous la proximité, il avait put voir que ce n'était pas le cas, c'était une tout autre émotion qui était apparu sur son visage de porcelaine, cette touche roseatre qui couvrait ses joues blanche comme la neige, il trouvait que cela lui allait plutôt bien.

Redressé, il pouvait l'entendre et être surpris par sa constance et son sang froid, l'écoutant attentivement en venant rire sous sa réponse. Il hocha la tête en remerciement sur le fait qu'elle garderait son secret, même si ce n'était pas grand chose, si elle pouvait garder cela, c'était assez prometteur.

" Jamais je ne vous mettrait dans un sac à patate, la toile de jute et un tissus beaucoup trop rêche."

Sa véritable pensée était que cela aurait sûrement irrité son visage rayonnant, mais, il y avait bien des choses qu'il ne trouvait pas approprié de dire, surtout à une collègue. Mais voila qu’après une pause agréable en sa compagnie, il fallait retourner au front, un front qui était des plus déchaîné, ça il l'avait vite remarqué en venant prêter main forte à la jeune Saki. La foule bien que compressé pour avoir leur dose de courage ou de poison, selon les points de vue, laissait quelques écart pour garder un œil sur la salle. Il avait repéré Le Patron, son regard des mauvais jours, celui ressemblant à un charognard trouvant son repas du soir. Malheureusement, en un coups d’œil rapide, il avait été facile de voir qui était dans sa ligne de mire. Karl grimaçait quelques peu, servant les verres, son regard furetant entre les clients, le comptoir et la salle.

L'ambiance avait un contraste à couper au couteau, entre l'euphorie des gens profitant de leur soirée et le dialogue qui avait lieu entre la jeune femme et son employeur. Il pouvait le voir, il ne pouvait pas les entendre, mais les réactions de Rubis lui laissait deviner que ce n'était pas du tout une partie de plaisir. Elle n'avait pas l'air de vouloir demander de l'aide, mais son regard lui paraissait en demander, elle paraissait loin et toute proche à la fois. Karl serrait la mâchoire, venant servir un demi de bière à un client en même temps. Il hésitait.

Elle ne lui avait rien demandé, mais quelque chose le poussait à vouloir l'aider, son passé le rattraper, ses air si familier le hantait, il n'arrivait pas à s'en défaire. C'est à ce moment là, finissant de remplir la choppe, qu'il se maudit intérieurement, posant le verre, prenant l'argent avant de remercier le client. Il jeta un regard vers Saki, qui, la pauvre était toujours bien occupé. Il allait s'en vouloir, mais il savait qu'elle ne lui arriverait rien de mal a part un bon coup de stress et de fatigue, contrairement à Rubis. Il se baissait donc sous le comptoir, faisant semblant de vouloir toucher au fut de bière se trouvant en dessous, puis, il vint placer sa prothèse en dessous.

Un long soupire le parcouru avant de finalement laisser tomber le fut bien plein lourdement sur son pouce artificiel. Un bruit sourd, un tremblement dans tout le comptoir, il se releva rapidement sous le regard interloqué de Saki qui s'était stoppé net.

" Je vous prie d'accepter mes excuses, mais je vais devoir partir aux urgences."

Il se tenait une main dans l'autre, venant faire semblant d'avoir mal tout en mordant l’intérieur de sa joue pour mieux le jouer. On pouvait voir son pouce faire un angle des plus disgracieux, ce qui fini par faire agrandit le regard déjà bien ouvert de sa collègue et a rendre son teint aussi pale que celui d’un spectre.

" Hein ??"

" Appelle Haku pour me remplacer, il t'aidera bien. Je me rattraperais pour tout ça."

C'était un serveur avec un peu d’expérience derrière le comptoir, alors il lui faisait confiance pour réussir à finir la soirée correctement. Puis, sans en ajouter plus, il fila en direction du patron, gardant sa main dans l'autre.

Maintenant à quelques mètres d'eux, il pouvait bien voir la scène qui se déroulait et il avait une impression de déjà vu beaucoup trop forte, au nombre de fois où il avait déjà remarqué cela, que ce soit ici, dans d'autre bar, ou même dans son monde.

" Monsieur, excusez moi de vous importuné, mais .... il faudrait que Rubis m'accompagne jusqu'aux urgence, j'ai eut un petit incident derrière le comptoir."

