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Messages - Alecto Nemed

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: dimanche 05 juillet 2020, 20:32:58 »
Alecto avait gobé tous les mensonges de Yazill, trop crédule, et trop prompte à voir dans ce petit minois attendrissant la moindre trace de perfidie. Et puis, le fait de s’être donnée à lui n’aidait en rien à avoir l’esprit critique envers son amant…

Sa tirade la prit aux tripes, sursautant à ses trémolos, écarquillant de grands yeux quand il évoque ces femmes qu’il a engrossé, et qui lui dépeint un Minou beaucoup moins honorable que ce qu’elle imaginait. Lui ?! Mettre enceinte des femmes et ne pas se soucier de sa progéniture ?! Quoi ? C’était affreux…

Malgré cela, elle ne pouvait absolument pas comprendre qu’il ne demande pas à tous ceux qu’il avait pu blesser de bien vouloir leur pardonner… Pour elle, c’était une question de survie. De survie dans l’au-delà, certes, mais du moins de salut de son âme. Elle sembla horrifiée, mais le coup de maître du Félin vint achever la victime.

Buvant les paroles du Voyageur sans jamais les remettre en question, au comble émotionnel où elle se trouvait, les sanglots vinrent alors déchirer son cœur, le réduire en miettes. Ecartelée immédiatement par l’empathie immense qu’elle possédait pour son plus grand malheur, la jeune femme se contracta toute entière, avant de l’étreindre avec ferveur, instinctivement.

« Oh non. Oh… » Pauvre Monsieur Yazill, il semblait si triste ! Ses remords larmoyants fendaient l’âme et les larmes montèrent aux yeux de la petite Esclave alors qu’elle tombait dans le panneau si facilement. Il regrettait et se laissait aller à pleurer devant elle, c’était surement le signe qu’il était sincère !

Incapable de déceler la fourberie du Chat, Alecto sanglotait à son tour en l’entendant, de grosses larmes qui tombaient sur le petit crâne mouillé de son Petit Invité, en le serrait si fort contre sa peau nue. Elle se sentait transpercée de cette douleur qu’il exprimait.

« Oh, Pauvre, pauvre Monsieur Yazill, non… » Doucement, elle se mit à chanceler d’avant en arrière, le berçant avec tendresse, comme on l’aurait fait d’un enfant effrayé, pour le rassurer.

« Là…. Là, la vie est trop précieuse pour qu’on l’achève volontairement, je vous en supplie, chassez ces vilaines pensées. » Ses mains paraissaient grandes alors qu’elle caressait les bajoues du Matou, plaquant ses moustaches contre sa mâchoire à chacune de ses caresses. Elle frémissait encore comme elle pleurait, le gardant précieusement contre elle.

« Vous avez commis des péchés, c’est sûr… Mais je vais prier pour le salut de votre âme. » Murmura-t-elle en posant mille baiser sur son petit museau froid. 

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: dimanche 05 juillet 2020, 10:58:16 »
En plein dans le mille. Alecto est terriblement apitoyée par le triste sort du Chaton. Et lorsqu’il évoque le suicide, alors, elle se met à trembler et le serre plus fort encore contre elle. Ces éventualités sont terribles lorsque l’on est aussi pieuse que l’Esclave, qui a reçu une éducation on ne peut plus stricte à ce sujet. Dans sa ferveur terrifiée par cette hypothèse, elle le cale si fort contre son sein qu’il pourrait en manquer d’air. C’est un péché bien plus grand que tout ce qu’ils avaient fait jusqu’alors, et elle réagit rapidement.

« Oh non ! Non. Il ne faut pas penser à cela. » Si prévisible, elle se sentait prise de larme tant l’empathie lui gonflait le cœur. Comment imaginer une telle issue, lorsque l’on pense que Dieu est bon, et qu’il réside de l’espoir en toute circonstance ?

C’est reparti. A chaque parole de son Invité, Alecto se sent toujours plus attendrie et impliquée, et il faut avouer qu’il aborde des sujets qui lui sont chers. Il n’aurait pas pu mieux tomber ! Dévote, elle l’était, et elle avait la tête farcie de tous les dogmes de l’Ordre. Les connaissait les prières, les cantiques, savait tenir un office, et même écouter les confessions. Celles de Yazill devaient être bien choquantes, alors qu’elle n’avait eu à découvrir qu’une mince partie…

Mais ils discutent de solutions. La Sorcière… Thiania Gian était-elle assez puissante pour défaire le sortilège ? Il lui semblait pourtant que Yazill avait choisi ce châtiment pour expier le meurtre de sa chère femme ? Un peu perdue, ses souvenirs confus, elle fit une petite moue, n’osant évoquer sa Maîtresse… Demander cette faveur à la Magicienne serait une épreuve difficile pour Alecto, qui se sentait déjà énormément reconnaissante à cette femme puissante de l’avoir sauvée, et achetée. Oui. Elle l’aimait comme un chien admire son Maître, même s’il le bat, d’une loyauté docile et pathétique.

