Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lisbeth

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Le quartier de la Toussaint / Re : Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: dimanche 29 août 2010, 21:15:39 »
Le bruit de la détonation sortit Lisbeth de son état second. Un homme se trouvait à proximité d’elle et rengainait un pistolet. Plutôt pas mal d’ailleurs à première vue. La jeune femme le détailla tranquillement avant de lui répondre. Pantalon de cuir, rangers et tee-shirt noir, il lui plaisait bien.

*Vous osez me demander qui je suis alors que vous ne vous êtes même pas présenté ! Quel manque d’éducation !

Mains sur les hanches, elle foudroyait l’ecclésiastique du regard.

*Quant à ce lieu, je n’ai pas la moindre idée de à quoi il peut bien servir mais vu les chaises et la table en pierre, j’en conclue qu’il devait s’agir d’une boîte de striptease d’un genre particulier. Mais certains de leurs gadgets sexuels étaient pas mal.

Tout en parlant, Lisbeth jouait avec la croix en bois qu’elle qualifiait de gadget. Oubliant la présence de l’homme, elle reprit ses déhanchés au son de la musique avant de cesser. Descendant de l’autel, elle vint se mettre devant le prêtre en lui souriant. Ce dernier avait toujours l’air furieux. Lisbeth ne comprenait vraiment pas pourquoi. Elle se dirigea vers l’appareil qui permettait de mettre de la musique et changea celle-ci. Lisbeth se dirigea vers le centre de l’église, juste devant l’autel, en ignorant l’homme qui était présent. Les yeux fermés, elle resta immobile quelques instants. Puis elle reprit sa danse, la croix toujours en main. Lentement, la jeune femme sentait le plaisir inondé son corps. Elle se laissa aller à genoux sur le sol, les jambes écartées, et commença à se caresser le sexe avec la croix. Ses gémissements de plaisir se mêlaient à la musique. Jetant un regard sur le visiteur, la jeune femme lui sourit, passant outre son air furieux.

*Au fait, puisque vous semblez connaître cet endroit, vous pourriez avoir l’obligeance de me dire à quoi il peut bien servir ? De cette façon, vous servirez enfin à quelque chose ! Parce que si j'attends que vous me donniez du plaisir, cela risque d'être long.


Tout en s’adressant à l’homme, Lisbeth ne cessait de se caresser avec la croix et entreprit de se pénétrer avec cette dernière.

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Archives / Re : D'Où Venez-Vous ?
« le: samedi 28 août 2010, 17:34:03 »
France, Bretagne, Côtes d'Armor  :)

"Breizk Da Viken"

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 27 août 2010, 11:21:12 »
Lisbeth allait descendre de la voiture quand Franz la retint de force tout en demandant au chauffeur d’aller se garer plus loin. Il expliqua que Lisbeth allait le payer. Intriguée, la jeune femme regardait Franz, se demandant où il venait en venir. Une fois la voiture garée, Franz sortit, l’entraînant à sa suite. Il lui bloqua les poignets derrière le dos. Le chauffeur, lui, avait ouvert sa portière. Franz la força à se pencher en avant, jusqu’à ce que son visage soit en contact avec l’entrejambe du conducteur.

* Je suppose que vous accepter le paiement nature ?

Lisbeth faillit hurler en entendant Franz. Il ne pensait tout de même pas qu’elle allait sucer se gros lard ! Le chauffeur sortit sa queue. Il bandait déjà. Il la passa sur le visage de la jeune femme qui se retint de le mordre de rage. Elle sentit soudain Franz posséder son vagin avec violence. Ses seins ballottaient sous les coups de boutoir et le chauffeur ne tarda pas à s’en saisir pour les malaxer avec ses mains sales. Il exigea de Lisbeth qu’elle le suce. La jeune femme avait beau gémir de plaisir sous la pénétration de Franz, il était hors de question qu’elle obéisse au chauffeur. L’odeur de sa verge lui donnait envie de vomir. Franz la prenait avec violence et en dépit de la situation, Lisbeth adorait ça. Sa vulve dégoulinait de plaisir. Son bassin suivait à la perfection les mouvements imposés par les coups de boutoir de Franz. Puis il se retira, laissant son gland juste à l’entrée de son vagin. Lisbeth gémit de frustration. Et les paroles de Franz la laissèrent sans voix.

* Si tu veux que je reprenne Elisabeth… Tu vas devoir lui obéir.

Inutile de préciser que le chauffeur appréciait ce qu’il venait d’entendre. Lisbeth, quant à elle, était déchirée par l’envie que Franz continue et l’horreur qui lui inspirait l’autre. Elle tenta de se dégager mais Franz la maintenait fermement. Son corps tout entier réclamait le sexe de Franz. Humiliée par la situation, Lisbeth se résigna à obéir. Elle aimait trop le plaisir que lui procurait Franz. Docilement, elle ouvrit la bouche pour avaler la verge du chauffeur et commença à monter et descendre lentement le long de la hampe tendue. Les yeux fermés, elle s’appliquait. Le chauffeur appréciait le traitement qu’elle lui prodiguait. Il suffisait de l’écouter pour le savoir.

* Putain mais c’est qu’elle aime ça cette chienne !

