Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Érogène Jones

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Érogène Jones

Pages: 1 2 [3] 4 5 ... 15
31
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 27 février 2010, 11:54:10 »
Pour les gosses, le mieux c'est les miyasaki! et aussi Le roi et l'oiseau (pour ceux qui connaissent). :)

11h52

Mais c'est vrai qu'un petit disney une fois de temps en temps...  ::)

(Et bonjour à tous, au fait ^^")

32
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 27 février 2010, 01:03:27 »
Ralala... Il en a de la chance, moi mes soeurs elles sont vachement plus fortes que moi T_T.

Euh... ahem... Je veux dire : je frappe pas les filles...  ::)

01h01

Il te reste plus qu'à prendre ton mal en patience, ma pauvre. Trouve toi un jouet pour chien et mord le jusqu'à épuisement, ou alors tu peux peut-être aller t'abrutir devant une série quelconque.  ;)

Moi, j'vais pas tarder à aller me coucher, même si il me reste pas mal de boulot -_-. B'nuit à ceux qui restent...

33
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 27 février 2010, 00:50:03 »
Et ben? ça sert pas à ça les frangins? Oo

*Se fait tout le temps frapper par ses soeures...*

00h46

*S'éloigne quand même un peu, des fois qu'elle décide de passer ses nerfs sur le pauvre Gégène  :-X*

34
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 27 février 2010, 00:08:00 »
Peut-être, mais il me semble qu'on dit "aller à une colle" et pas "faire mes heures de colle" dans ce cas là. Moi je dirais plutôt que c'est un petit polisson  ::)

00h05

On prend des paris?  :P

35
Les alentours de la ville / Re : Une nuit, un bar, une enveloppe. [Miya]
« le: vendredi 26 février 2010, 23:49:07 »
Le sommeil de Jones est sans lumières, sans rêves, sans consistance. Son esprit a lâché prise et s'est décroché de son corps. Il plane au dessus de sa tête, juste le temps de se convaincre qu'elle est de nouveau habitable et que cette douleur fulgurante qui lui a déchiré la poitrine s'est décidé à s'en aller. Chaire arrachée, sternum perforé, une bonne dizaine de côtes brisés... Avec un détachement artificiel, le jeune homme songe que son esprit manque de lucidité : Il n'est pas concevable de survivre à une blessure pareille, pas sans soins d'urgence. Et selon les circonstances de son évanouissement, déclare le fin analyste, des soins sont plus qu'improbable.

Mais il réalise soudain que s'il est capable de penser, et manifestement de raisonner. Et si c'est le cas, indéniablement, alors il n'est pas inconscient du tout. Merde. Son esprit se tend vers ses sens, près à se rétracter (en vain, il le sait) au moindre signe de douleur. Doucement, Jones, tu n'as aucune raison rationnelle de brusquer les choses. D'ailleurs, dans ton état mental actuel, le temps est une abstraction. Hochement de tête collégial.

Mais rien. Pas de douleur.

Seulement sa respiration régulière, le contact de sa joue sur une surface lisse et froide. Une vitre de la voiture. Un goût de métal dans la bouche, et, bien plus tard, le bruit de la pluie qui s'abat sur le toit. Un bruit en partie couvert par un autre qu'il ne comprend pas. Ah, si. La voix d'une jeune fille.

-Mais qu'est-ce que j'ai fait?...

Alors il se réveille, mais ne bouge pas. D'après Effy, le réveil est un moment très dangereux. C'est le moment où le masque n'est pas ajusté, où les menteurs se trahissent. Un esprit embrumé qui a connu trop d'identités et ne sait plus laquelle vêtir alors qu'il se hisse à la conscience, sous le regard attentif de la proie de la veille. Voilà ce qui causera un jour ta perte, Jones, si tu ne fais pas ce que je dis. Oui, Effy.

Alors il suit sa leçon, et ne remue pas d'un cil. Attention à la respiration, Jones, pas d'accoup, pas de changement de rythme avant d'avoir fait le point et retrouvé tes repaires. Ne lutte pas, laisse simplement tes souvenirs remonter à la surface et se ranger par ordre chronologique. Ton cerveau fais cela très bien tout seul, Jones... Le bar... Une chanson, Ando... Une voiture, une enveloppe avec dedans un plan annoté qui est suivit par d'autres, accompagné de fiches, de rapports concernant Ryuga... Lumière du jour sur son visage, alors qu'il se rase tranquillement, en pensant à Miya. Miya. Miya qui est assise dans la voiture, et qui gémit avec douleur. Miya sa proie qui ne l'est pas vraiment. Miya la lanterne rose... Mais surtout Miya le monstre, et le bras planté dans sa poitrine. Paroles décousues, déchirantes... Larmes de douleur alors que sa main tremble et que son regard se dérobe. Alors qu'elle commence enfin à croire à son histoire...

