Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Camelia

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Camelia était à l'auberge, travaillant pour acheter un petit objet pour Irys, c'était bientôt l'anniversaire de sa maîtresse et elle comptait faire une surprise. L'esclave comptait servir un client, quand elle eut un léger moment de faiblesse. Elle faillit renverser le plat sur le client, mais heureusement pour la jeune femme, une autre servante eut le réflexe de l'attraper en entourant sa main autour de sa hanche, faisant croire au client par ce geste qu'il s'agissait d'un petit spectacle prévu. Camelia put servir le plat et se laissa guider près du comptoir.


- Camelia, tu devrais arrêter de te surmener, ta maîtresse ne serait pas contente de te voir trimer ainsi et je pense qu'offrir un cadeau ne peut excuser de tomber de fatigue.

L'ESP.er se mit à légèrement incliner la tête.

- Je m'excuse ...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que déjà la serveuse se mit à poser sa main sur la tête de l'esclave et légèrement ébouriffer les cheveux.

- Va dormir un peu ou au moins te détendre, ton corps te dira merci et tu pourra faire le service de nuit.

- Bien ... à tout à l'heure alors.

Camelia se mit à monter les escaliers, ouvrant la chambre où elle dormait avec sa maîtresse. La chambre était bien rangé et l'aération avait été faite pendant toute la journée, assurant aux draps leurs fraicheurs. L'ESP.er se mit à s'étaler sur son lit, elle n'aimait pas rester inactive, car pour elle cela signifiait être paresseuse. Cependant elle avait besoin de sommeil.

Elle se mit sur le dos et commença une petite séance de relaxation, jouant sur sa respiration pour détendre son corps et entrer dans une phase de micro-sommeil. Seulement l'humaine avait surestimée sa fatigue et finit par sombrer dans un sommeil profond. Son esprit se mit à errer au porte du monde des rêves, comme toujours elle avait des portes devant elle, plusieurs millier. Pour Camelia chacune de ses portes étaient un de ses rêve à elle, mais une porte intruse était présente, une porte que l'esclave découvrit très vite.

Cette porte des rêve était d'un rouge très léger, un rouge qui réchauffait le corps et l'esprit. Le pourtour était en émeraude, une pierre qui avait toujours fascinée Camelia pour sa beauté et sa couleur unique. Elle prit donc le choix de prendre cette porte et de la traverser.

Ce qu'elle ne savait pas encore c'est qu'il s'agissait d'une invitation dans un rêve où une reine y avait les pleins pouvoirs.

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Prélude / Re : Entetien d'embauche d'une débauchée
« le: dimanche 02 juin 2013, 20:09:41 »
*s'incline*

Bienvenue mademoiselle.

33
La compagne de mon maître me saisit, pour me porter sur son dos, était-elle aussi inquiète pour mon maître ?  La sensation du vent frôlant mon corps ut de moins en moins perceptible.

-Kehelon est mort.

Cette voix me semblait si lointaine, elle appartenait à mon maître, la personne morte était donc maître Kehelon. Je ne pouvais pas bouger ma tête, la douleur était là et ma vue commençais à s'assombrir, comme si un voile noire se dressait devant les yeux. Je sentis la magie d'une autre personne se mettre à ériger une barrière pour diminuer la douleur, me faisant moins souffrir, même si mon corps n'était que douleur. mon ouïe se mit à décliner, j'approchais de cet instant que je détestais, cet instant qui me faisait regretter mon pouvoir et hantait mes cauchemars.

Mon sens du toucher me fit savoir que nous nous déplacions, mon odorat m'informa que nous avions prit place dans une auberge, l'odeur de la bière artisanale empestait les lieux, sans parler des quelques hommes fumant.

On me déposa sur un lit, des mains féminines se mirent à me déshabiller, je sentis alors mon corps s'engourdir, la douleur allait changer de manière d'agir.

