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Messages - Jack Taylor

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La gêne de la petite Shii amusait beaucoup Jack. Ces petites ingénues qui faisaient encore des ronds de jambes avec un braquemart au fond du trou de balle n'étaient pas rare au Japon. En occident, une fois leurs barrières franchies, les femmes avaient tendance à perdre plus facilement le contrôle et à gigoter comme des chiennes, ignorant le monde qui les entourent. Quant à Mélinda, elle semblait accepter son énorme vit avec grand plaisir. De toute évidence, la petite avait l'habitude de se faire prendre le cul, étant donnés ses gémissements équivoques. Lorsque finalement elle tourna son visage vers lui, l'agent Taylor constata qu'elle était jolie comme un coeur, même s'il émanait quelque chose de sauvage de ses traits délicats. Répondant à sa demande implicite, Mélinda ondulait des hanches, et remuait son petit cul vers l'arrière. Lentement mais sûrement, Jack sentait sa grosse queue s'enfoncer au plus profond des entrailles de la lycéenne. Lorsqu'elle l'agrpipa par la nuque, il eût un hoquet de surprise : ce n'était pas des ongles qu'elle avait, mais de véritables griffes ! "T'es une vraie sauvage, ma salope", lança-il, alors qu'une vague de plaisir l'envahissait. L'agent Taylor était suffisamment expérimenté pour apprécier les délices d'une sexualité brutale, mélangeant plaisir et douleur.

Une bonne moitié de sa bite gonflée était à présent enfilée dans l'arrière train de la lycéenne qui l'encourageait de mots crus. Et vulgaire avec ça. Jack se passa la langue sur les lèvres. Cette espèce de pute avait retourné son petit jeu contre lui, et prenait un malin plaisir à le rendre fou en s'empalant avec une lenteur infinie sur son pieu. Il se pencha par dessus l'épaule de Mélinda, pour lui susurrer quelques mots à l'oreille, sur un ton d'une douceur infinie, qui tranchait avec l'extrême obscénités de son langage. "Ecoute moi bien, petite chienne. Je vais te baiser le cul si fort que tu vas gueuler comme une truie. Puis je me viderai les couilles dans ton petit trou, encore et encore." Puis il se redressa, et extirpa sans mal sa queue du fondement de l'adolescente, lui écartant les fesses afin de contempler son anus béant, trempé de salive et d'un peu de foutre. Il y envoya une petite claque qui produisit un infâme son mouillé, puis présenta de nouveau son gland violacé devant son anus. Ah elle voulait se faire défoncer ? Elle allait être servie. Jack l'agrippa fermement par les hanches, puis s’enfonça brutalement en elle jusquà la garde, faisant claquer ses bourses pleines contre son cul. "Oh putain", lâcha-il, haletant. Le choc avait été si violent, qu'il avait envoyé Mélinda s'enfoncer encore plus profondément entre les fesses de sa camarade. Jack, en nage, commença à se mouvoir doucement dans le fondement de sa partenaire, afin de l'habituer à l'épaisseur de son sexe. Elle était si chaude et étroite ! Il n'y avait rien au monde que Nathan préférait, que de sodomiser des adolescentes au corps gracile avec une queue qui faisait le diamètre de leur avant bras.

Cédant à une impulsion subite, l'agent Taylor remonta l'une de ses mains le long des hanches de la jeune femme pour lui caresser le ventre l'espace d'un instant, puis de triturer un mamelon, et enfin de lui saisir le menton pour tourner le visage de Mélinda vers lui. "C'est parti", lâcha-il, avant de l'embrasser à peine bouche, forçant les lèvres humides de l'adolescente avec sa langue. L'instant d'après, il imprimait un mouvement vigoureux à son bassin, faisant tressauter le corps de l’adolescente à chaque coup de butoir. Ses yeux plongés dans les siens, il la besognait à présent avec une rage et une vigueur qui tenait davantage de l'animal en rut que de l'être humain.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: dimanche 11 novembre 2012, 13:43:51 »
Vraiment sympa la tenue de la première photo !

213
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 10 novembre 2012, 01:12:01 »
En tant que publiciste pratiquant, et connaissant mon GAJA par coeur, je ne peux laisser impunie des critiques aussi virulentes à l'encontre du droit public ! Cela dit, le droit UE par contre, c'est VRAIMENT de la merde. Et quelque soit le prof, en plus. Mais sinon ouais, il vaut mieux quand même repartir avec son master, quitte à se faire suer en fac de droit, une année de plus ou de moins...

01h12.

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De la même manière que Mélinda ne devait avoir qu'une vague idée de l'homme qui lui bouffait le cul, Jack n'avait toujours pas aperçu le visage de l'adolescente qu'il s'apprêtait à sodomiser. Bah, cela viendrait bien assez tôt. Indubitablement, le traitement qu'il procurait à cette dernière était efficace, vu les gémissements licencieux qui lui échappaient.

« Fourre-là moi, vas-y... Encule-moi comme une grosse chienne, allez ! Remue-toi ! »

Jack, la face écrasée dans la raie du cul de l'adolescente dont il lapait littéralement l'anus, produisant un bruit mouillé des plus obscène, ne put s'empêcher de sourire. Cette petite pute savait ce qu'elle voulait, et ce n'était pas pour lui déplaire. Jack avait eu de nombreuses amantes et les femmes trop passives commençaient sérieusement à le lasser. Mélinda avait du caractère ; la baise qu'il allait s'ensuivre s'annonçait mémorable. Lorsqu'il se recula, l'anus de l'adolescente dégoulinait de salive, béait légèrement et frémissait au contact des courants d'air. Satisfait, l'agent Taylor claqua fermement le postérieur de Mélinda à deux reprise, rougissant à nouveau sa peau laiteuse. Puis il se redressa, humecta son majeur et son index et écarta à nouveau les fesses de la jeune fille pour y fourrer ses doigts qui n'y rencontrèrent que peu de résistance. Ce faisant, il observait le visage de la petite Shii, déformé par la jouissance et lui adressa un clin d'oeil. Son tour viendrait. Plus impatient que jamais, Jack ne ménageait pas le cul de Mélinda qu'il bourrait vigoureusement, écartant ses doigts en V à l'intérieur de son fondement afin d'en assouplir les sphincters. Il profita d'un moment ou elle allait à la rencontre de son partenaire, la perforant de son vit, pour se plaquer contre elle de tout son poids, l'empêchant de se retirer.

