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« le: jeudi 05 mars 2015, 11:45:05 »
Beaucoup parlaient de joutes amoureuses… Slade était d'accord avec cel…. Il n'y avait jamais vraiment d'égalité, mais toujours un vainqueur, et un perdant. OU du moins, dans le cas de la joute amoureuse un dominénant et un dominé. Et Slade avait tendance à souvent rechercher la dominance. Cette histoire ne mettait pas un terme à la notion de respect, elle mettat juste en place une hiérarchie, une forme d'ordre, l'un y gagnait l'autorité et l'autre gagnait le besoin de la respecter… l'un contrôlait, et l'autre était contrôlé… et Slade était quelqu'un qui avait besoin d'ordonner, de contrôler. C'était plus fort que lui, plus puissant que ses instincts habituels. Il eut un soupire… il n'aimait pas avoir les yeux bandés, mais bon, elle avait les mains attachées solidement dans le dos. Donc d'une certaine manière, on pouvait dire que c'était un donné pour un rendu, non ? Petit sourire. C'était vrai que cela mettait beaucoup de piment dans la situation, lui qui ne pouvait voir ce qu'elle se préparait à faire, et elle qui ne pouvait pas intervenir seule…
« Oh, vraiment, tu adores être ainsi attachée ? »
Il sourit en l'entendant gémir sous l'assaut de ses dents, qui laisseraient probablement une petite marque autour de sa pointe de chair qui disparaîtrait sans doute dans une heure ou deux. Oui, il ne comptait pas lui laisser de marques comme ça, pas pour l'instant du moins. Il n'en avait ni l'envie ni l'idée… alors à quoi bon ? Il continuait à jouer avec son corps, avec les sensibilités de la jeune femme jusqu'à ce qu'elle accède à son envie, se plaçant, il s'en doutait, de façon à ce qu'il sente sa verge glisser entre les globes de chair de la jeune femme. Il étendit les mains et lui saisit la poitrine qu'il comprima autour de la verge. Elle n'en faisait pas le tour. Il retint un commentaire sur son manque de poitrine, d'abord pour ne pas la vexer et ensuite parce que ce n'était pas nécessaire de pouvoir en faire le tour pour qu'il apprécie le traitement. Elle avait une poitrine douce et agréable. Autant en profiter.
Il lui flatta la joue alors qu'elle le laissait plus ou moins maître des choses. Il lui sourit sans la regarder- comment aurait-il pu ? – alors que ses mains, pressées avec force sur sa poitrine. Il maintenanit ainsi le carcan de chair et elle se chargeait de bouger, quoiqu'il s'amusât par moment à donner quelques coups de reins plus ou moins brutaux, finissant par lâcher les seins pour la tenir par les mamelons. Tirant dessus pour maintenir ses chairs mammaires autour de son vit, serrant davantage alors qu'elle léchai le gland quand elle pouvait…. C'était délicieux… délicieusement délicieux, il en eut plusieurs froissons qui se passèrent de commentaire et il ne répondit pas.
Il cessa néanmoins avant une première jouissance pour la simple et bonne raison qu'il n'avait aucune intention de souiller dès le début so visage… il n'aurait plus envie de lui rouler galoches sur galoches alors ! Il sourit et avec fermeté, il lui saisit les épaules et la redressa avant de la pousser en avant, jusu'à la table basse, il connaissait les lieux par cœur., la forçant à y poser son bassin en appuyant tant sur sa nuque qu'au creux de ses reins...
« Bon, et bien maintenant o va voir ce que tu peux encaisser… si tu peux tenir le coup... »
Il ricana, mais sans méchanceté, c'était un petit défi, un challenge… il la tenait toujours avec cette main calme mais forte qui appuyait sur ses reins…. Son autre main glissait sur sa croupe, caressant l'infime cicatrice invisible à qui ne la sachait pas présente à cet endroit là. Il eut un petit sourire avant de finalement lui faire un léger sourire, se pencher sur elle et lui mordiller la nuque, ses doigts errant de sa rosette à ses grandes lèvres humides dans lesquelles il entrait parfois sans ménagement. Comme s'il la possédait déjà.
« Bon, ton cul ou ton minou ? »
Il eut un nouveau rire taquin avant de s'agenouiller derrière elle et se mettre à attaquer ses lèvres intimes comme il avait attaqué sa poitrine. A coup de dents, de langue, de lèvres, parfois il remontrait lui cracher sur le petit trou, comme pour préparer les deux à son passage… il avait lâché ses reins pour lui agripper les cuisses pour l'empêcher de les bouger…
« Regarde comme tu mouilles, on a l'impression que tu n'attends que la suite... »
Oh qu'il aimerait qu'elle lutte, qu'elle se débatte, qu'ils luttent…. Ça aurait peut être l'air d'un viol vu de l'extérieur, mais ça n'en serait pas un…. Et puis, reconnaissez que e serait sans doute tellement plus agréable, non ?