Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slade

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Le silence n'était pas pesant, il était plein de pensées qui s'activaient dans tous les sens, plein de réflexion posée sur un sujet délicat. L'insémination magique n'avait rien de facile, ni rien d'agréable, le coït, selon la maître de magie permettait de réduire la pénibilité, fallait-il croire. Les raisons étaient évidentes.mais elles n'étaient pas agréables pour autant. En effet, il lui était imposé, donc de coucher avec un inconnu sans doute, pour peu que la magie puisse l'investir… peu de raisons de se réjouir sans doute, vous ne vous pensez pas ? Slade trouvait l'idée moins bonne encore parce qu'il commençait à comprendre pourquoi il était là et même si la Dame était attirante, il ne pouvait pas nier qu'il n'aimait pas l'idée d'être manipulé. Il leva les yeux au ciel et soupira, y mettant toute son exaspération.

Les questions d'Eris étaient plus que pertinentes et lui-même était curieux de connaître les réponses face à ces interrogations légitimes. Il sourit et attendit que Mayris prenne la parole. Ce qu'elle ne fit pas, au contraire elle se contenta de se tourner vers le chevalier et attendre  quelque chose de lui, ses deux globes oculaires de glace éternelle qui semblaient dirigés vers son poitrail. Il frissonna. Il n'aimait pas son regard… et elle semblait capable de le jauger. Enfin, elle prit la parole, se retournant vers Eris au grand soulagement de Slade.

« Oui. Le réceptacle couchera avec vous. Sans doute plus d'une fois pour être sur que l'insémination soit concluante. Quant au réceptacle... »

Elle semblait hésiter à répondre, jetant des coups d'oeil à Slade, un air inquiet sur le visage. Elle semblait vraiment en proie à un dilemme et il fallait peut être plusieurs minutes avant qu'elle n'ose parler ou même bouger, et quand elle le fit elle se laissa choir à genoux et poser son front contre le sol au pieds de Slade en silence, se le frappant trop fois avant de lâcher, sans quitter le sol des yeux, comme enproie à la terreur.

« Pardonnez moi Sire… pardonnez mon incompétence… je ne suis qu'une misérable apprentie comparée à vous… je ne vaus rien… pitié… accordez-moi une mort rapide... »

La réaction avait de quoi surprendre, mais Slade venait de comprendre quelque chose :  elle était incapable de le faire… elle pleurait à même le sol et se fichait d'avir lair misérable :  elle avait juste peur de ce qui pourrait se passer si il se mettait en colère… lui, il n'avait opas la réputatio d'être clément. Finalement devant l'absence de réponse elle osa enfin avouer son incompétence.

« Je… je ne sais pas si je serai assez puissante... »

Elle se remit à sangoter en silence et slade se détourna.

« Si ça ne tenait qu'à moi ton incompétence serait déjà en train de te couter ta peau au sens propre, mais un vœu est un vioeu, je vais te prêter de ma puissance. Nous règlerons cette histoire uen fois rentrés. »

Il se tourna vers Eris alors qu'il expliquait.

« Apparemment vu son état je suis le seul  à être un réceptacle possible, mai si vous voulez nous pourrions tester vos sujets ? »

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Les terres de glace / Visite diplomatique [Pv]
« le: mardi 28 avril 2015, 20:22:41 »
Accueillir une visite diplomatique !  Il n'avait que ça à foutre !  Ça se voyait, non ? Il tournait en rond, dans son armure d'apparat, somptueuse, fait d'un métal aussi précieux que résistant dont la noirceur n'avait d'égale que la clarté du lieu dans lequel il attendait. Les grandes portes. Ouvertes, elles donnaient sur une court pavée de marbre blan où des couples ou plus bavardaient ou s'entrainaient, certains dansaient, même. Bref, de la joie et du bonheur, mais une ambiance lourde. Il avait revu la haie d'honneur des gardes, isl étaient impeccale, et il ne restait plus qu'à attendre qu'elle vienne. Qui ? Une déesse, rien que ça !  La riene devait l'accueillir en personne à la base, étant elle-même aussi puissante qu'une déesse, mais voilà, elle n'était pas là !

Où était-elle ? Il n'en avait strictement aucune idée et était bien incapable de la retrouver, et du coup, il était chargé du comité d'accueil, ce ne serait pas bien pris, il s'en doutait, mais il se doutait aussi qu'il s'agirait d'un problème… un « larbin » qui accueillait une invité des marque, bien qu'il soit lui-même une personne plutôt connue et plutôt respectée. Surtout crainte il fallait dire ! Il sourit, plus jaune qu'autre chose.. non, pas jaune, il était vert d'être blioqué ici à attendre une garce de plus… oui, pour être une amie de sa reine, il devait s'agir d'une sacrée garce !

Enfin, on annonça que l'Invitée approchait il passa une drnière fois en revue avant de finalement se décider à allerà sa rencontre. Il marcha, dans la neige, jusqu'à rejoindre l'invitée ui arrivait et les accueillir avant même l'enceinte des lieux non sans un « Garde à vous «  sonore pour mettre tout le monde au pas. Puis il s'immobilisa devant l'escorte et lança, sur un ton aimable bien qu'un peu froid dans le fond des yeux.

« Soyez les bienvenues ! »

Il y avait en effet une escorte. Que des femmes. Il ne pouvait que leur sourire et les précéder dans l'enceinte du château. Une panoplie de serviteurs vinrent s'occuper de tout. Il sourit et regarda la petite troupe de laquais se charger de tout. Il lui sourit et attendit un peu avant de finalement s'adressr à celle qui devait être la principale attendue.

« Altesse, je suis Slade, Chevalier de l'Hiver, vingt-huitième consort de la reine et son champion en titre, je vous souhaites à nouveau la bienvenue… je dois vous prier d'excuser ma Suzeraine, mais elle a du s'absenter et je suis chargé de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que vous soyez le plus à votre aise possible ! »

En espérant qu'elle ne traine pas trop non plus à rentrer, la reine...