Sans prévenir, il lui attrapa les cheveux pour la forcer à mieux engloutir sa queue. Son envie de vomir était toujours présente mais la situation commençait à exciter Lisbeth de plus en plus. Etre contrainte à obéir lui plaisait plus qu’elle ne l’aurait cru. Le chauffeur se remit à malaxer ses seins avec force. Aucune douceur dans ces caresses, juste de la douleur. Lisbeth se remit à gémir de plaisir. L’homme pinçait, tirait sans ménagement, ses mamelons. Il la griffait même par moment. Son plaisir revenu, Lisbeth allait et venait avec gourmandise sur la queue qu’elle suçait. Le chauffeur devenait de plus en plus entreprenant. Il lui claqua violemment la fesse gauche. Lisbeth sursauta de surprise. Comme pour l‘inviter à recommencer, elle se cambra au maximum. L’homme ne se fit pas prier et lâcha une dizaine de claques sur sa fesse. La douleur décuplait son plaisir. Franz observait la scène. Qu’allait-il penser d’elle. Lisbeth se conduisait comme une chienne en chaleur et le simple fait d’y penser l’excitait d’avantage. Son vagin dégoulinait de plaisir et elle pouvait sentir ses cuisses trempées de sa cyprine. Elle continuait sa fellation avec ardeur.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: mercredi 25 août 2010, 15:02:30 »
Visiblement, Franz n’avait que peu apprécié le fait que Lisbeth bloque son éjaculation. Il avait attrapé son poignet gauche et le serrait avec force.

T’as intérêt à ce que ça en vaille la peine… Allez viens on prend un taxi.

L’entraînant à sa suite, Franz mit d’autorité l’une de ses mains sur sa fesse droite, relevant ainsi l’arrière de la veste. Tous ceux qu’ils croisaient avaient donc une vue imprenable sur la croupe de Lisbeth. La situation ne lui plaisait pas particulièrement mais le regard de Franz avait suffi à ce que Lisbeth se tienne pour le moment tranquille. Franz héla un taxi puis ils montèrent dedans. La jeune femme donna son adresse avant de s’appuyer contre le siège. Elle avait surpris le regard du chauffeur sur ses jambes découvertes. Un voyeur, il ne manquait plus que ça ! Pourvu qu’il garde les yeux fixés sur la route sinon c’était l’accident à coup sur.

Assise à droite de Franz, Lisbeth ne bougeait pas. Son compagnon semblait irrité par son initiative. Elle le regarda, surprise, quand il posa sa main droite sur sa cuisse. Remontant le long de sa cuisse, Franz dévoila son sexe à la vue d chauffeur qui n’en perdait pas une miette tout en conduisant. Les doigts de son compagnon jouèrent avec ses anneaux avant qu’il ne commence à lui caresser le clitoris. Malgré elle, Lisbeth gémit de plaisir. La jeune femme ne put s’empêcher d’ouvrir les jambes pour faciliter le passage des doigts de Franz. Elle posa ses mains sur le siège, une de chaque côté de son corps. Son sexe dégoulinait de nouveau sous les doigts inquisiteurs de Franz. Le chauffeur commençait à avoir du mal à se concentrer sur sa route.

*Mmmmm… on va finir par avoir un accident si cet idiot continue de regarder dans son rétro en permanence…

En dépit du plaisir qu’elle ressentait, Lisbeth supportait assez mal d’être ainsi regardée pendant que Franz la caressait. Surtout que la conduite du chauffeur commençait à être vraiment dangereuse. Franz ne semblait pas sans soucier, ses doigts continuant à caresser la vulve trempée de Lisbeth. Le chauffeur freina brutalement, évitant de justesse une collision. Ce qui eut le don d’énerver la jeune femme.

*Vous voulez nous tuer ? Plutôt que de regarder en permanence dans votre rétroviseur, vous feriez mieux de regarder devant vous !

La jeune femme foudroyait le chauffeur du regard.

*J’regarde ce qui me fait bander mam’zelle ! T’ouvres les cuisses comme une salope alors viens pas te plaindre !

Furieuse, Lisbeth se dégagea de l’étreinte de Franz. Le taxi n’étant pas pourvu de glace de séparation, elle gifla le chauffeur violemment. Son compagnon repose sa main sur sa cuisse. Lisbeth se tourna vers lui.

*Non ! Je ne veux pas que ce porc me regarde alors vous allez attendre que nous soyons arrivés sinon je descends de la voiture !

Nullement impressionné par la jeune femme, Franz ne bougea pas sa main. Lisbeth décida alors de quitter le taxi et ouvrit la porte.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: mercredi 18 août 2010, 10:16:10 »
Franz semblait calmé. Enfin c’est l’impression que Lisbeth avait. Toujours aussi violent dans ses actes mais au moins, maintenant, il lui parlait. La jeune femme comprit qu’elle n’était plus sa victime. Son partenaire ne la ménageait pas. Les genoux de Lisbeth commençaient à devenir douloureux à force de frotter contre le sol sous les coups de boutoir de Franz. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son partenaire ne boudait pas son plaisir. Lisbeth sentait son anus se dilater de plus en plus sous l’effet du phallus qui le prenait et son vagin dégoulinait de plaisir. Les mains de Franz n’étaient pas en reste, martyrisant sa poitrine. Tendus à l’extrême, ses mamelons lui faisaient mal mais la jeune femme aimait cette douleur.

