Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Magister Aetius Celestus

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Prélude / Re : Je changerai ce monde !
« le: samedi 27 avril 2013, 13:02:35 »
serait-ce un soup_çon d'admiration ? xD

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Prélude / Re : Je changerai ce monde !
« le: samedi 27 avril 2013, 12:50:17 »
Le plaisir sera pour moi !

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Prélude / Re : Je changerai ce monde !
« le: samedi 27 avril 2013, 11:43:21 »
les morts sont morts, alors ranimer un corps..... bah ça peut être utile.... et c'est l'un des rares domaines que je ne maitrise pas xD

Un domaine t(rès intéressant, théoriquement parlant !

Wilkommen noch ein mal !

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Prélude / Re : Un excellent magicien ? Vous êtes sûr?
« le: mercredi 27 mars 2013, 11:00:49 »
Pouvoirs :

- C'est un excellent magicien qui vous réservera quelques tours (Le plus souvent défensif, des illusions qui altéreront votre perception mais rien de plus), on peut donc qualifier ces illusions et tours de pouvoirs même si, effectivement, il n'a aucun pouvoir.

- N'empêche que ça m'a suffit pour ne pas me faire prendre par la police jusque là !

Et il ose appeler ça un excellent magicien ! C'est juste un charlatan, un débutant qui a besoin qu'on la lui tienne pour qu'il pisse droit.. Pffff... aucun intérêt !

(Wilkommen)

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Les bas fonds / sauvetage in extremis [PV]
« le: mercredi 20 mars 2013, 18:22:15 »
Ô nuit, belle nuit, sous un ciel, d’Italie, on te nomme bella notte !

Oui, la nuit était belle et le croissant de la lune dessinait les ombres des bâtiments alentours. Mais dans les bas-fonds, ça donnait l’impression que c’était sinistre de toute manière… mais la lumière sélénienne offrait tout même un maigre réconfort à cette impression oppressante.

Le « vieux » mage avait été obligé de sortir, sinon, il serait resté au chaud devant son âtre brûlant ! Certaines plantes ne pouvaient êtres cueillies qu’en bordure du canal. Oui, certaines plantes poussaient ici en se nourrissant de la mort… et avec l’eau viciée du canal, les résultats étaient intéressants de manière très régulière.

Il était au bord du canal, à couper à la serpe des échantillons qu’il plaçait dans des flacons hermétiques. Il était bien occupé, fredonnant une comptine en latin quand il avait entendu un bruit étrange. Un plouf. Oui, on avait jeté quelque chose dans cette eau qui était pourtant dégoutante… maintenant on comprenait pourquoi…

Curieux tout de même, Aetius lança un sort pour éclairer le lieu. Il n’y avait personne, mais il regarda l’eau…. Et il vit un corps s’enfoncer dans l’eau… un cadavre ou quelqu’un de vivant ? La question le travailla quelque peu mais bien vite il fut fixé. Le cadavre avait bougé contre le courant, donc c’était vivant.

Si ça avait été jeté dans le canal, c’était parce que la personne devait disparaitre, et en un sens, il n’allait pas aller contre les autres, il trouverait bien une utilité, quitte à ce que ce soit pour des expériences…

Se concentrant, il invoqua sa magie et fit léviter le corps jusqu’à lui avait de le laisser tomber à ses pieds. Trempée et galcée, la jeune femme au look asez particulier qui e trouvait désormais à ses pieds l’intrigua. Il lui donna quelque rapides gifles pour tenter de la faire revenir à lui, non sans invoquer une nouvelle fois la magie pour lui extraire l’eau des poumons.

Définitivement, sa peau était glacée, ce qui n’était pas normal… il frissonna.

« Hé ! Ho ! ça va ? »

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Les bas fonds / Re : « Quand on arrive en ville... »
« le: mercredi 20 mars 2013, 16:00:30 »
Aetius fut soulagé. Autant pour Quina il connaissait la valeur du cadeau, en plus du plaisir qu’elle aurait à le travailler, autant, Dorotha, il avait été mi-figue mi raisin. Mais apparemment, ça lui faisait plaisir. D’autant plus quand il avait vu la joie de ses deux femmes préférées. Il se cala entre elles, confortablement, toutes deux calées contre lui et il les écouta. Oui, c’état vrai qu’il venait parfsoi, payait comme un client, et passait tout le temps alloué à discuter ferronnerie et mécanique avec Quina, ou simplement parler de tout ou rien avec Dorotha, voir à explorer avec elle les multiples possibilités encore inconnues offertes par son don. Certes, régulièrement, il venait également coucher avec elles ou d’autres, mais jamais cela ne se faisait que par la manière classique : entrer-payer-s’acharner sur elles en grognant-jouir-repartir, non, il parlait avec elle, et souvent, faisait comprendre son désir pendant qu’ils parlaient.

