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« le: mardi 23 juillet 2013, 17:09:50 »
Mes bras autour de sa taille, je rendis son baiser tantôt délicat, tantôt fougueux. Séparés, je ne pus retenir un soupir d’aise, alors que je pouvais sentir chaque veine de mon membre pulser sous la pression qu’Anasthasia exerçait avec son bas-ventre…
Peur de ne pas se sentir nue à cause de mes lunettes? Je me mis à rigoler… En espérant que ce soit une blague, car elle se sentira très nue une fois que je lui aurai retiré son maillot, et ce sera beaucoup plus plaisant…
-T’inquiète, tu seras tout aussi nue, et ça ne changera rien au plaisir que tu vas ressentir!
Mes deux mains prirent les extrémités supérieures de son maillot, avant de les glisser vers le bas, doucement. À chaque morceau de peau découvert, je l’embrassai. Pour un humain, c’est doux, c’est plaisant, mais pour une bête comme moi, cette lenteur est l’équivalent d’enfoncer une épée rouge de chaleur dans la chair, rendant chaque douceur insupportable, tant le coït est la seule chose que je désirais.
Je m’étais arrêté au niveau des seins, les pétrissant, suçotant chaque mamelon pendant quelques secondes, puis reprenant mon chemin de baisers jusqu’à ce que j’atteigne le pubis, passant ma langue dessus. Par la suite, je laissai simplement tomber le maillot jusqu’aux chevilles.
Je me relevai et, sans grands efforts, je la soulevai, son vêtement retombant sur le sol sans bruit. Dans cette position, je pouvais sentir mon gland frotter contre l’intimité de la rouquine, mais je n’avais pas l’intention de la prendre ainsi… Enfin, pas pour l’instant.
Il y avait un banc en bois… Bon, rien de bien confortable, mais pour ce que nous allions faire, il aurait pu y avoir un tapis de clous remplaçant le parquet que ça serait aussi confortable. La déposant sur le dos, je glissai une nouvelle fois ma langue dans sa bouche, dans un nouveau baiser fougueux et bestial.
Je descendis d’un étage, me retrouvant au niveau de ses cuisses, écartant légèrement ses genoux. Un regard vers la jeune femme, un sourire amusé aux lèvres, je me mis à embrasser les cuisses, de chaque côté, histoire de la rendre folle d’impatience. Je glissai aussi ma langue sur les lèvres, de manière douce… La passant autour de son intimité.
Je pouvais voir qu’elle avait envie, elle avait de la difficulté à ne pas hurler qu’elle en voulait plus… D’un petit sourire, je passai un doigt sur le dessus de son intimité, pouvant constater que c’était déjà bien chaud et humide, ici bas…
-J’espère que tu n’es pas trop impatiente? Que veux tu que je te fasse? J’aimerais te l’entendre dire!