Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Don

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le docteur et le Don. [Privé]
« le: jeudi 31 mars 2011, 20:27:51 »
L'entrée n'était pas un problème, l'important c'était de ressortir. En effet se trouvait derrière le docteur l'une des proies les plus precieuses du Don, Shannon, aussi connue sous le nom de Shannon au cheveux de feux a l'époque où elle était encore libre, l'une des mercenaires les plus célèbres et les plus redoutables de tout Nexus, réputée dans tout le royaume jusqu'en Ashnard, c'était une guerrière d'honneur, de principes et de courage qui avait séduit tout le monde, jusqu'a ce qu'elle disparaisse mysterieusement...A l'époque ou le Don avait décidé d'agir contre sa petite lubie de se monter contre son réseau d'esclaves. Il l'avait capturée a grand peine, fait payer pour les dégats subi, brisé son esprit et sa combativité, ainsi que tout ce en quoi elle croyait. Une fois qu'il lui avait brisé son âme il lui avait ouvert la tête pour lui inserrer toutes sortes de choses en quoi elle devait croire a présent, comme le fait d'être une esclave docile et obeissante envers son maître. Dès lors Shannon s'était révélée d'une fidélité a toute épreuve, un outil des plus pratique combinant une servitude absolue a une maitrise du combat de l'épée qui n'était renforcée que par son pouvoir meurtrier de Pyrokinésie très savament controlé. Le Docteur allait surement finir en barbecue dans le pire des cas, dans le meilleur néanmoins...Il pourrait tirer son épingle du jeu.

Néanmoins on ne pouvait pas dire qu'il partait avec les meilleures cartes.

Marcus se servit un verre de bourbon avec autant d'aisance que si celà avait été son propre bureau, il respirait la confiance en soi qu'ont les nobles en leur propre pouvoir. On pouvait dire qu'il était dans la peau du personnage et qu'il ne faisait pas planer l'ombre d'un doute sur lui. Il le fixa de ses yeux bleux, un sourire assuré sur ses lèvres, faisant un peu voyager son alcool dans son verre, il n'en faisait pas trop, juste assez pour avoir l'air crédible et pour montrer que cette prestation était naturelle, comme une seconde nature. La conduite du docteur fit tiquer imperceptiblement Marcus. Il savait que selon les critères de son patron il avait déjà signé son arrêt de mort en s'approchant de ses livres, néanmoins il avait choisi une pièce de théatre, a vrai dire Don ne lisait pas enormement, et quand il achetait des bibliothèque, il les prenait souvent déjà livrée, elles étaient là pour permettre de construire l'illusion d'un personnage raffiné.


-Fort dommage, je pensais qu'un homme de science saurait apprecier les qualitées de ma collection de vins, c'est bien ce que vous êtes n'est ce pas Docteur ? Un homme de science?

Cette petite question innocente sous entendait enormement plus d'allégations sous jacentes qu'elle n'en avait l'air. La véritable question que posait ici Marcus était "Vous êtes un docteur et vous venez nous vendre des vetements c'est ça ?". Faisant ressortir, si le Docteur en avait assez l'intelligence, que sa couverture n'était pas du tout passée, et qu'ils accordaient peu de crédibilité a cette question. L'homme enchaina en prenant un air génuinement surpris tandis que son gros bras se grattait un peu la tête, d'un air pas sur de trop comprendre une discussion entre adultes

-Vous m'en voyez très étonné Monsieur, j'ai tendance a ne pas m'occuper personnellement de mes fonds dans le textile, et je n'ai eu aucune signifiance de vetements étranges dans les rapports de mes délégués, encore moins celui que nous ayons pris rendez vous. Un homme comme moi ne peut pas souffrir d'avoir des trous de mémoires Docteur de Tardis. Ma position très importante l'exige.