Aetius les enlaça toutes les deux, ses mains venant se poser sur la cuisse extérieur de chacune, ce n’était pas une forme d’attouchement, non, juste une habitude. Il était aux anges ici, il se sentait bien entre elles, avec elles. Et surtout, surtout, elles arrivaient à lui donner une impression d’importance, il avait l’impression de ne pas être un vulgaire savant fou , non pas qu’il ne le soit pas, savant et sans doute un peu excentrique, il l’était sans la moindre honte, mais il avait l’impression d’avoir de la valeur à leur yeux, même s’il se doutait que c’était illusoire.

Pareil, elles lui donnaient l’impression que ce voyage absolument harassant, pénible et peu fructifiant avait été  une aventure pleine de surprise de rebondissements et autres choses du même genre que tout le monde voulait entendre car ça les passionnait. Il svait que c’était faux, mais dans cette illusion, il se complaisait. Il attira tout contre lui les deux jeunes femmes en les enlaçant.

« J’étais au nord, dans le grand nord du pays à fouiller les pentes du Volcan de Dante, il a été appelé comme ça à cause du roi qui vivait sur ses pentes. Il est immense et crache toujours de la fuymée ! Mais allez savoir pourquoi mes chérie, c’est toujours dans les endroits pénibles que je trouve ce dont j’ai besoin pour mes sorts et mes potions ! Je suis même descendu dans le volcan pour récolter des échantillons…. »

Et petit à petit cette simple expédition devint une véritable campagne avec comme ennemi un dragon de lave auquel il devait voler une dent… bon, il avait du vraiment voler la dent, il montra d’ailleurs ladite dent, mais il l’avait ramassée dans son nid alors que la dragonne, oui, le dragon était une dragonne, était parti chasser. Il n’était pas cinglé au point d’affronter un dragon tout seul…

« Bon, plus sérieusement, c’était long, pénible, et difficile. Et après l’effort le réconfort… la civilisation m’a manquée et surtout, vous m’avez manqué ! Beaucoup manqué même… »

Il offrit un baiser à chacune alors qu’il s’était mis à leur caresser doucement les cheveux, cheveux qui avaient séché étant donné la proximité du feu. Puis, comme frappé par quelque chose il se redressa et fouilla frénétiquement dans sa sacoche avant d’en sortir un petit sac dans lequel il y avait deux colliers qui semblait rougeoyer pour l’un et l’autre avait des éclats azurés qui semblaient être veinés magnifiquement, du grand art.

« J’ai failli oublier !  j’ai cela aussi pour vous…. C’est un artisan spécialisé dans l’acier de sang qui fait cela. Je ne sais absolument pas comment il a fait changer de couleur, et pourtant je m’y connais… mais…. J’étais dans mes pensées et quand j’ai dit que je pensais à vous, il m’a dit que c’était pour vous, cadeau de la maison… oui, je sais, vous êtes plus gâtées que d’habitude, les autres vont être jalouses… mais vous les méritez… »

Il sourit à nouveau et les passa autour de leurs cous graciles et lança.

« Mais vous, vous avez fait quoi pendant ces quinze jours d’absence ? »

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Les bas fonds / Re : « Quand on arrive en ville... »
« le: lundi 18 mars 2013, 15:17:54 »
Il y avait quelques petites choses très simples qui faisaient que la vie était particulièrement belle, ou du moins, agréable. De petits plaisirs très simples, très agréables, un peu chers sans doute, mais bon…. Aetius trouvait dans ce qu’il s’apprêtait à faire, pu du moins dans l’endroit où il se rendait reposant, agréable, loin du stress de son quotidien de brillant scientifique, et parfois de simplement prospecteur.

