Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Klaus

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: lundi 25 janvier 2021, 18:59:10 »
Klaus commençait à beaucoup trop s'impatienter derrière les barreaux, se secouant de temps à autre, sifflant de sa gueule un son laissant comprendre son agacement, cherchant à faire partir la tension qui l'occupait, tant qu'il ne la voyait pas ou qu'il ne savait pas son état.

Mais alors qu'il allait perdre patience, il vit l'un des gardes ouvrir la porte, entrant dans la pièce où se trouvait la petite prêtresse, ce qui ne lui plut pas du tout, fermant son poing avant de frapper violemment la cage, un bruit sourd et résonnant dans la pièce, le barreau gardant désormais une forme qui ne lui était pas désigné, une nouvelle odeur de griller l'accompagnant, incarnant sa frustration qui s'évaporait.

Heureusement pour lui, quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit de nouveau, laissant apparaître le garde, suivit d'Alecto, tracté par celui-ci. Son regard et sa carrure se relevèrent en la voyant, la regardant attentivement pour savoir, pour voir, si elle allait bien, gardant aussi un œil sur celui qui la tenait, prêt à retenir son odeur au moindre mauvais geste sur elle. Il fut surpris lorsqu'il ouvrit sa cellule, se demandant ce qu'il allait faire, ses poings toujours serré et prêt, mais, à la place de venir le chercher, il fit entrer la petite prêtresse dans sa cage au lieur de la remettre dans l'autre.

Il Grogna lourdement lorsqu'il le vit la jeter au sol avec dédain, le suivant un instant du regard tandis qu'il retournait dans son coin. Il bombait le torse ce peau fragile, mais qu'il ne s'inquiète pas, si Klaus pouvait lui arracher la tête, il le ferait.

Sa concentration, aussi forte et ampli de colère soit -elle, fut troublé, interrompu lorsqu'il sentit quelque chose s'agripper à son large cou. Il tourna la tête pour pouvoir voir ce qui pendait à sa gorge et put remarquer la petite prêtresse, qui, en l'écoutant, comprit qu'elle le remercier. Pourquoi le remerciait-elle ? Il tourna la tête pour pouvoir voir ce qui pendait à sa gorge et put remarquer la petite prêtresse, qui, en l'écoutant, comprit qu'elle le remercier. Ce n'était rien, bien que cela soit dur de se contenir face à des peaux fragiles beaucoup trop confiant en eux.

Il trouvait cela agréable, cette sensation, cette étreinte qu'il ressentait de sa part et, comme pour communiquer la même chose, il vint refermer ses bras autour d'elle, ou plutôt seulement ses mains, bien suffisantes pour la couvrir, puis, la pressa contre lui, faisant tout de même attention de ne pas l'étouffer à trop la presser contre son torse.

La chaleur que dégageait cette petite personne était vraiment agréable pour Klaus et, il ne dit rien pendant quelques secondes, claquant légèrement de la mâchoire à un moment avant de la relâcher. Ce n'était pas un geste habituel du tout pour son peuple, car, ce qui s'en rapprochait le plus, était soit lorsqu'il luttait pour s’entraîner ou lorsqu'il se battait pour la saison des crues ou encore lorsqu'il s'accouplait,  les deux dernières choses ne lui étant jamais arrivé. Il finit ensuite par dire dans un mélange de Kroxigor et de langue commune approximative.

" To va  Iko Ank ? "


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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 24 janvier 2021, 16:46:29 »
La petite prêtresse s'était relevé elle aussi et Klaus n'aimait pas vraiment que la cracheuse de magie s'approche de sa cage, que lui voulait elle ? Un grondement se faisait entendre dans toute la salle, lourd, bruyant, grave et vibrant, donnant presque l'impression qu'il sortait par le moindre pore de la peau du Saurien, tant celui-ci vibrait de désaccord à la présence de la cheffe des gardes.

Si elle faisait quoi que ce soit à Alecto, il se jurait à lui même, ainsi que sa place au royaume de la Déesse mére, qu'il offrirait une mort indigne d'un guerriere à cette personne.

Son regard ne la lâchait pas d'une seconde, mais entendant la petite prêtresse, il se souvenait tres bien que s'il faisait quoi que ce soit, il la mettait en danger et donc, il restait simplement là, fixant son adversaire, prêt à défoncer les barreaux de sa cage à tout prix si elle osait lui faire du mal.

Mais bien vite, elles disparurent par la même porte par laquelle elle était venue la chercher, laissant un grand silence peser sur les geôles, seulement brisé par le son intermittent de la respiration du colosse d'écaille. Son regard ne quitta pas une seconde la porte qui le séparait d'Alecto, se concentrant, essayant d'écouter, sans vraiment de succès, mais restant aux aguets d'un crie, d'un hurlement ou autre de sa part. Ses poings étaient fermement verrouillé, faisant ressorti la musculature de ses bras sous la pression qu'il exerçait dessus.

Les minutes passaient, mais pour lui, elles étaient plus longues que des heures. Que lui faisait-elle ? Lui faisait-elle du mal ? Devait-il tenter d'agir, devait-il tenter de foncer la récupérer ? Et si ce n'était pas le cas, il la mettrait sûrement en danger. Il ne savait pas ce qui se trouvait derrière cette porte de bois et d'acier, peut être plusieurs personnes, plusieurs garde, voir même plusieurs cracheurs de magie. Mais de plus, il n'etait meme pas sur de pouvoirs passer par cette toute petite entrée par laquelle elles étaient passé.