Au bout d'une journée ma perception se mit à changer.

Mon pouvoir m'avait amené auprès de maître Kehelon, comme à chaque fois qu'une personne liée avait rendu son dernier souffle, je devais l'accompagner jusqu'à un certain point. Mon maître dans le monde des vivants allait sans doute s'inquiéter de voir mon corps se refroidir et être raide, comme le son les cadavres, mon âme était chez les morts, mais n'avait pas totalement quitté mon corps, ayant comme une corde pour ne pas être confondue avec une âme morte. 

N'importe qui pouvait savoir que maître Kehelon allait aller droit en Enfer, j'avais vu des maîtres et des maîtresses avoir peur de la mort, regrettant leurs vies, mais maître Kehelon était le genre de personne à assumer sa vie corrompu.  Ce dernier me vit et la première chose qu'il fit c'est de saisir mes cheveux, pour m'obliger à me mettre à genoux.

- Ton putain de maître m'a tué, comment tu comptes rembourser ce qu'il m'a fait sale trainée.

- Maître Kehelon, vous devez accepter votre ...

Il se mit à me pousser ce fut alors que des spectres apparurent, Ils étaient là pour emporter maître Kehelon, mais je me mis sur leurs routes.

- Ne le toucher pas, je vais le raisonner.

Un des spectres se mit à parler de sa voix caverneuse.

- Nous nous rencontrons encore une fois, être fragile, comme le seigneur nous l'a ordonné, nous te donnons 24 heure humain, pas plus.

Ils se mit à disparaitre. Je me retourne vers maître Kehelon et sentit la lame du poignard s'enfoncer dans mon corps éthéré, la blessure allait se répercuter sur mon corps dans le monde des vivants, la douleur était là, mais était bien moindre par rapport à la douleur lancinante de mon âme désirant retourner dans son corps. Le poignard se mit à disparaitre et je me mis à enlacer maître Kehelon avec force.

- Mes pouvoirs s'efface dans ce monde, s'il vous plait ... accepter votre mort ... s'il vous plait.

Mais maître Kehelon refusa cette demande en me frappant, me rouant de coups pour faire parler sa fureur d'être mort. Malgré mes tentatives il refusait d'aller en Enfer, jugeant injuste que maître Kah'mui ne le rejoigne pas et les spectres apparurent pour l'emporter en Enfer.  Je voulus intervenir, sachant ce qui allait se passer, mais deux spectres m'attrapèrent par les bras.  Je vis maître Kehelon se faire décapiter, c'est ainsi que les personnes vont en Enfer avant de prendre le passeur, oubliant cet évènement traumatisant qu'est la décapitation.

Une fois le jugement rendu je m'écroule, ne pouvant retenir des pleures. Le spectre qui m'avait parlé s'approcha de moi.

- C'est un pouvoir dangereux que tu as, être fragile, si cela est trop dure, tu devrais rejoindre les morts au lieu de tenter d'allonger la durée de vie des vivants.

Cette phrase me fis mal au coeur et je sentis une colère folle exploser dans ma tête, aussitôt un trait de lumière se mit à frapper le spectre, qui n'eut rien si ce n'est de rire.

- Ta science acquise par ton pouvoir n'a aucun effet ici, être fragile, ton temps est écoulé, tu dois partir.

Je n'eus pas le temps de répondre qu'il me renvoya dans le monde des vivants, comme la dernière fois.

J'avais l'impression de sortir d'un long cauchemar. Je pouvais sentir les dernières larmes couler sur mes joues pour imbiber le drap qui était trempée, je ne pouvais bouger que les yeux, mon âme n'étant pas encore totalement connecter à mon corps. Je voulais crier, crier ma peine de n'avoir put raisonner maître Kehelon, crier ma rage sur maître Kah'mui qui avait tué maître Kehelon dans mon dos, sans ne serait-ce que me prévenir de ce qu'il allait faire.

