Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Jack Taylor

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Jack Taylor

Pages: 1 ... 12 13 [14] 15 16 17
196
Les alentours de la ville / Re : Oraison du soir [Jack Taylor]
« le: jeudi 02 janvier 2014, 20:57:24 »
Lorsqu'il s'était rendu chez son jeune élève, le professeur n'avait nullement envisagé un tel scénario, mais uniquement quelques remontrances bien senties, un joli paquet de devoir supplémentaire en punition, et une injonction avec effet immédiat de ne plus sécher aucun de ses cours. Mais contre toute attente, et à l'initiative du cancre lui-même, la situation dégénérait de façon exponentielle alors que l'empire de la raison de l'agent Tayor vacillait sous les coup de butoir incessant de son désir rebelle et vaguement honteux. Si Jack n'avait jamais caché sa concupiscence pour le sexe féminin, il cachait soigneusement à son entourage les relations homosexuelles anecdotiques auxquelles il se livrait, la plupart du temps avec des hommes efféminés, ou des adolescents. Après tout, sa famille était de tradition catholique et si la plupart de ses membres s'adonnaient à des pratiques sexuelles outrancières voire déviantes , les relations entre personnes de même sexe restaient encore un tabou. Chaque fois qu'il ressentait de l'attirance pour une personne du même sexe que le sien, il avait tendance à la refouler jusqu'au point de rupture, se vautrant alors dans la luxure la plus complète avec des amants qui de toute façon, l'avaient bien cherché. Ses goûts s'orientant naturellement vers des mâles plutôt soumis et passifs – même si le changement de rôle ne lui déplaisait pas, bien au contraire -, ces derniers s'acharnaient rarement à faire céder les réticences de principes du professeur, ce qui rendait au final ses expérience avec la gent masculine assez rare.

Aujourd'hui, ce blondinet lui faisait vivre un véritable supplice ; attisant la flamme de son appétence à l'extrême, il se dérobait ensuite, se drapant savamment dans un semblant d'innocence qui torturait son professeur. Tout ceci n'était-il qu'un jeu pour le norvégien, ou brûlait-il de sentir les mains puissantes du mâle dominant lui pétrir le fessier, torturer ses mamelons et asticoter sa virilité ? Jack était incapable de le déterminer. Malgré la connaissance approfondie qu'il avait du comportement humain, celui d'un adolescent capricieux demeurait encore trop mystérieux, trop nébuleux pour son esprit analytique. Sagement, l'angelot blond l'imita, répétant sagement les mots licencieux de son aîné avec un accent à couper au couteau qui rendait l'expression encore plus excitante, encore plus dégradante pour le jeune homme. Les oreilles du professeur s'échauffèrent et son regard devînt presque vitreux alors que son vît monumental s'agitait dans sa prison de soie, mû par de brefs soubresauts, prêt à exploser.

« C'est... C'est très bien, Kåre », finit-il par lâcher, presque essoufflé, incapable dorénavant de maîtriser l'excitation qui transparaissait à présent dans sa voix, la rendant légèrement plus aiguë en fin de phrase.

L'adolescent ne semblait pas avoir perçu la supercherie, même si à bien y regarder, une analogie pouvait être faite entre queue et cock, en anglais, mais bien trop tirée par les cheveux pour qu'un cerveau sain l'envisage. Toutefois, son langage corporel dût être trop explicite, puisque l'adolescent se troubla et qu'il s'éloigna vivement du canapé, une lueur apeurée dans ses prunelles, prétextant une envie tardive de caféine. Kåre avait-il fini par remarquer la bosse démesurée sous son pantalon, ou bien l'explosion de phéromone mâles l'avait-elle étourdi ? Putain je crève de chaud, avec ses conneries. Jack retira sa veste, et la plia à côté de lui, avant de remonter les manches de sa chemise, dévoilant des avants-bras bruns, et épais. Des auréoles de transpiration se dessinait sous ses aisselles, conséquences naturelle de son excitation, ajoutée à la tiédeur de l'environnement.

« Le café n'est pas forcément conseillé pour les jeunes de ton âge, c'est un excitant auquel on peut facilement devenir accro. Ca m'a valut de nombreuses nuits d'agitation et d'insomnies.  »

Ces derniers mots n'avaient à proprement parler, aucun intérêt manifeste, mis à part celui de faire la conversation. L'homme y avait néanmoins glissé des éléments de langage pour étourdir le lycéen et le gagner à sa cause. A présent, il avait l'initiative dans l'échange ; en s'affolant, Kåre  avait jeté la balle dans le camp adverse. Je ferais mieux de me tirer d'ici, ou d'aller me finir dans les toilettes, sinon je vais finir par le violer. L'homme se leva en chancelant, sans véritablement savoir quel allait être son geste suivant. Sans vraiment s'en rendre compte, il franchit en trois pas la distance qui le séparait de l'adolescent et se retrouva dans son dos. La CIA lui avait appris à marcher le plus silencieusement possible, en ne posant presque pas ses talons au sol, habitude qu'il avait intégrée dans son quotidien, si bien que le jeune homme ne pût l'entendre arriver, même si naturellement son odeur fauve mêlée de transpiration et sa respiration désordonnée pouvaient le trahir. Jack s'aperçut alors que l'adolescent n'avait pas posé de tasse sous la machine et se permit un sourire. Le gamin est aussi désorienté que moi. L'homme leva le bras vers l'étagère du dessus, ou se trouvaient tasses et soucoupes, pressant par la même occasion, son bassin dans le dos du blondinet. S'il s'était agi d'un adulte, Jack n'eût alors pas hésité une seule seconde à glisser une main avide sous son peignoir pour saisir sa verge et la faire glisser entre sa paume et ses doigts. S'agissant d'un jeune homme et, qui plus est son élève, il fallait y aller plus progressivement.

« Ce n'est pas la peine, je les verrais une prochaine fois », souffla-il, contre la nuque dénudée de l'éphèbe, posant une main ferme sur son épaule droite. « Et puis je préfère avoir affaire directement à toi », et à ton joli petit cul, se retînt-il d'ajouter.

Le situation était critique et son cœur battait la chamade ; Jack était proche de l'irréparable, et son esprit embrumé rejetait comme hypothétique ou infondée toutes les sanctions auxquelles il risquait de s'exposer ; ses craintes ne pesaient pas lourd face au corps frais et gracile du suédois. Et merde, tant pis. Sa main libre déposa la tasse sous le jet brûlant de café, avant de se glisser opportunément sous le peignoir de son élève, explorant son torse glabre. Oh putain, c'est fantastique. Malgré une légère couche de crasse, la peau de l'adolescent était d'une douceur incomparable. Transporté par l'odeur corporelle du garçon, ses doigts s'emparèrent d'un téton gorgé de vie pour le faire doucement rouler entre son pouce et son index, alors que son nez se perdait dans la chevelure humide et désordonnée de son hôte. Déjà, de léger mouvement de son bassin faisaient frotter son phallus gonflé contre les fesses et la chute de rein de son élève. Le point de non-retour était dépassé, et l'agent Taylor s'attendait à tout type de réaction outrancière ou choquée du jeune cancre ; le pire était à craindre, mais le jeu en valait la chandelle, se rassura-il, alors qu'il mordillait déjà l'oreille découverte de sa victime.

