Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Nikolaus

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Sous la douce caresse des doigts de Nikolaus sur la peau délicate de son idole, celle-ci se réveilla. La pauvre, il la plaignait, être enlevée de la sorte, c’est vrai qu’il s’agissait d’une manière impropre d’un gentleman de ravir une jeune femme. Y en avait-il une correcte d’ailleurs ? Sans doute, oui, en lui demandant son autorisation, en présence d’un chaperon, avec la bénédiction de ses parents, dans une voiture chic et luxueuse.

Il avait quand même fait déplacer un ligre pour elle ! Ce n’était pas beau ça ? Elle n’avait presque aucune chance d’en revoir un de ces jours ! Il lui offrait un spectacle unique en son genre ! Tout ça, rien que pour elle ! Il sourit et regarda la jeune femme se débattre, une lueur confiante dans le regard, c’était comme s‘il se rassurait sur le fait qu’il avait agi comme il le devait !

Même si elle se démenait pour se libérer, il ne l’aiderait pas. Non pas qu’il ne le veuille pas. Il aimerait beaucoup la libérer. Il voudrait la voir danser de nouveau, juste pour ses beaux yeux, il voulait la voir danser pour lui. Mais il savait qu’elle ne comprendrait pas, il fallait d’abord qu’elle comprenne, ensuite, il la libérerait. Pas avant.

Elle se démenait tellement qu’elle finit par se retrouver à terre, ayant renversé le fauteuil à bascule dans sa furie. Il pâlit, non pâs de peur devant soin acharnement à se libérer et devant la fureur qu’elle manifesterait sans doute à son égard, juste parce qu’il avait agi pour le mieux, mais devant la peur qu’elle se soit fait mal, idée confirmée par un grognement de douleur de sa part.

Il releva péniblement le fauteuil pour la rétablir droite et commença, un peu inquiet à vérifier son visage sous toutes les coutures, voir sii elle n’était pas blessée. Finalement, il ne s’agissait apparemment que d’une petite bosse, et pendant qu’il l’auscultait de la sorte, il lui parlait avec douceur, une douceur empreint d’admiration.

« Chhhhht non, je ne te libèrerai pas. Je fais ça pour toi… c’est pour ton bien, pour te protéger que je t’ai amené ici…. Je ne voulais pas te faire du mal, mais tu ne m’aurais jamais accompagné si je te l’avais demandé…. »

Sa main dériva de sa tête où il cherchait une autre éventuelle bosse pour glisser le long de sa joue. Pas de geste déplacé, juste un geste d’apaisement, enfin, c’était ce qu’il souhaitait faire et qu’elle comprenne.

« Je t’ai nettoyée et habillée proprement puis je t’ai assise sur ce fauteuil, c’est le meilleur fauteuil de la maison. Enfin, tu seras débarrassée de ces dégoutants regards qui s’accrochent à toi et qui agresse ta peau depuis leurs yeux… »

Il eut un frisson de dégout.

« Ils ne te méritent pas. Alors je t’ai amené ici pour qu’ils ne t’aie,nt pas. Moi seul te mérite… »

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Le coin du chalant / Re : Pipeau... animaux... nuisibles...
« le: mardi 21 mai 2013, 20:36:16 »
je te mp pour les détails ^^

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Le coin du chalant / Re : Pipeau... animaux... nuisibles...
« le: mardi 21 mai 2013, 20:27:20 »
Classique ou variante ?

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Le coin du chalant / Re : Pipeau... animaux... nuisibles...
« le: dimanche 19 mai 2013, 23:40:38 »
Je me permets un tout pitit UP !

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Tapis dans l’ombre, le kidnappeur attendait. Il attendait la personne qu’il allait enlever, tissu imbibé de chloroforme à la main. Il la vit arriver, aussi belle qu’un feu de joie, embrasant son âme autant que si celle-ci avait été plongée dans le cœur magmatique d’un volcan. Il sourit, avant de se sentir mal.

Il la vit s’effondrer, il la vit pleurer et il eut un gros pincement au cœur. Il savait qu’il agissait pour son bien, mais il ne pouvait pas s’empêcher d’être malade d’en arriver à de telles extrémités. Toutefois, il ne bougea pas, ordonnant au croisement entre un tigre et un lion de se dévoiler.

Il y eut un grondement sourd proche d’un feulement alors que le mastodonte se levait pour venir doucement bousculer de la tête la jeune femme. Oui, ça lui faisait peur et il se maudissait d’avoir eu besoin d’en arriver à ce point peur l’enlever. Mais c’était pour son bien, il faisait exactement ce qu’il devait, même si ça lui brisait le cœur, il devait le faire de toute manière.