Mais au final je savais que j'allais oublier, oublier cette peine, oublier cette colère, oublier tout ce qui fait de moi une humaine. Camelia une esclave docile qui ne regarde plus le monde pour ne pas souffrir. Je me sentis enfin maître de mon corps et la première chose que je réalisa fut un rejet de magie assez basique, agissant comme un espèce de sonar, je vis alors la présence de mon maître et de sa compagne. Je ne pouvais pas laisser ma rage ou ma peine dicter mes mots, aussi dis-je une phrase pesante.

- Vous êtes un menteur maître Kah'mui, vous m'avez infligé le plus grand mal que je possède. Cependant vous m'avez acheté et si vous voulez me considérer comme un simple jouet à torturer alors je n'irais pas contre cela.

Mon maître actuel m'avais acheté et donc possédait aussi bien mon corps que mon âme, devant le servir, mais il avait commit un acte qu'aucune autre personne n'avait osé faire jusqu'à ce jour, tuer une personne qui m'étaie liée.

Je devais le servir, la haine rongeait mon coeur car il le savait, il savait pour ma capacité et pourtant il avait osé commettre son acte. Il voulut visiblement s'expliquer mais eut une réponse pour le moins froide.

Mais si j'étaie faible, même si cette épreuve m'avait drainée beaucoup de force physique et magique, je sortie de mon lit et fit apparaitre une lance, que je lança sur Kah'mui, frôlant sa joue, j'allais me sentir mal de l'avoir blessé, mais je n'avais pas put retenir ce geste.

- Ce sera la seule blessure que je vous infligerais maître et je possède une parole sur ce qui est dit.

J'avais conscience que ce geste pouvait me coûter la vie, mais je connaissais bien les êtres avides de pouvoir, il allait certainement me torturer, essayer de me briser pour me rendre plus docile, mais comme beaucoup il échouera dans son entreprise, ne pouvant égaler la douleur causé par mon lien avec les êtres qui m'embrassent.

34
-At-Attends petite, je n'ai rien fait de quoi parles-tu ?

Asuka n'attendit pas longtemps pour améliorrer légèrement son rit en avançant d'un pas, crachant son venin sans retenir ses propos.

- Ta gueule, je ne te crois pas, ma mère a réa ...

C'est alors que le jeune homme entendis les bruits de pas et de  respiration, du coin de l'oeil il se compter, il avait sur lui 29 balles, mais visiblement ils étaient plus nombreux, Asuka se mit à avoir légèrement peur, se sentant comme un mouton dans une meute de loup, tout ses regards pervers et salaces mettait mal à l'aise le jeune homme. Pour ne pas compliquer davantage sa définition, une autre personne, armée, fit son apparition. Asuka pouvait dire que cet homme savait user de l'arme, le tenant d'une seul main sans trembler en le gardant dans le ligne de mire.

Asuka se mit à serrer sa mâchoire, il avait été mené par le bout du nez, lui qui croyait être le chasseur était devenue la proie. Mais il ne comptait pas se laisser faire, il devait s'en sortir et reporter le visage de Kisaku, Bogan et le reste de la troupe à la police. Le jeune homme se mit à baisser son arme, attendant quelques secondes avant de faire un 180 et partir en courant, n'hésitant pas à user de son arme  pour se frayer un chemin, même si les mains furent assez proche de lui.

Le jeune homme se mit à sentir une légère douleur à la cuisse droite, ayant été blessé par son geste vif. Il se mit à courir aussi vite que possible, mais très vite la blessure eut raison de son endurance. Asuka ne pouvait plus continuer sa fuite, ayant le souffle court. Il devait se cacher quelque part.

- Merde, une cachette, une cachette ...

Il posa son regard dans une poubelle vide.

- Maman va me tuer, mais je n'ai pas le choix.

Asuka se mit à se contorsionner pour entrer dans la poubelle, remettant le couvercle pour se cacher.  Il était un peu à l'étroit, mais il y avait peu de chance qu'ils arrivent à le retrouver là dedans.