Jack Taylor avait placé son gland brûlant et violacé contre l'anus de l'adolescente ; quelques gouttes de sperme s'échappaient déjà du méat et se mélangeait à l'abondante salive qui maculait l'orifice. "Ne bouge pas", lui intima-il, d'un ton sans réplique. Guidant son phallus colossal d'une main habile, il en appuya l'extrémité contre le fondement de Mélinda, puis avança progressivement le bassin vers l'avant. Il sentait sa grosse queue déformer l'anus, et enfoncer progressivement les chairs de l'élève. C'était si tiède et douillet qu'un petit jet de foutre s’échappa sa queue gonflée. Mais le temps n'étant pas encore venu d'inonder le cul de sa partenaire, Jack resserra l’étreinte que sa main exerçait sur son braquemart.

Lorsqu'un bon tiers de son phallus eût perforé l'anus de la jeune femme, Jack se pencha, pour venir noyer son visage dans les cheveux de son amante. D'une main, il lui maintenait fermement la taille. De l'autre, il passa à nouveau sous l'uniforme de la lycéenne pour attrapa l'un de ses petits seins et en faire rouler le téton entre son pouce et son majeur. "Tu la sens bien là, ma grosse queue, petite pute ?" Dans le fondement de l'adolescente, le vit de l'agent Taylor palpitait, déformant à l'envie son trou du cul. Jack mourrait d'envier de lui limer l'arrière train, mais le rapport de force qui s'instillait entre eux l'excitait encore davantage. Il voulait que cette petite salope dominatrice s'empale sur sa bite en gémissant, raison pour laquelle il restait absolument immobile. "Encule-toi ma belle, remue ton cul sur cette grosse queue, va." C'est à son oreille qu'il avait murmuré ces derniers mots. Se penchant encore davantage, il soufflait son haleine brûlante dans le cou de Mélinda et, sous le coup d'une impulsion subite, vint lui mordiller la peau.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 08 novembre 2012, 17:12:00 »
Tiens des camarades juristes. Si vous avez besoin d'un coup de pouce sur un truc, hésitez pas : je suis chargé de TD ;).

17h25.

Edit : j'ai cherché dans mes notes et pour un sujet semblable, j'avais donné à mes étudiants une correction assez succincte. Je ne te conseille pas de reprendre mes titres (selon le chargé, il les trouvera pédants/littéraire), mais juste d'y piocher le concept et de croiser ça avec les bons conseils d'Alice. Je n'ai plus les A et B, mais je me souviens globalement ce que j'y avais mis.

I- la séparation des pouvoirs : régimes et idéal

A- Pourquoi


En gros j'y expliquait l'intérêt et les enjeux de la SDP d'un point de vue historique et conceptuel. Bref, la base de la base du cours.

B- Comment

Quels types de SDP ont été mis en places par qui, quels sont leurs spécificités. (SDP souple, rigide, régime parlementaire/ présidentiel, blablabla)

Super transition sur la différence entre régime et pratique constitutionnelle.

II- La séparation des pouvoirs : pratiques et limites

A-Objectif difficilement atteignable


Les joies du parlementarisme rationalisé, le fait majoritaire les lobbies américains, etc.
 
B- Questionnement sur l'objectif

Ouverture. Digression sur une possible "collaboration" des pouvoirs. Avec par exemple le rôle de la Cour des Comptes en France, équidistante du parlement et du gouvernement, etc.

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Un portable invisible à l'oeil nu ? Mouais, il devait quand même y avoir un moyen de bousiller cette saloperie. Quant à Kazuha eh bien... Soit on la renvoyait là-bas avant, soit... En vérité il n'y avait aucune autre alternative que de de l'éliminer. Il valait donc mieux la jouer fine avec elle et tâcher de lui ménager une sortie diplomatique. Hybride ou pas, abattre une gonzesse qui ne demandait rien à personne ne lui plaisait guère. La suite de son monologue l'amusa, et un léger sourire flottait sur ses lèvres lorsqu'il lui répondit.

- Rassure-toi, je vois pas bien ce que je voudrais aller faire là-bas. Ca m'a pas l'air d'être l'endroit idéal pour un pique-nique.

Le passage sur ses camarades l'inquiétait un peu mais de toutes les manières, elle ne semblait pas avoir d'information supplémentaires à lui révéler, ou bien n'en avait pas l'envie.

- Impératrice. Carrément.

Dubitatif, Jack détailla la robe de la jeune femme en haussant un sourcil. Kazuha faisait référence à des concepts qui lui étaient étrangers. Le signe cousu sur sa robe lui rappelait vaguement les films fantastiques qu'il avait pu regarder à la télévision lorsqu'il était môme, mais pas davantage. Il choisit de garder de silence, hochant gravement la tête. L'instant d'après, elle s'était approchée de lui, posant sa main sur son épaule. Le corps de l'agent Taylor était tendu comme un arc, les muscles bandés à l'extrême. La tournure que prenait les évènements ne lui plaisait pas trop et les mots qu'elle prononça ensuite, encore moins. Elle était plus petite que lui, probablement bien plus légère, mais Jack sentait qu'elle ne bluffait pas : elle avait sûrement les moyens de lui ouvrir le bide, avec les griffes qu'elle se trimbalait.

Il hésitait carrément à la flinguer. Sa façon de passer de la paumée à la psychopathe en puissance en l'espace de quelques minutes le déroutait et il ne tenait pas à savoir si elle avait l'intention de mettre ses menaces à exécution. Il eût un rictus en songeant qu'au moins, il avait un avantage sur elle : vu la manière dont elle agissait avec lui, elle devait visiblement le croire totalement inoffensif. "Et le fait est que je ne suis pas un humain tout à fait normal... Enfin il paraît." Lorsqu'elle approcha son visage du sien, le corps de Jack réagit par réflexe. Il dégagea le bras de la jeune femme d'un rapide coup du plat de la main gauche, repoussa Kazuha d'une vive poussée au niveau du plexus et recula de deux pas, alors qu'il s'emparait de son berreta qu'il arma instantanément pour mettre la dragonne en joue.

