Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Aleksandra Letukiene

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One Shot / Re : Bienvenue chez nous ! (pv avec Aleksandra)
« le: vendredi 28 décembre 2018, 18:35:38 »
L’esclave s’était brièvement inclinée devant sa maîtresse avant de quitter le salon pour rejoindre son éternelle tâche dans la grande bibliothèque. Dans son esprit se bousculait toujours tout un tas de scénarios divers et variés qui finissaient toujours très mal pour la pauvre jeune femme qui se torturait elle même. Elle doutait d’elle même évidemment mais elle ne pouvait pas s'empêcher de se méfier des promesses que sa maîtresse pouvait bien lui faire. Elle ne la pensait pas méchante au point de la trahir sans raison mais rien ne garantissait que sa maîtresse ait de bonnes intention envers son esclave.

Quelques jours plus tard, les maîtres étaient partis et le jeune maître était devenue en effet le chef de la maison. Le personnel s’était rapidement adapté, l’esclave beaucoup moins. Le jeune maître la terrifiait et, même si elle avait fait en sorte de se trouver dans son entourage pendant les premiers jours, elle se sentait beaucoup mieux lorsqu’elle effectuait ses tâches quotidienne à savoir nettoyer la bibliothèque et s’occuper des salles de bains de tous le manoir.

Ce jour là, l’esclave portait comme à son habitude sa tenue de maid qui couvrait correctement le bas de son corps mais qui offrait complètement toute sa poitrine. N’importe qui pouvait, en tirant légèrement sur le vêtement, libérer la poitrine gonflée par les vêtements trop serré. alors qu’elle faisait tranquillement les poussières de la bibliothèque, une tâche plus longue qu’elle n’était dure. Elle le faisait depuis déjà une heure, a force de rester debout et de faire toujours la même tâche répétitive, son dos commençait à lui faire mal et son bras s’engourdissait.

C’est alors que le jeune maître apparut derrière elle. Elle fut au départ surprise évidemment, elle ne s’attendait pas à ce qu’il rentre aussitôt. Mais surtout, il ne lui avait pas ou très peu parler depuis les quelques jours d’absence des maîtres. Puis rapidement la surprise laissa place à la peur et au doute. Elle se souvenait évidemment de ce que sa maîtresse lui avait demander de faire. En revanche elle se trouvait seule dans une pièce où personne ne venait jamais à l’exception de sa maîtresse, avec le jeune maître, celui qui avait le don de lui faire peur rien qu’avec un regard.

Instinctivement, elle se rapprochait de la bibliothèque, son dos touchant presque le bois des étagères encore poussiéreuse. Elle baissa la tête devant lui, cherchant à tout prix a éviter son regard, le simple fait d’être en sa présence la terrifiait suffisamment. L’esclave ne comprenait pas vraiment ce qu’il voulait dire lorsqu’il parlait de chien de garde mais elle ne voulait pas vraiment en savoir plus la dessus, sortir de cette situation était déjà sa priorité, mais elle n’avait aucune idée de comment faire.

-Bonjour jeune Maître. J’espère que votre journée était bonne. Que puis-je faire pour vous servir ?

Récitait-elle machinalement, ses bras qu’elle avait joint derrière son dos dans un geste un peu formel tremblaient. Sa voix était hésitante et sa peur pouvait aisément se faire ressentir ou au moins vu au regard de son hésitation. Même si le jeune maître disait vouloir discuter, l’esclave se doutait qu’il avait quelque chose d’autre derrière la tête. Il voulait forcément plus qu’une simple discussion avec une esclave, surtout lorsqu’il avait ce regard qui faisait trembler les jambes d’Aleksandra.

-Je vous écoute jeune Maître.

Dit-elle d’une manière très soumise, la tête baissée, rentrée entre ses épaules, un peu comme une bête habituée à être battue et qui s'attendait à se prendre un nouveau coup, ce qui n’avait pas du tout été systématique depuis l’arrivée de l’esclave dans le manoir. Gardant dans un coin de la tête les consignes provenant de sa maîtresse, l’esclave attendait avec appréhension les prochain mot du jeune maître.

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One Shot / Re : Bienvenue chez nous ! (pv avec Aleksandra)
« le: vendredi 28 décembre 2018, 16:02:02 »
La maîtresse avait finalement lâché le visage de l’esclave qui avait fait un petit pas de recul, peut-être de crainte de voir à nouveau ses joues être coincées entre les doigts sévère de sa maîtresse. Celle-ci avait alors commencé à exposer la situation, le problème. C’était principalement le fils cadet de son mari le problème. Issu d’une infidélité. L’esclave avait déjà compris que sa maîtresse ne le portait pas vraiment dans son coeur.

La situation et l’ordre étaient suffisamment simple au final. Elle devait simplement surveiller le fils cadet et lui obéir. Par contre l’ordre de as maîtresse comprenait que l’esclave devait se laisser toucher, se laisser faire, peut-être même céder aux avances du jeune maître. L’idée qu’un humain, qu’un mâle puisse à nouveau passer ses doigts sur sa peau avait le don de provoquer la panique chez elle. Son coeur battait fort et des images qu’elle aurait préféré oublier et ne plus jamais imaginer apparaissait dans son esprit.

Cependant sa maîtresse avait toujours été plutôt gentille avec elle. Elle ne lui faisait pas encore complètement confiance, loin de là, mais elle avait de moins en moins peur en sa compagnie. L’esclave avait donc envie de lui obéir, de satisfaire ses désirs. Elle espérait seulement que le cadet était un minimum civilisé et qu’il ne déciderait pas de forcer son chemin sur l’esclave sans défense.

L’idée d’être livrée à elle-même durant quelque jour était loin d’enchanter l’esclave. Elle se voyait déjà entre les mains du jeune maître, qui avait le don de lui faire particulièrement plus peur que les autres mâles de la maison, la manière qu’il avait de regarder la servante par exemple, faisait trembler l’esclave de tout son corps.