Enfin c'est ce qu'il croyait.

35
~~Il y a un mois~~

- Dis maman, tu comptes faire quoi ce soir ?

- Hum ... Cela dépend ... tu voudrais quoi Asuka ?

Le dénommé Asuka se mit à réfléchir rapidement et donna sa réponse.

- Pourquoi pas aller au MrRonald

- ...

Asuka se mit à se retourner et vit sa mère regarder une vitrine où trônait une robe de mariée, il savait qu'elle se faisait du mal en agissant ainsi, mais il ne voulait pas non plus la blesser davantage.  Il eut une mine taquine et susurra à l'oreille de sa mère

- Madame  Tokito Naru à un message d'Asuka voulant aller au MrRonald.

Cette action fit sursauter Naru

Je .. Quoi ... Bon d'accord, mais pas un mot à qui tu sais.

C'est alors que la mère d'Asuka se figea, regardant avec une vision d'effroi une personne. Le jeune homme savait ce que ce regard voulait dire et son sang se mit à bouillir. Il mit d'abord sa mère en sureté, disant.

- Flûte ! J'ai oublié un truc chez un ami, si tu prenais à emporté, je te rejoins à la maison, ok ?

Asuka savait mentir à sa mère et cette dernière ne se doutais pas que le jeun homme allait traquer cette personne, qui ne pouvait être nulle autre personne qu'un des violeur de Naru, l'ayant conçu par ce viol. L'androgyne eut beaucoup de difficulté à ne pas foncer sur ce sale type et lui défoncer la mâchoire, voir le castrer de façon manuelle et sans anesthésiant. Non, une idée encore plus horrible germait dans sa tête. Il comptait le suivre, épier chacun de ses gestes, fouiller son adresse mail par des procédé peu légaux. Asuka voulait dénicher le repère de ses fumiers et les tuer de ses mains, pour que sa mère puisse enfin être libérée de cette peur qui la rongeait toute les nuits.

Ainsi commença la vie d'Asuka le stalkeur.

~~ Dans l'instant présent~~

Asuka était dans sa chambre, ayant sur ses écouteurs de la musique, pendant qu'il avait une carte de la ville avec des traits qui désignait le parcourt de la personne qu'il avait suivit, loupant un bon nombre d'heure. Sur mur était attaché un sacré nombre de photo, toute les personnes que ce type avait croisé était photographié, il avait même des vidéo. Asuka se mit à observer l'heure qui défilait, son plan allait se mettre en route.

Naru dormait à poing fermé, son fils ayant dû utiliser des somnifère pour éviter qu'elle ne l'empêche d'aller tuer ses agresseurs. Il n'avait pas peur de la loi, il savait ce qu'il faisait et était prêt à assumer les conséquence, de toute manière su sa mère n'avait pas été violée ce soir là, il n'aurait pas existé et cet instant n'aurait jamais vu le jour. Le jeune homme avait fouillé dans les affaires personnels qui restait du mari de Naru, trouvant un beretta 92 ainsi que deux chargeurs pleins. Il avait prit le temps de lire sur internet toute les précaution pour viser et éviter de se tirer une balle dans le pied quand viendrait le moment d'appuyer sur la détente.

Il lut une dernière fois sa carte et prit une douche froide, pour être éveillé et être capable de rester une soirée entière à guetter l'occasion de tuer sa cible.  Il avait prévu de porter de vêtements assez neutre, un débardeur bleu ciel, un short noir et un petit pull noir découvrant ses épaules. Il prit des baskets tout aussi neutre, pour forcer son côté androgyne et pouvoir jouer le rôle d'une jeune femme ou d'un jeun homme si sa cible le prenait en flag.