- Alors là, je pense qu'on va se calmer.

Jack ne souriait plus. Le visage fermé, il n'attendait qu'une occasion de faire feu pour presser la détente.

- Tu as été plutôt franche avec moi et c'est aimable de ta part. En ce qui me concerne, je ne suis pas simplement professeur de collège. Je travaille pour le gouvernement américain. Et je n'aime pas qu'on me menace. Maintenant je vais te poser une question simple. Nous allons reprendre cette conversation là où elle s'est arrêtée, mais auparavant, je te préviens que si tu t'approches à moins d'un mètre de moi, je te descends sans sommation. C'est compris ?

Etant donné que Kazuha débarquait fraîchement d'un monde onirique, on s'en foutait pas mal, de sa couverture : ça n'était pas elle qui allait le dénoncer.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 06 novembre 2012, 10:41:16 »
@Lyan : tu es le seul à pouvoir déterminer savoir si tu as des sentiments ou pas pour une fille. Mais après, pour t'aiguiller tactiquement dans des choix, je dirais que la Friendzone est un endroit dont on ne revient pas. Ou alors rarement.

10h41.

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Tout à son plaisir, l'enseignant remplaçant n'avait pas entendu son élève arriver. Concentré sur la photo de celle-ci, il poussa subitement un grognement inhumain alors que sa silhouette massive se contractait. L'instant d'après, des flots de foutre brûlant s'échappaient de son méat pour arroser le pupitre et le cliché de Sayori. Comme d'habitude, ses orgasmes était foudroyants et hébété, il frottait son gland humide contre la photographie, s'imaginant qu'il caressait de sa verge le visage de l'adolescente. Il lui fallut trois bonnes secondes pour réaliser que la lumière était allumée et deux supplémentaires pour oser se retourner. "Putain de merde", lâcha-il, ne trouvant rien de plus pertinent à dire, lorsqu'il découvrit l'intruse. Il s'agissait de la même adolescente sur laquelle il venait de se vider les couilles. Mais en chair et en os, cette fois.

Le cerveau de Jack avait beau fonctionner à cent à l'heure, il ne voyait guère de moyen de se sortir de cette inextricable situation. Il n'allait tout de même pas supprimer l'une de ses élèves. Surtout une aussi mignonne. Cependant, il ne pouvait pas non plus la laisser s'enfuir et raconter ce qu'elle avait vu à ses camarades ou pires, au proviseur de l'établissement. Il n'osait pas imaginer les conséquences que cela pouvait avoir sur sa couverture, voire sur sa vie. il leva les mains, et présenta ses paumes en signe de paix "Je crois que c'est une erreur. Je... pensais être seul, puis j'ai trouvé cette... photo dans un pupitre. Je ne savais pas que c'était toi !"

Mais de toute évidence, l'élève ne semblait pas avoir dans l'idée de parlementer avec lui, et reculait lentement vers la sortie de la salle. Il n'avait pas le choix. Avec une promptitude exceptionnelle, il se jeta en avant, sauta par dessus le pupitre qui lui bouchait le passage et coupa la trajectoire à Sayori, collant son dos contre la porte de la classe. Il n'y avait pas d'autre issue et, sauf à sauter par la fenêtre, l'adolescente ne pouvait plus s'enfuir. "Attends un peu. Je suis désolé, mais je ne peux pas te laisser partir. Du moins pas avant que nous soyons parvenu à un arrangement." Jack affichait une mine impassible, et seul son phallus en berne qui pendait sur sa cuisse cassait le sérieux de sa posture. "Qu'est-ce que tu veux ? De la thune ? Un voyage ?" De l'argent, ça il pouvait lui en donner. Son compte en banque était blindé et il pouvait débloquer des fonds supplémentaire en cas de force majeure. C'était un cas de force majeure. Restait à espérer que la gamine coopère. Sinon... Eh bien sinon Jack ne savait absolument pas ce qu'il allait faire.

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Jack, à genoux, la tête entre ses coudes attendait sa "punition" avec impatience. son anus palpitait il frémissait d'impatience. Les sons de vêtements froissés qu'il entendit, l'informèrent que Kaname se déshabillait. "Dépêche-toi", lui intima-il, essayant de l’apercevoir en regardant entre ses propres jambes. Lorsqu'enfin il sentit les petites mains de l'adolescente lui écarter soigneusement le cul, il soupira d'aise. Un léger courant d'air lui caressait le trou de balle et les couilles, ce qui fit remonter un léger frisson le long de sa colonne vertébrale. "Ah ouais, putain..." l'adolescente dardait à présent sa petite langue rose contre la paroi de son anus puis, finalement, l'y enfonça, arrachant un râle rauque à l'agent Taylor. Il poussait malgré lui son postérieur vers l'arrière afin que de facilité l'intrusion, alors que le bout de son gland frottait contre le tissu immaculé des draps, sur lequel il laissait de légers sillons de sperme brûlant. Humectant son pouce et son index, il transféra le poids de son corps massif sur son bras droit, afin de pouvoir se pincer alternativement les tétons de la main gauche. Vint enfin le moment tant attendu ou Kaname présenta son doigt, qu'elle poussa progressivement contre les sphincters de sa "victime". Les parois de l'anus de jack s'habituait progressivement à cette pénétration; si au début son cul se dilatait et se refermait alternativement, emprisonnant l'index de la jeune femme, il finit par se détendre complètement, alors que Kaname lui pressait la prostate.

