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Messages - Jack Taylor

Pages: 1 ... 11 12 [13] 14 15 ... 17
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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: dimanche 20 septembre 2015, 15:31:28 »
Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une salope plusieurs fois centenaire, le cul de Melinda se détendit relativement rapidement, une fois passés les douloureux premiers coups de reins, et l'énorme chibre boursouflé du professeur put coulisser avec aisance dans son rectum tiède et humide. Le beau diable connaissait désormais suffisamment son élève pour savoir qu'elle n'attendait pas de lui qu'il la ménage et il la défonçait avec  dévotion, poussant un râle rauque chaque fois que ses couilles pleines percutaient son postérieur laiteux.

« Haaan... T'es... Tellement bonne, petite maîtresse ! »

Échauffée, son petit corps gracile rebondissant brutalement contre le bassin arqué de son amant, la belle lui retourna son baiser et les deux amants échangèrent lascivement leurs salives, alors que Jack empoignait l'une de ses petits seins alourdis par l’excitation, le malaxant doucement avec sa paume, avant d'en triturer cruellement le téton érigé avec la pulpe de son majeur. Accédant à sa requête, la vampire l'abreuva d'insultes de sa petite voix suave de salope. Ses mots résonnaient dans la tête de Jack, nourrissant son désir, stimulant sa vigueur. Oh oui, il avait aimé se faire défoncer le cul sur les ordres de sa petite maîtresse aux yeux d’émeraude. Et maintenant il avait l'occasion de lui rendre la monnaie de sa pièce, de faire descendre la petite princesse aux cheveux châtains de son piédestal en la faisant couiner comme une pute avec sa grosse queue. L'homme délaissa sa petite poitrine pour lui asséner de belles claques sur les fesses, rougissant sa peau d'albâtre, se penchant pour coller ses lèvres à son oreille, renchérissant sur la même thématique ordurière, et ô combien aphrodisiaque.

« Tu... Tu n'as pas honte de te faire ainsi traiter par tes esclaves ? Comme un... Vulgaire vide-couille ? Mhh... »

La pièce embaumait le stupre, la sueur et la cyprine et Jack sentait qu'il perdait le contrôle ; Mélinda était tout simplement trop bonne et il sentait qu'il n'allait pas tarder à jouir. Ralentissant progressivement la cadence, il finit par s'immobiliser totalement, et glisser une main experte entre ses cuisses pour branler consciencieusement son clitoris. La petite mouillait tant que les draps, leurs cuisses respectives et ses couilles étaient trempés de son jus intime. Se perdant dans sa longue crinière, l'homme enfonça deux de ses doigts dans son intimité, reprenant sa sodomie avec une lenteur calculée.

« Encule-toi, petite maîtresse, je veux que tu t'empales comme une grande sur ma grosse queue...comme... Comme la pire des chiennes. Allez remue ton cul ! »

Jack avait une nouvelle fois saisi  Melinda à la gorge et lui mordillait le cou, refrénant avec peine son envie de reprendre une vitesse de croisière. Une fois de plus, il ne tint guère plus de quelques secondes avant d'attraper la petite vampire par les hanches, enfonçant ses doigts dans sa chair tendre en haletant. Son cœur battait à tout rompre et sa queue convulsait, planté dans le cul de sa maîtresse. Retirant entièrement sa verge de l'anus à présent distendu de sa petite amante, il la réintroduisit brutalement jusqu'au couilles, produisant un bruit mouillé des plus obscènes. Les yeux quasiment révulsés, l'homme lui démolissait à présent littéralement le cul, sans égard pour la fragilité apparente de son corps gracile d'adolescente. Usant de son fessier musculeux pour envoyer son chibre au plus profond de ses entrailles, il usait de ses biceps pour la ramener à lui en grognant comme un animal en rut.

« HAAA... ! La Reine des... Putes, tu es... vraiment la Reine des putes, ma belle ! Jouis, petite maîtresse, jouis avec ton... Avec ton cul de...de CHIENNE ! »

Les insultes fusaient, sans réelles logiques, l'homme n'étant plus réellement en état de réfléchir, défonçant Melinda sans vergogne, et continuant de temps à 'autre à la gratifier de claques sonores qui rougissaient sa peau de poupée. Il la besognait avec une telle violence que la tête de la jeune femme s'agitait d'avant en arrière, percutant les pectoraux tendus de son amant, qui usait d'elle comme un véritable sac à foutre.

« HAAAANNNNN ! »

Pour la énième fois, les bourses lourdes et juteuses s'écrasèrent contre la chatte trempée de Mélinda, projetant un peu de cyprine alentour, alors que Jack explosait littéralement dans son cul, son gros chibre expulsant de phénoménales quantités de foutre brûlant, par longs jets puissants. Ahanant comme un aliéné alors qu'il jutait en elle, il attrapa le menton de la vampire pour l'embrasser à nouveau avec voracité, la gratifiant de derniers coups de bassin désordonnés. Presque horrifié par la longueur de l'orgasme qui le foudroyait et par la quantité de sperme qu'il expulsait et qui arrondissait le petit ventre de son amante, il finit par se laisser tomber sur le dos, son sexe colossal amolli glissant hors de l'anus de la jeune femme, libérant une quantité invraisemblable de foutre qui souilla les draps.

« Petite maîtresse je... Je veux te baiser encore et encore. Ma queue...Et mon cul sont tout à toi », glissa-il, les yeux mi-clos, sa main s'égarant sur la hanche tiède de son amante, qu'il attira doucement à lui, enlaçant son corps gracile, posant ses lèvres entre ses omoplates. Contre ses abdominaux saillants, son chibre avait molli, mais son érection était encore présente alors que d'ultimes coulées de sperme s’échappaient lentement de son méat pour couler sur son abdomen. Le professeur encore abruti par l'orgasme ne doutait pas qu'il ne lui faudrait que quelques minutes pour être à nouveau d'attaque... Et si tel n'était pas le cas, Mélinda trouverait forcément un moyen de le stimuler.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: mercredi 09 septembre 2015, 15:51:27 »
Alors que sa main allait et venait sur sa grosse verge bandée, Jack se disait que le sexe avait ceci de fantastique qu'il permettait le paradoxe, la conciliation des contraires. Le traitement qu'il avait subi chez la jeune vampire l'avait bouleversé et conduit à considérer Mélinda comme sa maîtresse, un être supérieur qui méritait respect, obéissance et dévouement. Or  malgré sa déférence, ou plutôt à cause de celle-ci, il s'apprêtait à baiser l'adorée petite maîtresse devant ses esclaves, comme la grosse pute délurée qu'elle était. Un sourire concupiscent étirant ses lèvres pleines, l'homme envoya une belle claque rougir le cul de la vampire. La petite était en proie à un désir aussi violent que le sien, comme l'attestaient sa respiration haletante et son langage fleuri ; la petite maîtresse réclamait sa grosse bite, ce qui le rendait ivre de désir.

« La petite maîtresse est impatiente », s'amusa-il en frottant la muqueuse tiède de son gland contre l'orifice palpitant. 

Oh, il comptait bien la faire crier, et donner à leurs deux discrets observateurs l'envie de les rejoindre pour se vautrer dans le stupre. L'homme se redressa de toute sa hauteur et posa la paume de sa main au dessus des fesses de la jeune fille, guidant sa queue joufflue de sa main libre. La verge percuta l'anus une, puis deux fois, avant de s'engouffrer de quelques centimètres dans le rectum brûlant de Mélinda, arrachant un râle rauque de plaisir au professeur. La petite maîtresse était serrée comme une pucelle et sa bite lui faisait presque mal.

« Haaa... putain, c'est si étroit... T'es tellement bonne !»

La sodomie était un art que Jack maîtrisait à la perfection. Il savait que certaines femmes avaient besoin d'une longue préparation, et d'une intromission en douceur... Mais il savait aussi que sa maîtresse partait au quart de tour, et qu'il n'avait pas besoin de les ménager autant que les « lycéennes prudes » qu'il dévoyait. Mélinda s'autoproclamait elle-même la Reine des putes, et Jack la croyait sur parole ;Il n'avait jamais vu une femme réclamer une sodomie avec tant de majesté. Jack se pencha en avant sur la croupe de son amante, écrasant les muscles saillants de son torse glabre contre le dos de cette dernière, enfouissant son nez dans la chevelure châtain de son hôte pour s'enivrer de son odeur entêtante. Refermant à nouveau l'une de ses mains sur la gorge de la vampire, il glissa la seconde entre ses cuisses pour branler son clitoris du bout de ses doigts, alors que son énorme verge turgescente s'enfonçait inexorablement dans son cul, faisant céder ses sphincters. Comme d'accoutumé, l'immoralité de la situation exacerbait son désir ; Mélinda était une vampire et elle était probablement bien plus âgée qu'il pouvait l'imaginer... Pour autant elle avait l'apparence d'une toute jeune lycéenne, lycéenne qui accueillait dans son cul une bite aussi épaisse que son avant bras. Quelques secondes plus tard, ses couilles gonflée s'écrasait contre son con avec un claquement humide.

« Hmm... La petite maîtresse est une traînée, regardez comme elle mouille quand on l'encule... Ahh... »

Jack s'immobilisa quelques secondes ; il avait manquer d'éjaculer immédiatement, tant la pression que ce petit cul serré exerçait sur sa verge était forte. Respirant profondément, les yeux embrumés par la luxure, il attrapa fermement la vampire par les hanches, imprimant la marque de ses doigts sur sa peau tendre, puis recula légèrement le bassin, avant de le rabattre doucement sur les fesses de Melinda. Les choses sérieuses commençaient et maintenant qu'elle était bien ouverte, il la limait avec une lenteur calculée, pour la faire bouillir d'impatience, pour la faire supplier encore. Il poussa même le vice jusqu'à rester immobile quelques instants pour voir si la petite s'enculait d'elle-même sur son chibre démesure. Cependant, il ne tint pas bien longtemps à ce rythme et insensiblement ses assauts se firent plus vifs, plus sauvages, alors qu'il perdait le contrôle, insultant copieusement sa maîtresse ; à coup sûr, elle le punirait probablement pour son insolence... Mais Jack n'en espérait pas moins d'elle.