Klaus vint ouvrir, puis refermé avec une vitesse demuseré ses mâchoires, créant un claquement violent sous son agacement et son attente. Mais il devait prendre son mal en patience, il n'avait pas le choix, en tout cas pour elle.


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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 23 janvier 2021, 18:48:26 »
Klaus regardait patiemment la petite prêtresse, il savait que ce n'était pas évident pour elle et autant pour lui de se comprendre l'un l'autre. Mais l'expression faciale et les mots qui suivirent dans sa langue lui permirent de savoir qu'elle avait comprit.

Il hocha la tête rapidement plusieurs fois avant de faire une légère révérence, comme pour lui dire, " il n'y a pas de quoi."

C'était ce pourquoi il était né après tout, un guerrier, un protecteur. Procréé, élevé et béni, il était fier d'être ce qu'il est, fier d'appartenir à sa tribu, tribu qui commençait à grandement lui manquer, jetant un regard pas la lucarne de la cellule qui laissait apparaître un mince éclairage, se demandant si, eux aussi avez fini comme lui, si eux aussi se battait contre un monde qui les méprisait.

Il n'avait pas envie de haïr les peaux fragiles, ni même les cracheurs de magie des peau fragile, mais toutes leurs actions allaient à son encore, que ce soit le marchandage de vie quelqu elle soit, le fait de se placer plus important que les autres, et le manque de respect de toute vie, même la leur, cela allait totalement à l'encontre des précepte que l'ont lui avait appris depuis qu'il était sorti de la grotte des naissances. Il se demandait même s'ils n'avaient pas été banni par la déesse mère ou s'ils l'avaient oublié pour se comporter de la sorte.

Pendant qu'il était dans son intense réflexion, il entendit la petite prêtresse lui parler, attirant son regard quand elle dit de nouveau le mot sorcière. Grognant au son de ce mot en la regardant, il se demanda de quoi parlait-elle. Dans sa phrase, il entendait souvent ce qui ressemble à un nom de petit peuple, Thi ana Gi an.

Il se demanda si c'était quelqu'un de dangereux et, étant donné qu'elle disait toujours le mot maîtresse et sorcière avec, cela ne l'intéressait pas de la connaître et devrait même s'en méfier.

Il hocha donc de nouveau de la tête en hochant sa tête, lui signifiant qu'il avait bien compris qu'il allait devoir se méfier d'elle quand il la verrait. Mais après cela, un bruit de porte grinçante se fit de nouveau entendre, faisant tourner la tête du Saurien reniflant en même temps. Il reconnaissait cette odeur et se releva, de nouveau le regard embrasser par la colère et prêt à se battre. Là se tenait de nouveau la cracheuse de magie qui les avait emmené dans cette endroit lugubre, venu chercher la petite prêtresse.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: mercredi 20 janvier 2021, 22:47:07 »
Klaus l'entendait lui parlait, mais, même avec toute la concentration possible pour lui, il n'arrivait pas à la comprendre. Cette première phrase, qu'elle lui dit, n'avait aucun mot qu'il avait pu assimiler ou en tout cas ayant eut assez de répétition et d'importance pour y poser un mot de sa propre langue.

Puis, apparemment, les émotions de la petite prêtresse changèrent du tout au tout sous le regard inquisiteur du Saurien, avant de la voir faire un geste, indiquant sa bouche, puis la sienne. Il se mit à pencher la tête de coter, essayant de comprendre son geste. Voulait-elle lui donner à manger ? Est ce que le petit peuple faisait comme les oiseaux pour se nourrir entre eux ? Est ce qu'elle voulait qu'il la nourrisse ?

Si c'était cela, il aurait du mal à le faire, que ce soit à cause des barreaux brûlant les séparant, ou le fait qu'il n'avait vraiment pas grand chose dans son estomac, mais surtout que cela ne se faisait pas chez les Kroxigor, bien qu'il pourrait bien se forcer pour l'aider.

Mais il se dit que ce ne devait pas être ça, car il savait qu'elle avait appris à dire manger dans sa langue et elle ne l'avait pas prononcé. Mais tel une plante en plein dessert, la petite prêtresse changea encore très rapidement ses émotions, lui paraissant triste, ce qui le fit pencher sa tête de l'autre coté, se demandant ce qui n'allait pas. Elle avait l'air un peu renfermée sur elle même, comme si elle se sentait mal ou si elle avait peur.

Klaus se dit qu'il valait mieux faire quelque chose pour qu'elle se sente mieux et, se redressa un peu, toujours assis avant de dire.

" Ik ....."

Il ne trouva pas le mot et frappa de nouveau sur son torse, mais plus doucement, puis vint croiser les bras, comme pour se protéger, avant de les ouvrir à nouveau en finissant par pointer sur l'index sur elle.

" A Lek to."

Il espérait qu'elle comprenne son message, pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas à avoir peur, qu'il était là pour la protéger des dangers. Son regard se mit ensuite à inspecter les lieux, regardant les barreaux, les murs, le plafond et le sol, ainsi que les gardes les surveillant, cherchant une faille dans tout cela.