Jack râlait comme un damné. Il ne se branlait pas et pourtant il se sentait proche de l'éjaculation, tant la stimulation de Kaname était efficace. La situation dans laquelle il se trouvait était si obscène et immorale qu'il en perdait la tête : se faire masser la prostate par une ado de tout juste seize ans juste avant de l'enculer sauvagement était tout simplement divin. Frémissant, tout à son désir, il ne prêta pas attention au pouce inopportun qui obstruait son méat. Soudain, il se figea, alors que son anus se resserrait brutalement autour du doigt qui s'y trouvait. "Ouais, ouais... Ahhh !" l'orgasme le foudroya mais, au lieu d'expulser comme à son habitude des quantités phénoménales de sperme, son phallus monstrueux avait d'invraisemblable soubresauts et enflait à vu d'oeil. La sensation qu'il ressentait était à mi-chemin entre la douleur et l'intense félicité, d'autant plus que Kaname continuait de faire aller et venir son doigt effilé dans son trou de balle. " Mais... Qu'est-ce que tu fous, espèce de petite pute ?"

Sans crier gare, elle relâcha la pression de son pouce, ce qui libéra un puissant jet de foutre que Jack choisit de tarir immédiatement en attrapant sa queue et en la compressant le plus possible. La verge semblait être sur le point d'exposer et Jack haletait comme jamais...Mais il était déterminé à se vider dans la bouche de cette petite chienne insolente. Fort heureusement pour lui, elle se glissa entre ses jambes pour prendre son gland violacé et ardent entre ses petites lèvres. Jack ricana. "Attends un peu de voir ce qui arrive ma jolie, tu feras la moins la malign...Ahhh !" l'adolescente venait d'introduire sans autre forme de procès, deux autres doigts supplémentaires dans son fondement. Jack aimait à se sentir rempli. Il agitait le postérieur et sa verge dans tous les sens, les yeux révulsés et la bouche entrouverte. "Branle-moi bien le cul avec tes petits doigts...Aah... Aaargh !" Jack se raidit à nouveau, mais cette fois là, il n'y avait plus rien pour contenir son éjaculation et ce furent des flots de foutre brûlant qui se déversaient dans la bouche de Kaname, qui avait été trop gourmande, puisque le sperme débordait de ses lèvres et s'écoulait le long de ses joues et de son menton. Le jet ne semblait pas vouloir se tarir et sa queue monstrueuse était agitée de violents soubresauts.

Retirant son sexe de la bouche de kaname, jack orienta ses derniers jets de foutre vers le visage et le buste de l'adolescente, prenant un plaisir malsain à souiller ce corps juvénile. Lorsqu'enfin ce fut terminé, et que Kaname eût ôté ses doigts humide de son anus béant, Jack se redressa sur les genoux. Sa queue avait perdu de sa superbe et pendait pour l'heure sur sa cuisse, mais elle restait impressionnante. Contemplant son amante avec un mélange de fureur et de désir, L'agent Taylor s'épongea le front de son avant bras. "Eh bien ma foi, on dirait que je n'ai pas perdu mon argent avec toi. " Puis il se pencha sur elle et l'embrassa fougueusement, goûtant à son propre sperme sur les lèvres de l'adolescente, alors qu'il faisait rouler l'un de ses tétons entre son pouce et son index. De l'autre main, il voulut sans tarder s'aventurer sans tarder entre ses jambes mais, au lieu de la petite chatte trempée à laquelle il s'attendait, il ne rencontra que le vide. La première sensation qui lui revint en mémoire était celle des poupées Barbie de sa soeur dont il avait souvent frotté l'entrejambe, étonné de constater qu'elles n'étaient pas construites comme sa grande soeur. "...Hein ?" Croyant s'être trompé il se retourna prestement. "Mais qu'est-ce que c'est que ça ?" demanda-il doucement, pour ne pas brusquer Kaname. En lieu et place de vagin, il n'y avait... Eh bien absolument rien. Davantage étonné que choqué, Jack retira sa main, et se laissa tomber sur le lit à côté de l'adolescente, fixant un point invisible au plafond. "Tu m'avais caché cette petite particularité anatomique Kana." Est-ce qu'il y a quelque chose d'autre que je dois savoir ?" ajouta-il. Puis, conscient de la rudesse de ses mots, il tourna vers elle son visage souriant. "Comment je fais pour te baiser, moi ?"

220
Persuadé de n'être toujours pas repéré, Jack Taylor s'abreuvait ses paroles obscènes des lycéennes. S'enhardissant à chaque seconde, il s'était détaché de l'armoire qui le dissimulait jusqu'à lors et son imposante silhouette projetait des ombres fantastiques sur les mur de la salle de classe, d'autant qu'il s'activait toujours sur son vit d'une main ferme et vigoureuse. Sans vraiment s'en rendre compte, il avait hasardé quelques pas vers l'avant, franchissant le point de non-retour. Il lui était impossible dès lors de ne pas se faire remarquer, mais il n'en avait cure. Il haletait dans la pénombre, maudissant la maîtresse qui semblait déterminée à prendre tout son temps. Lorsque finalement, elle présenta son engin devant l'anus de sa partenaire, il poussa  un soupir de soulagement. Il était suffisamment proche à présent pour voir le gland du phallus de l'adolescente s'écraser contre la rosette de son amante puis écarter doucement ses chairs afin de fouiller ses entrailles. La petite sodomisée devait être une pratiquante régulière, eu égard à la facilité avec laquelle elle négociait la queue de sa maîtresse dans son fondement. "La queue ? Attends, je rêve... ?" Jack avait beau ne pas en croire ses yeux, c'était bel et bien une bite gorgée de sang, et de bonne taille, que la maîtresse avait entre les jambes. Lorsque cette dernière fit chuter la jupe de son uniforme réglementaire au sol, elle dévoila un adorable petit cul d'aspect virginal - bien que Jack doutât très largement de cette apparence - mais l'absence de sangles au niveau de son bassin confirmèrent ses soupçons. Il ne s'agissait pas d'un godemiché. "Peut-être que c'est un garçon ? Elle est frêle et sa voix est aiguë, mais ça ne serait pas la première fois que je prends un homme pour une femme...Bah !" officieusement bisexuel, il arrivait assez régulièrement à Jack de coucher avec des hommes efféminés, sa pratique sexuelle favorite étant sans appel, la sodomie.
 