« Elle te plais ma belle queue hein ? Lâcha-il entre deux ahanements rauques. Petite pute va, grosse chienne ! »

Se sentir observé ne refrénait pas les pulsions du beau professeur ; au contraire, cela le poussait à être plus violents, plus spectaculaire. Alors qu'il attrapait Mélinda pour faire basculer leurs deux corps tièdes sur le flanc, il croisa le regard de la belle succube, à laquelle il adressa un sourire concupiscent, soulevant la cuisse de la vampire pour qu'elle ne manque pas une miette de la scène, en plongeant ses yeux vairons dans les iris émeraudes de la jeune femme, guettant avec avidité la moindre des réactions de cette dernière. Si au fond de la salle Bran ne pipait mot, Jack espérait que voir sa petite sœur se faire défoncer était de nature à réveiller ses ardeurs. 

« Insulte-toi, petite maîtresse... Insulte-nous... »

Ces derniers mots avaient été prononcés avec une tendresse, juste avant que l'homme ne se penche vers sa belle amante pour presser ses lèvres contre les siennes, et envoyer sa langue à la rencontre de celle de Melinda, lui offrant un baiser d'une langueur et d'une douceur qui contrastait avec la brutalité avec laquelle il lui éclatait le cul, son bassin percutant frénétiquement ses fesses avec des claquement sonores, entrecoupés de râles et de gémissements sonores.

C'était l'une des baises les plus incroyables de sa vie.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 22:31:42 »
Edessa était donc le nom de la créature aux cheveux roses et aux yeux d’émeraude. Jack lui rendit son sourire et s’apprêtait à répondre lorsque sa maîtresse se retourna pour l'embrasser. Les mains du professeur se crispèrent sur le cul d'albâtre de la vampire tandis-ce qu'il lui rendait son baiser. Entre le corps gracile de Mélinda et son torse musculeux, sa verge se dressait, plus érigée que jamais. Lorsqu'il lui avait défoncé le cul sans autorisation la première fois, Jack avait pris Melinda pour une délurée qu'il pouvait soumettre à la moindre de ses volontés... Il mesurait aujourd'hui l'étendue de son erreur. Non seulement la jeune femme l'avait maté, mais en outre elle avait réussi à se l'attacher à jamais ; il n'y avait à présent rien d'autre que le professeur désirait que de se vautrer inlassablement dans le stupre avec sa petite maîtresse. Et à présent, sa maîtresse allait le récompenser de ses bons offices.

«  Si je veux vous prendre par les fesses ? » Jack eût un large sourire. Il ne désirait rien de plus au monde. « Je vais vous démolir le cul avec ma grosse bite, maîtresse.... Je vais vous défoncer jusqu'à ce que vous demandiez merci ! »

Aguicheuse, Melinda s'était reculée sur le lit, le buste projeté vers l'avant. Attrapant la vampire par la cheville, il la déséquilibra pour qu'elle tombe sur le dos, les bras en croix, et leva le petit pied à hauteur de ses lèvres, comme il avait vu Bran le faire, quelques heures auparavant ; lui aussi voulait vénérer les petons de sa petite maîtresse. Posant ses lèvres sur le dessus du pied, il y apposa d'abord ses lèvres en reniflant le parfum entêtant de la peau de son hôte, puis commença à en lécher doucement la plante, avant de tout bonnement engouffrer plusieurs de ses orteils dans sa bouche, les suçant avec avidité les yeux mi-clos, sa main s'activant lentement sur sa verge gonflée.

« Hmm... »

Après quelques secondes de ce traitement, Jack se pencha au dessus de Melinda, et joignit une nouvelle fois leurs lèvres. Ses yeux vairons débordaient d'un désir fiévreux et il avait écrasé son gros sexe bouillant contre le ventre de la vampire, agitant doucement le bassin pour le stimuler, quelques gouttes de pré-sperme maculant la peau tiède de la vampire alors que l'une de ses mains s'était égarée sous sa robe pour malaxer l'un de ses petits seins.

« La petite maîtresse veut être traitée comme une chienne hum ? Comme une grosse salope ?

Jack avait pris Mélinda au mot et sa main s'était doucement refermée sur la gorge de son amante. Il ne la serrait  pas suffisamment pour lui faire vraiment mal, mais assez pour donner le ton de ce qui allait suivre. La relâchant soudainement, il la saisit par les épaules et l'aida à se retourner, pour qu'elle lui présente ses fesses.

« Une bonne chienne doit savoir se mettre à quatre pattes », commenta-il, en la troussant sans ménagement jusqu'à la taille, avant d'envoyer une belle claque rougir son postérieur.

La culotte qu'elle portait lui fut tout bonnement arrachée et lançant un regard complice à Edessa il écarta les jolies fesses galbées de la vampire, exposant son anus aux yeux de tous. Avoir un public ne dérangeait pas Jack, bien au contraire, d'autant qu'il avait le pressentiment que celui-ci ne resterait pas bien longtemps passif. En définitive, il s'apprêtait à la traiter comme il l'avait fait dans la salle de classe... A la différence près qu'il agissait sur ses ordres et avec le profond désir de lui plaire.A la vue de sa corolle, l'excitation le disputait à une certaine perplexité ; comment un orifice aussi étroit avait-il pu accueillir une grosse queue comme la sienne ? Gardant les deux fesses de la petite vampires écartées, l'homme glissa le bout de sa langue avide dans son fondement, entreprenant de lents détourage. L'une de ses mains se déplaça vers l'avant pour venir caresser le clitoris de son amante. Si Jack était un inconditionnel de la sodomie, il savait qu'une stimulation vaginale ou clitoridienne pouvait démultiplier un orgasme anal. Lorsqu'il sentit la jeune femme suffisamment détendue, il glissa le bout de son majeur et de son annulaire en elle, sans cesser de stimuler son entrée principale.

« Une bonne chienne doit aussi savoir réclamer, si elle veut se faire enculer », glissa-il, haletant d'une voix rauque. Il était si excité qu'il lui semblait que sa queue allait juter à la moindre caresse. Agitant vivement ses doigts en elle, il se pencha à son oreille pour lui glisser quelques mots, presque tendrement.

« Réclame, grosse chienne, réclame ma belle bite ! »

Jack et Melinda partageaient - outre leur goût pour la sodomie- une forte propension à la vulgarité pendant l'acte sexuel, et il savait que ces mots l'exciteraient probablement autant que lui. Assurément, cette partie de jambes en l'air promettait d'être mémorable !

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Jack soupira d'aise en caressant négligemment les cheveux de la petite blonde qui suçait sa grosse verge avec application, utilisant le bout de ses doigts pour masser ses testicules pleines en aspirant son gland entre ses lèvres entrouvertes. Mary était une américaine des plus délurée, qui faisait office de rabatteuse pour Jack, depuis qu'il l'avait surprise en train de se masturber dans les vestiaires des garçons et administré une correction... Mémorable. Affalé dans son fauteuil, les pantalon sur les cheville, le prétendu professeur observait avec ravissement la salle de classe, transformée en véritable baisodrome. Soucieux du bien être de ses élèves, il avait réuni les cinq dernier gaçons encore puceaux de sa classe et leur avait livré Asuka , une dure à cuire du club de Kendo qui disait préférer les filles, mais ne disait jamais non à une – ou plusieurs – belles verges dressées. La jeune femme se faisait prendre par deux lycéens en rut, et ronronnait de plaisir en tétant une troisième verge. Quant aux deux derniers garçons, ils avaient décidés de s'amuser ensemble et frottaient leurs sexes respectifs l'un contre l'autre en s'embrassant passionnément. N'y tenant plus, il attrapa Mary par le poignet, et l'aida à l'enfourcher, se mordant le lèvre inférieure lorsque son gland percuta l'intimité de la jeune fille. Celle-ci s'empala docilement en couinant, les mains posées sur ses épaules musclées. Jack la laissa imposer son rythme sur l'imposante colonne de chair, se contentant de l'encourager du regard, un grand sourire plaqué sur son visage. La petite ondulait de plus en plus brutalement, le visage dans le creux de l'épaule de son professeur, sa chevelure châtain et ondulée en désordre... Châtain ? La jeune femme leva des yeux verts amusés vers Jack et découvrit ses petites canines aiguisées. Mary avait disparu, et c'était Mélinda qu'il baisait... Ou plutôt qui le baisait. L'attrapant par les hanches, Jack serra le corps de sa maîtresse contre lui, joignant ses coups de bassins à ses mouvements de hanches, alors qu'elle le mordait sans ménagement entre le cou et la clavicule.

« Hum... Maîtresse... »

Émergeant doucement du sommeil, Jack ouvrit un œil, puis deux, avant de s'étirer de tout son long, un peu désorienté. Le décor avait changé. Il ne s'agissait plus d'un donjon, mais d'une belle chambre à coucher plutôt cossue. Qu'est-ce que... Ses souvenirs étaient chaotique et la seule chose dont il se rappelait était la douleur intensément jouissive qu'il avait ressenti à se faire prendre le cul par les acolytes de Melinda. Un léger mouvement du bassin le fit grimacer. Son anus était encore douloureux et il aurait probablement du mal à s’asseoir pendant quelques jours. La belle vampire était là, son joli postérieur posé à côté de son oreiller.

« Plus ou moins, oui », répondit-il à la maîtresse des lieux, étonné de se trouver aussi frai et dispo, après une séance aussi éprouvante. « Combien de temps suis-je resté assoupi ? »

Le songe qu'il avait fait était extraordinaire, et Jack se promis de présenter en temps voulu, la petite Mary à Mélinda, certain que la vampire apprécierait de jouir de la belle ingénue. Alors qu'il se redressait sur les coudes, Jack s'aperçut que son sexe pointait fièrement vers le ciel, le gland légèrement humidifié par un filet de semence probablement imputable à son rêve.

