Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jack Taylor

Pages: 1 ... 14 15 [16] 17
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L'adolescente avait l'air particulièrement sûre d'elle ; sans nulle doute elle devait avoir beaucoup d'expérience, contrairement à ce que pouvait laisser supposer son apparence juvénile. Une gamine avec une gueule d'ange rompue à la luxure ! Cette Kana était le rêve vivant de tous les lolicons de cette planète. Il lui tardait de la souiller, de voir sa petite bouche narquoise déformée par le plaisir alors qu'il l'enculerait brutalement. Jack Taylor se targuait d'avoir fait jouir chacun des partenaires sexuels, prostitués ou non qu'il avait eu, depuis les jeux incestueux de son enfance avec sa soeur aînée. Du plat de la main, il appréciait la douceur des bas de Kaname et, enhardit par ses réactions, approchait fiévreusement sa main de l’entrejambe de l'adolescente. Cependant, alors qu'il touchait au but, la jeune fille se hissa sur ses genoux, mettant en contact direct son petit cul bombé avec la queue de Jack. Celui-ci ne put s'empêcher de frotter vigoureusement sa bite contre sa partenaire, bien qu'il se refusa pour l'instant à user de ses mains, avec lesquelles il agrippait les draps frais de la literie. A présent, Kaname devait s'être rendu compte de la taille extraordinaire du vit dont elle n'allait pas tarder à tâter. Il se demanda si elle avait peur, si elle était excitée ou les deux à la fois et allait lui poser la question lorsqu'on frappa à la porte, ce qui le fit soupirer.

- Le room-service arrive TOUJOURS au mauvais moment...

L'adolescente lui intima gentiment le silence avant de s'échapper pour aller ouvrir à la serveuse, une petite brune quelconque dont Jack oublia immédiatement le visage. Il en profita pour se débarasser de sa cravate qui l'etouffait, et retira sa veste qu'il posa soigneusement sur le dossier d'une chaise. Lorsque Kaname revint avec le plateau sur lequel se trouvait un sceau rempli de glace et de deux bouteuilles du meilleur champagne qui fut. Le tube de chantilly qu'il avait réclamé s'y trouvait aussi, ce qui le fit sourire. On trouvait vraiment de tout et n'importe quoi, dans les hôtels de luxe.

- Attends, je vais t'aider.

S'approchant avec empressement de la jeune fille, il lui ôta le plateau des mains : c'était sans doute un peu lourd pour elle et puis... Il tenait à ouvrir lui-même le champagne. Il posa ledit plateau sur la table de chevet puis se baissa pour en extraire deux coupes en cristal. Il posa la première sur le plateau, puis tendit la seconde à Kaname, qui s'approchait.

- Je vais faire le service. Si madame veut bien prendre place, lui précisa-il en lui montrant le lit avec une déférence surjouée.

Toujours debout, Jack débouchonna la première des deux bouteilles, puis servit adroitement sa jeune invitée, ainsi que lui-même. Il reposa la bouteille, puis s'assit à ses côtés, en la regardant droit dans les yeux.

- Trinquons au début d'une magnifique soirée, lança-il, en levant son verre.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mercredi 31 octobre 2012, 14:30:50 »
Vous avez tous l'air si jeunes et innocents ! Alys, j'aime bien tes lunettes, au passage.

Je ne peux pas poster de photo de mon visage, mais histoire de vous donner une impression générale de ce à quoi je ressemble, voici une photo d'anthologie, avec une pause digne de la plus suggestive des pin up, que j'ai envoyé à un réalisateur il y a deux ans, pour faire de la figuration !

http://www.pixenli.com/images/1351/1351689796066205600.jpg


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Le coup classique de la femme enfant rebelle; Jack, amusé, se laisser acculer par l'adolescente et s'assit docilement dans le fauteuil de cuir. Cette petite sortait de l'ordinaire : visiblement il n'avait pas affaire à une poule qui se contentait d'écarter les jambes et d'attendre que ça finisse. Cette soirée promettait d'être intéressante. Il ne broncha pas lorsqu'elle approcha son visage juvénile du sien, mais s'agrippa aux accoudoir pour ne pas s'emparer immédiatement de Kaname et de la renverser brutalement sur le lit. Il la laissa jouer avec son élégante cravate de soie noire, se passant nerveusement la langue sur les lèvres. Assez grande hein ? C'est ce qu'on allait voir.