Lentement, Jones ouvre les yeux. Miya n'est plus que la petite fille recroquevillée sur la banquette arrière. Il se refuse à faire l'erreur de la trouver moins dangereuse. Mais au fond, cela ne change absolument rien.

-Vous allez me laisser partir?

Rien que du très naturel. Après tout, quoi qu'il décide de faire cette question se doit d'être posée. Cependant, il sait déjà qu'il ne partira pas. Pas s'il découvre, comme il le soupçonne, qu'il a dompté le monstre et l'a mit sous sa coupe. Pas si, contre toute attente, la partie est gagnée... Son esprit embué se rend compte de sa propre irrationalité. Peut-être est-elle due au souvenir de la douleur, qui tranche avec son corps si... vivant. Si étrangement débordant d'énergie. Mais encore une fois, cela n'a pas d'importance.

Le regard de Jones le policier, l'ami de Ryuga. Un beau jeune homme courageux qui ne sait pas ce qu'il doit croire, ni s'il est finalement sortit d'affaire. Répondez-moi, Miya.

36
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 26 février 2010, 22:21:21 »
*Creuse le trou pour enterrer la hache de guerre.*

22h18

Au fait, histoire de changer de sujet : Shutter Island c'est à la hauteur du bouquin (donc génial  ;D). Courrez le voir si c'est pas déjà fait! \o/

37
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 26 février 2010, 20:37:17 »
*Sort de l'horloge en surfant sur un chapeau rond, et en faisant un pied de nez à Cro-ny*

20h35

38
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 26 février 2010, 20:27:16 »
*Prévoyant, il plante déjà une pancarte "round 2 : Basques ou corses?"  ;D*

Par ici les inscriptions...

20h25

39
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 26 février 2010, 20:22:16 »
Vive les bretons! Vive la Bretagne! Surcouf au pouvoir!

*Taille un sablé en shuriken et le lance sur cro!*

20h19

40
Salles de cours et bibliothèque / Re : Rattrapages. [PV Adelheid]
« le: vendredi 26 février 2010, 14:52:08 »
-Non, tu ne peux pas disposer.

Jones la contemple, pensif, son indexe posé sur sa tempe. Avec une lenteur délibérée, il retire ses lunettes, pour en polir les verres d'un coin de sa chemise.

-Je ne te crois pas Adelheid. Je veux dire : Tout ne vas pas bien. Tu as rencontré quelques personnes, mais ce n'est pas tout...

Il arrête de nettoyer ses lunettes pour la regarder droit dans les yeux. Détaché, cependant, presque amusé.

-... N'est-ce pas?

A présent, petite proie, tu dois te demander si je sais quelque chose sur tes vilains petits secrets. Et mon regard gagne en intensité, pour le plaisir de te voir paniquer.

-Je vais te dire ce que je crois. Je crois que es seule, angoissée, et révoltée... Que tu vis au jour le jour, avec comme seul et unique objectif de te vider la tête, de t'empêcher de penser. Papa, maman, cette vie de merde et tout le reste. Rien de bien répréhensible, en soit. Mais les chemins que tu empreintes pour y arriver...

Il secoue lentement la tête.

-Jouer au mouton noir n'est pas une bonne idée, mais tu en as le droit. Tu as le droit de chercher à t'exclure du système, de t'habiller juste ce qu'il faut pour être complètement à part, avec une grosse étiquette marquée "je ne suis pas des votre, et allez vous faire foutre" au feutre indélébile... Tu as le droit de chercher à te détruire, de laisser ta rage pour tes trous du cul de parents dicter tes actes. C'est stupide, ça me fend le cœur, mais tu en as le droit.

Son ton est doux. Malgré la dureté de ses paroles, il ne cherche pas à la blesser.

-... En revanche, il y a des choses que tu n'as pas le droit de faire. Et tabasser des lycéens avec tes potes en fait totalement partit.

Nous y voila. Et je parie que tu n'as pas la moindre idée de ce que dont je suis en train de parler. Laisse moi te rafraichir la mémoire...

-Tous les profs en parlent, Adelheid. Kenzo, Yahei et un certain Tanaka. Toi et ce type au cheveux blanc, vous en avez envoyé deux à l'hôpital. Tanaka a faillit y rester.

