Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sayori & Motoko Yukihiro

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Voir leurs yeux ébahis et remplis d'étoiles amusait beaucoup Sayori. C'est qu'elle allait finir par prendre gout à ce genre d'évènement, si cela continuait. Mais d'un autre coté, elle ne se sentait pas prête à assumer ses penchants face à son père. En même temps, il est un peu difficile de sortir avec un garçon, lorsqu'on est dotée d'un membre viril. Après avoir soigneusement rangée la carte, les jumelles finirent par lui expliquer comment elles avaient découvert qu'elle était l'auteur de ces doujinshi. Sayori avait à priori fait l'objet de longues et éreintantes recherches, avant que les Karistal ne découvrent finalement son identité. Elle ne pouvait que féliciter leur patience et leurs efforts.

- C'était surprenant de savoir que vous aviez environ notre âge mais ça rend les choses tellement mieux. En tant que plus grande fan de Vanille et Chocolat, vous pouvez pas imaginer notre joie, Sayoneko-sama!

Et le compliment la fit rougir, autant de plaisir pour la reconnaissance, que de gêne pour le titre. Lorsqu'elle était chez elle, tout le monde l'appelait Sayori-Sama, étant la fille du chef de clan. Fille d'avantage appréciée par l'oncle que par le père d'ailleurs. Sayori avait toujours pensée que cela était dû à sa grosse anomalie génétique, ce qui repoussait pas mal de prétendant pour les mariages arrangés, pour ne pas dire tous... L'une des jumelles lui prit alors la main.

- C'est avec cette main que vous leur avez donné naissance... vous êtes si grande pour nous... Nous attendons la suite autant qu'un enfant attendrait ses cadeaux un soir de réveillon de Noël, et on vous ment pas!

- D'ailleurs, vous avez dû le deviner mais le volume que vous nous avez dédicacé, c'est notre préféré! Je ne saurais dire comment mais avec Yuko, on pense que vous avez mis tout votre cœur dedans, vous les avez dessiné avec plus de passion et d'envie. Les autres volumes aussi mais celui-ci, le spécial futa... il est grandiose!


C'était normal après tout, elle-même était une futanari. Sur le moment, elle c'était dit que seules deux futa pouvaient faire l'amour ensembles, chacune mise à l'écart des autres... Par conséquent, leur attirance et leur amour l'une pour l'autre ne pouvait que d'avantage renforcer leur passion. Mais à voir la réaction des deux jeunes filles faces à elle, peut être que certaines au lycée avait ce genre de fantasme ?

- Sans vouloir avoir l'air de trop vous embêter, quelle sera votre prochaine œuvre? Il y a un thème spécial ou non?

- On vous adore tant, demandez nous ce que vous voulez, on le fera avec grand plaisir!


Ça faisait un moment qu'elle dessinait des croquis pour une nouvelle protagoniste, mais elle n'avait jamais été satisfaite... Avec la question de l'une et la proposition de l'autre, elle avait peut être une idée. Et en prenant en compte leurs perversités, il y avait peu de chances qu'elles ne rejettent l'idée.

- Je travail en effet sur un nouveau personnage, qui apparaîtra plus fréquemment en tant que perso secondaire. Mais jusqu'à maintenant, je n'ai jamais vraiment été satisfaite des croquis et j'ai bien envie d'avancée un peu, car il est vrai que je prends du retard... Et j'ai bien une idée pour ça. Que diriez vous d'êtres prises pour modèle ? Physiquement, vous vous ressemblez peut être, mais je suis certaine que vous êtes très différentes l'une de l'autre psychologiquement...

Faisant un clin d'œil, elle s'approcha d'elles en murmurant doucement.

- Bien entendu, vous vous douter que je vous prendrais comme modèle dans l'intimité... Des ébats entre sœurs comme vos deux petites Neko adorées, sans faux semblants, pendant que je dessine... Le résultat final pourrait bien vous plaire.

Elle se redressa et parla plus normalement, comme si de rien était

- Il ne reste plus qu'à trouver un lieu et une heure pour faire nos devoirs ensembles.