Il vérifia une dernière fois l'arme et les chargeurs, histoire que ses dernières ne lui fasse pas faux bond au moment opportun. Puis il quitta enfin la maison en direction du lieu où sa cible allait sortir, comme tout les vendredi soir.

En se faisant très discret, il se mit à suivre sa cible, cette dernière se mit à téléphoner, visiblement il appelait un ami pour un pari, Asuka était assez proche pour entendre des brides de la conversation, mais pas tout.  Pendant près de trente minutes il suivit sa cible, puis décida que la prochaine intersection serait parfait pour l'avoir en joue, étant un lieu étroit où toute fuite serait vouée à l'échec.

Il fit le tour au pas de course, attendant caché, déposant un petit miroir à l'angle pour voir sa cible approcher. Asuka sortie son arme la main droite appuierais sur la détente et la gauche soutiendrais le tir pour être plus précis. Le coeur du jeune homme se mit à battre de plus en plus vite, puis instinctivement, il sortie, pointant l'arme vers sa cible. Dans ses yeux la haine était clairement visible. Il avait poussé son androgyne pour éviter que sa mère ne voit en lui les hommes qui l'avait violé, il avait tiré son côté féminin pour rassurer sa mère et aussi se venger de ses géniteurs.

- Tu vas payer pour avoir violé ma mère, connard.

Naru aurait été choquée d'entendre son fils, pourtant si poli, user d'un mot aussi grossier. L'homme qui était menacé n'avait alors que dix seconde pour réagir avant que la balle ne parte se ficher vers son abdomen, la distance étant faible Asuka aurait peut de chance de le louper.

36
Prélude / Re : Par son arme, des larmes jaillissent de son masque..
« le: jeudi 30 mai 2013, 10:08:00 »
*S'incline*

Bienvenue mademoiselle la chasseuse de prime.

37
Prélude / Re : Des deux cotés de la balance...
« le: jeudi 30 mai 2013, 10:06:06 »
*S'incline*

Bienvenue mademoiselle.

38
Archives / Re : Re : Notre histoire
« le: mercredi 29 mai 2013, 21:48:22 »

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les six cents quatre-vingt-quatre mille millions d'années, soit un peu plus d'un siècle, plus deux. Ce kikko-lol maléfique était d'ailleurs peu connu de l'agence de notations Moody's... Ce qui était con d'ailleurs car c'était ces employeurs. Ainsi devint-il le premier disciple du roi, dans son combat contre les goodies japonais pas cher fabriqués par les Vieux Gars, mystérieuse tribu issue du fin fond, pour ne pas dire fion, car celui-ci était tout-à-fait... Aussi sombre qu'un lama que l'on aurait émasculé au paprika sur la place publique... De st martiens ! Cependant dans une soucoupe volante, on se livrait à d'étranges activités, particulièrement d'ordre intellectuel, telles que la rage du gros orteil ou le viol de cerveau humain avec des chansons pourries comme le générique de champs-Elysées. Pas de bol comme King Kong qui, par bêtise, a accepté l'invitation de Michel Drucker, et décidé d'interpréter le chant de
l'ornithorynque qui balayait l'immense terrasse du batiment appartenant à un calamar yakuza, à la langue de tapir. Aujourd'hui, le Seigneur Gilgamesh ...

39
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mercredi 29 mai 2013, 21:37:45 »
Aimerais bien rp avec le compte de son VDD dans un oneshot, où il ferrait face à une de ses progénitures.

40
Camelia se mit à écouter Irys, la mercenaire était-elle le genre de femme à ne pas s'embêter d'accoutrement inutile ? L'esclave ne pouvait le dire, peut-elle allait-elle demander à l''ESP.er de se découvrir, cette dernière ne prenant pas le risque d'agir contre l'autorisation d'Irys.

Camelia perçut le geste de la mercenaire, se mettant un peu à l'aise sans prendre l'espace d'Irys.