- Je suis navré, je ne voulais pas te froisser... mademoiselle, compléta-il dans un français impeccable, sans la moindre trace d'accent. Mais tu dois avoir à peine la moitié de mon âge et il m'est un peu difficile de te considérer comme autre chose qu'une enfant. Une belle enfant soit, mais une enfant tout de même.

Cette référence implicite à l'âge réel de Kaname était volontaire. Il voulait que celle-ci sache bien qu'il était sur le point de coucher avec une adolescente qui pouvait être l'une de ses élèves et qu'il en était tout à fait conscient. Pis encore, cela le rendait fou de désir. Jack était rompu à toutes sortes de plaisirs et coucher avec des adolescentes - voire des adolescents était de ceux qu'il appréciait le plus. Son énorme phallus, coincé dans son pantalon lui faisait mal et palpitait d'impatience. Quelques gouttes de sperme s'échappèrent de son méat pour venir tacher son boxer lorsqu'il la regarda s'échapper. La sourire qu'il affichait se voulait rassurant, mais la manière presque animal dont il la regardait était éloquente. Kaname devait commencer à se rendre compte qu'elle n'avait en face d'elle un client ordinaire, mais probablement l'un des êtres les plus dépravés de la ville. Et encore, elle n'a pas vu mon vit...

- Je serais ravi de te donner toute la considération que tu mérites, Kana.

L'agent Taylor s'éjecta promptement de son siège pour venir s'asseoir à côté de Kaname, sans toutefois la toucher. Elle était si menue qu'il pouvait probablement presque tenir sa taille entre ses deux mains et embaumait un parfum délicat. Il posa délicatement ses doigts sur la cuisse de l'adolescente, soufflant son haleine brûlante sur la nuque de cette dernière mais n'alla pas plus loin. Il voulait lui laisser l'initiative de ce qui allait suivre.

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C’était loin d’être la première fois que Jack recourait aux service d’une prostituée. Non qu’il eût des difficultés à séduire et mettre dans lit qui lui plaisait, mais s’envoyer une professionnelle était un plaisir d’un autre type, qu’il s’octroyait de temps à autres, surtout lorsque celles-ci était juvéniles. Lorsque la veille, il était tombé sur le profil de Kana, il avait eu la certitude que cette dernière était mineure, contrairement à ce qu’indiquait bien évidemment, le site internet : elle devait avoir quinze ou seize ans, à tout casser, avec une poitrine si menue - pour ne pas dire une absence de poitrine - qu’on eût dit un garçon. Il l’avait alors contactée sans hésiter.

Lorsque l’adolescente passa le pas de la porte de l’hôtel, Jack, radieux dans son costume anthracite était tranquillement installé au bar et sirotait un cocktail en faisant la conversation au barman. Un simple coup d’œil lui suffit pour constater qu’il s’agissait bien de la visiteuse qu’il attendait. Il termina tranquillement son verre, observant Kaname du coin de l’œil et attendit qu’elle ne s’efface dans  un des ascenseur avec son guide. Il s’empara alors de la mallette métallique qu’il avait posé au sol en arrivant et se dirigea à son tour vers le second ascenseur. La montée jusqu’au 22ème lui sembla interminable. Un petit chauve à lunettes qui puait la transpiration et qui se pensait obligé de lui faire la conversation l’avait rejoins dans la cabine et Jack devait se retenir pour ne pas lui demander de la fermer. Lorsqu’il fut sur le pallier, il se dirigea vers la 2212 d’un pas tranquille, saluant d’un signe de tête le groom qu’il rencontra. Cette chambre, d’un luxe sobre et élégant (http://www.gophoto.it/view.php?i=http://luxe-crise.l.u.pic.centerblog.net/o/bb9bd83d.jpg#.UJA5JcVmLg8) était une celle qu’il utilisait régulièrement pour les rencontre de ce type.

Lorsqu’il fut sur le pas de la porte, la jeune fille y avait fait quelques pas, et lui tournait le dos. Les vêtements qu’elle portait mettaient en valeur son corps gracile ainsi que ses petites fesses rebondies. L’agent Taylor bandait déjà et n’avait qu’une envie : frotter furieusement son pieu massif contre les jambes étroites et gainées de nylon de l’adolescente. Mais avant cela, il lui fallait être quelque peu diplomate. Il posa sa mallette sur le lino et referma soigneusement la porte, avant de se racler la gorge pour attirer son attention.