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Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: mercredi 20 janvier 2021, 20:04:36 »
La petite prêtresse dit à nouveau son nom de petit peuple, puis, il put la voir faire une gestuelle qui lui était familière lorsque l'on se présenter à une Shaman ou à une prêtresse et, sans perdre de temps, fit de même qu'elle, lui offrant une révérence qui fit jouer la lumière du feu sur l'obscurité du temple lorsque sa carrure passa au-dessus de celui-ci.

A nouveau droit, assis dans une position proche de ce qu'i se faisait au pays du soleil levant, il l'écoutait avec attention, essayant de voir s'il pouvait comprendre quelque chose d'elle, de ses mots ou de ses gestes.

Il avait donc vu juste, elle était bien une prêtresse et Klaus claque très légèrement de la mâchoire de satisfaction en sachant cela et surtout qu'elle est comprise ce mot. Mais après cela, elle nia l'être, ce qui le laissa un peu perplexe, l'écoutant avant de se mettre à réfléchir à ses mots, se souvenant avoir déjà entendu certain. Le mot " pas ", ça, il commençait à le connaître et, réfléchissant, il comprit qu'elle était bel et bien une prêtresse, mais qu'elle ne priait pas la Déesse mère.

Cela faisait à nouveau une interrogation pour le Saurien qui penchait la tête sur son coté gauche en la regardant, se demandant bien qui elle priait. Mais elle n'avait pas l'air de le lui dire, à la place, la voyant lever ses bras en l'air pour montrer le bâtiment et put deviner qu'elle parlait de l'endroit, prononçant de nouveau mots, inédit à ses oreilles. Elle répétait plusieurs fois le même mot et, se demanda si c'était le nom de l'endroit, son regard se mettant à nouveau à observer la pièce pour mieux la regarder, mieux la comprendre et mieux comprendre où il se trouvait.

Là, il vit de son geste, une statue qui trônait sur un autel, un peau fragile, armé. Etait-ce la divinité qui tenait les lieux ? Était-il dans son monde ?

Si c'était le cas, il se demandait pourquoi il s'était retrouvé dans son monde, il se demandait ce qu'il lui voulait, il se demandait aussi si c'était un dieu bienfaiteur ou non et s'il était proche d'Ankhti. Il était peut-être arrivé ici pour subir une épreuve de sa part et, en y pensant, trouva le fait qu'il soit une divinité guerrière, assez proche de ce qu'il éprouvait ici.

Il comprit qu'il devait subir un épreuve d'endurance, de par ces lieux si froid et, la prêtresse devait etre la gardienne des lieux ou alors celle qui verrais la reussite ou non de Klaus dans ce défi.

Mais cette pensée fut corrigée lorsqu'il la vit légèrement paniquer en enchaînant ses mots et en lui faisant comprendre qu'elle n'était pas une prêtresse de ce dieu.

" E no tis."

Dit-il calmement en disant ce nom. Il réfléchissait à sa signification et, se demanda qu'elle déesse ou Dieu était cet Enothis. Peut etre un dieu ou une déesse du feu qui sait. En tout cas, il se dit qu'elle devait etre destiné depuis toujours à etre sa pretresse si sa tribu lui avait donner le meme nom que sa divinité

" Tem .....tem .....temf ... temfle ."

La mâchoire de Klaus s'était déplacé de haute en bas, de gauche à droite aussi lorsqu'il essaya de prononcer le mot temple, mais sans grand succès, le manque de lèvre pour former certaines lettres ne l'aidant toujours pas.

Mais alors qu'il souhaitait poser de nouvelle question, il pouvait voir cette petite prêtresse attraper une planche calcinée qui attira toute l'attention du Kroxigor, la regardant sans la quitter du regard un seul instant. Il put la voir se mettre à dessiner sur le sol, s'aidant de ce bout de bois qui avait commencé à être dévoré par les flammes, marquant le sol d'un trait noir, seulement visible grâce à la lumière du feu.

Il la vit commencer à représenter ce qui lui rappeler une hutte de petite personne, puis à dessiner des contour tout autour de celle-ci, des contour étrange, mais qui lui faisait penser à une île. Se trouvait-il sur une île ? C'était une nouvelle question qui s'ajouter à toute celle qu'il avait. Il pouvait aussi la voir écrire des choses, mais il ne comprenait pas du tout ce que cela voulait dire.

Tout ce dessin se fini par un cercle entourant tout le reste, ainsi qu'un nouveau mot indéchiffrable pour lui. Il tenta bien de comprendre tout cela pendant quelques dizaines de secondes, restant dans un silence religieux, les yeux passant d'un mot à l'autre, mais n'y comprit pas grand chose.

Son regard cesse de se tourner vers ce dessin et, passa de nouveau sur la prêtresse d'Enothis, puis, de nouveau le dessin. Il pointa ensuite son index sur l'un des mots, celui qui était le plus proche de la petite hutte dessiné et tenta sa chance. D'abord tapotant cette maison, puis le mot se trouvant en dessous, il pointa ensuite l'endroit où il se trouvait, puis, d'une voix interrogative, dit

" Temfle ?"

