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Messages - Jack Taylor

Pages: 1 ... 10 11 [12] 13 14 ... 17
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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: dimanche 17 janvier 2016, 08:43:41 »
A la différence des travestis ou autres transsexuels avec lesquels l'agent Taylor avait couché, il n'y avait strictement aucun doute sur le fait que Mélinda appartienne au beau sexe... Pourtant elle arborait à présent une queue raide et joufflue encore poisseuse, qui embaumait la cyprine et la sueur. Branlant le membre tendu d'une main, Jack sentait le sang de la vampire palpiter contre sa paume tiède, alors que la petite maîtresse frissonnait. Jack sourit, puis se pencha à nouveau vers l'avant pour prendre la verge en bouche, suçotant bruyamment le gland en creusant les joues, s'interrompant un instants pour lécher sa hampe, avant de s’attarder sur son méat dilaté. Crachant sur les doigts de sa main libre, il envoya cette dernière palper le cul de la vampire, avant de glisser un, puis deux doigt en elle, qu'il remua lentement. Il ne savait pas si l'hermaphrodisme de la maîtresse de maison la dotait également d'une prostate, mais étant donné le plaisir qu'elle prenait à se faire sauvagement enculer, elle n'en avait probablement besoin pour jouir avec son cul.

« Tu es encore bien ouverte, petite maîtresse, ma grosse queue t'a bien démoli l'anus », releva-il, avec une certaine fierté, alors que ses doigts coulissaient sans difficulté entre les fesses bombées de Mélinda.

A son tour, l'homme soupira d'aise ; Edessa enfournait son énorme mandrin entre ses lèvres, passant ses ongles sur ses cuisses glabres et musclées. La belle connaissait son affaire et il avait l'impression que son gland était littéralement aspiré entre ses délicieuses lippes. Quant à Mélinda, elle était proche de l'orgasme ; la jeune femme avait glissé ses petits mains dans ses cheveux et donnait des coups de bassin désordonnés, qui envoyaient son phallus percuter le fond de la gorge du professeur, lequel constata une nouvelle fois que la force de la vampire était surprenante.

« Là, là », susurra-il lorsqu'elle lui laissa un instant de répit « gicle, petite maîtresse, donne-moi tout ton foutre, grosse chienne ! »

Les yeux rivés sur le visage de Mélinda, Jack la suçait avec avidité, écrasant sa verge entre ses doigts. Un instant il imagina ce que pourraient bien penser ses élèves s'ils le voyaient téter ce gros pénis, comme la dernière des catins, mais plutôt que de le gêner, la perspective l'amusa beaucoup. Il fallait dire que l'agent Taylor avait, outre ses nombreuses déviances dont l'instant présent était une parfaite démonstration, un penchant pour l'exhibitionnisme. Remuant son propre bassin de haut en bas, Jack se rendit compte qu'il n'allait lui même pas tarder à jouir pour la... cinquième ? Sixième fois ? Le pauvre homme avait perdu le compte. Et le pire était que la soirée ne faisait probablement que commencer.

« Nghh hmm...MHHH »

L'agent Taylor fut agité de nombreux soubresauts, alors qu'il envoyait de brutaux coup de reins, sans égard pour la petite bouche de la succube qu'il manquait étouffer. Il juta abondamment une énième fois, au même moment que Mélinda, qui déversa des flots de foutre chaud dans sa bouche entrouverte. Foudroyé par l’orgasme, le beau jack manqua de s’étouffer, mais mis un point d'honneur à avaler le plus possible de semence, même si une bonne partie de celle-ci s'échappait de ses lèvres pour glisser sur son menton et son torse musclé.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: mardi 08 décembre 2015, 12:44:08 »
Jack sourit ; ses arrangements avaient eu l'air de plaire à Mélinda. Elle lui avoua-même que son frère aimait se faire sodomiser, ce qui le fit frissonner de désir, alors que sa queue enflait à vue d’œil. Ce couple incestueux semblait n'avoir aucune limite, ce qui le ramena des années en arrière,  à la Nouvelle-Orléans, dans la maison où il avait grandi. Un beau jour Julia, son aînée de quelques années l'avait surpris en pleine masturbation frénétique. La chipie s'était amusé de le voir rougir et se réfugier sous la couette, mais l'avait bien vite rejoint, collant sa poitrine d'adolescente contre son torse avant agripper sa verge déjà imposante. Elle l'avait masturbé doucement pendant de longues minutes en le cajolant, puis avait glissé un doigt dans son cul. Le pauvre Jack avait crié de surprise et de douleur, mais il avait bientôt été assailli par des ondes de plaisir et avait amplement juté dans la paume de sa sœur.... Autant dire que l'image de Mélinda sodomisant Bran ne le choquait pas, bien au contraire : elle l'enchantait. Attrapant son vit dorénavant érigé, il fit lentement glisser sa main ferme de haut en bas, en lorgnant sur le postérieur musclé du vampire.

« Alors je lui démonterai le cul comme s'il était la pire des chiennes. Et ce jusqu'à ce qu'il jute tout son foutre. »

La frénésie sexuelle avait une nouvelle fois reprit le dessus, et le professeur se redressa alors que la petite maîtresse s'écartait. Les yeux rivés sur la vulve luisante qu'il venait de laper, il arrondit les yeux lorsqu'une verge de bonne taille émergea de la fente, l'écartelant, avant de se dresser devant son nez, droite comme un i. Il avait beau savoir qu'elle en était capable, le voir était une chose tout à fait différente. Il ne s'agissait pas simplement d'une verge, puisque Mélinda disposait également d'une paire de couilles rebondies. La vampire pouvait éjaculer, Jack s'en souvenait ; lors de leur première rencontre elle avait inondé le cul de Shii de son sperme. Se rapprochant du bord du lit pour poser ses pieds sur le sol, il sourit à la belle Edessa qui s'agenouilla entre ses jambes avant de glisser sa grosse queue entre ses lèvres. L'agent Taylor soupira et laissa sa main se perdre dans la chevelure rose de la succube alors qu'il se tournait vers Mélinda, ou plutôt vers son sexe.

« Alors c'est avec ça que tu encules Bran... », murmura-il, grisé par le désir, avant d'empoigner la belle verge poisseuse pour la branler négligemment. Pour un homme, branler une queue était quelque chose d'assez naturel et Jack savait par expérience, quelle pression exercer sur le sexe pour le stimuler sans l'écraser. «  Cette fois-ci je veux que tu jouisses dans ma bouche, petite maîtresse, la dernière fois je n'ai pas eu l'occasion de goûter ton foutre. »

L'homme déposa un baiser sur le gland violacé qui surplombait la tige, avant de faire glisser autour de ce dernier, le suçotant bruyamment comme s'il s'agissait d'une grosse friandise, sans cesser d'astiquer le manche. L’avilissement qu'il y avait à se retrouver de l'autre côté d'une queue était grisant, et Jack ne put retenir un sourire alors qu'il crachait dans sa paume, pour mieux faire coulisser la queue dans sa main. Courbant l'échine, il enfonça le membre plus profondément au fond de sa gorge, se calant sur le rythme d'Edessa qui s'activait sur sa propre queue. Hors d'haleine, il s'interrompit un instant, et leva les yeux vers Mélinda, défiant l'esclavagiste de ses yeux vairons.

« Ça te plaît de te faire sucer par un homme, petite maîtresse ? »

Sans attendre de réponse – la question était rhétorique – Jack enfourna la verge entre ses lèvres, descendant sa main pour venir doucement masser ses bourses pleines.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: mardi 08 décembre 2015, 12:42:17 »
Si Andy avait appris à l'école que l'inceste était un tabou quasi-universel, il avait aussi en tête les nombreux exemples de personnages historiques qui avait dérogé à cette règle. Cléopâtre, les Borgias, ou encore Néron, qu'on soupçonnait d'avoir couché avec sa mère... Et les milliers d'anonymes qui s'y adonnaient silencieusement. Car Andy en était sûr, il n'était pas le seul adolescent au monde à être tombé éperdument amoureux de sa génitrice. Celle-ci justement avait posé sa main sur sa cuisse. Mon Dieu, elle va...Elle va toucher ma queue ! Rouge pivoine, le souffle court, Andy n'osait pas bouger. Les yeux rivés sur les lèvres de sa mère il sentait une douce chaleur l'envahir alors que son regard devenait vitreux.