- Bonsoir Kana, j’espère ne t’avoir pas trop fait attendre. J’espère que la chambre te plaît, ajouta-il, en lui dédiant un sourire ravageur.

Traversant la pièce d’un pas alerte, il sortit une petite enveloppe blanche de la veste de son costume et la tendit à son invitée en lui ébouriffant les cheveux.

- Il y a là-dedans ce dont nous avions convenu. Il y aura bien évidemment un large supplément si tu te comporte au mieux avec moi. C’est bien compris ? Maintenant si tu veux bien m’excuser…

L’homme se dirigea vers le téléphone à côté du lit, composa le numéro de la réception et attendit. Il en profita pour détailler les traits délicats de la jeune fille. Ma foi, elle est toute mignonne cette petite. J’ai hâte de voir cette adorable bouche déformée par ma queue… Une voix féminine l’extirpa de sa rêverie.

- Bonsoir mademoiselle. J’aimerais que vous m’apportiez deux bouteille de votre meilleur champagne… Ainsi qu’un tube de crème chantilly. Oui oui, vous m’avez bien entendu. Merci mademoiselle.

Jack raccrocha le combiné du téléphone et se rapprocha tranquillement de Kaname. Même s’il se comportait avec une certaine désinvolture, l’énorme bosse qui déformait son pantalon ne laissait aucune place au doute : il était dans un état d’excitation indescriptible.

- C’est comment ton petit nom déjà ? Kana ? Je t’en prie, mets-toi à l’aise ma puce.

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- Je...Euh...Oui, je suis célibataire...Pourquoi est-ce que vous vous intéressez à moi ? Vous ne me connaissez même pas.

- Je vous ai beaucoup observée depuis votre arrivée ici... Mais je n'osais pas trop vous approcher.

C'était bien entendu on ne peut plus faux. A vrai dire, Jack n’aurait pas remarquée Kazuha si on ne lui avait pas parlé d’elle. Ce qui au demeurant était plutôt dommage puisqu’il pouvait constater à présent qu’elle était plutôt mignonne, cette petite. Pour l’heure elle lui semblait plutôt timide et réservée. Pas de quoi fouetter un chat, et encore moins écrire un rapport. Je sais pas ce qu’il m’a pris d’aller emmerder cette pauvre fille… Je pourrais m’en sortir en prétextant un pari avec Tanaka, le prof de sport… Jack haussa un sourcil alors qu’elle retirait gants et bonnet. Merde, j’espère qu’elle va pas s’enticher de moi.

- Et ça ce n'est qu'une infime partie de mon être.

Super, je suis tombée sur une illuminée… Il va falloir que je mette fin à cette farce, songeait Jack. Mais il sentit un frisson d’épouvante lui remonter le long de la colonne vertébrale, alors qu’elle dévoilait ses mains et son visage. Il se retint de s’écarter précipitamment de la jeune femme et se contenta d’afficher un sourire de façade.

- Mais qu’est-ce que c’est ? Vous êtes malade ? Ou alors c’est… C’est un cosplay, c’est ça ?

- Vous voulez vraiment savoir ce que je suis et qui je suis ?

L’instinct de l’agent Taylor lui hurlait de s’enfuir en courant ou de flinguer cette gonzesse, mais Jack tenait à sa couverture. Finalement je faisais bien de me méfier de cette fille. Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Les phénomènes fantastiques ou paranormaux avaient toujours été exclus par l’esprit rationnel de l’Américain, qui y voyait des fariboles et des superstitions. Mais de toute évidence, ce qui se tenait devant lui n’était pas humain. Par réflexe, il porta la main à son aisselle gauche, pour y sentir le contact glacé mais rassurant de son Beretta, mais la retira aussitôt. Il espérait que la jeune femme n’y avait vu que du feu, qu’elle pensait qu’il se grattait, ou un truc du genre. Son corps tout entier se raidissait, ses pupilles se dilataient et son cœur battait la chamade; il ne savait que faire, que dire. Il choisit de la jauger.

- Oui, j’en meurs d’envie… !