Ce fut alors une nouvelle mise au point, l'esclave comprenant qu'elle n'avait toujours pas trouver l'attitude qui allait satisfaire sa maîtresse. L'esclave en apprit plus sur sa maîtresse, s'imaginant la vie trépidante d'Irys, voyage tout les jours, voir de nouveaux horizons. La mercenaire souligna la solitude, l'ESP.er pouvait comprendre qu'une femme qui voyage tout le temps et avec un travail aussi dangereux. L'esclave eut une question et répondit avec franchise.

- Vous souhaitez donc que je sois une compagne de voyage et aussi une personne qui attends votre retour de mission, un peu comme une soeur ou quelqu'un d'un peu plus intime ?


41
Mon maître vint à poser son regard vers le mien. Dès lors je sentis que mon corps et mon esprit se faisait comme toucher, faisant abstraction de ma peau, touchant là où il voulait fouiller. J'avais déjà eu affaire à ce genre de traitement, dont lors des tests, il s'agissait d'un pouvoir qui effrayait, celui de lire dans les personnes. Comme mon maître me possédait dès l'instant où il avait apposé son sceau, il n'y avait aucune raison que je cache quoi que se soit, ne dressant aucune barrière, bien au contraire, je le laissait aller où bon lui semble, fouillant mes souvenirs les plus heureux, comme les plus horribles, apprenant que mon pouvoir était fantastique mais au combien pénalisant pour ma petite personne. D'un simple regard il avait put voir toute ma vie, toute mes attitudes, ne cachant pas mon dressage, ne dissimulant pas mon expérience dans bien des domaines dont le sexe, étant pour l'heure l'activité la plus utilisée, que cela soit pour le plaisir de mon maître ou de ma maîtresse, mais aussi servir à produire des esclaves ou des enfants quand la femme du couple était victime de stérilité. Mon corps frémit délicieusement quand il quitta son inspection, me laissant la sensation qu'un serpent donnait une fois ayant desserrer son étreinte mortelle. Je pouvais sentir qu'il n'était pas à sa première inspection du genre, ayant agit avec une précision que l'on acquière uniquement avec la pratique.

Dans son regard brillait une légère lueur d'envie au moment où il se mit à tâter ma joue, comparant sans doute avec sa propre peau. Il vint à laisser un indice sur sa vision des esclaves. Je pouvais l'analyser de deux manière, soit il était du genre effectivement gentil, soit il s'agissait d'une personne qui aimait manipuler son entourage. Dans tout les cas je n'avais aucun droit de jugement sur sa personne, n'étant qu'un outils à sa disposition. C'est alors qu'il vint à menacer le vendeur et le propriétaire, j'allais réagir quand ce dernier me fit un geste furtif, même si j'avais un maître, le propriétaire était une personne avec qui j'étaie lié et donc une personne à protéger. Je savais qu'en combat sans magie il était très bon, surtout avec l'arme qui lui était lié, une dague qui draine l'énergie de la chose blessée.

Le propriétaire ne fit pas disparaitre son sourire dédaigneux, il pouvait être très dangereux une fois menacé et m'avais fait part qu'une fois ma vente fini, il irait s'acheter une villa à Nexus et se la couler douce. D'un geste mes vêtements furent enchanté pour se changer et me donner une allure qui était assez surprenante, cela allait bien avec le style ashnardien, mettant en avant ma poitrine par le biais du bustier.

Je fus alors confiée à la jeune femme qui suivais mon maître, ce dernier se mit à s'éclipser, bizarrement mon échine se mit à trembler, comme si quelque chose d'affreux allait se passer, mais je n'avais pas à discuter les actions de mon maître, sauf si cela pouvait lui coûter la vie.

Nous fîmes route vers un lieu qui m'étaie inconnu, heureusement quelques point de repère ne changeaient pas entre Nexus et Ashnard, dont les enseignes des auberges. C'est alors que la dénommée Alessa se mit à me poser des question, étant une compagne de mon maître je devais le plus grand respect.