Pendant quinze jours, il avait fouillé les montagnes et les forêts tout au nord pour espérer trouver des herbes rares et des objets intéressants. Il était même descendu dans les entrailles d’un volcan, étant un mage aux pouvoirs presque illimités, à même la lave, sans le moindre problème de brûlure, pas même de la sueur. Mais il en était ressorti fatigué, exténué même. Aussi comptaot-il bien se délaisser chez maman, en compagnie d’une ou deux de ses filles…

Non, il n’allait pas chez sa mère, pour se détendre avec un ou deux de ses sœurs, non, bien sur que non. Il s’agissait d’une très honorable maison de passe où l’on était bien traité, et où non seulement on pouvait, éventuellement, se délasser les muscles dans un lit, mais aussi plus simplement parler, discuter, se détendre en bonne compagnie.

Aetius entra dans ces lieux, il aimait la chaleur dispensée tant par l’âtre brûlant que par les lourdes tentures aux couleurs chatoyantes, il aimait aussi la politesse de tout le personnel, faisant d’ailleurs en passant le pallier un signe de tête à Diego signifiant qu’il lui souhaitait le bonjour, politesse et courtoisie, il le connaissait bien évidemment. Il était un habitué des lieux, un homme qui était du genre à prendre soin des filles qu’il rencontrait, changeant régulièrement même s’il en revenait souvent aux deux mêmes.

Il espérait qu’elles étaient disponibles d’ailleurs aujourd’hui. Il aimait leur compagnie et les qualités respectives. Il aimait l’ingéniosité, la vive intelligence de Quina ainsi que toutes ses inventions qu’il ne pouvait s’empêcher de conseiller en vue d’amélioration, ou même simplement d’admirer,. Et il aimait la conversation et les qualités…. Rafraichissantes de Dorotha. Ce n’était pas parce que parfois il préférait voir Penny, Yarine, ou une autre que le « vieux » mage se contrefichait des deux premières, loin de là. C’étaient ses préférées.

Une fois dedans, l’érudit sourit, il se sentait bien à l’aise ici et cherchait des yeux un endroit où s’asseoir avant de voir quelles filles étaiet disponibles. Il s’avachit sur une banquette moelleuse, c’était un luxe qu’il n’avait pas eu depuis des lustres, deux semaines en fait alors que d’habitude, ce genre de visite, sans être quotidienne, était courante.

Il leva la tête en entendant son nom et se leva pour combler la distance les séparant de lui. Oui, ça faisait un moment, un peu trop longtemps même. Il sourit et répondit par une bise sur leur joue, une chacune.

« Oui, ça fait bien trop longtemps, une éternité, mais le travail est le travail. Je vous ai d’ailleurs offert des souvenirs, mes chéries. »

Il ouvrit le sac en bandoulière sans fond qui avait la taille d’un sac à main et y plongea la main, y entrant même tout le bras avant d’en ressortir une première chose qu’il donna à Dorotha, il s’agissait d’une rose qui tenait dans le creux de la main, translucide, aux reflets bleutés.

« Une petite broche faite de cristal pur… je me suis dit que ça te plairait… attention, c’est très fragile, ça se brise en un rien, tiens, voici l’écrin. »

Puis il y replongea la main pour sortir du sac, avec un peu plus d’efforts cette fois, une roche, relativement grosse, elle devait avoir la taille d’un ballon de ce sport de la terre appelé football ou soccer. La roche noire était marbrée de veines rougeoyantes qui semblaient en mouvement. Il la remit à  Quina, malgré le poids.

« Et voilà pour toi. Je me suis dit qu’avec ça tu pourrais tirer des merveilles…. C’est de l’acier de sang. C’est extrêmement rare. Le métal doit être travaillé longtemps, mais ce qui en ressort est ^presque indestructible et ça absorbe la chaleur quasiment sans chauffer lui-même. J me suis dit que tu saurais quoi en faire… ah et j’ai aussi un plan d’iune idée à moi elle t’intéresserait peut être…. »

Il les entraina vers la banquette pour reprendre place entre les deux. Oui, il était du genre à ramener des cadeaux de ses voyages, notamment pour elles, et s’il se sentait mal à l’aise en offrant à Dorotha, estimant que ses cadeaux ne valaient pas grand-chose sans doute aux yeux de la demoiselle, par contre, pour Quina, ça, il savait un peu mieux, car elle était comme lui, d’une certaine manière….