Un peu trop direct, peut être. Mais c’était le premier mot qui sortait de sa bouche depuis cinq minutes qui n’était pas un mensonge. Restait à espérer qu’elle ne le trouve pas trop provoquant. Pour l’instant, elle ne semblait ni dangereuse, ni agressive, mais les choses pouvaient mal tourner.

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De l'endroit où il se trouvait, L'agent Taylor étudiait avec attention le comportement de Kazuha, les mains enfoncées dans les poche. Soit elle jouait bien la comédie, soit c'était vraiment une paumée. Et puis pourquoi Diable ces couches de vêtements ? Elle devait être sacrément frileuse... Ou alors elle avait des tatouages de yakuza à cacher, ou un truc du genre. Sans faire le moindre bruit, Jack contourna la jeune femme en prenant garde à rester dans l'ombre. S'approchant finalement de la porte en acier que Kazuha avait laissée entrouverte, il la claqua fermement afin de la faire sursauter ce qui naturellement, ne manqua pas. L’agent Jack Taylor profita de ce moment de surprise pour se composer une mine contrite et vaguement intimidée. Le vent de la soirée ayant contribué à lui rosir les joues, l’effet obtenu était parfait.

- Hum… Heu, je suis Jack Talor, on s’est croisé en salle des prof. Je voulais vous dire que… heu…

Tout en balbutiant, Jack s’approchait de Kazuha, les yeux baissés et l’observait à la dérobée. Sans nulle doute, elle serait dupe de son interprétation. Tirant une rose rouge de sa manche gauche à la manière d’un magicien, il la lui présenta de la droite. Ce genre de petits tours idiots, comme jongler avec des bouteilles en verre, escamoter des objets ou en faire apparaître était le passe-temps favori de Jack lorsqu’il s’ennuyait et il fallait avouer qu’il s’en sortait plutôt bien.

- Vous êtes tellement belle… Je voulais vous donner ça.

Sourire gêné de façade, échine légèrement courbée, mains qui tremblent… Pas mauvais Jack, pas mauvais du tout…

- Vous êtes célibataire ?

Même s’il n’en montrait rien, Jack était au bord de la crise de fou rire. A chaque fois qu’il jouait les puceaux romantiques, lire l’incompréhension puis l’exaspération sur le visages des piégées était un vrai régal. De toute évidence, la Kazuha ne voulait pas d’un amoureux transi… Mais elle allait devoir le supporter encore un moment.

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La cigarette au bec, le dos appuyé contre le grillage, l’agent Taylor profitait de la fraîcheur d’une brise d’automne. Il était dix huit heures passées et la jeune femme qu’il attendait n’était toujours pas arrivée, mais Jack avait bonne espoir qu’elle ne tarderait pas à pointer le bout de son nez. Jack n’avait qu’entraperçue cette « Kazuha Hitara » dans la salle des professeurs, mais quelques menues rumeurs couraient sur elle au lycée. Jack lisait en effet avec attention les blogs de ses élèves et certains d’entre eux mentionnaient un « comportement étrange et asocial », à propos de sa nouvelle collègue. Tanaka, le prof de math un peu trop bavard avec qui il prenait souvent le café lui avait fait remarquer que la jeune femme semblait débarquer littéralement de nulle part et qu’on ne lui connaissait aucun parent ni ami. Ceci suffisait à mettre la puce à l’oreil de l’agent Taylor. Cette Kazuha était soit une paumée, soit une nana au passé un peu trouble. Dans le cadre de la mission qui lui était confiée, il était de son devoir de faire un rapport sur elle le plus tôt possible.

Souhaitant étudier sa cible de très près, Jack avait utilisé un stratagème amusant, qui avait fonctionné à de nombreuses reprises. Il avait glissé dans le casier de sa jeune collègue, une enveloppe fleurie, contenant une déclaration d’amour à peine voilée un poème de Lord Byron, ainsi qu’un rendez-vous ce soir même, à l’endroit où il se tenait : sur le toit du lycée de Seikusu, lettre qu’il avait signé de ses initiales en lettres gothiques. De quoi faire frémir n’importe quelle romantique, ah ah, je me surpasse…