197
Les alentours de la ville / Re : Oraison du soir [Jack Taylor]
« le: lundi 30 décembre 2013, 23:32:51 »
Ainsi donc, Kâre préférait être au lycée, plutôt que confortablement installé sous ses couvertures ? Au vu de ses résultats scolaires, on pouvait en douter, et Jack accueilli l'argument avec un demi sourire incrédule. Refusant sa proposition, le jeune homme s'était éloigné, afin de lui préparer obligeamment une tasse de café. Assez long ? Jack se souvenait de son adolescence. Lui-même avait passé de longues heures sous un jet brûlant, profitant de l'interlude pour se masturber langoureusement, ses mains enduites de savon faisant coulisser sa belle verge entre ses doigts crispés. En était-il ainsi du jeune suédois ? Il avait l'air si innocent que le professeur avait du mal y croire. L'homme inspira longuement par le nez, les yeux mi-clos. Dans son esprit embrumée, l'image de l'adolescent gracile se substituait à ses propres souvenirs et il imaginait aisément Kâre, courbé sous le flux aquatique, faire glisser une main agile sur sa cuisse, avant de venir glisser un doigt effilé entre ses fesses diaphanes. Emporté par ses fantasmes, il ne vit pas Kâre faire demi-tour et lorsque la cuisse de se dernier se colla à la sienne, il ne put s'empêcher de tressaillir.

« Pardon, l'odeur ? Non, non, pas du tout. J'ai fait beaucoup de sport au lycée et... Disons que je suis habitué à l'odeur de la sueur, nos vestiaire ne sentaient pas la rose, loin de là ! », répondit-il d'un ton badin.

Si le trouble de l'agent Taylor pouvait se lire dans son regard, sa voix n'en trahissait aucune trace ; après tout, Jack était un agent de la CIA, et savait mentir, feindre et imiter avec un brio sans pareil, même si réprimer son excitation sexuelle lui demandait des efforts de concentration absolument considérables. Kâre, pourtant ne semblait pas dupe de la supercherie ; l'adolescent soutenait son regard, le défiait presque. Cette hardiesse ajoutée à la proximité de leurs corps respectifs intriguait le professeur. A quoi est-ce que tu joues, petit ? Mais déjà l'adolescent se découvrait légèrement d'un geste désinvolte, offrant à son professeur une vision périphérique sur son torse glabre, et sur l'un de ses mamelons roses, gorgé de sang. Jack détourna le regard pour le reporter sur sa mallette de cuir marrons.

« En fait, je t'ai apporté l'ensemble de tes devoirs pour la semaine prochaine, y compris ceux que j'ai donné en français. Comme il s'agit pour l'instant d'une initiation, les exercice que je vous ai donné sont assez simple ; il s'agit de s'entraîner à haute voix à lire des phrases courtes et usuelles. »

Alors qu'il allait poser sa mallette sur ses genoux pour cacher son érection naissante, Kâre se pencha en avant pour en observer le contenu. Il est juste au dessus de ma queue, ne put-il s'empêcher de remarquer, feignant l'indifférence la plus complète alors qu'il extrayait une liasse de papier de son porte-document pour la poser sur la table basse. Néanmoins l'eau qui dégoulinait encore des cheveux de l'adolescente maculaient son pantalon, soulignant la masse rebondie que formait son sexe gorgé de sang, rendant son érection évidente. Espèce de petit vicieux... Cette fois-ci, le lycéen ne pouvait pas ne pas l'avoir fait exprès et le doute n'était plus permis : le blondinet se jouait de lui. Ma foi...

« Étant donné que tu te permets de sécher systématiquement tous mes cours depuis le début de l'année, je pense que je vais te faire travailler un petit peu avant de repartir », ajouta-il d'un ton sévère, en portant sa tasse à ses lèvres, jetant un regard en coin à son jeune élève.

L'homme reposa la tasse et sa soucoupe sur la table en verre, et s'éloigna de quelques centimètres, de façon à ce que leurs jambes ne soient plus en contact. Il avait bien envie d'arracher le peignoir de l'impudent et de refermer sa main sur son phallus, mais les circonstances y étaient trop peu favorables ; les parents du garnement pouvaient rentrer d'un moment à l'autre. Qui plus, il n'était pas certain que les préférences sexuelles du jeune homme se portaient vers les hommes ; peut-être le titillait-il par plaisir du jeu... Aussi l'agent Taylor décida de le piéger. Faisant mine de relire son propre polycopié en plissant les yeux, il se retourna vers le blondinet, un léger sourire aux lèvres.

« Comme tu n'es pas d'origine japonaise, je pense que tu dois avoir des dispositions plus prononcées pour les langues latines. Les asiatiques ont généralement de grosses difficultés avec certaines consonnes de l'alphabet français. Mais te concernant, je pense que ça devrait aller. Nous allons donc commencer par des phrases un petit peu plus compliquées que celles que j'ai proposées à tes camarades. »


C'était du pur baratin, naturellement ; il n'y avait aucune raison pour qu'un norvégien soit plus doué en français qu'un japonais, mais l'adolescent n'en savait probablement rien. L'homme lui tapota gentiment la cuisse, avant de reprendre.

« J'aimerais que tu répètes cette phrase après moi. Elle signifie : « j'aime nager dans l'océan, au milieu des courants marins » ».

Jack hésita. Ce qu'il s'apprêtait à faire était proche de la faute professionnelle. Mais après tout, Kâre l'avait bien cherché, et a priori, personne n'en saurait jamais rien, à part peut-être Kâre lui-même, lorsqu'il progresserait dans la discipline.

« J'aime votre grosse queue »,
commença-il en français d'un ton docte. « J'aimerais beaucoup la sucer », acheva-il, ses yeux vairons plantés dans les iris vertes de son interlocuteur. alors qu'il frissonnait à nouveau, grisé par la vulgarité de ses propres paroles. Dans son boxer, la situation devenait intenable. L'épaisse verge de l'américain tendait tant le tissu que la pression en était douloureuse, alors que quelques gouttes de semences s'échappaient de son méat pour maculer son sous-vêtement. Je vais pas tenir longtemps. Sans aucun doute, lorsque Kâre reprendrait naïvement ses paroles, son professeur se trouverait dans l'obligation d'aller se soulager aux toilettes, sous peine de commettre l'irréparable. Etait-il déjà trop tard ?