Dans un coin de sa tête, Sayori essayait déjà de trouver un moyen de se débarrasser de son pot de colle de garde du corps, qui la suivait d'un peu trop près. Bien qu'elle ne la voyait pas, elle savait que Motoko était dans les parages, en train de l'épier dans l'ombre... Et pour une fois, elle voulait s'amuser sans être constamment surveillée... Et ces réflexions frustrantes pouvaient aisément sur lire dans son expression faciale...

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Une fois encore, c'était une journée un peu monotone qui suivait son cours pour Sayori. Comme d'habitude, ces camarades l'évitaient absolument, malgré son air enjouée. D'un coté, ce n'est pas vraiment d'elle que les autres élèves avaient peur, mais plutôt à cause de sa sœur ainée. En effet, Mégumi et sa petite bande de délinquant squattait toujours à la sortie du lycée pour racketter les autres ou tabasser celui ou celle qui oserais se rebeller. Et sachant de quelle famille elle venait, les enseignant n'osaient pas intervenir, de peur d'avoir des représailles en retour. Mais de surcroit, elle semblait toujours savoir ce qui arrivait à sa cadette. Tout le monde se souvenait de la disparition mystérieuse de sa classe en voyage scolaire, et personne ne voulait subir le même sort. En ne lui adressant pas la parole, ils étaient certain d'avoir une paix relative.

Aussi furent-ils surpris de voir débarquer dans la salle deux élèves, qui s'installèrent en face du bien le plus précieux de Mégumi Yukihiro. Sayori elle-même n'osait pas y croire. Mais les commérages, bien audibles, ne tardèrent pas à se propager.

- Bonjour Yukihiro-chan! Désolé de te déranger à cette heure-là mais en fait, t'avais oublié un truc.

- Evidement, venant des Karistal, ça ne m'étonne pas...
- Seule une famille de dégénérés peut s'entendre avec une famille de sadiques...
- Je me demande laquelle va détruire l'autre...
- J'espère surtout qu'elles ne vont pas préparer un sale coup ensembles...
- Moi, tant qu'on me laisse tranquille...


Les Karistal... Sayori en avait déjà entendue parlée... Des jumelles un peu j'en foutisme en cours, mais qui observent souvent les élèves avant de les aborder. Certains disparaissaient et d'autres, lorsqu'ils revenaient, préféraient oublier tout ce qui avait pu se passer. Apparemment, elles aussi venaient d'une famille influente, car personne n'osaient faire quoi que ce soit contre elles. La jeune fille espéraient qu'elles ne venaient pas pour ce genre de chose car, dans le cas contraire, leur famille risquait très gros. Mais vu leurs sourires joyeux, les jumelles semblaient avoir tout autre chose en tête. Cette impression se confirma lorsqu'elles lui présentèrent un cahier de notes, mais avec une de ses œuvres à l'intérieure. Elles avaient percées son secret.

Nous somme vos plus grandes fans!!! Une petite dédicace, SVP Nyan? ^w^
Pour nous le rendre, pouvez-vous venir nous le rendre une fois les cours finis? On sera devant l'entrée du bâtiment. On a des tas de questions à vous posé en plus, Nyan!
PS: T'inquiète pas, on veux pas ébruiter ta célébrité, Nyan! :3

Finalement, la jeune fille en eu un sourire. Une dédicace ? Ce serait bien la première fois. En effet, elle était loin, très loin même, d'imaginer que les jumelles Karistal pouvaient être fan de Néko perverses. Ça laissait aussi entre voir ce qu'elles faisaient avec les autres élèves et pourquoi ceux-ci ne souhaitaient pas en parler.

- Il n'y a pas le feu au lac donc prend le temps qu'il faudra pour tes notes, tu nous le redonneras de toute façon bien assez tôt? On compte sur toi Yukihiro-chan, ciao!

Et elles s'en allèrent, le sourire aux lèvres. Pour une fois, Sayori se sentait vraiment heureuse. Elle n'attendit pas la fin des cours pour se rendre à la sortie du lycée et s'y rendit directement lors de la pose de l'après midi. A priori, elle n'avait pas été la seule à y penser. Avec un grand sourire, elle alla à leurs rencontre en leur tendant le cahier de note, sans prêter attention aux quelques regards méfiants venant des autres.