« Vous occupez l’entièreté de mes pensées, petite maîtresse », lança-il. « Ma queue ne se dresse que pour vous satisfaire. »

Et c'était entièrement vrai... Du moins pour l'instant. Dénué de toute pudeur, l'homme attrapa son propre sexe et commença à le masturber avec douceur. Mélinda et lui n'étaient pas seul ; dans un coin sombre de la pièce, se tenait le beau Bran, alors que debout à côté du fauteuil, une plantureuse jeune femme dotée de cornes et d'une queue préhensile l'observait avec un air singulier. Ça alors... Jack avait fait de nombreuses recherches pour son travail officieux, et au vu de ses caractéristiques physiques, il lui sembla qu'elle appartenait à l'espèce des succubes, ces démons femelles assoiffés de luxure. Jusqu'à lors l'agent Taylor ne doutait pas de leur existence, mais il n'en avait jamais rencontré jusqu'à ce jour.

« Votre château est plein de surprises, Mélinda » ajouta-il, avant de se déplacer sur le lit, collant son corps nu et tiède contre les dos de la jeune femme. Saisissant avec délicatesse la main de son hôte, Jack la porta à ses lèvres et y déposa un baiser, avant de la poser sur son sexe enflé, soupirant d'aise au contact de la paume fraîche de la vampire.

« Vous m'aviez promis une récompense, si je parvenait à ne pas m'évanouir, avant que vous ne jouissiez n'est-ce pas ? Je pense avoir rempli ma part du marché. »

Il bluffait, évidemment. Il lui semblait avoir vu Mélinda jouir avant de s'évanouir, mais n'en était pas certain, d'autant que la vampire ne boudait pas son plaisir, en règle générale. Mais il voulait croire que cet arrangement était de bonne augure. Glissant sa main vers l'intimité de la jeune femme, il se pencha pour l'embrasser avec douceur. Sans nul doute, les choses n'allaient pas tarder à dégénérer, mais cela ne l'empêchait pas de commencer tranquillement ; après tout, il venait de se réveiller.

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One Shot / Re : La mains dans le sac (PV)
« le: lundi 24 août 2015, 14:04:07 »
Matthew s'écarta tranquillement du centre de la pièce. Si le jeune homme n'avait pas reconnu l'endroit où il se trouvait, c'est probablement parce qu'il n'y avait jamais fichu les pieds ; c'était le second sous-sol de leur maison, ou, bien des années auparavant, Matthew enchaînait Rebecca, avant de lui faire subir moult sévices. Quant il la sentait prête à exploser, Matt l'emmenait sur le lit à baldaquin situé au fond de la pièce, où il la sodomisait brutalement jusqu'à la faire jouir. Si la vue obscène de la verge et de l'anus dilaté d'Andy avait excité son fils, en ce qui le concernait c'était de voir le regard de ce dernier se troubler, sa poitrine se soulever et s'affaisser plus rapidement, et sa belle queue imberbe se dresser qui rendait Matthew ivre de désir. A l'étroit dans son boxer, son énorme vit se gorgeait de sang. Discret, Mike s'était éclipsé dans un coin de la pièce, prêt à intervenir au besoin.

Le garde du corps, après avoir neutralisé Lohan, le laissant s'effondrer dans les bras se son père, avait poursuivi, et rattrapé Andy sans difficulté, puis l'avait ramené de force au pavillon. Le pauvre jeune homme avait ensuite été solidement entravé, puis préparé pour la séance par de lentes et infernales masturbations. Son cul, étonnement s'était révélé vierge et le sportif avait grogné de douleur lorsque le premier plug lui avait été introduit. Mais au bout de quelques minutes il se dandinait en couinant comme une petite pute Matthew avait eu du mal à se retenir de ne pas le déflorer lui-même.

« Oui, voilà... Souffla-il », les yeux rivés sur la verge bandée de son rejeton. Oh, il lui tardait tant de la prendre en bouche !

Bon sang ne saurait mentir ; Matthew savait que son fils avait probablement hérité de son goût immodéré pour la luxure, et les faits lui donnèrent raison. Si Lohan s'efforça pendant quelques seconde de se retenir de foutre son ami, il finit par céder, approchant son gland violacé de l'anus dilaté, avant de s'y engouffrer d'un coup de bassin, faisant bondir sa victime, qui s'empala littéralement sur la queue tendue. L'apparence androgyne de son fils était trompeuse et les violents coups de bassin qu'il décrochait à Andy prouvait que Lohan était un un amant doué et vigoureux ; Matthew n'aurait pas pu en être plus fier. Il vint rapidement à bout d'Andy, lequel jouit bruyamment en expulsant une quantité assez impressionnante de semence sur le visage de son fils, et sur son propre torse. Lohan lui, n'avait pas éjaculé mais avait interrompu ses va-et-viens dans le cul d'Andy. Souhaitait-il accorder un instant de répit à son amant ? Il en était évidemment hors de question.

« Défonce-le encore, Lohan », ordonna-il impérieusement en se glissant dans le dos de sa progéniture.

Lorsqu'il plaqua son sexe prisonnier contre la croupe de son fils, Matt sut que tout retour en arrière était désormais impossible ;Il bandait comme un taureau. Posant l'une de ses mains sur la hanche de garçon, il passa la second sur son torse, agaçant les tétons de Lohan du bout de ses doigts, enfouissant son nez dans les cheveux d'or emmêlés de Lohan, humant son odeur sucrée.

« Si tu le baises bien, je saurai te récompenser », lâcha-il d'un ton fiévreux, en glissa sa main entre les jambes du jeune homme pour caresser amoureusement ses bourses gonflées. Il avait dans les mains les couilles de son fils et il lui semblait n'avoir jamais été autant excité. Cédant à une impulsion subite, il saisit le menton de l'éphèbe pour le tourner vers lui, avant de plaquer ses lèvres avides contre les siennes, envoyant sa langue à la rencontre de sa celle de son fils, goûtant avec délectation à la semence du pauvre Andy, agité de léger frissons. Ce faisant, Matt donnait de légères impulsions au bassin de Lohan, le forçant à faire coulisser sa verge dans l'anus malmené de son partenaire. Approchant sa bouche entrouverte de son oreille, Matt encourageait sa progéniture.

« Insulte-le, Lohan. Fais-lui comprendre qu'il n'est qu'une petite salope soumise à notre bon vouloir, un esclave uniquement bon à se faire enculer par ses maîtres ». Matt se débarrassa rapidement de sa chemise, avant de plaquer son torse dénudé contre le dos tiède du blondinet. Sur un geste de son patron, Mike s'était rapproché et lui avait tendu la clé des menottes, permettant au jeune homme d’attraper la croupe d'Andy, s'il le souhaitait, ou mieux encore de s'emparer de la verge du captif qui enflait à nouveau. Matt ne craignait plus que son fils n'essaye de s'enfuir ; le désir prenait petit à petit le pas sur la crainte et la honte. « Lorsque tu auras terminé Lohan, tu pourras t'occuper de ma queue... Je suis sûr qu'elle te plaira », conclut-il, avant de l'embrasser avec une certaine tendresse.

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One Shot / Re : La mains dans le sac (PV)
« le: jeudi 20 août 2015, 13:20:12 »
Les yeux braqués sur l'écran de sa tablette, Matthew observa son fils unique pénétrer dans la chambre parentale avec un autre jeune homme , plus grand et plus athlétique que Lohan, aux formes plus androgynes. L'avocat soupira lorsque les des éphèbes s'enlacèrent, se laissant tomber ensemble sur le lit conjugal. Il n'avait jamais eu le temps de s'occuper de ce petit morveux, comptant sur Rebecca pour élever au mieux leur progéniture. Mais la belle idiote avait échoué sur les plans ; non seulement elle avait gâté au possible cet enfant providentiel, mais en outre, lorsqu'il était parvenu à l'adolescence, elle avait été incapable de lui fixer la moindre limite. Privé de repères, Lohan flirtait avec la petite délinquance locale et s'envoyait en l'air avec toutes les pétasses qui lui tombaient sous la main. Cependant, Rebecca le lui avait assuré ; ça avait toujours été des filles... la scène qui se déroulait sous ses yeux tendait à démontrer que là encore, sa femme avait tort. Mon fils est une petite pute, constata-il, en observant Lohan sucer la belle verge dressée de son amant. Dans la mesure ou Matthew passait la plupart de son temps à New-York ou bien à l'étranger et que sa femme n'était pas en mesure de combler son monstrueux appétit sexuel, ils avaient convenu ensemble, dix ans plus tôt – Rebecca avait beaucoup pleuré- qu'il formaient désormais un couple libre, chacun pouvant s'envoyer en l'air avec qui il le souhaitait. Cependant, il avait installé, à l'insu de cette dernière, une demi-douzaine de discrètes petites cameras dernier cri, qui étaient censé lui permettre d'observer les ébats de son épouse, presque aussi porté sur la chose que lui-même. Cela n'avait rien à voir avec de la jalousie, bien au contraire ; voir sa ravissante épouse se faire tringler par quelqu'un d'autre devant ses yeux avait toujours été l'un de ses fantasmes. Cependant, Rebecca se contentait de se masturber – énormément -, sans sauter le pas, ce qui le déçut fortement.

Depuis quelques semaines, c'était le jeune Lohan qui profitait des longues journées de travail de sa mère, pour s'envoyer en l'air avec ses petites copines, ce que son père observait entre deux meetings, sur sa tablette numérique.