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Le coin du chalant / Re : Mise en vente de Camelia
« le: dimanche 24 février 2013, 20:18:43 »
Okay !

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La jeune femme eut un geste auquel il ne s’attendait pas. Elle s’agenouilla devant lui, et s’inclina avec un profond respect. Non pas qu’il ne méritât pas une telle déférence, il n’aimait pas qu’on lui rappelle à quel point son enseignement pouvait être précieux, car personne, pas même lui, n’arrivait à saisir à quel point le savoir était en même temps un trésor et une arme redoutable !  Entre les mains de quelqu’un qui n’était pas prêt, cela pouvait se révéler, et même cela se révélait particulièrement désastreux !

Le magicien soupira en voyant la jeune femme lui demander de lui apprendre !  Ben voyons, apprendre ! Elle avait de ces mots !   Qui était-elle pour apprendre ? Et que désirait-elle apprendre ? Savait-elle ce qu’elle désirait apprendre ? Non bien évidemment, on venait sans savoir pour revenir plein de savoir comme de sagesse… comme si tout était aussi facile.

Il eut un temps d’hésitation avant de la fixer droit dans les yeux et lui lancer, sur un ton de reproche qui semblait plus paternaliste que réellement tranchant, plus amusé =que réellement sec :

« Je n’apprend rien à qui ne comprend rien ! »

Oui, il estimait qu’elle ne comprenait pas encore assez pour apprendre, mais peut être fallait-il qu’elle sache ce que signifiait comprendre avant d’en demander plus, et peut être que l’éclairer là-dessus ne serait pas du temps perdu… au moins n’aurait-elle pas perdu sa journée.

« Que voudrais-tu apprendre alors que tu ne comprends pas ce qui t’entoure ? Si tu ne comprends pas ce que tu es, ce qu’est la magie, ce qu’est la patience et ce qu’est la prudence, tu ne peux apprendre à te servir de ce qui est à ta portée. Avant de t’apprendre à utiliser un outil, il faut le comprendre. Il faut savoir d’où il vient, ce qu’il fait, quelles sont les conséquences de son utilisation. C’est seulement après que l’on a conscience des danger, que l’on a appréhendé l’outil que l’on apprend à s’en servir. »

Au fond, il avait déjà accepté, n’était-il pas en train e lui donner une leçon ?

« Alors vas-y, prouve moi que j’ai tort, qu’est-ce que la magie et qu’est-ce que tu ressens en l’utilisant ? Mieudx encore, qu’es-tu par rapport à elle ? »

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Les bas fonds / Re : Le secret des Runes. [Pv Aetius]
« le: mardi 29 janvier 2013, 20:27:59 »
Tout était très bien rangé !  Oui, il avait rangé ses affaires !  Certes, sa méthode de rangement pouvait paraître étrange, mais il savait où chercher. Et en même temps, c’était un piège car quiconque ne comprenant pas l’intérêt de ce type de rangement ne trouverait jamais ce qu’il cherchait… Piètre excuse n’est-ce pas ? Qu’il n’y ait pas de touche féminine aurait été plus franc, mais tant qu’il s’y retrouvait, que l’on ose seulement lui reprocher sa manière de ranger !

Il al regarda s’installer sur la table, docilement. On pouvait lui reconnaître une chose, elle savait obéir… il était sur qu’il pourrait lui demander de se pendre et elle le ferait. Il aimait la loyauté aveugle. Ça avait un très bon avantage. Il en voyait une très grande utilité. Ça ne lui posait aucun problème.

Par contre il n’aimait pas les menaces, même sous jacentes… ça ne lui plaisait pas du tout ! Il sourit, mais pas de joie ni de plaisir dans ses lèvres ni dans ses yeux. Cela ressemblait davantage à un rictus mauvais qu’à autre chose… on ne le menaçait pas sans conséquences sous son propre toit, il était tolérantet ouvert sur de nombreux points de vue, mais sur la menace, il ne l’était pas le moins du monde.

