Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Miyoko Sasake

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Miyoko Sasake

Pages: 1 2 [3]
31
Archives publiques / Re : Saint Valentin
« le: jeudi 05 février 2009, 09:28:17 »
Bonne idée !

Par contre, est-ce qu'on se fait un petit défilé des nominés ? Ou alors un post où ils répondraient à des questions ? Enfin... un truc qui rappellerait les élections de Miss (ça fait longtemps que j'ai pas regardé mais bon, il me semble qu'il y a des défilés, chorégraphies et questions posées...) :p

ça pourrait être bien sadique (euh drôle !) :-D (A)

32
Miyoko s'amusait à trier les miettes de pain. Elle les empoignaient et les pétrissaient entre ses doigts afin de déterminer si elles provenaient d'un pain frais ou d'un pain datant de plusieurs jours. Avec ravissement, la fillette put constater qu'il y avait beaucoup de pain qui avoir été confectionné le jour même ou la veille au plus tard. Elle prit cependant soin de manger tout d'abord les miettes les plus anciennes. Elle les laissa fondre dans sa bouche, sentant la mie se désintégrer sous les assauts de sa salive et la croûte déposer des cristaux de sel sur son appendice.
Tout en mangeant, Miyoko écoutait d'une oreille distraite le dialogue entre la jeune fille qui était entrée avec grand fracas et Olga. Mioyko aimait beaucoup Olga et c'était d'ailleurs une des seules filles de La Maison dont elle se rappelait le prénom. Olga était intéressante à regarder car elle savait manipuler des bouts de ferrailles avec habileté et les transformer en pièges réels dont Miyoko pensait qu'il n'était possible de les réaliser que dans son imagination. Le travail d'Olga fascinait la fillette qui passait de nombreuses heures à regarder la fille d'origine russe. Et puis, Miyoko aimait beaucoup Olga à cause de son accent qui la faisait beaucoup rire.
D'ailleurs, Olga faisait rouler ses R à l'instant même et Miyoko se recroquevillait sur elle même pour s'empêcher de rigoler trop fort.

C'est alors qu'elle entendit le prénom d'Armelle. Miyoko avait beau se creuser la cervelle, elle n'arrivait pas à remettre un visage sur ce prénom, mais l'important était qu'elle avait disparut et que La Maison était en danger. Rapidement, elle déglutit puis avala les miettes de pain frais. Elle qui avait passé tant de temps à trier les miettes pour pouvoir savourer le pain frais, elle n'en avait pas eu le temps. Une telle situation impliquait une réunion des Grandes. Or Miyoko, malgré son très jeune âge, dans cette Maison, faisait partie du cercle des Grandes, qui n'étaient pas très nombreuses.
Elle se releva difficilement ; son pouce s'était relogé dans sa bouche dès que les miettes de pain avaient été avalées et il n'était pas très évident de se lever en étant déséquilibré par une main qui ne pouvait pas servir de balancier. Pourtant, Miyoko s'en sortit avec facilité : son pouce était si souvent dans sa bouche, qu'il lui était presque plus facile de se déplacer ainsi qu'avec une main libre d'action. Puis elle se rapprocha à pas lents des deux filles qui s'étaient éloignées, en aparté.

Rien n'avait encore été annoncé, mais Miyoko était assez intelligente pour savoir qu'il fallait rester discrète. Heureusement, ce n'était pas très difficile pour elle. Elle ne parlait que très peu avec ceux de La Maison et ne jouait pas souvent avec les plus petits. Elle était loin de se sentir supérieure, mais elle avait une préférence pour le jeu en solitaire et en extérieur, or les petits n'avaient que très peu le droit de sortir.
Elle attendit sagement, à quelques pas d'Olga et de La Fouine. Elle ne s'approcha pas trop près pour ne pas les déranger, respectant le secret de leur discussion, mais resta assez proche pour ne pas manquer la suite des évènements qui allaient, plus ou moins directement, la concerner.

33
Miyoko s'éveilla. Elle était roulée en boule sous l'escalier qu'elle ne quittait presque plus lorsqu'elle se trouvait à La Maison, à part pour aller manger ou pour les soirées entre filles qui pouvaient s'organiser assez rapidement dans La Maison.
Elle frotta ses petits yeux tout groguis de ses petits poings fermés, gros comme une balle de golf. Sa petite bouche s'ouvrit bien rondement, formant un "o" de ses petites lèvres et elle bailla sans bruit, en crispant ses épaules contre son cou.
Elle se mit assise en taille et commença à sucer son pouce d'une main, tendit que l'autre lui grattait la tête à travers le tissu de la capuche.

Elle observait les filles qui couraient dans La Maison. C'était leur cavalcade dans les escaliers qui l'avait réveillée, mais Miyoko était loin d'être rancunière. Elle ne se mettait jamais en colère contre les gentilles filles de La Maison. Seul un gros vilain méchant monsieur pouvait l'énerver, et encore fallait-il qu'elle le trouve méchant !
La petite fille avait encore du mal à retenir les noms de toutes celles qui étaient dans La Maison, bien qu'elle y soit installée depuis quelques semaines maintenant. Sa mémoire était loin d'être défaillante, mais Miyoko ne voyait pas l'intérêt de retenir tout ses prénoms qui se ressemblait. Pour la fillette, un prénom ne signifiait rien, ce n'était pas parce que les filles s'appelaient Olga, Yuki ou La Fouine qu'elle avait été accueillie ici, mais parce que ces filles étaient gentilles.