Doucement, il s’approcha d’elle, dans le dos, alors que le ligre attira l’attention, et il l’enlaça, la serrant contre lui, il huma la douce odeur de ses cheveux, de sa peau, de la sueur que lui avait couté la danse, de son parfum et apposa le tissu imbibé de chloroforme sur ses lèvres et son nez, assez fort pour l’empêcher de respirer autre chose, mais toutefois pas assez pour lui faire mal. Ce ne serait jamais son intention.

Saisissant le sac, le ligre ouvrit la voie au jeune homme qui portait dans ses bras la jeune femme évanouie., il avait posé la tête de la jeune femme sur son épaule, calée dans le creux de son cou., il sentait un léger souffle sur cette zone qui le faisait frissonner. Doucement, il la plaça sur le siège passager, lui mit la ceinture et la cala de telle sorte que l’on puisse croire qu’elle dorme. Elle était si belle… il déposa un baiser sur sa joue. Il fit monter le ligre à l’arrière et monta ensuite pour conduire jusque chez lui, ce vieux temple abandonné assez grand et qui était entouré d’herbes folles et peuplé d’animaux plus ou moins sauvages mais soumis à sa volonté.

Il sourit. Enfin elle était toute pour lui, à chaque instant !  Ila déshabilla, la lava à l’éponge (une grande éponge qui passe de partout, et la rhabilla avec les vêtements de rechange qu’il y avait dans son sac de sport, puis, il la porta jusqu’à une chaise, dans la pièce du fond et  la  déposa dans un rocking chair. Il prit du tissue et de la ficelle et il l’attacha avec délicatesse, pour ne pas abimer sa peau, entourant ses poignets, ses coudes, ses chevilles, et ses genoux avec des bandes de tissu assez épaisses pour que, sans être capable de se détacher, normalement, elle ne ressente pas la morsure des cordes.

Il prit un tabouret, s’assit auprès d’elle, et doucement, lui caressa et lui tapota doucement la joue, murmurant son prénom pour qu’elle revienne à elle… le ligre s’était assis de l’autre côté et la fixait de son regard fauve.

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Prélude / Re : Prince(esse) Cyriel Raffaëlli
« le: jeudi 28 février 2013, 23:41:14 »
Bienvenue !

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Les alentours de la ville / Ma préccccccccccccccccccccieuse !!!! [Pv]
« le: mardi 29 janvier 2013, 20:24:48 »
La mécanique d’un plan parfaitement huilé était ce qu’il y avait de plus beau au monde !  Enfin, c’était son point de vue et celui de tous ceux qui montaient un coup ! Sauf que lui, c’était pour la bonne cause ! Il ne faisait pas ça par plaisir personnel… quoiqu’un peu, si… disons que cela mêlait devoir et plaisir !

Cela faisait bientôt un an qu’il l’avait croisée et qu’elle peuplait sa vie, ses songes, et qu’il l’admirait  en secret. Il l’avait vue et ne jurait que par elle. Il revoyait la scène comme si c’était hier, cette vision qui avait changé sa vie. C’était un six mai… il l’avait fêté voilà deux jours. Très vite après l’avoir regardée, il avait plongé dans l’obsession la plus complète.

Le six mai, il avait allumé la télévision et était tombé sur une de ces émissions qui ne valaient pas un pet de lapin (ça aurait été insultant pour le pet comme pour le lapin !), où l’on voyait défiler des invités tous aussi médiocres les uns que les autres pour un évènement en particulier, l’anniversaire d’une personnalité où chacun lui rend un hommage à sa manière, et il avait failli éteindre, failli seulement, car lorsqu’ul avait porté la main à la zapette, il s’était arrêté. La personne qui venait de monter sur scène pour rendre son hommage personnel. Une jeune femme, l’avait intrigué et il avait commencé par flasher. Puis il l’avait vue danser. Et là ça avait été fini.

Petit à petit il avait affiché tous les articles, toutes les photos qu’il avait pu trouver ou obtenir bon gré, mal gré, dans une grande pièce qui en était tapissé. Il avait même commencé à apprendre l’espagnol car elle parlait espagnol !  Il en avait peut êtr e fait trop mais c’était ce qui lui semblait être les choses à faire. Quand il avait besoin de courage, de force, de quoique ce soit, il allait dans cette pièce et le regard de la jeune femme le ressourçait.