« Aucune d'entre elle ne t'arrive à la cheville M'man. Elles... Elles n'ont pas de formes et aucune élégance ! »

Le côté BCBG de sa mère l'avait toujours rendu très attirante. Dans ses tailleurs décolletés et jupes zippées, perchée sur des talons vertigineux, Maria avait une classe incroyable. Elle faisait du sport régulièrement et ses longues jambes fuselée faisaient pâlir d'envie ses voisines, des mères au foyer qui pour la plupart, s'étaient laissé aller. Chaque fois qu'elle portait courir, l'adolescent ne pouvait s'empêcher de la regarder s'éloigner par le fenêtre, fixant son postérieur rebondi qui oscillait à chacune de ses foulée. Elle est resté belle pour moi. Andy sentit une bouffée d'orgueil gonfler ses jeunes poumons. Il allait ajouter quelque chose, mais se raidit lorsque Maria posa tranquillement sa main sur la bosse de son pantalon. Oh mon Dieu, oh mon Dieu, qu'est-ce qu'elle fait... Son corps athlétique s'arqua alors que le jeune homme laissait échapper un gémissement étouffé.

« Tu... Tu trouves ? Il  te plaît ? », lâcha-il, avant de rejeter la tête en arrière, se mordillant la lèvre inférieure.

Andy savait pertinemment que son sexe était imposant, mais le fait que sa mère le complimente dessus lui faisait un effet bœuf. Son bras musculeux s'était raffermit autour des épaules de sa mère et il l'attirait instinctivement vers lui. On va vraiment le faire ? C'était carrément dingue.

« Non, j'ai essayé de sortir avec des filles mais au final... Je me suis toujours branl... masturbé tout seul. »

Andy était un garçon poli. S'il lui arrivait de jurer comme tous les adolescents, il veillait à ce que son langage soit irréprochable en compagnie de Maria, pour la simple et bonne raison qu'à chaque gros mot proféré, il avait l'obligation de glisser un dollar dans le bocal en verre près de l'évier.

« Alors c'est ça que tu faisais... Je pensais que tu voulais seulement me savonner... »

Le jeune homme eût un rire bref ; il avait toujours crains, lorsqu'il prenait son bain avec Maria, que ses érections intempestives ne choquent sa mère, mais celle-ci semblai ne pas s'en rendre compte, et le laissait frotter son vit contre sa croupe, ou s'emparait négligemment de sa queue pour la frotter brièvement avec du savon, avant de le rincer et de s'en désintéresser... prétendument. C'était à cette époque que Chris était arrivé dans sa vie, et qu'ils avaient cessés de faire leur toilette ensemble... Andy comprenait mieux à présent.

« Quand je pense que j'ai passé des années à croire que j'étais un fils indigne et vicieux », s'amusa-il, malgré son trouble. Sa mère n'était visiblement pas aussi innocente qu'il le pensait... Soudain le jeune homme hoqueta, alors que sa main se refermait sur le poignet de sa mère ; Maria avait glissé ses doigts agiles dans son boxer, et s'était emparé de sa queue, qu'elle masturbait doucement. Le jeune homme se décrispa, et plongea son regard dans celui de sa mère ; le contact avait manqué de faire juter immédiatement.

«M'man... Moi aussi je me préservais pour toi. Je voulais que tu sois la première à... la sucer. »

Andy se rendit compte qu'il énonçait la plus stricte des vérités. En prêtant un peu plus attention aux filles qui l'entouraient et qui lui jetaient parfois des regards appréciateurs, il aurait très probablement pu sortir avec l'une d'elle mais...Mais Andy n'en avait pas envie. La seule qu'il voulait c'était sa maman adorée. Et celle-ci s’apprêtait à lui faire une fellation

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: vendredi 04 décembre 2015, 13:06:44 »
Les yeux mi-clos, Jack s'efforçait de retrouver son souffle. Dans le feu de l'action la succube lui avait labouré le torse, mais l'homme avait l'habitude des ébats sauvage. Après s'être copieusement vidé dans le cul d'Edessa, Bran avait déculé et son sperme tiède s'échappait de l'anus explosé de la belle succube pour glisser le long de ses cuisses. Jack ne put s'empêcher de sourire ; finalement le beau vampire n'était pas muet. Mieux encore, il était aussi ordurier que sa sœur cadette, lorsque la jouissance était trop forte pour qu'il ne puisse se contenir. Flattant distraitement la croupe de la succube encore empalée sur sa queue débandée, son sourire s'agrandit lorsque Mélinda vint les rejoindre, s'accroupissant au dessus de lui, écrasant sa vulve humide sur son visage. Du bout des doigts, la petite maîtresse malmenait ses tétons encore érigés. Sans hésiter, l'homme se mit à la laper avec avidité sur toute la longueur de la fente. Le spectacle l'avait visiblement beaucoup excité dans la mesure ou la cyprine coulait à flot. Levant une main à hauteur de son visage, il envoya une bonne claque sur son petit cul rebondit avant de le malaxer, enfonçant ses doigts puissants dans la chair tendre de son derrière. Lorsque Mélinda lui proposa d'embrayer sur la suite, Jack ne put s'empêcher de songer avec amusement aux arrangements décrits dans les œuvres de Sade. Il avait lu nombre de ses œuvres sous sa couette l'été de ses quatorze ans, et l’écrivain avait formé l'esprit pervers naissant du jeune Jack Taylor. 

« La dernière fois dans la salle de classe,  tu avais une belle queue bien dure... », commença-il tranquillement. « Que dirais-tu de reprendre là où nous nous étions arrêtés ? »

En effet, lors de leur dernière rencontre, Mélinda à la fois furieuse et ravie d'avoir été sodomisée comme la dernière des putes, avait forcé le professeur à sucer la verge juteuse avec laquelle elle venait elle-même d'enculer l'une de ses petites camardes.... A vrai dire forcé n'était pas véritablement le mot, dans la mesure ou Jack avait pris un réel plaisir à s'exécuter. Malheureusement, ils avaient été interrompu avant même que la vampire ne puisse jouir entre ses lèvres. Vraisemblablement, elle disposait, à l'aide de quelque sortilège, de la faculté de se doter d'un pénis à sa convenance. Le professeur s'interrompit quelques instant pour pincer les lèvres intimes de la vampire avec sa bouche, avant de les aspirer avec un obscène bruit de succion. Profitant de ce répit pour réfléchir, il finit par répondre d'un ton enfiévré.

« Je pourrais commencer par vous sucer tous les deux, toi et ton grand frère, pendant qu'Edessa me redonnerait un peu de vigueur. Ensuite, je crois bien que j'aimerais enculer Bran, devant sa petite sœur, je suis sûr qu'il aime aussi se faire prendre le cul », conclut-il, sur un ton amusé.

Jack n'avait pas oublié qu'il s'était juré de rendre au beau vampire la monnaie de sa pièce. Il ne savait vraiment pas si le beau vampire aimait autant recevoir que prendre, mais s'agissant d'un esclave de mélinda, le contraire l'eût étonné. Ce serait la première fois qu'il sodomiserait un homme fait ; d'ordinaire, les hommes virils ou trop musclés le répugnaient et seuls les éphèbes bénéficiaient de ses largesses... Mais Bran avait quelque chose de surnaturel et de bestial qui le séduisait... Puis il lui avait donné un orgasme monumental. Rien qu'à cette pensée, le sang reflua légèrement vers sa grosse queue écrasée par les fesses d'Edessa. Envoyant une belle claque sur le cul de cette dernière, il s'adressa ensuite à elle.

« Pendant de ce temps tu pourras t'occuper un peu de ta maîtresse... Ou de la queue de Bran. »

Jack avait encore en tête la sensation grisant qu'il avait ressenti à se faire masturber et sucer pendant que Bran le sodomisait. Il n'y avait probablement pas grand chose de comparable, et il avait hâte de faire subir le même traitement à son bourreau. Ensuite, il espérait bien que la petite maîtresse s'occuperait de son cul... Et il le lui donnerait avec plaisir.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: vendredi 04 décembre 2015, 12:54:44 »
Ce soir les révélations s'enchaînaient en cascade. Lorsque Maria lui avoua qu'elle n'avait jamais eu de relation sexuelle avec Chris, Andy, se retourna vers sa mère, bouche bée. A vrai dire, il n'avait tout simplement jamais envisagé cette possibilité. Et lui qui avait passé des heures à imaginer l'homme poser ses sales pattes sur le corps languissant de Maria... ! Il s'en voulait d'avoir été aussi jaloux, mais le mal était fait à présent.