-Oui Maîtresse, je comprends. Mais pourquoi quelqu’un croirait à ce que je vous rapporterai ? Je ne suis qu’une esclave, ma parole contre celle du jeune maître ne vaudra rien…

C’était une autre de ses grandes peur. Que la maîtresse demande à l’esclave de témoigner de ce qu’il s’était passer durant l’absence des maîtres devant d’autres personnes et que l’on accorde aucun crédit à ce qu’elle dirait, pire encore, que le jeune maître cherche à se venger d’elle.

C’était d’ailleurs un autre sujet de préoccupation, Aleksandra savait qu’elle avait du mal a mentir ou à cacher quelque chose. Qu’est-ce qu’elle pourrait répondre si jamais le jeune maître commençait à poser des question insistantes sur son comportement avec lui ? Et s’il venait à se douter de quelque chose ? Et comment sa maîtresse réagirait si elle apprenait que l’esclave avait trahi sa confiance ? Beaucoup de doute d’un coup, facilement visible dans ses yeux et dans son comportement. Elle s’était soudainement mise à trembler plus fort que d’habitude et son regard était perdu sur le sol.

Elle secoua légèrement la tête pour reprendre ses esprits et releva brièvement les yeux pour regarder sa maîtresse. elle voulait sincèrement lui obéir, pour s’assurer que sa vie ne soit pas plus difficile d’une part mais surtout en remerciement de la “bienveillance” qu’elle avait a son égard.

-Je ferai de mon mieux pour vous satisfaire Maîtresse.

Dit-elle en inclinant légèrement la tête en avant, son visage exprimait toujours une forme de doute mais sa voix semblait plus déterminé que d’habitude.

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Dictature d'Ashnard / Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]
« le: vendredi 28 décembre 2018, 02:39:12 »
Encore une fois, Aleksandra changeait de main. Après avoir servi Madame de Cordanno quelques années, celle-ci avait finalement décidé de la vendre. L’esclave avait tout de même eut le droit à des explications. Besoin de sang neuf d’une part, risque pour la santé de l’esclave de l’autre. Le côté chétif de son corps avait peut-être fini par déplaire et a inquiéter. Après tout, une esclave qui meurt parce qu’on a trop pris de son sang ne pouvait plus se montrer utile. Elle avait donc été vendue et rapidement après, elle s’était retrouvée dans un autre manoir, servant d’autres personnes, entourée d’autres esclaves. Cette fois-ci elle n’eut même pas le temps de s’adapter que déjà, on s’était débarrassé d’elle.

Même si elle y avait raconté la vérité, en expliquant que le linge de maison avait eut quelques soucis suite à une mésaventure avec une sirène, on ne lui avait pas fait confiance. De toute façon le majordome avait tout de suite eut une dent contre elle, elle le sentait et il était terrifiant. Son départ de ce nouveau manoir avait finalement été quelque chose de plutôt positif de son point de vue. La-bas elle devait dormir avec les autres esclaves, elle était souvent maltraitée et il n’y avait que des humains, elle vivait dans une peur constante que quelqu’un décide de lui faire comprendre sa place, même parmis les esclaves.

C’était donc en pleine nuit qu’on était venue la chercher. Le majordome l’avait attrapé par le bras, lui avait fait revêtir sa tenue de maid et l’avait conduite jusque dans un chariot dans lequel on lui mit un bâillon avant de l’emmener loin du manoir. Le voyage s’était déroulé relativement bien, le chariot était menée par quelques humaines vendeuse d’esclaves qui se faisaient un plaisir de récupérer des esclaves en douce avec l’aide du majordome. Elle n’était pas la seule du chariot à avoir été enlevée dans la nuit ainsi. Une demi-douzaine d’autres esclaves femmes avaient été prise dans le même dortoir. Le chariot roula longtemps à travers les champs, les forêts et les terres abandonnées. La seule pause de la journée c’était durant l’après-midi, les esclavagistes profitérent des quelques esclaves du chariots pour qu’elles préparent le repas. Immédiatement finit, elles durent remonter dans le chariot et attendre le départ.

C’est plusieurs heures après que le chariot avait atteint sa destination. La capitale impériale. Les humaines laissèrent le chariot devant les portes et guidèrent les esclaves dans la ville. On les guida jusqu’au manoir Cabbia, famille dont tous les esclaves présents ignoraient tout. Elles furent enfermée dans la cave et on les laissait s’y reposer pour quelques heures avant la soirée. La cellule était petite et faite de pierre grise et froide. Elle aurait été très acceptable pour une personne, parfaite pour deux esclave, mais pour six elle était trop petite. Alors que les cinqs autres esclaves se tenaient très proches les unes des autres pour se tenir chaud, Aleksandra s’était recroquevillée seule dans son coin. Le personnel du manoir avait laissé à disposition une grande bassine d’eau dans laquelle les esclaves pouvaient boire. Même si les autres esclaves n’avaient pas empécher Aleksandra de boire, celle-ci n’osait pas demander.

Finalement, le soir était tombé sur la capitale et peu à peu, les esclaves enfermés dans la caves pouvaient entendre au dessus d’eux un brouhaha naître sans qu’ils ne sachent vraiment ce qu’il allait se passer. Un par un,  des serviteurs du manoir venaient chercher une cellule d’esclave pour les guider à l’étage d’au dessus. Comme aucuns ne redescendaient, les esclaves toujours dans les cellules commençaient doucement à s’inquiéter. En particulier Aleksandra, recroquevillée et seule, qui pouvait entendre les murmures des autres esclaves qui proposaient des scénarios chacuns plus terribles que les autres. Tremblant de plus en plus a chaque instant, elle n’arrivait même pas a trouver l’idée de se calmer ou de relativiser, d’espérer quelque chose qui ferait avancer sa situation.