Comme à son habitude, Jack était admirablement bien vêtu. Il portait un costume italien bleu nuit, une chemise avec boutons de manchette soigneusement déboutonnée pour être plus à l’aise, des richelieus marron claires et une montre au prix indicible : ca payait plutôt pas mal, agent de la CIA. Néanmoins comme à son habitude, il avait négligé de se raser et de se coiffer, ce qui lui donnait l’air d’un ancien malfrat reconverti dans la spéculation en bourse, et pas trop d’un sage professeur de français. Mais ça tombait bien; il avait dans l’intention de bousculer un peu la jeune femme, afin de mieux la cerner. Il allait rallumer sa cigarette qui s’était éteinte lorsqu’il rêvassait, mais son ouïe fine l’avertit que quelqu’un s’approchait. Jetant précipitamment son mégot par-dessus le grillage, l’homme se retira dans un coin sombre d’où il pouvait voir émerger la personne qui s’approchait, sans que la réciproque soit possible. Il escomptait observer quelques instants le comportement de Kazuha avant d’entrer en contact avec elle.

- Allez ma grande montre-toi, je vais pas te bouffer, va.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 29 octobre 2012, 14:04:30 »
Ma foi, pas désagréable, cette petite journée de vacances improvisées. Rien de tel qu'un lundi chômé.

14h04

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: lundi 29 octobre 2012, 12:02:54 »
http://www.youtube.com/watch?v=Lf7yhnWOtPo

Une reprise sympa de Katyusha !

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 29 octobre 2012, 11:54:54 »
Je m'initie au flood. C'est une pratique extrême.

11h55.

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Salles de cours et bibliothèque / Surprises et chantage [Sayori Yukihiro]
« le: dimanche 28 octobre 2012, 16:18:55 »
- Non mais je rêve, quelle bande de bras cassés ! 

Penché sur la copie de français dont il s’évertuait à corriger la moindre des fautes (et Dieu sait qu’elles étaient nombreuses), Jack était à bout de nerfs. Non seulement ses élèves ne mettaient guère de cœur à l’ouvrage en classe, mais au surplus, leurs contrôles étaient proprement désastreux. Pourtant, le thème de rédaction qu’il leur avait proposé était on ne peut plus facile à son sens : « Qu’avez-vous fait mercredi, après les cours ? » Lassé, Jack se laissa aller contre le dossier de sa chaise en soupirant. Tâtonnant la poste de son veston posé, il en tira un paquet de malboro.

- Je crois que j’ai bien besoin d’une pause…

L’agent se leva pour s’étirer, une cigarette au bec. Par les fenêtres de la salle de cours, il pouvait voir le soleil se coucher derrière les arbres du parc du centre ville, raison pour laquelle il préférait rester corriger ses copies à l’école, plutôt que de de rentrer dans son petit appartement. Bien que ce fut évidemment formellement interdit, l’homme alluma la cigarette qu’il mordillait de son zippo et s‘assit tranquillement sur un pupitre. Il était bientôt 21h, et l’école était presque vide. Au dehors, on pouvait apercevoir quelques collégiens qui s’étaient attardés pour jouer au football. Absolument personne pour le surprendre dans… Quelque activité qui soit. Un sourire s’épanouissait sur les lèvres de l’enseignant sous couverture alors qu’une idée germait dans son esprit. N’y tenant plus, il s’éjecta du pupitre sur lequel il était assis un instant, puis en souleva la partie supérieure.

- Chassez le naturel, il revient au galop… Tiens  ? Une lettre d’amour ? Comme c’est mignon…

Plus qu’un travail, fouiner était pour Jack, une seconde nature. Rien ne l’amusait davantage que de pénétrer l’intimité des gens pour les percer à jour. Malheureusement, comme il ne tarda pas à s’en apercevoir, les casiers de ses élèves étaient très impersonnels. Il trouvait ça et là sarbacanes, cigarettes ou chewing-gum, mais rien de très croustillant. Mais lorsqu’il s’approcha du dernier pupitre, au fond à droite, près de la fenêtre, Jack Taylor savait qu’il allait trouver quelque chose. Ce bureau, c’était celui de Takeda, le geek de la classe. Laid comme un pou et associable, Takeda était membre du club et revendiquait plus de deux cent photos de filles nues.

- Voyons si ce petit con m’a laissé un échantillon… Ah mais… ! 