198
Les alentours de la ville / Re : Oraison du soir [Jack Taylor]
« le: dimanche 29 décembre 2013, 17:09:59 »
Jack sourit ; le blondinet avait l'air plutôt étonné par sa démarche ; après tout il était effectivement assez rare au Japon qu'un professeur pénètre l'intimité d'un élève, alors que dans les pays européens, le personnel enseignant avait une tendance parfois excessive à intervenir au cœur de la sphère familiale des élèves. Entre ces deux extrêmes, le professeur sous couverture jugeait important de se préoccuper un minimum de la situations de ses petits protégés.

« Je voulais être sûr que tu les aies », ajouta-il, en serrant chaleureusement la main du jeune homme. Elle était fraîche et fine, presque autant que celle d'une jeune fille, et un léger frisson lui remonta le long de l'épine dorsale.

La réactions suivante de Kâre était inévitable ; tout lycéen normalement constitué se décomposait lorsqu'un professeur souhaitait parler à ses parents, et c'est avec un amusement mêlé d'une petite satisfaction malsaine que l'agent Taylor observait la mine désappointée de l'adolescent. Néanmoins, malgré l'absence prétendue de ses parents, le jeune homme s’effaça poliment pour le laisser entrer. Sûrement mourrait-il d'envie de lui claquer la porte au nez, mais il se retranchait habilement derrière sa politesse. Alors qu'il découvrait l'antichambre, l'homme ne put s'empêcher d'esquisser une moue appréciatrice ; non seulement les parents de Kâre était riches, mais en outre, ils avaient du goût. L'intérieur de la villa était aménagé avec une classe et une sobriété de nouveaux riches.

« Ce sera un café, s'il te plaît », termina-il, en français. Après tout, il était important pour préserver sa couverture de feindre certains irréductibles tics de langages.

Alors qu'il lui emboîtait le pas, Jack ne put s'empêcher d'imaginer le corps nu du blondinet se mouvoir sous son peignoir en soie, ses fesses lisses frotter contre la légère couche de tissu. Il ne l'avait pas remarqué immédiatement, mais Kâre avait effectivement les cheveux trempés, raison pour laquelle il avait mis de longues secondes à venir lui ouvrir la porte. Cette douche, Jack avait bien envie de la poursuivre avec lui, et de badigeonner son corps imberbe de savon, jusque dans les moindres recoins. Sentant le sang affluer vers sa verge, l'agent Taylor ferma brièvement les yeux et régula sa respiration ; une telle chose ne pouvait, et ne devait pas arriver ; il était uniquement là pour faire le point sur la situation scolaire de Kâre, et comptait bien s'y tenir. Ce fut finalement ce dernier qui rompit un silence qui devenait gênant, le questionnant sur son lieu de résidence, avec une pointe d’inquiétude palpable dans la voix. Au fond, l'adolescent se demandait probablement s'il risquait de voir régulièrement débarquer son professeur chez lui. Jack choisit de le rassurer.

« Non, j'habite un peu à l'écart de la ville, avec ma femme, mais je dois traverser ton quartier avant de prendre la ceinture périphérique »

C'était faux, naturellement, Jack Taylor habitait seul, dans un appartement du centre-ville, et n'était pas marié à une japonaise comme il le prétendait. Mais un trentenaire marié, résidant en province, attirait tout de suite moins les soupçons qu'un célibataire endurci vivant seul dans vingt-mètres carrés, sans le moindre meuble.

« J'aime bien ton quartier, je le trouve apaisant », lança-t-il, pour faire la conversation, et mettre le jeune homme à l'aise.

Qui plus est, il ne feintait pas, cette fois là. Ce quartier résidentiel de périphérie était boisé et paisible, une bouffée d'oxygène à côté de l'agitation perpétuelle du centre-ville. Avisant un canapé qui lui parut confortable, l'homme frôla volontairement Kâre avant de le dépasser pour aller s'y installer. Le jeune homme sentait fort la transpiration, et ses effluves chatouillèrent les narines exercée de l'agent Taylor. Loin d'en être incommodé, il en huma le parfum avec avidité ; pour Jack, la sexualité devait être bestiale, voire un peu sale pour être excitante. Une fois assis, le trouble se lisait dans les yeux vairons du professeur, alors qu'il posait un regard fiévreux sur son élève, dont les cheveux d'or dégouttaient encore sur le plancher immaculé.

« Tu peux poursuivre ta douche si tu le souhaite, je peux t'attendre en buvant mon café ».

En effet, dans cette tenue, et avec une odeur aussi enivrante, Jack craignait de ne pas pouvoir refréner ses pulsions bien longtemps. Bisexuel assumé depuis ses plus tendres années, l'agent Taylor observait pourtant un comportement résolument viril, voire machiste au quotidien. Dominateur invétéré, il n'aimait rien tant que de rabaisser ses amantes par des mots obscènes alors qu'il les baisait. Pour autant, les jeunes hommes l'excitaient autant que les jeunes filles en fleurs et son obsession quasi-pathologique pour le sexe ne connaissait presque aucune barrière morale.


199
Les alentours de la ville / Re : Oraison du soir [Jack Taylor]
« le: jeudi 26 décembre 2013, 16:14:27 »
Cela faisait quelques mois que Jack était arrivé au Japon, et à l'exception de quelques coups de téléphones insignifiants s'agissant de son intégration sociale, sa hiérarchie semblait se désintéresser complètement de lui. Néanmoins, il n'y avait là rien de surprenant, Jack étant un excellent agent dormant, essentiellement utilisé pour des opérations à moyen ou long terme. En l'espèce, Jack Taylor n'avait pas encore la moindre idée de ce en quoi consistait sa nouvelle mission. Aussi passait-il le plus clair de son temps au lycée, à faire cours, ou bien à abuser de ses jeunes élèves dans une indifférence générale absolument sidérante ; le vice semblait être une caractéristiques à part entière du lycée Mishima. Néanmoins, si tout le monde le savait, on évitait d'un commun accord d'en parler, afin que les frasques des uns et des autres ne s'ébruitent pas en dehors du campus : ce qui se passait à Mishima restait à Mishima, et les pauvres parents étaient loin de se douter de l'éducation sexuelle que recevaient leurs enfants. Ce jour là, Jack avait terminé de corriger ses copies en début d'après-midi et ne donnait pas de cours de la journée ; aussi lorsque Monsieur Tanaka, un vieux professeur de mathématiques dégarni lui avait demandé de lui rendre un service, il avait accepté immédiatement.