Franz descendit l’une de ses mains, Lisbeth n’aurait su dire laquelle, et commença à branler son clitoris avant que ses doigts ne s’introduisent dans son vagin et commencent à la prendre de ce côté-là aussi. La double pénétration décupla ses sensations et la jeune femme gémissait maintenant sans retenue. Elle aimait être ainsi prise. Et elle comptait bien en profiter un maximum. Après tout, l’endurance de Franz était à prendre en compte. Ce que comptait bien faire Lisbeth.

MM ! Alors dis moi je suis sûr que tu as une préférence sur l’orifice que tu veux que je te remplisse ?!

Lisbeth sentait la verge de Franz se contracter dans son anus, signe que sa jouissance n’était pas loin. Sauf que ce n’était pas encore le cas pour Lisbeth. Elle canalisa son plaisir pour pouvoir réfléchir un peu à la suite. Pas évident à faire quand une queue et des doigts vous ramonent avec force !

*J’en ai une oui mais j’ai mieux à vous proposer…

Tout en parlant, Lisbeth avait placé sa main droite à la base de la verge de Franz. Une rapide pression à la base, de chaque côté en fait, et la jeune femme bloque l’éjaculation de son partenaire. Technique ancestrale que se mère lui avait enseignée. Très pratique dans le cas présent. Lisbeth sourit en entendant Franz lâcher un cri de frustration. La jeune femme le savait, il pouvait très mal prendre ce qu’elle venait de lui faire. Elle se hâta donc de s’expliquer.

*Allons chez moi, la soirée vient à peine de commencer et j’ai envie d’en profiter au maximum… Et puis, vous me remercierez tout à l’heure, votre jouissance sera plus que décuplée, je vous le promets.

Lisbeth se dégagea doucement et mit la veste de Franz sur elle tout en lui souriant. Soit l’homme était réellement calmé et il accepterait, soit elle venait de déclencher un nouvel accès de fureur. Doucement, elle vint se coller contre Franz, attendant de voir ce qu’il allait faire.

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La question de Lisbeth déclencha un flot de paroles ininterrompues chez la jeune furry ainsi qu’une certaine nervosité. La jeune femme s’en voulut. Usolia parlait de sa mère, du fait qu’elle ne voulait pas devenir esclave, que c’était dangereux dehors et qu’elle ne pourrait plus boire son lait. C’est sans doute ce dernier point qui surprit le plus Lisbeth. Encore plus quand elle vit Usolia se saisir de son sac et en sortir … un biberon ! Qu’elle commença à téter sans délai en se réinstallant dans le bain. Les yeux dans le vague, la jeune furry semblait ailleurs. Lisbeth sourit.

*Et bien, en voilà une drôle de surprise ! Tu es toute jolie avec ton biberon.

Elle ébouriffa les cheveux d’Usolia. Sa jeune invitée semblait perdue. Il faut avouer que la baignoire de Lisbeth tient plus du jacuzzi en taille que d’une baignoire normale. Et pour une demoiselle de sa taille, elle devait paraître immense. La jeune femme se releva et enleva ses bottes. Ses vêtements suivirent et elle se retrouva nue. Elle pénétra dans l’eau et vint s’installer face à Usolia, espérant que les anneaux qu’elle portait n’effraieraient pas la jeune furry. Quelque chose la troublait chez Usolia sans qu’elle sache quoi. Mais restait le problème principal : comment faire pour que la jeune terranide rentre chez elle. Usolia lui avait dit que sa mère la retrouverait. Soit, mais dans combien de temps. Lisbeth attrapa la jeune furry et l’installa face à elle, sur ses genoux.

*Ecoute. Tu vas rester avec moi jusqu’à ce que l’on trouve un moyen de te renvoyer chez toi, ou que quelqu’un vienne te chercher. En attendant, tu seras en sécurité chez moi. Tu peux aller où tu veux dans l’appartement et pour tes biberons… et bien, j’irai faire des courses pour t’acheter du lait. Son goût sera sans doute différent du tien mais je suis certaine que tu l’aimeras.

Tout en lui parlant, Lisbeth caressait doucement la tête de la jeune terranide. Son apparente docilité l’intriguait. Elle l’attira contre elle, trouvant le contact avec sa fourrure très agréable. Lisbeth commença à chantonner une comptine que sa nourrice lui chantait enfant. Ses mains effleuraient le corps d’Usolia par petites touches. Bercée par son propre chant, Lisbeth n’avait pas conscience de la particularité de la situation : elle en train de caresser une jeune furry dans sa baignoire. Une douce chaleur s’empara d’elle.

*Tu as l’air si jeune…

Lisbeth ne voulait pas se l’avouer mais le corps d’Usolia ne la laissait pas indifférente.