« C'est... C'est vrai ? Mais alors depuis Papa, tu n'as... Tu n'as couché avec personne ? »

L'interrompant, sa mère posa ses lèvres contre les siennes, le prenant au dépourvu. Ce fut son premier baiser, tendre et mouillé. Les yeux mi-clos Andy glissa sa main dans les cheveux soyeux de Maria. Au lycée, il s'était entraîné à embrasser avec ses copains ; selon Kyle, il s'agissait de fermer le poing, mais de laisser une petite ouverture sur le dessus pour y glisser sa langue, puis de la faire tourner le plus vite possible dans ledit orifice. Ça avait l'air débile, mais Kyle avait embrassé beaucoup de filles et ses camardes lui faisaient donc une confiance presque aveugle sur le sujet. Cependant le baiser qu'il échangea avec sa mère n'avait strictement rien à voir avec l'agitation mécanique qu'il imaginait. C'était un moment de partage à la fois tendre et intense qui lui échauffa la nuque. Lorsque leurs lèvres se descellèrent, le jeune homme était rouge pivoine. Pour cacher son trouble, il enfouit son visage dans le cou de sa mère. Ce qu'elle pouvait sentir bon ! Le parfum suave qu'elle portait relevait l'odeur délicate de sa peau. La main du jeune homme glissa le long du dos de sa mère, alors qu'il déposait un baiser juste sous l'oreille de cette dernière.

« M'man je... je ne veux pas lutter. On pourrait être ensemble tu sais. Personne n'en saurait jamais rien de toute façon ».

La poitrine de Maria s'écrasait contre son torse glabre et Andy sentait le sang refluer massivement vers sa verge. Sa respiration s'était accélérée alors que de petits frissons lui remontaient le long de l'épine dorsale. De sa main libre il saisit l'étroit poignet pour poser sa main contre son cœur. Il avait envie qu'elle le touche, qu'elle le caresse encore. Sans crier gare et mût par une impulsion subite, il se pencha à son tour en pressa ses lèvres humides contre celle de sa mère. Les yeux mi-clos, il envoya délicatement sa langue retrouver sa semblable. Le baiser fut fiévreux, un peu maladroit, mais sincère. Et il acheva de mettre Andy dans un état impossible ; sa grosse verge faisait une bosse immanquable sous son pantalon. Mais Andy n'avait plus peur ; il savait que dorénavant Maria l'accepterait tel qu'il était.... C'était le plus beau jour de sa vie.

« Tu es tellement belle... Au lycée tout le monde parle de toi, de ton corps et de ton élégance... Ils sont tous terriblement jaloux, parce qu'aucun d'entre eux n'a une maman aussi formidable que la mienne ! »

Andy n'avait jamais été aussi excité. Le corps sculptural de sa mère était à portée de ses mains et de ses lèvres et elle lui avait quasiment avoué qu'elle n'avait pas fait l'amour depuis bien longtemps... Néanmoins Andy ne savait pas comment faire et craignait encore, quelque part au fond de lui que cet instant magique ne prenne fin. Est-ce que je rêve ? Aussi se contentait-il de se lover contre Maria, sa verge tendu frottant contre la cuisse de la jeune femme., lui caressant le dos du plat de sa main. N'y tenant plus, il leva sa main libre pour le diriger vers la poitrine de Maria, posant doucement sa paume sur l'un de ses seins à travers le tissu de ses vêtements et de soutien-gorge. Dire qu'il avait sucé ces seins magnifiques lorsqu'il était gosse... Andy se mit à rougir et retira sa main, un peu honteux. Après tout il ne fallait pas oublier qu'il était un adolescent de seize ans relativement timide.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: mardi 24 novembre 2015, 11:59:29 »
Andy, penaud et honteux ne leva pas les yeux lorsque Maria ouvrit la porte, mais sursauta légèrement lorsqu'elle la referma. L'adolescent s'attendait à un ouragan, mais le silence pesant qui s'installa fut presque pire. Les yeux rivés sur les jambes interminables de sa mère, le blondinet rougissait. Lorsque enfin Maria exprima, le jeune homme sentit son cœur s'emballer. Ainsi elle avait toujours été au courant de ses désirs coupables ? Andy secoua la tête vigoureusement, s'efforça de trouver les mots de dénégation les plus indignés, mais ne parvint qu'à articuler quelques syllabes étouffées.

« Ce n'est pas vrai. »

Cependant Maria traversait la chambre pour s'asseoir à côté de lui, sur le lit dans lequel, quelques années auparavant, elle le bordait encore, avant de lui donner un baiser de bonne nuit du bout de ses lèvres tièdes et humide. Leurs épaules se touchaient et Andy gigotait, un peu mal à l'aise, alors que le monologue de Maria prenait un virage... Surréaliste. A vrai dire, lorsqu'il était enfant, Andy avait remarqué que son père voyait d'un mauvais œil les étreintes prolongés qu'il partageait avec Maria, les baisers appuyés dont elle le gratifiait ou encore les bains qu'ils prenaient ensemble. Andy l'avait entendu dire de nombreuse fois à Maria que leurs rapports n'étaient pas sain, mais celle-ci l'envoyait systématiquement sur les roses en lui rétorquant qu'il était idiot d'être jaloux de son propre fils. Et vraisemblablement, il ne s'était pas trompé. Le cœur d'Andy bondissait dans sa poitrine, alors qu'il relevait enfin ses yeux noisettes effarés. Lorsqu'elle lui caressa la joue, ses lèvres étaient si proches des siennes qu'il aurait pu l'embrasser...Mais l'adolescent ne savait pas vraiment comment s'y prendre.

« Tu m'aimes ? » répéta-il stupidement, pour être sûr qu'il avait bien compris les révélations de Maria, « tu veux dire que tu es amoureuse de moi ? »

Le jeune homme resta interdit pendant quelques secondes. Sa mère venait de lui révéler quelque chose dont il n'avait jamais osé rêver et... Andy ne savait pas comment réagir. Ça ne doit pas être facile pour elle non plus. Il fallait qu'il fasse quelque chose. Maladroitement, l'adolescent passa son bras autour des épaules de Maria et l'attira doucement vers lui. Elle est si fragile, j'ai l'impression que je pourrais lui faire mal rien qu'en la serrant trop fort. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas fait de câlin à Maria et entre temps le base-ball avait transformé son corps en l'espace de moins de deux ans ; L'adolescent maigrichon d'alors avait à présent de larges épaules et une musculature d'athlète.

« Tu es la mère la plus courageuse et la plus attentionnée qui soi », lâcha-il, en s'efforçant de maîtriser le tremblement de sa voix. « Et aussi la plus jolie», ajouta-il en rougissant, avant de lui embrasser vivement la joue. A présent il fallait être courageux. Il fallait être un homme.

« Je t'aime aussi. Depuis...depuis toujours », lui avoua-il à son tour. « Je....je n'ai jamais trouvé de fille qui m'attire autant que toi M'man. Et à chaque fois que j'imaginais Chris posait ses mains sur toi je... J'en devenais malade. » Il ne précisa pas que parfois il les imaginais en train de faire l'amour ; la situation était suffisamment compliqué comme ça. « Je suis désolé de m'être donné en spectacle comme ça. Mais tu écris vraiment bien et... Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à toi ».

Voilà, c'était dit. Andy venait de confesser à sa mère qu'il l'aimait, d'un amour inconditionnel, mais aussi qu'il la désirait du plus profond de son être. Car il n'y avait rien au monde qu'Andy Dawson désirait davantage que faire l'amour avec Maria, même si c'était mal, même si c'était interdit. A cette pensée, le sexe engourdit de l’adolescent enflait à nouveau,  alors que sa respiration s’accélérait légèrement.

« Tu... Tu me pardonnes, dis ? », lâcha-il finalement.