« Kåre Johansson », répéta-il tout haut, en poussant le portillon en bois qui lui faisait face, avant d'emprunter le petit chemin de pierre qui menait au pavillon cossu du jeune suédois. Jack ne le connaissait que de nom ; en effet si le jeune homme était inscrit à son cours de français, il ne s'y était pas rendu une seule fois en deux mois, et l'agent Taylor l'avait simplement rayé de la liste de ses élèves. Néanmoins, Tanaka l'avait informé que le jeune homme était toujours régulièrement inscrit au lycée, malgré son absentéisme et ses résultats médiocres. En effet, ses parents payaient de trop coquettes sommes pour que le lycée se permettent de renvoyer leur progéniture. Néanmoins, la belle-mère du jeune homme semblait avoir eu une brusque prise de conscience, puisqu'elle avait téléphoné au secrétariat le matin-même, demandant s'il était possible que l'un des camarades de Kåre lui apporte ses devoirs à faire pour la semaine suivante, celui-ci étant souffrant. Devant l'absence de volontaire, Tanaka avait fait appel à Jack, qu'on savait serviable, et à l'aise avec les adolescents. C'est ainsi que l'agent Taylor avait attrapé veste et mallette en cuir, pour se rendre à l'autre bout de la ville.

Jack eût un sifflement appréciateur ; Tanaka ne lui avait pas menti, les parents de Kåre étaient plus qu'aisés, pour se permettre d'acheter une maison aussi imposante. L'agent rajusta le col de sa chemise, ainsi que sa cravate, et vérifia d'un œil exercé, le bout de ses souliers vernis, avant de presser la pulpe de son index sur le bouton de la sonnette. Ce fut d'abord le silence qui lui répondit, puis le bruit d'une légère cavalcade, et enfin le glissement d'un verrou qu'on tirait. Lorsque la porte s'ouvrit sur un charmant blondinet tout trempé, Jack se permis un sourire de circonstances à son salut. Il ne connaissait pas un mot de suédois, mais se doutait qu'il devait s'agir de quelque mot de bienvenue. Uniquement vêtu d'un élégant peignoir qui laissait apercevoir son torse glabre, il semblait ignorer le pouvoir de séduction indubitable dont il disposait... Ou peut-être au contraire, en jouait-il habilement.

« Bonjour, j'imagine que tu dois être Kåre ? Je m'appelle Jack Taylor, et je suis professeur au lycée Mishima. Ta belle-mère nous a appelé ce matin pour que tes devoirs te soient rapportés. Comme j'habite à proximité, j'ai proposé de m'en charger. »

Sur ces mots, l'homme lui tendit la main, à l'européenne ; il savait que les japonais avaient de nombreuses réticences s'agissant des contacts physiques et se serraient rarement la main. Mais en américain débonnaire, l'agent Taylor avait du mal à perdre cette habitude. Qui plus est,  Kåre était Suédois, pas japonais.

« Si possible j'aimerais discuter un peu avec l'un de tes parents, ou les deux. Est-ce qu'ils sont là ? »

En règle générale, Jack s'attachait à connaître le mieux possible chacun de ses élèves, afin d'identifier leurs éventuelles difficultés. En l’occurrence, il escomptait bien faire venir  Kåre à son cours de français, quitte à secouer un peu ses bourgeois de parents. Qui plus est, l'adolescent était plutôt agréable à regarder ; se contenter de lui filer la liasse de polycopiés qu'il avait emporté avec lui, aurait été un véritable gâchis.

« Puis-je rentrer ? », acheva-il, en désignant le vestibule du doigt.

200
Le masque de glace de Mélanie s'effritait, et l'agent Taylor jubilait presque. Probablement habituée à mener la danse dans ses relations avec les hommes, la française supportait assez mal la manière dont Jack se comportait avec elle, c'est à dire comme un parfait mâle dominant. Néanmoins, elle aussi avait ses limites, et l'homme frissonna lorsqu'elle répondit à son baiser, pressant ses mains blanches contre son torse tiède, envoyant sa langue butiner la sienne. Néanmoins, lorsque ses lèvres quittèrent les siennes, la laissant interdite, les mots du professeur fusèrent trop vite, heurtant de plein fouet l'orgueil et la dignité de la jeune femme. Son expression se transforma instantanément et, de colère, elle lui balança une gifle sonore, que Jack ne tenta pas d'éviter, laissant la paume et les doigts de l'infirmière lui mordre la joue. « Ouch ! » Jack fit la moue ; l’infirmière avait plus de force que à ce quoi il s'attendait et sa joue le brûlait cruellement. La vie dissolue et l'infidélité impénitente de l'agent Taylor lui avait valu d'innombrables gifles, mais il s'étonnait à chaque fois du sentiment de colère et d'incompréhension que cela suscitait systématiquement chez lui. En effet le comportement dominateur de l'américain était quasiment pathologique ; son cerveau n'admettait pas le refus, ni la frustration. Aussi ce fut un regard sombre d'indignation qu'il lui renvoya, les muscles crispés. Le bras de l'infirmière était toujours levé, si bien que Jack la saisit au niveau du poignet, pour l'empêcher de réitérer son geste, mais celle-ci se confondait déjà en excuses, sous les sourcils froncés de son patient. Mélanie avait brisé les règles du jeu.

« Pas autant que moi », lâcha-il, agacé.

Laissant la main de la jeune femme retomber le long de son corps, l'homme la gratifia d'une moue dédaigneuse et d'un « allumeuse », aussi injuste qu'immérité, en se dirigeant vers ses fripes. Aveuglé par la colère, il n'aspirait qu'à quitter au plus vite le cabinet de la jolie rouquine, pour aller se consoler dans les bras d'une autre, plus accueillante. Décidé à se changer à l'extérieur, il se contenta d'enfiler ses souliers et glissa pantalon, chemise et veste sous son bras, traversa l’infirmerie sans un regard pour Mélanie. Néanmoins, il s'immobilisa devant la porte de sortie, comme Dom Juan devant la statue du Commandeur, foudroyé par le ridicule de la situation. Trop blessé par le coup porté à sa fierté, Jack n'avait pas su saisir la perche que Mélanie lui avait tendue.

« Ma foi, je... »

Le ton de l'agent Taylor s'était radouci, mais il tournait toujours le dos à l'infirmière, les yeux mi-clos, incapable de se décider quant à son mouvement suivant. Oh et puis merde. Jack fit volte-face, offrant à Mélanie une moue contrite. Se déchaussant avec une lenteur qui contrastait terriblement avec la hâte dont il venait de faire preuve, l'homme posa ses affaires en tas, sur une chaise à sa portée, et se dirigea d'un pas léger vers la rouquine, avec autant d'élégance que lui permettait d'avoir un boxer et une paire de chaussettes. Attrapant les doigts de Mélanie, il l'attira à lui une nouvelle fois pour l'embrasser sur le front.

« Je m'excuse », lui concéda-il, d'une voix apaisée.