Mais les solutions miraculeuses lui parlaient davantage. La Domestique caressait la colonne vertébrale du Matou alors qu’elle parlait soudainement d’une voix bien plus douce, calme, et seul l’écho des cathédrales manquait pour la faire passer pour une Sœur.

« Pas ‘les Dieux’ Monsieur Yazill, Dieu. Le Tout-Puissant s’intéresse à toute chose et à tout être, puisqu’Il vous a créé. Vous êtes Son enfant… » Elle sourit avec tendresse en plongeant son regard vibrant dans l’ambre de ses yeux. « Pourquoi vous pardonnerait-Il ? » Un petit rire cristallin passa ses lèvres.

« Mais parce que vous en faites la demande, pardi ! Demander le Pardon à ceux que vous avez offensé, est le premier pas vers l’obtention du Pardon Divin. Confesser ses péchés, les accepter tels qu’ils sont, et expier ses fautes humblement. Voici comment se produisent les Miracles, Mignon petit Chat. »

Elle semblait métamorphosée, à l’aise, douce… Presque maternelle, Alecto continuait de caresser d’une main les petites joues félines, tout en retirant, de l’autre, les résidus de mousse sur son pelage.

« Le Bien que vous faites peut compenser le mal que vous avez commis, parce que vous êtes faillible et mortel… » Avec un sourire auréolé de dévotion, elle se pencha tout en attirant à elle sa minuscule tête mouillée, pour embrasser une oreille pointue.

« Allons. Je vous écoute, je peux entendre votre confession, et le Très-Haut vous écoute, lui aussi. » Elle paraissait sérieuse, et prête. Même si elle craignait, au fond d’elle, d’entendre des choses qui auraient pu la choquer, désormais dans son rôle si désiré d’Officiante, elle semblait n’avoir plus aucune angoisse. Ses épaules n’étaient plus tombantes, son visage rayonnait de douceur et de compréhension.

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: dimanche 05 juillet 2020, 09:18:08 »
Les grands yeux clairs d’Alecto cillèrent lorsqu’il évoqua ce modèle qu’elle pouvait représenter pour lui. Incrédule une seconde, elle se mit à rougir plus que de raison, tant cette information la troubla. Elle ? Un exemple ? Yazill ce vil manipulateur avait trouvé les mots justes pour l’Esclave, qui baissa les yeux immédiatement, avec humilité, mais qui ressentait au fond d’elle un immense honneur. Evidemment, si elle avait emprunté le chemin qu’elle s’était décidé étant petite, le chemin que Dieu avait décidé, plutôt, Alecto aurait été une None admirable, un modèle de vertu pour ses fidèles. C’était là l’un des plus beaux compliments qu’on puisse lui faire.

Elle vint poser un baiser léger entre ses oreilles poilues, comme pour le remercier, ne sachant pas du tout que répondre à tant de sentiments.

Lorsque le sujet de cette terrible arme tranchante est abordé, les explications du Voyageur Félin font hocher la tête de la Domestique. « Hm… » Fit-elle en levant les sourcils avec étonnement. Pour elle, c’était dangereux, une arme. Mais il avait parlé de gros rats, et elle frissonna immédiatement, et sans s’en rendre compte, ses yeux parcoururent la pièce comme pour s’assurer qu’il n’y en avait aucun ici.

« Brrr…. Je déteste les rats. » Les chiens aussi, ceci-dit. Et parfois les chats, mais Yazill est une étonnante exception. Cependant, on pouvait se demander ce qui ne lui faisait pas peur, vu ses angoisses.

« Comment vous êtes courageux… ça doit être très dur. » Elle avait eu une petite moue désolée, en plus d’effrayée.

Le Matou était extrêmement brave, et il devait en effet affronter des dangers que des humains ne soupçonnaient pas. Déjà, prendre un bain était une aventure, alors quand doit se balader dans les égouts… Elle sursauta avec un frisson dégoûté. Beurk. Une prière silencieuse s’éleva, demandant au Très-Haut de lui épargner cette immonde expérience.

Mais lorsque le petit visage félin prend une expression plus triste, Alecto se sent immédiatement émue, et s’inquiète de son état, les yeux vibrants.

« Oh… » Le contact moelleux de cette fourrure mouillée trempe le tissu de ses voiles, mais elle ne s’en formalise en rien, trop touchée par son geste. Ce pauvre Yazill semble décidément bien esseulé, et elle peut le comprendre sans mal.