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Jack était bien trop focalisé sur l'instant présent pour redouter que Mélinda n'attente à sa réputation avec la vidéo qu'elle était en train de tourner. En outre Edessa elle, était majeure, pas comme de nombreuses lycéennes que l'agent Taylor avait baisées et sauvagement sodomisées... Même si la plupart d'entre elles n'étaient déjà plus vierges. Pis encore, il s'en donnait à cœur joie et envoyait de grosses claques rougir le postérieur d'Edesssa, qui remuait inlassablement sur sa verge érigée. Un mot de Mélinda suffit à faire émerger Bran du coin sombre de la pièce où il avait été relégué. Jack observa le frère  aîné de Mélinda avec un léger sourire. Lui et Bran avaient beaucoup de choses en commun. Ils étaient tout deux grands, forts, glabres et la nature les avaient doté de belles et grosses queues. Le vit de Bran, celui-là même avec lequel il lui avait défoncé le cul, projetait une ombre colossale sur le mur. Interrompant un instant sa pénétration rageuse, Jack s'immobilisa et retira ses doigts souillés de son anus pour écarter son postérieur bombé. La belle se redressa alors que le beau vampire se glissait en elle et  Jack se mordit la lèvre inférieure ; à mesure que le vit colossal du vampire écartelait l'anus d'Edessa, il le sentait presser contre sa propre verge, à travers les parois étroites de son vagin, lesquelles se crispaient d'autant plus fort autour de sa bite. C'était tout bonnement divin.

« Oh putain... »

Jack avait déjà partagé une femme avec d'autres hommes, mais jamais avec une autre queue aussi grosse que la sienne. Il s'agissait la plupart du temps des petits copains des filles qu'il asservissait. Pour Jack, il ne faisait aucun doute qu'un homme qui appréciait les double-pénétration était forcément tendanciellement bisexuel, les contacts entre chaque partenaire étant quasiment inévitable. Naturellement, cela n'était pas pour déplaire au professeur.

« Défonce-lui le cul, Bran, cette petite pute...Ne demande que ça... Mhh... »

Edessa se faisait à présent sèchement sodomiser, les couilles de Bran claquant contre son cul, effleurant celles de Jack, qui s'en donnait également à cœur joie en propulsant au diapason son bassin vers le haut en grognant. L’incorrigible succube s’acharnait quant à elle sur l'un de ses tétons, et le plaisir augmenté d'une légère douleur se diffusait en lui comme de légers chocs électriques. Comme plus tôt, l'intensité des coup de butoirs faisaient tressauter les gros seins laiteux de la jeune femme qui se soulevaient puis retombaient lourdement. Une nouvelle fois, Jack sentit que l'orgasme approchait, inexorable.

« Hmm... Je vais ...te remplir de foutre ma puce, ma belle petite chienne.... »

Cependant, Edessa n'était pas la seule préoccupation de Jack. L'homme se redressa sur les coudes, puis empoigna les hanches du beau vampire, écrasant leur amante entre leurs deux torses musclés, puis laissa filer l'une d'elle sur son fessier qu'il malaxa rudement, avant de faire glisser ses doigts sur les couilles remplies de Bran qu'il caressa avec douceur, sachant d'expérience combien la peau était sensible à cet endroit. Embrassant Edessa à pleine bouche, sans se soucier de la salive qui coulait abondement de ses lèvres pulpeuses, il fut une nouvelle fois foudroyé par l'orgasme, en même temps lui sembla-il, que le vampire. Son foutre s’échappa par à-coup de son méat avec une violence qui lui fit presque mal, et en telles quantité  que le bas-ventre de la succube s'arrondit légèrement, d'autant plus que Bran jutait également dans son anus massacré.

« HMMM »

Agité de furieux spasmes, l'homme menaça de tourner de l’œil alors qu'il expulsait un ultime jet de semence, puis se laissa retomber en arrière, sur le lit, frissonnant légèrement au contact du lucide tiède qui s’échappait des orifices malmenés de la succube. Son propre sperme, et celui du vampire, probablement. Epuisé une nouvelle fois, l'homme ferma les yeux en attendant que les battements effrénés de son coeur ne s'apaisent. Il avait l'impression d'avoir frôlé la crise cardiaque cette fois mais... C'était tout bonnement trop bon pour s'arrêter en si bon chemin.

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Les alentours de la ville / Re : Stupre et homonymie [Cata]
« le: lundi 16 novembre 2015, 19:49:13 »
Jack frissonna, et se redressa légèrement alors qu'il entrouvrait les paupières. La nuit était tombée depuis qu'il s'était assoupi et le vent du large chargé d’embruns, s'était rafraîchit. Après tout, c'était l'Océan pacifique, pas la Méditerranée. L'agent Taylor s'étira longuement, les yeux rivés sur la marina endormie, puis constata que son verre était vide ce qui était évidemment inacceptable. Se levant à regret, le prétendu professeur passa dans le salon l'homme se dirigea vers le minibar d'un pas rapide pour se resservir, avant de froncer les sourcils et de se baisser. A ses pieds, une robe noire légère, aérienne, négligemment abandonnée sur le parquet ciré. La coupe du vêtement et sa taille laissaient supposer une silhouette gracile.

Intéressant.

Saisissant le tissu entre ses doigts, l'agent spécial ne put s'empêcher de soupirer d'aise en humant le parfum et l'odeur de femelle dont elle était imbibée. Quelques pas plus loin, une paire de Louboutin avaient été abandonnés et à l'entrée de la salle de bain, trônait le dernier rempart à la nudité de sa propriétaire. Jack s'immobilisa sur le pas de la porte, une moue amusée sur ses lèvres pleines. Le verre pilé l'empêchait de distinguer les traits de l'intruse, mais les formes qu'il laissait deviner – un beau petit cul rebondi, des reins creusés et une poitrine haut-perchée-  achevèrent le tirer de sa torpeur. Se pouvait-il que l'hôtel lui fasse une surprise, ou bien s'agissait-il d'une erreur ? L'homme croisa les bras et s'adossa quelques instants dans l'encadrement de la porte. L'homme n'était pas un voyeur – il aimait être acteur et non spectateur – mais il fallait avouer qu'observer sans être vu une charmante créature en train de prendre sa douche avait quelque chose de satisfaisant. Hésitant sur la conduite à suivre, l'homme se mordilla la lèvre inférieure en observant son propre reflet dans l'un des nombreux miroirs de plein pied de la salle de bain. Il fut tenté de se dévêtir à son tour et de rejoindre la belle inconnue, mais il se pouvait qu'elle ne soit pas dans les mêmes dispositions que lui, et l'agent spécial souhaitait éviter au maximum les scandales.

« Bon. » Il allait la jouer subtilement, pour une fois.

L'homme tourna les talons et rejoignit le salon d'un pas tranquille. Ouvrant l'un des placard en ébène de la suite, il en sortit deux verres à vin qu'il déposa sur une table basse encadrée par deux confortables fauteuils. Avisant la bouteille de Romanée-Conti que la réception avait déposé à son attention sur le buffet, il la cala sous son bras, et la déboucha sans le moindre bruit. avant de remplir à demi les deux verres en cristal. Ceci fait, il se laissa tomber dans celui des fauteuils qui faisait face à la salle de bain et allongea ses jambes, posant ses talons sur la table basse vitrée, et trempa ses lèvres dans le liquide incarnat. Il existait une infime possibilité pour que cette femme soit ici pour lui faire la peau, mais Jack n'y croyait guère, sa couverture au Japon étant encore intacte. En outre, il eût été plus avisé de le tuer de son sommeil que de prendre le risque qu'il ne se réveille ; même s'il n'était pas armé, Jack Taylor représentait une menace non-négligeable. Les minutes qui suivirent lui parurent interminables, mais finalement le bruit de la douche diminua avant de se tarir. S'armant de son sourire le plus dévastateur, l'homme se prépara à accueillir son invitée surprise.

« Je pense que l'un de nous deux s'est trompé de suite », lança-il d'un ton badin, prétendument absorbé dans l'observation du contenu de son verre, alors que Catalina quittait la salle d'eau. Puis il leva ses yeux vairons vers elle. Et ne fut pas déçu. "Je ne pense pas que ce soit moi", acheva-il avec une petite moue appréciatrice.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: lundi 16 novembre 2015, 19:46:02 »
Andy avait l'impression de vivre un cauchemar. Sitôt allongé sur son lit, il avait enfoui son visage baigné de larmes de rage dans son oreiller, puis s'était relevé pour faire les cents pas. A la panique, avait succédé la colère et un puissant sentiment d'injustice. Après tout, c'était celle de Maria et de son texte licencieux ! Si elle n'avait pas laissé son ordinateur allumé, rien de tout cela ne serait arrivé. Mais à présent... Cependant, si le texte de Maria avait réveillé ses ardeurs, ce n'était le récit qui l'avait fait jouir, mais bien des fantasmes œdipiens parmi les plus odieux, fantasmes dont sa mère n'était pas responsable. Cédant à nouveau au désespoir, l'adolescent s'adossa à la porte de sa chambre et se laissa glisser jusqu'au sol. Lorsque Maria frappa à la porte, le jeune homme sursauta et se mordit la lèvre inférieure. La dernière chose dont il avait besoin, c'était d'un sermon. Et il ne savait pas si elle tenait cela de son-père, mais Maria était plutôt balèze, niveau sermons.

