« Oh, ne t’en fais pas, ma chérie, je ne peux pas tomber enceinte, tu sais… Je ne suis pas vraiment une humaine, et… Disons que les règles qui me régentent sont différentes des tiennes. »
Pour une épreuve, Kiriko aurait sans doute pu avoir bien pire que de tomber sur la Maîtresse. Cette femme mettait à l’épreuve votre perversion, et la Celkhane pouvait déjà réaliser qu’elle avait potentiellement trouvé en elle une nouvelle concubine. La belle queue de la sorcière se frottait contre les cuisses de la Maîtresse, qui posa ses mains sur ses fesses, appuyant fermement dessus, faisant crisser la combinaison. Des gloussements et des rires pouvaient se faire entendre autour d’elles, comme si la Maîtresse appelait à elle diverses concubines et autres femmes de joie à la beauté magnifique. Puis la queue de Kiriko se planta en elle, et la Maîtresse gémit sur place, ses ongles serrant la combinaison de la femme.
La bouche de Kiriko s’attaqua à son cou, embrassant sa peau, tandis qu’elle commençait à la prendre, enfonçant sa verge en elle, y allant franchement. Comme elle l’avait souvent démontré, la Celkhane ne se montrait douce et soumise qu’envers sa Déesse. Face à toute autre femme, elle se montrait plus dominante, plus énergique, imposant clairement son rythme. Écartant ses cuisses, la Maîtresse laissa la verge de la femme remonter en elle, et, tout en ayant une main sur le magnifique cul de Kiriko, posa l’autre sur ses cheveux, se serrant contre elle. Kiriko sentait bon, très bon, même, sans compter que son corps… Oh, son corps ! C’était un corps de rêve, un corps aux formes parfaites !
« Hmmm… Oh, Kiriko, tu es tellement magnifique, ma belle…Peux-tu seulement imaginer, hmm… Combien de femmes au sein du Temple rêvent de ton corps ? »
La Maîtresse le savait, elle, puisqu’elle avait accès à tous les rêves possibles. Elle claqua d’ailleurs des doigts, et le décor changea alors. Elles étaient toujours sur le lit, mais au milieu de multiples miroirs, que ce soit sur le sol, les murs, ou le plafond. Des miroirs montrant tous les fantasmes dont la Maîtresse parlait. Dans beaucoup d’entre eux, Kiriko était une dominatrice, faisant hurler quantité de femmes, mais couchant aussi avec des hommes, avec des animaux… L’un de ces miroirs impliquait même Rem, la timide servante de Kiriko, qui se faisait bourrer par la Celkhane, celle-ci portant une tenue noire en latex, un gode-ceinture épais labourant le cul de Rem, une main gantée tirant sur ses cheveux. Une multitude de fantasmes tournant autour d’elle, tandis que sa queue continuait à prendre la Maîtresse.
Celle-ci mouillait effectivement beaucoup, mais il fallait la comprendre. Les personnes physiques venaient rarement dans son royaume, alors, quand la Maîtresse pouvait en attraper une, a fortiori une femme aussi belle que Kiriko, elle ne comptait pas la laisser filer.
« Baise-moi fort, Kiriko, hmmm… Ne pense pas au temps que tu passes ici, je t’ai dit que le temps ne défile pas de la même manière ici. Hmmm… Haaaa… »
La Maîtresse l’embrassa alors, collant son corps au sien.
« Sinon, hmmm… Dis-toi que je suis une belle nympho’… En manque, haaaa… Je compte bien à ce que tu me baises pendant des heures, ma chérie. Ici, la fatigue n’existe pas, seul règne le plaisir, et, comme le temps n’est pas le même, haaaa… Seulement quelques secondes se seront écoulées dans le monde réel. »
Elles s’embrassèrent encore, la langue de la Maîtresse jouant avec la sienne pendant plusieurs minutes.
« Je conserve dans mon domaine tous les rêves, Kiriko… À travers eux, je peux te faire accéder à toutes tes existences passées, et… Mmmm… T’apprendre tellement de choses, haaaa… Mais rien n’est jamais gratuit, ma belle… »
La Maîtresse lui sourit encore, et un tentacule noir vint alors fouetter le cul de Kiriko, comme pour la motiver davantage. Autant dire qu’avec elle, Kiriko venait de se trouver une improbable et étonnante alliée…
« Est-ce qu’on t’a déjà dit que ton cul était magnifique, hm ? Je comprends pourquoi tant de personnes fantasment dessus, haaaa… »