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Le quartier de la Toussaint / Sacrilège... (PV Père Carmody)
« le: mardi 17 août 2010, 13:10:08 »
Ce soir-là, Lisbeth se promenait dans les rues de la ville, à la recherche d’un partenaire pour la nuit. Une kilt court rouge, un chemisier noir et des bottes de même couleur composaient sa tenue. Pour une fois, elle ne portait aucun sous-vêtement. La jeune femme errait sans vraiment savoir où aller. Au détour d’une rue, elle découvrit un étrange édifice. Lisbeth se tenait devant une chapelle. N’ayant reçu aucune éducation religieuse, la jeune femme n’avait pas la moindre idée de ce qui se tenait devant elle, ni même du caractère sacré des lieux. L’endroit semblait abandonné. Curieuse, Lisbeth monta les quelques marches et poussa la lourde porte de bois. L’intérieur était à l’abandon. Lisbeth entra. Face à elle, au centre, se dressait une table en pierre, l’autel en fait, et juste derrière, au-dessus, un homme sur une croix. Lisbeth s’avança dans l’allée, entre les chaises dont certaines étaient complètement détruites. La première idée qui vint à l’esprit de la demoiselle est qu’il devait s’agir d’une ancienne salle de spectacle et que la table était certainement le podium. Vu sa taille, elle pensa que ces spectacles devaient contenir des femmes particulièrement dénudées. Elle ne put s’empêcher de sourire à cette idée. Lisbeth pouvait même se représenter une femme, debout sur la table, en train de se dénuder devant des hommes. Les vitraux restant devaient donner une atmosphère particulière quand le soleil tombait dessus.

Lisbeth continua son inspection des lieux et finit par découvrir un appareil archaïque servant à passer de la musique. Le temps qu’elle en comprenne le fonctionnement et un air sacré empli les voûtes de la chapelle. La jeune femme ferma les yeux et se laissa emporter par le musique qu’elle entendait. Certes, le son n’était pas de meilleure qualité mais la mélodie était superbe. Sans s’en rendre compte, Lisbeth commença à danser doucement. Son regard revint vers l’autel. N’écoutant que son envie, elle monta dessus et recommença à danser au rythme de la musique. Il ne lui fallut pas longtemps avant que ses mains ne viennent ouvrir son chemisier, dévoilant ainsi ses seins. Excitée par la situation, Lisbeth les caressa doucement. Elle laissa glisser son chemisier à terre doucement. Un objet capta son attention : une croix en bois d’environ quarante centimètres de long. La jeune femme quitta l’autel pour aller la chercher. La partie la plus courte offrait une prise en main parfaite. Remontant sur son estrade improvisée, Lisbeth recommença à danser tout en passant la croix sur son corps. Lentement, elle la fit passer entre ses cuisses.

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*" Je... Je m'appels Usolia Na-Naviento... "

Ainsi la jeune terranide parlait et de plus, elle comprenait ce que lui disait Lisbeth. Et d’après ce que pouvait constater la jeune femme, elle n’avait pas la moindre idée de l’endroit où elle se trouvait.

*Tu es chez moi Usolia, sur Terre. Je ne sais pas du tout comment tu es arrivée ici mais tu n’es plus chez toi, c’est certain. Mais ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de toi.

Constatant que sa jeune invitée se calmait, Lisbeth prit garde de ne rien faire qui puisse de nouveau l’effrayer. Elle réfléchit quelques instants avant de se diriger vers le fond de l’appartement.

*Je reviens. Je ne serai pas longue.

Une fois dans la salle de bain, Lisbeth fit couler l’eau et prépara un bain relaxant pour Usolia. Après tout, la jeune demoiselle devait en avoir bien besoin après tout ça. De l’huile apaisante dans l’eau et des pétales de roses rouges feraient l’affaire. Une fois le bain prêt, Lisbeth partit chercher la jeune terranide. Usolia n’avait pas bouger. Elle lui prit la main et l’entraîna à sa suite.

*Viens. J’ai une surprise pour toi.

Arrivées près de la baignoire, Lisbeth entreprit de déshabiller Usolia en commençant par ses chaussures puis le reste de ses vêtements. Elle la prit ensuite dans ses bras et la déposa dans la baignoire. La docilité d’Usolia l’intriguait et le corps de la jeune terranide la troublait sans qu’elle sache vraiment pourquoi. Saisissant une fleur de bain, elle commença à laver son invitée avec des gestes lents. Lisbeth le savait, Usolia venait certainement de Terra mais la jeune femme n’avait pas la moindre idée de comment aider sa nouvelle amie à retourner chez elle.

*Usolia, qui va te punir ?

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: dimanche 15 août 2010, 21:48:28 »
Son agresseur avait fini par lui donner son nom : Franz. Et à en juger par ses réactions, Lisbeth savait qu’il n’était pas insensible au traitement qu’elle lui infligeait avec sa bouche. Si elle avait pu, elle aurait souri. Mais vu la grosseur du sexe qu’elle suçait, c’était mission impossible. Franz avait compris ce qu’elle voulait et sa main commença à imposer le rythme, doucement au départ et de plus en plus vite et longuement ensuite. Au bord de l’évanouissement, Lisbeth était de plus en plus excitée. Le manque d’oxygène avait un effet dévastateur sur la jeune femme qui n’était plus qu’une femelle en chaleur. Et les mots prononcés par Franz augmentaient son plaisir.

Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !

Il la prenait littéralement par la bouche. Lisbeth ne cessait de gémir. Après une dernière pénétration plus longue que les autres, Franz la força à se mettre à quatre pattes. La jeune femme peinait à reprendre sa respiration.

HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.

Lisbeth sentit le sexe de Franz à l’entrée de son vagin. Sans ménagement, Franz la posséda et s’agrippe à ses hanches pour mieux s’enfoncer en elle. Lisbeth posa ses avant-bras au sol pour se caler et augmenter sa cambrure. Ainsi positionnée, le sexe de Franz s’enfonçait au maximum en elle. La jeune femme accompagnait les mouvements de Franz avec son bassin.

