Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slade

Pages: 1 ... 10 11 [12]
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« Le rouge n’est pas frais ! »

L’aubergiste le regarda avec des yeux ronds comme des soucoupes et s’approcha illico-presto pour voir de plus près le jeune homme qui osait critiquer la fraicheur des produits locaux !  C’était du vin rouge haut de gamme, on ne critiquait pas quand on était une outre à vinasse absolument inutile de distinguer la différence entre deux années d’un vin parce que l’on avait le palais aussi délicat et aussi expérimenté que celui qu’un pilier de bar !

Mais ce n’était pas quelqu’un d’habituel qui parlait de cela. Non, c’était un étranger, quelqu’un dont-ils ne voulaient pas ici d’habitude, mais la peur qu’il avait inspiré lui avait ouvert beaucoup de portes. Quand on regarde quelqu’un et que celui-ci, d’un simple regard vous fait trembler comme une feuille, en général on se la boucle et on s’écarte.

Mais voilà, il y avait une chose à ne pas faire, critiquer la bière du vieux Sam, viticulteur du coin, il laissait aux outres à vinasse les premiers tonneaux parce qu’il avait du cœur ! Alors on ne critiquait pas, enfin quoi, merde, c’était une forme de générosité de sa part, raison de plus de se la boucler ! Mais celui qui avait dit que le vin n’était pas frais était un jeune homme aux cheveux de neige et au regard perçant. Et ce n’était pas le fait qu’il soit étranger ou qu’il fasse peur à tout le monde que le vieux Sam n’approcherait pas. Bien au contraire ! Il flanqua un grand coup sur la table. L’individu ne broncha pas.

« Ecoute gamin, tu le sais ptêtre pas ici, mais on n’aime pas les râleurs sauf quand ils s’en vont, alors voilà ce que tu vas faire tu vas te barrer et quitter le village. Tout de suite, ou alors tu te la boucles ! Tu payes et tu te tires ! »

L’étranger écarta sa cape ternie par le voyage, la poussière du chemin, et les nuits à la belle étoile avaient été pour beaucoup là dedans. Ce geste révéla une sorte de cercle de métal à sa ceinture. Un chakram, son chakram. Il semblait acéré comme si elle sortait de chez le forgeron. Jamais il ne s’émoussait.

« Si le vin n’est pas frais, ce n’est pas grave, mais qu’il sente pire que les pieds que tu traines derrière toi, ça par contre, c’est moins agréable… »

Il lui renversa le pichet au visage. Le vin rouge dégoulinant, et là, ce fut le drame. Le tavernier tenta de le frapper, avant même que l’on comprenne comment, l’étranger avait dégainé son arme d’une main et de l’autre, il avait explosé le nez de l’aubergiste. Ce dernier recula, et le carnage commença…


*
*     *

Slade chantait alors qu’il tailladait le corps d’une personne qui était déjà morte, une mère alors qu’une jeune femme était tombée à genoux devant lui et implorait sa pitié. Pitié qu’il n’éprouvait pas. Il chantonnait l’air de la marche funèbre en terminant d’arracher la tête à quelqu’un. Puis enfin, il s’intéressa à la jeune femme qui pleurait en implorant.

Il s’approcha d’elle et se pencha. Il avait du sang de partout sur lui et quelques morceaux d’entrailles dans ses jolis cheveux aussi purs qu’il était mauvais. Il lui caressa la joue et lui demandé, comme surprius par ce qu’elle disait.