« Mike, j'ai changé d'avis, je rencontrerais monsieur Kent après le dîner. J'aimerais faire quelque chose avant. »

Le colosse basané qui lui servait de garde du corps et de chauffeur opina du chef, sans répondre. Mike était la créature de Matthew. L'avocat l'avait sorti de la rue et des combats de freefight clandestin pour le prendre à son service. A ses côtés, l'homme avait ce dont il avait toujours rêvé : femmes, argent et alcool à volonté. Il suivait son patron à la trace, et exécutait le moindre de ses ordre sans hésiter une seule seconde... Y compris les plus sordides.

« Je pense que mon fils a besoin d'une bonne leçon. Ce gamin n'a jamais eu de limites... ».

Matthew repoussa une mèche grisonnantes rebelles sur le côté de son front. L'homme portait bien sa quarantaine. Plutôt grand et athlétique, il y avait dans ses traits de descendant d'italien, quelque chose de sauvage et brutal qui faisait minauder ses conquêtes. L'a petite fortune sur laquelle il était assis, Matt l'avait gagnée à la sueur de son front, finançant ses études par d'épuisants jobs de nuit, avant de devenir l'un des plus redoutables avocats d'affaire de New-York, grâce à ses relations avec la pègre. Alors que la berline tournait dans la rue ou se trouvait la villa familiale, Matt observa l'amant de son fils introduire sa queue bandée dans l'anus serré de son fils et se mordit la lèvre inférieure en agrippant fiévreusement son propre sexe à travers le tissu de son pantalon. Cet enfant du diable le faisait bander comme un taureau. La première fois qu'il avait vu le sexe de son fils à l'écran, puis sa croupe, il avait détourné le regard honteusement... Mais n'avait finalement pas pu s'empêcher de regarder le reste de la vidéo. Lohan était beau comme une fille. Pendant de longues semaines, il avait songé à son corps imberbe d'éphèbe lorsqu'il culbutait des escorts-girls... Et voilà que son fils lui donnait sur un plateau d'argent, une motif, une raison valable et légitime d'abuser de son corps gracile.

« Ecoute-moi bien Mike », commença-il, la voix enrouée par l'excitation. « Tu vas faire exactement ce que je te dis ».

Et Matthew lui expliqua son plan.

Quelques instant plus tard, Matt ouvrait d'un coup de pied la chambre conjugale, le visage déformé par la fureur. Vêtu d’un élégant costume deux pièces en alpaga, il avait néanmoins pris la peine d'ôter sa cravate, afin d'être plus libres de ses mouvements pour ce qui allait suivre.

« Espèce de petit pédé, t'as pas honte de faire des cochonneries pareilles dans le lit de ta mère ? Ah, si elle savait, la pauvre ! »

Paniqué, l'amant de son fils récupéra ses fringues, avant de s'enfuir par la porte fenêtre de la chambre, qui donnait sur le jardin. En l’observant trottiner cul nul sur la pelouse, Matt ne put s'empêcher d'avoir un sourire narquois, avant de reposa les yeux sur son fils, louchant malgré lui sur sa belle érection. Résistant à l'envie de s'en saisir, Matthew gifla fortement le garçon, ce qui le fit chanceler. Avant qu'il ne puisse se remettre de ses émotions, un énorme bras lui enserrait les épaules, alors qu'un tissu imbibé de chloroforme lui était appliqué sur le nez. Sans surprise, le jeune homme s'effondra entre les bras du colosse qui le ceinturait, son érection diminuant à vue d’œil... Pour l'instant.

Lorsque le jeune homme repris ses esprits, il se trouvait dans une cave, éclairée par quelques bougies parfumées, toujours nu comme un ver et attaché à un pilier circulaire par une solide paire de menottes.au milieu de la pièce,, son bel amant, le jeune Andy était suspendu à une poutre, le visage tourné vers le plafond. Un bandeau entravait sa vision et un rapide regard vers ses fesses indiquait qu'un plug noir s'y trouvait. Le homme bandait fortement et s'agitait de temps à autre en gémissant doucement. Matthew, assis à l’envers sur une chaise observait son rejeton émerger du sommeil, un mauvais sourire aux lèvres. Il avait retiré sa veste, déboutonna sa chemise et retroussé ses manches jusqu'aux coudes.

« Lohan mon petit », souffla-il, le regard fiévreux. « Tu m'a beaucoup déçu aujourd'hui. Tu t'es comporté comme une petite chienne, alors que j’attends de toi que tu deviennes un homme. »
L'homme d'affaire se leva, saisissant la verge bandée d'Andy pour la masturber doucement, passant la pulple de son pouce sur le gland humide en fixant son fils de ses yeux à l'éclat surnaturel.

« Il te fait envie pas vrai », persifla-il, en poursuivant ses caresses. « Je veux que tu le sodomise jusqu'à ce qu'il ne puisse plus parler. Regarde-le se tortiller, il n'attend que ça en plus, cette petite salope ! Mike, je te prie ? »

Matthew ne mentait pas ; dès qu'Andy avait senti le contact de la main de l'avocat sur sa verge, il avait commencé à s'agiter en grognant, poussant son bassin vers le haut. Dans le dos de Lohan, le colosse s'avança, pour libérer un instant le jeune éphèbe, avant de lui menotter les mains dans le dos. Avec une étrange délicatesse, il écarta les fesses du captif d'une main, pour en extraire le plug, dévoilant un anus brun lubrifié, et déjà bien dilaté.

« Allez, dépêche-toi de l'enculer »,
grogna-il impatiemment à l'adresse de son fils.

187
La séance de domination extrême que subissait le pauvre professeur n'avait plus rien d'un simple jeu sexuel. La belle vampire réclamait vengeance et semblait déterminer à user et abuser de lui jusqu'à l'épuisement. Le pire était probablement que Jack n'y voyait aucune objection, oh non... Bien au contraire, il n'avait d'autre désir que celui de se vautrer inlassablement dans le stupre. Le rôle du dominant lui seyait à merveille, mais pour l'heure, il se plaisait dans celui du bon chien, qui remuait la queue quand il se faisait brutalement sodomiser. Quelque part, au fond de lui, le professeur craignait que cette séance n'affecte durablement sa sexualité. Avant même sa rencontre avec Mélinda, l'agent Taylor était un maniaque, incapable de passer plus de quelques heures sans se branler, ou sans coucher avec quelqu'un, ce qui l'avait mis à de nombreuses reprises en porte-à-faux vis-à-vis de ses supérieurs. Et voilà qu'envoyé à Seikusu, pour discrètement observer les phénomènes surnaturels qui s'y déroulaient, l'homme se faisait copieusement baiser par des vampires et leurs infatigables servantes. Mais n'était-ce pas là une manière comme une autre de se rapprocher au plus près du sujet étudié ?

Nasha, infatigable, lui baisait encore la bouche avec sa grosse queue juteuse, alors que Jack s'affairait dans son cul dilaté. Tantôt Jack enfonçait doucement ses doigts dans le fondement de la belle noire, massant ses sphincters distendus, alors que l'instant d'après il retirait sa main, laissant l'anus bailler avant de s'y réintroduire brutalement de nouveau, produisant un bruit de succion obscène.

« Ghm... j'aime...Les grosses queues, oui... argh.... » parvint-il à articuler, avant que Nasha n'écrase ses couilles pleines contre ses lèvres, enfouissant sa verge au plus profond de sa gorge meurtrie. Manquant de s’étouffer à chaque nouvelle introduction, Jack comprenait à présent la difficulté de certaines de ses amantes à prendre sa grosse verge en bouche. Pendant ce temps, Alyssa s'amusait avec son anus, massant les parois sensibles de ses doigts fuselés, ce qui faisait frissonner le captif, qui s'était cambré pour lui faciliter la tâche. Cependant, il était loin de se douter de la tournure que prendrait la suite des événements. Les mots doucereux d'Alyssa le mirent cependant sur la voie.

« Mhh ? »

La troisième esclave de Mélinda, qui s'affairait depuis quelques minutes venait de lui enrouler quelque chose autour de la bite. Le professeur sentit les battements de son cœur s'accélérer, jetant des regards éperdus à Mélinda qui l'observait en souriant. A la première décharge, Jack poussa un grognement de surprise étouffé, alors que sa queue ainsi stimulée remonta pour frapper son abdomen, déposant un peu de foutre liquide contre sa peau brûlante. La blondinette en profita pour s'enhardir, le pénétrant plus vigoureusement de ses doigts fuselés. Par ailleurs, les décharges se multipliait, faisant tressauter le pauvre professeur, alors que sa belle bite joufflue était agitée de soubresauts irrépressibles, rebondissant inlassablement contre ses abdominaux saillants. Soudain, la douleur explosa dans son fondement, alors qu'Alyssa forçait son anus pour y introduire l’entièreté de sa main. Sous le choc, il mordit sans le faire exprès la queue de Nasha et interrompit le massage anal qu'il lui infligeait pour s'affaisser sur les genoux et les coudes, les fesses tendues vers l'arrière. Les yeux exorbités, Jack qu'il allait s'évanouir, mais le stimuli électrique irrégulier sur sa verge tendue l'en empêcha.

« HMMM  HMMM ! »

Sale pute, sale pute ! Ne sachant au juste s'il maudissait Mélinda, Nasha ou la blonde qui lui écartelait le cul, Jack Attrapa enfonça ses doigts tremblant dans les cuisses musclées de l'hermaphrodite qui ne cessait de pénétrer sa bouche de son dard. La douleur était insoutenable et le professeur sentit de fines larmes naître au coin de ses yeux, alors que ses sphincter se contractaient convulsivement autour du poignet de sa tortionnaire. Je vais crever putain... L'homme voyait trente-six chandelles et la pièce tournait autour de lui, alors qu'il se cramponnait tant bien que mal à Nasha. Incapable de réagir, il se laissait défoncer la bouche et l'anus en hoquetant, les yeux révulsés, la salive dégoulinant le long de son menton. La voix de Mélinda lui proposant un dilemme cornélien lui parvint de très loin, et il fut bien en peine de lui répondre.