Les excuses étaient sincères, même si l'objet sur lequel elles portaient était plus limité que ce qu'il voulait bien laisser croire ; l'insulte gratuite, il s'en repentait réellement. Quant au reste, il regrettait uniquement d'avoir été trop impatient et de ne pas avoir suffisamment échauffée la jeune femme avant de l'abreuver des insanités dont il avait le secret, et qu'il ne pouvait s'empêcher de proférer dès lors qu'il était excité. Il n'en démordait pas : Mélanie avait été, était, et serait une salope, et il était bien décidé à le lui faire avouer. Si lors de son accès de colère, son vit s'était débandé, le contact du corps gracile de la jeune femme contre le sien ne tarda pas à y faire affluer de nouveaux flots de sang.

Le baiser qu'ils avaient échangés quelques instants plus tôt avait scellé l'acceptation de leur désir réciproque, et Jack était déterminé à ce qu'aucun nouvel incident n'y fasse obstacle. Aussi, ce fut avec une douceur inhabituelle qu'il releva vers lui le menton volontaire de l'infirmière, avant de poser ses lèvres sur les siennes, les yeux mi-clos. Hardies, ses mains s'égaraient déjà sur les cuisses fuselée de la rouquine, se glissant sous sa jupe pour finalement venir pétrir amoureusement ses fesses rebondies. 

« 'vraiment désolé, je suis un vrai salaud. », glissa-il entre deux baisers.

Jack en faisait trop, volontairement, pour dédramatiser la situation, et faire fondre une bonne fois pour toute la défiance de Mélanie à son égard. Le décolleté pigeonnant de la jeune femme était proprement irrésistible, et il délaissa bien vite son postérieur pour déboutonner fiévreusement son tailleur, libérant l'opulente poitrine qu'il compressait. Ravi de ce qu'il y découvrit, imaginant son vit y coulisser, il se fendit d'un large sourire, alors qu'il la débarrassait à présent de son soutien-gorge.

201
Lorsque l'infirmière fit volte face, elle rougit violemment ce qui rassura l'orgueil de l'agent Taylor ; Mélanie aussi commençait à souffrir de la tension sexuelle qui imprégnait la pièce. Le long regard qu'ils échangèrent ensuite scella pour Jack, une sorte de pacte tacite. Ni l'un ni l'autre ne sortirait de cette pièce avant qu'ils ne se soient envoyés en l'air. Néanmoins, la jeune femme se rebiffa, et s'écarta d'un pas alerte. Une seconde plus tard, l'homme l'aurait embrassé. Au lieu de cela, il fit la moue, et balança à l'aveugle sa chemise sur la table basse que la jeune femme lui désignait. La rouquine lui ordonna ensuite de se peser, ordre auquel il se plia sans prononcer le moindre mot, voulant battre froid à la jeune femme à son tour, ce qu'elle méritait amplement. Il surpris son regard sur son torse gonflé, par dessus sa paire de lunette et ne pût cette fois s'empêcher d'esquisser un léger rictus. L'infirmière avait probablement autant envie de faire glisser ses belles mains pâles sur ses pectoraux que lui rêvait de pétrir son opulente poitrine laiteuse. Quand vint le moment de se faire mesurer, Jack se colla docilement contre la réglette de bois. Pour le mesurer, la jeune femme dût se mettre sur la pointe des pieds afin d'attraper le montant de bois pour le faire descendre sur son crâne.

« Cent quatre-vingt trois centimètres », lâcha-il, en la voyant s'escrimer à saisir la réglette sans le toucher. Lorsque la jeune femme croisa son regard, celui-ci avait changé ; de rieur et taquin, il était passé à fiévreux et résolu. Sans crier gare, l'agent Taylor saisit les deux poignets de la jeune femme, et les plaqua sur son torse tiède, la défiant du regard. « Vous en avez autant envie que moi, Mademoiselle Rosenberg, ne jouez pas les idiotes », enchaîna-il, dans un français parfait. Lui libérant les poignets, il la saisit par les épaules et la fit basculer contre le réglette, échangeant de place avec elle. Immédiatement après, il lui releva le menton du pouce et de l'index et se pencha pour l'embrasser fougueusement, sa main libre se perdant dans les cheveux bruns-roux de l'infirmière. Glissant sa langue entre les lèvres de la jeune femme, il l'embrassa tout d'abord avec une certaine douceur puis, la sentant réagir à son baiser, avec plus de force, libérant peu à peu la frustration qu'elle lui avait fait subir, allant jusqu'à lui mordiller la lèvre inférieure avec passion. « Je suis sûr qu'au fond vous êtes une vraie petite salope, malgré vos airs de reine de glace. Je peux le voir rien qu'à la façon dont vous ondulez des hanches quand vous marchez, à la manière dont vous respirez, à l'odeur que vous dégagez. », lui glissa-il à l'oreille, le souffle brûlant. « Dis-moi comment tu t'appelles ma jolie, dis-le moi, ou alors je vais avoir envie de te punir très sévèrement », lâcha-il finalement, entre deux baisers. Si le tutoiement n'existait pas vraiment en anglais, en français il prenait tout son sens. Jack entrait de plain pied dans l'intimité de la jeune femme, et cela ne faisait naturellement que commencer. La main qui lui avait servi à rehausser le menton du joli minois de la jeune femme était descendu jusque sur sa hanche. Son vît déformait son pantalon de la manière la plus obscène qui soit et l'homme pressait à présent son entrejambe tout contre le ventre de Mélanie, celle-ci était plus petite que lui d'une bonne tête.

Finalement, il la relâcha entièrement, la laissant libre de ses mouvements. Si la jeune femme le souhaitait, elle pouvait s'échapper, à présent. Haletant, fou de désir, il ne la quittait pas du regard. Il savait que si la jeune femme était suffisamment excitée, il pouvait la prendre contre le mur sans qu'elle n'objecte, bien au contraire. Peut-être n'attendait-elle que cela, d'ailleurs. Mais c'était bien trop facile, aux yeux de l'agent Taylor. La jolie jeune femme l'avait tellement refroidi tout à l'heure, qu'il était prêt à tout risquer pour la laisser prendre l'initiative de la suite. Contrairement aux esprits limités, Jack Taylor savait que la domination, lors de rapports sexuels pouvait se révéler très subtile. Son objectif pour l'instant, était de mettre Mélanie face à son propre désir, et à l'assumer suffisamment pour prendre la main, tout du moins jusqu'à ce que Jack ne décide de reprendre l'ascendant sur la jolie infirmière. Autrement dit, si Mélanie voulait baiser, elle allait devoir se montrer bien plus coopérative. Qu'allait elle faire ? S'enfuir, ou se livrer toute entière à son désir ? Jack en tout cas, ne rêvait que d'enfoncer profondément en elle, sa queue gonflée qui réclamait justice.