Le moins que l’on puisse dire était que le pupitre de Takeda était une véritable mine d’or. Dans une petite boîte rectangulaire soigneusement rangée à côté de ses cahiers, se trouvaient des dizaines de clichés volés. On pouvait y apercevoir pêle-mêle cuisses dénudées, petites culottes ou jupes retroussées. Cependant, aucune des filles photographiées n’étaient véritablement identifiable, à l’exception d’une seule, que Jack mis de côté, le temps de parcourir celles qui restaient. Lorsqu’il y revint, il lui sembla évident qu’il s’agissait probablement de la pièce maîtresse de la collection de Takeda. On pouvait y voir apparaître une gamine de 15-16 ans, de dos, avec de très longs cheveux mouillés qui laissaient deviner un petit fessier rond et blanc. La jeune fille tournait légèrement la tête sur le côté, probablement consciente d’être observée, ce qui laissait apparaître une partie de son visage juvénile. Trois secondes suffirent à l’extraordinaire mémoire visuelle de l’agent Jack Taylor pour identifier la jeune fille.

- Yukihiro… Sayori, c’est ça. De la classe 4C. Je l’ai vue quand j’ai assurée le remplacement du cours d’anglais le mois derniers, ce me semble…Mignonne la gamine.

Ce n’était un secret pour personne : l’agent Taylor avait toujours eu un faible pour les toutes jeunes filles, surtout d’apparence fragile et menue et avec, de préférence, un caractère bien trempé. Sayori devait avoir des petits seins qui tiendraient dans la paume de sa main, une chatte fraîche et juteuse et un anus bien étroit. L’homme ne put s’empêcher de porter sa main à son entrejambe. Son monumental phallus gonflait à vue d’œil, et formait déjà une bosse monstrueuse sous son pantalon. Jack hésita un moment, puis ouvrit sa braguette afin d’extirper son vit. Si son érection n’en était pas encore à son paroxysme (un tel pénis nécessitant un énorme afflux sanguin), sa queue prenait déjà, en longueur comme en largeur, des proportions proprement inhumaines. Veinée et agitée de spasme, elle était surmontée d’un gland gonflé et violacé du bout duquel perlait déjà quelques gouttes de semence épaisse.

S’emparant de son trophé, Jack s’en retourna à son bureau, sur lequel il posa la photographie de l’adolescente. Il se débarrassa rapidement de sa veste et de son pantalon pour empoigner son vit d’une main de fer et commencer à se branler avec violence. Le pré-sperme qui dégoulinait de son méat s’insinuait dans ses doigts et coulait jusqu’à ses testicules, ce qui donnait à sa masturbation un bruit obscène et sonore. Debout dans la pénombre, l’enseignant s’oubliait, alors que sa silhouette fantastique se découpait sur les murs de sa classes. Des râles et mots indistincts lui échappaient alors que l’orgasme approchait.

Tout aussi méticuleux qu’il était, Jack n’avait pas songé à verrouiller la porte de la salle de classe et était loin de se douter qu’il était sur le point de se faire surprendre - si ce n’était pas déjà le cas.

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Archives / Re : Interview: Inscriptions!
« le: vendredi 22 juin 2012, 02:26:48 »
Moi aussi, tiens !

238
"Et hop ! Ca, c’est fait", se félicita Jack; il ne s’était donc pas trompé. Il fallait dire que le fait d’avoir vécu à Paris pendant deux ans, et d’avoir aimé - et manqué d’épouser - une française, jouait en sa faveur. Les très légers signes qui trahissaient la tempête intérieure de Mélanie ravissaient l’Américain : la dame de glace n’était donc pas inébranlable ! Naturellement, celle-ci n’avait nullement l’intention de se laisser faire, et c’est d’un ton glacial qu’elle lui répondit.

"Votre humour insipide ne mérite pas même le moindre haussement de sourcil."

Jack s’apprêtait à rétorquer qu’il ne plaisantait pas - ce qui était la stricte vérité, mais une fois de plus, elle ne lui laissa pas l’occasion d’ouvrir la bouche.

" Ni votre charme..."

« Ah, vous avez souri ! », remarqua Jack, tout sourire, en la pointant de l’index. « Pas la peine de nier, je vous ai vue. Vous savez ce qu’on dit à ce propos… » Ces trois derniers mots lâchés par la jeune femme étaient pour elle le plus terrible des aveux; Jack savait à présent qu’il plaisait à l’infirmière, ce qu’il ne se priva pas de lui faire comprendre en soutenant son regard vert de gris pendant de longues secondes.