*Mmmmm… oui, continuez Franz…….. J’aime être prise ainsi…

A chaque coup de boutoir, Lisbeth avait l’impression d’être déchirée et l’ironie de la situation ne lui échappait pas. Elle, jeune demoiselle riche et arrogante, se faisait prendre comme une prostituée dans une ruelle sombre à la vue de tous ceux qui pouvaient passer par là. Sa cyprine coulait à l’intérieur de ses cuisses. Puisque Franz semblait calmé, la jeune femme décida de tenter quelque chose. Profitant d’un moment où Franz reculait pour mieux revenir en elle, elle se baissa au dernier moment de sorte que la verge tendue de l’homme glissa sur ses fesses.

*Attendez s’il vous plaît.

Sans chercher à se défaire de l’étreinte de Franz, Lisbeth se redressa et se tourna vers le mur pour y prendre appui avec les mains. Ainsi, elle se retrouvait à genoux, les bras tendus, la croupe cambrée à souhait rendant ses seins libres d’être utilisés. Tournant légèrement la tête, elle sourit à Franz. Ce dernier ne sembla pas lui tenir rigueur de son changement de position et entreprit de recommencer son pilonnage en règle. La jeune femme haletait tout en essayant de contenir son plaisir. Il fallait que Franz lâche ses hanches. Ne gardant que sa main droite contre le mur, elle posa l’autre sur celle de l’homme et l’attira sur sa poitrine. Une fois cela fait, elle fit de même avec l’autre. Les doigts de Franz se refermèrent avec force sur ses seins mais Lisbeth s’en moquait. Le bassin libre, elle augmenta ses ondulations de manière à faire ressortir le sexe de Franz à chaque fois qu’il la pénétrait. L’éducation de sa mère allait lui servir. Franz continuait à la prendre avec force et Lisbeth accompagnait ses mouvements sans problèmes. A un moment, alors que la verge de Franz était entièrement ressortie de son vagin, elle baissa légèrement ses fesses. Si bien qu’elle s’empala d’elle-même violemment sur la queue tendue. Franz força ainsi son cul sans rien pouvoir faire. La jeune femme hurla en sentant son anus se dilater sous la grosseur du sexe et s’enfoncer profondément en elle. Surpris, Franz s’arrêta.

*Mmmmmmmmmm non, ne vous arrêtez pas…

Pour l’inciter à continuer, Lisbeth commença à coulisser doucement sur le phallus et très vite, le plaisir reprit le dessus sur la douleur.

40
Le parc et son sous-bois / Re : Une simple promenande... [PV Mach Bonin]
« le: dimanche 15 août 2010, 14:02:38 »
En entendant Mach accepter son invitation, Lisbeth fut ravie. Sans perdre de temps, elle se saisit du bras offert par le soldat et l’entraîna à sa suite vers la sortie du parc. La jeune femme en profita pour se coller à lui tout en marchant.

*Vous allez adorer ce bar Mach ! Mais avant, nous devons faire un détour par chez moi. Je ne peux absolument pas sortir dans cette tenue.

Sans donner le temps à Mach de répondre, elle s’engouffra dans un immeuble et monta au troisième étage. Elle ouvrit la porte de son appartement et entra, filant droit à sa chambre pour se changer. Le soldat présent, Lisbeth ne prit même pas la peine de refermer. Elle fouilla quelques instants dans son armoire pour trouver une tenue à mettre. Une fois celle-ci trouvée, elle ôté les vêtements qu’elle portait et se retrouva uniquement avec ses bottes. Le temps de passer une robe bustier s’arrêtant juste en dessous de ses fesses .et elle fit face à Mach en souriant. La particularité de sa robe était que de chaque côté de ses hanches, le tissu était remplacé par de la résille. Il était donc très facile de savoir que la jeune femme ne portait rien en dessous. Attrapant un blouson noir très court, elle entraîna Mach à sa suite.

*Allons-y, je vous ai promis un verre et nous allons le boire maintenant.

Ils se retrouvèrent dans la rue et la jeune femme prit la direction du bar. Les hommes qu’ils croisaient ne pouvaient s’empêcher de détailler la demoiselle mais la présence de son garde du corps les rendait particulièrement prudent. Lisbeth se demandait à quoi Mach pouvait bien penser. Finalement, la soirée s’annonçait agréable et elle avait bien l’intention d’en profiter. Après plusieurs minutes de marche, elle s’arrêta devant un hôtel particulier.

*Nous sommes arrivés. Vous allez adorer !

Lisbeth composa rapidement le code et pénétra à l’intérieur, suivie comme son ombre de Mach. Ils traversèrent une cour intérieure avant de se retrouver face à une lourde porte en bois. Lisbeth frappa et un colosse vint leur ouvrir.

*Bonsoir Jim, je te présente un ami.

*Bonsoir Miss, bonne soirée.

Il s’effaça pour les laisser entrer. A l’intérieur, une pièce immense s’offrit à eux. Une vingtaine d’alcôves, fermées ou non, étaient disposées un peu partout autour du bar. Dans certaines, des couples s’enlaçaient sans aucune retenue.

*Lisbeth ! Quelle joie de te revoir !