Il avait même envoyé des espions chez elle, vous savez, un petit rat, un ou deux insectes, qui lui avaient parlé de tout, depuis sa marque de shampooing jusqu’à ses gouts en terme de lingerie en passant par ses talents, comme par hasard ce qu’elle savait cuisiner, ce qu’elle mangeait. Il avait même plusieurs cahiers dans lesquels des emplois du temps avaient été fait demi-heure par demi-heure, comment elle était vêtue dans les moindres détails, qui elle avaitvu à quelle heure précise, ce qui s’était dit, tout était inscrit dans ces cajhiers…. Il la surveillait, l’admirait et veillait sur elle. Maintenant il voulait qu’elle ne soit plus qu’à lui… il en était arrivé à jalouser toute personne qui l’approchait, homme ou femme. Elle n’était rien que pour lui !

Il avait lâché cinq colonies de cafards, huit de rats chez son manager, avait ibvirté des mites alimentaires chez sa dernière relation sérieuses ainsi que des blattes dans les canalisations de ce dernier. Un chat avait empilé des corbeaux mort pour lui sur le palier de la danseuse comme avertissements. Elle ne l’avait pas écouté, et ce soir elle était sur scène, et selon ses propres dires quand elle l’avait annoncé à la télévision, elle serait à la disposition des fans pour signer des autographes à la fin de sa prochaine prestation sur scène, il avait décidé d’intervenir.

A partie de ce soir, il n’y aurait plus que lui qui poserait les yeux sur elle. Mais d’abord il avait fallu bien des préparatifs. Il avait du s’arranger pour se procurer un passe pour les loges. Il avait fallu une présence confirmée de rats pour cela, ensuite, il avait fallu s’y présenter au bon moment. Ça n’avait pas été dur étant donné la situatrion : des rats dans les loges, de quoi faire baisser irrémédiablement le cachet des lieux, alors on faisait comme il pouvait. On prenait le premier créneau de libre, même s’il était en soirée, pendant une prestation, même.

Ensuite, se retrouver seul… disons que pour cela il avait eu recours à de la triiche, une triche assez violente quand on y réfléchissait. S’était depuis cinq ou six jours échappés du zoo -  quel hasard !  un groupe de dangereux prédateurs. Un ours à lunette, qui attendrait chez lui, elle aurait un gros nounours pour elle comme ça, un once, et un ligre. Autant vous dire que ça avait déchainé la chronique, mais il allait s’en servir. L’once serait vue à proximité, attirant les gardiens, et le ligre le suivrait dans les bâtiments pour eêtre sur qu’e Soledad ne soit pas contre  le fait de devoir partir avec lui…

Le soir S était arrivé, er il était aux alentours de vingt et une heure, elle aurait fini dans une demie heure, alors autant terminer de tout préparer sur place, il installa ses produits sur place comme s’il était un vrai dératisuer, mles cachant un minimum, comme il avait été demandé et s’était faufilé dans la loge de la danseuse, le croisement stérile de lion et de tigre sur les talons. Celui s’était couché de manière à ce que l’on ne le voit pas  en entrant mais qu’il empêche de sortir.

A peine était-il entré qu’il avait sortit un grand sac et avait commencé, en humant son parfum à y ranger toutes les affaires de sa star. Il fallait qu’elle ne manque de rien. La camionnette était garée dans l’entrée de service, donc il n’y aurait pas de témoins venus pour la prestation. Il ferma le sac, non sans avoir plongé son visage dans les vêtements de rechange comme dans les vêtements sales de la jeune femme pour respirer son odeur, son parfum, et se glissa dans un coin sombre, n’attendant plus qu’elle.

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Jigoku > C'est un don inné, chérie. Je ne sais pas comment l'apprendre à quelqu'un ^^

Je confirme, je partage avec toi ce don, jolie veto ! Mais en mieux !  xDDDDD


Bienvenue !

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Le coin du chalant / Re : Rencontre du troisième type.
« le: dimanche 30 décembre 2012, 16:20:37 »
Coucou !  Je pourrai être intéressé par l'idée de le soigner^^

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Le parc et son sous-bois / Re : Chantage particulièrement bestial [ Nikolaus ]
« le: dimanche 30 décembre 2012, 16:18:44 »
Il était tôt ce matin alors que le jeune homme vadrouillait dans le parc... pourquoi ? Tout simplement parce qu'il en avait envie, il n'y avait pas besoin de plus de raisons que celle là, si ? Très-s bien, parce que monnaie s'était barré et qu'il le recherchait activement ! Quoi était monnaie ,hum ? Une saleté d'écureuil qu'il appréciait énormément... et il était persuadé qu'il serait dans ce parc, c'était là qu'il l'avait trouvé blessé il y avait de cela deux ans...

Le bvois du parc était silencieux le matin, en même temps, l'aube n'avait montré le bout de son nez qu'il y avait très peu de temps, donc normal... il trouvait un certain charme à) cette quiétude et avait pris l'intégralité de son matériel, à cette heure, dans ce silence, il pourrait filmer les écureuils et autres animaux forestiers, ainsi que son matériel de prise de son.... oui, autant bien faire les choses !  Zet c'est entre autre comme ça qu'il reconnaitrait Monnaie !