Kenzo et Yahei, oui. Deux petits voyous pourris qu'il a ramassé dans un bar pour ses sales manigances. Ils étaient très remontés contre un couple qui leur avait flanqué une raclée, dans une certaine ruelle sombre. De quoi éveiller l'intérêt du prédateur en quête d'insolite... Trouver Adelheid d'après leur description a été un jeu d'enfant, et se faire embaucher pour lui donner des cours une formalité. Jones le chasseur, tranquillement assis sur sa chaise qui ment sans la moindre retenue. Les profs n'en savent rien, et Tanaka n'a qu'une simple éraflure. Mais il tient à mettre le sang froid de la jeune fille à l'épreuve. Une secousse pour la pousser à dire la vérité.

-A quoi est-ce que tu pensais, Adelheid?

Demande le gentil professeur, d'un air attristé. Je veux entendre ta version de l'histoire, disent ses yeux. S'il y a une personne à qui tu peux confier ce genre de chose, elle se trouve devant toi.

41
Les alentours de la ville / Re : Une pause. La plage. ( Pv )
« le: vendredi 26 février 2010, 13:51:44 »
(Aucun soucis, j'ai pas été très rapide moi même. ;))

Bon... pas de quoi paniquer. Jones est relativement certain que Sibylle ne cherche pas à l'attirer dans l'eau pour pouvoir le noyer. Et quand bien même, il pense être capable de se défendre, maintenant qu'elle n'a plus sa dague. Haussement d'épaule et regard pénétrant.

Son regard perplexe suit le corps de la jeune fille, admirant au passage ses formes sensuelles. Elle entre dans l'eau, et les vagues viennent frapper sa poitrine. Jones hoche rêveusement la tête, et déboutonne sa chemise, déboucle sa ceinture, retire chaussures et chaussettes. Avec une rapidité étonnante, tous ses vêtements se retrouvent soigneusement pliés, en pile sur un rocher.

Il se tient droit, à la lumière de la lune, et cherche le regard de Sibylle qui l'appelle depuis la mer, comme une sirène aux cheveux noirs. Le vent glacé le couvre de chair de poule, mais il ne frissonne pas. Son corps détendu, il la laisse le contempler sans la moindre trace de pudeur. Aucun mérite cependant, puisqu'il peut être fier de son corps...

Il marche vers elle. D'abord lentement, puis d'un pas rapide. Il courre au moment ou ses jambes entre dans l'eau, et où il se jette sur Sibylle, l'entrainant avec lui au fond de l'eau glacé. Sans surprise, elle ne se défend pas. Un baisé sous-marin qui dure jusqu'à ce qu'ils se relèvent dans le creux d'une vague. Jones secoue la tête et se passe une main dans les cheveux pour ôter les mèches mouillées qui lui tombent dans les yeux. Un petit rire joyeux, et il attire à lui sa complice aux yeux d'ombres.

Leurs lèvres se rencontrent à nouveau au moment précis où une vague glacée frappe leurs corps.

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 26 février 2010, 11:33:01 »
Bonjour! Mais c'est vraiment pas malin tout ça!  >:(

*Met un pansement sur la bosse de Frig et lui masse les tempes... Bon, et comme ça suffit pas, il tend aussi un godet de laudanum.*

11h30

Heureusement qu'il y a encore des jeunes gens comme moi qui savent passer intelligemment leurs soirées...  ::)

*Tape un peu dans le gobelet de la belle pour calmer sa gueule de bois -_-*

43
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 24 février 2010, 16:11:31 »
CoD, ou le jeu déduit du budget pub de l'armée américaine. Ecoeurant, je trouve. -_-"

Enfin, ça regarde que moi... de toute façon, je suis qu'un snob : Je joue pas aux jeux vidéos (et surtout pas à la Wii XP). Tant qu'à faire, je préfère lire et faire des jeux de rôles / jeux de société. ;D

16h08

44
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 21 février 2010, 13:03:40 »
Ouais, mais toi t'es un malade!...  ::)

13h01

T'as raison, Paulina. Contre les coups de déprime, le mieux c'est d'en parler. Appelle un(e) pote ou de la famille, vide ton sac et fais toi faire un gros calin. Ensuite, chocolat et musique et tu seras sur les rails!  :D

*En attendant : massage de soutient à Paulina*

Courage, la vie vaut la peine d'être vécue! (je t'assure ^^)

45
Salles de cours et bibliothèque / Re : Rattrapages. [PV Adelheid]
« le: dimanche 21 février 2010, 01:40:50 »
La lumière du couloir s'est éteinte, et l'écho des voix, des rires du reste des élèves a disparut dans les escaliers. Ils sont seuls dans cette salle silencieuse, éclairée par la lueur blafarde des néons électriques. Face à la jeune fille, le professeur Jones ne laisse pas son sourire vaciller.