« Pourquoi tu pleures ? Parce que tu as peur pour le bébé qui grandit dans ton ventre ? Allons, ne pleure pas, tout le monde meurt un our tu sais…. Il aurait la belle vie… »

Il avait l’air sincère en plus quand il la regardait implorer. Il continua à la regarder avant de finalement la faire se redresser pour qu’elle se tienne debout et doucement il caressa le ventre de la jeune femme en déposant un baiser sur sa joue. Puis, avec douceur et une extrême lenteur, il l’éventra, regardant les entrailles dégouliner sur la tenue devenue écarlate du chevalier de l’hiver, puis il glaça la blessure pour retenir tout ce qui restait à l’exception du chose unique, le fœtus qu’il étripa devant les yeux de la mère qui pleurait. Il en frissonna de plaisir et finit par, dans un élan de compassion, lui trancher la gorge.les nouvelles éclaboussures vinrent finir de teindre son visage et ses cheveux…

Et c’est en chantonnant qu’il commença à se débarbouiller dans l’abreuvoir, faute de mieux. On pataugeait dans le sang sur cette place et il restait beaucoup de travail pour mettre sur des pieux la majorité de gens possible. Le hameau n’était pas grand, mais il y avait une vingtaine de personnes à mettre en pique tout de même ! Les autres étaient trop déchiquetés pour cela… il avait même tué les animaux au passage, histoire de faire bonne mesure. Et il chantonnait, il s’était beaucoup amusé ! Il avait un sourire jusqu’aux oreilles ! Et en plus il avait eu assez de peau et de cheveux pour se faire un nouveau fouet !  Tout allait bien dans le meilleur des mondes !

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Prélude / Re : Winter knight [valucidé]
« le: mardi 19 mars 2013, 22:14:28 »
Merci chefesse !

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Prélude / Re : Winter knight
« le: mardi 19 mars 2013, 21:30:48 »
J'ai corrigé ce que j'ai vu et reformulé certaines phrases bancales !^^

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Prélude / Re : Winter knight
« le: mardi 19 mars 2013, 13:42:31 »
Merci !

170
Prélude / Re : Winter knight
« le: mardi 19 mars 2013, 12:53:59 »
Merci !

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Prélude / Winter knight [valucidé]
« le: mardi 19 mars 2013, 11:14:10 »
Vous connaissez cette Dichotomie parfaite entre le bien et le mal. Elle se traduit au quotidien dans une opposition entre les cours des Faeries. Vous les connaissez peut être par hasard. Elles sont au nombre de deux, chacune associée à une saison, chacune associée à des valeurs, la cour de l’été, dominant du solstice d’été au solstice d’hiver, symbolisant la chaleur, la douceur, les émotions bénéfiques. Le reste du temps, c’est la cour de l’hiver qui a plus d’influence, représentant tout son contraire.
Seulement si les deux cours entraient en guerre ouverte, ce serait un cataclysme nucléaire aux dégâts planétaires… imaginez : le chaos, l’entropie maximale… imaginez les plaies d’Egypte en pire qui s’abattent sur le monde !  Voilà le risque, alors, d’un commun accord, chaque cour choisit un mortel, un homme – ou une femme – qui avait la sensibilité requise pour voir et ressentir les forces des deux cours, et en fait le réceptacle de leur puissance. Ces chevaliers prêtent serment de ne jamais se retourner contre leur cours et d’être à la disposition des dirigeantes de chaque cour.

Petite précision sur le fonctionnement des cours, que ce soit celle de l’été, de l’hiver, elles ont toutes les deux un fonctionnement miroir. Il y a en tout et pour tout, trois reines dans chaque cour, ce sont les dirigeantes. On considère qu’il y a toujours l’ancienne reine, la mère, la reine actuelle, et la reine en devenir, la demoiselle. Tous les courtisans tournent autour, mais les princes n’ont qu’un titre vide. A l’heure actuelle, les reines sont, d’un côté, Mab pour la cour de l’hiver, Titania pour la cour de l’été…
De même il y a un chevalier de chaque côté, à la mort de celui-ci, la cour concernée doit alors nommer un nouveau chevalier sur l’autel de pierre de leur champ de bataille, en plein milieu, où doit à chaque équinoxe, couler le sang des vaincus… même si c’est plus une bataille rituelle qu’une guerre, aucune des deux parties ne voulant en arriver là !

