Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: lundi 25 janvier 2021, 18:59:10 »Mais alors qu'il allait perdre patience, il vit l'un des gardes ouvrir la porte, entrant dans la pièce où se trouvait la petite prêtresse, ce qui ne lui plut pas du tout, fermant son poing avant de frapper violemment la cage, un bruit sourd et résonnant dans la pièce, le barreau gardant désormais une forme qui ne lui était pas désigné, une nouvelle odeur de griller l'accompagnant, incarnant sa frustration qui s'évaporait.
Heureusement pour lui, quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit de nouveau, laissant apparaître le garde, suivit d'Alecto, tracté par celui-ci. Son regard et sa carrure se relevèrent en la voyant, la regardant attentivement pour savoir, pour voir, si elle allait bien, gardant aussi un œil sur celui qui la tenait, prêt à retenir son odeur au moindre mauvais geste sur elle. Il fut surpris lorsqu'il ouvrit sa cellule, se demandant ce qu'il allait faire, ses poings toujours serré et prêt, mais, à la place de venir le chercher, il fit entrer la petite prêtresse dans sa cage au lieur de la remettre dans l'autre.
Il Grogna lourdement lorsqu'il le vit la jeter au sol avec dédain, le suivant un instant du regard tandis qu'il retournait dans son coin. Il bombait le torse ce peau fragile, mais qu'il ne s'inquiète pas, si Klaus pouvait lui arracher la tête, il le ferait.
Sa concentration, aussi forte et ampli de colère soit -elle, fut troublé, interrompu lorsqu'il sentit quelque chose s'agripper à son large cou. Il tourna la tête pour pouvoir voir ce qui pendait à sa gorge et put remarquer la petite prêtresse, qui, en l'écoutant, comprit qu'elle le remercier. Pourquoi le remerciait-elle ? Il tourna la tête pour pouvoir voir ce qui pendait à sa gorge et put remarquer la petite prêtresse, qui, en l'écoutant, comprit qu'elle le remercier. Ce n'était rien, bien que cela soit dur de se contenir face à des peaux fragiles beaucoup trop confiant en eux.
Il trouvait cela agréable, cette sensation, cette étreinte qu'il ressentait de sa part et, comme pour communiquer la même chose, il vint refermer ses bras autour d'elle, ou plutôt seulement ses mains, bien suffisantes pour la couvrir, puis, la pressa contre lui, faisant tout de même attention de ne pas l'étouffer à trop la presser contre son torse.
La chaleur que dégageait cette petite personne était vraiment agréable pour Klaus et, il ne dit rien pendant quelques secondes, claquant légèrement de la mâchoire à un moment avant de la relâcher. Ce n'était pas un geste habituel du tout pour son peuple, car, ce qui s'en rapprochait le plus, était soit lorsqu'il luttait pour s’entraîner ou lorsqu'il se battait pour la saison des crues ou encore lorsqu'il s'accouplait, les deux dernières choses ne lui étant jamais arrivé. Il finit ensuite par dire dans un mélange de Kroxigor et de langue commune approximative.
" To va Iko Ank ? "