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Il y avait une différence entre apprécier et accepter, et si apparemment elle n’appréciait pas que ce foutu mage soit là depuis un moment, à en juger par son ton froid,  elle l'acceptait néanmoins !  C'était toujours ça, vous ne pensez-pas ? Et puis, il n'était pas là pour fainéanter à ses frais. Donc que pouvait-elle reprocher si ce n'est une efficacité bien marquée ? Il sourit, moqueur devant son ton froid… il trouvait cela drôle qu'une femme si glaciale habite dans un pays aussi aride ! Mais en lieu et place de  toute parole, il se contenta de sortir de sa botte une dague d'une vingtaine de centimètres de long. Celle là, ils ne l'avaient pas trouvées… il y a toujours plusieurs dagues.

« Voyez-vous, Eris, il y a toujours plusieurs dagues, et en général,  il y en a toujours une faite pour être trouvée… c'est amusant, non ? Allons… encore une preuve de l'incapacité de votre garde à vous protéger. Alors voilà comment cela va se passer. Demain, je vous veux dans la cour dans une tenue appropriée pour vous mouvoir aisément. Nous verrons si vous savez vraiment vous battre… car je ne parle pas de brandir un couteau, je parle d'être capable de tuer, avec une aiguille s'il le faut… c'est un art délicat et particulièrement peu aisé à maitriser. Mais vous apprendrez, vous aussi,si j'ai tort, détrompez moi !  Je me battrais avec une main dans le dos attachée ! »

Provocation, encore avant de finalement émettre une sorte de sifflement étrange, modulée d'une manière bien particulière qui résonna dans la pièce et une sorte de voile sembla se déchirer dans l'air et une femme en sortie, d'une grande beauté, la peau diaphane et les cheveux d'une couleur aussi blanche que lui, elle avait les yeux glacés au sens propre et ses lèvres avaient la couleur des mûres glacées… elle posa un genou à terre puis l'autre et toucha de son front le sol aux pieds de Slade.

« Le Suzerain appelle, la Servante accourt. Que peut-elle pour servir le trône ? »

AH, voilà une femme qui connaissait bien sa place, n'est-ce pas… il lui sourit et lui fit signe de se relever, ce qu'elle fit avant d'avoir une légère courbette pour Eris et rester silencieuse, attendant les ordres du chevalier de l'hiver.

« Nous aimerions avoir tes conclusions en ce qui concerne le projet de faire enfanter la Dame de ces lieux. »

Elle se racla la gorge et s'inclina avant de commencer à parler d'une voix monocorde.

« Les traces résiduelles de la présence du géniteur sont ténue et il est possible de le faire changer d'époque pour une nuit, on ne s'apercevrait pas de son absence das son temps, simplement il aura e souvenir de cette nuit et donc de cette  époque, cela pourrait modifier l'espace et le temps… je ne suis pas convaincue que ce soit la solution la plus efficace. Le plus simple et le moins risqué pour la vie serait une insémination magique, maître, mais je n'exclut aucune possibilité. »

Slade resta silencieux avant de sourire et de lui dire, sur un ton aimable.

« Très bien, penses-tu être en mesure de réussir une insémination magique ? Et si oui, y a-t-il besoin de coït ? »

Nouveau silence alors qu'elle réfléchissait avant de lancer. « L'insémination sans coit n'est pas agréable et peut s'avérer moins fructueuse mais je suis pose que Vous préférerez, surtout qu'il faudrait trouver le bon réceptacle pour ce rôle, chose non aisée car il faudra que l'enveloppe corporelle soit adaptée à ma magie et assez résistante pour ne pas avoir de risques d'en ressortir brisé et détruit de l'intérieur….dans le meilleur des cas. »

Slade lança un regard à Eris, comme pour l'inviter à l'interroger si elle le désirait.

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Il sourit alors qu'elle parlait de son incapacité à protéger des dégâts du temps… il aurait volontiers joué sur la sémantique pour le coup, en effet, il était à peu près sur que les dégâts du temps pouvaient être évités à son corps dans la cryogénisation, mais sans doute que la sémantique ne pouvait pas s'en empêcher !  IL sourit et regarda la jeune femme  alors qu'elle continuait dans la même veine...était-ce de la méfiance ? Peut être… mais il resta silencieux quelques instants comme pour qu'elle réalise ce qu'elle venait de dire…

« Je ne suis pas un as de l'insémination, ou du moins de l'insémination magique, pour le reste, je n'ai rien à redire à cela, la reine m'a dit qu je trouverai mon utilité dans cette mission, dans tous les cas, je suis le vecteur de son pouvoir, je suis là pour accomplir les souhaits commandés et d'autres si vous le souhaitez, si le mage juge que l'insémination magique nécessite coït, nous aviserons, il n'a fait qu'évoquer cette possibilité sans la creuser, je pense qu'il faudra lui en toucher deux mots… j'espère d'ailleurs en parlant de lui que vous ne me tiendrez pas rigueur de lavoir fait s'infiltrer chez vous si longtemps avant mon arrivée, c'était impoli, mais je subodore que vous ne désirez pas perdre de temps. Est-ce que je me trompe ? »

Il sourit avant de prendre la carafe de vin, et, sans gêne, s'en resservir un fond avant de lui lancer sur le ton du badinage inutile.

« Quant à vous préserver des dommages du temps… ne me sous estimez pas, je suis déjà bien vieux, croyez-moi… et sachez que je suis bien plus capable de miracles que vous… je puis par exemple transformer votre sable aride en désert de neige, une vraie toundra au sol plus dur que de la glace, au moins pour un temps ! Je peux aussi vous placer dans une gangue de lace qui préserverait votre corps et votre âme pendant des centaines d'années en plein soleil. »

Il eut un dernier sourire avant de finalement lever sa coupe et porter un toast à la santé de la dame de séant avant de boire un bon coup, cela faisait du bien. Il sourit et reposa la coupe, comme pour conclure, sur un ton à la fois sérieux et amusé.