La claque que l'adolescente s'envoya sur le cul le fit sursauter. Elle ne s'était pas ménagée puisque ses fesses rosirent rapidement sa peau pâle. Sans véritablement savoir s'il répondait à un appel de la jeune femme ou à ses pulsions propres, l'agent Taylor franchit en un instant les quelques pas qui le séparaient encore du couple. Sans dire un seul mot, il colla sa verge monstrueuse contre le dos de la maîtresse, qu'il attrapa doucement mais fermement par les hanches. Du bassin, il accompagnait les coups de butoir de l'adolescente, lesquels résonnaient jusque dans ses couilles. Penchant la tête vers l'avant, il laissa son nez se perdre dans les cheveux de Mélinda, humant son odeur avec avidité, tandis qu'il contemplait les va et viens de sa jolie queue dans l'anus de sa partenaire. "Magnifique", laissa-il échapper à demi-mot, d'une voix rendue rauque par l'excitation. Remontant l'une de ses mains au niveau de la poitrine de Mélinda, Il haussa un sourcil lorsque sa paluche se referma sur un sein on ne peut plus rebondi, dont il tritura immédiatement le téton entre son pouce et son index. Jack Taylor laissa échapper un petit rire, avant de déposer un baiser dans le coup de la maîtresse. Il était bien trop excité pour se poser davantage de questions sur le genre de cette dernière lequel au demeurant, lui importait peu. Il la relâcha pour retirer rapidement sa veste, et la poser sur un pupitre, avant de se mettre à genoux derrière elle. D'une main experte, il lui écarta les fesses pour dévoiler un anus légèrement dilaté qui au bas mot, avait beaucoup servi. Pour autant, la démesure de son phallus lui laissait penser qu'il s'y sentirait tout de même bien à l’étroit, ce qui le fit frémir d'impatience.

"Je constate que toi aussi, tu aimes bien te faire enculer, visiblement", lâcha-il goguenard, avant de cracher éhontément sur son anus. Si l'autre adolescente ne s'était pas encore aperçue de sa présence, c'était maintenant chose faite. Jack s'empressa d'enfouir son visage dans les fesses de Mélinda. Titillant son trou de balle du nez, il y darda bientôt une langue habile. Alors qu'il donnait brefs coups de langue sur la surface de l'anus, il risqua sa main libre entre les jambes de la jeune femme afin de caresser ses couilles... Mais ce fut une chatte humide que rencontrèrent le bout de ses doigts. Mais Jack n'était plus à une surprise près. Il chercha son clitoris à tâtons et, dès lors qu'il le trouva, se mit à le frotter doucement du bout de l'index. Entre temps, il avait durci et introduit sa langue dans son cul et en usait avec brio; tantôt il pilonnait son anus, tantôt il le fouillait avec délectation par des mouvement circulaires. A raison de la démesure de sa queue, Jack avait dû apprendre à préparer correctement ses partenaire avant de les empaler. Si Mélinda était une adepte de la sodomie, elle devait probablement apprécier le traitement qu'il lui dispensait et devait mourir d'envie de se faire sodomiser. Mais Jack était comme Mélinda : il aimait qu'on le supplie. Aussi interrompit-il ses caresses l'espace d'un instant pour lui susurrer quelques mots. "Tu veux que je te la mette ma grosse queue ? j'ai bien envie de t'entendre gueuler comme une traînée, toi aussi !"

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L'adolescente qui dominait l'acte sexuel se servait de son jouet avec brio et Jack avait l'impression qu'il faisait presque parti d'elle. Cette petite vicieuse savait vraiment s'y prendre et semblait faire jouir à répétition sa petite camarde qui hurlait son plaisir à qui voulait l'entendre. Quant à l'agent Taylor, il n'avait pas encore pris de décision quant à la façon dont devaient se dérouler la suite des évènements. A défaut d'intervenir, il poursuivait sa masturbation discrète, caressant son gland gonflé et violacé de la paume de sa main. De petites quantités de sperme s'échappaient déjà de son méat et rendait l'extrémité de sa queue poisseuse à souhait. Si les deux lycéennes n'étaient pas trop occupées par leurs jeux saphiques, elles auraient pu entendre le léger bruit mouillé et obscène que sa séance d'onanisme produisait. Si jack s'était trouvé à l'aise, il aurait probablement glissé un doigt ou deux dans son anus - ce dont il mourrait d'envie -, mais se masturber derrière une porte était déjà suffisamment risqué comme cela, aussi y renonça-il, bien qu'à regret.

Jack s'interrogeait. Il n'avait que peu d'alternatives. La première consistait à laisser les deux adolescentes terminer leurs ébats et s'en retourner chez lui. Dans un second cas de figure, il pouvait faire une entrée fracassante, punir les deux contrevenantes et récupérer son post-it. Ou bien... "Ou bien je pourrais, chose terriblement risquée et immorale, tenter de profiter de la situation en espérant que ces petits garces ne soient pas exclusivement lesbiennes". Rien qu'à l'idée de pénétrer de son vit colossal l'une de ces nyphettes, il en avait des frissons le long de la colonne vertébrale. Leurs chattes étaient probablement bien serrées et abondamment mouillées. Quant à leurs anus... Jack préféra n'y plus songer : c'était un coup à perdre la tête,  se ruer dans la salle de classe et à attraper la première venue pour la violer à même le sol, chose qu'il valait mieux éviter lorsqu'on était professeur de lycée.