« Laisse-moi tranquille », grogna-il, indiquant malgré lui sa position.

Il avait fermé le verrou qu'il avait posé un an plus tôt, prétextant un besoin croissant d'intimité – Maria avait en autrefois tendance à rentrer sans prévenir dans sa chambre, et manqué plusieurs fois de le surprendre en train de consulter des sites pornographiques. Il savait que Maria n'allait pas repartir aussi facilement, mais il l'espéra quand  même... En vain.

« J'ai pas envie de t'ouvrir. Tout ça, c'est de ta faute. C'est parce que tu écris des cochonneries ».

C'était carrément vache de sa part, mais le jeune homme n'en avait cure. Faire porter une partie de la responsabilité de ce qu'il venait de se passer à sa mère lui paraissait être la meilleure solution possible. Peut-être qu'ils pourraient oublier ça et continuer à vivre comme avant. Maria accepterait-elle encore de lui faire des câlins, après avoir vu sa verge, ou bien l'avait-il irrémédiablement dégoûté de lui ? Andy soupira. Maria ne faisait pas de bruit, mais il la savait encore derrière la porte. Baissant les yeux, l'adolescent s'aperçut qu'il était encore à demi-nu et que son vit débandé reposait sur le parquet. Il laissa passer une bonne trentaine de secondes passer, le temps que les battements de son cœur reprennent un rythme normal, puis se redressa lentement, essayant de faire le moins de bruit possible.

« M'man, t'es encore là ? »

La question était purement rhétorique. Bien sûr qu'elle était encore là. S'approchant de sa commode en noyer, le lycéen en retira un boxer, qu'il enfila et un énième jean brut. Puis il se rapprocha en catimini de la porte pour la déverrouiller, puis alla s'asseoir sur son lit, en face de la porte. Le cliquetis du verrou était discret et on pouvait facilement le manquer si on y prêtait pas attention. Andy avait compris qu'il n'échapperait pas à une confrontation avec sa mère, mais il refusait d'en prendre la responsabilité. Si elle pénétrait dans son antre, cela ne serait parce qu'il lui aurait ouverte la porte. Frottant ses paumes contre ses paupières, le blondinet se débarrassa de ses dernière larmes et se prépara à affronter Maria. Après tout si elle ne voulait plus de lui, il pourrait toujours se mettre à la recherche de son père, n'est-ce pas ? Un triste sourire s'allongea sur les lèvres de l'adolescent. Aujourd'hui était le jour ou sa vie entière avait basculé.

Sur ce dernier point, il ne se trompait pas.

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Jack n'était un amant qu'on pouvait qualifier de tendre. S'il savait se montrer câlin ou mielleux avec ses amantes, ce n'était que pour mieux les défoncer et les insulter copieusement ensuite. N'étant pas un monstre, il se retenait la plupart d'être trop brutal, et se contentait la mort dans l'âme d'être vigoureux. Mais avec Mélinda et Edessa, c'était autre chose. Il pouvait se montrer aussi bestial qu'il le souhaitait, ces deux superbes salopes n'en demandant pas moins. Intuitivement, le faux professeur avait également remarqué que le lycée Mishima était un repère de pervers et que la plus innocente des lycéenne pouvait se révéler en vérité être la pire des putes. Croyant à des cas isolés, Jack en avait discrètement profité pour culbuter la première élève venue à son arrivée, mais s'était vite rendu compte que les relations sexuelles entre élèves et professeurs étaient la règle tacite de l'établissement et dès lors il ne s'était plus retenu... Ni arrêté.

« C'est bien Edessa... Remue ton gros cul de chienne... Empale-toi sur ma grosse queue ! »

Ravi, le regard enfiévré et les cheveux trempés de sueur, Jack observait le bassin de la succube onduler, remuer de haut en bas alors que son vit colossal disparaissait dans ses entrailles humides. Aussi délurée que sa maîtresse, la belle hurlait son plaisir sans réserve, abreuvant son amant de mots crus, de mots sales et bien vulgaire qui le rendaient ivre de désir. Pantelante, la jeune femme s'appuya sur ses épaules et Jack sentit ses ongles s'enfoncer légèrement dans sa peau hâlée. Délaissant le sein qu'il pétrissait, il agrippait à présent ses hanches des deux mains et envoyait son propre bassin percuter brutalement les fesses d'Edessa lorsque ses fesses laiteuses redescendaient sur son vit, la faisant littéralement rebondir contre ses couilles. La brutalité de la pénétration rendait le dialogue difficile, mais entre deux râles, l'obscène professeur inondait sa partenaire d'insultes salées.

«Aaah... Danse, ma petite pute, danse... Je ne pensais pas que... Tu serais aussi chienne que ta maîtresse ». Et pourtant... La maîtresse de maison avait bien dressé son entourage. « Je vais... juter dans ta petite chatte de salope, te remplir de mon foutre... HAN...C'est ce que tu veux, pas vrai ? »

Tandis qu'il la baisait rageusement, Mélinda semblait se plaire dans le rôle de voyeuse. Elle avait dégainé un téléphone portable et les filmait, visiblement satisfaite. Ralentissant légèrement ses coups de butoir, l'odieux pervers se mit à sourire et, glissant ses mains vers le cul galbé d'Edessa, l'écarta largement de ses deux mains, offrant à la vampire une vue imprenable sur la vulve écartelée par le pal et sur la corolle brune de son anus. 

« Cambre-toi ma belle. Montre à ta maîtresse comme tu te fais bien défoncer la chatte ».

La petite chienne mouillait abondamment, et son fluide tiède coulait le long de la queue de son amant, venant tremper ses couilles. Collectant une petite quantité de cyprine sur le bout de ses doigts, l'homme s'en servit pour masser vigoureusement l'anus de la jeune femme, avant d'y introduire presque immédiatement les deux premières phalanges de son majeur, rapidement rejoint par son annulaire. La pénétration brutale de sa chatte rendait la tâche difficile, mais Jack s'efforça de lui doigter consciencieusement le cul.

« Haan Pe...Petite Maîtresse... Je crois... Que Edessa aimerait également se faire bourrer le cul, de se faire enculer. Pas vrai ma puce ? Une queue ne doit pas suffire à rassasier une pute comme toi... Il faut que tu sois prise par tous les trous, tringlée comme une vulgaire pute de chantier hm ? »

Les solutions étaient légion ; Mélinda pouvait elle-même sodomiser leur victime, ou bien charger son frère aîné de le faire. Enfin, il ne doutait pas qu'à défaut, la petite maîtresse disposait des accessoires appropriés. Bien évidemment, il allait de soi qu'il comptait bien prendre son tour dans son cul ; Jack Taylor estimait en effet qu'on ne pouvait pas vraiment prétendre connaître une femme tant qu'on ne l'avait pas enculée. Et il mourrait d'envie de connaître davantage Edesssa.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: vendredi 13 novembre 2015, 11:19:48 »
Pendant de nombreuses années, l'agent Taylor avait estimé qu'il était un odieux pervers, mais s'était refusé à reconnaître qu'il avait un problème. Il n'était pas un simple sybarite, mais bel et bien un obsédé sexuel, un dépendant au stupre. A défaut d'un ou deux rapports sexuels minimum par jour – ou de séances d'onanismes, l'homme devenait irritable, anxieux et les pensées obscènes qui l'envahissaient obscurcissaient son jugement. Son salaire mirobolant passait la plupart du temps dans les escorts-girls, voire les prostituées de bas-étage, lorsque les besoins se faisaient trop pressant. Un certain nombre de ses supérieurs de la CIA étaient au courant de ses déviances, qu'ils attribuaient à ses premières expériences sexuelles douteuses, mais le couvraient assez largement, car l'homme était un de leurs meilleurs éléments. Cependant il craignait d'être allé trop loin, le jour où il avait brutalement sodomisé Melinda dans sa propre salle de classe, au lieu de se contenter de l'observer discrètement – quitte à se masturber ultérieurement -. La belle vampire l'avait emmené trop loin pour qu'il puisse un jour espérer avoir une sexualité ordinaire, le plus terrible étant qu'il lui en était infiniment reconnaissant. La plupart de ses plus belles baises lui paraissaient fades en comparaison des quelques heures de luxures qu'il venait de passer avec l'esclavagiste et son intuition l'incitait à croire que les choses ne faisaient que commencer.