Il finit par montrer son pouce désarticulé, mimant une grimace renforcé par le fait de se mordre la joue jusqu'au sang. Est ce qu'il allait le croire ? Est ce qu'il avait deviné pour sa prothèse ? Est ce qu'elle accepterait de l'accompagner aux urgence, même si au final, ils n'y irait pas, il n'en savait rien, mais il avait choisi de tenter le coup, il se sentait obligé de l'aider, comme coupable de son impuissance passé.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 18:12:57 »
Karl était ravi de savoir qu'elle aimait la danse et se mettait à se demander le genre qu'elle pratiquait, même si, rapidement, il chassa cette idée. Il ne connaissait pas grand-chose aux danses de ce monde, alors il savait que si elle lui donnait un nom, il serait sûrement totalement perdu. La suite de ce sujet l'interloqua un peu, venant, en l'écoutant , à comprendre qu'elle avait déjà eut droit à de mauvais souvenir dans le domaine de la danse, ce qui le fit quelque-peu rire intérieurement, venant y répondre

" Je vois que quel que soit le ... pays, il y en a toujours pour cela."

Il avait failli dire monde à la place de pays, mais, il se disait rapidement que même s'il se serait trompé, elle ne l'aurait sûrement pas remarqué ou cela serait passé sans problème. Le sujet dériva ensuite sur leur vie respective, sur le fait de savoir ce que l'autre avait fait de sa vie avant de se retrouver à travailler tous les deux au même endroit. Comme à son habitude, Karl n'avait parlé que de ses expériences professionnelles depuis qu'il était au Japon, parler de son passé n'apporterait au mieux que des rires d'amusements, au pire des remontrances pour quelqu'un ayant l'apparence de raconter n'importe quoi.D'ailleurs, il finit par rire, mais cette fois, ce fut assez audible pour être entendu par la jeune femme, cours, mais présent. Son air taquin et sa phrase tirant sur les ouïe dire de leur collègue l'amusait et sa façon de vouloir en savoir plus la dessus l'était tout autant.

" Et bien si comme vous le promettez, vous ne direz rien, je peux bien vous confier cela."

Il s'approcha un peu plus d'elle, se penchant pour venir lui chuchoter à l'oreille

" Une valise n'est pas pratique pour ce genre de règlement de compte."

Il laissa un silence passé un cours instant, venant se reculer lentement en gardant tout son sérieux, puis, fini par lui sourire, venant à rire de nouveau pour reprendre la parole

" Non, je n'ai jamais fait partie d'une organisation criminelle, même si je pense que certaine personne nous avait déjà sûrement qualifié ainsi. La seule chose que je peux vous confier et que, j'avais une certaine influence là d'où je viens."

Son vrai nom de famille suffisait déjà pour remettre les pendule à l'heure dans l'empire, mais lui, n'avait pas fait honte à son nom, alors la mention de son nom et de son prénom suffisait souvent à faire réfléchir les plus idiots ou à calmer les conflits, même si, malheureusement se disait-il, cela n'avait pas été assez pour empêcher de tout perdre, ou alors au contraire, c'était bien trop pour que cela soit toléré par d'autre avide de pouvoir.

Il préféra ensuite changer discrètement de sujet, ne voulant pas continuer là-dessus au risque de se retrouver à mentir plus qu'il ne le faisait déjà, ce qui ne lui plaisait pas vraiment envers les gens qui lui paraissaient honnête, dont Rubis faisait partie.

Le temps de pause arriva à sa fin, non pas sous une sonnerie ou une pensée de leur part, mais par une autre serveuse, les renvoyant à leur travail respectif. La laissant pour reprendre son poste, il arrivait de nouveau à l'intérieur du bar, la musique bourdonnant dans ses oreilles, la foule dansant, marchant et se précipitant au bar lui laissait deviner que leur collègue n'avait pas exagéré, puis, à la vue de l'état de la-dite Saki, il se disait qu'elle n'avait pas menti.