Avec émois, elle détache de nouveau ses vêtements qui tombent à ses pieds, se redresse en brisant délicatement son étreinte, et enjambe le baquet pour venir se plonger dans l’eau chaude qui fume légèrement. Alecto écarte alors les bras, assise sur les genoux dans cette petite cuve, et vient enlacer le Minet.

« N’y a-t-il… aucune solution à votre châtiment ? » Elle était tentée de lui en proposer une, bien sûr, mais elle avait remarqué qu’il n’y connaissait pas grand-chose quant à l’Ordre Immaculé. Le serrant contre son cœur, sa main vint caresser sa nuque et gratter avec tendresse son poil propre, calant son museau contre son cou comme on le ferait de n’importe quel mignon chaton.

« La… la prière pourrait peut-être… » Elle pinça les lèvres, gênée.

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: samedi 04 juillet 2020, 19:30:26 »
Alecto cille de ce qui peut être qualifié d’admiration, quand il explique cette ruse habile de pirate. Elle trouve Yazill immédiatement encore plus malin, et ouvre la bouche naïvement. « Ohhhhhhhhhhhhh » Fit-elle, ne cachant pas sa surprise.

Ce n’est pas bête du tout ! Elle ignorait ce stratagème, mais n’y a jamais été très confrontée, à vrai dire. L’Esclave a été deux fois sur un bateau, une fois en cale, avec d’autres esclaves. C’était une expérience terrible dont elle préférait ne jamais se rappeler. Fort heureusement, le fleuve avait été docile, pour qui avait connu la pleine mer… La seconde, une petite barque, où elle avait dû ramer, fort peu douée vu sa musculature, pour le bon plaisir d’un Maître qui voulait sans doute la voir transpirer, sur un étang. C’était donc assez loin d’une expérience de corsaire.

« C’est une habile raison alors ! Comme vous êtes rusé Yazill ! » Elle lui souriait avec sincérité, alors qu’elle formait une cuvette de ses mains, pour verser un peu d’eau entre les belles oreilles du félin détrempé. Elle eut toutes les peines du monde à ne pas verser de savon dans ses yeux, et fit une moue désolée.

« Décidément, vous êtes vraiment très intelligent. Je suppose que c’est normal, pour un mage ? » Affirma la jeune femme, candide. L’eau collait ses poils à son petit crâne de minet, et le rendait encore plus fin qu’il ne l’était déjà. Le voir ainsi la fit rire, même si évidemment elle s’en voulait, parce que cela ressemblait à de la moquerie. Tendrement, elle caressa sa joue, et une ombre passa sur son visage.

« Je suis désolée pour votre maman. C’est si dangereux d’être mère… » Elle soupira un peu, bien malgré elle, à cette évocation, qui entraînait de douloureuses réminiscences. Mais Alecto n’avait aucune envie d’ennuyer son si cher Invité par des souvenirs qui pourraient être source de souffrance, pour lui comme pour elle. Alors, elle reprit délibérément un sourire délicat aux lèvres, emplit de douceur.

« Ce que j’ai fait pour vous était tout naturel. Vous… Vous êtes gentil, Yazill, les gens ne sont pas souvent de bonnes personnes ; Vous, si. »

Qu’elle se méprenne ou non, Alecto était persuadée que ce Voyageur solitaire, qui avait-il dit purgeait son déshonneur d’avoir entraîné la mort de sa bien-aimée, était un être bon. Comment expliquer autrement qu’il ne l’ait pas frappée, pas forcée en quoi que ce soit -si ce n’est par la manipulation qu’elle ne percevait pas- ?

Enfin, d’une voix plus enjouée, elle désigna à nouveau de l’index le cache-œil.

« Ca vous donne un petit air mystérieux et baroudeur, c’est vrai. C’est élégant avec cette pièce d’armure et cette petite euh… ce n’est pas une épée, n’est-ce pas ? C'est une lance ? » Elle avouait parfaitement son ignorance en matière d’armes, puisqu’elle en avait très peur – étonnant ?- depuis toujours.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 04 juillet 2020, 13:21:59 »
Hm, j'ai lu que le marc de café faisaient fuir les fourmis (à mettre là où elles arrivent donc si elles volent euh... c'est mort xD)

13h21 - HAN mais chez moi il ne fait pas du tout un temps idéal pour la piscine :'(
C'est plutôt à chier comme moi de juin / juillet pour le moment en Normandie !

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: samedi 04 juillet 2020, 13:20:11 »
La Domestique grattouillait le haut du crâne de son Invité pour recouvrir son petit visage de mousse, attentive à ce qu’il n’en prenne pas dans les yeux, alors qu’il évoquait son ancienne nourrice. Qu’il lui parle de son passé lui semblait agréable, et un signe de confiance dont elle se sentit reconnaissante.