« Oh ? Vraiment ? C’est une menace ? Parce que je peux t’en faire une aussi, au moindre geste malavisé à mon encontre tu seras à jamais difforme, laide, et inutile que ce soit en tant qu’épée ou en tant que chose à forme humaine que tu prendras la poussière dans un grenier à espérer que l’on ne t’ai pas complètement oubliée… »

Il sourit et agita les doigts habilement alors qu’une chape de plomb semblait faireson apparition sous ses yeux. Elle semblait bouilloner mais n’émettait aucune chaleur alors qu’elle venait, comme un serpent, s’enrouler autour du cou de la jeune femme, formant un bien lourd collier à porter…

« Imagines-tu la violence d’une éruption volcanique ? Car grâce à cet objet de mon invention, si jamais tu ose penser à mal à mon sujet d’une manière ou d’une autre, tu auras cette impression dans tout ton corps… tu seras incapable de faire quoique ce soit d’autre que de te tordre de douleur jusqu’à ce que tu m’aie demandé pardon. C’est normal. Je ne suis pas paranoiaque, je ne fais juste confiance qu’à mes propres créations ! »

Il s’approcha et caressa du bout des doigts les bras de la jeune femme en psalmodiant, puis il caressa le dos, dégageant les cheveux qui en masquaient une partie avant de lui caresser l’extérieur des cuisses, jusqu’aux orteils, lui dépliant les jambes au passage. Petit à petit, la peau du dos de la jeune femme se mit à bouger, comme si on tentait de la lui arracher. Puis cette douleur se propagea dans tout son corps. Petit à petit, les runes devraient émerger, apparaître, en lettres de sang.

Il posa la main à la base de ses reins et cette zone se mit à chauffer, comme marquée au fer rouge alors que le petit griffon revenait se poser sur son épaule. Il ne laisserait pas de marque, mais le familier lui apportait la suite  des opérations. Il laissa remonter les doigts, comptant les vertèbres une à une avant de trouver celle qu’il cherchait. Il laissa son index dessus et appuya délicatement. Son doigt s’enfonça dans son corps comme s’il n’était pas tangible.

En caressant les nerfs, il provoquait davantage de douleur, mais pour que les runes apparaissent, il fallait les y forcer…
 

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Ville-Etat de Nexus / Re : Amen (Aetius)
« le: dimanche 27 janvier 2013, 10:50:41 »
Sa prononciation était exemplaire ! Même si elle n’était pas parfaite, elle était presque parfaite et aurait pu passer pour vrai aux oreilles de quelqu’un dont ce n’était pas la langue maternelle, quoique l’on eu déjà vu des doués parler mieux que des natifs leur propre langue ! Il y aurait eu de quoi la féliciter… dans un autre contexte, cela va de soi ! Là, il n’en avait aucune envie ! Il n’avait qu’une envie aussi simple que purement primaire : garder sa peau intacte !

Elle lui proposait un échange, mais contre quoi ? Bonne question… il ne savait pas trop quoi proposer, il était surpris en fait… il s’attendait à être menacé, mais pas à avoir les clefs en main ! Enfin bon, il reprit bien vite du poil de la bête et se dressa, bien droit, jusqu’à dépasser son interlocutrice. Non pas qu’il soit particulièrement costaud, mais il avait tout de même de la stature, bien assez pour en imposer ! S’il avait les clefs en main, autant en profiter pour avoir un minimum de prestance…

Bon, pour la prestance, il repasserait plus tard…. En effet, si son visage et ses cheveux étaient propres, ce n’était ni le cas de ses mains, ni le cas de sa longue bure unie. Celle-ci était d’ailleurs rapiécée en maints endroits, preuve du peu qu’il avait financièrement. La richesse menait à l’opulence, l’opulence à l’arrogance, l’arrogance à l’indolence ! Et l’indolence, qu’elle soit faible ou importante, ne faisait aucune différence !

Il fallait lui reconnaître une autre qualité, elle était perspicace, la blondinette, très perspicace, savoir reconnaître un accent impeccable et d’après cela tirer de telles conclusion, ou bien elle était géniale ou bien elle avait une chance absolument phénoménale… bien que la chance et le hasard soient des concepts des plus douteux à ses yeux…

Il haussa les épaules avant de sourire, finalement un mort ou deux, qu’était-ce sinon une fin de vie prématurée ? Au fond, les gens mourraient tous un jour ! Ce n’était jamais qu’un peu plus tôt au lieu d’un peu plus tard ! Lui, c’était différent, il pouvait potentiellement vivre éternellement, et il était une bibliothèque ambulante, aussi, sa vie était bien plus précieuse !