202
Je me permets de remonter mon topic de trames; ça fait longtemps que je n'ai pas joué, et j'ai vraiment envie de m'y remettre. Si d'anciens partenaires de jeu se sentent de reprendre les échanges là ou nous les avions laissés, n'hésitez pas à me MP.

Je suis en outre ouvert à toute nouvelle demande, que ce soit via ce topic, ou par MP pour les plus timides.

Mêmes exigences que d'habitude : haut niveau de jeu, haut niveau de perversité.

203
Lorsque sa jeune élève se refusa à prendre son sexe en bouche, Jack fit la moue. Eh quoi ! n'avait-elle pas la queue de Mélinda dans son cul, cinq minutes plus tôt ? Peut-être était-elle de celles qu'il fallait forcer un peu. Jack tapota son gland sur la joue fraîche de de la jeune fille, se préparant à prendre sa bouche de force. "Allez, dépêche-toi." Néanmoins, il n'eût la possibilité de s'exécuter puisque l'instant d'après, une force irrésistible, l'envoya directement sur le derrière, deux mètres plus loin. Le première réflexe de l'agent Taylor fut de porter sa main à l'arrière de son pantalon, à la recherche d'un révolver absent. Lorsqu'il leva les yeux, la lycéenne le surplombait de toute sa petite taille, triomphante. L'homme ne put réprimer un sourire : pour projeter avec autant de facilité ses quatre-vingts kilos de muscles, la gamine avait une force carrément surréaliste, pour son gabarit. "T'es vraiment pas humaine, pas vrai ?" Visiblement résolue à mener la danse, Mélinda approcha son bassin de son visage, l'aggripant par la nuque, alors que Jack pouvait observer le phénomène le plus étranges qu'il lui avait été donné de voir jusqu'à lors. de la petite chatte rose et humide de l'adolscente, émergeait à nouveau un membre viril débandé, mais néanmoins de bonne taille, et ce juste sous son nez. Partagé entre la stupeur et le ravissement, Jack avait les lèvres entrouvertes, le regard vitreux. Sans même s'en rendre compte, il avait laissé sa main glisser vers sa propre queue, dont il frottait doucement le gland humide avec la paume de sa main. Lorsque Jack couchait avec des hommes, il les choisissait jeunes et plutôt effeminé : les partenaires virils ne l'intéressaient que peu; le mâle dominant, c'était lui. En conséquence, Mélinda représentait le partenaire idéal : le physique d'une ado, et une bonne queue pour lui limer un peu le trou du cul. Mais si cette belle bite n'était pas aussi impressionnante que la sienne, il y avait de bonne chance pour qu'elle lui déchire l'anus; Jack n'avait encore jamais accueilli de phallus de cette taille entre les fesses : une jolie petite verge de lycéen suffisait généralement à lui masser la prostate et à le faire décharger des torrents de foutre s'il se branlait en même temps.

Sans même réfléchir, dès Mélinda lui en donna l'ordre, L'agent Taylor tendit la main vers la verge encore molle de l'adolescente qu'il commença à branler avec délicatesse vers le bas, en prenant le soin de décalotter le gland à chaque fois. Tout mâle dominant qu'il était, Jack s'amusait parfois à se laisser dominer par de jeunes partenaires vindicatives, avant de leur montrer finalement qui était le patron, en les sodomisant brutalement. Mais cette fois, c'était différent : Jack savait que la vampirette avait réellement le dessus sur lui en cet instant précis et que cela n'était pas qu'un jeu. La sensation était étrange, frustrante même, mais Jack était trop excité pour s'en indigner. Sans proférer un mot il avança le cou pour plaquer son visage contre la queue de l'adolescente et en humer les effluves. Ca puait le foutre, la cyprine et l'odeur si particulière de l'anus, ce qui ne manqua pas de raidir encore davantage sa grosse queue." Hmmm." N'y tenant plus, il fit glisser le gland de Melinda sur sa langue jusqu'entre ses lèvres pour le téter, agitant légèrement la langue au dessous de gland pour en agacer le raphé. La belle queue de l’adolescente enflait entre ses lèvres, et bientôt Jack pût la branler consciencieusement. Levant les yeux vers la lycéenne, Jack extirpa le sexe durci de sa bouche avec un bruit mouillé, pour en lécher avidement la hampe et le méat qu’il pénétra du bout de la langue, recueillant ainsi un peu de précieux pré-sperme. « Alors princesse, ça te plaît ? Tu vas me gicler dans la bouche, petite pute ? » Humectant deux doigt de sa main libre, Jack glissa sa main sous les fesses de la jeune femme, pour glisser deux doigts dans son anus encore dilaté. Sitôt fait, il s’enfonça la belle bite bandée jusqu’au fond de la gorge, s’étouffant presque, tout en la masturbant vigoureusement et d’une poigne de fer.

204
Mélinda avait une telle confiance en elle que s'en était presque perturbant. A demie-nue, l'anus encore dilaté de la puissante pénétration qu'il lui avait imposée, la vampirette tenait encore tête à son "professeur." Si la situation n'avait pas été aussi délicate, Jack aurait sans nul doute sorti à nouveau sa queue colossale afin de dompter la belle arrogante. Lorsqu'elle lui demanda, ou plutôt ordonna de cesser de fumer, l'agent Taylor l'ignora purement et simplement. Pis encore, il expira dans sa direction, escomptant bien irriter un peu la lycéenne en retour. Néanmoins, après quelques longues secondes de silence, il se plia à sa volonté de mauvaise grâce, éteignant sa cigarette du bout de ses doigts, astuce inutile mais amusante qu'il avait appris chez les Marines. "Je t'écoute." La jeune femme s’était assise en face de lui, croisant ses jolies jambes d’albâtre. Les mots qui franchirent ensuite ses lèvres le laissèrent absolument perplexe. Des esclaves ? Allons bon, il devait sûrement s’agir d’une métaphore. Aussi sûre d’elle et surnaturelle qu’elle pouvait sembler, Jack doutait qu’une créature aussi juvénile qu’elle puisse réellement asservir des êtres humains. D’ailleurs, plus le temps passait, moins elle lui semblait redoutable. Elle avait des canines pointues, des ongles crochus et un membre masculin d’une taille honorable, soit. De là à en déduire qu’elle représentait une menace pour lui, il y avait un fossé. « De toute façon, je ne crois pas qu’il soit possible de m’asservir », lâcha-il, presque sans le vouloir. Jack Taylor retirait en effet un orgueil certain d’avoir été fait prisonnier en Afghanistan pendant de longs mois, torturé avec plus ou moins de subtilité, mais de n’avoir jamais cédé. Dire qu’il n’avait pas hurlé de douleur ou abjuré plusieurs fois aurait été un mensonge ; néanmoins il était parvenu à garder son identité et le but de sa mission secret, avant que ses petits camarades des Delta force ne le récupère en piteux état. En conséquence, toute allusion à l’abaissement, même éventuel de son âme lui faisait l’effet d’une gifle. « Annonce ton prix », ajouta-il d’un ton irrité.