« Hmm mmh. »

Les lèvres du vigoureux mâle se scellèrent une nouvelles fois avec celle de la belle Edessa alors que de ses deux grosses mains, il malaxait les grosses fesses laiteuses de la succube, appréciant la douceur et la tiédeur de sa peau pâle. Lorsque Mélinda empoigna sa verge gonflée, l'homme soupira longuement, alors qu'un imperceptible frisson lui remontait le long de l'épine dorsale. Approchant sa bouche entrouverte de l'oreille de son amante, il en profiter pour l'abreuver d’obscénités de sa voix grave et suave, alors que son souffle brûlant se perdait dans le creux de son cou. 

«Tu voulais te faire baiser toi aussi, hmm ? Tu vas voir, Je vais défoncer ta petite chatte de pute, jusqu'à ce que tu demandes merci »
, lui susurra-il d'une voix étonnamment tendre, alors qu'il lui caressait les cheveux d'une main distraite.

Jack avait vu Edessa se tortiller d’impatience quand il labourait le cul de sa maîtresse. L'empressement qu'elle avait manifesté ensuite à s'occuper de sa queue joufflue l'avait ensuite convaincu qu'il s'agissait probablement d'une salope du même acabit de sa maîtresse, ce qui était prometteur. L'homme soupira de regret lorsque les doigts fuselés de sa maîtresse délaissèrent son cul dilaté, mais se détendit lorsque la petite menotte empoigna sa grosse verge, dont elle ne faisait même pas le tour. Le fougueux professeur remuait doucement le bassin de haut en bas, ce qui faisait que son gland violacé venait parfois percuter les lèvres charnues de l'intimité d'Edessa. Pour faciliter la tâche de sa petite maîtresse, il écarta les fesses bombées de la succube. L'insoutenable attente pris fin lorsque la belle vampire glissa sa grosse bite dans la chatte – déjà – détrempée, avant d’envoyer une belle claque sur ce cul d'albâtre. Avec ravissement, l'homme sentait son pieu écarter les entrailles onctueuses alors que la pesanteur faisait son effet ; la belle s'empala toute seule sur sa queue. A son tour, il envoya une belle gifle sur son postérieur rebondi.

« Redresse-toi ma belle , je veux voir tes gros seins bouger pendant que je te baise. », lui intima-il, en agrippant fermement ses hanches de ses deux mains puissantes.

La laissant s'exécuter, l'homme savoura l'instant quelques secondes. Le clair obscur de l’alcôve faisait danser des ombres sur le corps sculpturale de la succube, et ses gros seins orgueilleux semblaient plus lourd, ses tétins plus érigés. Elle était superbe, et avec un mauvais sourire, l'homme souleva lentement le cul d'Edessa sur toute la longueur de sa verge, avant de l'empaler à nouveau avec une lenteur calculée, jusqu'à ce que sa vulve replète s'écrase ses bourses gonflées. Il allait prendre un plaisir infini à la souiller. Ne pouvant apercevoir Mélinda, Jack ne doutait pas que la maîtresse ne perdait pas une miette du spectacle et, soucieux de lui faire plaisir, il commença à remuer le bassin d'avant en arrière, envoyant claquer la base de son énorme bite contre les fesses laiteuses de son amante, n'hésitant pas à la gratifier de grosses claque de temps à autre, pour les rougir. La voie avait beau être étroite, la salope mouillait abondamment et l'homme put bientôt la défoncer sans vergogne en râlant comme un animal en rut.

« Ça te plaît de te faire défoncer comme une grosse chienne Edessa, hm ? Je veux te l'entendre dire. Rien qu'une petite pute lubrique. »

Ce faisant, l'homme ne quittait pas des yeux les yeux d’émeraude de la succube et sa bouche entrouverte, se repaissant du désir et de la jouissance qu'il lisait sur son visage. Légèrement plus bas, sa poitrine tressautait à chaque coup de rein un peu trop violent. Satisfait, l'homme leva l'une de ses grandes mains pour attraper l'un de ses seins et le malaxer, le pétrir de sa paume.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: vendredi 13 novembre 2015, 11:16:29 »
La nature avait été généreuse avec Andy et il en avait conscience. Si le jeune homme n'avait pas encore eu de petite amie pour le complimenter sur sa vigueur, il avait, comme tous les adolescents disposant d'un accès illimité – et sans contrôle – à internet, visionné des centaines de vidéos pornographiques pour y découvrir avec surprise que son pénis était, en comparaison de bien d'autres, plus long et plus épais. Cette découverte l'avait galvanisé les premiers temps et sur les conseils de son vieux pote Ed Mitchum, il avait un peu flirté avec Nathalie, la fille de la boulangère, une jolie brunette avec des miches énormes. Ledit flirt consistait à s'attarder quelques secondes supplémentaires à chaque fois qu'il allait chercher le pain pour le compte de sa mère et à parler de la plus et du beau temps en balbutiant. Nathalie avait dix-neuf ans et on lui prêtait une réputation plutôt sulfureuse, malgré son caractère d'apparence réservé et agréable. Elle lui avait facilité la tâche et c'était elle, un beau jour, qui lui avait proposé d'aller au cinéma ensemble. Cependant, lorsqu'il s'était pointé au lieu du rendez-vous, la jeune femme lui avait posé un lapin. Quelques jours plus tard, elle sortait avec le chanteur d'un groupe de rock local. Andy en avait été très attristé, et avait rejeté temporairement l'idée d'avoir une copine. Et puis après tout, il avait son adorable maman pour s'occuper de lui et lui préparer de bons petits plats.

Si seulement...

Si seulement il n'y avait pas l'autre, peut-être.... Peut-être qu'il pourrait la caresser ,un peu comme avant, et qu'elle ne dirait rien. L'internet regorgeait d'histoires érotiques incestueuses, et Andy en était friand. Sa poigne se raffermit sur sa bite, qu'il masturbait plus vigoureusement alors que dans son esprit se superposaient l'image de des corps de Béatrice et Nina qui s'unissaient, et celle des main de sa mère, s'agitant entre ses cuisses, caressant son clitoris gonflé de ses doigts fuselés alors qu'elle faisait aller et venir un sex-toy dans son anus dilaté.

« Hhm... M'man, ah... »

Les yeux mi-clos, le jeune homme s'était complètement laissé aller contre le dossier de la chaise et avait remonté son T-shirt pour se caresser son torse glabre et musclé, excitant ses propres tétons du bout de ses doigts. Ses longues séances d'onanisme avaient appris au jeune homme que son pénis n'était pas la seule zone érogène de son corps et que d'autres caresses pouvaient démultiplier ses orgasmes. Il avait même lu quelque part que la pénétration anale pouvait déclencher une jouissance spectaculaire, mais Andy avait seize ans, et ça lui paraissait quand même carrément pédé de mettre un truc dans ses fesses. Ce connard de Chris devait sûrement adorer ça ! Il se mit à imaginer sa mère en train d'enfoncer ses doigts dans l'anus du bellâtre en guettant ses réaction, l'air amusé, ses belles lèvres pleines renfermées autour de son gland et il se sentit partir. Oh merde.. Il était trop tard pour s'interrompre à présent, et Andy astiquait frénétiquement sa grosse verge, les yeux dans le vague. La voix de sa mère lors de son intrusion lui sembla bien lointaine lorsqu'il juta une quantité invraisemblable de foutre tiède et luisant qui s’éleva vers le haut, avant de retomber, maculant son torse de jeune athlète, le sol, l’écran de l'ordinateur, et même son propre visage. Lorsque la source se tarit enfin, il avait laissé retomber ses bras le long de son corps et tourna doucement son visage exténué par l'orgasme vers l'intruse, qu'il considéra quelques instant avec indifférence, avant que ses yeux ne s'agrandissent d'horreur.

« M'man ?! »

Andy recula brusquement la chaise de bureau qui se renversa avec fracas sur le parquet. Il resta interdit quelques secondes, puis il lui vint à l'esprit qu'il fallait cacher sa queue par n'importe quel moyen possible. Dans l'impossibilité de se baisser pour récupérer son boxer et son pantalon, l'adolescent saisit un porte-doucement qui traînait pour le placer devant son pénis, dont la semence dégouttait encore sur le parquet ciré.