Ce fut finalement le tour de sa cellule d’être conduit au rez-de-chaussé. Elles firent un bref passage dans un riche salon qui s’était improvisé salon de coiffure, de maquillage et tailleur expresse. Un maquillage peu cher fut appliquer sur chaque esclave pour les rendre plus attirantes, dissimuler quelques défauts du visage. Les cheveux étaient nettoyés et mit en valeur, un parfum bon marché appliquer pour camoufler l’horrible odeur de fauve que chaque esclave avait attrapés pendant le voyage. Finalement un passage devant un tailleur expresse qui ne réparait aucun vêtement mais qui avait le talent de les nettoyer, visuellement, d’un coup de main et de camoufler les petites imperfections. Les esclaves qui ne portaient aucun vêtements spécifique paraissait nu, Aleksandra garda sa tenue de maid, un simple coup de mains de la part du tailleurs rendait sa tenue parfaitement repassé, propre et mettait sa poitrine bien plus en valeur. Après le passage avec le tailleur, un homme écrivait sur le bras de chaque esclave un numéro composé de trois chiffres, 6 4 et 8 étaient ceux d’Aleksandra. Dernier détail, on passait autour du cou de chaque esclave un collier de cuir, celui d’Aleksandra était rose vif.

Une fois que les esclaves étaient prêtes, on les guidait jusqu’à une sorte de petit théâtre, regroupant les esclaves dans les coulisses. Un par un, ils passaient sur la scène, devant une foule de riches personnes aux intentions différentes et aux idées plus ou moins mauvaises. Le bruit que faisait les enchères terrifiait Aleksandra. Elle se voyait déjà appartenir à un ignoble pervers qui ne cesserait d’abuser de son corps et de la maltraiter, ne lui laissant aucune chance pour s’enfuir et la condamnant à ses mauvais traitement jusqu’à ce que son corps ne l’abandonne. Elle préférait encore finir enchainée au fond d’une mine plutôt que d’être vendue à un tel individu. Malheureusement le choix n’était pas le sien. Elle voyait ses collègues passer les unes après les autres et son passage s’approchait. Son coeur battait terriblement fort, tellement qu’elle sentait une douleur vive à sa poitrine. Sa respiration se faisait plus rapide, plus saccadée, ses jambes tremblait et elle craignait de s’effondrer devant toutes les personnes présentes.

Un petit coup de bâton dans son dos lui donna le signal, c’était à elle de passer. L’idée de finir comme jouet sexuel pour un immonde porc luttait contre le scénario ou personne ne voudrait d’elle. Un garde attache une laisse à son collier avant de la tirer jusqu’à la scène. Son corps tout entier tremblait à l’unisson, elle fixait le sol. Croiser le regard de n’importe qui aurait pu lui faire perdre son calme et elle aurait même pu pleurer si elle avait aperçu le porc de son imagination. Une femme sur la scène présenta l’esclave. Elle n’écoutait rien, ne comprenait rien. Elle attendait simplement le signal qui lui dirait de quitter l’espace. Après ce qui lui semblait comme une éternité, sans écouter quoi que ce soit, simplement à attendre et à espérer quitter cet endroit le plus vite possible, elle sentit la laisse tirer sur le collier. Le garde l’emmenait jusqu’à une salle plus reculée dans le bâtiment.

Elle fut emmenée jusqu’à une grande salle de bal dans laquelle tous les esclaves étaient regroupé, en attendant que leur nouveau propriétaire vienne les chercher ou bien que la vente aux enchères se termine. On l’accompagna jusqu’à un coin de la salle, à côté d’un autre esclave, grand, musclé, nu. Elle reçut l’ordre de ne plus bouger, on détacha la laisse pour la réutiliser et le garde alla voir un homme qui portait un registre. Elle les aperçut échanger deux mots puis l’homme au registre inscrire quelque chose sur ses grandes pages. L’attente était à nouveau très longue, chaque esclave partait un par un selon les envies de leurs nouveaux propriétaires. Des membres du personnels étaient partis voir les nouveaux propriétaire, leur demandant ce qu’ils préféraient pour récupérer leurs nouvelles acquisition. Ils pouvaient être livré chez eux, leur être donner de suite en main propre, devant tous les autres invités, ou bien aller les chercher dès qu’ils le voudraient dans la salle de bal.

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One Shot / Re : Bienvenue chez nous ! (pv avec Aleksandra)
« le: vendredi 28 décembre 2018, 01:15:38 »
Aleksandra avait rejoint, il y a plusieurs mois, une nouvelle maison, une nouvelle famille. Une famille humaine a son grand damn. Elle n’avait pas vraiment à s’en plaindre cependant. Déjà ce n’était pas son genre de se plaindre mais surtout, la famille qui avait décidé de l’acheter n’était pas méchante. La mère de famille, celle qui chapeautait la maison, le personnel, était gentille avec elle et tout était fait pour que la jeune esclave ait confiance en eux. Mais ça ne changeait rien, même plusieurs mois après, elle était toujours très nerveuse avec les autres et souvent, lorsque les gens levaient la mains près d’elle, que ce soit agressivement ou non, elle avait le réflexe de rentrer sans tête entre ses épaules, en espérant éviter un coup ou bien au moins ne pas trop en souffrir.

La famille se composait, d’après ce qu’elle avait pu comprendre, de cinq personne. Trois enfants, dont l’un n’était pas bien apprécié de sa maîtresse. L’ainée passait parfois dans le manoir mais évidemment, l’esclave n’avait pas fait sa connaissance, elle avait à l’occasion servir du thé à elle et à son maître mais aucune parole ne lui avait adressée. Il y avait aussi le premier fils mais celui-ci apparaissait très rarement dans les conversations, à la limite une remarque cinglante de la part de la maîtresse de maison. Et enfin, le cadet. Celui qui ne possédait pas les faveur de la maîtresse, celui que l’esclave côtoyait le plus souvent, celui dont elle avait le plus peur.

Ce jour là, Aleksandra avait travaillé, comme d’habitude, d’arrache-pied pour que l’on ne puisse rien lui reprocher. Ses expériences précédentes lui ont montrer qu’un léger écart pouvait lui priver de pain pour toute une journée. Elle avait principalement veiller à ce que les lits soient parfait, le bain de maîtresse a la bonne température a la bonne heure et son thé suffisamment sucré. Le maître n’était pas encore rentré et Aleksandra se trouvait non loin du salon, dans la bibliothèque, occupée à faire les poussières, elle ne pouvait pas ranger les livres puisqu’elle ne savait évidemment pas lire. C’est alors que sa maîtresse l’appelait dans le salon. Elle abandonna rapidement son travail pour se présenter, inclinant légèrement le dos, comme à chaque fois qu’elle se présentait devant sa maîtresse, son coeur battait plus fort et son corps tremblait légèrement. Elle aurait pu apprendre a la connaitre et à lui faire confiance mais une forme de méfiance et de peur subsistait.