Fit il en triturant le bord du verre de ses doigts blancs et fins, passant d'un air distrait au Docteur puis a Shannon, montrant qu'il lui suffisait d'un signe de tête pour qu'elle le découpe, mais le tout de la manière la plus raffinée et la plus subtile possible que seul un homme d'esprit et de lettres pourrait capter. La tension montait enormement, bien que pour le moment tout ce qu'il avait dit avait été prononcé sur un ton sympathique. C'était le pouvoir du sous entendu.

-Alors si vous ne tourniez pas autour du pot et que vous nous racontiez ce que vous êtes venu faire ici hein ?

Lui lança t'il avec un regard et un sourire affable des plus sympathiques.

-Dites nous tout.

L'usage de la troisième personne était évidement voulu, pour signifier a nouveau au docteur la présence de ses deux personnes capable de le réduire en bouillie.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Le prix à payer [Don]
« le: jeudi 31 mars 2011, 19:17:46 »
Don la laissa se mettre en confiance et sourit a sa tragique histoire. Ouais. Une fille, en plus d'être japonaise, n'avait pas a être toute seule, les services sociaux japonais auraient du la recaller dans une famille d'acceuil si elle ne pouvait pas être hebergée par un membre de sa famille. Son histoire ne tenait pas debout, un peu comme toutes les histoires inventées par des adolescente pour couvrir une chute ou un abandon pur et simple, il sourit a pleines dents quand il entendit parler de son père, un homme très haut placé dans la police nationale. Le prenait elle pour un petit kidnappeur en goguette ? Un petit esclavagiste débutant ou un adolescent qui s'enfuirait a la moindre menace ? Il avait déjà eu affaire a des jeunes filles qui avaient VRAIMENT leur père dans la police, voire dans les services secrets. Celà ne l'avait pas empéché de frapper et d'établir un plan d'attaque. Qui plus est, si il s'occupait d'Aida et l'emmenait jusqu'a chez lui elle n'aurait littéralement aucune chance de s'en sortir. Aussi marchait il d'un pas serein sachant que de toute façon ce n'était pas comme si il avait eu un flingue qui sortait de la poche droite de son jean ou bien des chaines dans son sac. Non voyons, quel genre de barbare prendrais ce genre de choses sur lui ? Non il avait tout ça dans sa camionette. Autrement il avait aussi toujours sur lui un Tazzer mais ce n'était pas la première chose qu'on pouvait voir.

Il l'emmena donc jusque chez lui et se prépara a lui concocter un repas de rêve, ou plutôt a sortir de son frigo ses propres vivres, il lui ramena un reste de poulet pratiquement entier ainsi qu'une salade de légumes, une grande bouteille de Soda et de l'eau au cas où elle ne serait pas portée sur celle ci, un plateau de fromage, du pain et un reste de tarte aux fraises en dessert. Ces aliments étaient très loin d'être japonais mais Don n'était pas très porté sur la cuisine Japonaise, malgré qu'il vivait a Seikusu. Il la laissa manger de tout son saoul, il n'avait intentionnellement sorti que des restes et rien de neuf, pour lui faire croire qu'il était moins aisé qu'il ne le semblait et la laissa tout engloutir. Don croisa les bras sur la table et la regarda simplement manger sans poser de question, comme si il se contentait de la regarder se repaître pour être soulagée, continuant a jouer la victime de la faim et du froid et de l'indiférence japonaise. Elle se mit a manger manger et manger. Don ne fut pas impressioné, elle était morte de faim après tout, mais maintenant elle était en pleine santée. Et la peur était en train de revenir en elle. Elle lui annonça qu'elle allait partir et il lui sourit d'un air enigmatique, sa bouche se tordant sur son agréable visage musclé dans un sourire pour être exact...Un sourire des plus...Inquietant.

Sans dire un mot il se leva de toute sa taille, grandissant d'un air terrifiant et s'avança vers elle d'un pas lent, son ombre obscurcissant la lumière du plafond pendant une seconde auprès d'Aida, il semblait sur le point de la serrer et de lui dire qu'elle ne ressortirais jamais, il leva la main pour taper contre la porte dans le but de lui montrer que celle ci était infranchissable, qu'elle serait son esclave a lui et qu'elle allait payer pour sa naïvetée.