Il allait allumer sa caméra quand un frisson de plaisir passa le long de son échine, pas son plaisir, mais celui d'un animal très expansif sur ses besoins apparemment.... curieux, il s'immisça davantage dans sa tête et reçut pléthore d'images étranges.... des images qui, si il n'avait pas été aussi proche des animaux, il en aurait été écoeuré à en vomir, mais il trouvait juste cela... avilissant, dégradant...

Il rejoignit la scène, décidé à donner une bonne leçon à celle qui faisait quelque chose d'aussi contre-nature... ah, elle aimait les bêtes... elle allait comprendre vraiment ce que cela signifiait... et il allait lui passer l'envie d'en vouloir plus... il alluma la caméra et zooma sur la jeune femme se faisant lécher l'intimité par le chien...caressant l'organe reproducteur de celui ci...

Un écureuil passant par là, il le sollicita. Ce n'était pas monnaie, mais il ferait l'affaire... il lui donna un ordre simple :  voler les boutons de chemisier de la jeune femme... il semblait ravi de s'exécuter, surtout que dans le soleil du matin, ils semblaient briller. Il se laissa tomber sur elle, et en quelques coups de dents précis il eut tôt fait de les arracher et s'enfuit avec dans la forêt...

Ordre suivant mais cette fois ci, donné au chien :  lui mordiller la poitrine, elle voulait un véritable amant et sous les yeux de la caméra, elle allait s'abaisser à considérer son chien comme tel..

Il filmait en zoomant, particulièrement amusé de tout ce à quoi il pensait....

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Le fait qu'elle semble surprise de cette manière de faire était normale, et quand il révélait ses armes bon nombre étaient ceux à lui rire au nez, mais vous, vous n'avez jamais vu un blaireau chasser, et avez vous vu la taille des griffes d'un tel animal ? Vous riez moins !d'un coup étrangement... et quand vous savez la force d'un blaireau ? Oh, plus de rire du tout... combien d'employés de mairie avaient refusés les animaux et l'avaient amèrement regretté ? Énormément.

Sa plaisanterie fit mouche, il sourit. Pas de rire, juste un sourire, mais c'était déjà pas mal ! Il la regarda,il était très amusé par cette secrétaire.... ses réactions étaient... rafraichissantes !, oui, il était plein de sur^prise et elle n'avait encore rien vu... qand à sonb chat... il eut un léger éclat de rire avant de lancer :

« Je ne dresse pas les animaux des autres, désolé ! »

C'était du ^pur amusement bien sur, un amusement qui cachait une certaine forme de vérité... chaque animal avait son petit caractère, et trop dresser allait à l'encontre de leur caractère naturel... aussi, il ne leur imposait l'ordre de l'aider que dans le cadre d'une mission, après quoi ils retournaient à l'état sauvage dans son terrain vague...

Il restait toutefois l'alpha et devait souvent le rappeler, mais quand il n'avait pas à le remettre en mémoire à certains velléitaires, il trouvait ce fonctionnement agréable et parfaitement sain ! C'était l'ordre naturel des choses qui prenait place, alors, forcément, tout allait bien... il n'y avait rien de mieux que la hiérarchie  que l'on retrouvait à l'état sauvage, chaque être avait sa place !

Quand ils retournèrent vers la cave, les animaux les suivirent, en rang, à la queue leu leu, de parfaits petits soldats, mais c'était la discipline au travail, en dehors, c'était l'anarchie. Il prit le double des clés, la remercia et commença à descendre, tirant derrière lui sa lourde caisse à outil contenant tout le matériel nécessaire et qui n'était pas vivant, lui ! Dans  les escaliers, c'était pratique, tiens !

Il souffla une seule note :  un ré, laissant ainsi la cohorte d'animaux filer dans les ténèbres de la cave avant qu'il ne l'éclaire. Il penserait à prendre une lampe torche. Il se retourna pour remercier Shani alors qu'il reprenait sa descente. Ne regardant pas où il mettait le pied, il loupa une marche et manqua de tomber... ne se rattrapant au morceau de métal qui servait de rampe que de justesse.

« ça va aller, je me débrouille ! »

Il arriva finalement en bas, et laissa ses animaux travailler, lui, il  commença à placer quelques pièges, un peu comme des collets pour lapins en plus petits et en mieux adaptés. Il plaça aussi quelques tapettes avec fromage. En cas de besoin. C'étyait réglé.... il venait de passer une demi hyeure à tout mettre en place et vint s'asseoir sur les marches, regardant les animaux chasser...