Néanmoins, l’agacement succéda bien vite à la surprise et la surprise à l’hilarité. De toutes les propositions sexuelles qu’on lui avait faite jusqu’à lors, celle-ci était des plus cocasse : laisser une lycéenne avec un vit assez épais pour faire rougir de honte ses camarades du sexe masculin lui pilonner le derrière. « Ah ah, tu déconnes ? » Néanmoins la dérision qu’affichait l’agent Taylor était là encore de pure façade. A dire vrai, lorsque la jeune fille avait énoncé sa condition, un afflux sanguin massif était venu gonfler sa queue, alors qu’un frisson de désir lui avait parcouru l’épine dorsale. L’agent Taylor était un sodomite complet, et ne rechignait pas devant une sodomie passive. Bien des années plus tôt, sa sœur aînée l’avait initié à de tel plaisir en lui glissant un doigt ou deux dans l’anus lors des fellations qu’elle lui prodiguait, ce qui engendrait naturellement des éjaculations stupéfiantes. Par la suite, elle l’avait même pénétré avec des godes et autres accessoires. Il avait ensuite fallu un certain temps pour que, arrivé à l’âge adulte, Jack accepte sa bisexualité. Il s’était d’abord contenté de sodomiser certains de ses camarades de fac, puis la promiscuité des marines et leur isolement complets pendant de longs mois l’avait incité à expérimenter de nouvelles choses. Une belle nui d’été, au milieu du pacifique, sur le Hope, croiseur américain, Jack avait gouté à la présence d’un chibre chaud dans son fondement. La douleur s’était longtemps disputé au plaisir avant qu’il n’inonde le point de son foutre, son amant se vidant dans ses entrailles.

Il restait que si la queue de l’adolescente n’était pas aussi impressionnante que la sienne, l’agent Taylor n’avait négocié un tel morceau de chair entre ses fesses. L’opération risquait d’être douloureuse… Mais aussi, probablement, d’une jouissance sans pareille. Jack sentait qu’il approchait du point de non retour : sa grosse queue enflait à nouveau et déformait le tissu de son pantalon, alors que son anus se dilatait légèrement sous l’effet de l’excitation. « Qui te dis que j’apprécierais de me prendre ton engin dans le derrière ? », lança-il, pris au piège de son propre désir. S’écartant de la table sur laquelle il était assis jusqu’à lors, il contourna Mélinda et s’approcha de la pauvre petite Shii, laissée pour compte depuis cinq bonnes minutes, palpant son phallus à travers son pantalon, l’air pensif. « D’accord », lança-il à Mélinda, par-dessus son épaule. « Mais je veux qu’elle me suce. Et je veux prendre son cul, aussi. » Le point de non-retour était dépassé. Sans transition, le « professeur » extirpa sa queue massive et à demie bandée de son boxer. A raison de son éjaculation quelques minutes plus tôt, quelques gouttes de spermes perlaient de son méat et son gland, grosse fraise boursouflée, semblait encore plus boursouflé qu’avant. Se décalottant entièrement, Jack s’approcha de Shii, assise contre le mur, et la força à se redresser légèrement en la saisissant par le bras. D’un main autoritaire, il lui releva ensuite le menton vers le haut pour qu’elle le regarde. Un bruit mat et mouillé résonna dans la salle de classe lorsqu’il envoya sa belle queue frapper contre la joue fraîche de son élève, y laissant au passage une légère traînée de foutre tiède. « Tiens, suce-moi, petite salope, suce cette grosse queue aussi bien que si c’était celle de ta maîtresse et je te mettrais une bonne note au prochain contrôle », lâcha-il, haletant déjà. S’il ne semblait plus faire attention à Mélinda, Jack l’attendait de pied ferme. En attendant, il promenait son sexe brûlant sur le joli visage de son élève, lui caressant distraitement les cheveux de sa main libre.

205
Lorsque Mélinda l’interpella, Jack était sur le point de quitter la salle de classe. L’étourdissement passager dont il avait été victime s’atténuait et il n’avait qu’à piquer un bon sprint pour se débarrasser de cette espèce de vampirette et de son esclave favorite. Néanmoins, la curiosité de Jack prenait peu à peu le pas sur la crainte que pouvait susciter chez un être aussi rationnel que lui, la manifestement de phénomènes surnaturels. Il se retourna vers la jeune femme, tout en boutonnant soigneusement sa chemise en coton. « Désolé princesse, je serais bien resté davantage avec toi et ta copine, mais j’ai une tonne de copies à corriger pour demain. Mais si tu veux on peut remettre ça à… Eh oh, touche pas à ça ! » Quel imbécile ! Oublier sa veste dans un moment pareil… Voila qui ne lui ressemblait pas du tout. Lorsqu’elle s’empara de son portefeuille, il grimaça. Ce qui devait arriver arriva et les menaces à peine voilées de l’adolescente étaient plus qu’inquiétantes. Plaquant un sourire de façade sur son visage, l’agent fit quelques pas vers Melinda, les mains levées et écartées en signe de paix. Surtout ne pas paniquer. Jack ne craignait pas pour sa couverture : il en fallait beaucoup plus pour le griller. Néanmoins, avec ce genre de preuve, le professeur Jack Taylor risquait bien de finir au trou pour une petite dizaines d’années ainsi que de provoquer un incident diplomatique entre les Etats-unis et le Japon…. Et il était assez peu probable que le fait d’alléguer du fait que l’adolescente qu’il venait de sodomiser vigoureusement était une - Quoi d’ailleurs ? Vampire ? Démone  ?- servirait sa défense. Au mieux il pouvait espérer l’acquittement pour démence. vaste programme.

« Ecoute, je pense qu’on est pas obligé d’en arriver à ce genre d’extrémité. J’ai pris mon pied entre tes jolies fesses, toi aussi et… Ta copine aussi. » Jack désigna la petite Shii, effondrée contre le mur, son petit corps tiède et juvénile encore agité de légers soubresauts. Jack se passa rapidement la langue sur les lèvres et expira longuement pour éviter que des pensées parasites ne vienne le distraire alors qu’il parlementait. « Vous n’êtes peut-être pas adultes, mais mon petit doigts me dit que vous étiez pleinement consentantes à ce que je vienne vous rejoindre. Je me trompe ? » A mesure qu’il s’efforçait de calmer le jeu, l’agent Taylor avançait prudemment vers Mélinda, à demie-nue, malgré son cœur qui battait la chamade. « Je pense qu’un petit examen médical révèlerait à mes juges que vous n’en êtes pas à votre coup d’essai. » Jack sourit : n’importe quel docteur qui constaterait l’état de dilatation de l’anus de Mélinda serait horrifié : en dépit de sa juvénilité apparente, son derrière avait probablement été visité un nombre incalculable de fois. Quant à Shii… Elle devait probablement être un peu plus serrée. Voila quelque chose que j’aimerais bien vérifier… A présent, l’américain n’était plus qu’à deux mètres de son élève, et il hésitait. Théoriquement, la maîtriser et s’emparer de ses papiers d’identité ne devait pas poser de problème. Néanmoins, il n’avait pas la moindre idée de ce dont était capable cette étrange créature. Il restait que la jeune fille pouvait toujours l’accuser sans cette preuve, avec le témoignage de Shii à l’appui. Non, de tote évidence, mieux valait négocier. « En outre, je pense que la grosse queue qui te pend entre les jambes ferait aussi un beau sujet de tabloïd, qu’est-ce que tu en penses ? », lança-il, goguenard.