Elle était débordé, elle lui donnait l'impression d'essayer de nager au vu de sa façon de bouger, presque pale de stress, elle qui d'habitude était du genre à être calme, elle lui montrait en cette instant leur différence de caractère, mais surtout d'experience. Histoire de ne pas lui faire trop peur, il passa derrière lui, puis, vint toquer sur le comptoir à l'aide de ses phalanges, faisant vibrer quelques verres avant de monter la voix pour attirer le regard des clients, lui allégeant alors son travail en la regardant discrètement soupirer. Tout en préparant les commandes, Karl gardait un œil autour de lui, autour d'eux, repérant la jeune femme aux yeux écarlate traverser les lumières coloré de la salle, finissant par croiser la route de leur Patron. Il fronça quelque peu le regard à cet instant, repensant à leur conversation du début de la soirée, il espérait que cela se passe bien pour elle, même s'il en avait des doutes.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 10:38:22 »
Au vue de la blancheur de sa peau il était facile de voir la jeune femme rougir même malgré la pénombre. Karl trouvait cela touchant même attachant et n'avait donc pas put retenir son sourire sur ce point.

Sur son explication la remarque de Rubis sur la danse le fit sourire l'entendant rire avant de s'excuser de ne pas être drôle. Il ne trouvait cela pas grave et sûrement un peu de sa faute, il y avait des jeux de mots qu'il ne comprenait toujours pas dans cette langue.

" Je préfère la danse aussi, plus agreable et plus diversifié."

Finit-il par répondre pour chercher à passer outre la gêne de la demoiselle. La discussion menait plutôt bon traîner Karl trouvait cela rafraîchissant agréable même, alors il ne pouvait que l'écouter de ses deux oreilles. Il leva son regard un cours instant sur sa question, puis finit par de nouveau le poser sur elle.

" Non, j'ai travailler dans beaucoup de domaine, de la manutention, dans le bâtiment, dans la sécurité aussi. Être barman est venue ..... plus tard. J'ai travaillé  dans d'autre bar avant celui-ci, moins grand et moins bien placé."

L'endroit restait assez petit pour le coin ou il était implantés, mais son nom était tout de même connu, contrairement au bar de ruelle dans lesquelles il avait put travailler avant. Biensur il n'allait pas dire non plus " J'étais l'héritier du duché d'Anessa, chevalier de l'empire d'yldir, pourfendeur des griffons d'artheim." Il passerait soi pour un plaisantin soi pour un fou.

De nouveau les joues de la jeune femme s'empourprerent sous ses compliments ne manquant pas de le faire sourire à nouveau lui aussi. Mais ce fut surtout sa réponse sur son double emploi qui le surpris agréablement. Libraire et serveuse,voilà bien un contraste intéressant,mais montrant bien des qualités chez cette jeune femme, qui se rabaissa quelque peu sur ses explications.

"Je ne vois pas en quoi cela est idiot. Faire un travail dans un domaine que l'on aime me parait plus interessant et plus logique."

Ce monde avait bien des surprise malgré son manque de magie et de fantaisie. La discussioncontinua agréablement en sa compagnie, les minutes passant sans se faire remarquer jusqu'à ce qu'ils soient interrompu, la porte de service s'ouvrant derrière eux, laissant apparaître le visage de la serveuse claqueuse de fesse. Son regard dirigé vers Karl elle lui dit d'une voix douce mais pressé, presque paniqué.

"Le coup de feu a commencé et Saki s'emmelle les pinceaux."

La pause était donc fini pour lui, se redressant en prenant une profonde inspiration, tournant donc son regard vers Rubis, il hocha doucement la tête en lui souriant discrètement pour repartir au bar.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mercredi 26 juin 2024, 00:06:51 »
La regardant se rapprocher de lui, il l'écoutait attentivement, prenant note de ses dires. Elle était d'accord avec sa prédiction, ce qui ne faisait que confirmer ses pensées et malheureusement, même s'ils dépassaient la capacité de l'établissement, il ne voyait pas le patron se mettre à refuser de nouveaux clients, il imaginait même déjà la rue devant le bar se mettre à être bondé de monde. S'il avait été chez lui, la milice aurait sûrement déjà mis quelques rappels à l'ordre là-dessus, mais il n'en savait rien pour ce qui était d'ici.

Par la suite, sa curiosité l'avait poussé à savoir comment cela se passait du côté des serveurs et serveuse et, sa réponse avait été amplement suffisante pour imaginer la chose et coller avec ce qu'il en voyait. Bien-sur, il ne pouvait être que d'accord avec elle, une bonne condition physique devait sûrement être primordiale pour tenir la route.


" Oh mais vous m'avez l'air d'avoir une forme physique adéquate à ce travail, vous n'avez pas à vous en faire. En tout cas de mon côté, l'utilisation des jambes n'est pas vraiment aussi intensif, c'est plus du piétinement et des rotations, se souvenirs des recettes, entretenir la propreté du bar et surtout gérer le débit de boisson pour que l'on ne tombe pas à cours au mauvais moment. En somme, cela ressemble plus à de la danse qu'à une course."