Sel, le blaireau semblait inactiof, aussi, il décida de passer en « mode nocturne », saisissant la lampe torche en cas de besoin, il éteint la lumière, là seulement le blaireau passa à l'action, une forme de pudeur peut être... mais au bruit on comprit que c'était un véritable carnage... il alluma la lampe torche pour commencer à regarder les exploits animaliers... plusieurs rats étaient  pourchassés et quelques uns étaient morts...

Pas de trace de Mister. Il utilisa la lampe torche pour fouiller sa caisse à outil, c'était un bazar monstre,  il finit par le trouver, sous sa housse  protectrice. Il regarda.... Mister se baladait lentement dans le lycée, mais il se rapprochait... il y avait d sacrés tunnels... Avisant  de sa vitesse, il se dit qu'il avait un petit quart d'heure.... il se mit à lire...

Le temps passa bien plus vite qu'avait prévu car il se retrouva bientôt au milieu d'un sacré tumulte, Mister venant se réfugier sur lui, tout tremblant, en sueur... l'appât vivant, il en avait soupé... Il y avait un sacré vacarme et pour avancer un peu plus vite, Nikolaus mit un casque antibruit et commença à ramasser les rats morts et autres souris et les mettre dans un grand sac poubelle, il avait le repas de ses chers amis !

Dans une heure il aurait sans doute terminé...

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Bon, elle avait remis sa tenue d'aplomb, mais il manquait toujours un bouton, quoiqu'on en dise... enfin, cela n'avait pas non plus eu l'effet de la déshabiller non plus !  C'était juste que cela faisait désordre sur sa tenue... enfin, un peu. Restons mesurés !  Et de toute manière elle ouvrait la voie, ce qui était tout à son avantage, il fallait l'admettre ! Aprè_s tout, monnaie ne l'avait ^pas blessée, non, il avait juste tenté de s'accrocher, pour décrocher le bouton... ce qui en soit était déjà trop.

Il se maudissait ! Il aurait du laisser monnaie sur place ! Il aurait du le laisser à la maison et ça aurait été plus simple, et moins gênant, beaucoup moins gênant... iol soupira et lui emboita le pas quand elle lui indiqua de la suivre. Il le fit sans hésiter. Il était pour cela à l'origine, donc il ne retarderait pas le travail à faire, cette personne devait êtres restée juste pour ça... une pensée lui vint :  pigeonne !

Oui, elle devait s'être faite pigeonner en beauté pour se retrouver à travailler plus tard ce soir pour l'accueillir et le congédier.... on lui aurait promis quoi ? Moins d'heures plus tard ? Avec tout autant de travail ? Ouais, c'était sans doute ça.... pigeonne... enfin, inutile d'enfoncer ce couteau dans une jolie plaie bien sanguinolente !

Elle le mena droit au vestiaire concerné par le rat. Oui, ce serait presque inutile comme visite, sauf si il utilisait un certain Mister :  il laissa le furet descendre discrètement de son bras pour aller commencer à fouiller : il trouverait une piste et la remonterait :  sa taille lui permettait de passer là où un rat passait sans la moindre difficulté ! Ce serait son traqueur: il allait rabattre les proies là où il faudrait, et il serait au bon endroit avec les autres animaux grâce à la puce GPS qu'il avait sous la peau !

*Très bien, vas y, traque les et trouve les !*

Il la suivit ensuite vers une porte rouge, la porte de la cave sans doutre étant donné le sombre escalier s'enfonçant dans les ténèbres., oui, la cave, elle le confirma. Il sourit, froid, hulmide, parfait pour des rats en théorie.... il devait y avoir une chaufferie sans doute dessous pour faire un nid douillet...

Mieux encore, ces caves donnaient aussi sur les cuisines, parfait pour les rats et pour les cafards dont on lui avait parlé... il opina du chef mais ne répondit pas à sa question, il avait quelque chose de simple pour lyui répondre :  lui montrer. Il sortit du gymnase pour gagner sa voiture.

« Venez, vous allez voir ! »

Il ouvrit le portail, ce n'était pas faute de lui avoir  demandé, mais bon, autant se taire et le faire après la boulette de Monnaie. Il fit rentrer la voiture dans laquelle ses compagnons s'agitaient d'excitation, l'attente se sentait. Ils en avaient marre d'être confinés. Il descendit et ouvrit le coffre devant Shani :  ses compères descendirent et se mirent en rangs bien nets et bioen propre un par un. Oui, ça faisait une tripotée d'animaux, une combinaison plutôt étrange. Il dut faire descendre le blaireau en l'aidant, il se faisait vieux. Puis il sortit sa grande caisse à outil et sa petite mallette. Il ouvrit celle ci et montra son contenu à Shani.