Il pris les clefs et ouvrit la porte a Aida.

Pourquoi ? Pourquoi faire ça alors qu'il la tenait comme dans un étaux? Elle n'avait plus aucune chance de s'en sortir et il la relachait ? Une beauté comme ça ? Pourquoi ? Don eut un sourire jubilateur qu'il passa pour un sourire de bienveillance :Parce que c'était comme ça qu'il marchait. Il aimait jouer avec ses victimes, les mettre en confiance pour ensuite les faire regarder en arrière et se dire "Si seulement j'avais su. C'était ce qu'il aimait le plus, quitte a prendre des risques très gros, il lui lança


"J'espère que ce repas t'as suffit a te remettre en forme. Si tu cherche un endroit pour dormir le temps que ton père revienne je connais quelques adresses. J'ai également une chambre de libre mais j'imagine que je t'intimide un peu trop."

Lui lança t'il en souriant d'un air amical, lui faisant croire qu'il était tout sucre tout miel. Car depuis le début il voyait son hésitation a rester, a lui faire confiance. Il allait briser ça, créer un lien.

Et ensuite il le défoncerais au marteau.

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Opale :) ne te laisse pas intimider. Il y a de la place pour tous les gouts ici et ton personnage doit rester ton propre choix et non pas quelque chose d'issu de la pression de tes pairs, ils te taquinent juste.

Tu as mon feu vert administriel pour ma part, alors ne te préoccupe pas des racontards et va poster ton sujet dans le coin du challant :)

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Bien sur que tu as envie de rire Neidhart, je ne fous pas des coups d'pied dans les côtes avant de parler de brutalité pour rien 8).


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*Gros coup de pied dans les cotes de Neidhart*

"Eh, on se calme là. C'est pas a ça que servent les topics de présentation, et je suis serieux."

Bienvenue Opale, désolé de la brutalité avec laquelle certains t'acceuillent :). J'espère que nous ne te faisons pas trop peur jusque là.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 23:31:23 »
23H31

*S'ennuie*

Où sont mes partenaires de RPPP D':

172
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 22:10:02 »
22h09

*Eclate la tête de Queen avec le mannequin*

"Quand même, j'ai pas besoin de lunettes"

*La rechoppe sous le bras*

*Utilise une main gantée pour toucher X-Smile et annule son pouvoir avant qu'il ne le crame*

*Punche Xsmile dans le ventre*

*Reprend les filles et cours*

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Le rappeur ouvrit un de ses oeils noirs pour regarder la japonaise répliquer dans sa langue d'origine il l'écouta un peu lancer ce qu'elle avait a dire, comme c'était la tradition pour ce qui était des combats d'insultes et plus précisement de rap en amerique et ne l'interrompit pas durant son discours. Il la regarda parler et fit de grands gestes de bras pour montrer qu'il n'était pas d'accord, faisant mine de repousser ses arguments pitoyables d'un air particulièrement horripilant, le rappeur aux dents d'or dodelinais de la tête, assuré, dans son coin du ring. Lorsqu'elle eut fini il éclata d'un grand rire carractéristique des afro americains de ce coté là du globe avant de se lever.

-What the HECK bitch ?! You call that english ? I dont understand ! What aint no country I've ever heard of ! ENGLISH YOU DUMB FUCK CAN YOU SPEAK IT ?!"

Il se moquait de l'accent pitoyable que Kaminishi, comme de nombreux japonais avaient. C'était l'une des grosses lacunes du pays étant donné la prononciation...Particulière des mots. Il leva les bras acclamé par la foule qui, si au moins ne le voyaient pas comme le plus fort, respectaient son sens du spectacle et l'encourageaient a terrasser un champion qui n'avait tellement pas eu son égal, qu'elle était au sommet du Ring depuis le début. Le boxeur eut un sourire doré avant de s'agiter les épaules

-I aint speakin' no Wapaneese ! So wait wait wait wait, you tell'me am' what ? Silly ? Oh boo !