Mais il avait bien d'autres questions en tête, qui tournait et tournait depuis qu'il était arrivé ici. Il se tourna un peu, manquant sous son mouvement, de faire passer sa gigantesque queue sur le feu et de l'étaler, voir de l'éteindre dans la foulée, puis, se penchant en direction de l'entrée du temple, prit la chose blanche et froide qui couverait le sol derrière. Il se tourna de nouveau vers Enothis et, presenta sa main, remplis de cette chose froide, blanche et craquelant qui se trouvait dans sa paume, la regardant en pointant du doigt cela avec son autre main.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: lundi 18 janvier 2021, 23:53:51 »
Il grogna lourdement après le garde qui avait oser les déranger, respirant son odeur pour pouvoir se souvenir de lui plus tard. Mais son attention revenait à la petite prêtresse avant tout, voulant savoir comment elle allait lui aussi.

Il avait tenté d'utiliser des mots qu'elle avait prononcé juste avant, pensant qu'ils étaient la bonne question dans sa langue pour savoir son état et, au vu de la réaction explosive que la petite prêtresse eut, il comprit qu'il avait sûrement vu juste et, sans avoir la réponse, comprit aussi qu'elle avait assez d'énergie pour aller bien.

Sous cette vue, Il claqua de la mâchoire de satisfaction, content de la savoir saine et sauve, le restant étant, à ses yeux, peu important pour le moment. Mais elle prononça d'autre mots, qu'il chercha à assimiler, penchant la tête sur le côté. Puis il la vit se mettre à faire le même geste que lui pour lui faire comprendre qu'il allait bien, l'entendant frapper sur son torse elle aussi.

Il ne put s'empêcher de rire avec elle, mais, dut se forcer de rire à leur façon pour qu'elle puisse l'entendre, laissant un son toujours aussi grave sortir de sa gueule. Puis, il agita la tête de gauche à droite avant de dire.

" Hesh ." *

Puis, il prit une grande inspiration tres lente, comme pour le montrer à Alecto avant de frapper à nouveau sur son torse, faisant de nouveau résonner les geôle d'un tambour de guerre avant de relâcher.

" ....H ... HHHH ... HHHien."

Klaus tenta de prononcer l'un de ses mots, mais jouant autant qu'il le pouvait avec sa mâchoire, certaines lettres n'arrivait pas à sortir à se former comme il le souhaitait. C'est à ce moment-là qu'il reçut un bout de pain sur l'épaule en entendant des rires venir des gardes.

" Bah alors, la bête cherche à parler comme un humain hein ? Mais est ce que t'en à assez la dedans pour ça ? Sac à main sur patte."

Bien que ne comprenant pas un traître mot, l'attitude des gardes et le ton de leur voix suffisait pour le laisser comprendre qu'il se moquait de lui. Grognant en les regardant, voyant qu'ils avaient pris de l'assurance maintenant qu'il ne pouvait les atteindre, il se releva, s'approchant de la porte avant de mettre un coup d'épaules dans les barreaux. Toute la porte, les attaches, et même la pierre vibrèrent sous son coup d'énervement, imposant un silence dans les geôles, une odeur de chair brûlé se fit sentir, mais, Klaus ne montrait aucune réaction, seulement un regard de haine fixé droit sur eux. Par ce geste, il leur faisait comprendre que, cage ou pas, magie ou pas, blessure, brûlure ou pas, s'il voulait sortir, il le ferait et ferait tout pour ça, mais que ce n'était pas eux qui l'en empecherait. Ne les quittant pas du regard, il marcha de côté pour rejoindre à nouveau le coin ou se trouvait Alecto, puis s'assied à nouveau, sa tête se tournant pour la regarder, et, la colère que l'on pouvait lire dans ses yeux, s'estompait petit à petit en la regardant, comme s'apaisant en sa présence.

* " Non."

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: lundi 18 janvier 2021, 21:51:26 »
De ce qu'il entendait, les gardes n'étaient pas beaucoup pour l'instant, mais comme toute mauvaise chose, il savait qu'ils seraient bientôt plus nombreux. Et le son de la corne qu'ils utilisèrent lui confirma bien cela, ne s'arrêtant pas de courir, prenant soin de bien tenir la petite personne aux oreilles pointues qu'il tenait sur l'épaule.

Dans le pire des cas, si cela devenait trop mouvementé pour elle, son dos, recouvert d’écaille bien plus épaisse que le reste du corps, en possédait même certaine formant comme des pics, pouvant facilement servir pour se maintenant à lui.

Le bruit du tintement de métal que produisait les gardes étaient assez facile à entendre, quelque soit la direction et Klaus avait bien appris à les reconnaître de tous les bruits que le petit peuple pouvaient faire. Il tournait dans certaines ruelles, faisait demi-tour à certains moments, faisait exprès de détruire certaines étale sur son passage pour brouiller les pistes.

Mais il n'avait pas l'air de lâcher l'affaire, continuant à en entendre non loin de lui. Il lui fallait continuer, il lui fallait trouver un endroit ou se cacher, que ce soit lui ou elle, et il savait le petit peuple endurant. Malheureusement, lui l'était en temps normal, mais la vie parmi eux était un défi pour lui, leu nourriture étant rarement assez conséquente pour lui surtout derrière leur cage en fer et la fatigue commençait à le gagner. Mais c'est alors qu'il fut surpris d'une sensation étrange, une sensation de force toute-puissante, d'un souffle puissance et cela devenait plus facile pour lui de courir, de se mouvoir et de respirer. Que ce passait-il ? Sobek ou Ankhti l'avaient-ils béni ? Approuvaient-ils sa fuite ou protégeaient-ils la petite personne qu'il portait ?