« Hgm... arrête...ça... AHH... », parvint-il à articuler, entre deux gorges profondes.

La douleur ne refluait pas ; Jack avait même l'impression qu'elle augmentait. Mais au milieu de cet océan de souffrance, une tiède vague de plaisir prenait de l'ampleur et se mêlait à la douleur, sans la supprimer, mais plutôt en l'épousant, en se mêlant à elle. C'est...bon. Compris-il, alors que de violents spasmes l'agitaient tout entier. C'est en recevant en plein visage un jet de son propre foutre brûlant que Jack s'aperçut qu'il jouissait. Sa grosse queue enflée, stimulée par l'électricité expulsait des quantités invraisemblables de sperme, au rythme des décharges qu'elle recevait. Il éclaboussa ainsi les jambes gaînées de cuir de Nasha, son propre torse, ainsi que le sol, le rendant encore plus glissant.

«Uhh ahhh... »

Jack se cambra, foudroyé par un second orgasme, alors que son anus se se refermait brusquement sur la main d'Alyssa, bloquant toute extraction pendant quelques secondes, alors que son impressionnante éjaculation se tarissait progressivement, des coulées tièdes continuant à suinter de son méat pour imbiber ses testicules, et jusqu'au poignet de la jolie blonde, planté dans son cul. Lorsqu'il se détendit enfin, Jack s'effondra littéralement sur le sol en frissonnant, lové dans son propre foutre. Les yeux mi-clos,il observait le cul de Mélinda rebondir sur la grosse queue de son frère adoré. Elle s'empalait avec délice, faisait coulisser l’entièreté de la virilité de son aîné dans sa chatte. Je ne dois pas... m'évanouir, songea il, en se mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang. C'était cependant une affaire de seconde, et il le savait.

Jack voulait faire plaisir à sa maîtresse et... Il voulait également sa récompense.

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Les alentours de la ville / Stupre et homonymie [Cata]
« le: lundi 17 août 2015, 16:38:16 »
Il était curieux de constater à quel point les paysages japonais pouvaient être contrastés ; une petite demie-heure de taxi et un environnement tropical et paisible s'était substitué au centre-ville hyper-moderne de Seikusu. 

« Ça vous fera 14 000 yens, m'sieu ». Le véhicule s'était arrêté à l'entrée d'une grosse station balnéaire. De sa fenêtre entrouverte, Jack apercevait un petit port auquel étaient affrétés yachts, catamarans et même un petit voilier en bois de noyer. Plus loin, surplombant la plage, se trouvaient les hôtels, les clubs et les casinos, attraction privilégiée des lieux.   

Jack paya le taxi sans regimber, et ouvrit la portière de la mercedes neuve avant de rabattre ses solaires sur son nez. Il était dix-neuf heures passées, mais le soleil chauffait encore l'asphalte de la marina. L'agent Taylor était parvenu à négocier quelques jours de congés avec ses employeurs, à condition de ne pas trop s'éloigner de Seikusu. Ponctionnant ses économies, l'homme avait décidé de réserver une suite au Mermaids, un luxueux hôtel du bord de mer, pourvu d'un SPA, d'une immense piscine commune et de nombreuses autres réjouissances que le site internet du palace invitait à découvrir par soi-même.

Alors qu'il traversait le port de plaisance, croisant de riches vacanciers en maillot de bain, Jack surpris le regard appréciateur d'une jeune femme qui sirotait un cocktail coloré à l'arrière de son yacht et lui adressa un grand sourire en retour. Le prétendu professeur de lycée avait troqué son habituel costume pour une tenue estivale plus appropriée ; chemise en lin rayée bleu et blanche , aux manches retroussées, chino khaki et bottines en cuir de cordovan – même en vacances, Jack tenait à être d'une élégance irréprochable.

« Fiouh », lâcha Jack, lorsqu'il pris possession de sa chambre, une vingtaine de minutes plus tard.

Comme dans la plupart des hôtels de luxe, il s'agissait davantage d'un petit appartement aux couleurs chatoyantes, pourvu d'une immense salle de bain, d'un bar américain, d'un petit salon, et d'une grande chambre qui faisait face au levant et... A l'océan. Une petite terrasse , une dizaine de mètres au plus au niveau de la mer, permettait d'apprécier davantage la vue sur la plage de sable fin.

« J'aimerais savoir si vous disposez de cigares cubains », hasarda-il à l'intention du garçon d'étage, qui se préparait à s'éclipser discrètement.

« Monsieur trouvera probablement son plaisir dans le fumoir. Vous disposez également de plusieurs paquets de cigarettes différents, ainsi que de deux pipes neuves. Si vous manquez de tabac, je vous invite à solliciter la réception. »

Jack eût une moue appréciatrice, en contournant le mini-bar, généreusement pourvu en alcool en tout genre, y compris en whisky, ce qui le fit sourire.

« Décidément, on ne manque de rien ici, hm ? Peut-être d'une ou deux jeunes femmes dénudées, à la limite... », lança-il d'un ton badin, pour taquiner son pauvre interlocuteur, qui s'empourpra légèrement, sans toutefois se démonter. Ce n'était probablement pas la première fois qu'il avait ce genre de conversation avec un client.

« La grande salle de réception à l'étage accueille des... artistes, à partir de vingt-deux heures. Probablement pourrez-vous vous entretenir avec l'une d'entre d'elles. Les tarifs de leurs...prestations sont bien évidemment compris dans le prix de votre suite. »

Contrairement à ce qu'on pouvait penser, les hôtels qui employaient des escort-girls n'était pas une chose rare, surtout s'agissant d'établissements de luxe. Il était arrivé à plusieurs reprises que l'agent Taylor trompe ainsi sa solitude. Néanmoins ce soir, les services d'une professionnelle ne l’intéressaient pas; il rêvait de tranquillité. Hochant la tête pour congédier le jeune homme, Jack se servit un verre de Yamazaki single malt - sans glace, un étonnant alcool japonais, élu meilleur whisky du monde un an plus tôt. Ouvrant la porte fenêtre de la véranda, Jack s'installa dans un confortable canapé à l'extérieur, pour siroter sa boisson, et posa ses lunettes de soleil sur une table basse. Bercé par le roulis des vagues et le chant des grillons, le brave homme ne tarda pas à s'assoupir, alors que la nuit commençait à tomber sur la station balnéaire.     

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Se délectant de l'épaisse verge brune de Nasha, Jack inspirait profondément, humant l'odeur racée de la belle noire, s'étouffant presque, alors que son gland percutait sa glotte douloureuse. Son annulaire vint bientôt rejoindre son majeur dans le fondement de la dominatrice alors que Jack les agitait de plus en plus vigoureusement, à mesure qu'elle s'habituait à la pénétration. A en juger par les mouvement frénétiques de son bassin et ses soupirs évocateurs, la jeune femme appréciait le traitement qui lui était infligé, ce qui ne manqua pas d'amuser le prétendu professeur.. Étant lui-même un homme, il savait exactement quelle pression exercer sur cette grosse queue pour la flatter sans la meurtrir et comment masser ses sphincters pour les assouplir. La jeune femme ne boudait pas son plaisir, et défonçait à présent la gorge de Jack, dont le nez venait s'écraser brutalement contre le pubis en sueur de son amante. Lorsqu'elle lui laissa quelques secondes de répit, Jack lécha la belle verge sur toute la longueur de sa hampe, avant de titiller l'urètre et de suçoter le gland gonflé.

«  Maîtresse est une grosse pute, hein ? Je suis sûr qu'elle aimerait sentir ma grosse queue défoncer son anus. Hmm... »

La blonde, Alyssa, qui branlait son gros vit de sa petite main, venait de délaisser ses tétons érigés pour glisser plusieurs de ses doigts fuselés dans son anus encore béant et sensible, qu'elle fouilla sans ménagement, faisant convulser d'aise le journaliste, alors qu'un très léger filet de sperme translucide s'écoulait de son méat. Jack avait beau fouiller ses souvenirs, il ne se souvenait pas d'avoir participé à une orgie aussi jouissive et scandaleuse. Avec Melinda et ses sbires, tout semblait possible, jusqu'à ses fantasmes les plus odieux. L'avilissement qu'elle lui faisait subir aurait détruit l’ego d'un jouisseur moins expérimenté,mais Jack, qui se considérait pourtant comme un alpha dans la vie ordinaire, trouvait une immense délectation à se faire traiter comme le dernier des esclaves par une lycéenne... Une lycéenne vampirique, mais une lycéenne quand même.

L'homme jeta un coup d'oeil au beau Bran ; le colosse s'était religieusement agenouillé devant sa petite sœur, son sexe pendant entre ses jambes musclées, et lui léchait les pieds avec application, alors que Mélinda elle-même se délectait tranquillement de la situation. Jack se demanda si comme lui, le séduisant colosse aimait se faire sodomiser, et s'il aurait l'occasion de lui rendre la pareille, pour le remercier de l'avoir si bien défoncé. Ce qui était certain à présent, c'est que le frère et la sœur devait avoir des rapports sexuels fréquents. L'homme sourit en songeant à la fois ou il avait surpris Melinda en train de copuler dans une salle de classe ; il l'avait baisée sans ménagement, mais étant donné le calibre du sexe de son frère, qui était du même acabit que le sien, la belle vampire n'avait pas dû être dépaysée. Le plaisir intense qu'il avait ressenti à se faire prendre comme une femme par un homme aussi viril et membré que lui donnait des vertiges ; il n'avait jamais couché qu'avec des jeunes hommes androgyne et considérait de fait qu'il n'était pas vraiment bisexuel, simplement un peu déviant. Mais ce qui venait de ce dérouler dans ce donjon venait démentir cette croyance avec éclat ; c'était une nouvelle facette de sa sexualité, que découvrait l'agent Taylor et c'était... Vertigineux

Jack raffermit sa prise sur la queue de Nasha, la branlant de plus en plus vigoureusement, la fixant intensément de ses yeux vairons. Une aussi belle futa, ça ne courrait pas les rues. Quatre de ses doigts pilonnaient à présent le cul distendu de cette dernière et il espérait bien la faire jouir rapidement ; une futanari pouvait-elle éjaculer ? Jack n'en avait aucune idée, mais il espérait que tel était le cas, et que sa maîtresse du moment l'éclabousserait de foutre tiède.