« Je heu... C'est pas ce que tu crois, j'ai lu ton document et... Je pensais pas que c'était toi qui l'avait écris, sinon je me serai pas masturb... touché ! »

Il avait rougi jusqu'aux oreilles et fixait dorénavant ses doigts de pied avec attention. La panique s'installait en lui. Comment Maria allait-elle réagir face à une telle débauche ? Allait-elle appeler la police, ou bien le mettre à la porte ? Elle serait probablement dégoûtée de lui, après avoir assisté à un spectacle aussi obscène. Ses lèvres se mirent à trembler et pour ne pas ajouter à son humiliation le fait de fondre en larme, le bel éphèbe s'enfuit sans demander son reste, exposant son joli derrière musclé alors qu'il tournait les talons. Andy monta quatre à quatre les escaliers qui menaient au premier étage et claqua la porte de sa chambre et se jeta sur son lit, sans même prendre le temps de la verrouiller, tant il était perturbé.

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One Shot / Re : Amour filial [PV]
« le: dimanche 01 novembre 2015, 20:37:43 »
Il était à peine midi lorsque Andy Dawson quitta Clinton Hill School, enfonçant rageusement sa casquette sur ses cheveux blonds rebelles. Trevor Carter, sa Némésis et son rival direct pour le poste de capitaine de l'équipe de l'établissement l'avait une fois de plus traité de petit pédé, ce à quoi Andy avait simplement répondu par un bras d'honneur. Cependant Carter s'était employé à le pousser à bout en insinuant qu'avec les tenues qu'elle arborait, sa mère était probablement une pute, ou bien une grosse salope. Cette fois les choses avaient dégénéré. Prenant Carter par le col, Andy l'avait projeté contre la rangée de casier avant de lui envoyer violemment son poing dans l'abdomen. Sous la douleur, l'importun s'était plié en deux, et avait glissé au sol. Malheureusement, Andy avait été surpris par un surveillant qu'il l'avait envoyé dans le bureau du directeur... Lequel l'avait tout bonnement expulsé pour trois jours après lui avoir expliqué que s'il continuait « sur cette voie » il pouvait faire une croix sur sa bourse d'étude.

« Tout ça à cause de ce connard de Carter... Pfff.»

Andy shoota dans une canette vide en soupirant. Il était en colère, mais pas complètement idiot. Quelques semaines plus tôt, il aurait simplement ignoré Trevor. Maria était une femme superbe qui faisaient fantasmer la plupart de ses camarades ce qui amusait beaucoup Andy, qui l'avait pour lui tout seul... Enfin en tout cas jusqu'à ce que ce gros con snob de Chris débarque dans leurs vies pour y mettre le bordel. Depuis qu'elle l'avait rencontré, Maria était plus distante, moins câline avec son fils et découchait régulièrement, ce qui avait le don de mettre Andy en rogne. Ce fils de pute se tapait sa mère, putain ! Le pire dans l'histoire était qu'il ne pouvait s'empêcher d'imaginer sa maman adorée à quatre pattes, en train de gémir comme...comme une chienne, pendant que le bellâtre la besognait en claquant son arrière train rebondi... Tout ça pour dire que c'était à cet enfoiré de Chris, qu'Andy rêvait de mettre une raclée, pas à ce looser de Carter.

Arrête tes conneries Andy, se morigéna-il, en s'efforçant d'ignorer son érection naissante.

Les premiers émois sexuels d'Andy avait été, comme beaucoup de garçons, provoqués involontairement par sa mère. Il avait eu ses premières érections en se lovant contre elle au lit, ou lorsqu'ils prenaient encore leurs bains ensemble. Néanmoins, à la différence de l'écrasante majorité des jeunes hommes sains d'esprit, son attirance sexuelle pour Maria n'avait jamais cessé... Pire, elle avait empiré. Andy s'intéressait bien sûr aux jeunes filles de son âge, mais aucune d'entre elle ne rivalisait avec la sublime Maria. Conscient de ce que son fantasme avait de malsain, le joueur de base-ball s'efforçait de le réprimer du mieux possible, mais il  lui suffisait de croiser sa mère en petite tenue pour bander comme un âne et de devoir s'enfermer dans sa chambre pour se masturber vigoureusement. Il lui arrivait même de subtiliser dans la corbeille de linge sale une culotte ou un shorty pour s’enivrer de l'odeur maternelle en faisant glisser sa main sur sa grosse verge bandée. Parfois même, il jutait abondamment dans le tissu. Fort heureusement, sa mère ne semblait s'être rendu compte de rien, pour l'instant. Mais il fallait dire qu'Andy prenait ses précaution, en envoyant directement le sous-vêtement incriminé dans le lave-linge.

« M'man ? M'man, t'es là ? J'ai pas cours cet aprèm, monsieur Jefferson est malade... »

C'était un gros bobard évidemment, mais Andy ne tenait pas à ce que sa mère apprenne son expulsion temporaire... Du moins pas tout de suite. Le jeune homme ôta ses basket et dézippa son hoodie, mais conserva sa casquette des]Red Socks . Ces derniers temps, Maria travaillait beaucoup chez elle – Andy ne savait pas pourquoi, mais en tout cas elle semblait préférer ce mode de vie à l'enfer des transports en commun qu'elle avait vécu pendant longtemps, mais il lui arrivait bien sûr de sortir un peu en ville, pour se promener et faire quelques courses. Andy attrapa la télécommande de la télévision et zappa pendant quelques minutes. Il ne s'intéressait que modérément à l'actualité et l'annonce d'une nouveau scandale pharmaceutique en Allemagne le déprima et il se leva du canapé pour aller inspecter le réfrigérateur. C'est à ce moment précis qu'il se rendit compte que l'ordinateur portable de Maria trônait sur la table du salon, la lumière de l'écran se reflétant sur les vitres de la véranda. Elle l'a même pas mis en veille, songea-il, en s'emparant d'une canette de coca, avant de tirer une chaise pour s'installer devant l'ordinateur.

« C'est quoi ce truc... »

Andy fronça les sourcils en relevant le nom du document word ouvert en plein écran. C'était le nom d'une série de bouquins érotiques  dont on ne pouvait pas avoir entendu parler. Le succès de cette saga était encore loin de celui de 50 shades of Grey, mais leur professeur de littérature avait confié amusant, que le style de l'auteur et les thématiques abordées étaient bien meilleurs que ceux d'E.L. James. Le jeune homme en avait lu quelques pages à la librairie et en était ressorti avec une érection assez gênant, qu'il avait eu bien du mal à camoufler.

Oh, m'man... Sourit-il, en commençant à lire les premier paragraphes, qui décrivaient une langoureuse scène lesbienne. L'idée que sa mère puisse lire ce genre de choses l'électrisa et il se mordit la lèvre inférieure alors que le sang affluait à nouveau vers sa queue imberbe. 

Trop excité pour ne pas en oublier la prudence, Andy défit sa braguette, et fit glisser son jean sur ses chevilles avant d'extirper une verge entonnement longue et épaisse de son boxer, qu'il commença à branler doucement d'une main, faisant défiler le texte de l'autre. Maria se caressait-elle également en découvrant les émois des Nina et Béatrice ? Non c'est... La vérité le frappa avec autant de violence que le coup de poing qu'il avait donné à Carter. Le document n'était pas terminé et il s'interrompait au moment ou Béatrice glissait une bougie parfumée dans l'anus d'une Nina fiévreuse et lubrifiée... Maria ne lisait pas les aventures des deux jeunes femmes elle... Elle les écrivait ! C'était carrément dingue ! Comment une femme aussi... Gentille et attentionnée que sa mère pouvait-elle écrire des... des obscénités comme celles-là ? Interloqué, Andy se laissa aller contre le dossier de sa chaise. Sa queue, énorme et veineuse, palpitait entre ses doigts serrés.

Le son de la télévision qu'il avait laissé allumée l'empêcha d'entendre le pas léger de sa mère, qui revenait de sa petite course.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: dimanche 01 novembre 2015, 20:23:35 »
Malgré les quantités invraisemblables de foutre qu'il avait expulsé, Jack n'avait de cesse de s'étonner de ne pas avoir sombré dans le sommeil. Jack s'estimait être un amant infatigable, mais il avait ses limites.... Or celles-ci, en compagnie de Mélinda et de sa suite, semblaient avoir disparu. Avec une pointe d’inquiétude, l'homme se demande s'il allait s'écrouler raide mort d'épuisement lorsque la belle vampire en aurait fini avec lui... Mais le jeu en valait la chandelle, se dit-il, en voyant son amante se délecter de son gros chibre, avec sa gueule d'ange et ses petites lèvres incarnat. Délaissant la verge toute propre, qu'elle avait léchée et sucée pour en faire disparaître jusqu'à la moindre goutte de sperme, la petite fit glisser sa langue tiède sur ses couilles gonflées par le désir.