Mais passons à la présentation de notre ami :

Son nom ? Slade. Un pseudonyme bien sur. Son prénom est en réalité Ryoma Satoshi. Il a environ vingt cinq ans en apparence, plusieurs centaines, plus d’un millier même, d’années à son actif en réalité. Il est chevalier de l’hiver depuis à peu près tout ce temps aussi, son âge s’étant arrêté au moment où il a été investi du pouvoirs du chevalier de l’hiver.

Physique :
Grand et fin, notre faux jeune homme est plutôt beau et bien bâti, de jolies épaules lui donnant de la carrure, pas trop, juste assez pour être à la fois bien bâti et élégant. Taillé en V, il reconnait volontiers qu’il a de la chance. Des pectoraux et des abdominaux dessinés par un artistes, des muscles saillants et dessinés à la perfection, un corps athlétique en somme. Ses mains sont belles, ses doigts sont fins. Il semble parfois complètement irréel, comme s’il était sorti de votre imagination, mesdames, messieurs.
De jolies lèvres, un visage d’ange un nez droit, des yeux légèrement bridés de la couleur de la mer lors d’une chaude après midi d’été, un bleu pur et parfait, de l’ondée qui pourrait noyer n’importe qui pour peu de s’y plonger, d’autant qu’ils ressortent davantage sur sa peau diaphane.
Ce visage est encadré par une magnifique toison lisse de cheveux blancs, naturellement blancs, d’un blanc des plus purs, tel les flocons de neige éternelle, des plus parfait, comme le reste de sa personne, il est agréable à voir et sa voix, douce et chaude, est un ravissement pour les oreilles, on prétend que les oiseaux gazouillent quand il se met à rire et que le vent se met à danser dans ses cheveux quand il se met à chanter.
Son seul défaut physique, car personne n’est parfait, est de posséder une sorte de série de petites écailles blanchâtres, voir même translucides, semblables à celles d’un lézard partant de la nuque et descendant le long de la colonne vertébrale jusqu’en bas des reins, s’arrêtant juste avant les fesses. Peu à peu, avec le temps, elles semblent se propager. Autre fait notable, ses pupilles semblent se fendre parfois quand il est sous le coup d’une forte colère.
Niveau vestimentaire, notre homme semble avoir des gouts assez tranchés, sans être extravagants, il aime les tenues monochromes, et elles le lui rendent bien, ainsi, généralement il porte un pantalon western noir avec une chemise dans le même style, assortie, en général noire ou blanche, et par-dessus un long manteau à capuche  en imitation cuir d’un noir de jais.

Caractère :
Manipulateur par excellence il ne fait jamais rien sans raison ni profit à la clé, il peut se montrer doux et tendre, comme le miel dans la bouche de quelqu’un qui a le mal de gorge, ou cruel comme le contact de l’acier mordant les chairs dans le froid d’une nuit hivernale, tout dépendra de son envie, de ce qu’il a à gagner à agir.
Toutefois, il faut reconnaitre à Slade un fort élan de cruauté purement et simplement gratuit. Il aime faire souffrir, il aime voir le regard triste, désespéré, implorant des personnes qu’il a en face et de lui, sans doute une manière aussi de rechercher la gratitude en mettant fin aux souffrances, en faisant naitre un espoir là où il semblait ne plus y en avoir… mais bien vite, cette bonté rejoint l’envie de causer de la souffrance pour la noyer à petit feu. C’et sa méchanceté gratuite.
Pas vénal pour un sou, il n’est que peu attiré par les choses matérielles. Il vit simplement, trouvant dans le luxe et l’opulence une prison qu’il fuit aussi bien que celle faite de barreaux métalliques.
Il n’y a qu’une seule chose qu’il déteste plus que la faiblesse des autres, c’est sa servitude, en effet, par serment, il est forcé d’obéir aux reines de l’hiver et Mab semble prendre un main plaisir à en profiter outre mesure, il la déteste, et l’aime en même temps pour cela… mais jamais, jamais il ne se laissera faire. Il a peut être vendu son âme contre le pouvoir, mais il n’a jamais promis d’être soumis et docile…
Répandre souffrance et désespoir, c’est aussi une manière de répondre à sa propre souffrance, son propre désespoir, comme s’il avait besoin de voir les autres souffrir autant qu’il a pu souffrir entre les mains de Mab.
Mais dans les bonnes périodes, il peut se révéler quelqu’un d’agréable.
Motard accompli, il aime sentir la brise du vent sur son visage en roulant à toutes bringues.