Une serveuse, à peine habillée, sauta sur la jeune femme et l’embrassa fougueusement avant de porter son attention sur Mach.

*Mais dis-moi, qui est donc ce beau garçon ?

*Un ami. On peut s’installer où ?

*Va à l’étage, vous y serez plus tranquilles.

La serveuse s’éloigna pendant que Lisbeth prenait la direction des escaliers. Montant devant Mach, il avait une vue parfaite sous sa robe. La jeune femme se dirigea vers l’une des alcôves et en ouvrit les portes. A l’intérieur, un canapé et deux fauteuils autour d’une table basse, le tout dans les tons pourpre. Lisbeth se laissa tomber sur le canapé. Ce dernier était très confortable. Elle regardait Mach en souriant. Elle s’installa tranquillement puis croisa les jambes.

*Nous y voilà. Venez donc vous asseoir, elle passera prendre notre commande plus tard.

Tout en discutant, Lisbeth avait appuyé sur un bouton situé sur le dessus de la table et les portes se refermèrent, les isolant entièrement. D’une main, elle invita Mach à la rejoindre sur le canapé.

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La réaction de la jeune terranide ne fut pas celle qu’attendait Lisbeth. A peine l’ascenseur en marche qu’elle s’agrippa violemment à sa jambe et qu’elle se mit à pleurer. Surprise, Lisbeth ne réagissait pas. Il lui fallut quelques secondes pour réaliser que son invitée avait peur de l’ascenseur.

*N’aie pas peur, cela ne va pas être long et nous serons bientôt chez moi.

Lisbeth parlait d’une voix douce. Surtout ne pas l’effrayer plus qu’elle ne le fût déjà.  Une fois arrivée, elle sortit de l’ascenseur, la terranide toujours accrochée à sa jambe.

*Déjà de retour Mademoiselle, un souci ? Mais qu’est ce que c’est que cette chose ?

Le groom regardait l’invitée de Lisbeth en ouvrant de grands yeux.

*Cette « chose », comme vous dites, est l’une de mes amies !

Le vieil homme s’inclina respectueusement devant la jeune terranide.

*Veuillez excusez ma méprise Mademoiselle.

Lisbeth ouvrit la porte de son appartement et entra. Elle se rendit dans le salon et s’assit sur le bord du canapé. Elle caressa doucement la tête de la jeune terranide. L'immense pièce donnait sur la terrasse par une baie vitrée et juste en face, une cheminée trônait fièrement. Entre les deux se trouvait le salon composé de deux canapés et de deux fauteuils couleur pourpre. Au sol, Lisbeth avait fait poser une épaisse moquette dans les tons bleu nuit, ainsi que des tentures sur tous les murs pour rendre l'endroit chaleureux.

*Ici, tu ne crains rien. Personne ne viendra te faire de mal.

Ne sachant pas trop quoi faire, Lisbeth attrapa son invitée et l’installa sur ses genoux pour la câliner doucement.

*Je ne sais même pas si tu me comprends… Tu ne veux toujours pas me dire ton nom ? Ce serait plus facile pour moi tout de même. Cela dit, tu es adorable.

Lisbeth détaillait son invitée. Sa fourrure bleuâtre, ses petites oreilles rondes et ses grands yeux la rendaient vulnérable. Une vraie peluche. Elle l’embrassa tendrement sur le front avant de la poser à côté d’elle sur le canapé pour voir ce que la jeune terranide allait faire.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 13 août 2010, 18:11:01 »
Visiblement, l’homme n’était pas contre la demande de Lisbeth. Il redoubla d’intensité et écarta ses cuisses pour entrer en elle encore plus profondément. Sa queue lui déchirait les entrailles à chaque pénétration mais Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. La violence de son agresseur décuplait son plaisir. Une dernière pénétration, plus lente que les autres, et la jeune femme sentit l’homme éjaculer en elle. Elle eut l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais d’ailleurs. Le temps de reprendre son souffle et il ressortit son sexe avant de la laisser glisser au sol. Lisbeth pouvait sentir sa cyprine mêlée au sperme de l’homme s’écouler de son vagin. L’homme la fixait alors qu’elle restait à terre.

Tu caches bien ton jeu, t’es une belle petite salope en fait… Mais c’est bien beau d’avoir une belle bouche, et une belle paire de seins, mais encore faut-il savoir s’en servir…

Lisbeth se contenta de sourire. Visiblement en forme son partenaire, elle qui croyait que les hommes avaient besoin d’un temps de récupération… Et vu sa position, elle savait parfaitement ce que cet homme attendait d’elle. Elle reporta son attention sur le membre luisant avant de l’engloutir. Elle resta ainsi, sans bouger, pendant quelques instants, se contentant de contracter ses mâchoires. Puis Lisbeth commença à aller et venir lentement sur le sexe, l’avalant entièrement à chaque fois. Sa langue tournoyait le long de la hampe en permanence. Avec sa main droite, elle caressa les énormes testicules. Lisbeth prenait son temps, accélérant progressivement la cadence de ses mouvements de tête au fur et à mesure que le sexe se durcissait. Elle le ressortit entièrement avant de se mettre à lécher les bourses de son agresseur. Ainsi positionnée, il devait avoir une vue parfaite sur la cambrure de ses reins. Lisbeth l’accentua volontairement. Elle gobait les testicules l’une après l’autre, les léchant avec ardeur. Puis elle revint sur la queue qu’elle lécha entièrement tout en regardant son agresseur. Avant de la reprendre en bouche et d’entamer une série de va et vient, le gland heurtant le fond de sa gorge à chaque fois.