- On me nomme Camelia, mais mon maître pourra le changer s'il le désire. Quand à ce que j'aime en terme de nourriture, je n'ai pas de réelle préférence, je me contente de ce que mon maître ou une autre personne désire me donner.

Mon frisson se mit à revenir et monc oeur se mit à battre de plus en plus vite.

- Excusez mon manque de respect, mais mon maître compte-il venir rapidement ...

C'est à ce moment qu'une troupe de soldat se mit à passer au pas de course.

- Allez on se dépêche ! Il y a du grabuge à l'entrepôt du quai ! Allez on se bouge !!

Cette phrase me fit frémir de peur, mon maître ne comptait-il pas ... LA peur se mit à perler mon front, entamant un geste pour me diriger vers le quai.

- Excusez moi, je dois y aller.

Seulement à peine fis deux mètre qu'une douleur trop connut saisit mon corps, m'obligeant à m'accouder contre un mur, mes jambes se mettant à trembler sous la douleur. Cela pouvait paraître assez, mais ce n'était que le début d'une longue souffrance. La douleur se mit à gagner en intensité, je devais aller voir mon maître, avait-il été tué ? Je devais savoir.

Je me mis à me trainer, ayant de plus en plus de mal à marcher, ma vision s'embruma à cause des larmes qui coulaient. Malheureusement comme la dernière fois, la douleur monta d'un cran, me paralysant, je ne pouvais même plus parler, respirer était difficile.

42
Prélude / Re : Lena Hayley-Smith, agent polyvalent. - { Validée }
« le: mercredi 29 mai 2013, 16:34:47 »
*S'incline.*

Bienvenue mademoiselle.

43
Prélude / Re : L'Oracle descend des cieux pour vous... (Roulettes)
« le: mercredi 29 mai 2013, 09:28:56 »
*S'incline.*

Bienvenue messagère divine

44
One Shot / [donjon] Voler c'est mal.[réservé]
« le: lundi 27 mai 2013, 17:26:56 »
Merci de me prévenir par MP avant de poster, je tiens à signaler que je n'accepterais qu'une seule personne et que la propositions qui me paraitra la plus amusante sera choisit.

Date butoir pour les propositions le 31 mai au soir


Je vous proposes un donjon, dont vous êtes le maître ou la maîtresse et dont mon personnage va visiter pour piller vos biens.

Type de donjon désiré (facultatif) :

- Monster domination (présence d'humain très rare)
- Des pièges qui ne tue pas, ayant des effets pervers.
- Pour ce qui est du hentaï, je n'impose aucune limite, jugeant que les créatures que vous mettrez sur ma route n'ont pas forcément la même notion de la sexualité qu'un humain lambda.

Personnage joué dans ce One-shoot :


Joint à l'image on rajoutera sur les cuisses des attaches où chacune contient 6 pointe en fer elfique, réputé pour sa résistance, de huit centimètres. Il porte des bottes à talon de cinq centimètre de cuir violet montant à mi-cuisse.

Ses boucles d'oreilles cachent un système déroulant un fil de fer, aspergé de poudre de diamant, qui rend le tout extrêmement résistant et tranchant.

Trésor est un ESP.er, ayant comme faculté la téléportation, que cela soit pour lui-même ou encore pour des objets comme les pointes sur ses cuisses.

Au cas où vous auriez du mal à voir avec l'image (pourtant sa tenue est assez moulante *rire*) c'est un homme.

45
Ma vente fut plus virulente qu'à Nexus, tout simplement qu'en à peine dix minutes, le prix de base avait presque triplé. Qui aurait cru qu'à Ashnard une simple esclave doté du pouvoir de lien allait apporter une telle foule et une telle force dans les enchères. Si le vendeur se frottait déjà les mains par cette ventes qui promettait d'être fructueuse, mon regard se posais sur chacune des personnes qui surenchérissait. La tension de la vente était clairement palpable, certains magiciens semblaient retenir leurs magies pour brûler vif des personnes ayant exprimé d'un geste de la main un prix plus important que le leur. Certains nobles armé avaient leurs mains sur leurs armes. SI le marchand gardait son sang-froid, j'avais peur que cet enchère ne se termine en un immense bain de sang, une image bien morbide pour une simple vente d'esclave.