« Nous ? Vous avez des frères et sœurs ? » C’était plus fort qu’elle, évidemment. Sa curiosité était piquée par les quelques bribes de souvenirs que narrait Yazill, son regard d’azur s’était mis à pétiller, intriguée.

Alors que la petite main griffue retrouve le chemin d’un téton Alecto rougit un peu, mais ricane d’un air candide. Quel incorrigible chat ! Mais à bien y réfléchir, ce trait-là doit venir de son côté humain, à n’en point douter… Elle avait croisé tant d’hommes dans sa courte vie, et tous semblaient ne jamais savoir se tenir lorsqu’une mamelle leur était dévoilée, et même sans cela, juste à proximité. Evidemment, toutes les années au Couvent lui avaient appris que sa poitrine ne servirait jamais : l’on ne nourrit pas d’enfant, quand on est bonne sœur, après tout. Cependant, une fois esclave, elle avait rapidement compris quel type d’admiration cela pouvait créer chez ses Maîtres, hommes comme femmes, d’ailleurs. Et elle avait découvert avec un mélange d’horreur et de délice une fonction bien plus perverse à ses seins !

« Je ne me suis occupée d’enfants que quelques fois, chez certains de mes Maîtres avant Thiana Gian… » Ses petites pommettes roses se soulevèrent lorsqu’elle eut un petit sourire, peut-être même qu’il était complice ! « Mais ils ne m’ont jamais fait… » Quoi ? Jouir ? « Enfin, tout ce que vous avez fait. »

Enfin, n’y tenant plus, elle désigne le cache-œil. Elle se retenait depuis trop longtemps de poser cette question, il fallait qu’elle sache.

« Il n’est pas crevé, n’est-ce pas ? » C’était loin d’être le cas lorsqu’elle avait plongé ses yeux dans ceux d’ambre de son apparence d’homme. « Pourquoi le portez-vous, dans ce cas ? »

Ayant côtoyé certains infirmes lorsqu’elle vivait au Temple, venus pour quelques miracles auprès des Sœurs de l’Ordre, Alecto savait comme cela pouvait faire souffrir, et être handicapant. Elle avait lu la détresse la plus profonde sur les visages tuméfiés et aveugles. Ne songeant jamais au mal, elle n’imaginait pas les véritables raisons qui poussaient Yazill à porter ainsi cet artifice, et malgré les heures passées ensemble, elle ne le trouvait en rien capable de fourberie. Brave petite.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 04 juillet 2020, 10:22:45 »
Et on s'en débarasse comment, des fourmis volantes :O ?!

10h22 - La "grasse mat" jusqu'à 8h30 c'est pas si mal !

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: vendredi 03 juillet 2020, 23:06:09 »
Alecto avait été émerveillée dès qu’il avait prononcé les mots magiques « je peux lire sans bougie la nuit ». A vrai dire, elle aurait rêvé de cette capacité, puisqu’elle craignait la flamme, mais adorait lire… Ceci-dit, ces quelques minces avantages paraissaient n’être pas assez forts pour concurrencer les désagréments de la vie d’un chat pas plus haut qu’un tabouret.

En parlant de tabouret, elle hocha la tête rapidement. Mais où avait-elle la tête enfin ?! Bien sûr qu’il avait besoin de ce léger détail pour ne pas finir en noyé. Fronçant le nez de son idiotie, elle eut un petit rire gêné, qui était tout de même une très grande amélioration : notons qu’elle n’avait pas rougit et ne se confondait pas en excuses en pensant qu’elle venait de commettre un crime.

« Ah … oui, pardon. » Souffla-t-elle tout de même, en se déplaçant jusqu’à un petit trépied, et lui déposant en se penchant dans l’eau, afin qu’il puisse s’y installer sans avoir de l’eau jusqu’au museau. Sous les bras, tout au plus, estima-t-elle.

Elle aurait été tentée de le prendre sur ses genoux, évidemment, d’autant dans sa forme féline qui pour elle était moins équivoque de leurs précédentes et torrides caresses. Mais Alecto songeait qu’il apprécierait bien plus d’être soigné ainsi, alors qu’elle serait libre de ses mouvements. Quelque part, ce bain qu’elle lui offrait la rendait moins mal à l’aise, alors qu’elle aurait été des plus gênées s’il avait eu sa forme humaine… Jamais l’Esclave n’aurait frotté le corps nu d’un homme, enfin. Pas sans en avoir eu l’ordre, ce qu’elle avait eu bien des fois à effectuer.