- Merci pour vos notes, ça m'a été très utile pour les cours.

Dans le cahier, le manga avait été signé et une carte y avait même été ajoutée.

- Mais je suis curieuse de savoir comment vous avez trouvée...

Pour les élèves, elle pouvait parler de tout et n'importe quoi. Mais pour les Karistal, il était évident qu'elle parlait de la découverte de sa réelle identité.

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Prélude / Re : Une fille de Yakuza un peu spéciale x) (Valithée)
« le: mardi 11 septembre 2012, 23:59:58 »
Merciiiiii \(>,<)/

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Prélude / Re : Une fille de Yakuza un peu spéciale x)
« le: mardi 11 septembre 2012, 01:46:13 »
Merci, mais c'est ma famille qui est Yakuza... Moi, j'ai plutôt envie de couper les ponts :P

Je te l'avais bien dit, que je finirais par faire ce perso (Par Mp ::))

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Prélude / Re : Une fille de Yakuza un peu spéciale x)
« le: lundi 10 septembre 2012, 13:05:57 »
Oooooh.... Des fans de mes mascotes ^,^

Faut organiser une rencontre :3

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Prélude / Re : Une fille de Yakuza un peu spéciale x)
« le: lundi 10 septembre 2012, 10:02:48 »
Merci beaucoup ^,^

Tinu => ça se vois tant que ça ? Contrairement à l'autre futa, j'ai les deux sexes... et je suis née comme ça, pas en perdant connaissance la nuit ::)

Keleth => Je sais pas... Tu t'entendrais mieux avec Onee-san je pense... *Aime pas se battre .__.*

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Prélude / Re : Une fille de Yakuza un peu spéciale x)
« le: lundi 10 septembre 2012, 04:01:40 »
Merci... même si je vois pas trop de quel concept tu parle exactement ^.^"

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Prélude / Des filles de Yakuza un peu spéciales x) (Valithée)
« le: lundi 10 septembre 2012, 03:21:05 »
Nom : Yukihiro
Prénoms : Motoko (Aînée) et Sayori (Cadette)
Surnom : -- / Sayoneko
Age : 16 ans
Sexe : Futanari
Race : Humaines

Orientation sexuelle : Si l'aînée est Bi, la cadette en revanche est uniquement Lesbienne

Description physique :
S'il y a bien une chose que l'on remarque immédiatement chez elles, ce sont bien leurs cheveux. Lisse et brillante, leur chevelure noire est très longue, descendant jusqu'à leurs fesses. C'est sans doute ce que Sayori aime le plus chez elles, passant beaucoup de temps à les entretenir. Bref, leurs cheveux donc, encadrent un doux visage d'ange légèrement anguleux, rehaussé de deux magnifiques yeux ardoise, d'un petit nez et de fines lèvres agréables. La voix qui sort d'entre ces dernières est aussi belle que douce.

Du reste, les jeunes filles ne sont pas bien grandes – à peine 1m62 – mais ce sont aussi leur petite taille et leur légèreté qui font leur charme. En effet, malgré le fait qu'elles prennent des repas dignes de festins, Motoko et Sayori sont très minces. Leur poitrine en revanche, sont plutôt bien développées et leurs fesses sont rebondies, très appréciable, tout comme leur doux coquillage, des plus voluptueux. Néanmoins, les deux jeunes filles possèdent une particularité de taille : ce sont des Futanari de naissance. En effet, juste au dessus de leur clitoris est situé un pénis long de 15 cm pour trois de diamètre... lorsqu'il est au repos. De fait, lorsqu'elles sont excitées, leur membre peut facilement doubler de volume. De plus, leur fleur intime est cachée par une paire de grosses testicules imberbes.

Là où Sayori préfère leurs cheveux, Motoko elle, c'est leur gros services trois pièces qu'elle apprécie.