« Donne-moi tout ma belle, remplis-moi bien la gorge ! », la cajola-il d'un ton fiévreux, avant de reprendre le chibre en bouche, sans quitter des yeux sa belle amante.
 
Son propre vit, stimulé par les caresses de la jolies blonde avait repris sa taille colossale, et palpitait entre ses mains. Jack se savait endurant ; il avait épuisé bien des amantes et il lui arrivait fréquemment de jouir plusieurs fois de suite. Néanmoins, l'odieuse luxure qui baignait les lieux lui donnait une énergie sexuelle incroyable, surnaturelle.

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Où pouvait-il aller ? Un sursaut d'orgueil fit grogner l'agent Taylor. Maintenant qu'il avait recouvré des forces, il pouvait probablement briser ses entraves en se jetant sur le côté ; le chevalet avait l'air solide, mais Jack avait une vigueur relativement exceptionnelle. Il s'agirait ensuite de neutraliser rapidement l'homme... Enfin si c'en était un, avant de bousculer ces succubes pour s'enfuir par la porte métallique du fond... Un sacré programme, surtout lorsque l'on se doutait que tout ce beau monde n'était probablement pas humain.

« Va te faire foutre », cracha-il, conscient de sa plus complète impuissance.

Il s'apprêtait à être encore plus gros grossier lorsqu'un violent coup de bassin lui coupa la respiration ; le colosse dans son dos s'activait de plus belle, maltraitant allègrement ses fesses musclées et hâlées.Putain de merde. Sous l'effet de l'excitation, la verge de l'inconnu avait encore gonflé, arrachant un grognement à chaque fois que son extrémité percutait sa prostate. Cette queue était énorme et la pénétration douloureuse. Néanmoins cette avilissante sensation d'écartèlement était délicieuse, et le professeur s'abandonnait chaque seconde davantage aux coups de butoirs de son amant, manquant par instant de tourner de l’œil, tant les sensations étaient vertigineuses. Soudain, dans son dos, l'homme se raidit, avant d'expulser de puissants jets de foutre chaude dans ses entrailles, arrachant un long râle rauque au prisonnier alors qu'une nouvelle vague de jouissance explosait dans son bas-ventre. L'orgasme fut long, presque interminable, son anus se contractant convulsivement autour de la queue qui se vidait en lui. Écarquillant les yeux, Jack se rendit compte qu'il n'éjaculait pas...En tout cas pas comme d'habitude. Un léger filet de semence translucide s'échappait de son méat et glissait entre les doigts de la blondinette qui le branlait doucement. Finalement l'homme se retira lentement de son orifice béant dont s'écoulait le fluide tiédit.

« Ahh... »

Jack n'eût guère le temps de se remettre de ses émotions ; Mélinda défit rapidement ses entraves et le jeta au sol d'une simple poussée de la paume. L'homme roula sur le sol glacé, le regard trouble. Sa verge toutefois, collée à son torse glabre, s'érigeait fièrement. L'énergie sexuelle de Jack le surprenait parfois lui-même. Lorsqu'il était plus jeune, il pensait que tous ses camarades se masturbaient une quinzaine de fois par jour, et éjaculaient en très grande quantité ; il n'avait réalisé sa différence qu'à la fin de l'adolescence. Jack ferma les yeux un instant, frissonnant au contact du carrelage. Lorsqu'il les rouvrit, la petite blonde se pencha sur lui, et posa ses lèvres contre les siennes, mélangeant sa langue avec celle du prisonnier, sa petite main toujours refermée sur l'épaisse verge.

« Humm... »

Plutôt que de lui répondre, Jack se redressa doucement sur les coudes, et s'empara de la nuque de la jeune femme, l'embrassant brutalement à son tour, avant de pincer ses lèvres entre les siennes l'espace d'un instant. Un rapide regard vers l'homme qui se tenait en retrait le surpris. Bien qu'il fut particulièrement athlétique, le complice de Mélinda n'avait pas les traits d'une brute épaisse ; il était beau, avec des traits fins et de longs cheveux de jais. A vrai dire, il lui rappelait quelqu'un... Se pouvait-il que... ? Cette fille est complètement cinglée ! Coupant cours à ses réflexions, la belle noire se campa devant lui, sa belle queue au garde-à-vous. L'homme souris et se redressa sur les genoux. Jack était de bonne taille et il lui fallut se pencher légèrement pour emboucher sans hésiter le sexe de l'hermaphrodite qu'il branlait d'une main experte, serrant fermement le vit un peu au dessous du gland, sans toutefois l'écraser. De sa main libre, il incita sans douceur la petite blonde à faire de même avec sa propre queue, en pressant sur son épaule.

« Occupe-toi de la mienne, petite pute », lui glissa-il, presque avec tendresse.

Sa seconde main avait glissé le long de la jambe de l'hermaphrodite, et palpait sans ménagement son postérieur rebondi. Alors que sa langue s'enroulait une nouvelle fois autour du gland gonflé de la jeune femme, Jack fit glisser majeur et annulaire dans la raie tiède de ses fesses, pour flatter le renflement de son anus brun. Sans surprise, la corolle paraissait souple ; de toute évidence, Mélinda appréciait autant la sodomie – passive et active – que lui, et utilisait allègrement ses esclaves à cette fin. Crachant sur ses doigts, il posa la pulpe de son majeur contre le fondement de la noire, puis le fit doucement, mais inexorablement pénétrer dans son anus, sans cesser de la masturber et de téter son gland avec avidité.

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« Oooh… »

Jack frissonna ; après l’extraordinaire extase qui l’avait foudroyé, son corps s’amollissait et la tête lui tournait. L’homme était un amant extraordinairement fougueux, mais à l’inverse de ses tortionnaires, il était humain…Et il avait besoin de récupérer. Mélinda ne semblait néanmoins pas disposée à l’entendre de cette oreille, non plus que son compagnon masculin qui défonçait toujours son orifice distendu avec force et fougue. Par reflexe, les parois malmenée se contractaient de temps à autre sur la verge massive dont elles avaient à présent épousé la forme. L’inconnu le gratifiait de coups de bassins de plus en plus violents et ses grognements évocateurs laissaient supposer qu’il n’allait pas tarder à inonder le cul de l’agent Taylor de foutre chaud. Bien qu’épuisé, Jack ne put s’empêcher d’esquisser un faible sourire ; il se promettait de rendre la pareille à son amant, autant par vengeance que par reconnaissance.

Quant à la blondinette qui se trouvait à ses pieds, Jack l’avait senti tressaillir, puis manquer de s’étouffer en avalant le jet de semence ininterrompu qu’il avait expulsé dans sa gorge. Ca lui apprendra à jouer à la plus maligne, songea-il, avec une pointe d’orgueil. Il n’eût pas l’occasion de s’appesantir sur ces réflexions, puisque la belles noire lui releva le visage en lui tirant brusquement les cheveux vers l’arrière, avant de lui fourrer un beau morceau de chair entre les lèvres. Jack écarquilla les yeux, alors qu’il manquait à son tour de suffoquer. Une bite, elle avait une bite elle aussi ! La verge brune, à demi-bandée, n’était pas aussi impressionnante que celle de Jack, ou de l’homme qui le sodomisait, mais elle était de bonne taille et son gland venait percuter sa glotte à chaque coup de bassin. 

« Hmm mhh ! »

L’agent Taylor n’avait pas sucé beaucoup de queues, mais étant un homme il avait une idée assez précise de la manière dont il fallait gratifier un sexe masculin. A cet égard, lorsqu’il s’était occupé de celle de Mélinda, cette dernière semblait avoir plutôt apprécié le traitement. Néanmoins, la jeune femme ne souhaitait pas simplement se faire sucer ; elle lui baisait la bouche, sans le moindre égard, déformant ses joues de temps à autres alors que le fouet s’abattait inlassablement sur ses omoplates, la douleur réveillant son corps fiévreux. A quatre pattes, la troisième jeune femme emboucha à nouveau son sexe débandé, faisant glisser ses lèvres sur sa hampe. Stimuler un phallus immédiatement après éjaculation était toujours un peu désagréable et Jack grogna, se débattant vainement pour libérer son sexe. Cependant Mélinda s’approcha de lui, passant sa main griffue sur son dos meurtri avant d’approcher sa bouche de son oreille. Un irrépressible frisson de désir lui remonta le long de l’épine dorsale alors qu’il fantasmait sur les longues heures d’orgie qui se profilaient. Aurait-il le droit de baiser à nouveau Mélinda ? Sa queue se raidissait imperceptiblement, alors qu’il songeait à leur précédente rencontre et à l’ardeur avec laquelle la belle vampire avait accueilli son pieu dans le cul.

L’hermaphrodite ne lui laissait que peu d’occasions de respirer, mais lorsqu’elle marqua une courte pause les lèvres pincées, probablement pour ne pas éjaculer, Jack tourna son regard vitreux vers son élève.

« Mélin…Maîtresse. Libérez-moi, ne serait-ce que les mains, par pitié ! »

Sa voix grave s’était cassée sur la fin de sa phrase ; la sourde chaleur provoqué par la sodomie interrompue glissait à nouveau vers le plaisir.

« Je ne m’enfuirais pas », ajouta-il, alors que la queue, cette fois bien bandée de la noire se glissait à nouveau entre ses lèvres.