« Sorcier, mage, magicien, ensorceleur, conjurateur, enchanteur, illusionniste, invocateur, pyromancien, élémentaliste, sage,  c’est tout du pareil au même au final, le reste n’est que spécialité et domaine magique ! Il n’y a pas de différence dans les principes de base… et votre prononciation du latin est loin d’être mauvaise, j’en sais quelque chose ! »

Il sourit et son regard sans âge exprimait dès lors le plaisir de savoir, de comprendre, d’apprendre.

« Mais je préfère me considérer comme un éternel étudiant des arts magiques et occultes… »

Oui, c’était une très bonne définition de ce qu’il était…

« Pour ce que je désir en échange de silence, oh, ce n’est pas grand-chose, la sérénité de l’âme, la force du corps et la sagesse de l’esprit…. De merveilleuses choses ne croyez vous pas ? »

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Ville-Etat de Nexus / Re : Entrevue (Magister)
« le: jeudi 03 janvier 2013, 18:38:08 »
Ouais, en gro, décidément, elle allait déguster avec un crétin pareil… surtout si elle n’était pas lâchée par lui. Il soupira. Bon, il fallait rayer l’histoire de l’héritier, c’était déjà ça de fait. Mais apparemment c’était un mauvais souvenir… sans déconner… rien qu’à la tête de cet imbécile, il était sûr qu’lle en avait bavé, alors, note personnelle : ne pas reparler de ça, ne pas remuer le couteau dans la plaie !

Elle voulait être divertie, donc… il hésitait entre deux choses, faire comme s’il n’avait rien entendu et lui expliquer la magie n’était pas une source de jeux… que c’était quelque chose de sérieux… ou lui annoncer que les saltimbanques d’un cirque ne jouaient pas à domicile, qu’il fallait aller les voir.   

Mais la suite de ses propos eut pour effet de détourner son attention de la préparation des répliques acerbes qu’il s’apprêtait à donner… magnifique diversion ! Il lui sourit, une étincelle de malice dans l’œil… il était bigrement intéressé… il voulait en savoir plus.

« Les créatures, tangibles ou pas ? Et la taille, réelle ou miniature ? Montrez-moi, dites-moi !  Je veux tout savoir là-dessus ! «

I s’approcha d’elle et tendit la main, comme pour lui toucher le front.

« Je peux vous examiner ? J’aime ce genre de choses, j’aimerai comprendre et en plongeant dans votre tête, qui sait, je peux peut être vous en dire plus sur vous-même en examinant l’essence de votre Don… »

Il sourit, la curiosité avaitpris le pas sur tous le reste…

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Ville-Etat de Nexus / Loulouve ? Vraiment ? [Pv]
« le: jeudi 03 janvier 2013, 17:47:59 »
« Si, si, je vous en prie magister, gardez mon chien en remerciement   Vous semblez vous y intéresser !  Je vous l’offre ! »

Et du coup, il avait hérité d’une chienne… super, il était absolument ravi, il saurait au plafond… tout ça car il avait trouvé quelques traits physiologiques n’appartenant pas aux espèces canidés, il s’y était intéressé, et voilà, on lui refourguait un clébard, quoiqu’il ne soit pas sûr que c’en soit un, au lieu de lui offrir le souper… les magiciens n’inspiraient plus vraiment confiance de nos jours, hélas… on en avait peur… ils faisaient naitre des animaux à deux têtes et lançaient des malédictions !  Ces êtres étaient le mal incarné…

Ce que l’on oubliait bien vite c’était que quand sa femme avait des complications pendant l’accouchement, c’était un mage que l’on cherchait, quand on était malade, un mage, quand on avait besoin de conseils savants, un mage, bref, on oubliait bien vite le côté positif des choses et ce cadeau n’était pour lui qu’une manière de se débarrasser de toute dette, avoir une dette envers un mage était un mauvais signe disait-on !

Pendant quelques instants, il avait envisagé de s’en débarrasser avant de finalement se résoudre à garder la bête en laisse, avec muselière, ça lui ferait de la compagnie, ce qui était toujours ça de pris, même s’il aurait préféré une compagnie féminine d’une autre espèce… De quoi sourire quand on y pensait, l’ermite qui aurait aimé un plan cul… débile, il avait mieux à faire !

