Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: dimanche 20 septembre 2015, 15:31:28 »« Haaan... T'es... Tellement bonne, petite maîtresse ! »
Échauffée, son petit corps gracile rebondissant brutalement contre le bassin arqué de son amant, la belle lui retourna son baiser et les deux amants échangèrent lascivement leurs salives, alors que Jack empoignait l'une de ses petits seins alourdis par l’excitation, le malaxant doucement avec sa paume, avant d'en triturer cruellement le téton érigé avec la pulpe de son majeur. Accédant à sa requête, la vampire l'abreuva d'insultes de sa petite voix suave de salope. Ses mots résonnaient dans la tête de Jack, nourrissant son désir, stimulant sa vigueur. Oh oui, il avait aimé se faire défoncer le cul sur les ordres de sa petite maîtresse aux yeux d’émeraude. Et maintenant il avait l'occasion de lui rendre la monnaie de sa pièce, de faire descendre la petite princesse aux cheveux châtains de son piédestal en la faisant couiner comme une pute avec sa grosse queue. L'homme délaissa sa petite poitrine pour lui asséner de belles claques sur les fesses, rougissant sa peau d'albâtre, se penchant pour coller ses lèvres à son oreille, renchérissant sur la même thématique ordurière, et ô combien aphrodisiaque.
« Tu... Tu n'as pas honte de te faire ainsi traiter par tes esclaves ? Comme un... Vulgaire vide-couille ? Mhh... »
La pièce embaumait le stupre, la sueur et la cyprine et Jack sentait qu'il perdait le contrôle ; Mélinda était tout simplement trop bonne et il sentait qu'il n'allait pas tarder à jouir. Ralentissant progressivement la cadence, il finit par s'immobiliser totalement, et glisser une main experte entre ses cuisses pour branler consciencieusement son clitoris. La petite mouillait tant que les draps, leurs cuisses respectives et ses couilles étaient trempés de son jus intime. Se perdant dans sa longue crinière, l'homme enfonça deux de ses doigts dans son intimité, reprenant sa sodomie avec une lenteur calculée.
« Encule-toi, petite maîtresse, je veux que tu t'empales comme une grande sur ma grosse queue...comme... Comme la pire des chiennes. Allez remue ton cul ! »
Jack avait une nouvelle fois saisi Melinda à la gorge et lui mordillait le cou, refrénant avec peine son envie de reprendre une vitesse de croisière. Une fois de plus, il ne tint guère plus de quelques secondes avant d'attraper la petite vampire par les hanches, enfonçant ses doigts dans sa chair tendre en haletant. Son cœur battait à tout rompre et sa queue convulsait, planté dans le cul de sa maîtresse. Retirant entièrement sa verge de l'anus à présent distendu de sa petite amante, il la réintroduisit brutalement jusqu'au couilles, produisant un bruit mouillé des plus obscènes. Les yeux quasiment révulsés, l'homme lui démolissait à présent littéralement le cul, sans égard pour la fragilité apparente de son corps gracile d'adolescente. Usant de son fessier musculeux pour envoyer son chibre au plus profond de ses entrailles, il usait de ses biceps pour la ramener à lui en grognant comme un animal en rut.
« HAAA... ! La Reine des... Putes, tu es... vraiment la Reine des putes, ma belle ! Jouis, petite maîtresse, jouis avec ton... Avec ton cul de...de CHIENNE ! »
Les insultes fusaient, sans réelles logiques, l'homme n'étant plus réellement en état de réfléchir, défonçant Melinda sans vergogne, et continuant de temps à 'autre à la gratifier de claques sonores qui rougissaient sa peau de poupée. Il la besognait avec une telle violence que la tête de la jeune femme s'agitait d'avant en arrière, percutant les pectoraux tendus de son amant, qui usait d'elle comme un véritable sac à foutre.
« HAAAANNNNN ! »
Pour la énième fois, les bourses lourdes et juteuses s'écrasèrent contre la chatte trempée de Mélinda, projetant un peu de cyprine alentour, alors que Jack explosait littéralement dans son cul, son gros chibre expulsant de phénoménales quantités de foutre brûlant, par longs jets puissants. Ahanant comme un aliéné alors qu'il jutait en elle, il attrapa le menton de la vampire pour l'embrasser à nouveau avec voracité, la gratifiant de derniers coups de bassin désordonnés. Presque horrifié par la longueur de l'orgasme qui le foudroyait et par la quantité de sperme qu'il expulsait et qui arrondissait le petit ventre de son amante, il finit par se laisser tomber sur le dos, son sexe colossal amolli glissant hors de l'anus de la jeune femme, libérant une quantité invraisemblable de foutre qui souilla les draps.
« Petite maîtresse je... Je veux te baiser encore et encore. Ma queue...Et mon cul sont tout à toi », glissa-il, les yeux mi-clos, sa main s'égarant sur la hanche tiède de son amante, qu'il attira doucement à lui, enlaçant son corps gracile, posant ses lèvres entre ses omoplates. Contre ses abdominaux saillants, son chibre avait molli, mais son érection était encore présente alors que d'ultimes coulées de sperme s’échappaient lentement de son méat pour couler sur son abdomen. Le professeur encore abruti par l'orgasme ne doutait pas qu'il ne lui faudrait que quelques minutes pour être à nouveau d'attaque... Et si tel n'était pas le cas, Mélinda trouverait forcément un moyen de le stimuler.