-Reste assise, Adelheid. Tu ne travaille pas le mardi soir.

Une remarque qui devrait au moins me valoir ta complète attention, petite proie. Beau visage toujours aussi affable, avec ces petits yeux rieurs qui l'observent derrière les verres de lunettes.

-Pas besoin de t'excuser. Tu as le droit de te foutre l'économie. Et au moins tu as la franchise de l'admettre... A vrai dire, c'est moi qui me sens désolé pour toi. Tes parents n'auraient pas du prendre cette décision à ta place. Certainement pas.

Il marque une pause et la regarde avec une étrange intensité.

-C'est eux qui t'ont forcé à venir au Japon, n'est-ce pas? "Raisons d'affaire, chérie. Dis au revoir à tout le monde, et ne fait pas cette tête, ce n'est que pour quelques années..."

Il semble sincèrement attristé par cette situation. Le ton de sa voix laisse presque entendre qu'il lui parle d'égal à égal. Situation, aussi horripilante soit-elle, qui n'est pas si incongrue : il semble réellement jeune et il n'est qu'un professeur intérimaire, embauché pour des cours de rattrapages. Dans d'autres circonstances, un verre à la main, par exemple, cette conversation pourrait presque paraître normale... Mais il n'est certainement pas normal de retarder une élève après le cours. Pas juste pour bavarder, pas sans quelque-chose d'important à lui dire.

Mais si tel est le cas, le professeur Jones ne semble pas pressé d'en arriver là. Et la jeune fille ne parvient pas à déterminer s'il fait simplement la conversation avant d'attaquer les choses sérieuses, où si ses paroles sont choisies avec soin et y mènent déjà, par un chemin qu'elle ne comprend pas encore.

-Tu sais, il m'est arrivé la même chose quand j'avais ton age. Raisons d'affaire, et je dois tout plaquer, quitter le Japon pour aller étudier à Paris.

La vérité, du moins dans les grandes lignes. Et Érogène s'en amuse beaucoup. Après tout, il n'a pas encore revu Kairi. Il émet un petit rire joyeux, communicatif destiné à instaurer un climat moins formel, plus convivial. Et aussi montrer à Adelheid qu'il n'est pas aussi japonais qu'elle l'avait cru au premier abord.

-Crois moi, les français ne sont pas plus tolérants que les japonais, en ce qui concerne l'intégration. Moi et ma saleté d'accent... Je n'avais aucun ami, et ça a été un vrai calvaire de se faire accepter. Et quand je suis parti, je n'étais toujours pas un des leurs. Pas complètement.

Il croise les mains sur ses genoux, et la contemple d'un air intrigué.

-Je n'ai pas la prétention de savoir ce qu'une fille comme toi peut bien ressentir. Mais de mon côté, à Paris... Je sais que je me sentais seul. A l'écart. Lorsqu'ils sentent qu'ils ne rentreront pas dans le moule, la plupart des adolescents choisissent de s'en couper complètement. Ce n'est pas... une sensation agréable.

Regard lointain, comme s'il laissait remonter des souvenirs. Mais il revient à Adelheid et lui offre un sourire amusé.

-Tu me trouve démago, pas vrai? Oui, évidement, je ne suis qu'un prof... Mais écoute, il faut que tu me dise. Comment est-ce que tu te porte Adelheid? Comment tu tiens le coup? J'ai vu de quelle manière tu regarde les autres élèves... Pour tes parents, je ne te pose même pas la question... Mais il faut que tu me dise si tu as trouvé des amis, des passe-temps pour briser cette espèce de mélancolie qui te colle à la peau.

Il la sent dérouté par sa franchise, mais elle ne répondra tout de même pas : Alcool et laudanum, un job dans un bar à hautesse, plus un type au cheveux blanc qui se bat comme un pro. Jones a fait ses devoirs, a retourné les bons placard et à interrogé les bonnes personnes. C'est même par ces personnes que tout a commencé, qu'il a choisit de la prendre pour proie... Mais pour l'instant, il ne veut pas y penser. Il se concentre sur cette posture attentive, qui suffit la plupart du temps à pousser les gens à vider leur sac.

Quelle image te fais-tu de moi, à présent? Un prof de plus qui te demande comment tu te sens puis de fera la morale, te donnera une tape dans le dos juste pour pouvoir rentrer chez lui et se dire qu'il a fait son travail? Ou est-ce que tu vois dans mes questions un dessein moins innocent... Cela, je compte bien le lire dans ton regard.

Pages: 1 2 [3] 4 5 ... 15