-Oui Maîtresse ?

Dit-elle en inclinant légèrement le dos, ses mains dans ses gants, jointes devant son tablier de servante. Son dos, parfaitement droit, elle regardait le sol, la tête légèrement baissée. On aurait facilement pu la comparer à une enfant que l’on grondait, pourtant sa maîtresse parlait d’un ton neutre, ni méchant ni gentil, simplement neutre. Elle écouta attentivement ce que sa maîtresse lui disait, acquiesçant de la tête pour signifier qu’elle comprenait ce qui lui était dit. Jusque là, rien de bien compliqué. Simplement faire son travail de tous les jours tout en portant une attention particulière au fils cadet, celui que sa maîtresse n’appréciait pas, et suivre les instructions des autres serviteurs du manoir.

C’est à ce moment qu’elle sentit ses joues se faire écraser par les doigts de sa maîtresse, sa voix s’était faite plus dure, plus sévère et en accord avec ses mots, plus menaçante. L’esclave tremblait de plus belle, osant encore moins lever les yeux. Elle devinait le regard noire que sa maîtresse devait lui jeter. Sa terreur allait de plus belle en comprenant qu’elle serait maltraitée si jamais elle venait à échouer à l’ordre que sa maîtresse s'apprêtait à lui donner.

-Oui Maîtresse, personne n’en saura rien et j'agirai selon vos ordres.

Sa voix était aussi tremblante que son corps et ses yeux avaient pris le risque de remonter jusqu’au regard bleu mais terrifiant que lui jetait sa maîtresse. Immédiatement après la fin de sa phrase, elle abaissa son regard, fuyant de nouveau celui de sa maîtresse. Sa tête avait légèrement disparue entre ses épaules. Le ton sévère et menaçant que sa maîtresse avait soudain adopté suffirent à lui faire comprendre qu’il valait mieux obéir et réussir.

Elle se trouvait dans l’attente de la suite, de ses ordres, craignant le pire. Que devait-elle faire qui nécessitait une telle menace et surtout une telle discrétion envers son propre maître ?

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Dictature d'Ashnard / Re : Une vie ne tient qu'à un fil de pêche [PV : Lyli]
« le: jeudi 27 décembre 2018, 01:20:17 »
Aleksandra avait fermé les yeux en ne voyant que l’eau au dessus d’elle ainsi que les rayons du soleils qui perçait le liquide. Les secondes paraissaient des minutes et les minutes des heures alors qu’elle s’étouffait et avalait plus d’eau qu’il ne lui en fallait.

Pourtant elle rouvrit les yeux en toussant et en crachant toute l’eau qu’elle avait dans ses poumons. Elle s’agitait, complètement déboussolée. Le soleil forçait ses yeux à se refermer légèrement, ils n’étaient plus habitué à la lumière. Soudain, elle sent une main sur sa bouche, la forçant à faire moins de bruit. Finalement son esprit se remit en phase avec ce qu’il se trouvait autour d’elle et elle remarqua une femme se tenant sur elle, son index dressé devant ses lèvres pour faire signe à l’esclave de se taire. Elle mit encore quelques secondes avant de comprendre.

Ce fut le murmure de la femme au dessus d’elle qui lui fit remarquer les bruits de sabots au dessus de la berge. Son coeur battait terriblement fort et vu la position de la femme, elle devait le sentir. Si se retrouver si proche d’une humaine était terrifiant pour elle, elle comprenait facilement que se retrouver au milieu d’une dizaine d’homme, à cheval, et dont faisait probablement parti le malandrin qui avait décidé de la propulser dans l’eau, n’était guère plus réjouissant.

Mais tout l’eau n’était pas encore sortie de ses poumons et alors que la main relâchait doucement la pression, une nouvelle quinte de toux tentait de sortir. Elle se concentrait alors pour la garder bloquer, pour la retenir le plus longtemps possible. Elle entendait les sabots des chevaux s’éloigner lentement mais ils n’étaient pas encore assez loin, ils l'entendent et elle le savait. Concentrée et stressée, elle attrapait l'herbe sous ses doigts et tirait dessus pour laisser sortir une forme de stress.

Après quelques instants, elle n’entendait plus rien, elle était convaincue que les cavaliers étaient suffisamment loin pour ne pas entendre sa toux. Elle tourna la tête, pour ne pas cracher toute l’eau sur sa sauveuse et pris une grand bouffée d’air. Finalement, elle allait mieux, elle pensait pouvoir respirer normalement. Mais les ennuis n’étaient pas terminé, ce n’était pas le cas pour elle. Elle était trempée, sa tenue était sale et elle avait perdu le linge que le manoir lui avait ordonné de laver. Pire encore, elle se trouvait entre les mains d’une femme, humaine apparement.

Elle parvint à la regarder un instant avant de finalement détourner les yeux, par peur. Elle était un peu coincé. Elle n’était pas assez fort pour la soulever ou pour la repousser, elle n’aurait de toute façon pas eu le courage de le faire. De la même manière elle n’osait pas vraiment ouvrir la bouche pour lui demander de se décaler. Tremblante, de froid et de peur, elle détournait le regard et préférait regarder la rivière. Même si elle venait de manquer de se noyer et même si à cause de cette eau elle se ferait probablement sévèrement punir une fois rentrée, le bruit de la rivière parvenait tout de même à l'apaiser dans une certaine mesure.

-Je… Est-ce que… Excusez… Commença-t-elle en la regardant d’un air gêné et avec une voix tremblante. Pardon…

Elle arrêta de parler, se sentant trop gênée, trop idiote. Elle pensait que continuer de parler ne ferait que lui attirer plus d’ennuie et que pour éviter d’empirer les choses, elle ferait mieux de se taire. Elle détourna complètement le regard, espérant fuir le jugement qu’elle craignait de voir dans les yeux de la fille qui se trouvait au dessus d’elle. Dans son esprit, le monde semblait s’arrêter lorsqu’elle réalisait que cette femme était probablement celle qui l’avait sortie de la rivière et que les choses seraient peut-être pire si elle ne se montrait pas un minimum polie.