Il pouvait souvent paraître manquer de tact malgré ses politesse, ayant toujours un peu de mal avec les tournures de langue de ce pays, alors il ne se rendait pas forcément compte s'il avait dit quelque chose de travers à cet instant. En tout cas, sa question suivait cette pensée, voulant connaître un peu plus le passé de la jeune femme. 6 ans lui avait-elle avouer travailler dans ce domaine, ce qui le poussa à regarder un peu au-dessus d'elle, au-dessus de l'horizon en calculant tout cela avec son calendrier, se rendant donc compte que cela faisait un petit bout de temps qu'elle faisait ce metier et donc qu'elle devait très bien savoir ce qu'elle faisait, ce qui ne l'étonnait pas vraiment au final.

Il hochait la tête sous ses mots, l'écoutant attentivement sur ses raisons de travailler dans un bar au lieu de tout autre endroit. Mais ce fut la suite qui le pris bien plus au dépourvu, la voix de Rubis tirant son regard de nouveau dans le sien, ses yeux s'ouvrir un peu plus et un sourcil se releva sous sa voix taquine et ce sourire doux. Elle venait de le faire plonger dans de vieux souvenir, des souvenirs agréables, mélancolique, finissant par lui tirer un sourire en coin de lèvres, suivi, doucement, par un rire étouffé au fond de sa bouche, elle lui rappelait tout ça.

" Je dirais .... environ quatre ou cinq années, peut-être plus ou peut être moins, mais je ne fais cela à temps plein que depuis .... un ou deux ans je crois."

Devoir convertir les années terrestre à calendrier de son monde était tout autant une plaie que l'inverse, alors cela donnait souvent l'impression que soit il ne se souciait pas du temps passer, ou pour ceux qui avaient eut droit à l'excuse de l'amnésie de sa part, mais rare à être encore dans sa vie, un effet secondaire de cela. Mais quelques choses l'avait fait tiquer avant sa réponse, un détail dans la sienne, elle avait parlé de cumuler un autre emploi.

" Donc vous avez deux emplois ? Cela explique vos horaire différent des nôtres. En tout cas je vous trouve courageuse de faire cela."

Il se disait qu'elle devait avoir besoin d'argent pour faire cela, c'était sûrement épuisant à la longue, alors il n'avait put que l'encourager par un compliment en cet instant.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 22:35:02 »
Si karl avait attrapé le vice de fumer en arrivant dans ce monde, il serait surement en train de consommer plusieurs cigarettes d'affilé. Mais pour lui, l'air frais et le calme restait bien plus agréable que tout ça.
Les yeux fermés, il entendit la porte à côté de lui s'ouvrir, le faisait regarder pour voir qui avait choisi de prendre sa pause au même moment que lui. Et ce fut une agréable surprise pour lui que ce soit la jeune femme aux prunelles écarlates qui avait décidé de prendre l'air. D'habitude, c'était souvent un autre serveur qui venait prendre sa pause en même temps que lui, mais ce dernier n'avait pas l'air de venir cette fois et ça, il en était content. Il était une vrai pipelettes, même si, dans une moindres mesure, cela ne le dérangeait pas forcément, c'était plutôt les sujets qu'il partageait avec lui qui l'ennuyait au plus haut point. Pari, jeux d'argent en tout genre, plan pour gagner de l'argent facile, en général, c'était le seul sujet que le serveur avait à la bouche mais que Karl se fichait éperdument. Par politesse, Karl ne disait jamais rien, le laissant déblatérer ses idées et pensées, mais il avait vraiment envie de lui dire qu'il perdait son temps.

Mais là n'était pas le sujet, car ce soir, ce n'était pas lui qui le rejoignait durant cette pause. Karl Hocha donc la tête en regardant la jeune femme, puis prit la parole dans la nuit fraiche d'été

" Eh bien, je vois que l'on se suis aujourd'hui."
Dit-il d'abord en plaisantant. L'éclairage presque inexistant de l'endroit couvrait à peine son visage, le rendant plus dur, plus grave,lui qui s'était éloigné de l'entrée pour ne pas se prendre la porte en cas de sortie, tandis que, la jeune femme se trouvant juste devant la porte, elle brillait comme neige au soleil, ce qui était assez amusant et jolie comme contraste.