Jack poussa un peu plus la porte vers l'avant, et avisa une armoire, un peu plus loin sur la gauche en rentrant dans la salle. Les deux lycéennes se trouvant dans le fond de la pièce, il avait de bonne chance de s'y rendre et de se cacher derrière  sans s'y faire répérer, d'autant plus qu'il savait se déplacer quasiment silencieusement...Même avec des derbies. Il se préparait à franchir les six mètres qui le séparait du meuble lorsque Mélinda proposa, ou plutôt imposa à sa camarade de s'occuper de son cul. Son coeur manqua un battement. Ces petites salopes pratiquaient donc la sodomie ? Ouvrant grand la bouche et les yeux, l'agent Taylor se figea, fasciné, ne voulant rien perdre de la scène se déroulait devant ses yeux. Sa jeune élève de l'après-midi se tourna docilement, présentant son joli petit cul bombé à sa maîtresse. Ainsi, elle ne pouvait plus regarder dans sa direction. Quant à l'autre, elle était bien trop occupée à maltraiter sa camarade pour se retourner, puisqu'elle fessait à présent vigoureusement le postérieur pâle de son amante, le rougissant par ses claques répétées. C'était l'instant rêvé. Il ne fallut qu'un instant à l'agent Taylor pour se plaquer contre l'armoire métallique, sans produire le moindre son. Il n'avait même pas daigné remettre sa queue dans son pantalon et son sexe brûlant entra en contact avec le métal glacé du meuble, ce qui le fit légèrement grimacer.

Avec prudence, il jeta un coup d'oeil vers les deux lycéennes. Il n'était plus qu'à trois ou quatre mètres d'elles à présent et pouvait contempler avec délectation les deux corps juvéniles qui s'ébattait dans la pénombre. "Vas-y ma jolie, enfonce lui ton gode dans le trou du cul, qu'on s'amuse un peu. Je suis sûr qu'elle peut gueuler encore plus fort que ça, cette petite chienne." L'agent avait repris sa masturbation et commençait à respirer plus sourdement à mesure que croissait son excitation. Il craignait à présent que s'occuper du cul de sa camarade signifiait uniquement pour la maîtresse, y balancer quelques gifles, ce qui dans une certaine mesure, le révoltait. "Si c'était moi..." Sans s'en rendre compte, Jack s'exposait trop et si l'une des deux adolescentes se retournait, il était très possible qu'elle puisse remarquer sa silhouette massive, et l'activité à laquelle il se livrait de plus en plus ostensiblement. En effet, Jack branlait à présent vigoureusement sa grosse queue, alors qu'il commençait à transpirer abondamment; son odeur de mâle en rut embaumait l'atmosphère.

222
"Retirer sa partie humaine ?" Cette gonzesse était décidément complètement barge... Ce qui n'expliquait d'ailleur absolument pas la présence d'écailles sur sa peau et de cornes sur son crâne. Manipulation génétique ? Radiation nucléaire ? Jack se détendit légèrement. De toute évidence, la jeune femme n'était pas une menace pour lui - mais peut-être pour elle-même, en revanche -  et il regrettait presque de l'avoir piégée. Cependant, alors qu'il allait lui présenter ses excuses et s'en retourner elle se mit à ôter son manteau. Ce qu'elle dévoila dépassait l'entendement de l'agent Taylor. Une queue reptilienne s'échappait de sa robe et deux grandes ailes noires menaçantes se déployèrent dans son dos, cachant la lune aux yeux de Jack. Okay. C'est pas un cosplay. Jack, tétanisé, avait du mal à suivre ce qu'elle lui racontait. Il avait l'impression de nager en plein délire et s'il enregistra mécaniquement les informations étranges qu'elle lui délivrait, il n'arrivait pas à les intégrer. Terra ? Hybride ? Autre-monde ? Vaste programme.

Passée la surprise, Jack se reprit bien vite. Incapable de trouver une explication rationnelle au phénomène qu'il avait sous les yeux, il décida d'occulter pour l'instant son impossibilité logique pour s'adapter à la situation. S'il n'était pas en train de rêver, il était en présence d'une forme de vie génétiquement supérieure à l'être humain et la CIA devait être prévenue au plus vite. D'un coup d'index, l'agent taylor activa le dictaphone miniature incrusté derrière la boucle de sa ceinture. On allait sûrement le prendre pour un fou à washington.

- Donc si je résume bien, tu viens d'un autre monde appelé Terra, et tu peux faire des allez et venues entre là-bas et ici comme bon te semble ? C'est plutôt pratique...


Jack ne cachait plus sa méfiance envers la jeune femme ce que, de toutes manière, un professeur de français moyen aurait fait. S'il n'était pas parti en courant. Il avait reculé de quelques pas. Si la cible devenait agressive, il pensait être en mesure de l'éliminer, mais comme il n'avait aucune idée des capacités physique de cet être étrange, il préférait s'en tenir à bonne distance.

- Et tu me dis que tu n'es pas dangereuse ? Je veux bien te croire mais il y en a d'autres, des gens comme toi ici ?

Probablement que Kazuha elle-même n'avait pas dans l'intention de mettre la ville à sac - sinon pourquoi se faire passer pour un professeur pendant des semaines ? - mais c'était peut-être le cas de certains de ces congénères. A dire vrai, jack Taylor n'arrivait pas encore à croire à l'existence d'un autre monde, ni même à la nature surnaturelle de Kazuha; il espérait qu'une explication rationnelle à tout ce joyeux bordel allait intervenir incessamment. Sinon ? Et bien sinon il allait devoir faire sauter ce foutu portail. Si c'était possible. Le geste de coquetterie de la dragonne dérida légèrement l'agent Taylor. toute surhumaine qu'elle était, cette Kazuha restait une gonzesse. Et pas si moche que ça, même si la queue et les ailes noires avaient n'étaient pas ce qu'il y avait de plus excitant.

