40
« le: dimanche 18 mai 2014, 18:58:37 »
Amalia commencait à apprécier le lycée, les gens étaient civilisés et surtout très gentil avec elle. Les conseils de Shani avaient effectivement portait ses fruits. Et, sa mission d'assouvir les fantasmes des jeunes filles se passaient plutôt bien. Il y avait vraiment deux types de filles, les affirmées qui prenaient Amalia pour leur salope. Amalia, n'était pas gêné par ça, car elle avait besoin de l'énergie d'une passion sexuelle pour survivre et si la personne la traiter comme une salope et bien disons qu'elle n'hésiter pas à puiser plus que nécessaire dans cette énergie afin de laisser la personne dans un état comateux pendant une semaine. La personne en question revenait alors vers Amalia de façon soumise car dans son esprit c'était la meilleure nuit qu'elle avait passé et en redemandé et elle était donc obligée de se plier aux obligations d'Amalia.
Le deuxième type de fille était la fille soumise qui avait du mal à s'ouvrir. Et là, au contraire, Amalia essayait de la dévergonder pour qu'elle puisse prendre confiance en elle et s'ouvrir aux autres. Bien sur, elle ne les obligeait pas à s'intéresser à elle mais peu de personnes étaient capables de résister au charme d'une succube. Surtout, quand la succube était affamée.
Amalia pénétra donc dans les douches car la fin de la journée commençait à poindre et que les douches servaient aussi pour les locataires du lycée et pas seulement pour les cours de sport. Elle entendait des bruits, des esclaffements mesquins. Elle ne savait pas vraiment ce qui se passait mais une chose était sur, c'était que les personnes à qui appartenait ses bruits jubilaient d'excitation, de perversion. Elle s'approcha de ce bruit, pas parce qu'elle était curieuse de nature mais plutôt que les douches se trouvaient là.
Amalia était habillée classiquement de la tenue écolière que l'école obliger de porter.
Au détour des casiers qui permettaient de ranger ses vêtements, elle aperçue quatre élèves en train de rire de quelque chose. Elle reconnut vaguement la meneuse, elle n'avait pas vraiment retenue son nom mais elle appartenait clairement à la première catégorie de fille de ce lycée. D'ailleurs, Amalia et elle avait eut une relation sexuelle, il y a quelques temps déjà.
Amalia aurait probablement commençait à se déshabiller et à prendre une serviette dans le casier lui appartenant si un détail ne l'avait pas retenue. Une jeune fille probablement moins âgée qu'elle était étendue par terre se faisant arrosée par les quatre autres et se prenant même des couds de pied.
La jeune fille avait ds traits fins et son corps d'adolescente commençait à laisser apparaître des traces de féminités plus affirmées. En effet, des courbes transparaissait dans son t-shirt mouillée. Amalia en la regardant ressentit un petit frisson d'excitation. Ce petit frisson survenait quand elle voyait une femme qui lui satisfaisait assez physiquement parlant. En somme, elle ressentait de l'attirance sexuelle pour cette jeune femme. Peut être était-ce dût que cette jeune femme était classé dans la seconde catégorie ou peut être juste qu'elle était mignonne? Il est difficile d'interpréter les motivations d'une succube.
Quoi qu'il en soit, Amalia ressentit le besoin d'agir et elle savait comment s'y prendre. Elle s'approcha du groupe et leur dit:
-Ma petite chérie, tu devrais arrêter ça de suite si tu veux que l'on se revoie un de ces quatre.
Le groupe se retourna pour voir d'où provenait la voix et la leadeuse commença à dire:
-Dégage de là, si tu veux pas avoir de probl...
Puis, la leadeuse apperçue Amalia et changea de voix se faisant plus douce. Amalia pouvait voir du désir dans ses yeux. Une nuit passée avec une succube pouvait altérer la personnalité d'une personne par bien des manières.
- C'est toi, Amalia? Oui, on.... on va y aller pas vrai les filles? On veut pas de problème, on s'en va....
- Qu'est-ce que tu racontes? répondit une des filles.
-On y va! De toutes manières cette petite pute ne mérite pas qu'on s'intéresse à elle!
Puis, la leadeuse partit suivit des ces trois compères. les Subordonnées se posaient toujours des questions mais n'osaient pas répliquer et partirent.
Une fois les quatre filles partit, Amalia regarda la fille par terre. On aurait dit qu'elle se retenait de pleurer, elle avait du mal contrôler ses gestes. Amalia ne comprenait pas vraiment ce qui poussait les humains à être aussi mesquin entre eux. Toutefois, la fille par terre aurait besoin de réconfort. Aussi, Amalia s'accroupit pour caresser les cheveux de la fille, un geste maternelle devrait l'apaiser.
-Tout va bien? Je m'appelle Amalia et toi? Tu devrais te relever. Elles ne t'embêterons plus. Je te le promets. Tu peux finir tadouche calmement mais tu devrais enlever tes habits d'abord. Moi aussi, je ferais mieux de les retirer... Bon, voilà ce que je te propose tu me frottes le dos et je veille a ce qu'elles ne t'embête plus, d'accord?
Amalia n'était pas une sainte et se demander si elle pourrait parvenir la belle jeune fille bonde à la sexualité entre fille mais chaque chose en son temps.