Histoire de reposer ses mâchoires un peu, Lisbeth se redressa doucement de façon à ce que le sexe se retrouve entre ses seins. Elle commença alors à monter et descendre lentement, agaçant le gland avec sa langue à chaque fois qu’il passait à portée de sa bouche. Son regard ne quittait pas celui de son agresseur.

*Vous ne voulez toujours pas me dire comme je peux vous appeler ?

Après tout, il connaissait son prénom… Lisbeth garda le sexe entre ses seins quelques minutes avant de l’engloutir à nouveau. Elle allait et venait à un rythme régulier, accélérant de façon progressive. Sa mère lui avait toujours dit qu’aller trop vite dès le départ privait les hommes d’une partie de leur plaisir. A chaque fois que le sexe heurtait le fond de sa gorge, Lisbeth perdait sa respiration mais elle découvrit qu’elle aimait cette sensation. N’écoutant que son envie, elle prit la main gauche de l’homme et la posa sur sa nuque.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 13 août 2010, 15:39:42 »
Tu n’as pas besoin de connaître mon nom petite garce !

Décidément, cet homme n’avait aucune notion des convenances les plus élémentaires. Lisbeth se promit de lui en faire la réflexion dans un futur proche. Elle sursauta légèrement quand il prit possession de son vagin avec ses doigts sans ménagement. Il l’ouvrait avec force, ne lui laissant aucun répit. Lisbeth ondulait de plus en plus du bassin. Elle laissa échapper un cri de frustration quand il la lâcha. En entendant le bruit caractéristique d’une braguette, elle baissa son regard et découvrit la queue de son agresseur. Plutôt bien monté, pensa-t’elle sur le moment.

S’il y a quelque chose que tu dois connaître… Ce sera ça.

Plaquée violemment au mur, la jeune femme n’a guère le temps de profiter de la vue. Mais elle se rend vite compte que le sexe de son agresseur se trouve à l’entrée de son vagin. Maintenue par les cuisses, Lisbeth se retrouve dans l’impossibilité de bouger… Jusqu’à ce que l’homme la lâche et qu’elle s’empale sur son membre. Le souffle coupée, la jeune femme sent son sexe se déchirer sous la violence de l’acte et la douleur la submerge. Des larmes coulent le long de ses joues.

MHMM ! Voila ! Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es !

L’homme commence alors à aller et venir en elle, la forçant à s’empaler entièrement à chaque coup sur sa queue. Il faut peu de temps à Lisbeth pour qu’elle se remette à gémir de plaisir. Prenant appui sur les épaules de son violeur, elle entreprend alors d’accompagner ses coups de boutoir en basculant son bassin au maximum pour qu’il puisse la prendre encore plus profondément.

*Je… Je devrais… sans doute remercier… ma mère alors…

Entre deux respirations, Lisbeth tente de parler un peu. Sous le traitement infligé, son vagin ne tarde pas à la brûler mais l’homme ne ralentit pas la cadence, bien au contraire. Il semble avoir décidé de profiter de son corps au maximum. Lisbeth finit par le laisser contrôler les mouvements et en profita pour jouer avec ses tétons durcis de plaisir. Les années de privation imposées par sa mère font merveille et sous l’effet du plaisir imposé, la jeune femme se lâche peu à peu.

*Mmmmmmm…. Oui, continue…

Nul doute que si son agresseur savait par quoi la jeune femme était passée, ses réactions lui auraient parues somme toute normales. Mais Lisbeth ne perdait pas de vue ce que l’homme lui avait dit, à savoir qu’ensuite elle serait libre. Et sa liberté n’avait pas de prix.

*Baise-moi comme une chienne !

Ces mots à peine prononcés, Lisbeth ne put s’empêcher de rougir.

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Les alentours de la ville / Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
« le: vendredi 13 août 2010, 10:37:23 »
Visiblement, l’homme n’avait pas apprécié la claque. Lisbeth le vit ranger son arme et froncer les sourcils. Autant elle appréciait ne plus sentir le canon de l’arme contre sa gorge, autant le regard de l’homme n’annonçait rien de bon. Ce que c’est premières paroles confirmèrent.

Finit de jouer…

D’un geste brusque, il déchira la robe de Lisbeth de haut en bas, révélant son corps et la lingerie qu’elle portait. L’une de ses mains s’empara de ses seins pour les libérer de son soutien-gorge. Lisbeth ne réagissait pas. Il était évident que cet homme allait la violer. Il l’embrassa de force avant de venir lui murmurer à l’oreille une phrase dont la jeune femme ne retint qu’une chose : après elle serait libre.