 En trempant le savon dans l’eau, par-dessus le rebord du baquet où elle ne s’était pas encore aventurée, toute habillée pour pouvoir chouchouter son petit Matou, Alecto revint sur ce qu’il avait dit plus tôt.

« Cela doit vous faire vraiment bizarre, lorsque vous repassez à votre forme euh… d’homme. De ne plus voir correctement la nuit. Vous devez vous cogner partout ! » Elle ricana, étrangement joviale, et plus enfantine aussi.

A vrai dire, plus le temps passait, et plus la compagnie de Yazill lui plaisait, plus elle se sentait à l’aise. Du moins, de moins en moins contrite, ou angoissée. Ils avaient partagé beaucoup… Et il était gentil avec elle. Il fallait avouer que sous cette apparence, il était attendrissant, et. Et sous sa forme humaine, Yazill était séduisant, aussi.

Alors, elle frotta le savon sur ses paumes pour le faire exploser de mousse, de grosses bulles s’en échappent et elle débute alors une toilette soignée sur les poils du félin.

« C’est bien la première fois que je lave un chat ! » Pouffe-t-elle, avant de s’en vouloir, encore une fois, d’avoir appelé son Visiteur ainsi. Elle sait bien qu’il va répondre « mais c’est ce que je suis, un chat, tout va bien » Mais même… Elle trouve que c’est un peu réducteur. Serait-elle gênée s’il l’appelait « esclave ? » « humaine ? » A la réflexion… Elle ne dirait rien, évidemment. On l’avait nommé de bien des façons, après tout. Et jamais elle n’avait eu son mot à dire. Cependant, le Matou l’avait appelée « belle » et même « merveille ». Sans s’en rendre compte, elle sourit niaisement, avant de revenir à la réalité.

En quelques minutes, Alecto a frotté une bonne partie du petit corps de son Invité, et saisit un peu de mousse qu’elle place entre ses oreilles, en venant le coiffer d’un petit chapeau de bulles. Elle rit alors, spontanément, avant devenir faire claquer un baiser sur l’une de ses bajoues, à la naissance de ses moustaches.

« Oh, comme vous êtes mignon ainsi ! »

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Place publique / Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]
« le: vendredi 03 juillet 2020, 10:17:31 »
Alecto sourit légèrement quand il accepte de l’accompagner au bain. A vrai dire, elle n’y avait pas mis trop de sous-entendus, mais elle semblait avoir oublié à quel point le petit Matou semble friand de bagatelle ! Si elle reste un peu gênée, elle trouve ce qu’elle dirait être une addiction assez drôle… Du moins, dans ce minuscule corps de chat… Sans doute aurait-elle été bien plus mal à l’aise face à un homme, en sachant toutes les vilaines choses qu’ils avaient fait avant.

Elle rit à sa remarque sur la toilette des félins, s’imaginant sans doute son poilu invité en train de se contorsionner pour se lécher, et cracher des boules de poils sur les tapis. Il a de la chance de ne pas avoir hérité de cet instinct, après tout, songe-t-elle, car sa condition est déjà bien assez désagréable ainsi, visiblement.

L’Esclave lui tend alors la main, afin de l’entraîner jusqu’à la petite pièce d’eau qui lui sert de modeste boudoir… Cependant. Elle se rend vite compte qu’elle ne peut pas du tout lui tenir la main et marcher en même temps, à moins de se plier en deux. Confuse, gênée aussi de sa méprise, elle pince les lèvres et se ravise, en se grattant instinctivement la cuisse.

« C’est par là. » Marmonne la jeune fille, en lui montrant le chemin, sortant de sa petite chambre, et traversant la cave aux tonneaux et caisses de denrées diverses. Elle lui fait alors traverser une petite cour extérieure, plongée dans l’obscurité, mais où elle se dirige avec une excellente mémoire, sans se cogner en rien.

« Restez bien derrière moi, il y a des pièges ! » Evidemment, ce n’était pas vraiment des pièges, plutôt des obstacles. Un banc, un pot de fleurs entretenues, ce genre de choses. « Voyez-vous dans le noir ? » Demande soudain Alecto, à voix basse pour ne pas éveiller le voisinage, intriguée.
Après tout, les chats eux, peuvent facilement vivre la nuit, non ?

Arrivés de l’autre côté de la cour, l’esclave ouvre une petite porte en bois, qui révèle alors une charmante pièce, toute en lambris vernis. Un grand baquet recouvert de bois peint, vieilli, trône au centre, et un poêle chauffe la pièce, en même temps qu’une grande jarre d’eau au dessus. Les braises encore fumantes indiquent qu’il a été utilisé il y a peu, tout comme la vapeur encore présente dans la pièce.