Il n'en savait rien, mais il était maintenant bien plus frais, reprenant une course effreiner, le corps dans une position plus fuselé et plus près du sol pour jouer de son poids et de son centre de graviter, ainsi que pour etre moins freiné par l'air.

C'est alors qu'il sentit une odeur qu'il avait déja rencontré, une odeur de monture, de plusieurs montures, tres forte. Une hutte à monture ! Il trouva l'idée de s'y cacher des plus pratique, car pour lui, il y aurait plus de place que dans une hutte de pierre de petite personne et il serait aussi un peu plus au chaud.

Il s'arrêta donc rapidement la où l'odeur le conduisit, prenant un tonneau qui trainait dans le coin de sa main libre, puis le jeta de toutes ces forces au loin dans une ruelle, produisant un grand son de bois explosant, cherchant de nouveau à brouiller les pistes.

Il s'introduit ensuite sans perdre de temps dans l'écurie, entendre dans une drole de piece rempli de paille, puis s'y accroupit le plus bas possible pour se dissimuler, gardant un regard attentif dehors. Mais il se souvint qu'il n'était pas seul et, dans un geste lent et délicat, vint posé sa main libre sur la petite personne sur son épaule, s'aidant de ses deux mains pour la reposer au sol avant de regarder de nouveau vers l'extérieur. Cette course-poursuite l'avait grandement amusé, son cœur battant à toute allure et, il se sentait même tres étrange, il se sentait très excité par cette situation, mais n'y réfléchissait pas plus que ça, préférant savourer le moment et faire attention au garde.


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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 17 janvier 2021, 19:10:02 »
Se retenir de réduit en charpie cette bande de petit peuple pathétique et sans honneur était un grand défi pour lui, le moindre son sortant de la bouche perfide de son adversaire, même incompris, lui donnait envie de la faire disparaître avec ses gardes.

Mais il y avait plus important que cela en jeu, la vie de la petite prêtresse, alors, quand il la vit passer près de lui, même à l'apogée de sa colère, il la regarda de haut en bas pour savoir si elle n'était pas bléssé, mais n'eut pas beaucoup de temps pour cela. Il comprit assez facilement, sans avoir à sentir leur cure-dent et autre venant chatouiller son dos, qu'il devait les suivre, un roulement lourd et bruyant, et des sifflements se faisant entendre tout le long de leur trajet.

Cela devait être une épreuve donnée par le grand Sobek, savoir frapper au bon moment, avec le risque de perdre une prêtresse s'il ne le faisait pas. Il se retrouva à apposer par la suite dans un grand bâtiment de pierres épaisse, la température descendant à l'intérieur et les lieux le forçant à se baisser et à se courber, se retrouvant ensuite de nouveau dans une cage.

La cracheuse de magie traîtresse de son peuple revenait le voir, tentant de l'impressionner, de montrer qui était le dominant dans la pièce, mais pour Klaus, se ne serait jamais elle et surtout pas dans l'état où elle était. Malgré la chaleur dégagée par sa magie sur les barreaux de sa cellule, il sentait le sang qui coulait, et surtout son état réel.

Le saurien la fixait du regard, ne bougeant pas d'un pouce, la colère toujours entièrement présente en lui, puis laissant un rire en infrason sortir de lui avant de se forcer à rire comme le petit peuple pour se moquer d'elle, un rire très rauque et très lourd.

Puis il l'entendit parler à la petite prêtresse, se demandant ce qu'elle lui voulait encore. Mais, quelques secondes après, il put la voir repartir, les laissant maintenant presque seul, quelques gardes restant là au cas où. Il entendit ensuite Alecto prononcer son nom et la regarda immédiatement, son regard s'adoucissant petit à petit, venant s'asseoir sur ses genoux près de la grille qui les séparait.

Le sang avait quelque peu coagulé sur le bord de sa gueule, et des marques noir se trouvait sur le bord de sa gueule, mais Klaus n'en avait rien a faire, la douleur était gérable pour lui. Il regarda de bas en haut la petite prêtresse, puis se mit à la sentir, cherchant à savoir si tout allait bien pour elle. Toujours beaucoup de peur, mais, pour le reste, elle avait l'air bien, ce qui le soulagea un peu.

Il avait cru comprendre qu'elle lui demandait s'il allait bien, et s'il ne se trompait pas, il voulait lui répondre, cela pourrait peut être faire en sorte que ses larmes arrêtent de couler.

" Ik .... ik ...."

Il ne trouvait pas le mot pour dire bien et soupira un instant avant de pointer son doigt sur son torse un de ses index, puis, vint frapper de ses deux poings ses pectoraux, laissant un son de tambour énorme résonner dans les geoles, souhaitant lui faire comprendre dans ce geste qu'il était en forme. Mais il voulait savoir lui aussi comment elle allait et, réfléchit un instant à comment cela se disait chez eux.