"Je sens que la dernière vague de la soirée va être assez rude ce soir."

Il faisait bon, très bon et pas une goutte de pluie ne risquait de tomber, alors, en plein milieu de semaine, les gens sortaient forcément pour se décontracter comme il le pouvait.
" Comment ça se passe pour vous ? "
Dit-il en la regardant, se demandant réellement cela. Il était barman, il ne bougeait pas de derrière son comptoir à part pour descendre à la cave s'il manquait des consommable ou autre, alors le quotidien des serveurs et serveuse, il ne le connaissait que de visuel. D'ailleurs, il se fit la réflexion sous cette question, une réflexion qui lui fit ce poser une question

" Excusez-moi si cela est indiscret, mais cela fait combien de temps que vous êtes serveuse ? "

Il était arrivé dans ce bar bien avant elle et se souvenait de quand elle avait commencé à travailler ici, mais de ce qu'il avait put en voir et comprendre, elle avait déjà de l'expérience là-dedans. Bien-sur, il s’excusait par avance, car il était possible que cela ne le regarde pas du tout ou qu’elle ne veuille pas en parler.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Papotage entre collègue. [ Pv Rubis ]
« le: mardi 25 juin 2024, 21:10:17 »
Sa réponse fut ce qu'il attendait, lui disant d'une certaine façon qu'elle acceptait son aide. Un sourire au coin des lèvres alors qu'ils était entré dans les couloirs de service du bar, il ajouta en marchant

" Il y en a en stock oui, je vous rappelle que j'étais là pour le dernier inventaire du bar."

Dit-il en la fixant du regard, affichant un visage qui disait clairement " Aucune excuse pour ne pas demander d'aide désormais.", puis, il se rendit compte qu'il n'avait pas remis sa prothèse correctement, regardant le fond du couloir en venant donc faire " craquer " ses doigts pour les mettre au repos. C'est à cet instant qu'ils se séparèrent, venant donc a passer la porte qui séparait l’arrière du bâtiment a la partie tout publique.

Karl réajusta un instant le col de sa chemise, se recoiffa rapidement, puis, pris place derrière le bar.

Ses prédictions furent juste, la soirée venant à peine de débuter, il pouvait déjà voir une bonne foule prendre place et se mettre à commander. Hommes et femmes de tout age, demande en tout genre, allant de la simple bière au cocktail sans alcool, passant par des choses abracadabrantesque. La musique battait son plein et ça c'était à ses yeux ou plutôt à ses oreilles le plus désagréable.

Voila plus d'une décennie qu'il était sur terre et, il ne s'était toujours pas habitué à ce monde si amplis de bruit ou tout émet des sons constamment, alors entendre de la musique si fort, comme si une bande de troubadour vous jouez juste à coté de l'oreille, cela le faisait vraiment travailler sur sa patience. Heureusement, de temps à autre, la musique se faisait moins rythmé ou plus douce en tout cas, le laissant respirer tandis que verre et boisson fusait sur son comptoir et que les serveurs et serveuses s’affairait à tourner dans l’établissement pour servir la clientele.

Coups de chiffon, verre, shaker et bouteille, tout volait et se mélangeait sur le parement du comptoir. Malgré son infirmité, Karl arrivait à manier le Shaker, il avait ses méthode, il avait eut pas mal d'années pour apprendre à jouer de sa prothèse et puis, il avait aussi trouvé une méthode pour shaker avec seulement sa main valide, ce qui jouait parfois sur le fait que les gens lui trouvait un flegme assez fort ou au contraire, trouvait qu’il faisait un peu trop le m’a tu vue. Les heures passaient et le rythme commençait à se calmer doucement, alors il jeta un œil sur sa montre, venant voir qu'il était bientôt l'heure de la deuxième vague, il nettoyait d'un dernier coups de chiffon en prévenant sa collègue de bar qu'il prenait sa pause.

Partant de nouveau en arrière boutique, il passait la porte de service pour se retrouver dans la ruelle sombre et calme. La nuit était bien ancré, on y voyait presque rien, les lieux seulement éclairé par une lumière de sécurité et les néons défaillant de l'établissement d'à coté. Karl soupira un instant d'aise, appréciant récupérer un moment de silence, un accalmie entre les bruits incessant, fermant un cours instant les yeux en regardant en l'air.

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