Caractère :
Sayori est le genre de fille enthousiaste et pleine de vie, partageant son énergie et sa joie de vivre avec son entourage – même si celui-ci à tendance à l'éviter – et ses matières préférées sont l'EPS, l'art et l'informatique.
Une autre chose qu'il faut prendre en compte, la jeune fille est passionnée par les Neko et les trouve tellement mignonnes, avec leurs petites oreilles et leur queue poilue, qu'elle fantasme souvent en imaginant le fait qu'elle ait pu en être une dans une autre vie, passant son temps à réclamer des câlins.
Et puis, comme de nombreuses filles dans le monde, elle adore le chocolat et la vanille, qui restent ses parfums favoris, que ce soit dans les gâteaux ou les glaces.

Mais ce qui caractérise le plus la jeune artiste, c'est sans nul doute sa perversion. Du fait qu'elle soit issue d'une famille mafieuse, un clan Yakusa, personne n'ose vraiment sortir avec elle ou se lier d'amitié. Ainsi, elle reporte sa frustration à ce qu'elle aime vraiment : l'art numérique. Ou plutôt, des œuvres hentaï représentant un duo de Neko perverses, portant les noms de ses deux parfums préférés. Il lui arrive souvent de s'endormir devant son écran en rêvant de faire tendrement l'amour à ses deux mascottes. Ce qui se remarque facilement avec son sourire de bien heureuse, accompagné d'un petit filet de salive...

Avouez le, il est difficile de voir ce coté de sa personnalité vu de loin... comme de près.

Plus garçon manqué que Sayori, Motoko quant à elle, est très protectrice envers sa cadette. Aînée des deux sœurs et donc héritière du clan, elle s'est forgée une carapace froide en public, ne laissant jamais ses sentiments la trahir et n'hésitant pas à tuer si c'est nécessaire pour protéger sa cadette, ayant étudiée autant l'art du katana et des Nina, que celui des armes à feu. Pour autant, ce masque tombe dans l'intimité, dévoilant une fille incroyablement perverse et dominatrice, n'hésitant pas à humilier ceux et celles qui s'en sont pris à Sayori, jusqu'à briser leur esprit si ça l'amuse. Motoko est bien connue au lycée et les autres élèves ont tendance à faire dans leur froc lorsque confrontés à elle.

Les jumelles sont très incestueuses et éprouvent un amour inconditionnel l'une envers l'autre. Toutefois, si lorsqu'elles sont entre elles, Sayori est plus souvent la pénétrée que la pénétrante, celle-ci explore volontiers les orifices de ses autres amantes.

Histoire :
Pour commencer, il faut bien préciser une chose. Les jumelles toujours sue surprendre leur entourage, et ce depuis leur naissance. En effet, lorsque les parents demandèrent le sexe de leurs enfants, leur medecin fut bien incapable de leur répondre. Pour la simple et bonne raison que ceux-ci possédaient les deux. Ce n'est que lorsque leurs progénitures eurent une poussée de leur chevelure vers leurs trois ans, que l'on put déterminer leur sexe dominant.

Ainsi, les deux jeunes filles grandirent presque normalement, dans ce grand domaine, avec leur très grande famille, qui comportait leurs parents, leur oncle et toutes les personnes qu'elles ne connaissaient même pas et les grands baraqués en costumes noir qui restaient toujours près d'elles, sans jamais leur adresser la parole. Par ailleurs, leur père ne parlait jamais à Sayori non plus, passant d'avantage de temps avec son ainée pour l'entraîner aux techniques d'armes qu'avec elle, contrairement à leur oncle qui prenait le rôle de "père remplaçant" très à cœur auprès de la cadette. Souvent, lorsqu'elle prenait son bain avec sa grande sœur, elle demandait pourquoi elles avaient un truc entre les jambes et pas leurs servantes ou leur mère. Motoko, qui était déjà très protectrice envers sa cadette, répondait alors qu'elles étaient très "spéciale" et qu'un jour, elles seraient aussi belles que les grandes, mais aussi forte que des hommes. Mais quand Sayori demandait si c'était pour ça que leur père ne lui parlait jamais, il n'y avait jamais de réponses...