- Vous me l’eau je, sauver ? Merci...

Les mots se mélangeaient autant sur sa langue que dans son esprit. Elle se trouvait terriblement idiote, le stress et la peur la poussait à dire merci, a parler a cette femme mais de l’autre côté elle ne voulait plus rien dire, juste s’effacer dans le sol tellement elle avait honte d’elle-même. Pour elle, le plus simple a cet instant, c’était simplement de ne plus rien dire, de regarder la rivière et d’attendre sans bouger que la femme fasse quelque chose.

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Dictature d'Ashnard / Une vie ne tient qu'à un fil de pêche [PV : Lyli]
« le: mercredi 26 décembre 2018, 16:41:35 »
Quatre violent coup de poing contre la porte en bois. C’était avec cela que les gardes du manoir réveillait les esclaves tous les matins. Une trentaine de corps humains se dressèrent sur leur jambes et rapidement, ils quittèrent le petit dortoir. Aleksandra était un de ces corps humains qui se dirigeaient lentement vers la porte, suivant le “troupeau”, elle se retrouva dans une grande salle de pierre dans laquelle elle parvint à se munir d’une tenue pas trop abîmés capable de la couvrir convenablement.

Elle jetait un regard nerveux envers ses collègues, elles étaient toutes plus grandes, plus fortes, parfois plus intelligentes, qu’elle. Et chacune lui faisait terriblement peur. Tachant de ne toucher aucune d’entre elle, la servante alla se présenter à un majordome, bien habillé et avec des manières très nobles. Sans dire un mot, il désigna un panier rempli de linge et de savon aux pieds d’une grande étagère. Aleksandra se dirigea vers le paniers et le souleva avec difficulté. Il était bien trop lourd pour elle mais échouer à ce genre de tâche lui vaudrait une punition qu’elle voulait éviter par dessus tout. Un regard noir de la part du majordome lui fit facilement comprendre qu’elle ferait mieux de bien faire son travail.

Une fois sortie du grand manoir, la jeune demoiselle pris le chemin de la rivière la plus proche, suant à grosse goutte et haletant comme un boeuf. Elle lutta durement pour rejoindre le point d’eau sans faire de pause. Elle n’était debout que depuis une heure grand maximum, n’avait pas pu manger un seul morceau et elle était déjà à bout de force, de souffle. Elle prit avec ses mains un peu d’eau qu’elle porta à ses lèvres, afin de se rafraîchir légèrement avant de se mettre au travail de manière diligente. Au bout de deux heures, elle fut à peu près satisfaite de son travail, replia légèrement les linges encore trempé et se leva pour prendre le chemin du retour.

Il n’était pas encore midi, le soleil tapait très fort et le poids total que devait supporter le frêle corps d’Aleksandra était trop important. En plus de ça, le manque de nourriture se faisait clairement sentir et peu à peu elle commençait a avoir le vertige, la forçant à faire de plus en plus de pauses sur le bord de la route. elle savait cependant que si elle ne rentrait pas suffisamment tôt, elle n’aurait rien à manger de la journée et qu’en plus, elle devrait subir une sévère punition, le manoir n’apprécie pas les esclaves trop lente ou fainéante.

Elle décida de faire une courte pause au milieu d’un petit pont. Elle appréciait le calme des environs ainsi que le bruit de l’eau qui coulait en dessous. Elle aimait voir les reflets clair du soleil dans l’eau fraîche et les poissons nager innocemment dans l’eau, sans se soucier de ce qu’il pouvait bien se passer a la surface. Elle ne se rendit pas bien compte du temps qu’elle passait là à rêvasser et à perdre du temps. C’est finalement une course de cheval qui la tira de sa rêverie.

Elle tourna la tête pour voir une dizaine de cavaliers se diriger vers le pont, devant eux une femme qui semblait les fuir. Aleksandra se plaqua sur la rambarde pour laisser de la place et pour ne pas se faire avoir. La femme passa rapidement et facilement, sans même jeter un regard à l’esclave. Ce ne fut pas le cas pour les cavaliers derrière elle. Un d’entre eux, peut-être pour laisser sortir une forme de frustration ou alors par simple méchanceté, donna un violent coup de pied, en plein dans le torse de la jeune femme.

Aleksandra passa par dessus la rambarde malgré ses cris et ses tentatives désespéré pour se rattraper à quelque chose. Elle toucha brutalement l’eau glacée et s’enfonça sans avoir le temps de réagir. Ses cris avaient vidé ses poumons, ses vêtements devenaient encore plus lourd et l’attirait plus profondément dans la rivière. Pire, elle ne savait pas nager ni réagir lorsqu’elle se retrouvait immergé. Elle ne put que paniquer, agiter ses bras dans tous les sens alors qu’elle recherchait de l’air. Rapidement, l’eau infiltrait ses poumons et ses forces l’abandonnaient. Elle perdit connaissance alors que son corps se mourait du manque d’air.

37
Le coin du chalant / Un chemin est composé de rencontres !
« le: mercredi 26 décembre 2018, 14:59:46 »
Coucou ! Nouvellement validé, je cherche quelques petits rp pour occuper ou pour faire évoluer ma petite Aleksandra !
Dans une optique (presque) manichéenne, je vous propose ci-dessous 3 catégories de trames pour des rp.
(Gris ne signifie pas nécessairement neutre ici, simplement que vous pouvez faire le faire évoluer dans le sens que vous voulez)

Spoiler: Noir (cliquer pour montrer/cacher)


Spoiler: Gris (cliquer pour montrer/cacher)



Spoiler: Blanc (cliquer pour montrer/cacher)

Ma messagerie est grande ouverte, si vous avez des questions ou bien des idées a me soumettre !

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Prélude / Peut-on voyager quand on est privé de liberté ? [Valicidée !]
« le: mercredi 26 décembre 2018, 02:52:32 »
Identité : Aleksandra Letukiene
Âge : 23 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Homosexuelle (Mais les propositions de toutes parts sont les bienvenus !)