S'aidant de sa main valide (celle qui n'était pas affairée dans sa bouche), elle bascula à quatre pattes, posa sa main au sol, appuya dessus, releva ses petites fesses, puis appuya très fort sur sa main pour faire balancier et se retrouver debout. Elle vascilla quelques secondes puis elle se mit en marche, arpentant la maison à pas lents, ses pieds traînant sur le sol, usant petit à petit le tissu de son déguisement de chat.
Elle parvint jusqu'à un endroit où les filles se lançaient des miettes de pain. La nourriture était abondante en ce moment et les fillettes en profitaient pour se lancer des bouts de pain. Evidemment, elles ne voulaient pas gaspiller et ne s'envoyait que des miettes. Parfois, certaines, un peu plus audacieuses, prémâchaient leur projectile avant de l'envoyer sur l'ennemie.
Au milieu de ce cafarnaum, Miyoko s'assit en tailleur et attrapa les bouts de pain qui traînait autour d'elle. Elle retirait son pouce le temps de les enfourner dans sa bouche, puis, le temps qu'elle en cherchait un autre, son pouce revenait se loger dans son domaine particulier.

C'est alors qu'au milieu des cris des filles de La Maison, la porte s'ouvrit avec un grand fracas qui fit sursauter une bonne moitié de l'assemblée, tandis que Miyoko continuait de déjeuner. Elle était loin d'être sourde, mais tant que les choses ne la concernaient pas personnellement, elle ne voyait pas l'intérêt de s'en préoccuper.

34
Prélude / Re : Miyoko Sasake
« le: dimanche 01 février 2009, 17:31:34 »
*Regarde tous les grands monsieurs avec ses petits yeux tout ronds, en suçant son pouce.*

"Merchi"

Merci pour l'accueil :p ça fait du bien de rire et de sentir son perso câliné :-D

35
Le coin du chalant / Re : [Script Commun]"Don contre la maison"
« le: dimanche 01 février 2009, 17:28:55 »
"Don, c'est un vilain gros méchant alors il gagnera pas !"

==> Je commence à avoir vraiment hâte de commencer et de voir ce que ça donne !!!

Bon ok j'avoue je suis démasquée... RP avec Don me manque  :-[

36
Prélude / Miyoko Sasake
« le: samedi 31 janvier 2009, 19:37:12 »
Nom : Sasake
Prenom : Miyoko
Surnom : Mimi/Miyo

Age : 12 ans et 7 mois

Sexe : Fillette

Race : Humaine

Orientation sexuelle: trop jeune pour savoir cela

Description physique :
Miyoko est une toute petite fille. Bien sûr, elle va certainement grandir, mais même par rapport aux filles de son âge, elle semble toute petite.
Depuis son arrivée dans la rue (et à la maison) elle porte toujours le même déguisement de chat. Confectionné en lin très doux et en laine, il lui sert à la fois de pyjama et de manteau pour sortir. Ce vêtement ample cache toutes les formes qu'elle ne possède de toute façon même pas.
Ses cheveux sont châtains clairs, longs et attachés par de petits noeuds roses. Cependant, lorsqu'elle porte la capuche de son déguisement, on ne voit que la frange qui dépasse, ce qui lui donne l'air d'une fille aux cheveux courts.
Son visage est rond, ses yeux sont ronds, sa bouche est ronde. Tout chez Miyoko rappelle la rondeur ou la courbe, comme le ferait le corps d'un nourrisson bien portant. Si sa bouche semble ronde c'est parce qu'elle suce encore son pouce, et ce, plusieurs heures durant la journée et la nuit ; et lorsqu'elle n'a rien dans la bouche, elle garde une petite expression mi-surprise mi-simple d'esprit.

Caractère :
Miyoko est une grande rêveuse. Mais pas au sens ou on l'entend. En fait, elle a plutôt beaucoup d'imagination, comme tous les enfants de son âge. Et elle reste souvent plongée dans cet univers qu'elle se crée. Elle n'est pas du genre à voir des dragons se promener dans les rues ou des fées lui murmurer à l'oreille, mais pour elle, les hommes sont soit des "vilains méchants" soit des "gentils tout plein".
Elle est directe et franche et ne connaît pas l'art de la diplomatie, du tact ou du mensonge. Son esprit reste encore très enfantin. Les toits sont rouges, le ciel est bleu, l'herbe est verte, le soleil est jaune et chaud, la pluie est froire et mouille, le vent pique les yeux, la nuit est faite pour dormir et le jour pour chercher à manger. Pour Miyoko rien est compliqué. Tout peut se résumer simplement, et c'est ce que fait son esprit et sa bouche d'enfant.