« J'ai une question, savez-vous vous battre vous même ou avez vous recours à un champion ? Car je pense que protéger votre vie passera aussi par là… que vous vous battiez, et que vous appreniez à vous battre et à survivre sans le moindre garde à proximité… vous en sentez-vous la force ? »

Il sourit et attendit sa réponse, il avait volontairement provoqué, comme pour un jeu… à voir si elle allait marcher !

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Elle semblait dubitative face à ce qu'il lui disait, et il pouvait très bien la comprendre. C'était un comportement logique, quand on y pensait ! Elle n'avait rien pour prouver qu'il disait la vérité, même si la lettre sembla la convaincre. Il savait ce qu'elle contenait c'était simple, il y indiquait ce qu'il souhaitait comme vœu et ne précisait pas le montant du prix à payer, non, c'était toujours tacite, les seuls à le savoir étaient les contractants, personne d'autre, personne de plus !  Il lui sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle finissait, émue, de lire la lettre puis il la récupéra, bon gré mal gré. Il apportait juste une preuve avec cela.

Il la laissa dans ses sarcasmes qui ne servaient à rien. Il lui sourit et prit un air un rien mystérieux, comme s'il ne s'agissait de rien, ou plutôt qu'il estimait que cela était un jeu d'enfant… il eut un nouveau sourire, emprunt de cette marque de mystère de celui qui manipule des forces que personne ne peut vraiment connaître ou comprendre sans difficulté à part lui. Il ne pouvait s'empêcher d'avoir cet air un rien moqueur.

« Bien sur que toute cette histoire est dangereuse, mais laisser vos hommes aux mains des miens est dangereux pour eux aussi vous savez, ils subiraient avalanche -une énorme chute de pierre, de terre , de neige et de glace -  sans broncher tant ils sont solides… et… ils ne sont pas complètement humains… alors vous pensez bien qu'il y a plein de choses qui risquent de se passer, je doute d'ailleurs que mes hommes parviennent à faire de ces gamines quelque chose sans en tuer un  ou deux à la tâche… ce sont les risques… quant à cette histoire de manipuler le temps… si, si, c'est dangereux, mais mon maître de magie est là depuis une semaine et a pu capter des fibres d'être passés qui pourraient permettre de connecter cette réalité présente avec celle d'un jour ancien où votre mari était encore en vie… »

Il sourit avant de lui lancer, amusant.

« Bien sur que toucher les trames du temps est dangereux, mais j'ai confiance dans la puissance de mon mage, tout comme je sais qu'en cas d'ennui, je saurai protéger une noble dame… je suis là pour a après tout, pour m'assurer que tout danger oit écarté… bien sur, en altérant le temps nous pourrions faire bien pire que juste des bouleversements mineurs, vous vous en doutez-bien… mais voilà, je vous ai dit ce que je pensais faire. Si vous souhaitez proposer une approche différente, je suis prêt à vous entendre ! »

Il sourit et regarda la jeune femme avant de se décider à rajouter.

« L'autre possibilité serait une insémination magique, mais le procédé est plus douloureux que vous ne pourriez imaginer... »

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Elle ne se mouvahit pâs du coude, c'état certain, un peu comme si elle se pensait au dessus de tous les autres, au dessus de lui, quelle erreur, il n'était pas un larbin, il était un seigneur de guerre, un des plus dangereux, un des plus puissants dans ce genre… e un des plus mortellement dangereux. Il leva les yeux au ciel, face à ses paroles, en effet, elle était une jeune femme pleine de charme et de grâce, mai elle n'en restait qu'une femme, à sa connaissance, dépourvue de tout don un rien surnaturel, alors face à lui, elle ne valait pas grand-chose. Malgré ses allures et ses beaux airs…

Son conseil avait drôlement ressemblé à une menace mine de rien, était-elle vexée qu'il n'ait pas été assez serviel pour venir demander le droit d'embrasser ses pieds ? Il tronchait une pirncesse plusieurs fois par semaine, alors cette femmeavait bien peu d'importance… il leva les yeux au ciel alors qu'elle expliqauit en quoi consistait une menace selon elle, même si cette menace était bien dérisi=oire, il le fit sentir en émettant un léger sourire. Un sourire un rien moqueur. Il avait la pau trop dure pour elle…

Mais finalement les soldats se replière, armes baissées, sur son ordre. IL ourit et prit sa suite quand elle l'emmena avec elle pour parler plus sérieusement de sa venue… elle l'emmenait où ? Uune alcôve ? Un boudoir ? Non, sa chambre, rien que cela… il se savait séduisant et puissant, mais il n'aimait pas que les femmes soient à l'initiative pour autant… il la regarda, interrogateur… parler dans sa chambre ? Soit !  Il haussa les épaules. Il prit la coup de vin en écoutant sa question et se désaltéra lentement, restant silencieux, faisant durer le silence, comme si c'était là la seule manière d'agir comme il fallait… Oui, il fisait durer l'attente jusqu'à ce que la coupe soit vide, au bout de petites gorgées…

« Merci, votre vin est délicieux, je dois bien le reconnaître, bien meilleur que le notre, bien que nous y subtituions du coup du nectar de fleur alcoolisé, qui tiendrai bien la comparaison.

« Il sourit et déposa la coupe sur un guéridon avant de se décider à parler de la raison de sa venue. Près tout, il n'avait pas parcouru de telles distances sans raison.

'A vraie dire, je n'ai jamais connu votre mari, et peu me chaud, mais en fait, le plus important c'est ceci. »

Il sortit de soussa cuirasse un parchemin décellé mais où le seau avait été conservé, au cas où, elle le reconnaitrait sans mal.C'était le seain de son époux. Il lui sourit avant de la laisser le consulter. Il resta silencieux durant ce temps, comme si toute forme de parole aurait été superflue.