« Hmmm ahh... »


Voir une aussi jolie poupée s'abaisser à faire des choses aussi dégradante, l'excitait au moins autant que le contact de sa langue sur ses bourses. La bouche du professeur s'arrondit lorsqu'il sentit un premier doigt glisser facilement dans son cul. Sa propre semence faisait office de lubrifiant et le traitement qu'il avait subi précédemment avait rendu la voie plus...Praticable. Qui plus est, Mélinda l'avait démasqué ; il n'était qu'un odieux pervers et les obscénités dont elle l'abreuvait exacerbaient son désir. Ce soir l'agent Taylor ne souhaitait qu'une seule chose ; se vautrer dans le stupre jusqu'à épuisement total.

« Oui je... Mets-en plus, petite maîtresse c'est... HMMM... »

Jack se mordit la lèvre inférieure, alors qu'un second doigt venait de rejoindre le premier dans son cul. Et cette petite chienne de Mélinda de les remuer doucement, faisant s'agiter le postérieur du professeur qui goûtait une fois de plus au plaisir de se sentir rempli. Lui qui avait délaissé ce plaisir coupable, le ravalant au rang de pratique occasionnelle comprenait à présent qu'il tirait un plaisir égal à recevoir qu'à donner... Et songer à toutes les perspectives que cette découverte lui offrait était vertigineux. Cependant, l'étrange créature que Mélinda avait appelée Edesssa avait quitté la pénombre et s'était rapprochée du lit sur lequel il trônait, lorgnant sur sa grosse bite. Plus grande que Mélinda, la succube avait une paire de seins impressionnante, et un bon gros cul rebondit qu'il lui tardait de claquer. Répondant à l'invitation de sa maîtresse, elle s'agenouilla et se mit à l’œuvre avec passion.

« Ahh, c'est ça mes jolies vous êtes... de fantastiques petites putes... »

Traversé par d’irrépressibles ondes de plaisir, Jack était étendu sur le lit, les yeux perdus dans la vague, alors que les langues respectives de la vampire et de la succube courraient le long de sa hampe, sur son gland et ses bourses, alors que Mélinda s'activait encore dans son cul, l'extrémité de ses doigts effilés percutant sa prostate gonflée. Ses mains puissantes se perdaient dans les cheveux de deux créatures qu'il gratifiait de caresses fiévreuses et désordonnées. Il était pour ainsi dire au paradis de la luxure. Se redressant sur un coude, il saisit le poignet de la nouvelle venue et l'attira doucement à lui, pressant ses lèvres avides contre celles, entrouvertes de la succube, sa main libre palpant le cul galbé de cette dernière, ses doigts puissant s'enfonçant dans sa chair tendre.

« Edessa hm ? enchanté... Merci d'avoir pris soin de moi pendant que je dormais. J'aimerais te remercier à ma manière », lui glissa-il à l'oreille, avant de glisser sa langue entre ses lèvres.

Lâchant son poignet, l'homme s'empara de l'un de ses seins, qu'il soupesa un court instant, avant de le malaxer doucement, puis de faire rouler son téton entre la pulpe de son pouce et de son index, avant d'envoyer une claque bien sentie rougir son postérieur laiteux. Quelques secondes plus tard, n'y tenant plus, il saisissait Ededessa par les hanches pour l'aider à l’enjamber son buste, et la maintint en équilibre au dessus de sa grosse queue gonflée, par la simple force de ses biceps tendus, alors que ses gros seins s'écrasaient contre ses pectoraux.

« Je suis sûr que la petite maîtresse n'aura rien contre, n'est-ce pas ? Mais je pense que c'est à elle de décider dans quel trou je devrais glisser ma grosse bite ».

L'instant d'après, Jack se mordait une nouvelle fois la lèvre inférieure alors que les doigts de la vampire s'aventuraient toujours plus loin dans son cul, le sodomisant sans ménagement. Son phallus veiné tressautait vivement, et à ce rythme là, il craignait de jouir avant même d'avoir pénétré Edesssa. Se tortillant sur place en gémissant, il attendait fiévreusement le verdict de cette dernière... A vrai dire, il s'attendait à ce qu''elle glisse elle-même sa verge turgescente dans les entrailles d'Edessa.

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Les alentours de la ville / Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
« le: lundi 28 septembre 2015, 21:45:27 »
Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une vampire, la jolie Mélinda semblait plutôt en forme, pour une femme qui venait de se faire éclater le cul par un chibre monstrueux. Observant son ventre légèrement plus arrondi qu'à l'accoutumé, Jack ne put s'empêcher de sourire avec une certaine fierté ; il avait rarement autant juté et le surplus de foutre dégoulinait entre les cuisses rougies de la vampire. L'homme n'avait pas lésiné sur la violence de ses claques ; il savait que Mélinda avait d'autant plus apprécié sa sodomie.

« J'en ai encore beaucoup en réserve, petite maîtresse. Je n'ose pas imaginer que tu sois déjà satisfaite, avec une seule petite sodomie ».

Un sourire narquois était apparu sur les lèvres du prétendu professeur. Comme pour lui répondre, la petite vampire se rapprocha de lui, les yeux rivés sur sa verge, légèrement dégonflée. Jetant un rapide coup d’œil à Bran du coin de l’œil, Jack se demanda si le vampire lui, avait besoin de quelques minutes de repos avant de reprendre ses ébats. Probablement pas. Melinda et son frère semblaient conçus pour le sexe et Jack se surprit à penser qu'en fin de compte, il aurait bien aimé être un vampire lui aussi. Cela l'aurait probablement rendu encore plus vigoureux, plus brutal et... Plus vicieux.

« Hmm... Ouais.... »

Jack n'était pour l'heure, plus très loquace, mais Mélinda l'était suffisamment pour eux deux. Penchant sa petite têtes bouclée sur son bassin, elle fit courir sa langue sur sa hampe. Les yeux rivés sur sa petite maîtresse, Jack tendit la main pour la poser sur la chevelure châtain de la vampire, laissant ses gros doigts se perdre dans ses boucles soyeuses. Finalement ses lèvres se posèrent sur son gland souillé, et elle le prit en bouche sans plus de cérémonie, le gros membre pourtant débandé déformant ses petites lèvres roses, et ses joues rougies par l'effort. Melinda s'y prenait diablement bien et bien qu'il ait joui quelques secondes plus tôt, l'imposteur sentit son sang refluer lentement vers son chibre. Souriant à son amante qui guettait ses réactions de ses beaux yeux vers, l'homme fit glisser le revers de sa main sur la joue de porcelaine de la petite maîtresse, qui s'appliquait à engloutir tout le foutre dont sa verge était souillée.

« Petite maîtresse je... je crois que tu devrais également nettoyer le sperme qui a coulé sur mes couilles ».

Jack ne mentait pas ; lorsqu'il avait joui en elle, le surplus de semence qui s'était échappé de son anus dilaté avait coulé le long de sa verge, inondant ses bourses et s’infiltrant dans la raie brune de ses fesses. Relevant les jambes pour lui faciliter l'accès à ses testicules, l'homme exposa également à la vue de tous son anus palpitant, encore dilaté de ses ébats précédents. Comme bien des hommes – même si bien peu l'avouaient - le contact d'un corps étranger avec sa prostate redonnait à son chibre sa pleine vigueur en quelques instants... Et il était indubitable que la Reine des putes devait en connaître un rayon sur le sujet.

« Tu devrais... Me fourrer un doigt ou deux dans le cul... Généralement ça... Accélère le processus ».

L'homme s'était efforcé de prendre un ton badin, mais l'excitation qu'il ressentait à l'idée de se faire doigter le rectum par sa petite maîtresse était lisible sur son visage. Les yeux brillants, la bouge entrouverte, Jack Taylor bouillonnait d'impatience, par ailleurs, le traitement de Mélinda commençait à faire effet, et sa verge reprenait progressivement de sa superbe entre ses lèvres avides. Après cette violente sodomie, Mélinda ne serait probablement contre l'envie de se venger... Et Jack comptait bien là-dessus. 


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