Ta liberté va te coûter cher… Je vais faire partir l’air supérieur sur ton visage à jamais petite garce…

L’homme tira sur son string, le faisant entrer entre ses grandes lèvres. Lisbeth sentait le tissu glisser sur ses anneaux et contre toute attente, cela lui plaisait. Le string finit par se déchirer sous la pression et la jeune femme vit l’homme le jeter à terre. Puis, il baissa les yeux et visiblement, les anneaux que la jeune femme portaient le surprirent. Lisbeth sentit l’une de ses mains caresser son sexe pendant que l’autre continuait à s’occuper de son sein gauche. Toujours immobile, la jeune femme se laissait faire. Quand la bouche de son agresseur s’empara de son autre mamelon et commença à jouer avec, Lisbeth ne put retenir un gémissement. Elle devait se rendre à l’évidence, la violence de cet homme l’excitait. Ayant les mains libres, elle fit glisser sa robe au sol, aussitôt rejointe par son soutien-gorge. Il ne lui restait plus que ses bottes. Nue, dans les bras d’un homme qui comptait abuser d’elle, Lisbeth se sentait bien.

*Je… Je ne connais même pas votre nom…

Une partie d’elle tentait bien de se révolter mais le taux d’humidité de son sexe suffisait à prouver que Lisbeth aimait être forcée ainsi. En effet, privée pendant des années du plaisir charnel, la jeune femme était devenue particulièrement réceptive à tout contact sexuel. Les yeux mi-clos, Lisbeth laissait l’homme prendre possession de son corps. Elle releva la jambe droite et vint appuyer celle-ci contre la cuisse de l’homme, lui offrant ainsi un meilleur accès à son sexe. Son bassin ondulait au rythme des caresses de l’homme. De la jeune femme capricieuse, il ne restait quasiment plus rien. La seule chose qui importait pour elle à ce moment était le plaisir que l’homme lui procurait. Elle pouvait sentir sa cyprine s’écouler doucement de son vagin.

*Mmmm… Votre nom s’il vous plaît.

La jeune femme ne cherchait même plus à dissimuler ses gémissement. Elle ne souhaitait plus qu’une chose, être prise sur le champ par cet homme qu’elle ne connaissait pas.

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Lisbeth s’étira doucement. Le jour se levait à peine et elle ouvrit les yeux pour profiter du lever de soleil du haut de son nouvel appartement. Suite au passage de Franz, la jeune femme avait emménagé dans le quartier chic de la ville. Logeant au dernier étage, elle disposait d’une vue complète sur la ville et d’une terrasse immense.  Lisbeth avait recréé l’ambiance boudoir qu’elle avait dans son premier appartement mais en beaucoup plus grand. L’autre avantage, non négligeable pour Lisbeth, était la société de gardiennage en charge de la sécurité des résidents. Un verre de jus d’orange et une douche puis elle s’habilla pour sortir. Vu la chaleur annoncée, la jeune femme opta pour un top blanc, une jupe courte noire et un string mauve. Elle passa des bottines noires, prit son sac et sortit.

*Bonjour, Mademoiselle.

Comme à son habitude, Lisbeth passa sans répondre mais le vieux groom ne s’en formalisa pas. Plus les gens ont de l’argent, moins ils s’occupent de ceux qui travaillent pour eux. Il se pressa d’aller appeler l’ascenseur.

*Bonne journée, Mademoiselle.

Les portes se refermèrent sur Lisbeth et l’ascenseur commença sa descente le long de l’immeuble. Entièrement en verre, il donnait la sensation de voler à ceux qui l’empruntaient. Certes, il y en avait un autre à l’intérieur de la résidence mais Lisbeth préférait celui-ci. Son attention fut attirée par un attroupement des gardes au pied de l’immeuble. En cercle, ils semblaient molester un animal. A peine en bas, Lisbeth se dirigea vers eux.

*Je peux savoir ce que vous faites ?

La colère perçait dans la voix de la jeune femme. Leur responsable, une armoire de près de deux mètres de haut se retourna vers elle.

*Ne vous inquiétez pas pour cela Mademoiselle, ce n’est qu’un chien errant.

Lisbeth porta son regard sur l’animal et se retint de crier. Une terranide ! Que faisait-elle ici, dans l’enceinte de la résidence. Pour le moment, elle se trouvait en bien mauvaise posture avec ces idiots. Elle avait l’air tellement fragile ! Lisbeth entra dans le cercle formé par les gardes sans réfléchir.

*Ma chérie, mais tu es en avance. Je ne t’attendais pas avant demain !

Sans donner le temps à la jeune terranide de réagir, elle la releva doucement avant de faire face aux gardes.

*Mais dans quel état avez-vous mis mon invitée ? Un mot de ma part et je vous fais renvoyer ! Excusez-vous immédiatement !

Le responsable la regardait complètement ahuri. Certes, Lisbeth leur en avait déjà fait voir de toutes les couleurs mais là… Malgré tout, souhaitant garder son emploi, il s’inclina devant l’invitée de la jeune femme respectueusement.

*Je vous pris de bien vouloir excuser cette méprise Mademoiselle. Si nous pouvons faire quelque chose…

*Vous en avez assez fait. Viens, rentrons que tu puisses te remettre de tes émotions.

Lisbeth n’avait pas lâché le bras de la jeune terranide et l’entraîna à sa suite dans l’ascenseur. Une fois en mouvement, elle détailla sa compagne.

*Je m’appelle Lisbeth. Et toi, tu as un nom ?

Lisbeth parlait d’une voix douce, pour ne pas effrayer l’adorable petite chose qui se trouvait devant elle. Et oui, même si la jeune femme était le plus souvent froide et distante, il lui arrivait parfois de s’attacher instinctivement à une autre personne et dans ce cas, Lisbeth savait être d’excellente compagnie.

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