Un pipeau ! Oui, grossièrement taillé à la mai, il n'avait pas franchement pris de peine à le peaufiner s'il fonctionnait. Il ne pipa mot mais montra l'objet et eut un sourire énigmatique.

« Les animaux sont dressés et répondent au pipeau. Pour exterminer un animal il y a deux méthodes :  les tuer et éliminer leur proie, je fauis les deux de la manière la plus naturelle possible, tout simplement. »

Il porta le pipeau à ses lèvres et souffla un la puis un mi et enfiun un dos et les animaux, répondant à l'ordre mental associés se dirigèrent vers la cave bien sagement.

« C'est naturel et propre, ruien de chimique ou de nocif ! Et en même temps c'est une manière d'aider des animaux qui seraient morts de fin sinon... oui, je sais, très idéal comme façon de faire, mais bon, elle en vautr bien une autre... par contre il faudra bien fermer la porte, que des rats  ne s'enfuient pas ! »

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Elle sembla particulièrement surprise par son accoutrement. Y    voyait-elle quelque chose de particulier ? Ah, oui, peut être Monnaie et Mister la surprenaient-elle… oui, c’était plus que probable qu’il devait sembler être un peu un original, bon nombre de gens l’avaient regardé de travers au sein du lycée… tant les professeurs encore sur place que les élèves internes… et encore, ils n’avaient pas vu les autres… pas plus qu’elle… et personne n’avait vu les créatures qui se cachaient dans certains recoins de son chez lui… entre autres un vieux loup et sa louve… à l’un manquait un œil, à l’autre une patte… mais arrêtons là cette digression, c’était préférable !

Elle finit apparemment par se rendre compte de son comportement car elle se mit rougir légèrement…. Oui, c’était malpoli de regarder comme ça quelqu’un, même s’il avait l’air étrange… peut être même d’ailleurs parce qu’il avait l’air étrange tout particulièrement. Faisant fi de ce comportement il lui serra la main quand elle se leva et tendit la sienne en réponse à son acte de salutation. Elle semblait quelque peu déboussolée… compréhensible, elle voyait rarement venir dans son bureau des zouaves qui faisaient office de ménagerie ambulante ! Mais elle n’était pas là pour le lui faire remarquer alors elle ne le fit pas. Bien élevée ! Quoique zouave n’était sans doute pas le terme… disons plutôt… marginal, oui, Nikolaus admettait volontiers qu’il n’avait rien à voir avec les autres et il disait bien volontiers que cela lui convenait parfaitement !  La société ne voulait pas de lui au naturel, ça tombait bien, il ne voulait pas de ladite société lui non plu !

Elle s’amusa apparemment à enfoncer quelques portes ouvertes. Il préféra regarder ailleurs pour ne pas qu’elle lise dans son regard le léger agacement qui devait poindre devant le fait qu’elle semblait perdu dans son propre territoire… ce qui était selon lui relativement comique et en même temps pitoyable… pensée plus animale que réellement humaine… mauvaise (ou bonne) habitude prise au contact des animaux avec qui il vivait et partageait son quotidien… moins pénible qu’une épousée, ça, il pouvait le confirmer…

Le hasard voulut qu’il en profite pour détailler son interlocutrice… ce qu’il voyait de sa tenue laissait supposer une femme  qui aimait plaire et qui aimait se sentir désirée, notamment grâce au chemiser partiellement ouvert sur le reste de sa tenue… la chose qui attira son regard par la suite fut la série de papiers à signer, les autorisations habituelles, il ne prit même pas la peine de les lire plus qu’en diagonale. Il signa les divers papelards et vérifia bien que cela avait été suffisant pour les copies au carbone… heureusement que ces messieurs et ces mesdames de l’administration se fichaient des méthodes, sinon il=s lui feraient manger le paperasse… ; et elle avait l’air indigeste, et pas qu’un peu !

Finalement, elle se présenta… elle avait vraiment été complètement déboussolée par lui… amusant, ce qui avait commencé par être pénible devenait amusant. Shani Stevens, il notait le nom dans un coin de sa mémoire et le retiendrait/… par contre, pour l’appeler par son prénom,… ça allait être un peu plus long à entrer dans sa caboche…

« Si je dois vous appeler Shani alors appeler moi Nikolaus, je vous prie. Sinon, oui, je suis prêt… mon matériel est dans ma voiture, mais je pense que vous devriez faire ouvrir le portail que je m’approche du gymnase le plus possible, non pas que ce soit lourd, mais ma méthode est assez particulière pour la chasse aux rongeurs… par contre, j’ai du mal à comprendre pourquoi le gymnase, ce serait plus logique qu’ils se dirigent vers les caves et garde manger… étrange mais bon, les chasubles et autres maillots de sport étaient aussi de bons nids bien douillets… l’ennui serait si il y avait des portées, donc le plus tôt sera le mieux… ils ont été vus quand ? »