« Nous avons reçu cela il y a un bon moment, mais jusque là, nous n'avions pu dépêcher personne, mais maintenant me voilà. Il avait conclu un pacte avec nous, via ce parchemin, pour que nous assurions eux choses contre un paiement :  votre survie et la pérennisation de la lignée, s'il n'avait pas l'occasion de le faire avant sa mort… voilà le contenu du pacte, et j'ose croire que j'ai bien fait devenir maintenant, une troupe armée, sans doute quatre cents hommes approchent par l'ouest, d'abord et ensuite vous êtes sans enfants. Il a payé ce souhait . C'est à nous, aujourd'hui d'honorer cette allégeance. »

Était-elle au courant de tout cela ? Il n'en savait rien, peut être lui en avait-il parler ? OU pas…

« Mes hommes entraineront comme il faut les votre, quant à la lignée je suis en train de voir pour un procédé magique pour mélanger présent et passé, que vous ayez un enfant de votre époux... »

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Il lui avait fallu un certain temps pour arriver ici… et quelle horreur :  il faisait chaud, il faisait sec… et le sable… c'était comme la neige en beaucoup moins bien… la neige avait quelque chose de gracieux, de beau, d'éphémère. Le sable avait quelque chose de grossier de hideux et de vulgaire… et puis l'envoyer lui, pour qui le froid était tout dan un endroit aussi bouillait. Il luisait légèrement – bon, d'accord – énormément dans son armure, et s'il n'avait pas été capable de geler ses pauses, il serat sans doute mort sous la chaleur ambiante. S'il avait pu renoncer ; il l'aurait fait. Mais les ordres de sa reine faisaient loi. Et il était respectueux de ses lis. Les autres lois n'avaient pas plus de valeur que la boue sous ses bottes de monte.

Le chateau de la personne qu'il devrait voir était ici, il était arrivé. Il desendit de son char, qu'il avait acheté pour locasion, tiré par deux chevaux magnifiques, des chevaux de race, une race fougueuse et fière qu'il avait fallu dressé et ça avait été difficile, très difficile. Il regarda la lourde porte qui fermait le palais et il ne put s'empêcher un regard mauvais au garde de faction avant de se présenter. Rien qu'en approchant il avait vu deux failles majeures de sécurité à son sens… enfin bref, on le fit entrer et on lui proposa raidement de se rafraichir avant de l'inviter à aller présente ses respects à la maîtresse des lieux. Il acquiesça, mais avant cela, il fit entrer ses hommes pour qu'ils soient tous là.

On les fit entrer dans ce qui ressemblait à une salle d'audiaence… mouais, elle se prenait pour une reine fallait-il croire… elle était importante, mais elle ne valait pas sa reine. Il ne s'insclina pas mais les autres mirent un genou à terre. Lui resta debout, fier dans son armure d'ébène complète, soulagée uniquement de certaines pièces pour lui permettre de mieux respirer sous cette chaleur. Il se cotenta d'un signe de tête pour leur hôtesse. Pour lui, cela suffisait, il n'était pas moins que son égal à ses yeux. Il jeta ensuite un rapide coup d'oeil à la salle, il comptait huit gardes cachés ici, et quatre autres plus haut… ah et aussi huit par là… le tout était bien évidemment bien protégé, mais il en voyait, encore une fois le failles, ils étaient bons, maispas assez à son goût.

Il se permit ensuite de dvisager un peu la jeune femme sur le trône, à regarder aussi son corps, sa tenue était fort jolie, enfin brf, inutile de s'y arreter. Il  l'écouta d'une oreille plus qu'attentive et se décida à répondre, d'un ton lent et bien posé.

« Je suis Slade, chevalier de l'hver, seigne des marches nordiques, prince des vents septentrionaux, comte de la péninsule, vainqueur des huit campagnes et ces hommes sont ma suite… je ne déplacerai pas en pays étranger sans escorte, ne pensez-vous pas cela plus raisonnable ? Et puis, n'aurait-ce pas été insultant pour vous, si bien protégée si j'étais arriovée ici seul, en armure rutilante… mais le voyage s'est bien passé, je vous remercie de votre sollicitude. Quant au motif de ma présence il ne concerne que votre ersonne et la mienne, et c'st un ordre express de la part de feu votre époux. »

Voilà de quoi faire son petit effet, vous ne penez-pas ? Gabriel ne venait pas par bonté d'âme en ces lieux. Ce n'étit pas son genre, loin de là, c'était un homme égoitste et dangereux. Il regarda la jeune femme et lui sourit pour finalement se décider à en dire un peu plus.

« Il y a un certain temps, votre époux a passé un pacte avec nous… en fait, il l'a fait le jour de votre mariage. Le contenu, c'est à vous seule une fois celui-ci entendue, de le faire connaître ou pas, mais je suis lié par serment.. Quant à ne pas ouvoir garantir ma sécurité, je puis vous rassurer, je me l'assure bien seul… d'ailleurs vous pouvez dire à vos hommes de baisser leurs armes je pense, mieux encore, de les faire encore travailler leur discrétion, je sens leur présence alentour... nous avons été désarmés et nous sommes menacés, c'est assez insultant, ne trouvez-vous pas ?

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Elle suçait bien, elle suçait trop bien même, et ses gémissements, mêmes factices étaient une bonne manière de montrer qu’elle était dévouée, suffisamment pour faire croire qu’elle aimait… faire croire qu’elle aimait… c’était du uniquement à la volonté qu’il avait de la voir mouillr… et elle mouillait. Oh, c’était discret léger, mais cela montrait qu’il n’y avait pas dans ses gémissements que du factice. Il sourit et fit une caresse sur la croupe de la jeune femme alors qu’il lui  retirait le goe. Elle avait bien pobéi, elle allait avoir droit à la sodomie. Il posa le gode  vers la jeune femme avant de lui lancer, sur un ton sec, mais au moins très clair.