Alecto rougit un peu et parle moins fort encore. « Ma Maîtresse aime prendre un bain avant de dormir. Elle dit que c’est pour calmer sa magie. » Evidemment, Alecto n’y connaissait rien là-dedans, et ne pouvait pas remettre en question les affirmations de Thiana Gian.
Mais cela est rassurant : ça veut dire que la Sorcière est partie dormir, et qu’elle ne risquait pas de revenir dans cette pièce pour les surprendre. Même si la domestique se disait que, les pouvoirs de Thiana aidant, elle devait parfaitement savoir que son esclave avait un invité intime, elle préférait ne pas être prise en flagrant délit.

C’est à cet instant qu’intervenait la partie la plus délicate pour la jeune femme… Elle prit une profonde inspiration, et s’approcha du poêle, pleine de courage. Le feu la paniquait, mais c’était un mal nécessaire… Elle n’avait aucune envie de se baigner à l’eau froide, ce soir. Souvent, elle s’en passait, mais cette fois, et pour Yazill surtout, elle souhaitait quelque chose d’agréable.

Ranimant les flammes en soufflant tout doucement, penchée vers le foyer, sa main vint actionner un levier et, par un ingénieux système de tuyau, de l’eau fumante vint se déverser au-dessus du baquet. S’éloignant dès qu’elle le put du feu, Alecto se tourna vers le petit félin.

« Est-ce que vous avez peur de l’eau ? » Fit-elle en tournant la tête sur le côté comme un adorable cocker. La serveuse vint se saisir un épais savon et lui présenta fièrement, avec un petit sourire. « Si vous n’avez pas peur, alors allons allons, laissez-moi vous savonner, entrez. »

235
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 01 juillet 2020, 08:40:22 »
Oh merde :/
Enchaînement de galères pour toi... ><

08h40 - Petit Déjeuner !

236
Blabla / Re : Dites-le en chanson !
« le: mardi 30 juin 2020, 21:51:34 »
Oh lala c'est le plus dur xD
Amanda Palmer - Runs In The Family

237
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 30 juin 2020, 08:30:45 »
Courage :(
08h30 - Aller, au boulot !

238
Blabla / Re : Dites-le en chanson !
« le: lundi 29 juin 2020, 21:39:51 »
Je ne sais pas pourquoi, mais mon frère écoutait cette chanson en boucle sur son poste CD. CD qu'il avait dû piquer à mes parents, parce que c'est sorti à son année de naissance, peut-être xD

Simply Red - Holding Back The Years

239
Les contrées du Chaos / Re : Encore foiré! [Alecto Nemed]
« le: lundi 29 juin 2020, 21:28:48 »
Tout rêve prend fin. Celui d’Alecto avait été des plus merveilleux, et elle se sentait infiniment chanceuse d’y avoir goûté. Il aurait été malhonnête d’affirmer qu’elle ne regrettait pas l’achèvement de leur délicate parenthèse à deux, mais elle louerait le Seigneur encore de nombreuses heures, pour avoir vécu la grâce de ces instants qu’elle avait cru ne jamais vivre.

Il lui faudrait revenir à quelque chose de plus conventionnel, avec celui qui serait son mari dans l’intimité, et juste son Roi, le reste du temps. La jeune femme craignait ce dur retour à la réalité, mais il était nécessaire. Implacable, il devait fatalement arriver, alors elle le prenait comme tel. Si tel était le désir du Très-Haut, elle aimerait Serenos cachée de tous, et chérirait les instants passés ensemble comme des trésors secrets.

Une fois de retour à Meisa, alors qu’elle s’éveillait avec bonheur après ce si doux et irréel songe, Alecto fut remise rapidement dans le tourbillon de la réalité… Suivant le Roi qui se trouvait intrigué, son état d’esprit fut contagieux, et ce questionnement, chez Alecto, était plutôt une angoisse. Si cela pouvait inquiéter le Monarque des Trois Royaumes, d’autant vu le froncement de sourcil à mesure qu’ils avançaient dans la cour de la forteresse, c’était sans doute terriblement dangereux… Du moins, c’est ce que pensait sa jeune épouse, avant d’apercevoir très rapidement les symboles et bannières de l’Ordre.

Ce fut alors tout le contraire de la réaction de son mari, évidemment, sur le visage de l’ancienne esclave. Sans d’abord penser qu’il s’agissait de quelque chose de négatif, ou dangereux pour Serenos, elle sentit son cœur bondir dans sa poitrine face à tant d’allures familières, qui pour elle, étaient réconfortantes. Sans savoir pourquoi, elle se sentit en sécurité, alors seulement, elle perçut la nervosité du Roi à côté d’elle.