" Alecto ... est ce que ... ça va ? "

Il n'était pas du tout sure de ses mots et cela s'entendait bien.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 17 janvier 2021, 13:11:02 »
Klaus avait senti le métal craquer sous sa machoire, s'applatissant dans sa gueule continuant d'appuyer pour entendre le son des os qui craque, mais dut relacher sa prise lorsqu'elle vint lui bruler la gueule, reculant de quelque pas en ouvrant et refermant la bouche avant de la braquer à nouveau du regard. Il était en bien meilleure capacité qu'elle et pouvait aisément l'achever ne serait-ce qu'en lui marchant dessus.

Un peu de sang coulait de la gueule du Saurien sous sa blessure brûlante, mais il s'en fichait, cela faisait parti du combat, cela faisait parti de la guerre, cela faisait parti de la vie.

Mais alors qu'il souhaitait en finir avec elle, se voyant déjà lui arracher la tête pour un futur collier relatant ses emplois d'avoir vaincu une guerrière cracheuse de magie à son peuple, il l'entendit prononcer un mot qu'il comprenait, le mot ami. De quoi parlait-elle se demanda t-il une fraction de seconde avant de pencher sa tête sur le côté, regardant directement si Alecto allait bien. Et malheureusement, ce qui devait arriver arriva, la voyant tenue par des gardes, une arme sous la gorge.

Les poings du Saurien étaient puissamment refermés faisant se contracter tout les muscles de ses bras, la colère à son paroxysme s'échappant de lui sous chaque respiration lourde et profonde, d'une part à cause de la petite prêtresse qui l'avait suivi et de l'autre du comportement sans honneur du petit peuple. Plus il les côtoyait, plus il avait envie de partir de là, il étaient mauvais, sans honneur, faible et sentaient mauvais.

Son regard de nouveau posé sur son adversaire, il laissait un bruit rauque se faire entendre de tout son corps, traduisant sa hargne et sa haine d'elle. S'il le pouvait, il lui arracherait les bras d'un coup sec avant de violemment refermer ses mains sur son buste pour la broyer. Mais malheureusement, elle avait son point faible entre les mains des gardes. Il devait protéger la petite prêtresse, même si cela devait lui coûter sa vie, et même pire, si cela devait lui coûter sa liberté.

" Yakjatoli tol. Ik grak To, ko Sobek, Ko Ankhti, Ko Alecto, Ik grak to." *

dit-il avec haine, son regard flambant de colère, avant de, non sans difficulté, mais pour sauver la petite prêtresse, poser un genoux à terre défiant toujours du regarde cette petite cracheuse de magie pathétique.

* " Peuple de traitre. Je te tuerais, pour Sobek, pour Ankhti, pour Alecto, je te tuerais."

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Prélude / Re : Angélique Allister
« le: dimanche 17 janvier 2021, 12:20:04 »
Bienvenue à toi petite personne autant sur ce forum que dans le monde du rp forum en général.

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Prélude / Re : La belle plante vous salue.
« le: samedi 16 janvier 2021, 22:22:38 »
Bienvenue à toi plante qui parle.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 16 janvier 2021, 18:10:50 »
Klaus avait réussit son coup, la cracheuse de magie et sa monture succombant à sa tactique, il tenta alors de continuer à fuir, profitant qu'elle ne puisse plus bouger.

Mais bien mal lui prit de la croire sans moyen de le gêner, lorsqu'il vu une gerbe de feu jaillir vers lui tandis qu'il tentait de partir, le faisant reculer en frottant le bout de sa gueule à cause de la chaleur violente que cela avait fait. Le saurien put voir que les peaux fragiles en avait profité pour l'entourer de chaque côté de la ruelle.

La tete et le corps de Klaus se baissa, se gonflant de sa musculature, se préparant au combat maintenant inévitable tandis que son regard s’enflammait autant que celui de son ennemie le plus dangereux du lot.

Lorsque elle commença à faire apparaître des flammes dans ses mains, il recula d'un pas, mais, entendant les cliquètements de métal derrière lui, s’arrêta. Elle se mit à enflammer les planches qui lui avait servit de projectile, qui, maintenant se trouvait au sol, illuminant et faisant luir leurs armures dans cette ruelle étroite. Son regard était braqué dans le sien, tous les deux se jaugeait, se jugeait et tout ce que Klaus y voyait était une personne dangereuse et qu'il ne voyait qu'une seule solution, la tuer.

Mais dans toute cette tension, cette violence, Klaus entendit un crie, une voix connue, une voix qui n'aurait pas du être là. Relevant la tête en l'air pour avoir un angle de vue derrière lui, il pouvait voir, une cinquante de pas derrière les miliciens qui le tenaient de reculer, la petite prêtresse. Baissant la tête pour la garder en direction de sa cible, il n'était pas heureux de la voir, ou plutôt il était énervé de la voir ici. Il ne les avait pas éloigné pour qu'elle se jette dans leur piège et malheureusement, il ne pouvait se retourner dans cette ruelle pour foncer, défoncer les gardes qui le séparait d'elle pour la protéger. Il n'avait qu'un choix et n'y réfléchit pas une seconde de trop.