Il ne mentait pas, il en voulait davantage. La sexualité débridée de l’américain était quasiment maladive. En l’absence de partenaire sexuel, il pouvait se masturber plus d’une dizaine de fois par jour. Initialement hétérosexuel, son inaltérable appétence l’avait entraîné à s’intéresser aux hommes et… A des créatures plus exotiques, du genre de celle dont il suçait justement la verge. En aussi bonne compagnie, il était hors de question de mettre les voiles. Au bout de quelques minutes, son sexe avait retrouvé de sa superbe, et grossissait entre les mains de la blondinette. Sa prostate, mise à rude épreuve enflait également et Jack ne put s’empêcher de grogner d’aise, alors que ses sensations revenaient. Levant les yeux vers la belle hermaphrodite, il la défia du regard alors qu’il faisait tourner sa langue autour de sa verge brune. 

 

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: vendredi 27 février 2015, 18:51:01 »
Jack n’avait jamais été aussi humilié de toute sa vie. Il dévoyait avec une intense délectation les plus innocents, mais voyait son propre corps comme un temple. Aujourd’hui, ce temple était profané et… Il adorait ça. Ses sphincters s’étaient légèrement détendus à présent, et son cul acceptait plus facilement cette queue colossale qui coulissait brutalement dans son fondement avec un bruit de succion obscène. Néanmoins, chaque nouveau coup de butoir le défonçait, et la douleur ne disparaissait jamais vraiment ; curieusement elle persistait mais cela décuplait son plaisir : son corps tout entier était agités de légers spasmes, et si le chevalet ne le retenait pas, l’agent Taylor aurait probablement chuté au sol. De toute évidence, l’homme qui le possédait était athlétique ; ses coups de bassins étaient puissants, sa poigne solide.

 « Ah… Aaaah… »

Maîtresse Mélinda l’avait délaissé, mais la belle et solide noire se tenait à présent devant lui, exhibant son sexe à quelques centimètres de ses lèvres, protégé par une mince couche de tissu. Ivre de désir, Jack voulait bouffer cette chatte dont l’odeur musquée lui remplissait les narines jusqu'à lui donner des vertiges.

« Laissez-moi…Argh…Vous lécher », parvînt-il à articuler entre deux ahanements.  

Profitant des violents coup de bassins que lui administrait son bourreau pour enfouir son visage entre les cuisses de la surnaturelle jeune femme, Jack entreprit de laper consciencieusement son entrecuisse. Au bout de quelques secondes, la culotte fut parfaitement détrempée et moulait la forme bombée du sexe de la succube. La jeune femme avait beau être costaude, sa chatte, elle avait l’air bien étroite. Cependant, répondant à ses prières, son élève – car Mélinda était après tout, l’une de ses élèves – autorisa la blondinette à libérer sa bite.  Jack ne put s'empêcher de soupirer d'aise lorsque sa verge turgescente fut délivrée par les doigts habiles de la petite blonde, même s’il dû faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer immédiatement.

Sous les lèvres taquines de sa libératrice, le membre désormais bandé atteignit des proportions si impressionnantes qu'il était parfaitement impossible pour la jeune femme d'en faire le tour avec sa main. Attaché comme il l’était, Jack ne pouvait pas voir la fellation qui lui était prodiguée mais il imaginait sans peine son énorme gland déformer les lèvres vermeilles et les joues pâles de la créature gracile.  

 « Putain ouais…Suce ma grosse queue, espèce de salepute », cracha-il. Même réduit à l’impuissance, Jack demeurait un mâle dominant… même s’il avait conscience que son insoumission aurait probablement des conséquences...Fâcheuses.

Chaque coup de rein du complice de Mélinda lui arrachait des râles rauques, et sa queue convulsait d'elle-même, expulsant un léger filet continu de semence qui s’écoulait entre les lèvres de la belle esclave de Mélinda, prélude à la foudroyante éjaculation qui, Jack le savait, ne tarderait pas à survenir.  L’agent Jack Taylor avait déjà couché avec plusieurs partenaires à la fois, mais il n'avait jamais fait l'expérience de se faire sodomiser pendant qu'on le suçait ; le plaisir allait au-delà de l'imaginable et le pauvre homme en perdait la tête, ne sachant ce qui le faisait le plus jouir, de la grosse queue qui lui pourfendait le cul, martyrisant sa prostate gonflée ou des lèvres et doigts habiles de la jeune femme qui s'occupait de sa verge. C'était avilissant, immoral et cruel, mais qu'est-ce que c'était bon !

Dans son dos, Son amant s’échauffait ; cédant à ses prières, il défonçait à présent le pauvre Jack qui l'entendait soupirer sourdement, alors que son souffle tiède venait mourir entre ses omoplates moites. L'homme le fessait copieusement, laissant de larges traces rouges sur sa peau légèrement hâlée.

« Bordel... AHHHHH ! »

Jack se raidit, les yeux révulsés, alors que son anus se contractait plusieurs fois comme un étau autour de la verge intrusive. Son propre vit expulsa de puissants jets de foutre brûlant qui se répandirent sur le beau visage de la blondinette et inondèrent le sol, ainsi que que les cuissardes de la noire qui lui caressait toujours les cheveux. De longues secondes s'écoulèrent avant que invraisemblable flot de semence ne se tarisse, et que ne demeure qu'un léger filet translucide, s'échappant de son méat. Frissonnant d'aise, l'agent taylor était à présent dans un état quasi-catatonique, le regard vague, les lèvres étirées sur un sourire béat. C'était l'une des meilleurs baises de sa vie.   

193
Le terrible Melinda le toisait de tout son orgueil piétiné, savourant sa vengeance avec volupté, le traitant avec la légèreté dont on use envers un animal de compagnie. Comme ses compagnes - ou esclaves - la vampire était vêtue d'une scandaleuse tenue de cuir qui mettait en valeur ses formes graciles, et notamment le cul rebondi qu'il avait tant aimé défoncer. L'agent Taylor aimait de temps à autres échanger les rôles avec une femme, la laisser prendre le dessus, parfois même l'attacher ou le fouetter... Mais toujours avec l'assurance que le jeu n'était que temporaire, et qu'il reprendrait in fine ses droits de mâle dominant. Aujourd'hui c'était différent :  il était complètement à la merci de la jeune femme. Et pourtant, sa verge gonflait encore dans sa prison, atteignant des proportions impressionnantes : même s'il se refusait à l'avouer, il brûlait d'envie de sentir la grosse queue de l'inconnu en lui. La vampire se fit câline, flattant le beau mâle de ses mains gantées, avant de lui agripper les cheveux, alors qu'il sentait l'homme se rapprocher dans son dos.
 
"Att..attendez... Par pitié !", parvint-il à articuler,
 
Jack hoqueta de surprise ; la verge turgencente de son agresseur percuta son anus une première fois, puis s'écrasa à nouveau contre sa corolle avant d'y pénétrer sans douceur. La queue de cet homme était encore plus imposante que ce à quoi il s'attendait, et Jack hurla de rage et de douleur, les yeux fermés et les dents serrées, alors que l'homme s'enfonçait inexorablement dans son arrière-train. Ses sphincters se resserraient convulsivement autour de la verge, alors que Jack s'efforçait de pousser , pour rendre son passage moins douloureux, appliquant silencieusement à lui-même le conseil qu'il avait temps de fois susurré à ses amants avant de les posséder. Et malgré cela, ça faisait un mal de chien.
 

"Sa...Sale pute ! ca te fait mouiller hein ? Arrête-le bordel  ! Argh..."
 
Jack avait levé les yeux vers la maîtresse, qui imperturbable, le cajolait. Cette foutue salope. Cependant, à la fulgurante douleur des premières secondes, succédait une étrange sensation de chaleur, qui irradiait son bas-ventre. Merde, merde. L'anus de l'agent Taylor commençait à se détendre, permettant à l'homme qui le possédait d'y glisser sans à-coups, alors que l'étrange jeune femme munie d'une cravache abattait sans ménagement son arme sur son dos dénudé, y laissant des traces ambrées. La respiration de l'agent Taylor avait ralenti. A chaque aller-retour, il sentait le gland enflé de son agresseur frotter contre sa prostate gonflée avant de s'écraser au fond de ses entrailles, lui arrachant des râles involontaires de plus en plus sonores. Lorsqu'il sentit les couilles pleines de l'inconnu s'écraser contre les siennes, il ne put s'empêcher de se mordre la lèvres inférieure, alors que son regard se perdait dans le vague. Oh merde. La plus joueuse des complices de Melinda s'était accroupie devant le chevalet. L'ingénue jouait avec ses testicules et soupesait la verge engoncée dans le cuir et l'acier de la ceinture de chasteté. Alors que sa langue prenait le relai de ses doigts habiles, jack leva un regard implorant vers sa tortionnaire.
 
"Je... Oui j'aime ça, Maîtresse.. ah... Mais laissez-moi... Bander AAAH !"
 
En effet, la ceinture empêchait la verge de Jack de se déployer entièrement, tant elle était épaisse, ce qui lui causait une douleur sourde. De fines coulées de sperme coulaient le long de sa hampe et dégouttaient de la ceinture alors que l'agent Taylor ne pouvait plus s'empêcher de rejeter ses hanches vers l'arrière à chaque coup de bassin de l'inconnu pour mieux s'empaler sur cette formidable queue, s'efforçant d’apercevoir par dessus son épaule le visage de celui qui le possédait ainsi.
 
"Plus fort"...murmura-il, honteux, fuyant le regard triomphant de Mélinda, avant d'élever le ton "Encule-moi mieux que ça, bordel !", gronda-il finalement, le regard lointain, le corps agité de violents soubresauts. Son anus se contractait à nouveau, signe qu'il n'allait pas tarder à jouir une première fois.
 