"Venez. Il est temps de passer à quelques examens cardio-vasculaire de routine. "

Lorsque la jeune femme quitta son siège, l'agent de la CIA ne l'imita pas, mais la suivit du regard en se passant imperceptiblement la langue sur les lèvres. Ce cul ! Il lui tardait tant de le pétrir...

"Si je réussis à vous faire sourire une deuxième fois, j'ai droit à une récompense ?" lança-il d'un air badin, alors qu'il se débarassait de sa veste pour emboîter le pas à la jeune femme. "Au fait, c'est comment votre prénom ? Catherine ? Joséphine ?" en trois enjambées, il l'avait rattrapée et marchait à présent à sa hauteur. "Marie ? C'est mignon Marie, ça vous irait bien."

" Je vais dans un premier temps vous demandez de vous déshabiller. Il me faut prendre votre taille actuelle, ainsi que votre poids, et vos vêtements et chaussures pourraient fausser les mesures. Je vous ferai ensuite passer un test cardiaque, afin de pouvoir mesurer votre pouls avant et après effort. Sans oublier bien sûr l'alcootest... "

L’agent Taylor eût un rire bref, alors qu’il commençait tranquillement à déboutonner sa chemise« le corps d’un vrai mec, ça va te changer des crevettes que t’auscultes d’habitude, tiens », songea-il, en admirant la chute de reins de Mélanie. Il se demanda si elle se sentait menacé. Il espérait que ce fut le cas, et se décida à lui faire une petite frayeur. Il s’approcha à pas de loup de la jeune femme, et approcha son visage de la nuque de celle-ci, expirant délibérément son souffle chaud dans ses cheveux châtains clair.

« Où est-ce que je pose mes fringues ? » L’agent Jack Taylor avait ôté sa chemise; son corps athlétique dominait la silhouette de Mélanie qui paraissait bien frêle en comparaison et exhalait une odeur mâle et entêtante. D’un simple geste, il pouvait briser cette poupée de glace, lui fourrer sa queue dans la bouche avant de la baiser brutalement. Mais bien qu’il bandât à présent comme un âne en rut, il était bien déterminé à ne pas la prendre avant que ses yeux de biche ne le supplient de le faire.

"Et non, mad'moiselle, je ne bois pas en service", ajouta-il, laconique, avant de se rendre compte de sa légère bourde; cette fichue gonzesse commençait à lui faire perdre les pédales. Il restait à espérer qu'elle n'ait rien remarqué.

239
En voyant débarquer la plantureuse européenne, nul autre que Jack eût écarquillé les yeux de stupéfaction; mais l'agent Taylor n'était pas n'importe qui. Aussi accueillit-il Mélanie avec un sourire contrit du plus bel effet. Désolé, il l'était bien sûr, au moins un petit peu... Mais le fait d'avoir fait poireauter une aussi belle plante le ravissait au plus haut point. « Ca doit pas t’arriver souvent ça, ma belle… ! » songea-il, amusé. La jeune femme l’apostropha d’une voix peu amène et l’invita à le suivre, sans même lui laissez le temps de répondre. Foutrement contrariée la donzelle ! Un large sourire que l’infirmière ne pouvait pas voir éclaira le visage de Jack; cette petite semblait avoir un caractère bien trempé.

« Je suis vraiment navré », avança-il, sur un ton exagérément affecté, les yeux rivés sur les oscillations du postérieur de Mélanie. Réfrénant son envie de la saisir par les hanches et de la plaquer contre un mur, Jack pris son mal en patience; prendre une fille de force n’avait aucun intérêt à ses yeux, tant il aimait le challenge. Cette nana, elle se mériterait, se promit-il, alors qu’il s’assit en face de la jeune femme avec une nonchalance presque insultante. Lorsqu’elle lui balança son dossier médical, Jack haussa un sourcil, sans quitter l’infirmière des yeux. Mélanie semblait vraiment décidée à lui faire son numéro de femme-iceberg, il allait falloir ruser. Un léger sourire flottait à nouveau sur ses lèvres alors qu’il déchiffrait son dossier avec application. S’il ne se sentait pas encore assez sûr de lui pour le parler, Jack étudiait le japonais intensivement depuis plusieurs semaines et commençait à savoir le lire. Aussi n’eût-il aucun souci à le traduire et à constater que les informations qu’il contenait étaient exactes. Tenant toutefois à désarçonner la jeune femme, il releva ses yeux bruns vers elle, et l’interrogea en français.