Physique :
C’était il y a quelques années, vous vous rendiez chez un de ces grands négociants hautes coutures afin de traiter avec lui. Vous êtes vous même un, ou bien une, des plus grand(e)s marchands de textiles, vous vendez des tissus d’une qualité rare et vous désirez vous assurer que l’investissement dans ce projet n’est pas trop risqué.
Alors que vous arrivez devant le grand manoir, après avoir traversé des jardins que l’on qualifierait sur terre de “jardins à l’Anglaises”, vous êtes immédiatement reçu et pris en charge par une belle et jeune servante qui vous attendait devant la porte. Vous luttez pour que votre regard tombe et s’ancre sur le visage de la servante mais vous êtes faible et vos yeux chutent irrémédiablement dans un décolleté qui offre à la fois toute la poitrine et en même temps, qui la gonfle et la fait ressortir. Malgré cet effet vous pouvez sans trop vous avancer affirmer que cette demoiselle dispose d’une poitrine largement supérieure à ce que vous avez l’habitude de rencontrer. Trop faible pour lever les yeux et voir sa réaction, vous n’êtes sorti de votre rêverie que lorsque la demoiselle tourne les talons et se dirige vers le manoir d’un pas calme et lent. A votre plus grande surprise, vous remarquez que l’uniforme qui suggère énormément de front semble beaucoup plus conservateur a l’arrière. Cette jeune servant dispose en effet d’une jupe longue, arrivant légèrement au dessus de ses pieds, juste ce qu’il faut pour qu’elle ne puisse pas marcher dessus. De même, vous parvenez à peine à distinguer le mouvement de hanche de la jeune servante, complètement camouflé par son uniforme, alors qu’elle s’avance vers le manoir.
Vous luttez pour reprendre conscience et vous vous dirigez vers le manoir a sa suite. Vous ne sauriez dire si la jeune fille a suivre le protocole mais vous la suivez, espérant qu’elle n’ait rien dit d’important et qu’elle vous guide bel et bien jusqu’à un salon ou un bureau dans lequel vous rencontrerez ce fameux couturier.

Vous n’avez alors plus de divertissement visuel, vous pouvez donc vous concentrer sur d’autres attribut, moins vulgaire, de cette jeune demoiselle. De dos, vous remarquer un léger soucis, ses bras ne sont pas couvert par des vêtements et alors vous voyez qu’ils sont faible, maigre. Elle ne doit pas faire beaucoup d’activité avec ceux-ci mais même en prenant cette idée en compte, ses bras semblent trop maigre pour une femme disposant d’une telle poitrine et faisant cette taille.
Vous regardez autre chose alors, ses cheveux. Ceux-ci font oublier le rachitisme des bras. Ils semblent si doux, si beaux, vous pourriez jurer que simplement en les regardant, vous sentez avec votre nez une douce odeur de lavande. Ses cheveux sont d’un blanc légèrement argenté, immaculé et long, ils arrivent juste au dessus des hanches de la servante et semblent presque couler comme un ruisseau blanc.

Il semble finalement que vous soyez arriver dans le salon dans lequel vous attend le couturier. La demoiselle vous fait rentrer et vous pouvez, pendant quelques instants, admirer un visage doux, vierge de toute violence, empreint d’innocence et de bienveillance. Cette tête est entourée par de beaux cheveux parfaitement maîtrisé. Votre regard se perd quelques instants dans les yeux d’améthyste jeune fille.
Un timide sourire se dessinant sur ses douces lèvres et un geste de sa main, squelettique en accord avec ses bras, vous invite à entrer dans le salon sans plus attendre. Un homme vous y attend et se lève à votre entrée. Il fait un geste de la tête à la jeune femme et s’approche de vous, vous tendant la main.


-Bienvenue ! Bienvenue ! J’espère que ma belle Aleksandra vous a fait bon accueil ! Vous avez fait bon voyage ?

Les amicalités commence, vous vous serrez la main puis il vous invite à vous asseoir. Vous échangez quelques banalités jusqu’à ce que la servante revienne, portant un plateau sur lequel vous profiter d’un service à thé magnifiquement décoré de motifs forestier bleu et jaune se démarquant sur la porcelaine blanche. En déposant votre tasse sur la table basse qui se situait à côté de votre fauteuil de cuir, vous remarquez que la peau de la jeune fille est presque aussi blanche que la porcelaine.
Avec l’attention la plus délicate possible, la jeune servante s’active à vous servir votre thé, vous proposant sucre et lait qu’elle sert a votre convenance tandis que votre interlocuteur commence enfin à parler de l’affaire qui vous intéresse tous les deux.


-Aleksandra, va te préparer. J’avais prévu une femme d’une sublime beauté pour vous présenter mes pièces aujourd’hui  malheureusement, elle est tombé malade il y a de ça une semaine et elle a dû rentrer chez elle en urgence. J’ai donc dû composer avec ma servante, j’espère que cela ne vous gênera pas trop ?

Après quelques instants ou le négociant vous montrait quelques croquis sur lesquels il travaillait, une jeune demoiselle fit son entrée dans la pièce. C’était Aleksandra mais les vêtements qu’elle portait semblait la transformer complètement. Un rapide coup d’oeil vous permettait de comprendre que le tissu qui composait la robe était de mauvaise qualité. Pourtant, la robe en elle même ainsi que la servante étaient d’une beauté sublime. Elle portait une robe verte émeraude qui était, pour les jambes, beaucoup moins conservatrice que la tenue de servante qu’elle portait et pour le torse, tout aussi ouverte. Vous remarquez alors qu’à l’image de ses bras, les jambes de la jeune fille étaient longues mais terriblement maigre. Vous pouvez deviner derrière le tissu des hanches larges mais sans aucune graisse et qui ont pour résultat des fesses plates et discrètes. Alors qu’elle se déplace vous remarquez que le dos de la robe est ouvert et vous pouvez facilement distinguer un certain nombre de cicatrice relativement discrète mais qui semblent par moment très violentes.
Un geste de la tête de votre interlocuteur et la jeune fille disparaît. Pendant son absence, vous ne pouvez conserver votre question et vous lui demander pourquoi est-ce qu’elle est si maigre alors que dispose d’une poitrine aussi énorme par rapport au reste de son corps.