Le public éclata de rire a la mimique du boxeur qui s'essuya les yeux comme si il était en train de pleurer du fait qu'il avait été blessé par la violence de cette insulte. Il répliqua a la jeune femme

-Silly is a wo'd fo lil'gi'ls, and lil gi'ls d'nt figh' mens ! You will learn dat, and I'm gonna be ur Teacher, what da ya thin' of dat bitch ?

Sur ce il décida de se mettre en place son protège dents et de s'avancer vers Kaminishi avant de se mettre en garde, très vite elle put comprendre que même si ce type se la pétait, c'était loin d'être un minable en boxe, en effet celui ci se battait a moitié accroupi, un genoux en avant, la garde haute protégeant son ventre et son visage car il était recroquevillé, un style proche de celui de Tyson...Défensif, mais extrèmement bourrin. Ca risquait d'être une finale a son niveau.

Le gong retentit, montrant que le combat commence.

174
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 21:27:45 »
21h27

*Ecrase un maillet sur la tête de Harley*

"Payback time !"

*Prend Harley sous le bras avec Nycy et s'en va*

175
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 20:13:26 »
20h12

Je l'oublie vous croyez?

*Va se jeter au genoux des paladins de l'Ordre Immaculé*

"HE CALLED ME NAMES" *Donne un paquet de fric et les paladins dégainent leurs armes en hurlant, de la bave aux lèvres et chagent*

"Bon a présent qui m'a tapé sur la tête ?è___é


176
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 19:40:59 »
19h39

*Passe en lisant un livre*

*Touche distraitement satan qui dois a présent porter le poids d'une gamine légère comme Nycy avec son profil de bishounen en carton et le regarde s'écrouler.*

*Tend sa main libre pour receptionner Nycy qui tombe*

*Repars avec Nycy et son livre dans l'autre main*

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Le quartier de la Toussaint / Re : Le prix à payer [Don]
« le: mercredi 30 mars 2011, 19:38:42 »
Don sourit et ne répondit rien. Il aurait pu lui dire qu'il avait ressenti sa main trembler dans la sienne et que celà voulait très clairement dire qu'elle était impressionnée, ou bien tout simplement partir sur le fait qu'il était de toute manière impressionant et qu'a moins qu'elle ne soit pas une humaine normale (Ce dont il se fichait maintenant qu'il lui avait touché le bout des doigts) elle le serait. A sa remarque sur la providence il se contenta de continuer a rester silencieux, lui lançant un sourire satisfait de celui qui a accompli une bonne action. Et quelle bonne action : un petit lot comme Aida pour quelques euros et un repas, alors qu'avec ce qu'elle lui rapporterais il pourrait surement se payer l'équivalent de deux ou trois férarris...Ha ha...Qui aurait cru que son corps vaudrait autant pas vrai? Pas elle en tout cas vu la façon dont elle le traitait. Si c'était pas malheureux. Il faisait toujours attention a ce que ses esclaves ne manquent pas de nourriture, pas au point de leur faire gagner des kilos indésirables, juste assez pour ne pas les rendre disgracieuses. Et Aida n'en était pas encore là vu les "réserves" qu'elle avait.

Elle accepta avec méfiance et Dorian se leva.


"Alors venez avec moi, et racontez moi comment celà se fait que vous vous retrouviez affamée du jour au lendemain. Êtes vous a la rue?"

Lui demanda t'il avec patience et un ton affable. Il ne répondit rien quand a profiter de l'hospitalité qu'il lui offrait. Il aurait pu répondre que ce n'était rien mais il était plus sage de l'impliquer par son sourire, montrant qu'il savait très bien qu'elle n'avait pas le choix.

"Je vous en prie, appellez moi Don."

Lança t'il, lançant le test final a Aida pour savoir ses origines, puisqu'il venait de la toucher elle pouvait toujours essayer de courir en utilisant ses pouvoirs. Elle n'irait pas bien loin. Si elle était originaire de la terre, ce surnom n'évoquerais rien, si ce n'était pas le cas...Il n'y avait pas qu'un âne qui s'appellait Don.