Il fallut attendre le premier et unique voyage de classe de Sayori pour que la vie de celle-ci prenne une tournure radicale. Les premiers jours aux camps se déroulèrent sans incidents notables, jusqu'au jour où il y eu une journée aux bains mixtes. Bien qu'étant différente sous la ceinture, Sayori – alors âgée de 12 ans – pensait encore que d'autres pouvait être comme elle, comme son aînée. Mais en les voyant se précipiter dans l'eau, elle réalisa qu'elle était bien la seule à avoir cette anomalie génétique. Le fait de porter sa serviette autours des hanches fut alors prit pour de la gêne, rien de bien grave. Mais voilà, la jeune fille avait quand même des gouts de garçon et trouvait une des filles de sa classe assez jolie, ce qui provoqua bien entendu une érection... la toute première... Autant dire que son attirance ne passa pas inaperçue...

Tout le monde connait la seconde particularité des Futa ? Celle d'avoir un pénis d'une taille démesuré en pleine érection bien entendu. Autant dire qu'à ce moment là, la serviette ne cachait plus grand-chose et cela choqua pas mal de ses camarades. Plusieurs insultes fusèrent envers la petite, qui fut traitée de tout les noms, notamment de monstre difforme et de perverse en puissance, qu'elle était immonde et ferrait bien de se suicider. Vinrent ensuite les coups. On commença à lui jeter des choses et à la frapper, même les adultes tentèrent de l'éloigner des autres, comme si la petite était une nuisance pour ses camarades. Si la situation était déjà grave, elle n'allait pas s'arranger pour autant, au contraire...

Sa sœur ainée étant sur protectrice et un peu parano, elle avait fait surveillée Sayori par leur servante la plus dévouée. Celle-ci la prévint de la scène et Motoko débarqua armée de couteaux de cuisine pour décimer "les rangs ennemis"... Aussi efficacement qu'une moissonneuse, les longs couteaux en céramique coupèrent tout sur leurs passage. Bras, jambes, torses, têtes... peu importe que ce ne soit que des enfants, ils faisait du mal à sa petite sœur et pour elle, ils ne méritaient qu'une seule chose : la mort. Pour Sayori, ce fut une journée traumatisante, qui la marquera toute sa vie et alimentera la plupart de ses cauchemars la nuit. Insultée et frappée, elle venait de voir toute sa classe finir en morceaux...

Ce jour là, Sayori compris la véritable nature de sa famille. Des Yakusa... Un clan criminel qui imposait sa loi et commettait des crimes impunément. Le carnage passa sous silence et les informations ne parlèrent que d'une disparition en masse d'une classe en voyage. Seule rescapée, une petite fille tellement en état de choc qu'il lui était impossible de témoigner de quoi que ce soit. Les témoins furent réduit au silence et personne ne parla d'eux. Idem pour les familles des victimes. Lorsqu'on contrôlait l'information dans tout le pays, ce genre de chose était assez simple à réaliser... Depuis, Sayori attend le jour où elle sera en âge de travailler pour quitter sa famille. Son père la terrifiait et elle se méfiait un peu de son ainée aussi. Celle-ci voulu alors la câliner pour lui montrer tout son amour et la cadette se rendit compte que, malgré tout, ce sentiment était réciproque. Ce fut le début de leur relation incestueuse.

Lorsqu'elle arriva au lycée, Sayori commença à s'intéresser au dessin numérique et se fit rapidement connaître sur internet. Une fois dans la vie active, elle pourrait très bien se lancer dans le marché du manga, loin de ses parents. Dans ce but, elle prenait également des cours d'anglais. Mais malgré son passé traumatisant, elle ressentait toujours une certaine attirance pour les filles. Frustrée, elle débuta donc des œuvres hentaï, refusant catégoriquement de coucher avec d'autres filles hormis sa grande sœur, de peur d'être de nouveau battue. Hormis ces détails, elle se montrait toujours enjouée avec les autres, pour mieux cacher ses véritables sentiments.

Motoko quant à elle, instaura une certaine crainte à son égard lorsqu'elle entra au lycée avec sa sœur. Elle ne semblait avoir aucun amis et les rares qui venaient leur chercher des noises, disparaissaient mystérieusement, sans laisser de traces. Tout le monde se doutaient qu'elle y était pour quelque chose, mais faute de preuves, elle ne pu jamais être accusée.