-Oh ? Ne vous occupez pas de ce détail, c’est un sortilège assez simple et peu coûteux. C’est un de mes… Plaisirs de propriétaire. Si vous voulez, toute sa graisse est concentré au même endroit. Rien de plus qu’une préférence personnelle.

La jeune fille revient vêtue d’une autre tenue. Ces passages s'enchaînent une vingtaine de fois jusqu’à ce que vous ayez fait votre choix. Vous serrez la main de cet homme et quitter sa propriété en vous disant que ce partenariat sera profitable…
Et pourtant vous voici, quelques années plus tard au coeur de l’Empire Ashnard. Alors que vous voyez cette fille, toujours aussi maigre, avec une poitrine moins énorme que dans vos souvenirs, une poitrine presque normale pour une femme qui aurait plus de rondeur, presque nue, un collier autour du cou, forcée de suivre une colonne d’esclave. Vous vous souvenez de cet échange commerciale qui a complètement échoué.


Caractère :

Mon tendre amour,

Cette soirée chez Madame de Cordanno, fut très instructive. C’est une vraie chance que cette dame vampire ait jeté son dévolue sur moi. Son influence et son argent feront rapidement de moi une personnalité importante de l’armée impériale. Cependant je ne vous écris pas pour vous ennuyer avec des détails futils, des tactiques ou encore des intrigues qui permettraient mes promotions non. Je vous écris cette lettre au sujet de l’esclave de Madame de Cordanno. Je sais que vous êtes contre l’esclavage et pourtant je tenais à vous parler de son esclave à elle dans l’espoir que votre avis en soit changé.

Le manoir de Madame de Cordanno dispose d’une bonne centaine d’esclave et pourtant, celle-ci, arrivée la dernière et qui semble en relativement mauvais état, est la favorite de Madame. En effet, cette jeune esclave est totalement soumise et obéissante à sa maîtresse, comme le devrait chaque esclave selon moi. Mais je sais que c’est ce côté “obéissance” et “soumission” qui vous dégoûte dans l’esclavage alors laissez moi poursuivre.

Cette esclave est en fait très heureuse dans sa condition. Alors peut-être serait-elle, sur le moment, plus heureuse une fois libre ? Mais cette joie ne durerait pas, pas pour elle en tout cas. Au début, je la pensais simplement craintive, nerveuse, battue par sa maîtresse comme le montre les nombreuses cicatrice qu’elle porte. Pourtant, c’est aux côtés de sa dite maîtresse que je la voyais la plus détendue. Je me suis alors intéressé à son cas. Madame de Cordanno a bien évidemment déclaré que ce n’était pas un sujet de conversation qui la passionnait mais elle a accepté de répondre à mes questions. Il se trouve que l’esclave est totalement terrifiée par les “mâles” et ce qui y ressemble. Elle se montre aussi très craintive envers les femmes humaines comme j’ai pu le constater lorsqu’elle se trouvait proche de ses “collègues”.

Dans la soirée, nous avons dîner avec Madame de Cordanno. L’esclave était là, c’était la seule de la pièce d’ailleurs. Elle m’a alors confirmée que cette fille était sa préférée et que le fait que Madame de Cordanno ne soit pas, ou plus, humaine et en même temps qu’elle dispose des traits d’une femme, l’esclave se montrait tout à fait docile et en confiance a ses côtés. J’admet que je me suis senti un peu vexée, que moi, capitaine à l’avenir radieux, n’inspire pas confiance à une vulgaire esclave.

Durant le dîner, Madame de Cordanno s’est évidemment servie en sang et elle l’a fait d’une manière brutale, presque sauvage, sur son esclave. Le sang dégoulinant, je crains un instant que mon hôtesse ne décide de laisser mourir son esclave pour me faire un exemple. Mais une fois qu’elle était repue, elle usa d’un léger sortilège pour refermer la blessure de son esclave qui était toujours baignée de sang. Je sais que l’esclave ressentait la douleur, ça se voyait sur son visage et sur ses maigres bras pourtant, elle restait calme et était toujours aussi obéissante.

Puis plus grand chose d’intéressant jusqu’à tard dans la nuit. Il y a peut-être une heure ou bien deux, je suis sorti de ma chambre pour faire un tour. Vous savez mon amour, ce genre de nuit ou je n’arrive pas a trouver le sommeil. Eh bien c’est cette nuit là que je passe actuellement. Cette nuit donc, je suis sorti faire un tour et, dans le coin d’un couloir j’ai croisé l’esclave, assise sur le rebord d’une fenêtre, qui regardait au loin. Au courant de sa terreur pour les humains, j’ai d’abord fait connaître ma présence avant d’approcher lentement. Elle me regardait évidemment avec de grands yeux terrifié mais elle acceptait ma présence au final.

Vous connaissez ma curiosité, j’ai donc démarrer la conversation en lui demandant ce qu’elle faisait ici a cette heure de la nuit. Je trouve en effet curieux que l’esclave d’une vampire, en pleine nuit, ait le droit de vagabonder dans les couloirs et de se tenir aussi proche de la liberté. Elle ne parut pas hésiter un instant avant de répondre qu’elle obéissait à un ordre de sa maîtresse. Elle ment terriblement mal. Sa voix était encore plus tremblante que d’habitude, ses yeux soutenaient mon regard mais je décelais facilement le doute dans ceux-ci. Et pourtant vous savez à quel point je crois facilement à ce que l’on me raconte.

Finalement, un moment de silence et un regard soutenu de ma part et elle craquais, d’abord en m’assurant adorer l’air frais et calme de la nuit, la possibilité d'admirer la lune. Mon regard se faisant toujours plus appuyer même si elle disait la vérité, elle m’avoua honteusement qu’elle se trouvait là car elle espérait trouver un moyen de s’échapper pour rejoindre Tekhos, de l’autre côté du continent. J’étais abasourdie non seulement du fait qu’elle lâchait son plan si facilement mais en plus de sa naïveté en pensant pouvoir rejoindre, en tant qu’esclave en fuite, un pays de l’autre côté du continent.