Restée un peu en retrait, elle vit clairement le Monarque la garder proche de lui, comme pour la protéger. Elle ne comprit pas… Puis, prise d’inquiétudes, se demanda si cela n’était pas en effet de mauvaise augure. Leur mariage était secret, mais Dieu, lui, savait… Pourtant, il lui avait narré ses déboires et mésaventures avec l’Ordre Immaculé, au point d’avoir développé de l’animosité naturelle envers les représentants mortels du Très-Haut. Bien qu’elle différenciât très clairement les instances spirituelles du Culte et Dieu, sachant tout Homme faillible et corruptible, même les plus dévots, Alecto avait instinctivement confiance en ces hommes et ces femmes d’église.

Serenos prit visiblement sur lui pour afficher une mine convenable, et se présenter aux dignitaires de l’Ordre qui s’avançaient vers eux. Cependant, elle sursauta lorsqu’elle entendit prononcer son nom. Ecarquillant de grands yeux ronds, elle regarda à droite et à gauche, comme s’il pouvait s’agir d’une autre personne qu’elle… Ce n’était certes pas un prénom bien courant en Meisa mais… Cet homme venait-il vraiment de la nommer ?


Derechef, elle se retrouvait les mains jointes dans celle d’un inconnu, du moins, de celui qu’elle prenait pour un inconnu. Mais quelque chose la travaillait, au fond d’elle, son esprit œuvrait et doutait. Cette voix… Elle la connaissait, elle en était persuadée. Des sensations étranges semblaient rejaillir du passé en entendant ces sons, et lorsque l’homme se mit de nouveau à parler, elle ouvrit la bouche, hébétée, pour lui répondre.

Mais le Roi ne lui en laissa pas l’occasion. Sur la défensive, même agressif à vrai dire, Serenos venait d’empoigner le délégataire religieux, et sa femme avait par son geste, dû reculé de plusieurs pas. Attrapant immédiatement ce poignet que le Monarque avait vigoureusement empoigné pour l’éloigner, Alecto sursauta de terreur lorsqu’il tira au clair son arme pour imposer une distance raisonnable entre eux et l’homme de l’Ordre. Paniquée, elle cacha sa bouche dans ses paumes pour éviter de hurler à son mari de ranger son épée. La simple vue de la lame, à vrai dire, venait de lui glacer le sang, mais ce n’était rien en comparaison de la rage qui émanait de l’homme qu’elle aimait, et qu’elle reconnaissait alors à peine.

Quand enfin le représentant divin prit la parole, avec un calme qui contrastait avec l’émoi terrifié qu’elle ressentait, Alecto hoqueta de surprise et de panique mêlée. C’était évident désormais qu’elle voyait son visage, alors que Serenos lui avait arraché cette capuche qui le masquait. L’homme avait pris des rides et ses cheveux étaient plus gris que dans ses souvenirs, mais elle n’aurait pu l’oublier. Jamais.

« Père Thorius ! » Elle avait trop peur de la tension de la situation actuelle pour exprimer pleinement la joie incommensurable qu’elle éprouvait de revoir l’homme de foi qui avait partagé sa vie de nombreuses années durant, lorsqu’elle officiait au Temple.

La menace de l’acier régnant toujours, elle vint d’un geste extrêmement intimidé par la posture bestiale du Roi, poser sa main sur le plat de son arme. C’était un geste d’une audace extrême pour elle, qui craignait les lames plus que tout. Mais elle devait agir pour assurer à Serenos qu’il n’avait rien à craindre du Prêtre, elle s’en portait garante. Alecto avait une confiance aveugle en Thorius.

« M… Sire…… Je… C’est mon ancien Mentor, je vous en prie sur ce qui m’est cher, ne lui faites pas de mal. »

Levant alors les deux mains en signe de paix, s’interposant entre les deux hommes, les épaules courbées, sans doute de soumission telle qu’elle avait l’habitude jadis de le faire face à un Maître violent, elle baissa les yeux humblement. Elle savait qu’en public, elle n’était rien d’autre qu’une étrangère dont le Roi s’était pris d’affection et avait accordé quelques menus privilèges, jadis Compagne, quoi désormais ? Pour la Cour, elle devait rester à sa place, et fort heureusement, c’était quelque chose qu’elle faisait à merveille, et naturellement.

Avec grâce, elle tourna son regard clair vers le Père Thorius, à qui elle osa adresser un fin sourire, mal à l’aise au vu de la tension, mais bien sincère tout de même.

« Père Thorius… Le Roi des Trois Royaumes m’offre sa protection, je… je vous en conjure. Réservez votre jugement, Monseigneur, jusqu’à ce que vous ayez pu en attester. »

Que Thorius puisse avoir traité Serenos de monstre après l’avoir insulté d’hérétique, même si c’était effectivement ce qu’il était aux yeux de l’Ordre, était un crève-cœur. Elle voulait immédiatement prouver au Prêtre combien le Roi était un homme digne, noble, et honnête. Si ce n’était son manque de foi, Sombrechant serait un parangon du Très-Haut, elle le savait. Il fallait que son ancien professeur le voit, comme elle le voyait, elle.