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Jack soupira d'aise lorsque Kaname libéra enfin son membre. Celui-ci, veiné et frétillant était surmonté d'un gland violacé dont suintaient encore quelques gouttes de sa semence épaisse. Naturellement, Kaname devait se servir de ses mains pour le branler efficacement. L'agent Taylor, affalé sur le lit se redressa légèrement. Comme il s'y attendait, son énorme queue déformait les lèvres de l'adolescente, qui devait peiner pour le prendre en bouche. Tout était parfait, ou presque. Un sourire sadique s'étira sur les lèvres de Jack. Il saisit la nuque de Kaname et s'empressa de de lui baiser la bouche en donnant de violent coup de bassin vers l'avant. Son gland gonflé venait frapper contre la glotte de l'adolescente ce qui produisait de la part de cette dernière des bruit d'étranglements étouffés. "Voila comment on punit les gamines insolentes comme toi. Ça te plaît pas vrai ?" Sans aucune considération pour sa victime, probablement sur le point de vomir, l'agent Taylor s'enfonçait toujours plus profond dans sa gorge, jusqu'au moment où il s'approcha de l'orgasme. "Ahh... Ahhh !" agrippant sa queue, Jack y exerça une puissante pression pour s'empêcher d'éjaculer : il voulait garder un maximum de foutre pour plus tard, bien qu'il en eût à revendre. "Attends, attends..."

Retirant son sexe couvert de bave de la bouche de Kaname, Jack s'empressa de se débarrasser de son pantalon, de son boxer, ainsi que de sa chemise, qu'il jeta dans un coin de la pièce. Il était à présent nu comme un ver, dévoilant à l'adolescente un corps musclé et viril sur la peau duquel se trouvaient de nombreuses cicatrices qui peinaient à se refermer. Sans la moindre gêne, il se mit à quatre pattes, présentant son postérieur ferme à son amante. "Tu sais Kana", dit-il d'une voix sourde, "J'aime aussi parfois coucher avec des garçons. S'ils sont bien sage, je leur permets de glisser leurs queues dans mon cul." Jack écarta ses fesses d'une main, exhibant éhontément son anus légèrement dilaté par l'excitation à la jeune femme. Sans être distendu, on pouvait deviner que l'agent y avait recours assez fréquemment. En effet, ce dernier avait eu très tôt la prostate stimulée dans son enfance puisque, pendant de longs moins, avant de lui permettre de la pénétrer, sa soeur aînée s'était contentée de glisser ses doigts fins dans l'anus de son frère cadet en lui suçotant le gland, suscitant chez lui des orgasmes dévastateurs. Par la suite, il avait continué de se stimuler à cet endroit de temps à autre jusqu'au jour où il avait rencontré un garçon beau comme une fille, lors d'une mission en Europe du nord. Après l'avoir besogné toute la nuit et laissé son anus béant, il avait permis à sa victime de se "venger" entre ses fesses. Depuis ce jour, il appréciait de temps à autre de coucher avec un homme, si celui-ci était suffisamment délicat à ses yeux. A l'inverse, baiser avec une brute le révulsait au plus haut point.

"Tiens, occupe t'en un peu, va." Jack, tout en muscle et en puissance s'offrait comme une femme, les fesses relevées vers son amante, mais il n'en avait cure. Avant de s'occuper de Kaname, il voulait sentir la langue et les doigts effilés de la jeune femme dans son fondement. Entre ses jambes, sa queue gonflée pendait, énorme, alors que quelque gouttes de sperme s'écoulèrent encore de son méat pour venir souiller les draps immaculés.

224
Jack tempêtait. Pour la première fois depuis bien longtemps, il avait commis une erreur professionnelle. Il fallait dire que depuis qu'il était sous cette nouvelle couverture, l'agent Taylor avait tendance à se ramollir un peu. Jugeant son environnement comme sécurisé, ses élèves et collègues comme ne représentant pas de menace potentielle, sa vigilance s'était relâchée. Lors de son derniers cours, la secrétaire avait interrompu sa brillante démonstration sur l'Alchimie dans Notre-Dame de Paris pour lui remettre un papier plié en quatre, sur lequel elle avait soigneusement noté ce que lui avait dicté son interlocuteur téléphonique, prétendument garagiste : "La pièce de rechange a été commandée, vous pourrez venir récupérer votre véhicule au garage Sasaki ce lundi, à partir de 14h".

Evidemment, Jack n'avait pas de véhicule, et le garage Sasaki n'avait jamais entendu parler de lui - bien que ce dernier existât -. C'était l'un de ses contacts sur place qui avait probablement du nouveau pour lui et lui donnait implicitement rendez-vous dans un bar animé de la ville pour partager ses informations avec lui. Jack distrait, n'avait pas immédiatement fait disparaître le post-it, et l'avait négligemment rangé dans l'un des tiroirs de son bureau. Il était ensuite parvenu à terminer son cours, puis était tranquillement rentré chez lui, oubliant l'existence du message. C'est une fois sous la douche que cela lui était revenu. Il s'était rapidement séché, rhabillé et était parti en courant. Même si le message était codé et qu'il n'y avait probablement personne au lycée pour y faire attention, Jack avait pour habitude de protéger sa couverture davantage que sa vie. Ce petit bout de papier presque insignifiant devait disparaître.

Il était revenu au lycée sur les coups de dix-neuf heure, et gravissait à présent les escaliers qui le menaient à la salle 312. Impeccable comme d'habitude, Jack portait un costume anthracite à deux boutons, ainsi qu'une chemise bleue pâle munie d'élégants boutons de manchette. Il avait pris le temps de cirer ses derby marron foncé avant de partir et de passer une montre-bracelet Seiko du meilleur effet, sans être toutefois trop tape à l'oeil. Néanmoins, l'urgence de la situation l'avait décidé à se passer de cravate. Alors qu'il s'approchait de la salle, des bruits sourds lui firent froncer les sourcils. contrairement à ce qu'il espérait, la salle n'était pas déserte sûrement quelques élèves sérieux qui sont rester réviser un peu... Il y a la bibliothèque pour ça, m'enfin bon, je vais pas les blâmer. L'agent Taylor posa sa main sur la poignée de la porte et s'apprêtait à l'ouvrir en grand lorsque des gémissements lascifs se firent entendre. Jack se figea instantanément, et posa son oreille contre la porte de la salle de classe. Maîtresse hein ? Il n'y avait aucun doute à avoir : deux adolescentes étaient en train de baiser sauvagement dans la salle de classe dans laquelle il officiait encore deux heures plus tôt. Peut-être même s'agissait-il de deux de ses élèves.