« Prends et suce le pour le nettoyer… et ça le lubrifier un peu pour le remettre après... tu verras ce sera plus simple ! »

Il lui sourit et lui mit une paire de claques sur le fessier, une sur chaque fesses avant de glisser sa main brutalement entre ses cuisses, y faisant glisserses doigts sans la moindre douceur. Il fit plusieurs vas et viens avant de sentir la réticente de son hymen, et finalement il se décida ànremonter et appuyer sur sa rosette anale qu’il se mit à travailler avec ardeur, jusqu’à ce que trois doigts puissent rentrer assez aisément et il les retira et se dressa de toute sa hauteur, ses mains venant lui tenir les fesses écartées… il posa sa verge contre son anneau rectal mais n’entra pas en elle. Non, pas tout de suite…

« Sais-tu pourquoi tu gardes ta virginité ? Parce que je ne te la prendrai que quand tu viendras réclamer que je te le prenne, comme la chienne en chaleur que tu es… »

Il éclata de rire avant de se décider à forcer. Elle était grosse… mais il avait bien préparé son cul, aussi, si il eut à forcer, il n’eut pas non plus à trop forcer. Il ne comptait pas l’abimer après tout… Il lui sourit alors que le gland était en elle.. et lui lui mit une nouvelle paire de claques avant de la saisir par les hanches. Et commencer à s’enfoncer dans son fondement… oh oui, il forçait. Première sodomie, c’était étroit, c’était gros, forcément que cela forçait, forcément que cela faisait mal… mais était-uil nécessaire de préciser ce qu’il attendait d’elle ?

« Alors, tu aimes que ton Maître t’honore ainsi ? »

Oui, c’était honneur qu’il s’occupe d’elle, non ?

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Les contrées du Chaos / Re : Voyage... [Pv]
« le: vendredi 27 mars 2015, 23:27:42 »
Oui, lui coller la main à son flingue était une idée assez amusante… il trouvait cela assez drôle.. elle voulait lui tirer dessus, elle s'en mordrait el doigts, ous 'en arracherait la paume pour rester dans le littéral, même si c'était odieux de dire les choses ainsi. Qu'importe ! Il lui sourit et la regarda, alors qu'elle semblait se demander quoi faire exactement… ouais…. Il l'avait bien mouchée pour le coup !  Il se contenta de se recoucher, et s’emmitoufla dans les draps et se mit à roupiller paisiblement. Il n'avait plus rien à foutre de la capitaine, qu'elle aille se faire enculer par tout l'équipage dans un gang bang géant, lui, ça ne le concernait plus du tout !

Néanmoins, quand elle sortit… il ne put s'empêcher de sourire, avant de vraiment dormir, se foutant royalement de tout le reste. A quoi bon ? Tant qu'il arrivait à destination, le reste, il s'en foutait… il dormit comme un bébé… mais quand  il se réveilla… c'était problématique… une sorte de grande fleur de glace était passée autour de lui, figeant les draps qui se brisèrent quand il bougea… même les flammes avaient gelé… il se débarrassa des morceaux de couverture avant de s'approcher de la porte. Il y avait une couche de glace sur la poignée. Il al brisa pour pouvoir enfin sortir à l'air libre… l'aube commençait à peine à se lever.

Il y eut un bruit de cloche symbolisant le changement de quart. Des matelots descendirent et d'autres montèrent. C'était ainsi que cela se passait. Il ne put retenir un léger sourire alors qu'il plongeait son regard dans l'infinité de l'oc »an. Puis il s'approcha de la capitaine qui était à barre. Il lui lança un grand sourire plein de morgue avant de finalement se décider à prendre la parole, sur un to plein de morgue, de moquerie.

« Bjour Cap'taine ! Bien dormi ? Tu devrais te méfoer, je crois que dans la chambre tu as des problèmes de chauffage… il y avait de la glace partout…. Je crois que ton bateau a un problème... »

Oui, il en était la cause, en effet… certes, ça allait fortement abimer le bois. Qu'importe ! Il sourit et rajouta, sur un ton impérieux.

« Ta main va bien ? Si oui, tu me sers quoi pour le petit dej ? »

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Les terres de glace / Re : Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]
« le: vendredi 27 mars 2015, 23:26:04 »
Belle désillusion pour sa fiancée, non ? Non cnontente de décourvrir que Slade avit euraison pour le regard du frère sur la sœur, elle voyait que celui-ci pactiasait avec le démon… et salde jubilait. IL avait une bonne raison de le tuer, il avait une bonne raison de l'abimer et de le détruire. UN obstacle potentiel de moins que cela. Oh oui, il n'était pas rassuré, mais il était excité à l'idée d'affronter un démon et si astrid ne s'était pas interposée il aurait entamé le combat… ce qu'ils ne savaient pas, ni le frère ni la sœur, c'était que Jubal venait de se condamner à mort. La rein ne tolérait aucun démon ici… rien du tout… il regarda la jeune femme aolors que le frère s'en allait.

« Quoi ? »

Maintenant c'était la faute du chevlier de l'hiver ? Il en tombait des nues ! IL n'en revenait pas que l'on en vienne à l'accuser ainsi ! C'était inique ! Il n'avait rien demandé là dedans !  IL n'était pas celui qui avait pactisé bon dieu !  Il avait prit du sang au ieu de la vie !  Qu'attendait-elle ? Qu'il ferme les yeux ? Il se omporterait comme il faudrait le faire quand eil irait chez elle, il s'ttendait à ce que ses invités se comporte selon les loi de la cour de l'hiver.