Il aurait bien palabré davantage s’il n’y avait pas eu un comportement particulièrement gênant, en effet, monnaie, qu’est-ce qu’il portait bien son nom celui là, avait apparemment passé l’étape de la peur et vu quelque chose d’intéressant… en effet, en trois bonds, il saurait sur le bureau puis sur la secrétaire, s’accrocha à l’un des boutons qui tenaient encore en place, le plus haut…. Ça brillait, il le voulait… tout simplement.. il commença à tirer dessus et à donner des coups de griffes et de dents dans l’étoffe pour le détacher et l’emporter…

« Monnaie, non ! »

Sans tentative de contrôle mental, inutile de dire que c’était voué à l’échec et il décida d’intervenir manuellement, surtout que dans la précipitation, le furet était parti descendre dans son propre haut et bougeait dans tous les sens…. Bon dieu mais pourquoi ne les avait-il pas laissé dans la voiture !!! Il se maudissait pour sa stupidité….

Il finit par attraper Monnaie mais qui tenait ferme… celui-ci ne lâcha prise que quand il eut faut céder le bouton… et marde ! Le dératiseur blêmit… Tout fier de lui , l’écureuil retournait sur l’épaule de l’alpha mâle en se pavanant avec le bouton de chemiser qui n’avait brillé que quelques instants sous les effets lumineux du soleil se couchant sur l’horizon… puis, voyant que l’objet ne brillait plus, il le regarda une dernière fois et le jeta vers le sol…

Nikolaus parvint à rattraper le bouton et le posa sur le bureau…

« Je  suis vraiment désolé…. Il sera sévèrement puni… »

Comment devenir mal à l’aise une simple et unique leçon… et à ce même moment, le furet revint à sa place… et dire qu’il avait encore une tripotée de bestioles comme ça dans la voiture en plus de son matériel.

« Inutile de vous expliquer pourquoi je l’appelle monnaie du coup… »

Pitoyable manière de tenter de détendre l’atmosphère… et lamentablement foiré aussi au passage… mais bon, il avait essayé , ce qui valait mieux que d’avoir passé ces secondes à se regarder en chien de faïence…

« Bon, et si on se mettait au travail… enfin, si moi je me mettais au travail et que vous me montriez le lieu à purger des rats ? »

Un esprit frôla le sien, celui du furet qui semblait murer mentalement à son oreille :

*Cette femelle semble être prête pour la copulation ou a copulé il y a peu…*

Avec ça il avait avancé… ouais, beaucoup…

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Prélude / Re : La voix de l'immortel
« le: dimanche 23 décembre 2012, 17:34:30 »
Bienvenue

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Il était dix quinze heures trente, c’était l’heure du crime…. Heu non, pardon, l’heure d’aller travailler ! Quoiqu’étant donné que Nikolaus venait de passer la journée à se détendre et à se prélasser chez lui, sous un monticule de chats assoupis, et un blaireau pour oreiller, se forcer à se tirer hors de cette torpeur bienfaisante pour aller travailler pouvait passer pour criminel ! Mais il fallait bien qu’il trouve de quoi manger, un peu de rentrée d’argent fiable, l’argent du contribuable serait le bienvenu !

Lentement le matin, et surtout, pas trop vite le soir, il  chassa les félins assoupis avec douceur, pour qu’ils partent d’eux-même pour voir se relever et remercia son oreiller vivant en venant frotter sa tête contre les bajoues de l’animal, ronronnant d’aise. Puis il s’étira… une… deux !  Bon sang ce que cela pouvait être fatigant de se lever, allez, une… deux…. On change de doigts !  Lentement le matin, pas trop vite le soir.

Il qui fallut bien deux bonnes heures et une douche à l’eau froide, faute d’argent on lui avait coupé l’électricité temporairement, mais il s’en fichait comme d’une guigne ! Il avait d’autres chats à fouetter ! Ou plutôt, d’autres chats à contenter… et pour ça, chez lui, on aurait dit u véritable écosystème sauvage… des rats en nombre, des chats qui les chassaient, des insectes pour d’autres, quelques fruits pour un autre groupe…

Il avait rendez vous à dix huit heures trente au lycée. Ils avaient des problèmes d’insectes dans les cuisines et des rats avaient été vus dans une salle de classe… il y avait même eu une photo à ce sujet il lui semblait… enfin, il ferait son travail avec brio, classe, panache et élégance, puis il prendrait la paie, il fallait bien s’occuper des factures !