Ses mains se jeterent sur les planches enflammé qui se trouvait au sol, se disant que, quitte à se bruler, ce serait en se liberant d'eux, puis, d'un geste vif, poussa l'une d'elle en arriere, et l'autre en avant projetant des gerbe de feu et de bois incandéscant sur les gardes et leur cheffe. Sans attendre qu'ils les atteignent, il se jeta ensuite tout droit sur elle, ne réfléchissant pas à la douleur ou au blessure et aux coups qu'il allait recevoir, relevant la tête bien haute en l'air pour l'ouvrir en la protégeant avant de venir pour chercher à attraper la cracheuse de magie avec et la broyer sous la violence de ses mâchoires qui se refermerait sur elle. Elle était leur chef et si elle mourrait, il y avait des chances qu'ils se mettent à fuir et lui permettre de faire de même.

S'il ne pouvait survivre à cela, au moins, il aurait protéger la petite prêtresse jusqu'au bout et au moins, il se serait battu avec honneur, rendant sûrement le grand Sobek fier de lui.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: vendredi 15 janvier 2021, 22:50:24 »
Cet endroit restait et restera toujours pareil pour lui, un dédale, une épreuve. Tous les endroits, toutes les ruelles se ressemblaient pour lui, petite, grande, large, étroite, cela revenait au même, il avait du mal à s'y repérer, se fiant seulement à son odorat et son ouïe pour éviter les peaux fragiles.

Malheureusement, il fut trahi par lui même, ou peut être guidé par son destin, car il se mit à passer dans des ruelles de plus en plus ridicule, frôlant les murs, détruisant des étales et renversant des auvent sur son passage rapide, mais puissant.

Il les entendaient, ils se rapprochaient, gagnaient du terrain sur lui. Ils avaient l'avantage ici, il ne pouvait se mouvoir complètement ou correctement pour se défendre contrairement à leur petite taille qui les aidait ici.

Mais là, une nouvelle personne apparu devant le regard de Klaus. Une petite personne, sur le dos d'un animal. Elle était toute habillée de métal, et son odeur fit grogner le saurien. Il l'avait senti, la magie qui émanait d'elle bien avant qu'elle ne fasse crépiter ses mains de ses pouvoirs. Il ne pouvait pas reculer, il ne pouvait pas s'arrêter et il ferait tout pour qu'elle n'y arrive pas.

Regardant sur ses côtés, il put voir des planches qui couvrait des encadrements de pierre puis fixa sa cible, là, il vint frapper de toutes ses forces ces planches, laissant un son de verre se faire entendre au même moment, puis attrapant les grandes planches, leva les bras vers le haut pour se dégager et dans un grand mouvement circulaire, les lança en direction de son adversaire.

Il visait pour blesser, certes, mais aussi pour la distraire, la gêner et lui laisser assez de temps pour la percuter elle et sa monture de toute sa force et sa rage. C'est donc à peine cela lancé dans sa direction qu'il fonça vers elle, gueule fermée et baissé, bras en croix devant lui, prêt à donner une grande impulsion dévastatrice au contact de sa présumer cible, une grande inspiration pour se gonfler de courage et un regard qui en disait long sur sa détermination et sa rage de vaincre.


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Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: jeudi 14 janvier 2021, 22:25:15 »
Klaus observa attentivement la petite personne dans l'obscurité de la nuit et les reflets de la lumière du feux et des bougies, son regard ne la lâchait pas, se demandant ce qu'elle était, où ils se trouvaient et quelle quête allait elle lui donner de la part de la grande Déesse. Retrouver sa tribu ? Reformer la tribu ? Punir ceux qui avaient tué et asservis son peuple ?

Tant de questions, mais pour le moment, aucune réponse et, petit à petit, il commençait à douter de l'endroit où il se trouvait. Il n'avait pas besoin de la sentir pour voir que ses déplacements, son regard et sa respiration transpirait la peur et, une prêtresse d'Ankhti, quel que soit son peuple, saurait reconnaître accepterait n'importe lequel de ses enfants sans en avoir peur si celui-ci à le cœur libre.

Klaus se savait avec le cœur libre, il louait la Déesse mère tous les jours qu'elle lui accordait de vivre, suivait ses préceptes et était toujours à l'écoute des message qu'elle pouvait lui faire parvenir par la nature.

Mais, malgré la peur qu'elle lui affichait, il pouvait voir qu'elle avançait tout de même vers lui. Cela, Klaus le respectait. Il était facile d'avoir peur et de succomber à son appel, mais, avancer malgré tout, cela s'appelait du courage, et il n'y avait pas chose plus respecté par les Kroxigor qu'une personne affrontant ses peurs.

Elle était maintenant là, quelques centimètres séparant seulement la frêle petite prêtresse, ses tissus aussi fin que de la mue de cracheur de venin et Klaus et sa peau écailleuse, luisante, et réfléchissant la faible lumière des lieux.

Il profita de cette proximité pour venir de nouveau la sentir, plus précisément cette fois-ci. Son souffle puissant, inspira un grand coup une première fois, puis souffla lentement, repoussant légèrement la chevelure de la petite personne. La peur, toujours, mais aussi l'encens, le parfum, et d'autres odeurs qui lui était inconnue. Ses odeurs lui rappelait la Shaman du village, la plus sage des personne de toute la tribu, voir de toutes les tribus qu'ils connaissaient. Cela lui apporta une certaine mélancolie, repensant à elle, se demandant si elle allait bien, où elle se trouvait, si elle avait trouvé des frères et sœurs de la tribu.