Histoire :
Miyoko avait des parents, ils étaient riches et ils lui faisaient des cadeaux. Mais sa mère n'aimait pas que Miyoko mette son déguisement pour aller à l'école et son père rentrait tard le soir. Un jour, en rentrant chez elle, elle vit son père à la maison. Il était rentré plus tôt et discutait avec sa mère. Miyoko monta se changer et enfila son déguisement. Lorsqu'elle redescendit, papa et maman étaient fâchés l'un contre l'autre et pour ne pas avoir mal à la tête, la fillette sortit prendre l'air. Elle marcha beaucoup puis revint chez elle.
Papa n'était plus là et maman faisait dodo sur le carrelage de la cuisine.
Miyoko s'assit sur le canapé et attendit en suçant son pouce. Les heures passaient et la fillette commençait à avoir faim, mais sa mère ne se réveillerait plus et son père était parti à jamais. Quand la nuit tomba elle s'endormit. Quand le jour se leva, elle fouilla dans le frigo et les placards, et mangea ce qu'elle put. Elle resta chez elle encore quelques jours puis partit (il n'y avait plus rien à manger de bon et sa maman ne sentait pas bon), sans rien emporter d'autre que son déguisement.

Miyoko marcha longtemps mais ne sortit jamais de la ville. Quand elle en eut marre de marcher, elle s'assit contre un mur et suça son pouce, la tête baissée. Sa capuche recouvrait sa tête et l'on ne voyait plus son visage.
Lorsque les gens passaient devant elle ils la regardaient et s'appitoyait sur le sort d'une pauvre petite abandonnée. Certains lui lançaient des pièces et d'autres lui donnaient des bouts de pain. C'est ainsi que Miyoko fit son repas du soir avant de s'endormir.

Le lendemain, elle marcha, s'arrêta, reçut de l'argent, mangea ce qu'on lui donnait. Et ce, plusieurs jours durant. Une fois, personne ne lui avait rien donné et elle resta de longues heures à baver devant une devanture de boulanger. A la fin de la journée, le gros homme gentil tout plein qui tenait la boutique lui donna des gâteaux qui ne s'étaient pas vendus.
Et puis un jour vint la pluie. Miyoko aimait beaucoup la pluie parce qu'elle pouvait sauter dans les flaques et éclabousser tout autour. Mais la pluie donnait froid et elle mouillait. La petite fille avait toujours pu rentrer se changer chez elle, mais elle ne pouvait plus. Elle se mit à l'abri et s'enrhuma. Elle resta plusieurs jours sous son abri, à grelotter, éternuer et frissonner.

Heureusement, une fille à peine plus âgée qu'elle la découvrit. Ou plutôt, elle remarqua un petit tas de chiffons crasseux ressemblant à un chat mouillé qui gigotait d'une façon étrange. La fille s'était approchée et avait soulevé un chiffon (la capuche) pour découvrir une enfant malade. Elle lui avait sourit et tendu la main. Miyoko l'avait regardé avec ses yeux ronds comme des billes et ses joues rougies par le froid et la maladie, puis elle avait pris la main.
Elles avaient marché toutes les deux jusqu'à une baraque au milieu des bois qui semblait inhabitée et y avaient pénétré. Là, Miyoko avait fait la connaissance de plein d'autres filles qui lui avaient toutes montré plus ou moins d'affection, mais toutes s'étaient accordées pour lui offrir le gîte en attendant qu'elle fasse ses preuves.

Ainsi, Miyoko avait pu se rétablir assez rapidement, avec des médicaments volés et de la nourriture plus équilibrée, certainement volée elle aussi. Elle avait un toit sur la tête qui la protégeait de la pluie et une couverture pour la nuit lorsqu'il faisait froid. Elle avait des amies et aimait beaucoup les regarder entrer et sortir de la maison à toute heure de la journée, en suçant son pouce.
Une semaine plus tard, Miyoko dut ramener sa part de vivres. La petite ne savait pas voler, mais son allure faisait pitié dans son vieux déguisement sale et les gens continuaient à leur offrir des restes quand elle restait trop longtemps devant chez eux, soit par appitoyement, soit pour la faire partir parce qu'elle leur enlevait des clients.

Bientôt, Miyoko eut des habitués. Le lundi, elle allait voir le boucher ; le mardi, le boulanger ; le mercredi, l'épicier ; le jeudi, la poissonnière ; et le week-end, elle allait dans les parcs ou devant des maisons de riches. Comme cela, elle ramenait toujours de quoi manger pour une personne ou deux, et un peu d'argent qu'elle avait amassé en restant assise dans un coin de la ville. Son innocence attirait la sympathie des gens et personne ne se méfiait d'elle au point de la suivre jusqu'à La Maison.
Les filles qui habitaient avec elles lui avait laissé sa place sous l'escalier. Un petit coin juste à elle où elle aimait rester assise à regarder les autres. Elle était heureuse et personne ne lui voulait du mal.

Situation de départ : vierge, à son âge, ce n'est pas le genre de chose à laquelle on pense


Comment avez vous connu le forum: doublette pour le script


Pages: 1 2 [3]