Mentalement il faisait une liste de ce qu’il emporterait…. Alors, son pipeau de bois qu’il avait fabriqué lui-même, Gipsy, Mitsy, Mirry, les trois sœurs siamoise qu’il avait sauvé de la noyade, Arthur, un quatrième chat…. Il emporterait aussi Hermes… un vieux blaireau à qui cela ferait de l’exercice…  ce serait tout…. Oh non, pour bien nettoyer derrière les sales bêtes il emmènerait Monnaie, l’écureuil kleptomane, et pour les cafards, ce serait le festin d’Aiden et de Mister, deux jolis furets de belle taille !

Il prit aussi tout le matériel habituel, laisses et colliers -  obligatoire étant donnée qu’il trimballait des animaux… - ficelle, fil de fer, tapettes à souris et autres ingrédients plus spécifiques. Il rangea tout cela bien proprement dans ses deux mallettes. Métalliques qu’il chargea dans son véhicule

Il sépara ceux là de ses compagnons et donna à manger aux autres avant d’enfermer à l’arrière de sa voiture les élus du soir… Ah et penser à prendre aussi un livre pour le temps de la chasse… un livre de philosophie, le dernier acheté, le thème ? « La copulation est elle une source de bien être nécessaire dans les rapports humain ? »  Vaste sujet…

Il termina de se préparer, prenant ses affaires propres qui allaient le mieux à la situation : une chemise western bleue délavée, sans manches sur lequel était écrit derrière « Schiffer : votre dératiseur » un pantalon de toile beige tirant vers le marron. Basket au pieds et hop, il était paré !

Ça tombait bien, il était dix huit heures, en même temps, quand on mettait près de deux heures à se lever et se doucher… même si la fragrance sauvage était persistante cela renforçait le côté sauvage, animal du joueur de pipeau.  Enfin brèfle !  Il avait du travail ! En voiture tout le monde ! Et il se tourna vers ses « employés » leur lançant sur un ton sévère :

« Pas de grabuge ! »

Aucun ne répondit… ils étaient d’accord !  Tant mieux, la dernière fois qu’il avait emmené Hermès, il s’était attaqué au tuyau d’arrosage…. Il avait pris celui-ci pour un serpent et il fallait avouer que c’était compréhensible ! il devenait quelque peu myope et bientôt il serait aveugle… les autres créatures de son terrain vague -  qu’il avait l’ignorance d’appeler un jardin – finiraient par avoir sa peau, mais en attendant il n’en restait pas moins capable de mettre une raclée aux autres si besoin est…. Vous avez déjà vu un blaireau se battre ? Vu la taille de ses griffes, je vous déconseille de le croire !

Il lui fallut un quart d’heure pour arriver au lycée, il serait en avance, certes, mais au fond, n’était-ce pas préférable, mieux valait être en avance qu’en retard… et la personne devant l’accueillir et veiller à ses travaux pourrait repartir plus tôt… celle-ci, qui lui avait fixé rendez vous par téléphone – une femme à la voix particulièrement sensuelle -  lui avait dit de monter au secrétariat dès son arrivée pour obtenir les papiers de la mairie. En effet, il venait pour le lycée mais était envoyé par la mairie et c’était la mairie qui paierait… donc il fallait ces papiers prouvant qu’il s’était bien chargé de la prestation rémunérée exigée pour avoir cet argent…

Les lieux étaient presque déserts, il y avait bien quelques entrainements de sport et quelques internes, mais rien de plus, l’un d’eux eut même la gentillesse de lui indiquer  le secrétariat malgré son étonnement. En effet, Monnaie et Mister avaient réussis à se sortir de ma partie arrière de la voiture et si le furet s’était enroulé autour de son cou, Monnaie se baladait entre sa tête et ses épaules, le chatouillant quelques peu.

Il monta les dernières marches et toqua à la porte du secrétariat, à pas félins, gracieux, mais rappelant simplement qu’il était le prédateur suprême de sa petite cour… on lui dit d’entrer. Il s’exécuta. Mentalement, il ordonna à ses deux fugueurs préférés de se tenir à carreau…

« Bonjour madame. Je vous prie d’excuser le dérangement, je suis le dératiseur… j’ai rendez-vous… je vous prie de m’excuser pour mon avance, mais mieux vaut l’avance que le retard, n’est-ce pas ! Nikolaus Schiffer. Enchanté. »

Enroulé dans sa queue, Monnaie était sur l’épaule du jeune homme et  Mister avait levé la tête, perdant l’effet écharpe qu’il avait suyr le jeune homme. Son interlocutrice était plutôt jolie... mais quelque chose perturbait le sommeil de Mister... quoi ?

Il tendit la main.

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