Dès fois la beauté, l'argent et le pouvoir pouvais amener la folie dans l'esprit des personnes.

Alors que les premiers escarmouches naquirent dans la foule, le vendeur était prêt à déployer son mécanisme de sécurité si cela devenait trop dangereux pour lui.  C'est alors qu'il apparut.

Succédé à cette voix puissante et impériale, il y avait un homme fort bien vêtu, il avait l'allure d'un roi conquérant nommé Alexandre le Grand. Il ne manquait plus qu'un cheval pour avoir une plus grande prestance. Je pus voir une personne le suivre, ayant le regard aussi aiguisé que la lame qu'elle portait sur son dos.  Les hurlements laissèrent place à des murmures, malheureusement j'étaie trop loin pour les entendre. Au vue des regards de dégoût lancé sur cette homme, il devait être connu dans le milieu et pas en bien.

Il vint à demander mon prix de vente au vendeur, qui annonça le prix actuel. L'assemblée fut balayée par la somme annoncée par cet homme. Le vendeur se mit à douter, mais je pouvais dire que si cet homme mentait, il était très doué. J'entendis un léger rire venant du propriétaire des entrepôts, comme s'il trouvait cette situation comique, cependant seul moi et le vendeur purent entendre son intervention. 

Le vendeur pris connaissance du compte, ne pouvant pas grappiller quelques pièces au passage sans prendre le risque de perdre une main, hors un vendeur estropié fait mauvaise image pour une boutique comme celle-ci.

C'est alors que le propriétaire se fit convoquer verbalement, ce dernier se mit à se lever de son siège avec un léger sourire, répondant avec une certaine désinvolture.

- Mais qui voilà donc … Le seigneur de Meisa en personne, que d'honneur.  Tu as beaucoup changé, même si tu es encore jeune, c'est en partie pour cela que je hais les sorciers. Cela fait combien de temps … trente années si ma mémoire ne me fait pas défaut.  Mais trève de bavardage.

Le propriétaire se mit  regarder le vendeur.

- La vente est finit, il pourrait lâcher tout l'or de son royaume pour posséder une jolie demoiselle, même si …

Le propriétaire lança un regard sarcastique à Kamui.

-  … d'après quelques infos, ses dernières ont tendance à disparaître.

Un léger sourire moqueur apparut sur Kehelon, faisait-il référence à une personne en particulier ? Je pus sentir à ce moment la magie se faire brider, le collier de Kehelon créant une zone d'anti-magie.  Kehelon se mit à marcher vers Kamui, saisissant avec douceur son menton, bloquant la tentative de Kamui à vouloir s'y soustraire.

- Il est vrai que tu as quoi plaire aux femmes, mais tes yeux sont sans doute la source de leurs fuites.

Il retourna s’asseoir sur son siège, tournant le dos sans peur que le seigneur de Meisa ne le poignarde. Ce dernier n'était pas aussi pataud que l'on pourrait le croire, ayant assisté une fois à un échange d'escrime avec un voleur.

- Mais je vais arrêter mon blabla inutile, viens signer le papier de vente et emporte cette perle. Cependant si tu t'ennuies avec elle n'hésite pas à me la rendre, bien sur il n'y aura aucun remboursement.

Il fit signe au vendeur de me donner la fiche d'identification, qui nécessitait encore la signature de cet homme, j'attendis qu'il appose une signature, voire un sceau s'il l'avait sur soi, pour le tendre au vendeur qui vérifia une dernière fois le papier et grommeler que c'était bon.

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