Histoire :
Bon, allons-y pour l’histoire. A  cette époque là, les Faes avaient le même impact sur Terre que sur Terra, l’épicentre était Albion, terre de légendes, de mystères, terre où vivait parmi les serviteurs de la reine Mab une petite pixie à peine plus grande qu’un champignon, son nom ? Tut. Oui, un non simple mais vous savez, tous les serviteurs ne sont pas de dangereuses créatures retorses et très intelligentes, loin de là.
Nous sommes forcés de parler de Tut rapidement pour comprendre comment le personnage est devenu ce qu’il est. Il s’agissait d’une petite fae absolument charmante. Elle avait la fâcheuse manie de vouloir imiter les grands et pour cela elle s’amusait à berner les humains avec des contrats. Ou du moins, elle tentait, mais elle arrivait rarement à conclure à contrat et elle était plutôt du genre à se faire entourlouper que l’inverse, pas qu’elle soit un peu bêbête, juste qu’elle n’était pas vraiment méchante… la seule fois où elle réussit fut en fait avec une femme, une femme seule, très jeune, enceinte, qui était en train d’accoucher, elle lui promit de l’aider si en échange, elle lui offrait l’enfant. Sous la douleur et la peur de perdre la vie et l’enfant, la jeune femme accepta… mais hélas, si Tut usa de ses maigres pouvoirs pour sauver l’enfant, la mère avait perdu trop de sang et Tut se retrouva seule avec l’enfant.
Elle le laissa sur un sentier de promenade emmitouflé dans des feuilles qu’elle avait eu un mal fou à déplacer, puis elle avait filé, pour se cacher dans les buissons afin de voir si quelqu’un passerait.

Quelqu’un passa et récupéra l’enfant, elle les suivit. Cet enfant l’intriguait légèrement. Elle ne savait pas pourquoi elle le suivait, c’était juste plus fort qu’elle. L’enfant fut prénommé Ryoma et fut élevé par cette famille. Sa légère « tare » physique, valut à Ryoma bien des brimades, mais il y avait toujours quelqu’un pour le réconforter, une petite fae nommée Tut qui lui donnait de bons conseils, lui apprenait deux-trois petites choses pour s’en sortir, elle ne le quitta jamais. Elle aimait venir s’asseoir sur son épaule pour parler avec lui, et elle aimait encore plus l’entendre rire ou chanter. Chose rare à cette époque de sa vie.
Seulement, les fugues de la fae commencèrent à agacer Mab, au point qu’elle se déplace elle-même, jusqu’à voir l’enfant. Elle ne le prit pas en affection, pas plus qu’elle le détesta, elle en fut indifférente dans un premier temps, jusqu’à le voir grandir, le voir devenir un homme fait, et là, elle commença à lui voir une utilité, au point de vouloir passer un contrat avec lui, avoir un serviteur humain avait ses avantages, notamment quand la personne était malheureuse, ce fut quelque chose de simple pour  elle ; la grande sidhe, la reine des faes. Le jeune homme fut bien facile à berner, bien vite il accepta de vendre son âme en échange du fait d’être débarrassé de ses parents. Autant vous dire que ce fut un souhait exaucé  en un temps record.