Il lui mit à manger, à boire au pied du lit et alla se coucher, il s’était vidé niveau magie dans des soins particulièrement pointus pour sauver une mère et son fils. Et il était complètement exténué. Il eut la faiblesse de sourire à l’animal. Cherchant un nom, il réfléchit quelque peu avant de l’appeler le chien, pour le moment, il  y réfléchirait plus tard… Allez, au dodo.

Qu’est-ce que tu penses ? Oh, tu veux dormir sur le lit le chien ? Allez, d’accord ! Au bout du lit. Il s’endormit et laissa le chien se coucher au bout de son lit qui tenait debout par l’opération du saint esprit dans le capharnaum qui lui rappelait grandement son labo. Mis quand il se réveilla, il eut une sacrée surprise….

Ce n’était pas un gros clébard qui dormait à ses pieds, mais une jeune femme, rouquine, plutôt jolie… elle portait le collier et la muselière… premier réflexe ? La repousser du pied hors de sa surface de sommeil, violemment…

« Qu’est-ce que c’est que cette embrouille ! »

Il se leva, il était nu comme un ver et passa vite sa tunique brune, unie, usée, et il lui lança :

« T’es qui ? Ou plutôt t’es quoi ? »

Il préparait un sort de défense.

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Prélude / Re : Mad Max, sorcier cruel.
« le: mardi 01 janvier 2013, 20:00:03 »
Intéressant... mais tu n'es qu'un amateur mon pauvre et ta méthode de vie est déplorable... tu respires la mauvaise vie à plein nez... mais je dois te souhaiter la bienvenue je suppose ?

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Elle sembla interloquée par sa présence... avait-il quelque chose en travers du visage ? Sans doute pas, alors qu'est-ce qui la surprenait ? Le fait qu'il soit un inconnu la dérangeait-elle ? Il espérait que non car indirectement, il en avait su beaucoup sur elle ces cinq dernières années... il connaissait bien sa tutrice...Ysmira... il lui avait appris son art et ensuite l'avait laissée voler de ses propres ailes, mais chose étrange, elle s'était plus ou moins retournée contre lui et bien vite était née  outre le lien indéfectible entre maître et élève, une forme de rivalité, il lui avait appris à penser par elle même et elle l'avait fait. Et si elle avait, en prenant son indépendance mis des barrière entre eux, jamais ils n'avaient cessé de correspondre parlant de leurs recherches, se demandant des avis.

Elle était troublée et voulais des réponses à ses questions, c'était logique, mais était-ce le temps des réponses, les méritait elle ? Hum, elle avait en effet droit à des éclaircissements si ce n'est des réponses !  Il lui sourit et se rapprocha d'elle pour saisir le livre qu'elle avait laissé pour le feuilleté... pas mal, pas bien non plus, mais pas mal... oui, un ouvrage de débutant, mais il avait des ouvrages plus appropriés il pensait. Les  lui faiore parvenir était toutefois hors de question.

« On me nomme Magister Aetius Celestus... et j'ai été le maitre, le professeur, l'ami, et le conseiller d'Ysmira, ta tutrice. »

Il sourit, il avait plein de bons souvenirs au fond de la tête, plein de souvenirs au fond des yeux et ils remontaient peu à peu. Pendant vingt ans il avait appris en tant que maître tout comme il lui avait beaucoup appris, étant son disciple., toutt son art en fait, mais elle n'avait jamais voulu apprendre autre chose que le soin et la magie bénéfique ! Pourtant elle avait du talent ! Beaucoup trop de talent !

« Elle a été ma plus précieuse  apprentie et mon élève la plus douée que j'ai jamais eu... pendant vingt ans je lui ai enseignée, et elle n'a pas lancé le moindre sort avant cinq ans d'enseignement.... la magie est très dangereuse et ce que je lui ai enseigné nécessitait une maturité d'esprit qu'il a fallu développer et aiguiser pour comprendre ce qu'elle faisait.... si elle t'a enseigné, alors elle a du t'en estimer digne et à ma connaissance elle était très sévère, juste, mais très sévère. Même à moi elle m'a sonné les cloches plusieurs fois. Elle avait bien plus de talent avec les enfants.... mais bon, un différent nous a séparé... un ^point de vue futile et complexe à la fois ! »

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