Il se mit a marcher alors, prenant la tête de la marche et tournant le dos a Aida. Ainsi il ne l'opressait pas en marchant derrière ou a coté d'elle et lui montrait qu'il était un homme qui n'avait rien a se repprocher, même si ça pouvait vouloir dire qu'elle allait s'enfuir.

Mais justement, elle n'avait aucune raison de s'enfuir.

Ils arrivèrent bientôt devant une échoppe d'un magasin d'antiquitée qui semblait avoir un succès assez pitoyable, Don ouvrit la porte d'entrée en fer et la fit pénétrer a l'interieur.


"Mettez vous a l'aise je vous apporte a manger."

Lança t'il

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Le monde des combats de rue est un monde impitoyable. Il n'est pas possible de faire un retour en arrière une fois arrivé dans cet univers, car il n'était plus possible de reprendre une vie normale après coup. Soit on était incapable de vivre sans la violence qui faisait partie intégrante de la vie du guerrier, soit...La rue remontait jusqu'a soi et on finissait par couler inexorablement, fondu dans le bitume tandis que des mains goudroneuse vous plaquaient au sol. Lorsque l'homme apparut en plein milieu de la piste et que les regard se tournaient vers lui, celui ci ne fuit pas. Le Don avait passé des années entière a établir sa converture, faire en sorte que nul ne remonte jamais jusqu'a lui en utilisant des intermédiaires plus ou moins indirect, et ça avait été bon jusque là. Mais ce soir apparement tout le monde savait qui il était.

Hasard ? Je ne crois pas.

Son sourrire se dessina sur ses lèvres alors qu'une myriade de dents en or s'affichaient derrière ces lèvres noires. Sa démarche était pathibulaire et il portait la veste des boxeurs challengeurs, son torse était nus et montrait un nombre impressionant de pectoraux forgés a l'art et a la manière de prendre des coups, ses lunettes de soleil éclatant sous les projecteurs, des dreadlocks courrant dans son dos. Il était l'un des boxeurs les plus glorieux de la boxing league aux états unis, il y a dix ans de celà, connu pour ses déchainements violents, il avait été renvoyé des tournois a cause de la façon qu'il avait de blesser ses adversaires. Morgan F.Reemann. Son profil était écrasé par les coups de poings reçus en plein visage, un adversaire qui n'avait nullement peur de recevoir des coups...Celui ci sauta dans l'arène comme on rentre dans un bac a sable et interpella Kaminishi


-CHEERS BRO AND SIS INTRODUCIN' REEMANN INTERRUPTIN' UR PROGRAM TO BLOW YOUR MIND

Lança t'il comme un rappeur balance une paire de rhyme, il demanda a son coach, un grand type avec un feutre et une chemise de lui enlever son manteau ce qu'il fit laissant le public admirer sa collection de dorsaux. Sortant un micro de sa poche il se tourna vers les fans.

-Tonight I'm gonna make that japanese bitch squeal like a pig and after that she's gonna call it for more of big brown chocolate lovin' 'know what I'm sayin' ?"

La plupart du public éclata de rire, les japonais avaient de fortes connaissance en anglais et il n'était pas difficile de comprendre que ce gros boxeur mal foutu voulait exploser Kaminishi et la soumettre comme pas mal de boxeur virils avaient tenté avant eux. Il se tourna vers elle et fit se rencontrer ses gants avec un puissant impact.

-This is the USA here bitch, and Reeman is representin', you japanese whore aint worth shit in mah land !

Cracha t'il entre ses dents jaunes en enlevant ses lunettes laissant paraître une arcade sourcilière bien amochée par une pluie de coup. Le coach derrière lui se contenta de s'asseoir et d'observer. Comme entre chaque round, un des préposés au street fight vint leur ammener des bouteilles d'eau pour que les combattant puisse se désalterer, a lui comme a Kaminishi, Morgan saisit une des bouteilles et mordit dedans a pleines dents, déchirant le goulot en plastique pour la laisser couler sur son torse avant de le recracher avec le bouchon et de lancer un sourire doré a Kaminishi.