« Je suis désolé mademoiselle, mais je ne suis pas sûr de comprendre ce que cette phrase signifie… »

L’accent de la jeune femme bien que gommé par de probables longues années de pratique du japonais n’avait pas échappé à Jack. Espérant lui décrocher un sourire, il referma soigneusement le dossier, posa le stylo sur ce dernier et se laisser aller contre le dossier de sa chaise, observant les mains croisées de la jeune femme, qu’elle avait fort jolies. Jack avait toujours aimé les belles mains. Celles de Mélanie, il les imaginait assez facilement autour de son cou, en train de griffer son torse ou de presser sa queue.

 « Je plaisante, c’était juste pour voir si vous pouviez être encore plus énervée; vous êtes charmante quand vous froncez les sourcils », lâcha-il finalement avec un sourire désarmant.

240
Le parc et son sous-bois / Re : Un étrange contact (PV Magikya)
« le: mercredi 20 juin 2012, 16:44:34 »
A l’endroit exact ou devait se trouver son contact, se tenait une gamine de dix-huit ans, tout au plus, vêtue on ne peut plus légèrement d’une petite robe blanche qui mettait en valeur des formes avantageuses. L’agent Jack Taylor refoula immédiatement les pensées tendancieuses qui lui traversaient l’esprit pour analyser la situation de la façon la plus objective possible. Ce ne pouvait pas être un hasard; le parc allait fermer dans quelques minutes et une donzelle en tenue légère faisait subitement apparition sur le lieu de rendez-vous qui lui avait été indiqué. « rendez-vous …? » Mais oui, c’était probablement ça ! Adoptant la démarche chaloupée du texan moyen, Jack Taylor s’approcha de la jeune femme en faisant de grands gestes, exagérant à outrance l’accent américain.

« Hey, Kaori- dear ! C’est moi, Jimmy, je suis là ! »

Connaissant l’humour parfois étrange des japonais, Jack ne doutait pas que son contact lui avait fait envoyer cette gamine pour le mener à un endroit plus caché, probablement le sous-sol d’un bar miteux. Ou peut-être même que c’était cette petiote qui devait lui donner le nom du mec qu’il allait devoir surveiller. Il fallait reconnaître que c’était ingénieux : quoi de mieux qu’un rendez-vous amoureux feint pour dissimuler un bref échange d’information ? Décidé à jouer habilement le jeu, l’agent Taylor saisit avec douceur la main de Magikya afin d’y déposer un baiser.

« Vous m’avez tellement manqué ! J’ai un merveilleux cadeau pour vous… »

Le mot clé avait été prononcé, mais Jack s’arrêta net. Quelque chose clochait. Il leva les yeux vers la chevelure violette de la jeune fille et fronça les sourcils. Des cheveux violets ? Plutôt inhabituelle comme teinture… Peut-être un cosplay ? Son étonnement redoubla lorsqu’il s’aperçu que les yeux de l’adolescente étaient -eux aussi- violets. « probablement des lentilles… » Il n’eût guère le temps d’approfondir ses réflexion puisque la cloche annonçant la fermeture du parc le fit sursauter. Jack avait gardé la petite main de Magikya dans sa grosse paluche; il l’entraîna gentiment vers la sortie du parc.

« Voudriez-vous que nous allions ailleurs ? Je connais un petit bar sympathique, pas très loin ».

A peine eût-il prononcé ces derniers mots que Jack s’aperçut qu’il bandait ce qui, en raison de la taille colossale de son vit était plus que visible. Tout en entraînant la jeune femme à sa suite, il la dévorait du regard à la dérobée. Probablement que son contact ne serait pas trop fâché qu’il s’envoie son intermédiaire. Et puis après tout, c’était l’affaire de quelques minutes seulement, dans une ruelle sombre… Mais avant toute chose, il lui fallait recueillir les informations dont il avait besoin. Sa queue attendrait.

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