« Il n'aurait même pas du venir. »

Froide réalité. Un homme ayant pactisé, c'était la mort assurée ici… elle ne le savait pas, mais voulait-il lui dire ? Il n'en savait rien…. En fait, voir Jubal tué par l reine ce serait quelque chose d'assez amusant et divertissant…. Il lança un nouveau regard à astrid. Il allait néanmoins se justifier devant elle, il avait horreur de cela… il leva les yeux au ciel avant de plonger son regard dans le sien et de la plaquer contre le mur.

« Tu te rends compte qu'il et condamnable à mort juste par sa présence ? Je ne veux pas la mort de ton frère, je te l'ai montré je crois, j'avais des motifs de le tuer je ne l'ai pas fait, j'ai juste pris du sang en lieu et place de sa vie… c'est tout !  Alors ne râle pas contre moi, râle contre toi et ton aveuglement. Tu t'es volontairement aveuglée ! Alors maintent ouvre les yeux et dis toi bien uen chose. Si la reine le trouve ici, car elle sait sans doute déjà, elle le tuera et on entendra encore son agonie dans plusieurs siècles entre se murss… soit il part définitivement, soit il faudra le tuer avant qu'elle ne s'y colle… je t'offre le choix de me dire ce que je fais… alors ne vient pas me demander des comptes ! »

Il sourit avant de changer de sujetet la plaquer de nouveau, mais face au mur avant de finalement lui  tenir les hanches.

« Mais ça je m'en fous… tout ce danger, ça m'excite...alors je vais jouir avec toi et ensuite, une fois bien ramonée nous en parlerons... »

Il ne lui laissa pas le choix, ses mains puissantes venant lui écarter les fesses, dévoilant son petit trou qui avait eu le temps de joliment se refermer après son passage, et il s'enfonça violemment en elle... son plaisir d’abord et ensuite les grandes discussions.

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A aucun moment elle n'avait protesté, à aucun moment elle n'avaitrefusé sons ort. Elle vait été, il le voyait bien désormais, très bien dressée. IL lui sourit alorsqu'ele prenait l clé et s'en allait, attendit le temps qu'il avait promis,avant de finalement ouvrir la porte. Elle n'cait pas essayé de s'enfermer, c'était une bonne chose… en même temps, al porte ne lui aurait pas résisté une seconde.. l'auberge non plus soit dit en passant. Il eut un petit sourire avant d'ouvrir la porte en grand… et de recevoir une chaise sur la tête…

« Sale garce ! »

L'attaque ne lui avait pas fait le moindre mal, mais c'était pour le principe… et une esclave qui se rebellait comme ça…. Il al voyait trembler et reculer jusqu'au mur aant de la saisi par la chevelure… et la pousser dans la pièce, lui faisant un léger croc en jambe pour qu'elle s'effondre à même le plancher sali par la crasse des lieux. Il eut un regard loin d'être tendre avant de finalement s'apprcher et s'accroupir pour se mettre à sa hauteur avant de finalement placer son genou sur les omoplates et appuyer jusqu'à cequ'elle n'ait plus d'air, puis il en profit, puis u'elle état ainsi immobilisée. Il lui arracha son bandeau, rvélant tout on visage au grnd jour mais il ne regarda pas. À quoi bon ?

« Tu sais, m'obéir n'es pas agréable, mais t'attaquer à moi l'est encore moins… j'en ai tuépour moins que ça et torturé pour encore moins... »

Oui, avait réussi à se calmer jusqu'à ce que la colère deviennent froide. IL posa sa main sur sa  nuque et commença à serrer… très lentement, jusqu'à ce qu'elle manifeste vocalement sa douleur, il ne la lâcherait qu'après cela pour se relever et lui envoyer plusieurs coups de pieds dans les côtes… juste pour el principe.

« Estime toi heureuse, je n'ai pas matériel sur moi… mais ne t'en fais pas, je vais te trouver autre chose… allez,relève toi, à quatre pattes… j'ai toujours l'intention de te tester, mais tu ne seras pas ravie… j'avais voulu être doux la première fois… mais tu viens de perdre ce droit… alors je vais utiliser une manièreplus conventionnelle... »

Il s'éloigna pour approcher des morceaux de la chaise. Les pieds, plusieurs étaiet encore en état. Il en prit deux et se raprpocha d'elle avant de les lui envoyer dans les côtes.

« Premier test, dilatation, je xeux voir les deux das ton cu. Dépêche-toi ! Et pendant ce temps, tu vas me sucer… et n'essaye même pas de mordre. Tu te briserais les dents. »

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Elle était appremment bien dressée car elle était déjà en train d'obéir, lui donnant son nom. Il sourit et opina du chef, bien qu'elle ne puisse pas le voir, bien sur ! Enfin, qu'iomporte !  Il regarda mla jeune femme et lui fit un léger sourire avant de finalement chercher à lui enlever son bandeau ; Il sourit et la regarda un peu avant de finalement se faire envoyer bouler.. ; enfin, c'était vite dit, il était plus fort qu'elle, beaucoup plus fort qu'elle… et sa peau, dure comme du diamant encaissait les chocs avec une facilité déconcertante.

Sa réaction virulente était la preuve qu'il y avait quelque chose à cacher… il la saisit par l'épaule avec force et la tint fermement alors qu'il la regardait comme pour déceler au travers du tissu quelque chose qui vaille pla peine… mais finalement il la lâcha et haussa les épaules, qu'importe… il aurait tout le temps de lui faire avouer et expier ce comportement… il eut un regard froid et lui dit sur ce ton sec et froid assez souvent présent chez lui :

« Non, je ne veux pas de tes excuses, chienne Zuë, je veux des explications, et tu as intérêt à être douée avec les mots pour cela. Car si je puis tolérer que chacun ait son petit caractère, dans une certaine mesure, mais d'un autre côté… d'un autre côté… je ne tolère pas la moindre désobéissance, aussi, si je veux voir te yeux, je mles verrai, et le jour où je les verrai tu payera pour chaque fois où tu as refusé que je les vois… nous sommes nous bien compris ? »

Il eut un léger sourire carnassier, dommage qu'elle n'ait pu le voir… il lui caressa la joue avant de la gifler violemment et lui caresser de nouveau celle-ci. Puis, il la aisait par le collier avant de la retourner et et de la faire choir à terre pour poser son pied sur sa face, lui maintenir la tête au sol pendant peut être deux bonnes minutes avant que finalement, il ne se décide à lui laisser l'opportunité de se relever.