Ce type là contrairement aux autres baltringues avait l'air d'être quelque chose.

179
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 30 mars 2011, 17:51:46 »
17H51

Si je gagne tu devra changer ta signature en "Kaminishi the Flying Blowjob"

*Rire maléfique*


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Ville-Etat de Nexus / Re : Le docteur et le Don. [Privé]
« le: mercredi 30 mars 2011, 17:50:27 »
Le papier psychique avait donc pris la forme d'un laisser passer totalement en ordre dans le but d'accéder a la dite villa accompagné d'une demande de rendez vous en ordre. Le garde hocha la tête et alla taper a la porte de la demeure, dont laquelle une jeune femme sortit et s'entretenit avec le garde. Visiblement il fallait faire remonter l'information jusqu'au maître des lieux en utilisant divers intermédiaires, celà faisait partie du luxe d'avoir son identitée encore secrète.

"Je n'ai aucun rendez vous a cette heure là."

Marcus savait depuis le temps qu'il travaillait au service du Don que celui ci ne faisait jamais d'erreur de planning ni d'oubli. Quand on était au sommet on ne pouvait pas se permettre le moindre faux pas, le moindre écart de confiance, ou sinon on se retrouvait avec un couteau dans la gorge, spécialement dans une ville où les assassins pouvaient éventuellement avoir le pouvoir de traverser les murs en plus de traverser les gorges. Pas qu'il se soucie véritablement des assassins a vrai dire, comme toute guilde raisonable, elle est monneillable, et celà leur ferait perdre plus de le ziguouiller que de le laisser grassement les payer pour pouvoir requerir a leur serivce et les envoyer au chevet de quelqu'un. Le Don était un homme accompli a Nexus, il avait parfaitement compris comment fonctionnait ce système, et comme il restait médiéval et en deça de la connaissance développée par le monde Terrien, il pouvait en faire ce qu'il voulait. Marcus avait peu de vent également des activités du Don quand il était en voyage a l'exterieur, mais il avait appris que le meilleur moyen de prendre racine ici était de ne jamais questionner ses méthodes.

Il était un petit bonimenteur de rue a l'époque, il avait monté quelques arnaques et fini en prison, mais c'était là que le Don avait vu son potentiel de beau parleur et l'avait embauché pour devenir son ombre. Cette vie replète convenait a Marcus, dont l'ambition ne s'élevait pas jusqu'a lui couper la gorge pendant la nuit. Ils le savaient tous les deux, les responsabilités inhérente au poste de prince marchand et la violence a exploiter pour garder son poste le fatigueraient a la longue. Aussi appréciait il d'être nourri logé et blanchi des plus magnifiques mets de tout Nexus, et d'avoir le droit de passer derrière le maître sur les esclaves, ainsi que de s'en garder quelques unes si il daignait les lui offrir...Il ne faisait pas preuve de sentimentalisme néanmoins. Il savait que le moindre faux pas et il lui couperais la tête. Le meilleur moyen de survivre avec lui était de se rendre indispensable, ce qu'il était devenu et avec le temps le Don le considérait comme un de ses alliers de confiances dont le rôle était crucial avec sa recrudescence de popularité : incarner le Don dans ses apparitions.


"Docteur de Tardis hein ?"

Le nom ne lui disait rien, l'origine du nom ne lui disait rien, a vrai dire si il y avait eu un prénom il aurait peut être pu en déduire de quelle origine était l'homme, qu'il savait a présent européen, mais ça ne l'avançait pas beaucoup. Un bref regard par la fenètre l'orienta sur origine du coté de l'europe de l'est, France, Angleterre, voire Etats-Unis. Ce type avait déjà commencé par faire l'erreur assez monumentale de venir en Smoking dans un univers qui ne l'avait pas encore inventé...Là il était vraiment confus. Un terrien venant sur Terra et connaissant son existence au point de réclamer une audience ? C'était peut être un piège d'un assassin qui pensait pouvoir jouer sur son interrogation pour l'approcher...Qu'a celà ne tienne. Le Docteur ne s'en doutait peut être pas, mais il était très mauvais de se jeter tête la première dans les affaires du Don. A moins que celui ci ne vienne effectivement pour affaire.