Situation de départ : Elles sont très expérimentées avec des filles et des Futa, mais n'ont aucune expérience avec les hommes.

Autres :

- Etant futanari, elles peuvent avoir plusieurs orgasmes de suite dans une même journée... et peuvent jouir jusqu'à deux litres de semence ET de cyprine par orgasme.

- Sayori possède un véritable don dans l'informatique et plus particulièrement avec les logiciels de graphisme. Elle ne dessine que du Hentaï ou du Lemon. Ses mascottes sont un duo de petites Neko bi : Chocolat et Vanille.

- De par ses origines mafieuses – et le port d'armes étant interdit au lycée – Motoko pratique également les arts martiaux. Tout son corps est une véritable arme en combat rapproché, mais elle ne s'en sert qu'en cas de légitime défense, en aucun cas pour attaquer les autres sans raison.

PNJ – Clan Yukihiro :

Keisuke : Chef de clan et père des jumelles, il a la main mise sur tout le secteur audiovisuel et numérique de Seikusu. C'est lui qui décide, entre autre, quelles info peuvent passer sur les chaines télévisées et quel journaliste doit être licencié. Il contrôle également les cinémas et les retransmissions d'Idoles. Pratique pour couvrir ses activités ou couler un concurrent. En général, les gêneurs finissent toujours par disparaitre sans laisser de traces...

Seiji : C'est le frère de Keisuke. C'est sans doute le seul membre de la famille que Sayori apprécie véritablement hormis sa soeur. Son oncle est l'un des seuls à qui la jeune fille se confie et ce dernier lui donne toujours d'excellents conseils. Officiellement, Seiji s'occupe des finances de la famille, mais son véritable rôle est tout autre...

Megumi : Cousine des jumelles, elle adore profiter de son statut pour écraser ceux qui lui sont inferieurs et racketter les lycéens. Etant toujours flanquée de deux gardes du corps baraqués et armés (sauf en cours, où elle a sa petite bande), peu lui tiennent tête et les rares l'ayant fait ne sont plus là pour en parler. Elle possède entre autre une arme à feu, cadeau de son père pour ses 18 ans.

Sous-fifres : Peu importe leur rang au sein du clan, ce sont eux qui exécutent les ordres, parfois accompagnée de l'héritière qui s'ennuis bien vite...

Harem : Ce sont toutes les filles capturées dans les clans rivaux, dont les entreprises ont été torpillées et les actions récupérées. Bien souvent, les familles sont également éliminées, ne laissant ainsi aucun témoins. Si ces dernières ont de jolies filles, elles finissent dans le harem, où elle sont dressées et rééduquées dans la luxure et la débauche, afin d'en faire des esclaves sexuelles soumises.

Les Yukihiro font souvent affaire avec d'autres familles influentes, notamment pour réguler les filles du harem, qui peuvent rapporter un peu d'argent supplémentaire. Les Atayochi par exemple, qui travaillent aussi bien dans la "justice" que dans l'esclavage.

PNJ – Futa Sixe :

Il s'agit d'un petit club privé regroupant les filles de 4 familles alliées, dont tout les membres sont des Futa (Voir cette image explicite). Son nom tient du fait qu'elle soient six et qu'elles pratiquent essentiellement le sexe lorsqu'elles sont ensembles, que ce soit entre elles ou avec les filles du harem, tout en discutant entre elles.

On y retrouve donc le petit couple Akiko Fusaka et Megane Miyakaze (à gauche des jumelles sur l'image) âgées toutes les deux de 17 ans et dont les parents sont directeurs de banques et d’assurances pour l'une et Maire et députée pour l'autre, ainsi que les sœurs Asuka et Yûko Kiyamasa (à droite des jumelles), âgées respectivement de 15 et 16 ans, dont le père est commissaire à la préfecture de police et la mère, directrice de l’hôpital de Seikusu.

Ainsi, le clan Yukihiro, en plus de contrôle l'information dans la ville, dispose de liens étroits avec les centre hospitaliers et policiers de la ville, ainsi que de services bancaires et d’assurances plus qu'avantageux, mais peut également influencer la politique de Seikusu.

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