Le véritable calvaire commença. Mab était une sadique, comme pour prouver qu’il lui appartenait elle l’obligea, d’un simple ordre à prendre le couteau et le passer au travers de sa propre main. Chose étrange, à peine le couteau retiré, la blessure arrêta de saigner illico et la plaie se referma. Profitant de cette aubaine, elle le nomma chevalier de l’hiver, tuant le précédant par la même occasion. Il serait parfait dans ce rôle et elle l’aurait aussi éternellement pour elle…
Il prit alors un nouveau nom, Slade, un nom qui n’avait aucun autre but que de supprimer son ancienne existence et lui en offrir une nouvelle. Pour fêter son adoubement, Mab lui fit même un cadeau, aussi incroyable que cela puisse paraitre. Elle se sépara de Tut et l’offrit à notre jeune ami aux cheveux de neige. Une servant, une esclave, une souffre douleur. Elle devint tout cela, car plus Mab profitait de la situation, plus il se défoulait sur Tut, et celle-ci ne bronchait pas, elle était triste et pleurait tant qu’elle pouvait, après tout ce qu’elle avait fait pour lui. Mais elle lui appartenait… elle ne résista jamais, quelque soit le traitement elle obéissait, elle n’avait pas le choix, enchainée par contrat, il avait tout pouvoir sur elle.

Sur terra, le chevalier de l’hiver se fit bien vite un nom, les pouvoirs offert par Mab étaient si vastes qu’(il ne les utilisait même pas tous intégralement et déclenchait de véritable génocides dans les villages qu’il s’amusait à parcourir, quand l’envie lui en prenait… Il tuait tous les hommes et tous les enfants, et laissait les femmes pleurer et se lamenter et désespérer… en général après cela il prévenait des esclavagiste.
Sur Terre, c’était une autre histoire, il se contentait de se faire passer pour un petit journaliste médiocre. Etrangement il arrivait )à prendre des photos de carnages et autres horreurs avec une facilité déconcertantes, il part souvent en reportage de guerre, estimant que ce devait être sa place, attendant toujours chaque ordre de Mab avec ce mélange d’impatience et de peur… de temps en temps, pour s’amuser, il se divertit en causant des dégâts autour de lui, sur les personnes qu’il croise, que ce soient de dégâts moraux ou physiques. Une manière de passer le temps.

Pouvoirs :
- - Vol (chevalier)
- - Force/vitesse surhumaine (naturel)
- - Peau aussi résistante que du carbone pur.
- - Peut lancer des aiguilles de la longueur d’un poignard depuis le bout de ses doigts dans la même matière. (naturel)
- - Il ne peut pas mourir, ni vieillir davantage grâce à ses puissantes facultés de régénération cellulaire très  efficace permet de rendre n’importe quelle séquelle plus que provisoire. Il est virtuellement immortel comme invulnérable, virtuellement seulement… (naturel)
- - il peut pratiquer la magie, mais il lui faut du temps pour préparer des sorts, ceux-ci lui demandant en général un peu de temps, histoire de tracer les symboles appropriés et de psalmodier les incantations. (chevalier)
     -> dans ce point, une magie fait exception, celle de la glace et du contrôle de la chaleur en général, qu’il manipule régulièrement sans même y penser, de manière instinctive.  (chevalier pour la glace, naturel pour la chaleur)
     -> Il peut aussi faire apparaitre des lames d’aciers, deux épées classiques ainsi que son armure de chevalier de l’hiver sur commande, par la pensée  (chevalier)
- - Il est très bon bretteur et a un œil d’aigle

Autres précisions utiles :
- - Tut a le pouvoir de faire varier sa taille entre celle habituelle (un peu plus grande qu’un champignon classique) et celle dite « taille humaine »
- - Slade est un hétérosexuel expérimenté quelque peu masochiste.


Où j’ai connu le forum ? DC ^^

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