Il se massa le menton doucement tout en regardant par la fenètre et finit par se lever


-Que faisons nous ?

"Va chercher Shanon et ouvrez lui, je compte sur toi pour en apprendre le maximum via son comportement avant l'entrevue, puis si il n'y a pas de danger apparent nous procèderons comme d'habitude."

Marcus hocha la tête et sortit communiquer a sa servante les informations nécessaires, qui elle même dispatcha d'autres servantes sous ses ordres qui s'en furent. On fit finalement rentrer le docteur a l'interieur de la maison. La personne qui lui ouvrit la porte fut une jeune femme plutôt mignone entre vingt et ving cinq ans, aux cheveux bruns mais disposant a sa grande surprise, d'une paire d'oreilles et d'une queue de lapin, elle portait une robe de servante tout ce qu'il y avait de plus classique sans tomber dans la vulgarité qu'on pouvait trouver chez certain vendeur d'esclaves. C'était peut être pour celà qu'il était considéré comme un vendeur de produits "De luxe"

-Veuillez entrer s'il vous plaît Docteur, le Maître va vous recevoir.

Le docteur fut mené jusqu'a une grande gallerie au milieu de laquelle tronait une large table en chène sur un grand tapis persan, Haut contre les mur des tableaux inconnus mais semblant valoir une grande somme. Contre les murs des comodes, a la gauche de la porte un escalier montait a diverses chambres a l'étage. Vu la grandeur de la villa et la disposition des chambres, il était probable que le manoir aie été un ancien dortoir. La lapine lui demanda de patienter ici quelques minutes avant de monter a l'étage. Pendant tout ce temps le docteur aurait, si ses capacités physiques étaient si developés, la sensation d'être observé. Finalement la lapine revint

-Le Maître est prêt a vous recevoir dans son étude.

Elle conduisit le docteur a l'étage en passant une porte en bois massive, elle lui montra en s'inclinant le chemin vers le bureau.

Devant lui se trouvait une grande chambre possédant un large lit a baldaquin ainsi qu'un bureau, sur les murs d'épaisses bibliothèques semblant contenir autant de la littérature que des livres de comptes. Trois portes fenètres permettaient d'accéder a un balcon.

Assis derrière le bureau un homme aux cheveux blonds, proche de la trentaine, les yeux bleux, et richement vétu le regardait avec un sourire charmeur, un masque noir de type venitien lui cachait la moitié du visage. A ses cotés se tenait un homme bien sappé de deux mêtres de haut aux cheveux noirs et au tein basané, ses muscles massifs montraient qu'il n'était pas là pour faire de la finesse.


-Bienvenue Docteur de Tardis, je suis le Don

Lança Marcus avec assurance alors que derrière lui la porte de bois se refermait, derrière le seigneur du temps se trouvait une grande femme d'un mètre quatre ving qui portait un large heaume de fer dont dégoulinaient des cheveux roux bouclés et flamboyants, a sa ceinture, une large épée a deux mains de type européen montrait qu'elle ne devais pas faire dans la finesse. Son visage n'était pas visible et celle ci poussa un sifflement. Marcus, très a l'aise demanda.

-Vous boirez bien quelque chose ? ? J'avoue ne pas me souvenir de notre entrevue. Vous avez eu de la chance que je sois là, j'aurais pu être en déplacement.

Lui fit le "Don" en souriant d'un air enjoleur. En temps qu'acteur, il n'y avait pas meilleur que lui dans tout Nexus, c'était un personnage qu'il jouait depuis des années, et il avait plus de crédibilité dans ce rôle que son propre patron.

-De quoi vouliez vous donc me parler ?

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