194
Jack grogna. Il avait les paupières lourdes comme du béton, et un mal de crâne aussi violent que les lendemains de fête de sa jeunesse agitée. La morsure du cuir sur sa peau le fit sursauter, et il ouvrit péniblement les yeux. L’endroit dans lequel il se trouvait ne ressemblait en rien à sa chambre… Ou à la chambre de n’importe qui, en vérité. Cela ressemblait plutôt à une cave, ou un donjon. Alors qu’il essayait de se redresser, l’agent Taylor se rendit compte qu’il était entravé, aux poignets comme aux chevilles et… Qu’on lui avait fourré un truc dans la bouche, qui l’empêchait de produire autre chose que des onomatopées.

« Mh hmm ! »
 
La poussée d’adrénaline qu’il ressentit suffit à l’éveiller entièrement. Il avait faim, froid, et ses articulations étaient douloureuses. En face de lui se tenaient trois femmes étranges vêtues de cuir. L'une d'elle avait la peau brune et... des crocs qui se découvrirent lorsqu'elle se mit à rire. La seconde, qui tenait entre ses doigts la cravache qui lui avait mordu la chair était plus grande, et moins trapue que sa partenaire mais le sourire mauvais la rendait presque plus effrayante. Quant à la troisième, légèrement en retrait par rapport aux deux autres, elle avait la peau laiteuse et l'ossature délicate. C'était typiquement le genre de filles que l'agent Taylor aimait fesser copieusement pour leur faire rougir le cul avant de les sodomiser brutalement. Dans d'autres circonstances, Jack aurait bandé à la simple vue de ces trois voluptueuses créatures, mais la situation dans laquelle il se trouvait était trop destabilisante pour l'exciter. Baissant les yeux, l'agent spécial s'aperçut qu'il était attaché à un genre de chevalet et qu'il était... Parfaitement nu. L'homme banda les puissants muscles de son dos pour essayer de se libérer, mais ne parvint qu'à s'écorcher davantage les poignets. Eh oh, c'est quoi ce délire ?

Fermant les yeux quelques instants, Jack s'efforça de mettre ses souvenirs en ordre. La veille il avait quitté le lycée vers plus de vingt-trois heures ; c'était l'anniversaire de Tanaka, un timide professeur de mathématique. Jack lui avait promis une surprise; il avait invité deux de ses élèves et commandé plusieurs magnum de champagne qu'ils s'étaient envoyé tous les quatre dans une salle de classe déserte. Puis Jack avait décidé qu'il était temps pour Tanaka, trentenaire, de perdre sa virginité. Il avait incité les lycéennes à le sucer et... Les choses avaient dérapé. Tanaka s'était rapidement vidé entre les cuisses de la plus jeune de ses élèves en agitant furieusement sa tige, et avait passé le restant de la soirée à se masturbé mollement en observant Jack pénétrer les jeunes femmes à tour de rôle. C'est donc épuisé et satisfait qu'il avait pris le chemin du retour. Il n'avait pas pris gare au véhicule qui le suivait sur la chaussée, et ses réflexes émoussés par l'alcool et la langueur post-coït en avait fait une cible facile pour ses ravisseurs.

L'homme tressaillit au contact des doigts sur sa peau, alors que s'élevait, triomphante, la voix de cette foutue peste de Mélinda Warren, qu'il reconnût immédiatement. Celle-ci ne tarda pas à lui faire face, tandis-ce que quelqu'un d'autre semblait s'intéresser de près à ses fesses musclées. Les doigts étaient plus longs et plus épais que ceux de vampire ; c'était probablement... un homme. Oh merde... 
Pour se souvenir de Mélinda, Jack s'en souvenait. Il avait encore l'image de son cul laiteux rebondissant sur ses couilles, alors que la jeune femme accompagnait de bonne grâce par de petits coups de bassins la violente sodomie qu'elle subissait. L'homme ne put s'empêcher d'esquisser un léger sourire, dans la mesure de ce que lui permettait le gag ball. Il l'avait traité comme ce qu'elle était, une petite pute qui aimait se faire défoncer le cul... Et voilà qu'elle lui en tenait rigueur à présent ? Pendant que Mélinda parlait, l'inconnu dans son dos s'enhardissait jusqu'à presser une verge chaude contre son arrière train. Jack commença à paniquer. « Hm mh ! » Les muscles bandés, il s'agita dans tous les sens avec l'espoir vain de faire basculer le chevalet d'un côté comme de l'autre...Mais ne réussit qu'à s'épuiser davantage.

« Att...Attend un instant, Mélinda » ; implora-il, les yeux écarquillés, lorsqu'elle le délivra du gag ball. « Je ferai tout ce que tu veux, je te lécherai même les orteils... mais éloigne-le de moi ! »

Jack Taylor avait beau être bisexuel, il n'avait l'habitude de coucher qu'avec de jeunes éphèbes, de jolis garçons aux traits délicats qui couinaient comme des filles quand il les empalait sur sa belle queue. Par ailleurs, il les laissait assez rarement le sodomiser, son orgueil supportant assez mal la perte de contrôle consécutive à une sollicitation appuyée de sa prostate. Quand à la verge de cet homme, elle était probablement bien trop épaisse pour qu'il puisse le pénétrer sans lui déchirer les entrailles.

« Mélind... heu Maîtresse...Je serai un bon esclave, mais par pitié, tout sauf ça ! »

Pis encore que la douleur qui s'ensuivrait, c'est la honte et l'humiliation que Jack craignait le plus. Serrant les fesses et contractant son anus, l'agent Taylor serrait les poings, suspendu aux lèvres de sa geôlière, alors qu’imperceptiblement, son phallus emprisonné se gorgeait de sang. 
 

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Les alentours de la ville / Re : Oraison du soir [Jack Taylor]
« le: samedi 14 juin 2014, 22:33:56 »
Le professeur sentait vaciller la volonté du blondinet. S'il s'était laissé séduire par Jack, qu'à il se laissait faire par peur des représailles ou bien les deux ensemble, l'intéressé n'en avait pas la moindre idée et à dire vrai, il n'en avait cure ; l'ampleur de son désir avait franchi le point de non-retour et il ne s'arrêterait à présent qu'une fois ses pulsions entièrement assouvies. Aussi à ses protestations outrées, Jack répondait il par des caresses de plus en plus fiévreuses. Alors que sa main droite ne quittait plus le sein de l'adolescent, torturant inlassablement son extrémité,  l'autre glissait langoureusement sur son torse glabre, épousant chacun de ses muscles juvéniles pour atteindre inévitablement la toison de son pubis. Alors que Jack pensait venir titiller un membre endormi, sa paume rencontra une queue tiède et fièrement érigée, sur laquelle il referma délicatement sa grosse main. Le professeur ne pût s'empêcher de gronder d'aise ; le corps d'un homme ne pouvait mentir.

« Espèce de petit menteur », lâcha-il d'une voix rauque, tout près de son oreille.

A l'aveugle, le satyre avait décalotté le sexe du jeune homme et le masturbait comme seul un homme savait le faire ; régulièrement et fermement en faisant de temps à autre glisser sa paume brûlante sur la peau si sensible de son gland. N'y tenant plus, il délaissa le téton rosé de sa victime pour dezipper la fermeture éclair de son pantalon, et l'envoyer sur ses cheville, son boxer ne tardant pas à le rejoindre. C'est le moment que choisit l'adolescent pour tenter d'échapper à son étreinte, avant que la poigne inflexible de son tortionnaire ne se referme sur son épaules pour le plaquer à nouveau contre son corps musculeux, l'énorme vit érigé du professeur venant se nicher aux creux des reins du blondinet, maculant la robe de soie de ce dernier de quelques gouttes de semences tiède. Il tremble. De peur ou d'impatience ?

Sans crier gare, Jack saisit le lycéen par les épaules et le força à faire volte face, le calant fermement contre le meuble de la cuisine, avant de se pencher vers lui et poser ses lèvres avides sur les siennes. Je vais le dévorer, songeait-il, alors que sa langue s'insinuait dans la bouche de son amant contraint, une main derrière sa nuque encore humide, l'autre sur sa hanche d'albâtre. Plus bas, leur deux queues dansaient un ballet obscène ; l’extrémité du sexe de Kåre  butait contre les testicules gonflés de son aîné. Amusé, l'homme souleva presque sans effort son Ganymède du jour pour déposer son fessier sur le bord d'une table en bois massif, le rehaussant ainsi d'une petite dizaine de centimètres par rapport à son professeur et ouvrir sèchement le peignoir de l'adolescent. Incapable de détourner le regard de cette belle queue juvénile, Jack cracha dans sa main droite, et avança son bassin vers celui de  Kåre, refermant sa paluche gluante sur son phallus, comme s'il se préparait à le pénétrer, guettant les réactions du jeune homme avec avidité. Néanmoins, il se contenta d'unir de sa poigne les deux verges érigées et gonflées de désir, puis de les branler de concert, sa salive les faisant coulisser l'une contre avec aisance, produisant un claquement mouillé des plus obscène. Il n'était pas encore temps de pénétrer le jeune homme.

« J'ai l'impression que ça te plaît, petit vicieux », lui glissa-il goguenard, avant de se pencher en avant pour venir mordiller la lèvre inférieur du blondinet. Abuser de l'adolescent ne lui suffisait pas, il voulait le perdre, jouir de la honte qui se peindrait sur son visage lorsqu'il s'abandonnerait au mâle dominant.

« Te violer Kåre ? Quelle drôle d'idée ! Je vais te baiser, et tu vas adorer ça. »

Il y avait longtemps que le professeur n'avait pas fait l'amour avec un aussi bel éphèbe, le dernier en titre ayant été un prostitué de luxe aux yeux de biche à Hanoï, qu'il avait chevauché des heures durant. Soudain, une question qu'agent Taylor ne s'était pas encore posée se présenta à son esprit embrumé. Je me demande s'il est puceau... Ses réactions corporelles laissaient penser qu'il était attiré par les hommes, ce qui néanmoins ne signifiait pas qu'il était passé à l'acte.

« Tu l'as déjà fait ? », lança-il finalement, un brin radouci, sans cesser ses odieuses caresses un seul instant.

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