Mais ses pensées s'arrêtèrent un instant, revenant à ce monde étrange et beaucoup trop froid à son goût en la sentant poser sa main sur son épaule. Elle était petite, douce et très chaude pour lui et il la sentait, tenter doucement de le pousser vers le haut. La regardant droit dans les yeux, il put voir qu'elle tentait de le faire se redresser en la voyant se mouvoir de façon étrange et, optempera sans rechigner, si c'était ce qu'elle voulait.

De cette position, maintenant bien droit, tel un moin boudhiste, cela faisait bien bien ressortir sa carrure et les reliefs de son corps. il se rapprocha par la suite un peu plus du feu à nouveau, ressentant un courant d'air glaciale passant à cette instant, courant d'air qui lui rappelait que sous ses airs de Hutte de Shaman, il se trouvait sur des terres inhospitaliere pour lui.

Après cela, la petite prêtresse vint placer sa main sur son buste, disant ensuite son nom, ainsi que d'autre mot qu'il ne comprenait pas. Cela ne fut pas ce qu'il s'attendait d'entendre, lui qui aurait aimer comprendre et parler la même langue qu'elle. Il répété donc le même geste qu'elle, avant de répondre

" KromKota vo SharLeko."

Puis, il se rappela que le petit peuple ne comprenait jamais son nom, soupirant un peu, puis reprenant le même geste pour lui donner le nom que les peaux fragiles lui avait donné.

" Klaus."

Sa tête se mit ensuite à la balayer un peu, lentement pour qu'elle voit bien son mouvement

" To Eto Ankhti Ank ? Lok eto Ik ? " *

Il associa biensur quelque geste et mouvement pour accompagner sa phrase, pointant de son doigts son interlocutrice lorsqu'il parlait d'elle, puis la piece et la nuit qui se laissait voir par les quelques failles du temple.

* " Tu es pretresse d'Ankhti ? Ou suis-je."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: jeudi 14 janvier 2021, 18:17:58 »
Klaus n'en revenait pas du comportement des deux petites personnes ou surtout, celle dont il n'avait pas confiance. Mais qu'était cette contrée d'incapable, de fou ?

Elles s'étaient énervé contre la petite prêtresse et contre lui et si Alecto n'était pas en bonne entente avec elle, Klaus lui aurait sûrement réglé son compte.

Tout ce que cela amenait à l'esprit du Saurien c'est que ce monde n'était décidément pas fait pour lui, rempli de traître, d'incapable, d'hôte misérable, qui ne sont pas capable de soutenir son invité, de la protéger ou de punir toute atteinte à leur amie. Chez les Kroxigors, c'est un devoir sacré, quitte à donner sa vie pour aider ou protéger ses amis ou sa tribu.

Klaus grognait, dans la rue, les poings fermé, serré, faisant tressaillir les muscles déjà bien visible de ses bras. Quel peuple, mais quel peuple se disait-il, cela ne l'étonnait plus qu'ils soient si nombreux, à ne pas punir les vauriens et ceux qui bafoue et regles impunément, et cela lui donnait aussi la raison de pourquoi ils étaient tous aussi fragile.

Sa queue battait, fouettait l'air derrière lui sous l’énervement, jetant ensuite un coup d’œil et trouva Alecto, un peu plus loin dans une ruelle. Se rapprochant d'elle, il put la voir régurgiter son repas, faisant tressaillir la gueule du Saurien sous cette odeur forte.

Malheureusement se dit-il, la petite prêtresse aussi avait l'air fragile, ce qui ne lui plaisait pas vraiment, mais cette fois, dans le sens où il s’inquiétait pour elle. Elle n'avait pas l'air bien du tout et Il commença donc à s'en rapprocher.

Il se dit qu'il pouvait bien la porter jusqu'à sa hutte, prêt à la soulever, quand, dans une rue adjacente, il entendit le bruit des gardes repasser. Klaus se mit à réfléchir, elle était faible, sans défense réelle et lui beaucoup trop visible dans ce monde de petit, il n'y avait donc qu'un seul moyen pour lui de la protéger des gardes.

Avant de se lancer, il plaça une main sur sa mâchoire supérieure, puis, d'un coup sec, s'arrache une dent, un craquement se faisant entendre à cet instant, quelque peu camoufler par le bruit du métal tintant sur les pavés de la ville. Ensuite, il déposa cela sur le sol, près d'elle. C'était un signe d'amicalité et un présent très apprécié chez les Kroxi et tout peuple qui les côtoyé. Sa pointe et ses angles, aiguisés comme un rasoir, en faisaient une très bonne arme pour se défendre pour les petites personnes, ou faisaient de très beaux bijoux pour montrer son appartenance à un groupe.

Sur ce geste, il se retourna rapidement avant qu'il ne soit trop tard et, jailli dans la ruelle ou se trouvait les gardes. Il n'était pas encore dans la ligne de vue de celle où se trouvait la petite prêtresse et donc elle était pour le moment sauve. La, il avait hésité à foncer dans les portes des faux-amis d'Alecto pour leur rendre la monnaie de leur pièce, mais, préféra prendre le chemin principal fonçant à quatre pattes, poursuivi par la garde qui hurlait et jouait de la cornes pour attirer les autres patrouilles vers eux.

Il s'en fichait, d’être rattrapé, blessé, capturé et enchaîné à nouveau, tant qu'Alecto n'avait rien.

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