Baissant les bras, Jack s’installa sur une table en face de son interlocutrice, ne quittant pas ses beaux yeux verts du regard, attentif à tout changement dans l’attitude de cette dangereuses poupée. Il extirpa une cigarette de son paquet, la porta à son bec et l’alluma. Naturellement, c’était interdit. Mais Jack n’était plus à ça près. « Ecoute petite… Je ne connais même pas ton nom, d’ailleurs. Elle, c’est Shii, et elle est dans ma classe. J’ai cours avec elle demain. Quant à toi… Il me semble bien t’avoir aperçue ici ou là, mais je t’ai jamais eu comme élève. » Jack fronça les sourcils, se forçant à faire fonctionner sa mémoire eidétique. Il avait pris le temps de consulter le trombinoscope des élèves du lycée peu après son arrivée, et la jeune fille devait forcément y être. «Tu dois être… Mélinda, Mélinda Warren, c’est ça ? » Appeler quelqu’un par son prénom avait toujours comme conséquence de voir les réticences s’amenuiser et la confiance s’instaurer progressivement. C’était la base de la base de la programmation neurolinguistique. Restait à espérer qu’elle y fut sensible. « Ecoute Mélinda, je veux pas d’emmerdes. Je suis prof ici, et je tiens à garder ma place. Qu’est-ce que tu veux de moi ? »

De toute évidence, la vampirette était une adolescente particulièrement intelligente : elle avait sûrement une très bonne idée derrière la tête pour vouloir le faire chanter. Jack sourit malgré lui. Si ce chantage comprenait des ébats bestiaux, il n’était pas contre. En outre, cela lui permettrait probablement de recueillir des informations supplémentaire sur la nature biologique de Mélinda et sur ses intentions. Ils vont bien se marrer, à la CIA… L'agent Taylor expira longuement, des volutes de fumée s'échappant de ses lèvres pour s'élever vers le plafond de la salle de classe.

206
Pourquoi pas ! Je te mp :)

207
Le coin du chalant / Re : Les Cours de Shimamaru Sensei
« le: dimanche 24 mars 2013, 01:22:55 »
S'il reste de la place, je participerais volontiers à la première trame ;).

208
Je suis de retour ici, et serais ravi de prendre un ou deux rp, en plus de ceux que je compte poursuivre ! De préférence, veuillez me contacter par MP, ce sera plus pratique.

209
Jack était ivre de plaisir, si bien qu'il sentit à peine les canines de Melinda lui ouvrir la lèvre et ses ongles s'enfoncer dans la chair tendre de sa nuque, trop occupé à enfouir son vit au plus profond de ses entrailles. Le bruit du claquement de chairs obscène qui accompagnait chacun de ses vigoureux coups de reins résonnait dans la salle de la classe et enivrait l'agent Taylor, qui approchait de l'orgasme. Toutefois, un mouvement de l'adolescente qu'il besognait consciencieusement lui fit froncer les sourcils ; Mélinda s'était jetée sur le cou de la petite Shii avec un empressement étrange, dévoilant par la même occasion, des quenottes pointues. "Eh oh..." Un frisson d'horreur lui parcouru l'épine dorsale, alors qu'un léger filet vermillon s'écoulait du cou de la petite soumise. "Du sang ? C'est un putain de vampire ou quoi ?" Non, c'était invraisemblable. Les vampires n'existaient pas. Dans l'esprit rationnel de l'agent Taylor, les créatures surnaturelles appartenaient uniquement au domaine de la fiction et du fantasme. Pourtant, il n'avait jamais assisté à un tel phénomène, le pire étant que Shii couinait de plaisir comme une petite chienne. L'instinct de Jack lui hurlait de s'enfuir en courant, mais il avait franchi le point de non retour et pas un seul instant, il n'avait cessé de défoncer le délicieux petit cul de la lycéenne. "Je... Je viens !" Les yeux fous et le torse en nage, il se raidit brutalement, alors que son phallus se convulsait violemment dans le fondement de Mélinda, expulsant des quantités invraisemblables de foutre brûlant et épais. "Ah... Ahhh !" Loin d'interrompre sa pénétration à rebours, l'homme se servait de l'anus étroit de son amante pour littéralement drainer son sperme, agitant son corps gracile sur son pieu pendant de longues secondes, jusqu'à ce que le déluge de semence se tarisse. Lorsqu'enfin ce fut terminé, il glissa son sexe en berne hors du fondement de l'adolescente avec une certaine délicatesse, caressant au passage sa chatte du bout de son gland souillé. Pantelant, l'homme s'écarta d'un pas pour contempler son oeuvre. De l'anus dilaté à l'extrême de la jeune fille, s'écoulait son foutre qui s'insinuait entre ses lèvres de son pubis, et dégoulinait le long de ses cuisses.

Son orgasme avait été dévastateur et il en avait des papillons devant les yeux. Titubant, il s'éloigna de ses deux élèves pour s'adosser à un pupitre. La frayeur que les canines de Mélinda avait d'une étrange manière, décuplé son excitation sexuelle. Mais à présent, Jack ne tenait pas à rester une seconde de plus dans la salle de classe. Il se sentait vulnérable après avoir joui et se refusait à réaliser qu'il venait de voir une jeune fille planter ses dents dans le cou d'une de ses camarades afin de se repaître de son sang. Ca n'avait pas de sens. Ca ne pouvait exister. Peu conscient du danger qu'il encourrait, Jack se retourna, et se baissa afin de saisir son pantalon qu'il commença à enfiler maladroitement. Sans même prendre le temps de récupérer sa veste, ou d'arranger sa chemise, il se dirigea d'un pas mal assuré vers la sortie de la salle de classe.

210
Vous nous quittez déjà ? / Re : Piou.
« le: dimanche 18 novembre 2012, 13:28:17 »
En voila une bonne nouvelle ! Bon retour ;) !


Pages: 1 ... 12 13 [14] 15 16 17