« J'habite loin, nous avons de la route et je veux te tester. On va aller trouver un endroit un rien plus intime... »

Il se dirigea, la tirant derrière lui sans la moindre forme de ménagement jusqu'à atteindre l'aubergiste et lui laisser deux jolies pièces rondes pur avoir la clé d'une chambre. Il  donna la clé à la jeune femme et la laissa ouvrir la voix, qu'elle se débrouille pour trouver la bonen chambre, qu'il voit si elle était dégourdie… et elle avait intérpet à l'être ou elle marcherait à la badine… c'était aussi simple que ça…

« Tu as entendu, troisième porte sur la gauche. Tu as toutes les cartes en main pour être prête, je veux régler quelque chose avant, alors je veux que tu sois prête à montrer de quoi tu es capable dès que j'arriverai en haut… tu as cinq minutes... »

Il n'avait rien de bien précis à faire ou à dire  à qui que ce soit… il voulait juste voir comment elle se débrouillait…. Il lui laissa dix minutes au lieu de cinq avant de monter, et ouvrit la porte à la volée.

« Alors… tu es prête, chienne Zuë ? »

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Les terres de glace / Re : Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]
« le: mardi 10 mars 2015, 18:40:37 »
Son comportement avait changé du tout au tout, on était passé de la jeune femme qui voulait que tout arrête à celle qui réclamait que cela continue… une femme qui en redemandait…. Oui, prévisible, il le lui avait dit, non ? Petit sourire amusé alors qu'il la pilonnait avec violence. Oui, il avait entendu son cri de douleur, mais plus encore, il avait entendu ceux-ci se changer en gémissements de plaisir, puis, comme il l'avait voulu en couinement et enfin en cris de plaisir… il le savait et il le lui avait dit, non ? Elle allait adorer… et elle adorait, au final. Il ne put s'empêcher de sourire, de rire légèrement, même entre deux coups de reins, entre deux râles de plaisir.

Avec le fait qu'elle se détendait, il sentait le fondement de la jeune femme prendre peu à peu la forme de sa verge, comme pour lui offrir plus de plaisir, chose qui se passait de facto. Et alors qu'il continuait ses violent mouvements, il la vit, non, plutôt il la sentit se tendre, se tendre jusqu'à ce qu'il ne puisse qu'entendr ela juissance de la jeune femme, la jouissance qu'elle lui offrait, celle qu'elle n'avait jamais offert à personne d'autre avant lui et qu'elle n'offrirait, osait-il le penser, à personne d'autre…

Peut être avait-il tort de penser à cela ainsi, mais d'une certaine manière, il avait l’impression de l'avoir complètement possédée en la prenant insi, guère plus doucement que si elle vait été un sac à foutre. La différence était qu'il n'avait pas joui. Elle, si. Mais la réprocité viendrait…. C'était ce qu'il pensait, mais il avait apparemment tort, en effet, elle avait entendu au même titre que lui le bruit de la porte qui claque. Quelqu'un était entré. Et elle sut avant lui…

Il SE laisa repousser alor que nue, elle s'adressait à on frère. Après coup, pas trop difficile de marcher ou de se tenir debout ? Il n'y était pas allé avec le dos de la main morte… il eut un petit sourire avant de les écouter… ou du moins écouter les récrimination de cette midinette qui servait de frère à sa pensée. Il lui lança un regard glacial et venant de Slade, cela voulait dire beaucoup. Il ne put s'empêcher alors de s'approcher, lui aussi, alors qu'Astrid mettait les choses au clair avec lui…

Avec sarcasme il se mit à applaudir, lentement, comme pour faire remarquer qu'il ne goûtait au spectacle qu'avec une bonne dose de sarcasme. Il prit enfin la parole sur un ton railleur, moqueur et peu aimable, on sentait poindre une forme d'agacement. De olère aussi ? Peut être ! Il ne put s’empêche d'indiquer les sièges disponibles aux deux personnes. Il avait encore la queue luisante joliment dressée devant lui.

« Prince Jubal je crains que nous ne partions du mauvais côté, maintenant, venez vous asseoir, toi aussi Astrid, s'il te plait. Je crois que la conversation de demain va être avancée à tout de suite...  alors asseyez vous, ce sera plus simple je pense… voilà comment ça va se passer. Primo, prince Jubal, parce que vous l'avez dit sous le coup e la colère, je pase l'éponge sur votre insulte… mais la prochaine sera la dernière. Je ne suis renommé ni pour ma tolérance, ni pour ma pitié… alors quand je vous dit qu'à la prochaine insulte je brose tous les doigts et que je vous arrache la langue, je ne mens pas. Si le pacte doit tombe rà l'eau pour que j'obtienne légitime réparation, alors soit. Mais je crois qu'Hamilcar a trop besoin que je fasse cesser la tempête pour rompre le pacte avec ces blessures légères... »

Il se servit un verre de vin, mais n'en proposa qu'à astrii. Pui il but une gorgée avant de rajouter sur un ton plus courtois.

« Ensuite, quant à souiller ou profaner le corps de votre sœur, je ne l'ai pas fait contre sa volonté à ma connaissance… d'autant plus qu'elle a aimé cela… alors je vais aussi oublier cela, d'autant que parler de souillure quand on ne rêve que d'inceste est un concept qui est des plus amusants je trouve… je l'i dit à votre sœur vos regards ne m'ont pas échappé, et si votre sœur n'y croit pas, moi je sais ce que je vois, alors pour cette peine, les coutumes locales voudrait que je vous arrache les yeux avant de vous les faire manger. Je ne le fais pas, remerciez ma clémence… ce serait la moindre des choses. »

Enfin, il conclut.