Elle s’est levée devant mon étonnement, a fermé la fenêtre et a commencée à partir pour rejoindre les ténèbres du le couloir. J’ai alors attrapé son bras pour la retenir mais elle a immédiatement eu un mouvement de recul et alors que j’insistais, elle m’a repousser en se montrant presque violente, sauvage. Comme si ma main avait représenter un danger quelconque pour la peau de l’esclave. Elle a eut de la chance que je sois sous le toit de sa maîtresse, autrement je lui aurais appris à se comporter comme une esclave.

Enfin bref, je vous ai écris cette lettre pour décrire ma soirée et surtout le comportement de cette esclave qui a la chance d’appartenir à une maîtresse comme Madame de Cordanno. Non seulement elle dispose d’une maîtresse puissante et compréhensive mais surtout, le manoir est un endroit ou elle se trouve en sécurité, si elle se trouvait en liberté elle se ferait facilement violée, agressée et si elle devenait esclave dans un champ ou dans une mine, elle deviendrait la victime, le punching ball de tous les autres esclaves. Pensez à cela mon amour, lorsque l’on discutera à nouveau de prendre une esclave ensemble. Elle sera certes notre propriété, disposant de droit et de liberté réduite, mais nous lui offrirons la sécurité et l’assurance de vivre. Je vous demande d’y réfléchir et, pourquoi pas, de commencer à chercher un ou une esclave à qui nous rendrons service en l’achetant.

Je vous aime,

Votre moitié.

P.S : L’ayant dénoncer, sa maîtresse m’a affirmé être déjà au courant et que l’esclave n’était pas capable de cacher quoi que ce soit.




Histoire :
Il se fait tard. Vous rentrez dans une salle dans laquelle se trouve une petite cage. Il fait très sombre et un humain normal ne verrait rien. Vous, grâce à votre sang, vous arrivez à discerner la petite cage ainsi que l’humaine qui se trouve à l’intérieur. Vous vous en approchez doucement et vous asseyez en face d’elle, en tailleur, à même le sol. Les pierres froides ne semblent pas vous dérangez plus que ça. Votre travail ce soir, en apprendre plus sur l’esclave qui se trouve à l’intérieur.

-Bonsoir. Aleksandra c’est ça ? Je suis ici pour en savoir un peu plus sur toi… Peux-tu me parler de ton enfance pour commencer ? Est-ce que tu te souviens de tes origines ? Dites-vous d’un air presque calme, afin de mettre en confiance la jeune femme.
-Je… Je ne me souviens pas d’avant ma première vente… Répond-elle avec une voix abîmée, cassée.
-Je vois… Dans ce cas peut-être peux-tu me parler de cette première vente ?
-Je ne sais plus. Mon Maître m’avait simplement expliqué que mes parents avaient dû me vendre ou bien ils auraient eut des problèmes.

Vous prenez quelques notes sur un morceau de papier. L’Histoire de l’esclave ne vous intéresse pas vraiment mais dans des cas comme le sien, ou vous ne connaissez rien, votre travail consiste souvent à en savoir plus sur ce qui l’a amenée où elle est.

-Très bien. Ce premier maître, raconte moi un peu la vie avec lui, est-ce qu’il était dur avec toi ? Combien de temps l’as-tu servie et pourquoi n’es-tu plus à son service ?
-Je l’ai servie longtemps. Quinze ans selon lui. Il n’était pas méchant avec moi il aimait juste… Toucher quelques endroits… Il ne me faisait jamais mal et il n’était pas trop exigeant. Elle marque une pause, comme une hésitation. Il y a eu un accident et j’ai dû quitter son service.
-Ou est-ce qu’il te touchait exactement ? Vous avez senti l’hésitation et vous savez qu’elle vous cache quelque chose, mais vous n’avez pas vraiment envie de rentrer dans ce que vous considérer comme un détail.
-Mes seins… Il a fait en sorte qu’il n’y ait qu’eux qui prennent de la graisse...

Vous la regardez et remarquer qu’en effet sa poitrine se démarque du reste de son corps mais que dans l’ensemble, poitrine compris, elle est terriblement maigre. Vous seriez même prêt à parier que la cage est plus lourde qu’elle.

-Sortilège j’imagine… Décris-moi tes maîtres après cet homme, si j’ai des questions je te couperai.
-Après lui c’était Madame de Cordanno, il n’y a eu personne entre les deux. Dit-elle encore avec cette légère hésitation. Et elle m’a vendue pour ne pas mettre ma santé en danger à cause de ses habitudes. Elle était très gentille avec moi et je me sentais bien avec elle.
-Tu me mens Aleksandra. Qu’est-ce qu’il s’est passé entre Madame de Cordanno et ton premier maître ? Dites-vous d’un air légèrement agacé, vous forcez un peu le trait cependant
-C’était… C’était un groupe d’hommes… Des humains. Ils me faisaient du mal… Ils étaient violent… Tous les jours...

Cette fois-ci vous savez qu’elle vous dit la vérité et en même temps, vous entendez une certaine forme de détresse dans sa voix, elle tremble, elle sanglote même. Vous finissez d’écrire quelques notes. Vous comprenez que ce groupe d’homme a pris la virginité de cette fille, dans la violence, si elle la possédait encore après son premier maître. Vous vous levez et vous commencez à quitter la pièce, laissant la jeune fille seule en pleure. Vous avez à peu près tout ce dont vous avez besoin de savoir pour estimer son prix et pour pouvoir la revendre.

Autre :
Vous vous intéressez à elle ? Oh évidemment, je comprend ce que vous pouvez lui trouver. On voit rarement une telle paire de… Oh ? Ce qu’il faut savoir ? Pas grand chose… La seule chose a son sujet, digne d’intérêt et que j’ai pu remarquer, c’est que ses cheveux sont toujours parfait et qu’elle les coiffe avec une facilité remarquable, même sans aucun matériel à disposition. Et elle prétend que c'est son premier maître qui l'a fait mais il semble que toute la graisse de son corps soit concentrer dans sa poitrine. Partout ailleurs, elle n'a que la peau sur les os.

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