Voyons voir... Jack tourna la poignée de la porte avec une lenteur inouïe puis entrebâilla légèrement la porte. Ce qu'il discerna dans le fond de la classe confirma ses soupçons. Une des lycéennes besognait avec force sa camarade avec ce qui devait être un gode-ceinture ce qui n'était pour déplaire à cette dernière qui poussait moult gémissements obscènes et s'agitait comme une petite folle. En dépit de la pénombre, Jack reconnu la petite soumise : il s'agissait bien d'une élève qui avait assisté à son derniers cours de la journée. Une grosse bosseuse timide qu'on imaginait absolument pas en train de se faire prendre brutalement contre un mur en couinant comme la dernière des salopes. Quant à la deuxième élève, encore toute habillée, elle était de dos et Jack ne pouvait pas apercevoir ses traits. Il devinait toutefois un petit derrière rebondi ainsi qu'un corps juvénile svelte et fragile. Alors qu'il s'interrogeait sur la conduite à adopter, L'agent Taylor sentit la tension que son phallus imposait au tissu de son pantalon. Le spectacle de ces deux petites vicieuses en train de se gouiner le rendait malade. N'y tenant plus, il fit glisser sa fermeture éclair pour libérer son vit colossal, qu'il commença à branler doucement d'une main, caressant ses couilles pleine de l'autre, soupirant le plus doucement possible pour ne pas se faire repérer par les deux lycéennes.

225
Jack escomptait bien profiter au maximum de cette nuit de débauche et d'abandonner au petit matin, une amante exténuée et souillée des pires manières possibles, ses orifices juvéniles débordant de foutre abondant. Pour le moment, l'heure était à l'échange de civilités, processus ennuyeux mais nécessaire. Il s'agit de ne pas agir comme des animaux, mais en être humains civilisé, se morigena-il. Dévorant Kaname des yeux alors qu'elle buvait par petites gorgée, il avala son propre champagne cul-sec. Le salaire mirobolant que lui offrait le gouvernement des Etats-Unis permettait un train de vie très confortable et boire du champagne était pour lui un geste presque ordinaire. Tout cet argent était au fond bien inutile : Jack était un patriote, un incorruptible. Mais naturellement, il n'allait pas cracher dessus... Lorsque Kaname l'interrogea sur sa profession, Il ne put s'empêcher de sourire.

- Je suis professeur de français au lycée. Je suis arrivé en ville il y a quelques mois. Tout ça - L'agent Taylor désigna la pièce d'un geste vague - c'est parce que j'ai hérité d'un vieil oncle que je n'ai jamais connu. J'ai de l'argent à ne savoir qu'en faire.

Si Jack mentait effrontément concernant la justification de son train de vie, il avait choisi de lui dire une partie de la vérité concernant son travail. En effet, quoi de plus crédible pour une couverture qu'un prof de lycée célibataire qui couche avec des prostituées juvéniles assouvir ses passions inavouées envers les lycéennes ? Il ne pensait pas que Kaname était un danger pour lui, bien sûr, mais sa véritable identité devait rester secrète. Sa femme elle-même, n'avait véritablement su ce qu'il faisait dans la vie qu'après deux ans de vie commune.

- Je suis français d'origine, mais je vis au Japon depuis des années. En ce moment j'ai quelques problèmes avec ma femme, donc j'ai décidé de changer de ville... Enfin, je ne sais pas pourquoi je te raconte ça. Et toi ? Tu es au lycée ?

Comme à son habitude, Jack alignait les mensonges avec une une incroyable aisance. Ceci était d'autant plus facile que le moindre de ses mensonges décelait une once de vérité sur laquelle il se basait. Bon... Lorsque Jack était excité, il n'aimait pas tourner trop longtemps autour du pot. Saisissant le poignet de la main libre de l'adolescente, il la guida vers la grosse bosse brûlante qui déformait son pantalon et en appliqua la paume contre son gland gonflé et palpitant. Ce faisant, il la regardait droit dans les yeux. Son sourire de circonstance avait disparu et il était devenu grave et tendu : s'il y avait bien une chose au monde dans laquelle aucun homme, même Jack Taylor ne pouvait mentir, c'était le cul.

- Tu sens ma grosse queue ? Elle n'attend plus que toi. Je suis sûr que tu as envie de la prendre dans ta bouche, pas vrai ? Branle-la un peu à travers mon pantalon, tiens.

Inutile de dire que la vulgarité, conjugée à la violence faisaient parti intégrante de la sexualitée débridée de l'agent de la CIA. Sans lâcher le poignet de l'adolescente, il utilisa son autre main pour saisir la nuque de Kaname et plaquer ses lèvres contre les siennes avec une certaine violence, mélangeant leurs deux langues en produisant des grognements rauques et lascifs. Il avait été si brutal que l'adolescente en avait lâché son verre, lequel était tombé au sol sans toutefois se briser.

Libérant la nuque de Kaname, il promenait sa main sur sa poitrine plate, puis sur sa croupe. Finalement, n'y tenant plus, il se renversa en arrière sur le lit, attirant irrésistiblement Kaname à lui, collant son petit corps gracile contre son poitrail. Il la maintenait à présent fermement par les fesses, et frottait vigoureusement ce qu'il pensait être une petite chatte ruisselant de cyprine contre son membre massif. Il respirait bruyamment et semblait proche de la jouissance lorsqu'il relâcha soudainement son étreinte.

- Ahh... C'était plus fort que moi. Tu étais tellement bandante.

Il repoussa gentiment Kaname sur le côté du lit pour la contempler quelque instant en se flattant le membre à travers le tissu de son pantalon de la façon la plus obscène qui soit en passant sa langue sur ses lèvres pincées à plusieurs reprises.

- Allons, viens Kana... Viens t'occuper de ma bite, petite pute. Après je te baiserais bien fort par devant, puis par derrière. Tu aimes bien te faire enculer, Kana ?

Jack bouillait d'impatience : il se refusait à sortir lui même son pieu, et tenait à voir l'adolescente extirper sa grosse queue de ses petites mains pâles. Il voulait voir l'étonnement, le ravissement et le désir obscène sur son joli visage.

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