« Au moindre faux pas soyez heureux de n'être que banni, maintenant si vous voulez absolument faire quelque chose, alors soit, moi aussi je vais donner un avvertissement... »

Des repli du canapé, il sortit un petit couteau qu'il employa pour clouer la main de jubal à la table à une vitesse foudroyante avant de tourner la lame sur elle-même, jusqu'à ce qu'il hurle. UN bon signal qu'il était temps de se reprendre, non ?

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Il ne faisat pas froid, pour une fois, bien au contraire, il trouvait même qu’il faisait plutôt bon ans cette bonne vieille ville de Nexus… le climat était relativement doux pour un début d’hiver, il ne devait pas faire bien loin au dessus de zéro… sinon, vous pensez-bien qu’il ‘y aurait pas eu tant de monde que cela dans les rues. Bon, l’arrivée de Slade changea la donne, c’était difficile de ne pas aggraver le temps quand il allait quelque part. Il était le chevalier de l’hiver après tout… si vous vouliez des températures tropicales, il fallait aller vers l’été…. Il surit alors qu’il voyait une affiche qui avait été placardée contre une porte d’Auberge :

Grand concour de kartes à l’obairge.
Premié pri : une esclave contre la moitié des gun du ganiant !

Bon, d deux choses l’une : primo, il ne savait apparemment pas écrire comme il fallait. D’une part. D’autre part, une escave était à la clé ? Soit, voilà qui pouvait paraitre intéressant. Un peu plus loin était indiquée une place où tous les participants devaient se rendre pour assister à la présentation du lot, d’abord, et ensuite pour entendre les règles… c’est d’un bon pas qu’il s’y rendit, absolument ravi de la tournure des événements. Il y avait un profit à faire…

Petit sourire aux lèvres, il écouta les consignes et les n'avait pas envie de jouer aux cartes, mais l'esclave lui plaisait, aussi, il regarda un peu les gens se diriger vers la taverne e il attrapa au passage le propriétaire et lui tint à peu près ces mots…

« Tu vas gagner combien aux cartes ? Cinquante pièces d'or, à tout caser ? Moi je te propose mieux, primo, tu gagnes mille pièces d'or, secundo, tu évites que je t'évetre là de suite… je crois que tu es gagnant sur toute la ligne, non ? »

Il eut un sourire carnassier alors que le propriétaire était un rien hésitant… et surtout, pété de trouille… puis, balbutiant, il commença à dire qu'il était attendu, qu'oil ne pouvait décevoir ses client, jusqu'à sentir une lame le long de son estomac… alors il  donna les papiers et tout ce dont il avait besoin et le chevalier de l'hiver se dirigea vers l'estrade avant de regarder un peu a jeune femme de plus près, passant ses doigts froids et glacés sur son corps, les glissant entre ses cuisses un court instant avant de finalement lui examiner le sein et les dents avant de finalement  aviser le collier et la laisse. Il s'en saisit et lui passa le tout autour du cou avant de prendre la parole.

« Je m'appelle Slade. Je suis ton nouveau maître, décline ton identité… et relève un peu la tête quand je te parle. »

Il regarda un peu avant de saisir le bandeau qui lui couvrait les yeux.

« Voyons voir de quelle couleur sont tes yeux... »

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Les terres de glace / Re : Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]
« le: mardi 10 mars 2015, 13:19:46 »
Oui, Astrid avait été bien naive de lui mordre l'oreille... quoique... en fait les morsures durant l'acte avaient un certain charme et il pouvait aoucir sa teneur en carbone pour qu'elle puisse le mordre un peu.. mais de quoi le blesser, faire un petitpeu mal... il eut un léger sourire accompagné d'un clin d'oeil amusé alors que finalement elle relâchait l'oreille en gémisant sous les attaques intimes de ses doigts inquisiteurs... impérieux, il fouillait son intimité, il fouillait son corps et essayait de découvrir chaque zone ensible, chaqu endroit qui la ferait gémir plus fort. Plus encore, il essayait même parfois d'utiliser un peu ses ongles pour jouer sur son corps, et même dans son corps, laissant glisser, comme des griffures imaginaires, ses ongles contre ses parois internes, un jeu parfois douloureux, parfois payant...

Finalement, elle capitulait, elle se rendait... alors il se pencha sur elle, glissant ses mains sur ses reins sans reprendre ses mouvements. Il venait saisir ses mains et arracher leur entrave pour qu'elle ait de nouveau l'usage de ses bras si elle désirait se cramponner, parce qu'il ne s'était jamais agi d'autre chose que de la mise en bouche. IL eut un sourire carnassier alors qu'elle admettait oralement qu'elle capitulait. Et une légère menace avec ça… et quelle menace inutile ! Il comptait bien la faire couiner, et sans doute même gueuler un peu -de plaisir cela va de soi – il fallait juste que la douleur passe…

« T'inquiète, chérie, je sais ce que je fais... »

Il lui sourit et alors qu'il venait l'embrasser, il  l'enlaçait et venait la relever contre lui avait de  la plaquer contre le mur le plus proche, dos à lui, et il se représentait vers son petit trou joliment dilaté par son précédent passage… il  laissa glisser sa verge contre l'humidité de son entrecuisse avant de se précipité contre sa rosette et y entrer avec brutalité, sans la moindre douceur, et commencer ses mouvements de reins, elle parlait de lui défoncer le cul, soit !

« Voilà ce que j'appelle défoncer un cul, ma belle... »

Il lui saisit son sein d'une main, l'autre venant la plaquer davantage contre la paroi de glace, une glace qui était certes froide, mais pas autant que celuiui qui s'employait à soulager ses envies…. Cette main glissa bientôt entre ses cuisses, dont il reprit la fouille intensive.

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