Mais avant cela, il fallait qu’elle mette un terme, par tous les moyens, aux animosités des deux hommes, car elle voyait bien que la réaction du Roi avait entraîné parmi ses suivants des réactions, et qu’ils étaient tous très tendus, attendant visiblement des ordres de leur Sire, et qu’ils étaient prêts à agir comme lui, au moindre regard de leur souverain. Alecto priait intérieurement pour que cela n’arrive pas, de toutes ses forces.

Le Délégataire de l'Ordre Immaculé semblait considérer le Suzerain avec assurance, et un certain apaisement dans le regard, mais au fond, se trouvait une sorte de dureté infaillible et sévère. Alecto prit cela pour de l'humilité, mais il n'en était rien.

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Les contrées du Chaos / Re : Encore foiré! [Alecto Nemed]
« le: dimanche 28 juin 2020, 23:23:12 »
Son corps avait repris le contrôle de ses mouvements, même si son esprit espérait toujours réussir à redevenir le seul maître à bord. Malheureusement pour lui, les sensations de ce membre qu’elle faisait coulisser en elle avec ses ondulations courcircuitait tout effort de maîtrise de ses pensées. Seuls ses sens étaient en pleine possession de chaque centimètre de peau de la jeune femme, la faisant vibrer avec passion.

Lorsqu’il intima un changement, tous les membres de l’épouse se contractèrent, comme pour vainement le retenir, alors qu’elle sentait son sexe la quitter. Bien sûr, elle se doutait bien qu’il ne s’agissait là que d’un très court au revoir, qui attisa encore plus son désir, et lorsqu’il la pénétra de nouveau, dans cet angle qui accentuait ses sensations, elle lâcha un lourd gémissement, presque un remerciement, à vrai dire.

Désormais dans une position qui lui interdisait de correctement admirer son mari, Alecto ferma les yeux fermement, pour replonger dans le souvenir ardent de ce torse luisant de sueur, aux muscles saillants, qui roulaient sous la peau marquée de si nombreux témoignages de son passé. Cette simple vision la fit geindre fiévreusement, tant désormais elle pouvait associer le corps de Serenos à tous les plaisirs qui y étaient liés.

Saurait-elle à nouveau le regarder sans le dévorer du regard ? Cela lui semblait impossible… Et comment faisaient les autres femmes, pour ne pas le désirer ardemment ? Oh, évidemment, l’épisode traumatisant avec Patience était là pour lui rappeler que, certaines femmes, elles aussi, avaient des vues sur le Roi. Pour Alecto, c’était la personne exceptionnelle et noble du Monarque qui attirait les dames et leurs convoitises, loin des intrigues du Pouvoir. Son mari était si séduisant, après tout… Et ses mouvements de va et vient augmentèrent à cette simple pensée. Son mari. A elle.

Ce même torse dont elle rêvait était collé contre son dos, elle se sentait moite contre elle, leur peau glissant l’une contre l’autre avec tout le feu de leurs mouvements effrénés. Son ressenti était trop fort, trop intense pour qu’elle reste muette, d’autant qu’elle découvrait une posture nouvelle, qui la surprenait par son intensité. Elle le sentait si profondément en elle, et à chaque fois qu’elle ondulait les hanches, c’était une explosion divine. Oh mon Dieu, que c’était bon…

Les baisers de Serenos trahissaient l’état fébrile et ivre qui l’avait gagné, baisers qu’elle lui rendait avec tant d’exaltation, comme une furie. Elle eut du mal à percevoir ses mots, tellement sa tête était une étuve, une véritable fournaise. Mais finalement, son cerveau sembla réussir à analyser les sons qu’elle entendait et elle laissa un petit cri amoureux venir se briser sur les lèvres de son époux.

« Oh. » Son intimité venait de se contracter avec force, rien qu’à la compréhension de ce qu’il venait de dire. Le plaisir de son Roi était un pur instant de délice dont elle se sentait fière et chanceuse. Aussi, bisant ses lèvres de petits baisers sonores et vifs elle lui sourit, rit, même.

« Oh oui ! Viens, viens ! » Elle se concentra pour ne pas cesser de bouger son bassin sur son sexe qu’elle sentit palpiter d’impatience, au bord de l’extase, et ses muscles se contractèrent pour l’épouser parfaitement, ses yeux roulant dans leurs orbites en accueillant les secousses exquises de son mari.

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